de la Brunetière

 

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du tribunal de grande instance de CHARTRES,

de la cour d'appel de VERSAILLES,

et d'autres juridictions, comme si vous y étiez ? …

 

Urbain  de La Brunetière cherche un avocat pénaliste qui connaisse le droit des successions,

et qui ne fasse partie d’aucune secte, et donc, notamment, qui ne soit pas franc-maçon

puisque la franc-maçonnerie est une secte* et qu’Urbain de La Brunetière ne fait partie d’aucune secte.

 

* Les enseignements originaux des Papes sur la Franc-Maçonnerie de 1717 à nos jours,

Pierre Téqui éditeur

 

Eh ! bien, LISEZ … et DIFFUSEZ !

 

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*  Introduction

 

*  L’appartement de 185 M2 dans un des meilleurs quartiers de PARIS ...

 

*  Un notaire véreux de PARIS fait déclarer deux Millions de Francs (300.000 €) de revenus à Urbain de La Brunetière et à un de ses cohéritiers, mais ne leur verse rien et s’y refuse …

 

*  AXA fait déclarer des revenus à Urbain de La Brunetière et à un de ses cohéritiers, mais ne leur verse rien et s’y refuse …

 

*  Un des cohéritiers d’Urbain de La Brunetière, "LU", lui fait déclarer des revenus sans les lui verser et refuse de le dédommager, et de justifier sa « gestion » de l’indivision de la succession de Madame Yvonne de La Brunetière ...

 

*  Les comptes sous numéro 70'600-III rubrique 70'656 et 70’600-III rubrique 70'657 ouverts à la banque suisse UBS …

 

*  Les mises en demeure et plaintes à des magistrats, avocats et bâtonniers de CHARTRES et PARIS, au sujet des comptes au LIECHTENSTEIN « sous la garde de l’UBS », restées sans suite …

 

*  Les mises en demeure et plaintes à des Directeurs Divisionnaires de la Direction Nationale des Enquêtes Fiscales (D.N.E.F.), au sujet des comptes au LIECHTENSTEIN « sous la garde de l’UBS », restées sans suite …

 

*  Les lettres recommandées « express » des 03 mai 1994 et 05 mai 1997 du père et de deux des cohéritiers adversaires d’Urbain de La Brunetière à Bâle (Suisse), et l’ordonnance du « Zivilgericht » de Bâle à la banque UBS (ex-SBS) le 05 mai 1997 …

 

*  La radiation du 13 octobre 2005 au TGI de Chartres, et la péremption, inexistante, du 26 février 2009 ...

 

*  Mes conclusions remises le 24 juin 2009 à l’appui de 182 pièces à une avouée de Versailles démontrent l’absence de péremption devant le TGI de Chartres …

 

*  Les bâtonniers de CHARTRES en 2000, 2001-2002, 2003-2004, 2005-2006, 2007-2008, 2009-2010, 2011-2012, 2013-2014 … 

 

*  Les avocats postulants au TGI de CHARTRES … ! …

 

*  Les magistrats du TGI de CHARTRES depuis 1999 ...

 

*  La plainte avec constitution de partie civile au TGI de MELUN le 01 août 1997 …

 

*  La plainte avec constitution de partie civile au TGI de PARIS le 04 mai 2000 …

 

*  La plainte avec constitution de partie civile au TGI de CHARTRES le 06 septembre 2001 …

 

*  Les plaintes au TGI de CHARTRES en 2003 ...

 

*  Avis de Réception falsifié produit par les avocats et avoués des adversaires ...

 

*  Les magistrats de la cour d’appel de Versailles depuis 2000 ...

 

*  Le notaire de Seine et Marne choisi par les adversaires d’Urbain de La Brunetière à son insu sans son accord pour « régler » la succession d’Henry Dimier de la Brunetière, est domicilié à 200 km d'Arrou (Eure et Loir) …

 

*  "LU", un adversaire d’Urbain de La Brunetière, remets au notaire de Seine et Marne deux "testaments" d’Henry Dimier de la Brunetière et prétend qu’ils sont authentiques, et ce notaire les "authentifie" sur la signature de "LU" ...

 

*  Ce notaire de Seine et Marne est déjà « intervenu » dans la succession de la mère d’Urbain de La Brunetière : il a produit le 05 septembre 1995 pour cet adversaire une « attestation » qui ne reprend qu’une partie d’un acte notarié du 04 juillet 1978 d’un ancien notaire d’ARROU (Eure et Loir), après en avoir supprimé les clauses d’un prêt de 322.109 F de l’indivision de cette succession à ce même adversaire qui refuse de rembourser ce prêt depuis 31 ans …

 

Ne pourrait-on pas imaginer d’écrire un scénario du genre « Panique chez les maffieux » par référence au titre d’un film qui a enchanté d’innombrables spectateurs, et qui se passe dans le Nord de la France ?

 

Pour votre information, nous vous encourageons à consulter les « extraits de presse et d’ouvrages référents ». Notamment,

 

Le Canard Enchaîné, 28.06.06, p.2 : « Du premier président de la Cour de cassation, Guy Canivet, dans « Les Echos » (26/6) : " il est urgent de restaurer la crédibilité de la justice." On ne peut rien lui cacher. »

 

Le Canard Enchaîné, 18.10.06, p.8 : « Interrogé par « Le Nouvel Economiste » (12-18/10), qui a réalisé une enquête fort instructive sur « la République des avocats », Me Arno Klarsfeld explique : « Quand on est avocat, on est entraîné à mentir, çà aide en politique. »

Il pense à Sarko, avocat lui aussi, qui l’a embauché à son service sur le dossier des sans-papiers ? »

 

Le Canard Enchaîné, 23.05.07, p.2 : Promesse de Rachida Dati, ministre de la Justice (« Aujourd’hui », 19/5) : « Je serai la garde des Sceaux qui redonnera aux Français confiance en la justice. »

 

LE MONDE, 01.07.05 : De Guy Canivet (premier président de la Cour de cassation) : « … Sur le plan pénal, le juge ne bénéficie d’aucune protection ou immunité. Qu’elle soit dans l’exercice de ses fonctions ou hors de celle-ci, l’infraction pénale qu’il viendrait à commettre, même dans l’exercice de ses fonctions, est poursuivie et jugée selon les procédures de droit commun, comme pour tout autre citoyen. Cette responsabilité n’est pas fictive, les exemples de condamnation de juges sont connus, il n’y a aucune complaisance à cet égard. … Les jugements ne peuvent être prononcés ni sur les instructions du pouvoir politique ni sous la pression de l’opinion publique ; ils le sont en revanche sous le contrôle des citoyens. A leur égard, les juges sont débiteurs d’un devoir de transparence, de sérieux, de diligence et d’impartialité. …»

 

L’EXPRESS, 14.03.05, p.118 : « En Italie, une loi votée en 1988 prévoit qu’un magistrat puisse, sur ses deniers personnels, indemniser une victime en cas de faute grave ou de déni de justice. Résultat : les juges transalpins souscrivent des contrats d’assurance. A l’instar de ce que font chez nous – c’est une obligation – les trésoriers-payeurs généraux. Silvio Berlusconi, qui ne porte pas dans son cœur l’institution judiciaire, est un farouche partisan de ce système, sous prétexte que les juges forment une caste inattaquable. »

 

Claire CHAZAL, TF1 le 05.12.03 à 20 h 25 :

C’est la peine maximale qui a été réclamée contre le magistrat Jean-Louis VOIRAIN poursuivi pour une affaire de corruption. Le représentant de la Chancellerie a requis aujourd’hui la révocation sans maintien des droits à la retraite. L’ancien substitut au parquet de BOBIGNY avait été mis en examen pour trafic d’influence, corruption et blanchiment et incarcéré pendant huit mois.

Une journaliste envoyée par TFI à BOBIGNY :

La plus lourde des sanctions disciplinaires, une révocation sans droits à la retraite. C’est ce que vient de réclamer le représentant du ministère de la justice contre Jean-Louis VOIRAIN. Cet ancien procureur adjoint est accusé d’avoir été acheté par des personnages douteux et d’avoir manqué d’impartialité.

Face au Conseil Supérieur de la Magistrature, il essaye de se défendre :

« Je reconnais que j’ai reçu un certain nombre de sommes d’argent, c’est vrai, en contrepartie d’avis juridiques ou de documents qu’on m’a demandé de rédiger. »

 

Aujourd’hui en France du 19.11.05, p. 16 : “La PROCUREUR Anne de Fontette a requis hier une peine de six mois de prison avec sursis et 10 000 € d’amende à l’encontre de l’ex-juge niçois Jean-Paul Renard, poursuivi devant le tribunal correctionnel de Paris pour avoir transmis à sa loge maçonnique des informations confidentielles issues de casiers judiciaires. Evoquant des « faits particulièrement graves », madame de Fontette a estimé que le comportement de l’ex-doyen des juges d’instruction du tribunal de grande instance de Nice avait porté « une atteinte à la crédibilité de l’appareil judiciaire, aux libertés individuelles que les magistrats sont chargés de garantir ».

Le magistrat a d’ores et déjà été sanctionné par sa hiérarchie. Mis à la retraite d’office en octobre 2004 par le Conseil supérieur de la magistrature (CSM), Jean-Paul Renard est radié des cadres de la magistrature depuis le 2 novembre 2004.

Il s’agit « d’une perte totale de repères déontologiques » et d’un mélange entre le serment irrévocable que prête le magistrat et le serment que prononce l’impétrant lors de son entrée dans une loge maçonnique, a estimé la procureur. M. Renard a fait un « usage privatif d’une parcelle de puissance publique, il n’a pas servi la loi, il s’est servi d’elle », a insisté madame de Fontette. »

 

De « L’OMERTA FRANCAISE » (Sophie COIGNARD, Alexandre WICKHAM, Albin Michel, octobre 1999) :

p.301 : « La thèse a sûrement enchanté Michel Charasse. L’insubmersible sénateur du Puy-de-Dôme n’aime pas, lui non plus, les magistrats et ne s’en cache pas. Mais le mardi 23 juin 1998, lors de l’examen en séance de nuit de la réforme de la justice élaborée par Elisabeth Guigou, il « pète les plombs » (pour utiliser son langage imagé) : « Chez eux (les magistrats), on dirait qu’il y a soixante millions de pourris. C’est à croire que chez eux, il n’y a ni alcooliques, ni gens qui ne paient pas leur pension alimentaire, ni voleurs. » Selon l’ancien ministre, la corporation judiciaire se mettrait à l’abri de la loi : « C’est gratuité ou tarif réduit pour les gens de la maison car, contrairement à tous, les magistrats jugent tout le monde mais se jugent entre eux. Comme les maffieux. »»

 

En vertu de l’art. 10 C. civil, « Chacun est tenu d’apporter son concours à la justice en vue de la manifestation de la vérité. Celui qui, sans motif légitime, se soustrait à cette obligation lorsqu’il en a été légalement requis, peut être contraint d’y soustraire, au besoin à peine d’astreinte ou d’amende civile, sans préjudice de dommages et intérêts ».

 

 

 

 

 

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