de la Brunetièr

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du tribunal judiciaire de CHARTRES et

de la cour d'appel de VERSAILLES, les deux juridictions les plus corrompues de France ? !! .:.

 

Urbain  de La Brunetière n'a toujours pas trouvé depuis 1994 un avocat pénaliste qui connaisse le droit des successions, et qui ne fasse partie d’aucune secte, et donc qui ne soit pas franc-maçon

puisque la franc-maçonnerie est une secte et qu’Urbain de La Brunetière ne fait partie d’aucune secte !! .:.

 

* Les enseignements originaux des Papes sur la Franc-Maçonnerie de 1717 à nos jours,

Pierre Téqui éditeur

 

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BD10264_ J… D… L… B…, un des cohéritiers escrocs d'Urbain de La Brunetière bénéficie de la donation déguisée d'un appartement de 185 m² avec deux chambres de service attenantes (valeur 2,5 Millions d'euros) dans un des meilleurs quartiers de PARIS ? !! .:.

 

BD10264_ Un notaire escroc de PARIS, M… B…, fait déclarer UN Million de Francs (150.000 €) de revenus de 1979 à 1994 à Urbain de La Brunetière et l'en déclare bénéficiaire, alors qu'il ne lui a rien versé et qu'il refuse de lui verser ? !! .:.

 

BD10264_ AXA fait déclarer des revenus à Urbain de La Brunetière et l'en déclare bénéficiaire, alors qu'AXA ne lui a rien versé et refuse de lui verser ? !! .:.

 

BD10264_ L… D… L… B…, un des cohéritiers escrocs d’Urbain de La Brunetière, lui fait déclarer des revenus sans les lui verser avec la complicité du notaire escroc M… B…, et refuse de lui verser et de justifier sa gestion de l’indivision de la succession de Madame Yvonne de La Brunetière ? !! .:.

 

BD10264_ Les comptes sous numéro 70'600-III rubrique 70'656 et 70’600-III rubrique 70'657 ouverts en 1973 au LICHTENSTEIN "sous la garde" de la banque suisse UBS de BÂLE, ont été transférés par les cohéritiers escrocs d'Urbain de La Brunetière dans la banque E…D…R… à GENEVE pour supprimer les traces de détournement et de fraude fiscale ? !! .:.

 

BD10264_ Les mises en demeure et plaintes à des magistrats, avocats et bâtonniers de CHARTRES et PARIS au sujet des comptes au LIECHTENSTEIN "sous la garde de l’UBS" sont restées sans suite ? !! .:.

 

BD10264_ Les mises en demeure et plaintes d'Urbain de La Brunetière à des Directeurs Divisionnaires de la Direction Nationale des Enquêtes Fiscales (D.N.E.F.), au sujet des comptes au LIECHTENSTEIN "sous la garde de l’UBS" sont restées sans suite ? !! .:.

 

BD10264_ Les lettres recommandées "express" des 03 mai 1994 et 05 mai 1997 du père et de L… D… L… B… et F… D… L… B…, deux des cohéritiers escrocs d’Urbain de La Brunetière, à l'UBS de Bâle (Suisse) et l’ordonnance du "Zivilgericht" de Bâle à la banque UBS le 05 mai 1997 confirment la violation du secret bancaire par l'UBS ? !! .:.

 

BD10264_ La radiation du 13 octobre 2005 au tribunal judiciaire de CHARTRES et la péremption, inexistante, du 26 février 2009 confirment la corruption de magistrats et d'avocats du barreau de CHARTRES et de VERSAILLES ? !! .:.

 

BD10264_ Les conclusions d'Urbain de La Brunetière remises le 24 juin 2009 à l’appui de 182 pièces à madame M… T…, avocate à la cour d'appel de VERSAILLES associée à monsieur F… H…-B…, démontrent l’absence de péremption devant le tribunal judiciaire de CHARTRES, mais elle les a falsifiées ? !! .:.

 

BD10264_ La plainte avec constitution de partie civile au tribunal judiciaire de MELUN le 01 août 1997, a confirmé la corruption du juge L… R… qui l'a instruite ? !! .:.

 

BD10264_ La plainte avec constitution de partie civile au tribunal judiciaire de PARIS le 04 mai 2000 a démontré la corruption de la juge B… qui a refusé de l'instruire après l'avoir falsifiée ? !! .:.

 

BD10264_ L'Avis de Réception falsifié produit le 30 août 2008 par l'avocate V… R…-D…, bâtonnière de CHARTRES 2023-2024, confirme sa corruption ? !! .:.

 

BD10264_ Le notaire véreux de Seine et Marne T… M… choisi par les cohéritiers d’Urbain de La Brunetière à son insu sans son accord pour "régler" la succession d’Henry Dimier de la Brunetière, est domicilié à 200 km d'Arrou (Eure et Loir) !! .:.

 

BD10264_ L… D… L… B…, cohéritier escroc d’Urbain de La Brunetière, a remis au notaire escroc T… M… de Seine et Marne deux "testaments" de son père Henry Dimier de la Brunetière, et prétend qu’ils sont authentiques, et ce notaire les "authentifie" sur la signature de L… D… L… B… ? !! .:.

 

BD10264_ Le notaire escroc de Seine et Marne T… M… est déjà "intervenu" dans la succession de la mère d’Urbain de La Brunetière : il a produit le 05 septembre 1995 pour l'escrioc L… D… L… B… une "attestation" qui ne reprend qu’une partie d’un acte notarié du 04 juillet 1978 d’un ancien notaire d’ARROU (Eure et Loir), après en avoir supprimé les clauses d’un prêt de 322.109 F de l’indivision de cette succession à l'escroc L… D… L… B… qui refuse de rembourser ce prêt depuis 1978 …

 

Le Canard Enchaîné, 28.06.06 : "Du premier président de la Cour de cassation, Guy Canivet, dans Les Echos (26/06) : " il est urgent de restaurer la crédibilité de la justice." On ne peut rien lui cacher."

 

Le Canard Enchaîné, 18.10.06 : "Interrogé par « Le Nouvel Economiste » (12-18/10), qui a réalisé une enquête fort instructive sur "la République des avocats", Me Arno Klarsfeld explique : « Quand on est avocat, on est entraîné à mentir, çà aide en politique. »

Il pense à Sarko, avocat lui aussi, qui l’a embauché à son service sur le dossier des sans-papiers ?"

 

Le Canard Enchaîné, 23.05.07 : Promesse de Rachida Dati, ministre de la Justice (Aujourd’hui, 19/05) : "Je serai la garde des Sceaux qui redonnera aux Français confiance en la justice."

 

LE MONDE, 01.07.05 : De Guy Canivet (premier président de la Cour de cassation) : "… Sur le plan pénal, le juge ne bénéficie d’aucune protection ou immunité. Qu’elle soit dans l’exercice de ses fonctions ou hors de celle-ci, l’infraction pénale qu’il viendrait à commettre, même dans l’exercice de ses fonctions, est poursuivie et jugée selon les procédures de droit commun, comme pour tout autre citoyen. Cette responsabilité n’est pas fictive, les exemples de condamnation de juges sont connus, il n’y a aucune complaisance à cet égard. … Les jugements ne peuvent être prononcés ni sur les instructions du pouvoir politique ni sous la pression de l’opinion publique ; ils le sont en revanche sous le contrôle des citoyens. A leur égard, les juges sont débiteurs d’un devoir de transparence, de sérieux, de diligence et d’impartialité. …"

 

L’EXPRESS, 14.03.05 : "En Italie, une loi votée en 1988 prévoit qu’un magistrat puisse, sur ses deniers personnels, indemniser une victime en cas de faute grave ou de déni de justice. Résultat : les juges transalpins souscrivent des contrats d’assurance. A l’instar de ce que font chez nous – c’est une obligation – les trésoriers-payeurs généraux. Silvio Berlusconi, qui ne porte pas dans son cœur l’institution judiciaire, est un farouche partisan de ce système, sous prétexte que les juges forment une caste inattaquable."

 

Claire CHAZAL, TF1 le 05.12.03 à 20 h 25 :

C’est la peine maximale qui a été réclamée contre le magistrat Jean-Louis VOIRAIN poursuivi pour une affaire de corruption. Le représentant de la Chancellerie a requis aujourd’hui la révocation sans maintien des droits à la retraite. L’ancien substitut au parquet de BOBIGNY avait été mis en examen pour trafic d’influence, corruption et blanchiment et incarcéré pendant huit mois.

 

Une journaliste envoyée par TFI à BOBIGNY :

La plus lourde des sanctions disciplinaires, une révocation sans droits à la retraite. C’est ce que vient de réclamer le représentant du ministère de la justice contre Jean-Louis VOIRAIN. Cet ancien procureur adjoint est accusé d’avoir été acheté par des personnages douteux et d’avoir manqué d’impartialité.

Face au Conseil Supérieur de la Magistrature, il essaye de se défendre :

« Je reconnais que j’ai reçu un certain nombre de sommes d’argent, c’est vrai, en contrepartie d’avis juridiques ou de documents qu’on m’a demandé de rédiger. »

 

Aujourd’hui en France du 19.11.05 : “La PROCUREUR Anne de Fontette a requis hier une peine de six mois de prison avec sursis et 10 000 € d’amende à l’encontre de l’ex-juge niçois Jean-Paul Renard, poursuivi devant le tribunal correctionnel de Paris pour avoir transmis à sa loge maçonnique des informations confidentielles issues de casiers judiciaires. Evoquant des « faits particulièrement graves », madame de Fontette a estimé que le comportement de l’ex-doyen des juges d’instruction du tribunal de grande instance de Nice avait porté "une atteinte à la crédibilité de l’appareil judiciaire, aux libertés individuelles que les magistrats sont chargés de garantir".

 

Le magistrat a d’ores et déjà été sanctionné par sa hiérarchie. Mis à la retraite d’office en octobre 2004 par le Conseil supérieur de la magistrature (CSM), Jean-Paul Renard est radié des cadres de la magistrature depuis le 2 novembre 2004.

 

Il s’agit "d’une perte totale de repères déontologiques" et d’un mélange entre le serment irrévocable que prête le magistrat et le serment que prononce l’impétrant lors de son entrée dans une loge maçonnique, a estimé la procureur. M. Renard a fait un "usage privatif d’une parcelle de puissance publique, il n’a pas servi la loi, il s’est servi d’elle", a insisté madame de Fontette."

 

De L’OMERTA FRANCAISE (Sophie COIGNARD, Alexandre WICKHAM, Albin Michel) :

"La thèse a sûrement enchanté Michel Charasse. L’insubmersible sénateur du Puy-de-Dôme n’aime pas, lui non plus, les magistrats et ne s’en cache pas. Mais le mardi 23 juin 1998, lors de l’examen en séance de nuit de la réforme de la justice élaborée par Elisabeth Guigou, il "pète les plombs" (pour utiliser son langage imagé) : « Chez eux (les magistrats), on dirait qu’il y a soixante millions de pourris. C’est à croire que chez eux, il n’y a ni alcooliques, ni gens qui ne paient pas leur pension alimentaire, ni voleurs. » Selon l’ancien ministre, la corporation judiciaire se mettrait à l’abri de la loi : « C’est gratuité ou tarif réduit pour les gens de la maison car, contrairement à tous, les magistrats jugent tout le monde mais se jugent entre eux. Comme les maffieux."

 

En vertu de l’art. 10 du Code civil, chacun est tenu d’apporter son concours à la justice en vue de la manifestation de la vérité. Celui qui, sans motif légitime, se soustrait à cette obligation lorsqu’il en a été légalement requis, peut être contraint d’y soustraire, au besoin à peine d’astreinte ou d’amende civile, sans préjudice de dommages et intérêts.

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