En DIRECT du tribunal de grande
instance de CHARTRES, de la cour d'appel de
VERSAILLES, et d'autres juridictions, comme si vous y étiez ? … |
Urbain de La
Brunetière cherche un avocat pénaliste qui
connaisse le droit des successions,
et qui ne fasse partie d’aucune secte, et donc, notamment, qui ne soit pas
franc-maçon
puisque la franc-maçonnerie est une secte* et qu’Urbain de La
Brunetière ne fait partie d’aucune secte.
* Les enseignements originaux des Papes sur la
Franc-Maçonnerie de 1717 à nos jours,
Pierre Téqui éditeur
Eh ! bien, LISEZ … et DIFFUSEZ !
L’appartement de
185 M2 dans un des meilleurs quartiers de PARIS ...
Les avocats
postulants au TGI de CHARTRES … ! …
Les magistrats
du TGI de CHARTRES depuis 1999 ...
La plainte avec
constitution de partie civile au TGI de MELUN le 01 août 1997 …
La plainte
avec constitution de partie civile au TGI de PARIS le 04 mai 2000 …
La plainte
avec constitution de partie civile au TGI de CHARTRES le 06 septembre 2001 …
Les plaintes au
TGI de CHARTRES en 2003 ...
Avis de
Réception falsifié produit par les avocats et avoués des adversaires ...
Les magistrats
de la cour d’appel de Versailles depuis 2000 ...
Ne pourrait-on pas imaginer d’écrire un scénario du genre
« Panique chez les maffieux » par référence au titre d’un film qui a
enchanté d’innombrables spectateurs, et qui se passe dans le Nord de la
France ?
Pour votre information, nous vous encourageons à
consulter les « extraits de presse et d’ouvrages référents ».
Notamment,
Le Canard Enchaîné, 28.06.06, p.2 : « Du
premier président de la Cour de cassation, Guy Canivet, dans « Les
Echos » (26/6) : " il est urgent de restaurer la
crédibilité de la justice." On ne peut rien lui cacher. »
Le Canard Enchaîné, 18.10.06,
p.8 : « Interrogé par « Le Nouvel Economiste »
(12-18/10), qui a réalisé une enquête fort instructive sur « la République
des avocats », Me Arno Klarsfeld explique : « Quand on
est avocat, on est entraîné à mentir, çà aide en politique. »
Il pense à Sarko, avocat lui aussi, qui l’a embauché à
son service sur le dossier des sans-papiers ? »
Le Canard Enchaîné, 23.05.07, p.2 : Promesse
de Rachida Dati, ministre de la Justice (« Aujourd’hui »,
19/5) : « Je serai la garde des Sceaux qui redonnera aux Français
confiance en la justice. »
LE MONDE, 01.07.05 : De Guy Canivet (premier président de la Cour
de cassation) : « … Sur le plan pénal, le juge ne bénéficie d’aucune
protection ou immunité. Qu’elle soit dans l’exercice de ses fonctions ou
hors de celle-ci, l’infraction pénale qu’il viendrait à commettre, même dans
l’exercice de ses fonctions, est poursuivie et jugée selon les procédures de
droit commun, comme pour tout autre citoyen. Cette responsabilité n’est pas
fictive, les exemples de condamnation de juges sont connus, il n’y a aucune
complaisance à cet égard. … Les jugements ne peuvent être prononcés ni sur
les instructions du pouvoir politique ni sous la pression de l’opinion
publique ; ils le sont en revanche sous le contrôle des citoyens. A leur
égard, les juges sont débiteurs d’un devoir de transparence, de sérieux, de
diligence et d’impartialité. …»
L’EXPRESS, 14.03.05, p.118 : « En Italie, une loi votée en 1988 prévoit
qu’un magistrat puisse, sur ses deniers personnels, indemniser une victime en
cas de faute grave ou de déni de justice. Résultat : les juges
transalpins souscrivent des contrats d’assurance. A
l’instar de ce que font chez nous – c’est une obligation – les
trésoriers-payeurs généraux. Silvio Berlusconi, qui ne porte pas dans son cœur
l’institution judiciaire, est un farouche partisan de ce système, sous prétexte
que les juges forment une caste inattaquable. »
Claire CHAZAL, TF1 le
05.12.03 à 20 h 25 :
C’est la peine maximale qui a été réclamée contre le
magistrat Jean-Louis VOIRAIN poursuivi pour une affaire de corruption. Le
représentant de la Chancellerie a requis aujourd’hui la révocation sans
maintien des droits à la retraite. L’ancien substitut au parquet de BOBIGNY
avait été mis en examen pour trafic d’influence, corruption et blanchiment et
incarcéré pendant huit mois.
Une journaliste envoyée
par TFI à BOBIGNY :
La
plus lourde des sanctions disciplinaires, une révocation sans droits à la
retraite. C’est ce que vient de réclamer le représentant du ministère de la
justice contre Jean-Louis VOIRAIN. Cet ancien procureur adjoint est accusé
d’avoir été acheté par des personnages douteux et d’avoir manqué
d’impartialité.
Face au Conseil Supérieur de la Magistrature, il essaye de
se défendre :
« Je
reconnais que j’ai reçu un certain nombre de sommes d’argent, c’est vrai, en
contrepartie d’avis juridiques ou de documents qu’on m’a demandé de rédiger. »
Aujourd’hui en France du 19.11.05, p. 16 : “La PROCUREUR Anne
de Fontette a requis hier une peine de six mois de prison avec sursis et 10 000
€ d’amende à l’encontre de l’ex-juge niçois Jean-Paul Renard, poursuivi devant
le tribunal correctionnel de Paris pour avoir transmis à sa loge maçonnique des
informations confidentielles issues de casiers judiciaires. Evoquant des
« faits particulièrement graves », madame de Fontette a estimé que le
comportement de l’ex-doyen des juges d’instruction du tribunal de grande
instance de Nice avait porté « une atteinte à la crédibilité de l’appareil
judiciaire, aux libertés individuelles que les magistrats sont chargés de
garantir ».
Le magistrat a d’ores et déjà été sanctionné par sa
hiérarchie. Mis à la retraite d’office en octobre 2004 par le Conseil supérieur
de la magistrature (CSM), Jean-Paul Renard est radié des cadres de la
magistrature depuis le 2 novembre 2004.
Il s’agit « d’une perte totale de repères
déontologiques » et d’un mélange entre le serment irrévocable que prête le magistrat et le
serment que prononce l’impétrant lors de son entrée dans une loge maçonnique, a estimé
la procureur. M. Renard a fait un « usage privatif d’une parcelle de puissance publique,
il n’a pas servi la loi, il s’est servi d’elle », a insisté madame
de Fontette. »
p.301 : « La
thèse a sûrement enchanté Michel Charasse. L’insubmersible sénateur du
Puy-de-Dôme n’aime pas, lui non plus, les magistrats et ne s’en cache pas. Mais
le mardi 23 juin 1998, lors de l’examen en séance de nuit de la réforme de la
justice élaborée par Elisabeth Guigou, il « pète les plombs » (pour
utiliser son langage imagé) : « Chez eux (les magistrats),
on dirait qu’il y a soixante millions de pourris. C’est à croire que chez eux,
il n’y a ni alcooliques, ni gens qui ne paient pas leur pension alimentaire, ni
voleurs. » Selon l’ancien ministre, la
corporation judiciaire se mettrait à l’abri de la loi : « C’est
gratuité ou tarif réduit pour les gens de la maison car, contrairement à tous,
les magistrats jugent tout le monde mais se jugent entre eux. Comme les
maffieux. »»
En vertu de
l’art. 10 C. civil, « Chacun est tenu d’apporter son concours à la justice en
vue de la manifestation de la vérité. Celui qui, sans motif légitime, se soustrait
à cette obligation lorsqu’il en a été légalement requis, peut être contraint
d’y soustraire, au besoin à peine d’astreinte ou d’amende civile, sans
préjudice de dommages et intérêts ».