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LAS PROFECÍAS DEL PAPA JUAN XXIII/LE PROFEZIE DI PAPA GIOVANNI XXIII

Fin des temps


Cette section fait référence aux sections des prophéties sous l'onglet ''Analyse''.

Les prophéties de la semaine sainte

Décembre 2023

02 décembre

LA FIN DES TEMPS, VRAIMENT?

Plusieurs se demandent, sommes-nous réellement à la fin des temps?

Selon le calendrier de la fin des temps spécifié dans l’Apocalypse, nous avons pour étapes avant le retour de NSJC :

1) Mort des témoins (3,5 jours)
2) Résurrection des témoins

qui terminent la sixième période.

On peut affirmer que les attaques du Vatican contre ses prêtres qui favorisent la tradition OU qui ne sont pas dans la même ligne de la politique des affaires étrangères du Vatican prôné par Bergoglio, constituent la preuve irréfutable de cette fin de la sixième période. Le synode des synodes parachèvera le tout.

Mgr Strickland a été la dernière victime, et Mgr Baisi en Argentine subirait le même sort car il n’aurait pas assez favorisé la gauche chéri de Bergoglio lors des dernières élections.

Le cardinal Burke serait sur le point de se faire retirer son salaire et son appartement car il parle trop.

L’entrée dans la 7ème période de l’Apocalypse est caractérisée par la :

3) Mort de l’Antéchrist

et la

4) Chute de Babylone (3ème malheur, Ap. 11, 14)

Jean XXIII dans sa prophétie de l’Église concernant Benoît XVI spécifie :

« Alors le saint aux pieds nus descendra du mont et, devant la tombe du va-nu-pieds, éclatera le règne béni de la Très Sainte Vierge. Écoutez ses paroles. Marie Très Sainte, fille et mère de Dieu, maîtresse du temps futur, bats le rappel de tes fils dans les campagnes, pour qu'ils abattent les deux Babylone. »

Lorsque le Saint aux pieds nus, Benoît XVI, a remis sa démission le 11 février 2013, la foudre a frappé le dôme de la basilique Saint-Pierre à plusieurs reprises (voir analyse 01 janvier 2022).

Puis s’en est suivi l’élection de Bergoglio, l’Antéchrist personnifié.

La Passion annonçant la mort de l’église s’est accélérée à partir de ce 13 mars 2013.

Jean XXIII spécifie ici les « deux Babylone », c’est à dire Babylone Vatican, et Babylone Nations-Unies.

L’une représente le pouvoir spirituel et l’autre le pouvoir politique, chacune avec leur innombrables tentacules.

Mais elles ne font qu’un, la « Babylone la grande » spécifié dans l’Apocalypse, soit le système Antichrist actuel.

Plus les deux Babylone se confondent en une seule, plus le signe de la fin approche.

L’église conciliaire sous Bergoglio a pris la tangente de l’humanisme adopté par l’Agenda 2030 aux Nations-Unies.

Le fait que Bergoglio devait se rendre à la COP 28 à Dubaï cette semaine et qu’il en a été empêché par la grâce de Dieu, était une preuve ultime de cette unification car il se rendait à « l’église » œcuménique regroupant christianisme, islam et judaïsme, pour  cautionner ou bénir le plus vaste réseau de manipulation et de mensonge à l’heure actuelle dans le monde, son bébé chéri, le réchauffement climatique.

C’est la Babylone politique.

Babylone  spirituelle la rejoint ici dans l’œcuménisme, c’est-à-dire l’adaptation de l’église catholique à la perversion morale des dernières années, en plus de la réduction au silence des conservateurs qui ont encore le courage de se lever dans les circonstances.

Pas besoin de fournir d’exemples, nous en avons eu plein la vue juste dans les dernières années.
Le wokisme et ses rejetons pour les athées de la laïcité, la miséricorde infinie (sans la justice rattachée, faut-il le rappeler) d’où l’élimination du péché pour l’église conciliaire.

En fait, comment se fait-il que la majorité des chrétiens catholiques ne se posent même pas la question :

Pourquoi Jésus a-t-il donc été envoyé par le Père si le péché n’existe pas?

Anne Catherine Emmerich a vu qu’à la fin il ne resterait que le mur nord et l’autel après la destruction de l’Église, soient les témoins ressuscité (mur nord) et l’autel (la Sainte Messe), car les portes de l’enfer ne prévaudront point contre l’Église.

La chute de Babylone, du système Antichrist, est déjà amorcée par le signe des nombreuses guerres annoncées par NSJC en Matthieu 24.

Sa mort spirituelle est amorcée par la déchéance de son Antichrist personnifié sur le trône de Saint-Pierre :

« Le Pape attaqué par ses soutiens: le conflit israélo-palestinien a changé la donne

Giuseppe Nardi analyse minutieusement l’interview du très bergoglien historien de l’Eglise Massimo Faggioli par le site HuffPost (cf. Une interview critique d’un homme du premier cercle, Massimo Faggioli), et arrive comme moi à la conclusion que les soutiens du Pape le lâchent, et que la raison ne doit rien à un caprice ou à une quelconque versatilité due à l’usure du pouvoir. Pour le reste, il va sans dire que l’auteur est seul responsable de ses opinions (précaution nécessaire de ma part vu l’inflammabilité du sujet…)

Israël change tout

Le bergoglien devient critique du pape

Les attaques contre le pape François à propos du conflit au Proche-Orient se poursuivent. Elles ne sont pas de nature théologique, mais politique. Et d’un seul coup, la page se tourne dans le vent. François est-il lâché par des forces qui l’ont soutenu jusqu’à présent ? » (benoit-et-moi.fr)

En récapitulation :

- La bête c’est la religion de l’homme divinisé par la matière qui s’adore lui-même, le côté politique laïc athée ;

– La Grande prostituée c’est l’Église conciliaire, infidèle à sa mission de convertir et sauver les âmes, qui lui sert de support spirituel;

– Babylone, c’est la société civile (les deux Babylone, l’Antéchrist système) qui découle de ces nouvelles mentalités, et qui désigne le monde entier, soumis à la bête et à son esprit.

– Les deux témoins, c’est la Tradition, qui refuse cet esprit, le combat et le dénonce, à la fois de façon spirituelle (maintien de la doctrine et de la messe tridentine) et matérielle (esprit anticonformiste et résistant aux idées modernistes, dans la société civile).

Nous sommes bien à la fin des temps.

2024 sera une année de bascule.

Novembre 2023

26 novembre

« Une stratégie pour le moins déconcertante par sa malveillance évidente.
Bergoglio fomente d'abord les revendications de la Conférence épiscopale allemande sur des questions non débattues car déjà définies par le Magistère : divorce, polygamie, sodomie, sacerdoce féminin, célibat.
Puis, avec le Synode sur la synodalité, il alimente les impulsions autonomistes des Églises nationales en matière doctrinale et morale.
Et quand le lent engrenage subversif se met en marche, le jésuite argentin fait envoyer à son secrétaire d'État une lettre dans laquelle il rappelle hypocritement que l'enseignement catholique sur l'homosexualité et le sacerdoce n'est pas un sujet de discussion.
Sauf à organiser une série de réunions de l'épiscopat allemand au Vatican avec les principaux dicastères romains visant à vérifier ce qui est immuable et ce qui ne relève pas de cet enseignement qui vient d'être réitéré.
C'est le procédé typique du péronisme luciférien : inciter ses subordonnés à prendre des mesures - apparemment "spontanées" et "venant de la base", mais en réalité savamment planifiées d'en haut - pour introduire des déviations doctrinales, morales et liturgiques contraires à la foi catholique.
Dans le même temps, il leur envoie un signal de « feu vert », leur indiquant clairement que leurs demandes seront acceptées.
Ainsi, lorsque les évêques ultra-progressistes en demandent 100, Bergoglio a déjà décidé de se poser en médiateur et d'en accorder 50, ce qu'il voulait obtenir depuis le début.
Bergoglio est le point d’appui autour duquel tourne toute l’attaque contre l’Église du Christ. »

Mgr Vigano 25 novembre 2023

24 novembre 2023

BERGOGLIO : Le loup dans la bergerie.

À l’image de l’Antichrist, nous avons vu le vrai visage du pape de la « miséricorde infinie » agir avec hypocrisie en destituant Mgr Strickland.

Le pape de « l’ouverture » s’attaque à ses propres brebis.

On juge l’arbre à ses fruits, et présentement, ils sont pourris.

Confusion chez les fidèles, déception chez les catholiques qui espéraient beaucoup le 13 mars 2013, diminution des séminaristes contrairement à ce qui se passe chez la Tradition, diminution des fréquentations des messes conciliaires contrairement à la Tradition,…

Bref, Satan est à l’œuvre dans sa dernière salve pour triompher et effacer le nom de NSJC des cœurs fidèles.

Cette interview du neveu du cardinal archevêque de  Buenos Aires il y a quelques années, démontre comment Bergoglio est monté sur le trône en Argentine, en « serpentant » parmi les coulisses du pouvoir d’une manière très agile.

Intéressant puisqu’on peut faire aisément le parallèle avec son ascension au Vatican.

Le Bergoglio d’avant, et après avoir été élu pape.

Il a fait la même chose contre Benoît XVI.

« Qui est Bergoglio? l’itinéraire d’un arriviste manipulateur décrit par quelqu’un qui le connaît bien
9 Jan 2022 | Actualités

José Arturo Quarracino (né à Buenos Aires en 1953) est un universitaire argentin, et le neveu du cardinal Quarracino, primat d’Argentine jusqu’en 1998, et prédécesseur de Jorge Bergoglio dans ses fonctions. The Wanderer publie une partie de l’interview qu’il vient d’accorder à Gloria.tv. On y assiste, stupéfait, à la transformation d’un modeste prêtre effacé et pieux (c’est du moins ainsi que le voyait le naïf cardinal Quarracino) en un intrigant habile à naviguer dans toutes les eaux et sans pitié pour ses ennemis. Marco Tosatti en donne une version en italien, légèrement différente, avec des réponses pas dans le même ordre, et surtout plus complète. Il y a notamment une longue digression sur le péronisme, et ce que François doit à ce mouvement…

Qui est Bergoglio? Entretien avec José Quarracino (extraits)

Bergoglio était loin de Buenos Aires lorsque Quarracino l’a nommé évêque auxiliaire…

C’est exact. En 1992, Bergoglio avait été  » exilé  » par la Compagnie de Jésus dans la province de Cordoue, assigné là pour le tenir éloigné de Buenos Aires, où il avait servi Provincial de la Compagnie pendant plusieurs années. La fin de son mandat fut marquée par une grande division interne entre pro- et anti-Bergoglio.

Pourquoi votre oncle a-t-il choisi Bergoglio ?

Mon oncle l’avait rencontré en 1973 ou 1974 lorsqu’il était Provincial, mais la personne qui lui a parlé pour le « sauver de son exil » était l’un de ses professeurs dans la Société, le père Ismael Quiles SJ, un saint prêtre. A l’époque Bergoglio passait un très mauvais moment, tant sur le plan mental que psychologique. C’est pourquoi mon oncle a demandé au Saint-Siège de le nommer évêque auxiliaire – alors qu’il en avait déjà d’autres. Dans le livre d’Austen Ivereigh, The Great Reformer, on trouve un récit détaillé de comment mon oncle a dû se battre pour que le Saint-Siège fasse de Bergoglio un évêque.

Vous dites donc que Bergoglio a été nommé évêque « par compassion » ?

D’une part, mon oncle connaissait suffisamment bien le père Ismael Quiles et il l’appréciait beaucoup, car – comme je l’ai déjà dit – c’était un excellent prêtre et un jésuite exemplaire. Et au-delà du conflit interne avec la Compagnie de Jésus, Bergoglio présentait l’image d’un homme pieux, très ignatien, avec une vie très austère, développant beaucoup de sympathie avec ceux qui, comme on dit en espagnol, « lui plaisaient ». Cette nomination a également résolu le grand problème de Bergoglio, à savoir le terrible conflit interne qu’il vivait avec nombre de jésuites qui avaient été ses amis et avec lesquels il pris ses distances.

Savez-vous pourquoi Bergoglio a produit une telle scission en tant que provincial jésuite ?

Je ne connais pas les détails, mais vu de loin, je pense que c’est sa personnalité psychologique qui l’a mis en conflit avec ses frères, parce qu’il a toujours aspiré au pouvoir, et le moyen qu’il a trouvé pour réaliser ce désir était de s’appuyer fortement sur les prêtres plus jeunes et les novices, et pas tellement sur les prêtres adultes et plus âgés. Ce que l’on a appris, c’est que lorsqu’il a cessé d’être provincial pour des raisons statutaires, il est en fait resté actif comme s’il l’était encore, sapant l’autorité des nouvelles autorités, tant à la direction de la Compagnie qu’à la faculté de théologie où les jésuites étaient formés, dans la ville de San Miguel, siège historique de la Compagnie de Jésus.

Quel genre d’impression Bergoglio a-t-il laissé en tant qu’évêque auxiliaire ?

En tant qu’évêque auxiliaire, Bergoglio a su gagner l’affection et l’estime d’une grande partie du jeune clergé de l’archidiocèse, avec sa simplicité, sa piété, son accompagnement et sa gestion psychologique, qu’il a exercée comme peu d’autres, souvent pour le meilleur, et dans certains cas pour le pire. Avec ceux qui tombaient en disgrâce auprès de lui, il était souvent très dur, voire cruel. Et il mettait subtilement le clergé adulte « de côté » afin de promouvoir ses amis et ses jeunes protégés.

En tant qu’évêque auxiliaire, Bergoglio différait-il de Bergoglio en tant que provincial ?

En général, il ne gardait pas autant de visibilité et n’avait pas autant de responsabilités exécutives que lorsqu’il était provincial, mais il avait parfois des attitudes qui attiraient beaucoup l’attention, comme celle de couper tous les liens avec quelqu’un et pour toujours, sans que l’évêque disgracié ne sache souvent ce qu’il avait fait de mal.

Le cardinal Quarracino s’entendait-il bien avec son évêque auxiliaire ?

Je dirais très bien. Mon oncle l’aimait beaucoup et, dans sa position, Bergoglio lui a été d’une grande aide, surtout dans le travail pastoral, lorsqu’il a commencé à souffrir de maladies qui limitaient sa mobilité (pendant deux ans, il n’a pas pu marcher et a vécu dans un fauteuil roulant, et un jour – miraculeusement – il a retrouvé la mobilité de ses jambes).

N’y avait-il pas d’autres évêques auxiliaires ?

Si, au cours des dernières décennies, l’archidiocèse a toujours eu plusieurs évêques auxiliaires, car bien qu’il s’agisse d’un petit territoire, il compte environ trois millions de personnes, 251 paroisses, 54 congrégations masculines et 121 congrégations féminines, des zones résidentielles et d’autres à l’habitat précaire, etc. L’archidiocèse était alors divisé en quatre vicariats, avec leurs évêques auxiliaires respectifs. Il était impossible de ne pas avoir 4 ou 5 évêques auxiliaires pour s’occuper d’un archidiocèse de cette taille.
Dans ce contexte, Bergoglio a su se démarquer des autres évêques jusqu’à être nommé vicaire général de l’archidiocèse et, dans les dernières années de la vie de mon oncle, il est devenu évêque coadjuteur avec droit de succession (ce qui signifie qu’à la mort de mon oncle, il prenait immédiatement la relève comme nouvel archevêque).

Comment avez-vous perçu Bergoglio en tant qu’évêque auxiliaire ?

De 1995 à 2002, j’ai travaillé dans le cercle de Bergoglio, à la fois comme évêque auxiliaire et comme chancelier de l‘Universidad del Salvador, où je travaillais. À cette époque, il cultivait un profil très jésuite, très pieux, très pastoral. Mais il a maintenu une opposition très forte avec la Compagnie de Jésus, au point que lorsqu’il est devenu évêque, l’Ordre a dû nommer un prêtre colombien, le père Álvaro Restrepo, comme provincial, car aucun des jésuites argentins ne s’entendait bien avec Bergoglio. Ce fut une affrontement « à mort », comme on a l’habitude de dire en Argentine.

Était-il un « conservateur » ?

Sur le plan doctrinal, Bergoglio a cultivé un profil orthodoxe, avec de nombreuses touches jésuites. Sur le plan pastoral, il a eu tendance à mettre l’accent sur l’attention portée aux problèmes sociaux et à la prise en charge des enfants et des familles. Et le service des pauvres comme priorité, avec beaucoup de permissivité et de laxisme en matière liturgique et sacramentelle.

Lorsque Bergoglio a remplacé votre oncle comme archevêque de Buenos Aires, avez-vous ressenti un changement ? Quel souvenir gardez-vous de son séjour à Buenos Aires ?

Il y a eu un changement total dans sa façon de procéder. Il a d’abord pris soin de se débarrasser de ceux qui avaient été d’excellents collaborateurs de mon oncle, comme Mgr José Erro, recteur de la cathédrale de Buenos Aires et saint prêtre, à qui il a demandé par téléphone de démissionner de son poste et de prendre sa retraite. Sans aucune forme de considération ou de remerciement. Je pense qu’il a agi ainsi pour faire savoir au clergé de Buenos Aires que la direction de l’archevêché allait changer radicalement, balayant tout ce qui signifiait la continuité avec la période précédente, tout en prenant soin de maintenir quelque chose de l’héritage de mon oncle.

Ainsi, l’aimable évêque auxiliaire est soudainement devenu un archevêque revêche? Qu’est-ce que les gens ont dit à ce sujet ?

Ce qui a choqué et déstabilisé beaucoup de gens, c’est que dans presque toute son expérience d’archevêque titulaire, il a presque toujours présenté un visage renfrogné, amer, triste, une « face de vinaigre » comme il le disait parfois à certaines religieuses et à des chrétiens « traditionalistes » ou « orthodoxes ». Il était très impressionnant de voir ce visage si « distant » des autres dans les célébrations liturgiques ou sacramentelles, totalement dépourvu de joie lorsqu’il célébrait l’Eucharistie, comme cela s’est produit dans ses célébrations en tant que Pape. Personne ne pouvait expliquer la raison de cette façon d’agir et de se présenter, qui était très blessante pour certains.
En revanche, il est très frappant de constater qu’après avoir été élu pape, il a commencé à montrer le visage joyeux et jovial qu’il n’avait pratiquement jamais eu à Buenos Aires. Au point que certains se sont demandés si ce n’était pas son ambition inassouvie – devenir pape – qui le motivait au final.

Comment Bergoglio a-t-il gouverné à Buenos Aires?

Il a commencé à avoir une relation très distante en général avec tous ceux qu’il ne connaissait pas et qui ne faisaient pas partie de son cercle d’amis. Jusqu’à ce qu’il devienne pape, les commentaires des fidèles de l’archidiocèse sur le visage colérique qu’il montrait toujours dans chacune de ses activités publiques étaient monnaie courante. Un prêtre en qui il avait confiance, un curé de paroisse, lui a demandé – en plaisantant mais aussi sérieusement – de ne plus faire de visites pastorales s’il allait montrer ce que Bergoglio lui-même a appelé « une face de vinaigre ».

S’est-il lui-même qualifié de « face de vinaigre » ?

Il ne s’y référait presque jamais et n’en parlait pas. Il a commencé à utiliser cette expression en public lorsqu’il est devenu pape.

Y avait-il, à cette époque, des preuves que le Bergoglio orthodoxe était devenu hétérodoxe ?

Pas dans les premières années, mais au fil du temps, il a commencé à montrer des signes d’un certain « relâchement », pas tant dans ce qu’il disait que dans ce qu’il faisait, comme s’il s’agissait de dérapages ou d’attitudes voyantes.
Mais il a vraiment commencé à montrer son comportement hétérodoxe un an et demi après sa prise de fonction comme archevêque à part entière, après la mort de mon oncle (28 février 1998). C’était une semaine avant l’ouverture officielle de l’année jubilaire 2000, à Noël 1999. Ce jour-là, le 18 décembre 2000, Bergoglio a convoqué l’archidiocèse de Buenos Aires pour célébrer la « messe du millénaire » (et non du jubilé), qui n’avait bien sûr rien à voir avec la célébration de l’Église universelle, anticipant l’initiative papale.

Pourquoi cela ?

La seule explication que je puisse trouver aujourd’hui est qu’il l’a fait pour montrer au « monde du pouvoir » qui dirige réellement le monde – la ploutocratie mondialiste – qu’il était suffisamment indépendant pour agir indépendamment de l’Église universelle, mais en veillant aux formes. Ce n’est pas un hasard s’il a été le candidat du progressisme ecclésiastique pour succéder à Jean-Paul II en 2005, contre Ratzinger.

Quelle était la stratégie de Bergoglio en tant qu’archevêque ?

Pendant son mandat à Buenos Aires, il est devenu célèbre parce que personne ne savait ce qu’il pensait vraiment, puisqu’il disait toujours à chaque interlocuteur qui lui rendait visite ce qu’il voulait entendre. Et il était également connu parce qu’il commençait à mettre les prêtres plus âgés ou adultes au second plan ou à les ignorer directement, afin de mettre en avant les jeunes prêtres qui avaient une grande dévotion pour lui. Et de façon très voyante, il a imposé aux séminaristes de l’archidiocèse une loi leur interdisant de porter la soutane, tant à l’intérieur de la maison d’études que dans leur travail pastoral extérieur.

Sur le plan social ?

Sur le plan social, il a accordé une importance croissante au travail de proximité dans les bidonvilles urbains, comme ce qu’il a appelé plus tard « l’Église en marche », mais avec la recommandation – ou l’exigence – de ne pas insister sur la formation sacramentelle et la prédication.

Au niveau politique ?

Sur le plan politique, il a cultivé des relations avec pratiquement tout le spectre politique de l’archidiocèse, sans s’engager dans un secteur particulier. En ce sens, la confrontation qu’il a eue avec le président de l’époque, Néstor Kirchner, a été très marquante pour beaucoup, probablement parce qu’il s’agissait de personnalités presque identiques, qui prétendaient avoir tout le pouvoir entre les mains, ou presque.

Quelle était la stratégie derrière cela ?

Probablement d’accumuler le plus de pouvoir possible, afin de ne pas avoir à dépendre de quelqu’un ou d’une force ou d’un secteur particulier.

Comment a-t-il géré les finances ?

En ce qui concerne les finances, je n’ai presque rien à dire, car je n’ai pas eu accès à ce genre d’informations. Je peux juste vous dire qu’il a commencé à encercler et à coincer les ordres et les congrégations les plus orthodoxes, d’une part à cause de leur fermeté doctrinale (qui était pour lui une « dureté »), et d’autre part parce que ces ordres avaient souvent un patrimoine important.

Comment le séminaire de Buenos Aires s’est-il développé sous la direction de Bergoglio ?

D’après ce que je sais, grâce au témoignage de certains séminaristes qui ont été contraints d’aller dans un autre diocèse, le séminaire – à l’époque l’un des plus importants du pays en termes de formation académique – a commencé à baisser le niveau d’exigence de la formation doctrinale et théologique, pour mettre l’accent sur la formation à l’action pastorale, quoi que cela signifie, avec pour résultat que les nouveaux prêtres se caractérisent de plus en plus comme des agents d’assistance sociale, à quelques exceptions près, mais avec peu ou pas de formation doctrinale, théologique ou intellectuelle.
En ce sens, l’une des initiatives prises par Bergoglio en tant qu’archevêque à part entière a été, comme je l’ai mentionné précédemment, d’interdire aux séminaristes de l’archidiocèse de porter la soutane, tant à l’intérieur qu’à l’extérieur du séminaire. Ce qu’il a également fait à Rome, en tant qu’évêque de Rome.

Certains disent que le cardinal Bergoglio est coupable de « couvrir des cas d’abus homosexuels ». C’est vrai ?

Malheureusement, oui, souvent parce qu’il s’agissait de personnes proches de lui. Le cas d’un prêtre de son entourage intime, connu pour avoir des penchants homosexuels, qu’il a « aidé » en l’envoyant à Rome quelques années avant qu’il ne devienne pape, a été très commenté, entre autres, parce qu’il lui a permis de connaître de nombreuses intimités du Saint-Siège, sentant – ou sachant – qu’il pouvait arriver là où il est arrivé [ndt: s’agit-il de Mgr Pedacchio, cf. http://benoit-et-moi.fr/2013-III/actualites/les-nominations-de-franois.html]. Il ne faut pas oublier que ces types de personnalités ont tendance à être très prédisposées à porter et à rapporter des informations de toutes sortes. Des informations que l’archevêque d’alors aimait avoir sous la main et connaître.

Avez-vous également des informations de première main sur ces affaires ?

Oui, et j’ai pu le vérifier personnellement. En avril 2001, quelques mois après sa création en tant que cardinal, une personne travaillant à l’Universidad del Salvador, dont il était non seulement le grand chancelier mais aussi le grand contrôleur, lui a apporté la preuve qu’une personne très proche du nouveau cardinal, qui non seulement travaillait à l’université mais était aussi un fonctionnaire de l’État, avait distribué des photos pornographiques à des membres de l’université pour s’amuser. En conséquence, le proche collaborateur de Bergoglio a continué à travailler sans problème pendant plusieurs années encore, et la personne qui l’a mêlé à cette « affaire » a été licenciée sans motif de l’université quelques mois plus tard.

On dit que le cardinal Bergoglio avait des secrétaires qui avaient l’habitude d’assister à la messe à la Fraternité Saint-Pie. Bergoglio a également semblé défendre Pie X. Comment cela s’inscrit-il dans l’image du François liberal ?

Il a toujours été caractérisé par le fait de jouer avec les contraires, passant d’un extrême à l’autre : un jour, il est orthodoxe – devant un groupe de médecins catholiques ou devant des micros, il condamne l’avortement de vive voix, le décrivant comme un acte exécuté par un tueur à gages – et le lendemain, il reçoit et fait l’éloge d’Emma Bonino, ou de la présidente argentine, avorteuse avouée, et l’autorise à participer à une messe célébrée sur l’autel à côté de l’urne contenant les restes de saint Pierre.

Qui peut comprendre cela ?

Cela a toujours été le jeu de Bergoglio, un jeu de ruse, pas de sagesse, parce que c’est un moyen qui lui permet de ne pas être catalogué et, en même temps, qui lui permet de garder l’initiative. Bien qu’il s’agisse finalement d’une ruse de vol court, comme celui des poulets.

En tant que pape, François s’est révélé être très pro-homosexuel. Cela était-il visible lorsqu’il était cardinal ?

Pour autant que je sache, l’attitude gay-friendly de Bergoglio n’a jamais été aussi évidente et visible, ni en tant que jésuite ni en tant qu’évêque. Elle n’était pas non plus trop évidente en tant que cardinal, car cela aurait éventuellement rendu impossible son élection comme pape au sein du collège des cardinaux. On connaît des cas de prêtres ayant de tels comportements qui ont toujours compté sur la protection discrète de Bergoglio. Il ne l’a fait ouvertement que lorsqu’il est devenu titulaire de la Chaire de Pierre, en donnant le spectacle aberrant de donner refuge et protection politique et cléricale à un criminel notoire tel que l’évêque Gustavo Zanchetta.

Beaucoup ont suggéré que François veut des collaborateurs qui peuvent être soumis au chantage et contrôlés. Avez-vous des éléments pour confirmer cela ?

Malheureusement, oui, et à tous les niveaux, en plus du fait qu’il s’est toujours entouré de personnalités médiocres, soumises et serviles. Parce que le leadership de Bergoglio, plutôt que d’être un dictateur comme Henry Sire l’a caractérisé, est typiquement despotique, il n’admet pas la dissidence ou l’indépendance de jugement.

Comme à l’époque où il était Provincial des Jésuites d’Argentine ?

On a beaucoup parlé de la confrontation de Bergoglio avec les Jésuites après la fin de son mandat de Provincial des Jésuites. Ce que peu ou très peu disent, peut-être pour des raisons de discrétion et de décorum, c’est que ceux qui l’ont le plus affronté étaient ceux qui avaient été ses collaborateurs ou ses compagnons dans sa direction de l’Ordre. Certains d’entre eux étaient des amis très proches de lui, qui le respectaient et l’aimaient beaucoup.

Pourquoi cette confrontation ultérieure ?

On ne l’a jamais su. On savait qu’il s’agissait de personnes sérieuses, avec leur propre personnalité, ni manipulables ni sujettes au chantage. »

(benoit-et-moi.fr)

12 novembre

La mort des deux témoins de l'Apocalypse, çà commence avec la destitution de ceux qui promouvoient la Tradition.

On a eu un autre exemple hier.

La destitution de Mgr Strickland, annoncé en ce jour du Souvenir, un 11 maçonnique, c’est gros, très gros. Çà fait de la vague.

C’est une décision clé qui va mettre le schisme au grand jour. La chute de Bergoglio Antéchrist vers sa onzième année commence…

Le Texas, c’est différent, très à part dans les États-Unis. C’est un pays dans un pays. Ils sont derrières leur évêque et on verra de quel bois ils se chauffent.

« Le « cas » Strickland illustre la « méthode Bergoglio », celle d’un Pape qui ne supporte pas la critique » (benoit-et-moi.fr)

« Le pape dictateur a « viré » Mgr Strickland. La honte » (benoit-et-moi.fr)

Mgr Schneider: « La destitution de l’évêque Joseph E. Strickland constitue un jour noir pour l’Église catholique de notre époque … « Le seul chef d’accusation qui est maintenant sûr d’obtenir une punition sévère est l’observation attentive des traditions des Pères. » Ces mots de Saint Basile (Ep. 243) illustrent parfaitement la déposition de l’évêque de Tyler, Texas, U.S.A., Son Excellence Joseph E. Strickland.

Nous sommes témoins d’une injustice flagrante à l’égard d’un évêque qui a fait son devoir en prêchant et en défendant avec parésie la foi et la morale catholiques immuables et en promouvant le caractère sacré de la liturgie, en particulier dans le rite traditionnel immémorial de la messe…. Dans le même temps, plusieurs évêques qui soutiennent publiquement l’hérésie, les abus liturgiques, l’idéologie du genre et invitent ouvertement leurs prêtres à « bénir » les couples de même sexe, ne sont nullement importunés ou sanctionnés par le Saint-Siège.

L’évêque Strickland entrera probablement dans l’histoire comme un « Athanase de l’Église des États-Unis » qui, contrairement à saint Athanase, n’est pas persécuté par le pouvoir séculier, mais incroyablement par le pape lui-même. Il semble qu’une sorte de « purge » des évêques fidèles à la foi catholique immuable et à la discipline apostolique, qui se déroule déjà depuis un certain temps, ait atteint une phase décisive.

Puisse le sacrifice que Notre Seigneur a demandé à l’évêque Strickland porter de nombreux fruits spirituels pour le temps et l’éternité. Mgr Strickland et d’autres évêques fidèles, qui ont déjà été invités à démissionner, qui sont actuellement marginalisés ou qui seront les prochains sur la liste, devraient dire en toute sincérité au pape François :

Saint-Père, pourquoi nous persécutez-vous et nous frappez-vous ? Nous avons essayé de faire ce que tous les saints papes nous ont demandé de faire ? Avec un amour fraternel, nous offrons le sacrifice de ce type de persécution et d’exil pour le salut de votre âme et pour le bon état de la Sainte Église romaine. En effet, nous sommes vos meilleurs amis, Très Saint Père !

Athanasius Schneider,
évêque auxiliaire de Sainte-Marie à Astana». (benoit-et-moi.fr)


Mgr Vigano: « La destitution de Son Excellence l’archevêque Joseph Strickland, surtout après l’échec de la tentative de lui tendre une embuscade avec la Visite apostolique, apparaît comme une forme lâche d’autoritarisme, qui ne cadre en rien avec les discours de Bergoglio sur « l’accueil » et « l’inclusivité ».

Voir le sacrilège et pervers Marco Rupnik incardiné dans le diocèse de Capodistria, ou Mgr Michael Olson toujours en fonction malgré la pétition des fidèles de Fort Worth suite à ses abus et comportement scandaleux avec les Sœurs Carmélites d’Arlington, alorue Mgr Strickland était l’un des rares évêques fidèles, est persécuté et expulsé sans raison, nous montre dans toute son arrogance la tyrannie du jésuite argentin.

Une tyrannie qui scandalise d’autant plus les fidèles que la majorité des Pasteurs se taisent par lâcheté ou complicité.

Cette affaire révélera qui se tient aux côtés de la véritable Église du Christ et qui choisit de se tenir aux côtés de ses ennemis déclarés. Garder le silence et subir cette énième violation des principes les plus élémentaires de justice et de vérité, c’est se rendre complice d’un subvertisseur. »(twitter.com/CarloMVigano)

« Le pape de la Miséricorde destitue l’évêque Strickland
Par : Michael J. Matt : The Remnant Newspaper

Le Bureau de presse du Saint-Siège a annoncé aujourd’hui que le pape François a destitué Mgr Strickland de son poste d’évêque de Tyler et l’a remplacé par intérim par Mgr Joe Vásquez d’Austin.

C’est la guerre totale. François représente un danger évident et présent, non seulement pour les catholiques du monde entier, mais aussi pour le monde entier lui-même. Il semble maintenant qu’il s’efforce activement d’enterrer sa fidélité à l’Église de Jésus-Christ. S’il en est ainsi, qu’il soit anathème.

Que Dieu vous bénisse, Votre Excellence. Nous sommes à vos côtés maintenant et, s’il vous plaît à Dieu, pour toute l’éternité.

Voici le dernier tweet de Mgr Strickland en tant qu’évêque de Tyler, écrit la veille de sa destitution :

« Réjouissez-vous toujours que… peu importe ce que le jour nous apporte, Jésus-Christ est le Chemin, la Vérité et la Vie, hier, aujourd’hui et pour toujours. Que les saints et la Bienheureuse Vierge Marie nous inspirent toujours à retourner au Christ, peu importe la façon dont nous errons. dans les ténèbres. Jésus est Lumière issue de la Lumière. » (remnantnewspaper.com)


10 novembre

Quelques extraits des deux derniers textes de Mgr Vigano sur la situation qui empire à chaque semaine, en plus des deux nouveautés en préparation :

- L’autorisation papale pour modifier les textes de la doctrine!

- Une modification du conclave pour y inclure 25% de laïcs, évêques, prêtres, etc. avec droit de vote… À l’image du synode! Avec le prétexte de la « démoncratie ».

Le synode des synodes et la guerre en Israël détournent assez l’attention que Bergoglio et la mafia vaticane en profitent pour détruire l’église petit à petit comme l’avait prophétisé Anne Catherine Emmerich.

Ils n’avaient pas avec Vatican II, osé changé les textes fondamentaux, il était trop tôt.

Ils avaient tranquillement modifié la façon de les interpréter et de les enseigner via la pastorale, en prenant pour exemples l’œcuménisme et la nouvelle messe de Paul VI.

Maintenant que les esprits sont mûrs (ils le disent précisément dans le texte suivant: « Après presque cinq décennies, le moment est venu de réviser ces normes »),  ils vont modifier les textes.

Cela, c’est modifier la doctrine.

Nous faisons face à une nouvelle église, une secte comme le spécifie Mrg Vigano plus loin.

Cela, c’est la mort de l’Église dans sa passion à l’image de la Passion de NSJC.

« VATICAN CIY ( LifeSiteNews ) –– Le pape François a publié de nouvelles priorités et de nouveaux statuts pour l’Académie pontificale de théologie du Vatican, déclarant qu’une théologie nouvellement centrée est nécessaire, basée sur un « bon sens » populaire qui « ne correspond souvent pas au visage chrétien ». de Dieu. »

Les commentaires du Pape sont intervenus dans un motu proprio du 1er novembre , par lequel il a publié de nouvelles orientations et de nouveaux statuts pour l’Académie pontificale de théologie (PATH).

François a écrit que le PATH a « constamment incarné la nécessité de placer la théologie au service de l’Église et du monde », mais que selon ses nouvelles directives, un changement serait introduit.

« Après presque cinq décennies, le moment est venu de réviser ces normes, pour les rendre plus adaptées à la mission que notre époque impose à la théologie », a écrit le Pape. « Une Église synodale, missionnaire et « sortante » ne peut avoir d’équivalent qu’une théologie « sortante ».»

Opérant sous les auspices du Dicastère de la Culture et de l’Éducation, PATH a été fondée en 1718 et était auparavant décrite comme ayant « la mission de promouvoir le dialogue entre la foi et la raison et d’approfondir la doctrine chrétienne selon les indications du Saint-Père ».

Les nouveaux statuts du pape François remplacent ceux les plus récemment transmis au PATH par le pape Jean-Paul II en 1999.
Pourtant, le document papal présente ce qui semble être un concept de théologie essentiellement anticatholique, chargeant les théologiens d’engager un dialogue avec diverses cultures et religions plutôt que de s’appuyer sur les vérités intemporelles et immuables de la foi catholique.

« La promotion de la théologie dans le futur ne peut se limiter à proposer à nouveau de manière abstraite des formules et des schémas du passé », a déclaré le pape François dans la première ligne de son texte italien intitulé  » Ad theologiam promovendam « .

« Appelée à interpréter prophétiquement le présent et à entrevoir de nouveaux itinéraires pour l’avenir à la lumière de la Révélation, la théologie devra faire face à de profondes transformations culturelles, consciente que : « Ce que nous vivons n’est pas simplement une ère de changement, mais un changement de époque’ », a déclaré Francis, citant un de ses discours antérieurs, dans un style autoréférentiel qui est devenu caractéristique de son écriture… » (lifesitenews.com)

« Selon ce que nous avons appris, un document du Vatican est en cours d’examen par le pape François qui réformerait le conclave, excluant de la phase préparatoire les cardinaux de plus de quatre-vingts ans. Le document réviserait radicalement la forme des congrégations générales et révolutionnerait les règles sur l’élection du pape, garantissant que les laïcs, les religieux et les religieuses disposent de vingt-cinq pour cent des voix.

Des sources vaticanes bien informées nous ont confirmé que depuis la fin du printemps des rencontres ont eu lieu à Santa Marta entre le pape François et le cardinal Gianfranco Ghirlanda, canoniste jésuite, avec un objectif précis : réformer l’Universi Dominici gregis, la constitution apostolique de Jean-Paul II de 1996, sur la vacance du Siège Apostolique et l’élection du Pontife Romain.

À partir de fin août, les réunions sont devenues plus fréquentes et ont eu lieu au moins une fois par semaine, jusqu’à ce que l’assemblée synodale commence début octobre.

Avec la prétention d’un « retour à l’Église primitive », l’idée serait de faire en sorte que les cardinaux électeurs, choisis pour la plupart par le pape François, disposent de soixante-quinze pour cent des voix, tandis que les vingt-cinq pour cent restants seraient attribués à des laïcs et religieux, nommés par le Pape François avant que le Siège Apostolique ne devienne vacant.

Le document en question exclurait des congrégations générales précédant le début de l’élection papale tous les cardinaux sans droit de vote, c’est-à-dire ceux qui ont atteint l’âge de quatre-vingts ans. Il faut garder à l’esprit que, de l’avis de beaucoup, le nouveau pape est choisi précisément dans les congrégations générales, car c’est dans cette phase préparatoire que sont discutés les problèmes de l’Église et les qualités qui doivent distinguer le candidat approprié. Compte tenu de la longue expérience des cardinaux de plus de quatre-vingts ans et du rôle central qu’ils jouent dans la formation des orientations des cardinaux électeurs, leur exclusion doit être considérée comme une blessure au Sacré Collège et au conclave lui-même. En outre, la modification réduirait la proportion de cardinaux non nommés par le pape François à une minorité encore plus petite au moment de la discussion.

Le document modifierait également radicalement les procédures et l’organisation des congrégations générales, en éliminant les séances plénières (au cours desquelles tous les cardinaux se réunissent) et en établissant de petits groupes de travail avec un responsable dirigeant les discussions, à l’instar de ce qui s’est produit lors de l’assemblée synodale d’octobre dernier.

On dit que le pape François, bien que déterminé à réformer le conclave papal dans un style plus « synodal », n’a pas encore prononcé un « oui » définitif au document qui, s’il est promulgué, rencontrera certainement une résistance considérable de la part des membres du Sacré Collège. (RemnantNewspaper.com) »

Depuis cette révélation, il y a beaucoup de discussions sur les réseaux vaticanistes de cette réforme du conclave.

Çà rejoint encore les révélations du regretté Serge Monast dans le « complot … contre la chrétienté »:

« … même si cette élection frauduleuse d’un Pape sera réalisée avec les apparences de la Tradition de l’Église, elle n’en sera pas moins inacceptable. Pourquoi? Parce qu’habituellement, un Pape est élu par les Cardinaux et non par les Évêques. De plus, cette élection se fera sur la base de (l’Élection Démocratique), et non sous l’inspiration de l’Esprit-Saint. Mais cette élection biaisée sera présentée aux différentes Églises Chrétiennes à travers le monde comme élection démocratique; quelque chose de nouvellement instauré comme processus légitime dans la nouvelle tradition de la Nouvelle Église du futur.) … »

C’est exactement ce que Bergoglio veut présenter avec un futur conclave basé sur le voie synodale.

Juste le fait d’annoncer cette révolution, qui est évidement frauduleuse, qui donnerait un pape non valide, confirme en fait que Benoît XVI était le dernier pape valide et que Bergoglio est Pierre II le romain.

Donc, cette préparation en cachette est un signe évident de la fin.

« … la  synagogue de Satan, l’ancienne église conciliaire et synodale, dont les ministres corrompus sont animés par l’intérêt personnel, par la soif de pouvoir et de plaisirs, aveuglés par l’orgueil qui les fait se mettre devant la Majesté de Dieu et le salut des âmes : une secte de traîtres et de renégats qui ne reconnaissent aucun principe immuable mais qui se nourrissent de provisoires, de contradictions, d’incompréhensions, de tromperies, de mensonges et de chantages ignobles. Cette anti-Église ne peut être qu’intrinsèquement révolutionnaire, parce que sa subversion de l’ordre divin n’accepte rien d’éternel a priori, et même l’abhorre précisément parce qu’elle est immuable, parce qu’elle ne peut y toucher, puisqu’il n’y a rien à ajouter à la perfection ou à l’amélioration. modifier.

La  révolution permanente, symbole de la structure ecclésiastique actuelle, a séduit de nombreux fidèles et clercs par l’attrait de la mentalité libérale et de la pensée hégélienne, faisant croire à de nombreux modérés que leur vie tranquille momentanée est suffisante pour garantir une impossible coexistence entre Tradition et Révolution, pour le seul fait qu’ils sont autorisés à célébrer l’ancienne messe en échange d’accepter le compromis et de ne pas remettre en question Vatican II, comme les Juifs avec les prêtres de Baal à l’époque du prophète Élie.

Carlo Maria Viganò, archevêque
4 novembre 2023
En la fête de saint Charles Borromée,
évêque de Milan et confesseur »

« Nous devons faire face à une réalité douloureuse et terrible : Bergoglio se présente comme hostile aux catholiques fidèles au Magistère – qu’il ridiculise, condamne et marginalise – et complice de ceux qui contredisent ouvertement ce que l’Église enseigne immuablement depuis deux mille ans. Non seulement cela : il veut amener les bons catholiques – et avec eux les quelques évêques et prêtres qui professent encore la foi dans son intégrité – à se séparer de la secte qui a infiltré et envahi l’Église, les provoquant avec une arrogance effrontée pour qu’ils se sentent scandalisé et offensé.

L’ inclusivité qui inspire Bergoglio dans son œuvre de démolition est exactement le contraire de ce que nous a enseigné Notre Seigneur, qui dans la parabole du banquet de noces (Mt 22, 1-14) ne laisse aucun doute sur la nécessité de porter la robe de la Grâce pour être admis. Dans ce passage évangélique, le seigneur qui trouve un invité sans vêtements le fait attacher par ses serviteurs et le jeter dans les ténèbres extérieures, où il y a des pleurs et des grincements de dents (ibid., 13).

Les paroles du Sauveur « Vous serez mes amis si vous faites ce que je vous commande » (Jn 15, 14) ou encore « Ce n’est pas celui qui dit « Seigneur, Seigneur », mais celui qui fait la volonté de mon Père qui entrera dans le Royaume des Cieux » (Mt 7, 21) ne donnent pas lieu à des malentendus, et le fait qu’un « pape » ose les contredire est d’une gravité sans précédent qui ne peut en aucun cas être tolérée, pour le bien des âmes et pour aujourd’hui, nous nous trouvons face au paradoxe d’un « maître » autoproclamé de l’Église – parce que Bergoglio agit comme tel – qui chasse du banquet ceux qui portent la robe de mariée et admet tous les autres sans discernement. Mais si « l’Église » de Bergoglio ne veut pas de catholiques, comment peut-elle se dire « catholique » ? Si ceux qui exercent leur autorité de « pape » le font contre l’autorité du Christ, comment peuvent-ils être considérés comme son vicaire ?

À la National Gallery de Londres se trouve un splendide tableau de Rembrandt, réalisé en 1636 : Le Festin de Belshazzar , qui reprend l’histoire du prophète Daniel (Dan 5). Le roi babylonien Belshazzar, en plein siège par le roi de Perse Cyrus le Grand, avait organisé un somptueux banquet à la cour, utilisant les vases sacrés du Temple volés comme butin par Nabuchodonosor pour des libations. A cette occasion, devant tous les invités et dignitaires, une main apparut et écrivit des mots incompréhensibles sur le mur de la salle royale, devant le chandelier (Dan 5, 5). C’est Daniel qui interpréta ces sombres paroles, Mane, Thecel, Phares (Dan 5, 25) :

Mane : Dieu a compté votre royaume et y a mis fin. Thecel : Vous avez été pesé dans la balance et trouvé léger. Phares : votre royaume est divisé et donné aux Mèdes et aux Perses (Dan 5, 26-28).

Face à la contemplation de la passio Ecclesiæ de la part de Bergoglio et de ses complices, nous pouvons espérer et prier pour que ceux qui n’ont pas cru face à l’action silencieuse du Bien puissent se convertir par l’évidence troublante de ce qui s’y oppose. Avant qu’il ne soit trop tard.

Carlo Maria Viganò, archevêque ou
9 Novembre 2023
Dans la dédicace de la basilique des Saints. Sauveur »

05 novembre

LE SYNODE PARTIE I

Nous avons eu droit à une conclusion ambiguë de cette partie du synode, comme son maître sait si bien le faire.

Aucune résolution.

Que des concepts qui doivent être retournés vers le peuple pour son consentement.

Il faut comprendre la méthode Bergoglio.

Son plan de diviser la dernière session pour une partie en 2023, et se donner 2024 pour faire progresser ses réformes chez les fidèles était prévisible.

Comme le confirme Michael Matt (The Remnant) dans la conférence de presse donnée aujourd’hui par le groupe qui s’est réuni à Rome pour contrer le synode (Jeanne Smitts, lifesitenews, The Remnant, et autres…):

«« Le plan est d’utiliser le processus synodal pour convertir le monde catholique au cours des 12 prochains mois afin qu’il accepte des changements massifs », a-t-il poursuivi.
« Pourquoi? Parce que vaincre 2000 ans de théologie morale catholique basée sur la Bible va prendre du temps.» (lifesitenews.com)

Caïphe Bergoglio, ne pouvant condamner l’Église dans sa Passion, la renvoie donc devant Pilate, qui demandera à la foule de choisir entre Jésus-L’Église-La Tradition et Barabas-L’église conciliaire.

On connaît tous la réponse.

Car les deux témoins de l’Apocalypse doivent mourir afin de ressusciter.

Pour contrer le modernisme, Mgr Schneider a publié un nouveau catéchisme la semaine dernière pour y inclure les erreurs du modernisme.

Donc, les évêques ont le pouvoir de le faire.

Nous comprenons maintenant pourquoi Bergoglio veut inverser la pyramide et donner le pouvoir aux évêques avec son synode.

La condamnation de l’Église passera donc sur le dos de la foule catholique pour que le clergé conciliaire puisse s’en laver les mains à la manière du sanhédrin au temps de Jésus, d’où la dernière phase de consultation du synode 2024.

Pas sûr qu’on se rende en octobre 2024 par contre, car si guerre il y a, il y aura un retour vers l’Église, par la peur, une résurrection des témoins pour la dernière chance de conversion.

C’est à voir.

Il n’y a pas beaucoup de temps… et les deux témoins, c’est à dire la Tradition, n’a pas encore été condamnée.

Fatima est accomplie avec l’apostasie générale et le clergé humaniste qui conduit les âmes vers la vision de l’enfer que les enfants ont eu.

La Salette est accomplie.

Le fils de la perdition s’est installé sur le trône de Saint-Pierre : « Rome perdra la foi et deviendra le siège de l’Antéchrist ».

« « C’est le synode des ténèbres. Que veut vraiment le pape ? Les déclarations de Mgr Mutsaerts…

Alors que le rapport de synthèse de la première session du synode sur la synodalité est présenté au Vatican, l’évêque néerlandais Rob Mutsaerts, qui avait décidé il y a un an de quitter l’assemblée en déclarant : « Dieu est hors de ce processus synodal ignoble », prend la parole…

Aujourd’hui, les anges pleurent en entendant le langage ecclésiastique utilisé par le synode : vide de sens, hypocrite, pseudo-sociologique, presque psychologique… » (benoit-et-moi.fr)

« Le Cardinal Müller affirme que le Synode sur la synodalité est utilisé par certains pour préparer l’Eglise à accepter de faux enseignements
Le préfet émérite de la Congrégation pour la doctrine de la foi évalue la première phase de la réunion synodale au Vatican. » (benoit-et-moi.fr)

« le cardinal Jean-Claude Hollerich, rapporteur général du synode, lors d’une conférence de presse le 28 octobre.

« Cette liberté et cette ouverture changeront l’Église, et je suis sûr que l’Église trouvera des réponses, peut-être pas la réponse exacte que tel ou tel groupe souhaite, mais des réponses qui permettront à la plupart des gens de se sentir bien et écoutés ».

« Le processus commence, commence vraiment, à la fin du synode. Ainsi, l’année prochaine, j’espère qu’il y aura un document qui sera un vrai document, où certaines questions théologiques de la synodalité, et ainsi de suite seront également prises en compte. Mais même le document final ne sera qu’une « étape » d’une « Église en mouvement ». Et je pense que c’est ce qui est important : nous sommes en mouvement. »

« il y a des sujets qui sont importants pour certaines personnes et qui devraient continuer à l’être, même s’ils n’ont pas été mentionnés dans le rapport de synthèse du 28 octobre. Et je pense qu’une Église synodale essaiera plus facilement de parler de ces sujets que l’Église telle qu’elle était structurée dans le passé (..) Cela ne veut pas dire qu’une Église synodale va tout accueillir ».

« Il était clair pour moi que certains sujets susciteraient des résistances. Je suis très étonné que tant de personnes aient voté en faveur du projet. Cela signifie que la résistance n’était pas aussi grande qu’on le pensait auparavant. Alors oui, je suis heureux de ce résultat. Des résultats similaires, lors d’un vote parlementaire, seraient considérés comme très positifs ».

« Je pense que les gens repartiront demain ou après-demain avec le cœur plein d’espoir, avec beaucoup d’idées, et je me réjouis de les revoir l’année prochaine ».

La Tradition veille pour encore un peu de temps, grâce à la FSSPX et des combattants des derniers temps tels Mgr Vigano et Scheider, les cardinaux Burke, Sarah et autres.

La FSSPX fut réellement créé le 13 octobre 1969 lorsque Mgr Lefebvre accepte d’enseigner une poignée de séminaristes pour continuer la Tradition.

Quand on sait que la fête des Saints, avant d’être transférée au 1er novembre, était située au 13 mai, voilà deux concordances reliées à Fatima, l’apparition emblématique de la fin des temps avec la vision de l’enfer, le troisième secret concernant la grande apostasie dans l’Église (donc le concile) et hors de l’Église.

L’Apocalypse et les dernières apparitions valides de la Sainte-Vierge se dévoilent ainsi.

Octobre 2023

21 octobre

Gog et Magog

Sans surprise la situation se corse, évidement.

Les américains quittent Israël et le gouvernement des États-Unis demande à ses citoyens de ne plus voyager hors du pays si possible.

De plus, l’embargo sur le pétrole vénézuélien de la part des américains a été levé pour les prochains six mois, en prévision d’un autre embargo, cette fois des pays arabes producteurs.

On ne peut se passer du pétrole pour faire la guerre.

Les deux axes, Gog et Magog, sont en places.

Israël a tout l’occident derrière lui.

L’Iran déclare qu’elle attaquera Israël si ce dernier y va de son attaque terrestre (attaque qui a reçu le feu vert de Biden cette semaine).

L’Iran avec la guerre en Ukraine est lié à la Russie, qui est lié à la Chine.

La Russie a appuyé le Hamas et Israël jure vengeance contre cette dernière, qui depuis des années est présente en Syrie.

C’est bien le rassemblement prophétisé pour Gog et Magog dans l’Apocalypse.

Malgré le fait que les arabes sunnites semblent appuyés les chiites présent en Palestine et au Liban, nous savons grâce à la prophétie politique du « Livre Maudit » de Jean XXIII que cette animosité entre les deux factions musulmanes achèvent et qu’il n’y aura qu’un vainqueur côté arabe.

« Entre les guerres, quelqu'un parlera d'amour. Mais même vaincu, faux, démasqué, le livre aura toujours quelques adeptes, jusqu'à la fin des temps. »

Entre les guerres Bergoglio parle d'amour, de paix, de fraternité avec l'Islam. Nous y sommes.

De plus, nous prévoyons depuis longtemps que la prophétie « Grand Éclair » à l’Orient se matérialiserait en Iran… et la Terre friserait le massacre, avant l’intervention du Père via la « guerre de la nature », le Jugement par le feu.

2024 est une année d’élections aux États-Unis.

Il y a sûrement une relation avec la prophétie.

Du côté du Vatican, le cardinal Parolin a de plus pris la parole au synode et a décidé de centrer sa vison de la synodalité sur la doctrine catholique.

C’est une direction inattendue pour les disciples de Bergoglio.

N’oublions pas que nous soupçonnons Parolin d’être le dernier acteur de la prophétie concernant François, celui qui serait assassiné, qui serait
Pierre II le romain de la prophétie des papes de Saint-Malachie, qui conduirait le troupeau durant les dernières tribulations.

Et, dans tout ce chaos...

Quel espoir pour les apostasiés qui ne veulent la paix que pour retourner dans leur matérialisme et humanisme débridé? Aucun, car c’est la fin des temps et ils l’ignorent.

L’Espérance n’est que pour le petit reste.

Car il voit clair.

Il connaît les écritures et donc le jeu de l’ennemi.

Et il sait que les temps que nous vivons mènent au Salut promis par NSJC.

Dieu utilise le mal pour en arriver au bien.

Les prochains mois vont être difficiles pour les non croyants.

15 octobre

FATIMA ET ND DU ROSAIRE   

Le 13 octobre 1917, pendant le spectacle du miracle du Soleil, un tableau en trois actes apparu aux enfants: ils ont vu Notre-Dame du Rosaire qui s’éleva au firmament à côté du soleil, joints par Saint-Joseph et l’Enfant Jésus qui bénissaient le monde, puis Marie devint Notre-dame des Douleurs, joint par Jésus qui bénissait à son tour le monde, puis Marie devient Notre-Dame du Carmel, et demande la consécration à son cœur immaculée.

Trois dates importantes pour cette fin des temps :  16 juillet, 15 septembre, 7 octobre.

Nous écrivions lors de cette consécration de Bergoglio que cette dernière était illusoire aussi parce que y sont absents les fondamentaux demandés expressément par Notre-Dame du Rosaire :

– la récitation quotidienne du chapelet, seule solution pour obtenir la paix ;

– la dévotion au Cœur Immaculé de Marie des premiers samedis du mois ;

– le combat contre les péchés et surtout les péchés les plus graves (cesser d’offenser davantage Dieu répète-elle).

Ainsi le 16 juillet 2021, en la fête de ND du Carmel, Bergoglio s’attaqua à la Tradition, aux deux témoins de l’Apocalypse, les laïcs et le clergé fidèles à la Loi et aux Prophètes en cette fin des temps, avec « Traditionis Custodes » contre la messe traditionnelle.

En cette fête de Notre Dame du Rosaire le 7 octobre 2023, s’ouvre le 7ème sceau, la prophétie #11 de Jean XXIII concernant l’Église, avec l’attaque suicidaire du Hamas contre Israël, le prélude à Armagueddon dans l’Apocalypse.

« La longue paix fera oublier les erreurs passées. Elle fera oublier le grand frère crucifié renversé. Il y aura la guerre dans la Mère, et les troupeaux se disperseront. Alors quelqu'un criera sang et sera écouté. Malheur à celui qui aura crié, le premier sang à couler sera le sien.
S'affronteront croissant de lune, étoile et croix. Quelqu'un brandira la croix noire. Des vallées du Prince viendront les chevaliers aveugles.
Derrière eux, les corbeaux de la faim, de la famine, de la peste.
Où croyez-vous fuir, maintenant que vous avez détruit les Églises et tué le dernier Père ?
Attendez le signe de Jean. L'agneau est prêt. Signez-vous sept fois avec une main fatiguée et attendez. La lumière vient encore de l'Occident.»

La longue paix a fait oublier les deux grandes guerres. Elle a fait oublier le grand frère crucifié renversé (c’est à dire Saint-Pierre et la suite des papes, soit la grande apostasie constatée aujourd’hui).

Il y a guerre dans la Mère, c’est à dire l’Église, avec le schisme entre l’Église traditionnelle et conciliaire, en plein synode des synodes, qui en est la révélation.

Le Hamas, dans un geste incompréhensible, a crié sang, vengeance, et le sang palestinien et le premier à couler.

Cet embryon de guerre va s’envenimer.

Deux portes avions américains dans la Méditéranée, et l’Iran qui affirme que si Israël y va d’une attaque terrestre, qu’il interviendra.

Alors s’affronteront effectivement les trois grandes religions.

Nous sommes dans une période déterminante.

Les prophéties politiques et de l’Église de Jean XXIII entrent dans une phase déterminante, critique pour les âmes.

Nous connaissons l’unique remède : le Rosaire et la dévotion au cœur immaculée de Marie.

Mais l’humanisme de Babylone Nations-Unies et Babylone Vatican aveuglent.

Seul le petit reste a la sagesse pour voir et agir dans son refuge personnel par la prière, la Foi, l’Espérance et la Charité.

Le Temps est proche.

3 octobre

L'AVANT SYNODE

Une bombe eschatologique avant le synode.

C'était à prévoir.

Les cardinaux conservateurs gardiens de la tradition ont demandé des éclaircissements sur les sujets à venir au synode et à l'action du Saint-Esprit version Bergoglio.

Deux clans sont formés.

Nous le savions.

Ils n'ont pas obtenus les réponses claires, tout en recevant un texte tronqué, malhonnête, indigne du Vatican.

Ils demandaient à la lumière de l'Évangile un oui ou un non, et ils ont obtenus l'ambiguïté comme Bergoglio sait le faire pour laisser les portes ouvertes à toutes les interprétations.

« L’eau a commencé à bouillir.

L’une des caractéristiques des temps post-chrétiens que nous vivons au sein de l’Église est l’inversion. Nous savons que le diable, dans son envie, cherche à imiter Dieu et le fait aux antipodes, c’est-à-dire en inversant ce qu’Il fait dans la sagesse (Proverbes, 3,19). Les exemples se multiplient chaque semaine. Voyons quelques cas des deux dernières semaines :

1- Dans une interview, la médiatique cloîtrée dominicaine Lucia Caram, amie du pape François, déclare ouvertement qu’il n’y a pas de péché dans les relations sexuelles avec des personnes du même sexe, tant qu’elles sont faites dans l’amour. Elle affirme également que le pape François vient de nommer un homosexuel au poste de préfet d’un dicastère très important du Vatican.

2- Le président de la Conférence épiscopale allemande, Mgr Bätzing, a demandé au Vatican de revoir la mesure qui empêche l’ordination de prêtres homosexuels qui pratiquent secrètement leur sexualité. En d’autres termes, il a demandé que les prêtres homosexuels puissent exercer librement leur sexualité.

Il y a quinze ans, personne n’aurait pensé que nous vivrions une époque aussi mouvementée. Ce n’est plus seulement le mariage des prêtres qui est réclamé, mais la libre sexualité des prêtres, et de tous, quoi qu’il arrive. La gravité des propos tenus par ces personnages louches, et pour lesquels ils devront tôt ou tard rendre des comptes, est difficilement mesurable. Par exemple, quel est le message adressé aux bons jeunes catholiques qui vivent dans la continence et la chasteté dans leurs fréquentations, comme le veut la doctrine de l’Église ? Que ce sont de sacrés imbéciles qui gaspillent le temps de la jeunesse fleurie dans des béatitudes complètement dépassées : s’abstenir de relations sexuelles hétérosexuelles avec le petit ami ou la petite amie que l’on aime ! Mais y a-t-il quelque chose de plus saint et de plus beau que cela ? Quels idiots !

Prenons un dernier exemple : le pape François a assisté à la chapelle funéraire où reposait la dépouille de Giorgio Napolitano, ancien président de l’Italie, communiste et franc-maçon. Il n’a pas donné l’absolution, ni béni le corps, ni fait aucun signe chrétien. Le chef de l’Église et gardien de la foi nie le témoignage public de la foi en la vie future et prive l’âme d’un malheureux de l’aide que, même après la mort, il pourrait lui apporter. François n’est qu’un personnage de plus dans le monde, qui a la particularité de porter du blanc, mais qui n’est pas très différent de n’importe quel autre dirigeant mondial.

Oui, ce sont des inversions qui crient haut et fort que l’eau a commencé à bouillir.

Mais il y a une inversion plus profonde et plus grave, une inversion qui échappe à la morale, une inversion théologique qui nous dessine une nouvelle Église. Une manière simple de l’expliquer est l’article que le père Antonio Spadaro, jésuite, a publié le 20 août dans un journal italien [ndt: nous en avons parlé à plusieurs reprises, voir en particulier: Le blasphème du père Spadaro]. Il y commente l’épisode évangélique de Matthieu 7, 24-30 :

Et voici qu’une femme cananéenne, venue de cette région, s’écria : Seigneur, Fils de David, aie pitié de moi, car ma fille est tourmentée par un démon. Mais Jésus ne lui répondit pas un mot. Ses disciples s’approchèrent et le supplièrent : Renvoie-la, car elle crie après nous. Mais il répondit : Je ne suis envoyé qu’aux brebis perdues de la maison d’Israël. Elle s’approcha et se prosterna devant lui, en disant : « Seigneur, aide-moi ! Il répondit : Il n’est pas bon de prendre le pain des enfants et de le jeter aux chiens. Elle dit : Oui, Seigneur ; mais les chiens aussi mangent les miettes qui tombent de la table de leurs maîtres. Jésus répondit : Femme, ta foi est grande ; qu’il te soit fait comme tu veux. Et sa fille fut guérie à l’heure même.

Le jésuite Spadaro écrit:

Jésus a été insensible. La dureté du Maître est inébranlable. […] La miséricorde n’est pas pour elle. Elle est exclue. On ne discute pas. [Jésus] répond à la pauvre femme de manière moqueuse et irrespectueuse. Il n’est pas bon de prendre le pain des enfants et de le jeter aux petits chiens. Jésus semble aveuglé par le nationalisme et le rigorisme théologique.

La femme rétorque alors que même les petits chiens mangent les miettes qui tombent de la table de leurs maîtres. Le commentateur Spadaro poursuit :

Quelques mots, mais bien dits, comme pour bousculer la rigidité de Jésus, le conformer, le « convertir » à soi. Et Jésus apparaît aussi guéri, et à la fin il se montre libéré de la rigidité des éléments théologiques, politiques et culturels dominants de son temps.

En somme, selon le Père Spadaro, Jésus a péché par rigidité, mais il s’est ensuite converti et a été guéri. Jésus était donc un pécheur comme tous les hommes. Une hérésie flagrante et impie.

Après cette publication, le pape François a récompensé son frère jésuite en le nommant sous-secrétaire du dicastère pour la culture et l’éducation.

Mais la gravité du fait, à mon sens et comme j’en ai discuté avec des amis plus savants que moi, ne réside pas tant dans l’hérésie déversée que dans le fait que Spadaro suppose que le Seigneur avait besoin d’un autre, en l’occurrence, « un autre » qui n’était même pas juif, pour le convertir. C’est-à-dire que la conversion lui est venue par le dialogue et l’écoute de l’ « autre », de tout « autre », même de l’ « autre » le plus éloigné de « ma vérité ». Jésus était malade de dureté et de rigidité, et c’est la parole d’une païenne qui l’a guéri. La maladie n’était donc pas dans la païenne, mais dans le Christ lui-même.

N’est-ce pas ce que nous avons vu tout au long du pontificat de François ? C’est l’Église qui est malade, ce sont les catholiques, chargés de rigidités théologiques et de visages vinaigrés ; « l’Église est pécheresse », a-t-il dit lors de son voyage de retour de Mongolie ; les prêtres sont cruels et méchants; les catholiques qui prient le rosaire sont des pélagiens, les jeunes qui assistent à la messe traditionnelle ont des problèmes psychologiques, les religieuses sont de vieilles filles et ils sont tous une bande de rigides.

Et le problème, c’est qu’ils ne dialoguent pas. Ils s’accrochent à une Église qui a accumulé au fil des siècles une série de mandats, de préceptes et d’assurances qui ne sont rien d’autre qu’une sédimentation dont il faut se débarrasser.

Et pour guérir de cette maladie, l’Église a besoin, comme Jésus, de dialoguer avec l’ « autre », et plus il est « autre », mieux c’est, car plus grand sera le remède qu’il pourra apporter.

D’où la nécessité du dialogue et de l’écoute, qui ne sont pas des activités anodines, mais des moyens indispensables à la guérison ou, en d’autres termes, à la conversion. Car la vérité, en réalité, ne réside pas dans les formules et les préceptes stagnants de l’Église catholique, mais dans la fraîcheur des vérités qui résident dans l’ « autre », qui devient la source de la révélation.

Par conséquent, l’ « autre » n’est plus l’ennemi de l’Église, ses ennemis, ce sont les autres.

Le document préparatoire au synode le dit au n. 21 :

21. Il existe aussi l’acteur “ de plus ”, l’antagoniste, qui apporte sur la scène la division diabolique entre les trois autres. Face à la perspective perturbatrice de la croix, certains disciples s’en vont et des foules changent d’humeur. Le piège qui divise – et qui entrave donc un cheminement commun – se manifeste aussi bien sous les formes du rigorisme religieuse, de l’injonction morale, qui se présente comme plus exigeante que celle de Jésus, ou sous celles de la séduction d’une sagesse politique mondaine qui se veut plus efficace qu’un discernement des esprits.

En d’autres termes, les « antagonistes », les « démons » de la nouvelle Église, c’est nous, les catholiques fidèles à la doctrine des Apôtres et enseignée par nos pères. C’est nous qui sommes venus diviser et entraver le dialogue entre l’Église et le monde. Nous sommes des démons, et en tant que tels, nous devons être persécutés.

On comprend alors l’obsession « franciscaine » pour le synode et la synodalité. C’est le moyen d’officialiser l’écoute de « l’autre », d’en faire une révélation et de changer ainsi définitivement la doctrine de l’Église.

Rappelons un fait oublié : le 15 septembre 2018, François a promulgué le motu proprio Episcopalis communio par lequel il établit que le pape ne peut plus écrire d’exhortation apostolique post-synodale, mais simplement confirmer les conclusions du synode, qui deviendront automatiquement magistère. Ce que les post-chrétiens écoutant le synode qui commence aujourd’hui à Rome (évêques, prêtres, religieuses, laïcs, catholiques, païens et athées) et sur lequel planera l’Esprit Saint, fera l’année prochaine partie du magistère de l’Église. Ainsi, l’Église sera guérie de ses rigidités comme l’a été son fondateur.

C’est la grande inversion. La vérité n’est plus dans l’Église du Christ, elle est en dehors d’elle. Elle ne doit plus être celle qui enseigne, mais celle qui se laisse enseigner. Elle n’est plus celle qui guérit, mais celle qui a besoin d’être guérie. L’eau est bel et bien en train de bouillir.

On connaît l’histoire d’une grenouille jetée dans une marmite remplie d’eau qui se réchauffe lentement. L’augmentation progressive de la température étant très lente, la grenouille n’a pas pu la percevoir pendant la majeure partie du processus. Lorsqu’elle a réalisé le danger et vu que l’eau était en train de bouillir, il était trop tard. Si la grenouille était entrée dans l’eau à des températures élevées, elle aurait sauté hors de l’eau lorsqu’elle aurait perçu le danger d’y rester et aurait échappé à la mort.

Dans le même ordre d’idées, le père Santiago Martín, dans son commentaire de la semaine dernière, parle du cancer qui s’est finalement révélé. Il explique qu’il a commencé à se développer avec le modernisme, qu’il s’est aggravé avec la théologie libérale et qu’il s’est répandu dans l’Église pendant le Concile. Les papes conservateurs, comme Jean-Paul II et Benoît XVI, ont vu le danger et l’ont combattu, mais, de manière incompréhensible, ils ont promu à de hautes fonctions des personnes qui défendaient de telles doctrines. Aujourd’hui, le désordre est devenu évident. Nous avons enfin compris que l’Église est gravement malade, probablement atteinte d’un cancer en phase terminale. Il ne reste plus qu’à attendre que les anticorps agissent, en espérant qu’ils existent, et que Dieu nous sauve.

(…)

Ce n’est plus seulement une question d’entêtement en latin, ce n’est plus une question de désobéissance. Il en va de la survie même de l’Église. » (benoit-et-moi.fr)


« C’est une véritable bombe qui vient d’être lancée à deux jours de l’ouverture des travaux, Riccardo Cascioli titre justement dans son éditorial « Une rafale de Dubia s’abat sur le Pape ». Sept ans après les fameux « Dubia des 4 cardinaux », formulés après la parution d’Amoris Laetitia et qui n’ont jamais reçu de réponse, cinq cardinaux (*), venant des cinq continents (il devait y en avoir six, mais le cardinal Pell, initiateur du projet, est mort subitement en janvier dernier) ont écrit au Pape le 10 juillet dernier, et lui ont posé des questions précises sur tous les sujets brûlants dont doit débattre le Synode imminent (synodalité, immuabilité de la doctrine, bénédictions des partenariats homo, ordination des femmes). Ils ont reçu une réponse dès le lendemain (on imagine la colère de François… mais la lettre, adressée aux seuls cardinaux Burke et Brandmüller, n’a pour le moments pas été publiée) aussi vague que dilatoire, qui en réalité ne répond à rien.

Selon Sandro Magister:

Dès le 11 juillet, le pape leur avait répondu par une lettre qui parvint aux destinataires le 13.

Seulement, cette réponse a semblé aux cinq cardinaux aussi redondante (sept feuillets dans l’original espagnol) que vague et évasive, loin de résoudre les cinq « dubia ».

Bien que signée par François, la lettre dénote le style d’écriture de son théologien de confiance, l’Argentin Victor Manuel Fernández, sur le point d’assumer le rôle de nouveau préfet du dicastère pour la doctrine de la foi.

Les cinq cardinaux ont donc envoyé une seconde lettre, très précise, demandant une réponse par oui ou par non, qui à ce jour, presque deux mois après, n’a pas reçu de réponse. »

https://www.benoit-et-moi.fr/2020/2023/10/02/synode-les-nouveaux-dubia/

« Pour parer le coup de la publication des Dubia des cinq cardinaux, le Préfet du Dicastère pour la Doctrine de la Foi et la Communication du Vatican ont monté une opération pour faire croire que le Pape a répondu et qu’il n’y a plus rien à dire.

Si vous n’avez pas de raisons, vous essayez la ruse et la tromperie. C’est la seule façon d’expliquer la démarche du nouveau Préfet du Dicastère pour la Doctrine de la Foi, le Cardinal Victor Manuel Fernández, qui a publié sur le site du Dicastère les premiers Dubia envoyés au Pape par les cinq cardinaux le 10 juillet dernier et la réponse signée par le Pape François.

Mais les questions et les réponses font partie d’un seul document qui porte la date du 25 septembre. En fait, cette date se réfère à la requête que Fernández lui-même a faite au Pape de publier les parties saillantes de sa réponse, qui date du 11 juillet.

Cela donne l’impression que le 25 septembre est bien la date de la réponse.

Un effet clairement voulu, à tel point que la date du 11 juillet n’apparaît pas au bas de la réponse du Pape. En outre, Fernandez ignore totalement la deuxième demande d’éclaircissement des cinq cardinaux, datée du 21 août, dans laquelle il est expressément indiqué que la lettre du pape du 11 juillet ne répond pas du tout à leurs questions. Et en effet, disent les cardinaux, « vos réponses n’ont pas résolu les doutes que nous avions soulevés, mais les ont plutôt approfondis ».

De plus, la lettre publiée par le Dicastère pour la Doctrine de la Foi n’est pas la lettre complète (voici le pdf de la lettre complète) [en espagnol, Jeanne Smits propose sa traduction en français sur son blog] reçue uniquement par les cardinaux Burke et Brandmüller, qui comporte également une introduction et une conclusion qui ne figurent pas dans le document proposé par le cardinal Fernandez.

Dans la partie manquante, outre l’agacement évident perçu à l’initiative des cinq cardinaux, le Pape les réprimande en affirmant qu’ « il n’est pas bon d’avoir peur » des « questions » et « interrogations » recueillies dans le processus de préparation du Synode. Comment elles ont été recueillies, nous le savons parfaitement!

En tout cas, ce qui est évident, c’est que pour parer le coup des Dubia rendus publics ce matin, un colossal travail de mystification a été mis en place au Vatican pour tromper l’opinion publique catholique et faire passer pour close une question qui est au contraire plus ouverte que jamais. Et toutes les structures vaticanes possibles ont été mobilisées à cette fin.

C’est ainsi que Vatican News titre immédiatement : » Le Pape répond aux Dubia de cinq cardinaux « , voulant donner l’impression que la réponse est celle d’aujourd’hui.

A tel point que ni dans le titre, ni dans le résumé, ni dans le corps de l’article, une seule date n’est mentionnée. Un véritable tour de passe-passe digne d’un professionnel, qui ne manque pas au sommet de la communication vaticane.

Et des sources bien informées nous disent aussi que la Secrétairerie d’État s’est arrangée pour obtenir de Canale 5 [chaîne italienne du groupe Mediaset, propriété de la famille Berlusconi, ndt] – pouvant compter sur un vaticaniste « ami » [il semblerait que ce soit un certain Fabio Marchese Ragon] – un reportage qui, dès ce soir, rendra compte de la réponse du Pape aux Dubia.

Voici donc le récit officiel que le Saint-Siège promeut : les Dubia ont déjà reçu une réponse, l’affaire est close, le Synode peut se dérouler tranquillement comme prévu.

Ce faisant, le pape François voudrait éviter définitivement de donner une réponse claire aux Dubia reformulés après sa lettre. Et ce n’est pas tout : la version du Vatican insiste seulement sur le fait qu’il y a eu une réponse, mais ce n’est pas vrai, même si l’on examine la lettre du pape, elle a un contenu problématique et inquiétant, comme l’ont souligné les cinq cardinaux.

Nous sommes donc confrontés à un nouveau mensonge colporté par les dirigeants du Saint-Siège qui, malgré leurs déclarations d’ouverture à l’Esprit Saint, semblent bien plus intéressés par la promotion de leur propre agenda. » (benoit-et-moi.fr)

Retenez cet extrait:
« Rappelons un fait oublié : le 15 septembre 2018, François a promulgué le motu proprio Episcopalis communio par lequel il établit que le pape ne peut plus écrire d’exhortation apostolique post-synodale, mais simplement confirmer les conclusions du synode, qui deviendront automatiquement magistère. »

Voilà.

Bergoglio n'a plus besoin de publier une exhortation apostolique post-synodale depuis cette date.

C'est donc dire que tout se qui sera dit dans ce synode des synodes deviendra magistère, donc en vigueur automatiquement.

Les dés sont pipés d'avance.

Septembre 2023

19 septembre

L’ESPRIT SAINT

Il a le dos large avec Bergoglio...

Comme nous pouvons le constater depuis le début du pontificat de Bergoglio, l’Esprit-Saint prend toute la place.

Il est à l’origine du synode des synodes, il conseille les fidèles qui à leur tour font part à la hiérarchie vaticanesque des « désirs » reçus.

L’Esprit-Saint est devenu synonyme de modernisme, de progression.

Alors que Jésus est devenu synonyme de dogme, de rigidité.

Un des proches de Bergoglio a exprimé dernièrement son désir de démantelé la Sainte-Trinité afin que le Christ ne prenne pas toute la place, et que l’Esprit-Saint en devienne le flambeau de la contre-église.

Il n’est donc pas surprenant que Bergoglio ne parle presque jamais du Christ et de la nécessité de convertir et de baptiser comme l’a ordonné NSJC à ses apôtres.

Il y a donc la doctrine de l’Église qui s’oppose à la doctrine de Bergoglio, inspiré du Saint-Esprit.

« Au tour du Wanderer de commenter le passage de l’interview de Tucho par Edward Pentin où il est question du charisme unique du successeur de Pierre, et de l’opposition entre la doctrine de toujours (statique, donc morte), et la « doctrine de François », dynamique donc vivante. Avec la conséquence que tout ce que prononce François est contraignant pour les catholiques, et que ne pas obéir est une attitude schismatique

Il s’avère donc désormais que nous, catholiques, sommes obligés de suivre non pas la doctrine de l’Église, mais la doctrine du pape. C’est un non-sens, une absurdité inconcevable dans la bouche de celui qui devrait être le chef théologique de l’Église. C’est une chose d’affirmer que le Magistère a son propre charisme dans la mission de garder infailliblement la foi donnée une fois pour toutes à l’Église, et c’en est une autre d’affirmer que le Pape a un charisme qui protège sa propre doctrine. » (benoit-et-moi.fr)

Ce « Saint-Esprit » de Bergoglio, vous l’aurez deviné, n’est pas le Saint-Esprit de la Trinité.

C’est l’esprit de l’imposteur, du maître de l’inversion.

Il n’est donc pas surprenant qu’on accorde toute l’attention à la base de la pyramide pour le synode.

Est-ce la tête, le berger, qui guide le troupeau, ou est-ce le troupeau qui décide où il veut aller et se perdre dans le précipice?

Le chrétien éveillé connaît la réponse… mais peu on l’esprit assez clair pour voir.

Ainsi à l’image de NSJC, l’Église va à sa mort parce qu’elle n’a plus de berger.

Nous nous retrouvons donc au synode le mois prochain.

À l’image de Jésus, l’Église sera jugée devant le « sanhédrin ».

« Le grand-prêtre interrogea l’Église de la Tradition sur ses disciples et sur sa doctrine.

L’Église lui répondit :  J’ai parlé ouvertement au monde ; j’ai toujours enseigné dans les églises et au Vatican, où tous les Chrétiens s’assemblent, et je n’ai rien dit en secret.

Pourquoi m’interroges-tu ? Demande à ceux qui m’ont entendu, ce que je leur ai dit; eux, ils savent ce que j’ai enseigné.  »

A ces mots, un des satellites qui se trouvait là, donna un soufflet à l’Église, en disant :  « Est-ce ainsi que tu réponds au grand-prêtre Bergoglio?  »
L’Église lui répondit :  « Si j’ai mal parlé, fais voir ce que j’ai dit de mal ; mais si j’ai bien parlé, pourquoi me frappes-tu ?  »

Alors Caïphe Bergoglio se leva, et venant au milieu, il interrogea l’Église, disant : « Ne réponds-tu rien à ce que ces hommes déposent contre toi ?  »

L’Église gardait le silence. Et Bergoglio lui dit :  « Je t’adjure par le Dieu vivant de nous dire si tu es l’Épouse du Christ, le Fils de Dieu ?  »

L’Église lui dit :  « Je le suis, et vous verrez l’Épouse du Fils de l’homme siéger à la droite du Tout-Puissant, et venir environné des nuées du ciel.  »

Alors Bergoglio déchira ses vêtements, en disant :  « Elle a blasphémé, qu’avons-nous encore besoin de témoins ? Vous venez d’entendre son blasphème : que vous en semble ?  » Ils répondirent :  » Elle mérite la mort. »

Ainsi, fin octobre 2024, ou même peut-être avant, nous ferons face à la mort des deux témoins de l’Apocalypse, l’Église Traditionnelle avec son clergé et ses fidèles, ainsi que la mort de l’église conciliaire, la contre-église, assimilée au mondialisme de l’Agenda 2030.

Il doit en être ainsi.

Mais l’Église ressuscitera au troisième jour, renouvelée, à temps pour le Jugement final.

Pour ceux qui trouvent que le temps est long, rappelons-nous que tout s’accélère à la mort des deux témoins : chute de Babylone, mort de la grande prostituée (église conciliaire), et mort de l’Antichrist.

Le chaos qui s’en suivra est inimaginable pour le commun des mortels.

Seuls ceux retirés dans les montagnes, à l’écart de Babylone par leur Foi et leurs prières intérieures auront la force requise pour voir l’Époux au mariage.

12 septembre

Jakin et Boaz sont les deux colonnes franc-maçonniques qui représentent la dualité, la terre et la lune, le masculin et le féminin,.. le bien et le mal.

Elles sont liées au chiffre 11, comme hier, 11 septembre, date anniversaire de l’écrasement des « deux » tours de New-York en 2001.

Le 11 est donc très important pour la kabbale, en tant que sacrifice, ou de triomphe.

Or, le 11 février 2013, Benoît XVI, qui se voit forcé de démissionner de sa charge pontificale, choisi intentionnellement cette date pour contrer ce mal forcé, car c’est la fête de Notre-Dame de Lourdes.

« Par conséquent, depuis le 11 Février 2013, le ministère papal n’est plus celui d’avant. Il est et reste le fondement de l’Église catholique; et pourtant, c’est un fondement que Benoît XVI a profondément et durablement transformé dans son pontificat d’exception (Ausnahmepontifikat), à propos duquel le sobre cardinal Sodano, réagissant avec simplicité et immédiateté après la surprenante déclaration de renoncement, profondément ému et presque saisi d’égarement, s’était exclamé que cette nouvelle avait résonné parmi les cardinaux réunis «comme un coup de tonnerre dans un ciel serein». C’était le matin de ce même jour où, dans la soirée, un éclair kilométrique avec un incroyable fracas frappa la pointe de la coupole de Saint-Pierre posée sur la tombe du Prince des Apôtres. Rarement le cosmos a accompagné de manière plus dramatique un tournant historique. Mais le matin de ce 11 Février, le doyen du Collège des cardinaux Angelo Sodano conclut sa réponse à la déclaration de Benoît XVI avec une première et tout aussi cosmique évaluation du pontificat, quand enfin il dit:
«Bien sûr, les étoiles dans le ciel continueront toujours à briller, tout comme brillera toujours au milieu de nous l’étoile de Votre pontificat». »
(Benoit-et-moi.fr)

Le chiffre de la Vierge Marie, le 13 (en référence aux apparitions de Fatima en 1917, à chaque 13 du mois pendant 6 mois), nous permet d’identifier un moment clé.

La montée sur le trône de Saint-Pierre de l’abomination de la désolation le 13 mars 2013.
Bergoglio entrera dans sa 11ème année de pontificat en 2024.

Le triomphe attendu de la mafia de St-Gaal qui l’a fait élire (raté en 2005, réussi en 2013) est la finale du synode des synodes en 2024.

À l’image de Jean XXIII qui n’a pas vu son triomphe Vatican II, il ne serait pas surprenant que le Ciel intervienne et que Bergoglio ne voit pas la fin de cette contre-église qui s’installe, de son « Vatican III ».

Avec le recul, il est temps de faire une mise au point des prophéties de l’Église concernant Benoît XVI et François.
Benoît XVI :

« Deux frères et personne ne sera le vrai Père. La Mère sera veuve.
Les frères d'Orient et d'Occident se tueront et dans l'assaut tueront leurs enfants.
Alors le saint aux pieds nus descendra du mont et, devant la tombe du va-nu-pieds, éclatera le règne béni de la Très Sainte Vierge.
Écoutez ses paroles.
Marie Très Sainte, fille et mère de Dieu, maîtresse du temps futur, bats le rappel de tes fils dans les campagnes, pour qu'ils abattent les deux Babylone.
Et que la Mère soit Une, comme toi tu es unique.
La terre détruira le ciment et de terre sera, Reine, ta nouvelle Église. Et sur la terre de blé, pour la faim de tes peuples, fleur sur son nouvel autel. Amen. »

Avec la démission de Benoît XVI, nous avons bien eu deux frères ou deux papes en même temps, un légitime, l’autre l’imposteur… pour ceux qui peuvent voir.

Mais la Mère, l’Église, s’est retrouvée veuve.

Nous avions là le début de l’ère du destructeur de l’Église prophétisé par Anne Catherine Emmerich.

Ce n’était pas évident, le soir du 13 mars 2013, lorsque tous les médias décrivait ce pape comme la copie moderne de Saint-François D’Assise, le défendeur des pauvres, qui comme eux refusera les appartements pontificaux et tout ce qui est lié au décorum de la fonction papale.

« Bonsoir » a été le premier mot prononcé, et « prier pour moi ».

Rien n’annonçait pour les simples et pauvres catholiques ce qui s’en venait pour les prochaines années.

Au décès de Benoît XVI le 31 décembre 2022, nous l’avons vu dans les analyses, les vannes ont été relâchées. Plus rien ne peut arrêter la mise en place de la contre-église.

On efface l’héritage de Benoît XVI, héritage d’ailleurs qui est complètement inversé avec les nouvelles nominations dans les postes clés de la protection de la Foi, et du culte divin.

Nous nous attendions à un geste éclatant de la Vierge Marie lors des funérailles de Benoît XVI en accord avec la prophétie.

Il n’y a rien eu.

Mais, en y regardant de plus près…

Et si cela avait eu lieu en ce 11 février 2013…

Ce coup de tonnerre chez les cardinaux énoncé par le Cardinal Sodano ci-haut, reflété par l’éclair sur le dôme du Vatican (voir photo officielle).

Noté qu’il y a qu’une photo de l’éclair qui est parue dans les médias, mais ce soir là, c’était un déchaînement de coups tonnerre et d’éclairs qui avait lieu sur le Vatican.

«… devant la tombe du va-nu-pieds, éclatera le règne béni de la Très Sainte Vierge.
Écoutez ses paroles. »

Le va-nu-pieds et le Saint aux pieds nus, Jean-Paul II et Benoît XVI liés (voir analyses précédentes et de l’Église) ce soir là débute le règne béni de la Très Sainte Vierge.

Notez dans le calendrier de la fin des temps (voir analyses précédentes) que ce règne débute tout d’abord par la chute de Babylone et la mort de l’Antéchrist.

Avec le recul, quand a-t-on eu le signe du début de la fin pour l’Église et pour cette société identifié au « wokisme »?

En mars 2013.

Et qu’est-ce que la prophétie nous annonce en mentionnant « écoutez ses paroles »?

La destruction du ciment, de tout ce qui est la vérité de ce bas monde, ancré solidement dans les esprits, pour être éventuellement remplacé par la simplicité de la terre, tel que créée par le Père.

C’est une phase, la dernière phase de la fin des temps.

Et cette phase est sur le point de se terminer.

La prophétie concernant François spécifie bien :

« Ton règne sera grand et bref. Père, il sera bref mais il te mènera loin, dans la lointaine terre où tu es né et où tu seras enseveli.
A Rome ils ne voudront pas te donner. »

On a toujours pensé dans les analyses que cela concernant le décès de Bergoglio (qui a exprimé le désir d’être inhumé à Rome et non dans sa terre natale en Argentine).

Alors…?

Or…

Règne grand : destruction de l’Église, instauration de la contre-église.

Règne bref : 11 ans, le triomphe de la mafia maçonnique.

2024 : voyage en Argentine possible pour Bergoglio, qui ne verrait probablement pas la fin de son synode, et décéderait lors de ce voyage en terre natale.

À Rome ils ne voudront pas te donner :

Évidement!

C’est le grand architecte désigné par la mafia de St-Gaal pour mener à terme le monstrueux synode des synodes en octobre 2024.

Notez selon la prophétie, qu’à sa mort « Mikail et Jean descendront sur terre. »

C’est le début officiel du 7ème sceau de l’Apocalypse (voir l’entrée dans la période du 7ème sceau, analyse du 12 juillet 2023).

5 septembre

JEAN XXIV

Dans l’avion au retour de Mongolie, Bergoglio est encore intervenu sur son souhait de voir Jean XXIV comme son successeur, afin de terminer le travail de Vatican II… Une petite blague?

Pas nécessairement puisqu’il l’avait fait en octobre 2021 (voir analyses précédentes: « La presse nous informe qu’il y a quelques jours, le pape François a répondu en ces termes à l’invitation de l’évêque de Raguse à visiter son diocèse en 2025 : « Le Saint-Père a souri, hoché la tête, et a dit en plaisantant qu’en 2025, ce sera Jean XXIV qui fera cette visite ». »
(benoit-et-moi.fr))

En prononçant volontairement le nom de Jean XXIV, Bergoglio confirme ainsi qu’un décompte a bel et bien commencé avec Jean XXIII et Vatican II, et qu’il s’achèvera avec lui et son infâme synode.

Et il a ajouté ce fait très important en précisant qu’il faut faire la différence entre idéologies et la doctrine.

C’est très malin. Surtout dans le contexte actuel avec la Tradition.

Il fait ainsi comprendre que la doctrine traditionnelle, le retour en arrière, ce qu’a défendu bec et ongles Benoît XVI, est de l’idéologie.

«Souvent, des idéologies sont introduites dans l’Église. Elles la coupent de la vie qui vient de la racine et qui monte vers le haut. Ces idéologies détachent l’Église de l’influence de l’Esprit Saint. »

… Dans l’Église aussi, nous devons faire la distinction entre doctrine et idéologie : la vraie doctrine n’est jamais idéologique, jamais ; elle est enracinée dans le peuple saint et fidèle de Dieu ; au contraire, l’idéologie est détachée de la réalité, détachée du peuple…»

Ainsi, ses idées à lui relèvent de la doctrine, et celles qu’il rejette, sont de l’idéologie.

C’est un beau tout de passe passe digne du maître de l’inversion.

Que ceux qui ont des oreilles pour entendre comprennent.

«Si vous allez à la racine de ces idées, vous trouverez des idéologies. Toujours, quand, dans l’Église, on veut se détacher du chemin de la communion, ce qui apparaît toujours, c’est l’idéologie. Et l’on accuse l’Église de ceci ou de cela… Mais on ne l’accuse jamais de ce qui est vrai : elle est pécheresse ! Jamais ces gens ne disent le péché… Ils défendent une ’doctrine’, qui est comme l’eau distillée, qui n’a de goût pour rien et qui n’est pas la vraie doctrine catholique qui se trouve dans le Credo.»

Donc l’Église, la Tradition, est pécheresse, et donc elle se trompe, transformant ainsi sa doctrine en idéologie.

ET il ose mentionner comme référence le Credo alors qu’il le brime à chaque jour.

Quant du synode des synodes, il précise que « dans le Synode, il n’y a pas de place pour l’idéologie, c’est une autre dynamique. Le Synode est un dialogue, entre les baptisés, entre les membres de l’Église, sur la vie de l’Église, sur le dialogue avec le monde, sur les problèmes qui affectent l’humanité aujourd’hui. Si l’on pense à prendre un chemin idéologique, le Synode s’arrête. Dans le Synode, il n’y a pas de place pour l’idéologie, il y a de la place pour le dialogue en se confrontant entre frères et sœurs, et en se confrontant la doctrine de l’Église.»

Et les débats seront secrets… pas pour le peuple… alors qu’il nous met devant le fait depuis des années que l’Esprit-Saint parle à partir du peuple, qu’il veut établir une pyramide inversée pour le futur de l’église.

« Et pour garantir la «religiosité et la liberté de parole» des personnes qui s’exprimeront lors du synode, François a annoncé que les débats seront «secrets» et que seul le ministère pour la communication sera habilité à écrire «des rapports sur les progrès du synode» sous forme de «communiqués de presse».

Bref, le peuple n’aura que les miettes qu’on veut bien leur jeter.

De plus, il confirme encore une fois qu’il procédera avec son encyclique Laudato Si II le 4 octobre, fête de Saint-François… pile pour l’ouverture du synode des synodes.

Bergoglio pense susciter de l’engouement pour son synode en ramenant Jean XXIV sur le tapis…

Mais il oublie que Dieu a bien souvent d’autres plans.

Jean XXIII avait ouvert Vatican II…

Et n’a pas vu la fin.

Tout comme Bergoglio pourrait ne pas voir la fin de son synode version octobre 2024 si la prophétie le concernant suggére qu’il mourrait lors de son voyage en terre natale, en Argentine, s’il confirme toujours ce voyage prochainement.

Août 2023

28 août

LE FAUX PROPHÈTE: FILS DU PRINCE DU MENSONGE

Un article intéressant de Lifesitenews.com qui nous démontre encore une fois la « langue fourchue » de Bergoglio, qui affirme une chose sans donner tous les détails afin de tromper la brebis perdue.

« RUPTURE : Le pape François semble rejeter l’idée selon laquelle les homosexuels sont appelés à la chasteté.

Les commentaires du pape aux jésuites portugais faisaient écho à de telles occasions antérieures, dans la mesure où il refusait de prononcer une doctrine catholique sur des questions claires et morales. »

Les discussions avec les jésuites à Lisbonne lors des journées mondiales de la jeunesse ont été publiées.

1er thème: l’homosexualité et la chasteté prônée par l’église:

« Le pontife argentin a critiqué ce qu’il a appelé l’examen des « péchés en dessous de la taille » ou des « péchés de la chair » avec une « loupe ».

Au lieu de cela, il a semblé minimiser l’appel universel à la chasteté, arguant que « l’attitude pastorale la plus appropriée pour chaque personne doit être appliquée ».

Nous ne devons pas être superficiels et naïfs, en forçant les gens à adopter des choses et des comportements pour lesquels ils ne sont pas encore mûrs ou dont ils ne sont pas capables. Il faut beaucoup de sensibilité et de créativité pour accompagner les gens spirituellement et pastoralement. Mais tout le monde, tout le monde, tout le monde est appelé à vivre dans l’Église : ne l’oubliez jamais. »…

Évidement, tout le monde est appelé à joindre l’Église.

Mais il ne mentionne jamais le besoin de conversion qui accompagne le péché car pour lui c’est la miséricorde infinie, sans justice.

2ème thème: Catholiques américains « réactionnaires » et « indietristes »

« Le pape François n’est pas étranger aux critiques hâtives des catholiques américains, et cela a été souligné par de nombreux commentateurs comme une particularité de son pontificat. S’adressant à ses confrères jésuites à Lisbonne, il a décrit et critiqué une « attitude réactionnaire très forte » aux États-Unis.

« Je voudrais rappeler à ces gens que l’indietrismo (être tourné vers le passé) est inutile », a déclaré François, « et nous devons comprendre qu’il y a une évolution appropriée dans la compréhension des questions de foi et de morale tant que nous suivons la trois critères qu’indiquait déjà Vincent de Lérins au Ve siècle : la doctrine évolue ut annis consolidetur, dilatetur tempore, sublimetur aetate [c’est-à-dire se consolidant avec les années, se développant avec le temps, s’approfondissant avec l’âge].

« La doctrine progresse, s’étend et se consolide avec le temps et devient plus ferme, mais elle progresse toujours », a soutenu le pontife. « Le changement se développe depuis la racine vers le haut, en se développant selon ces trois critères. »

Citant un exemple de sa perception d’une évolution de la « doctrine », François a soutenu que « la peine de mort est un péché. Vous ne pouvez pas l’utiliser, mais ce n’était pas le cas auparavant. Une telle affirmation est en contradiction avec des siècles d’enseignement catholique et avec les paroles de l’Écriture.

Dans son attaque voilée contre la messe traditionnelle et ses fidèles, François a expliqué que « les indiétristes… forment quelque chose de fermé, déconnecté des racines de l’Église et vous perdez la sève de la révélation ».

Il a soutenu que ces personnes promeuvent une Église alternative : « l’idéologie remplace la foi, l’appartenance à un secteur de l’Église remplace l’appartenance à l’Église ». »

Comme il l’a fait en Hongrie devant les jésuites (« le soutien incroyable au restaurationnisme » est une « maladie nostalgique ».), Bergoglio cite encore Saint Vincent de Lérins, et portant fièrement le chapeau de « faux prophète » de l’Apocalypse, il divise au lieu de rassembler, il égare au lieu de ramener la brebis à la bergerie, il manipule les mots avec sa langue fourchue pour empoisonner l’âme, provoquer le schisme en faisant croire qu’il est le chef de la nouvelle église moderniste, et que tous, doivent être inclus au banquet comme l’a dit Jésus.

Voici les paroles exactes de Saint Vincent de Lérins (extrait de Lifesitenews):

« Cependant, saint Vincent de Lérins n’a pas plaidé pour un rejet de l’enseignement de l’Église – malgré la manière dont ses paroles sont couramment utilisées aujourd’hui. Il a plutôt déclaré que, à mesure que le corps physique d’un individu grandit conformément au plan ordonné par Dieu, tout développement de la doctrine de l’Église doit suivre la même loi du progrès.

Le saint a écrit qu’un tel processus devrait « être consolidé par les années, élargi par le temps, affiné par l’âge, et pourtant, en même temps, continuer sans corruption et sans mélange, complet et parfait dans toutes les mesures de ses parties, et, pour ainsi dire, dans tous ses membres et sens propres, n’admettant aucun changement, aucun gaspillage de sa propriété distinctive, aucune variation dans ses limites.

Saint Vincent était en fait très clair dans son opposition à une doctrine nouvelle qui n’avait aucun fondement dans la Tradition de l’Église. Dans les cas où la confusion règne au sein de l’Église, du fait qu’une partie s’est « coupée de la communion de la foi universelle », saint Vincent présente un enseignement clair sur la réponse catholique :

Et si une nouvelle contagion cherchait à infecter non seulement une partie insignifiante de l’Église, mais l’ensemble ? Il lui appartiendra alors de s’attacher à l’Antiquité, qui, à l’heure actuelle, ne peut être séduite par aucune fraude de nouveauté. »

Voilà.

L’obession de Bergoglio pour la messe traditionnelle, pour son non retour en arrière, etc… est contredit par le Saint qu’il cite parce qu’il veut orienter selon son programme, sa marche vers le synode où tous seront inclus.

Quelqu’un qui cache volontairement des passages de la vérité est un menteur, un menteur qui mène les âmes au précipice.

Il est le chef de la contre-Église vouée à Satan, qui à l'image de la crise d'identité du genre qui inonde ce monde immonde, est son pendant spirituel.

Il y a bien deux Babylone comme prophétisé par Jean XXIII.

« Viganò fustige le Secrétariat des Communications du Vatican pour avoir présenté Jésus comme « un malade, un prisonnier de la rigidité »
Par : Carlo Maria Vigano

Les paroles de Spadaro [extraites de son article « Les graines de la révolution : Jésus loue la grande foi de la femme païenne », NOTE: voir post du 23 août sur le Grand Réveil sur la « rigidité » de Jésus ] sont comme une flaque d’eaux usées contenant l’écume du pire modernisme qui tourmente l’Église depuis plus d’un siècle.

C’est le modernisme qui n’a jamais été définitivement éradiqué des séminaires et des universités soi-disant catholiques, auquel une secte d’hérétiques et d’égarés a érigé le totem du Concile Vatican II à la place de deux mille ans de Tradition. Il y a quelque temps encore, cette « synthèse de toutes les hérésies » essayait de se rendre présentable en ne manifestant pas son caractère antichristique, qui lui était pourtant consubstantiel : il risquait encore qu’un prélat vaguement conservateur et pas encore pleinement engagé dans la cause ne se rende compte son danger intrinsèque.

Bien entendu, la divinité du Christ était considérée comme un simple vœu pieux découlant du besoin de sacré de la « communauté primitive ». Ses miracles étaient réduits à des exagérations, ses paroles à des métaphores ; en revanche, « il n’y avait pas d’enregistreurs », a déclaré Arturo Sosa, supérieur général de la Société de Satan. Aujourd’hui, protégés par un jésuite qui, en violation de la Règle de saint Ignace, occupe le Siège de Pierre, les pires adeptes de cette secte se sentent libres de laisser libre cours à leurs divagations et arrivent, dans un délire infernal, au point de blasphémer Jésus-Christ, qui a déjà fait l’objet d’épithètes inquiétantes de la part de Bergoglio. « Jésus est devenu un serpent, il est devenu un diable », a déclaré l’Argentin il y a quelque temps.

Il trouve son écho chez Spadaro, qui, avec l’arrogance de celui qui se croit impuni, ose définir Notre Seigneur comme « un malade, prisonnier de la rigidité et des éléments théologiques, politiques et culturels dominants de son temps » ; « indifférent à la souffrance, colérique et insensible ; incassablement dur; un théologien impitoyable ; moqueur et irrespectueux; aveuglé par le nationalisme et le rigorisme théologique. Il est inutile d’expliquer à ces esprits embrouillés ce que les Saints Pères ont enseigné à propos du passage évangélique de la femme cananéenne : ils ont intérêt à maintenir l’idole de Vatican II bien haut sur son piédestal ; et peu leur importe si, pour défendre leurs erreurs, ils doivent piétiner le Fils de Dieu, l’offenser et le blasphémer comme n’avaient pas osé le faire même les pires hérésiarques du passé.

L’article de Spadaro n’est pas une simple provocation – quelque chose d’inédit en soi – mais la manifestation, l’épiphanie, comme dirait un « théologien » de Santa Marta, d’une contre-Église avec ses faux dogmes, ses préceptes mensongers, sa prédication trompeuse, ses ministres corrompus et corrupteurs. Une contre-Église prosternée devant l’Antéchrist, devant tout ce qui représente le déni et le défi de la Seigneurie de Dieu sur l’homme. Fierté. Fierté luciférienne. Une fierté qui ne connaît ni limites ni freins. La secte qui éclipse l’Église du Christ ne se cache plus : elle se montre et prétend remplacer définitivement la véritable Église, elle montre ses idoles et exige qu’elles soient adorées, au prix de nier le Sauveur lui-même, de réfuter sa divinité, de juger son actions, contestant ses paroles.

Mais si les simples ont déjà compris que le prix de ce ὕβρις est νέμεσις, presque tous les pasteurs – cardinaux, évêques et prêtres – se retournent et détournent le regard. Ils savent bien que leur lâcheté, leur conformisme et leur désir de ne pas paraître rétrogrades les ont rendus co-responsables de cette révolution infernale, qu’ils auraient pu arrêter en son temps ; mais comme depuis soixante ans ils ont adhéré eux aussi au culte du Concile, ils préfèrent continuer sur le chemin entrepris vers la ruine de l’Église et des âmes, plutôt que de s’arrêter et de revenir au point où ils ont dévié le chemin. Ainsi, ils finissent par préférer le triomphe des méchants – et avec lui la diffamation blasphématoire de Jésus-Christ – à l’humble aveu de leurs torts. Ils préfèrent laisser dire que Notre Seigneur avait tort, « aveuglé par la rigueur théologique, » plutôt que de reconnaître qu’ils sont eux-mêmes emprisonnés dans les erreurs et les hérésies du modernisme. La mesure est pleine, et le moment est venu de choisir de quel côté nous nous trouvons. Soit avec Bergoglio et Spadaro, avec le Synode sur la Synodalité, avec une Église humaine et contrefaite asservie au Nouvel Ordre Mondial, soit avec Dieu, son Église et ses saints. Et à y regarder de plus près, il est déjà inouï d’émettre l’hypothèse que des catholiques – je ne parle pas des prêtres ou des prélats – puissent considérer qu’il est possible d’avoir le choix.

+ Carlo Maria Viganò, Archevêque
27 août 2023
Dimanche 13 après la Pentecôte »

25 août

LE DESTRUCTEUR DE L’ÉGLISE

« Il y aura très peu de chrétiens qui obéiront au véritable Souverain Pontife et à l’Église catholique romaine avec un cœur loyal et une parfaite charité. Au moment de cette tribulation, un homme, non élu canoniquement, sera élevé à la papauté, lequel, par ruse, s’efforcera d’entraîner beaucoup de monde dans l’erreur et dans la mort… en ces jours-là, Notre Seigneur Jésus-Christ leur enverra non pas un vrai Pasteur, mais un destructeur. » (Saint-François D’Assise)

« Où croyez-vous fuir, maintenant que vous avez détruit les Églises et tué le dernier Père ? » (prophétie #11 concernant l'Église de Jean XXIII)

« Et si ces jours n’étaient abrégés, nul n’échapperait ; mais, à cause des élus, ces jours seront abrégés. » (NSJC)

On ne peut se tromper.

C’est là la limite pour l’intervention de NSJC, afin de sauver le petit reste en cette fin des temps.

En plein processus du synode des synodes et sur ce qui se passe maintenant dans le monde catholique, on peut réellement se demander quelle atrocité ou geste de l’église conciliaire allumera l’étincelle?

Mais comme l’idiot qui regarde le doigt et non la lune que pointe le sage, ce n’est pas l’église conciliaire qu’il faut regarder, car comme l’affirme Mgr Vigano dans sa dernière intervention, c’est elle qui se sépare du cep et non le contraire.

Et de ce côté, Bergoglio a été très clair avec Traditionis Custodes, et sa haine dévoilée à ce moment là envers l’Église véritable… et bien-sûr avec lui, il n’y aura aucun retour en arrière.

Il semble donc que ce qui sortira du synode est inimaginable, bien au delà des anticipations.

La tradition doit recevoir toute notre attention car elle est les « deux témoins » de l’Apocalypse.

Et on sait que les « deux témoins » seront mis à mort.

On peut facilement anticiper que la mort des « deux témoins » sera beaucoup plus qu’un isolement quelconque des traditionalistes.

Le regretté S. Monast dans ses analyses avait laisser entendre que les traditionalistes grâce au subterfuge de l’inversion, seraient traités comme des terroristes et que les églises seraient fermées.

Pie X dans ses visions a vu les russes à Gênes et le pape marché sur les cadavres de ses prêtres.

Malachi Martin a affirmé que si l’église révélait le 3ème secret de Fatima que les églises seraient pleines à craquer… ce qui n’est pas le cas avec la pseudo révélation du secret par l’église en 2000.

La tradition est ce germe qui menace l’établissement de cette nouvelle église et le succès de Satan. Bergoglio le sait. Son comportement le prouve depuis plus de 10 ans.

L’ex-communion de la FSSPX en 1988 n’a pas empêché le petit reste de disparaître.

Donc, la suite du synode sera plus qu’une ex-communion des traditionalistes.

Présentement nous assistons à une renaissance de l’Église traditionnelle, qui attire beaucoup de jeunes, et cela, Satan ne peut laisser continuer.

Alors, il utilise son faux témoin pour séduire par l’ambiguïté et l’inversion, en destructeur :

Bergoglio leur donne une religion anti-chrétienne (derniers JMJ au début du mois à Lisbonne):

« Même s’il était vrai que la présence de tous ces jeunes a démontré qu’un nouveau monde est possible – comme l’a dit François -, nous ne savons pas pour quel nouveau monde ces jeunes s’engageront.

La probabilité qu’ils s’engagent dans un monde anti-chrétien, sans le savoir et en pensant faire le contraire, est très élevée. » (benoit-et-moi.fr)

Mais cela, c’est du moyen long terme, et nous savons selon les analyses et les événements que nous sommes sur un calendrier court : avant le mois des deux lunes de Marie, Mai 2026 pour le retour de l’Iris de Paix (prophétie de Don Bosco).

Ce n’est ni Traditionis Custodes ou son complément à venir (car Bergoglio prépare des compléments, le prochain à sortir: «J’écris une deuxième partie à l’encyclique Laudato si’» affirme le Pape François » (vaticannews.va) qui engendrera une séparation entre l’Église traditionnelle et l’église conciliaire suite au synode, ni une nouvelle messe oecuménique, ni une nouvelle religion humaniste car elle s’appliquerait à long terme.

Il semble que l’élément déclencheur sera la fermeture pure et simple des églises qui ne se conformeront pas à la nouvelle doctrine bergoglienne, et la persécution des prêtres et religieuses par la « gestapo du Vatican ».

En fait, le synode se présente déjà comme une ultime destruction du peu de catholicisme qui reste à Rome.

Même les non-catholiques perçoivent cette transmutation de l’église aux valeurs du mondialisme.

Ce qui va émerger du synode, ce n’est plus l’Église catholique, mais autre chose, une aberration nommée provisoirement  « Église synodale » avec de nouvelles bases dogmatiques, de doctrine, de liturgie.

ET AINSI DE DIEU!

Il va y avoir un énorme schisme avec un éclatement de l’église en plusieurs structures comme anticipé par le regretté S. Monast.
C’est en cela qu’on peut parler de « mort des témoins » car à cet instant précis (du grand schisme) personne ne pourra revendiquer être l’Église, personne n’en aura le droit ni la légitimité.

Et, on en a déjà un avant goût:

Le premier élément de l’équation: il est dit que Bergoglio veut être reconnu comme celui qui a fait cette « grande réinitialisation » synodienne.

Comme un roi. Il est donc pressé vu son âge et son état de santé.

Comme autre preuve, le consistoire de septembre. Normalement, des réunions précèdent un consistoire. Pas cette fois.
« Le consistoire d’un pape pressé » (benoit-et-moi.fr)

Mgr Vigano a fondé un site pour faire des dons pour les prêtres de la tradition qui ont été expulsés, qui se retrouvent sans ressources et sans logis, parce que Bergoglio et sa gestapo procèdent à une chasse aux sorcières.

Des ordres contemplatifs masculins et féminins sont dissous afin de priver le monde des prières qui maintiennent une certaine cohésion spirituelle sur cette planète.

Le but de Satan est donc de les faire disparaître car elles sont un obstacle majeur:

« Les abus de pouvoir répétés de ceux qui détiennent l’autorité ecclésiastique à l’égard des communautés religieuses – en particulier celles des femmes et des contemplatifs – font partie d’un plan subversif mené par des prélats corrompus et hérétiques, visant à priver l’Église des grâces que les âmes consacrées descendent dessus. Au-delà des excuses trompeuses qui caractérisent les cas individuels, le fil conducteur qui unit l’expulsion des bénédictins de leur monastère de Pienza aux dominicains de Fognano ou de Marradi et aux carmélites d’Arlington émerge avec toute évidence : d’un côté, la fureur idéologique du Département vatican des religieux, dirigé par un ultra-moderniste préfet et un secrétaire corrompu et impitoyable, tous deux protégés par Bergoglio; d’autre part, les intérêts immédiats -principalement de nature financière- du Saint-Siège lui-même et des Ordinaires locaux. » (Mgr Viganò en soutien aux carmélites d’Arlington)

Bergoglio persécute les évêques qui s’élèvent contre lui. Le dernier en liste Mgr Strickland au Texas ( qui a reçu l’heureuse visite surprise de la gestapo vaticane): « Les fidèles catholiques implorent le pape François de ne pas renvoyer l’évêque Strickland » (lifesitenews.com)

« Formidable analyse d’Andrea Gagliarducci, qui donne corps à ce nous avons évoqué précédemment sur L’Eglise à la veille. Nous voyons un peu mieux que nous sommes à la veille de quelque chose d’important, de grave, mais nous ne savons pas quoi. En tout cas, c’est la fin d’un monde. Ce que l’auteur résume parfaitement dans sa conclusion:

… peut-être que le mur de Berlin est tombé et que nous parlons tous de quelque chose qui n’existe plus. En réalité, à présent, les analyses du Vatican ne peuvent plus utiliser les anciennes catégories parce que le pape François ne les utilise pas. Le problème, cependant, c’est qu’il n’y a pas de nouvelles catégories. Tout est incertain. » (benoit-et-moi.fr)

Le regretté Serge Monast avait quand même vu juste dans ses écrits sur les étapes à venir:

«
– La fuite forcée de Jean-Paul II du Vatican (on sait que c’est Benoît XVI).
– La prise du pouvoir, au Vatican, par l’antipape.
– La naissance de la nouvelle église internationale avec la falsification de toutes les doctrines religieuses chrétiennes.
– L’instauration des persécutions internationales basées sur la nouvelle doctrine de la nouvelle église internationale.
– La soumission de toutes les églises à l’Antéchrist (notons que cette soumission surviendra uniquement après le travail accompli par le « faux témoin ». La prise du pouvoir politique et militaire par l’Antéchrist sous la conduite des Nations-Unies (notons, ici, que le premier pouvoir étant situé au-dessus du politique et du militaire, est un pouvoir religieux).
– Les cinq et uniques pouvoirs de l’Antéchrist sur l’humanité.
– La survivance de la chrétienté renouvelée sous le règne de l’Antéchrist.
– La chute de l’Antéchrist, et le démantèlement de son royaume. »

On peut faire le rapprochement entre le synode et la soumission de toutes les églises à l’Antéchrist.

Anne Catherine Emmerich dans sa prophétie concernant le destructeur de l’Église affirmait qu’il ne resterait que l’autel à la fin.

Peut-être est-ce l’autel de notre coeur suite à la résurrection des deux témoins?

La conclusion de ce synode sera effroyable pour l’Église.

C'est sa Passion, sa Mort et sa Résurrection.

Mais Marie protège l’Église traditionnelle.

« Marie se tenait debout sur l'Église du côté du Nord et étendait son manteau pour la protéger. C'était seulement le pavé (les fondations) et la partie postérieure de l'Église (le chœur et l'autel), tout le reste avait été démoli par la secte et par les serviteurs de l'Église eux-mêmes. »

« Quand même il ne resterait qu'un seul chrétien catholique, l'Église pourrait triompher de nouveau, car elle n'a pas son fondement dans l'intelligence et les conseils des hommes. » (Anne Catherine Emmerich)

La puissance du destructeur augmentera en ce 4 octobre 2023 avec l’ouverture de la première partie du synode des synodes.

Notre Foi doit être forte et immuable alors que tout s’écroule autour de soi, une nécessité selon les paroles de NSJC : les guerres doivent avoir lieu ainsi que la persécution afin de générer une soif intense pour la Vérité chez les tièdes. Ils demanderont la voie lorsque les écailles sur leur yeux tomberont. Ils ne seront pas beaucoup, mais ils auront besoins de ses fidèles laïcs et religieux, les « deux témoins » de l’Apocalypse qui seront ressuscités pour les guider et guérir leurs blessures.

Voici une autre preuve donner en ce dimanche 20 août par le destructeur Bergoglio lui-même.

Pour préparer les esprits à la nouvelle église, à la « conversion » TOTALE de l’église à un autre Dieu :

« Hier dimanche, lors de l’Angélus sur la place Saint-Pierre, le pape François a interprété l’évangile du jour, Mt 15,21-28 [1]. A cette occasion, le chef de l’Église est revenu sur un de ses thèmes favoris : la rigidité. Il lui a opposé le fait que Jésus avait « changé » et n’était pas resté figé sur ses positions…. « Le changement de Jésus. Il adressait sa prédication au peuple élu ; mais ensuite, l’Esprit Saint a poussé l’Église jusqu’au bout du monde. Mais ici s’accomplit, pourrait-on dire, une anticipation, de sorte que l’universalité de l’action de Dieu se manifeste déjà dans l’histoire de la femme cananéenne. Cette disposition de Jésus est intéressante : face à la demande de la femme, il « anticipe les plans », il devient encore plus indulgent et compatissant face à son cas concret. Dieu est ainsi : il est amour, et celui qui aime ne reste pas figé. Oui, il reste ferme, mais pas figé. Il ne reste pas figé sur ses propres positions, mais se laisse bouger et émouvoir ; il sait changer ses programmes.
L’amour est créatif, et nous, les chrétiens, sommes appelés à être prêts à changer si nous voulons imiter le Christ. Que de bien il fait dans nos relations, mais cela vaut aussi pour la vie de foi : être doux, écouter vraiment, être touché au nom de la compassion et du bien-être des autres, comme Jésus l’a fait avec la Cananéenne. La douceur pour changer. La douceur de cœur pour changer.

(…)

Par exemple, en partant du changement opéré par Jésus : suis-je capable de changer d’avis ? Est-ce que je peux être compréhensif et compatissant, ou est-ce que je reste rigide dans mes positions ? Y a-t-il de la rigidité dans mon cœur ? Ce qui n’est pas la fermeté : la rigidité est mauvaise, la fermeté est bonne ».(benoit-et-moi.fr)

Jamais, au grand jamais, l’Église n’a aussi été en péril depuis sa fondation par NSJC.

À cause de la grande apostasie, qui empêche l’Esprit-Saint d’atteindre les cœurs comme Il l’avait fait au temps des premiers chrétiens.

Ainsi, les messages essentiels du Nouveau Testament, Paroles de Dieu, peuvent être déformées afin de mener au précipice ceux, peu nombreux, qui cherchent encore la Vérité.

« … C’est ainsi que l’Évangile nous est expliqué dans la nouvelle version jésuite, corrigée: Jésus reste d’abord « indifférent » ; puis il répond de manière « irritée et insensible » ; « il répond de manière moqueuse et irrespectueuse » ; il prétend « être théologien » ; il refuse la miséricorde ; c’est une « chute de ton, de style d’humanité » ; Jésus apparaît comme « aveuglé par le rigorisme et le nationalisme théologique ». Mais les paroles de la femme « bouleversent la rigidité de Jésus », elles le convertissent. Jésus apparaît « guéri » : « libéré de la rigidité des éléments théologiques, politiques et culturels de son temps ».

Selon la version des Jésuites, Jésus serait donc un « indietriste« qui convertit et est miraculeusement guéri par la femme païenne. Une image plastique de ce que nous vivons aujourd’hui : des catholiques encore tenaillés par la doctrine et le catéchisme, nationalistes, théologiens, bigots et jugeurs, incapables de se mettre à jour, malades d’indietrisme et de rigorisme, qui ont besoin de se convertir et de se guérir en écoutant la païenne, en écoutant les athées, les distants, les anticléricaux qui font de belles batailles, en un mot, en écoutant et en suivant le monde. C’est – pour le jésuite – le début d’une révolution.

Dans ses sermons, saint Augustin affirme :

« Le Christ s’est montré indifférent à son égard, non pour lui refuser sa miséricorde, mais pour allumer son désir » .
Personnellement, je trouve que la première lecture de ce dimanche, tirée du prophète Isaïe, éclaire le passage de l’Évangile : Dieu offre la possibilité d’accéder aux promesses faites à Israël à tous ceux qui se convertissent à Lui. À ceux qui sont prêts à l’adorer, à changer de vie et à respecter ses commandements. La conversion est donc une condition sine qua non pour bénéficier pleinement de la miséricorde et des grâces réservées par Dieu aux hommes qui, dans leur liberté, peuvent rejeter la conversion et la grâce.

L’idée que c’est Jésus qui doit se convertir semble quelque peu exagérée et dictée – comme l’a dit un prêtre – par une forme de « miséricordieusement correct ». Un besoin d’utiliser l’Évangile pour pousser à une conversion au monde qui trahit une passion malsaine pour ce qui est loin de Dieu et de ses commandements. » (benoit-et-moi.fr)

Préparer les esprits, c’est à dire à séparer déjà les deux camps, la mort de l’église telle qu’on l’a connu.

Pourquoi Bergoglio avait-il besoin d’une deuxième séance du synode en 2024?

Les derniers cardinaux nécessaires à son projet seront en place en septembre prochain.

Ils seront alors 137 cardinaux électeurs, soient 17 de plus que les 120 autorisés, et parmi eux, encore des conservateurs « rigides ».

Or, plusieurs atteindront l’âge de 80 ans dans l’année 2024, ramenant le nombre à 120, et tous acquis à Bergoglio en …. octobre 2024.

« CITÉ DU VATICAN ( LifeSiteNews ) –– L’éminent prélat américain Raymond Cardinal Burke a averti que la « synodalité » et le « synodal » sont devenus des « slogans » utilisés comme façade pour « changer radicalement la compréhension que l’Église a d’elle-même, en accord avec une idéologie contemporaine qui nie une grande partie de ce que l’Église a toujours enseigné et pratiqué…
Le cardinal a pris pour cible les interventions régulières du pape François sur la manière dont l’Église doit devenir « synodale », en déclarant :
On nous dit que l’Église que nous professons, en communion avec nos ancêtres dans la foi du temps des Apôtres, comme étant Une, Sainte, Catholique et Apostolique, doit maintenant être définie par la synodalité, un terme qui n’a pas d’histoire dans la doctrine de l’Église et pour laquelle il n’existe pas de définition raisonnable.

Il a dénoncé la « synodalité » comme étant une façade pour une « révolution » qui travaille à modifier « radicalement » l’Église catholique conformément à une « idéologie contemporaine » qui rejette une grande partie de l’enseignement de l’Église :

La synodalité et son adjectif synodal sont devenus des slogans derrière lesquels une révolution est à l’œuvre pour changer radicalement la compréhension que l’Église a d’elle-même, en accord avec une idéologie contemporaine qui nie une grande partie de ce que l’Église a toujours enseigné et pratiqué. Il ne s’agit pas d’une question purement théorique, car l’idéologie est déjà mise en pratique depuis quelques années dans l’Église d’Allemagne, répandant largement la confusion et l’erreur et leurs fruits, la division – voire le schisme – au grand préjudice de nombreuses âmes.

Les méfaits de la Voie synodale allemande, écrit Burke, sont susceptibles d’être constatés dans le Synode sur la synodalité, car « la même confusion, la même erreur et la même division s’abattent sur l’Église universelle » et ont « déjà commencé »… »

«Seuls les distraits peuvent penser que le prochain synode sur la synodalité en octobre 2023 et octobre 2024 ne perturbera pas l’Église. En réalité, ce synode représentera un tournant décisif : il peut changer le visage de l’Église, nous en donner un autre d’une nature différente sans que nous nous en rendions compte.

Ce ne sera pas un passage indolore parce que cette fois le synode ne traitera pas de tel ou tel sujet pastoral, mais il traitera de la synodalité, et comme aujourd’hui on prétend que la synodalité est une caractéristique essentielle de l’Église, le synode traitera de toute l’Église, comme s’il s’agissait d’un concile.

Il nous dira comment sortir d’un passé caractérisé

    • par un retard de deux cents ans sur le monde [selon le défunt cardinal Martini, ndt],
    • par une structure descendante et pyramidale qu’il faut renverser,
    • par un doctrinarisme et un indietrisme incapables de faire résonner la voix de l’Évangile dans l’histoire d’aujourd’hui,
    • par un enfermement sur soi sans capacité d’inclusion envers ceux qui sont différents,
    • par un manque de démocratie, d’écoute mutuelle, de capacité de choisir ensemble,
    • par un identitarisme exagéré alors que Dieu veut que toutes les religions existent,
    • par un moralisme trop rigide qui accorde peu d’importance aux circonstances dans lesquelles la conscience décide d’agir,
    • par la volonté de ne pas se limiter à éduquer les consciences mais de se substituer à elles,
    • par un manque d’ouverture à la nouveauté,
    • par un manque de miséricorde
    • et, surtout, par une incapacité à écouter ce que l’Esprit Saint nous demande aujourd’hui, un Esprit qui s’exprime dans le dialogue entre tous, fidèles et infidèles, catholiques et athées, et dans les événements et les défis de l’histoire.

C’est de tout cela que parlera le synode

Comme seuls les distraits peuvent se permettre de ne pas s’en préoccuper, TFP a très bien fait de publier un petit livre efficace et facile d’accès intitulé Processo sinodale: un Vaso di Pandora [Processus synodal : une boîte de Pandore], de Julio Loredo et José Antonio Ureta, qui fournit toutes les informations possibles sur le prochain synode en termes clairs et concis [*]. Afin que nous n’arrivions pas naïfs ou mal informés, ce sur quoi comptent beaucoup de ceux qui se consacrent au changement, sans « si » ni « mais ». La formule choisie est excellente : 100 questions et 100 réponses. Le fascicule sera envoyé par ses promoteurs à tous les cardinaux et évêques ainsi qu’à des milliers de prêtres. Un travail stimulant, digne et opportun.

Si nous reconsidérons ne serait-ce qu’un instant les quelques points énumérés ci-dessus, nous nous rendons compte que les changements dans l’Église pourraient faire l’effet d’une bombe.
  
• Le concept de Tradition est en grand danger,
    • il n’y aura plus de distinction entre l’Église enseignante et l’Église apprenante,
    • les décisions non seulement pastorales mais aussi doctrinales seront prises dans l’Église après un débat au sein de l’assemblée,
    • des synodes mixtes (c’est-à-dire composés de clercs et de laïcs, comme c’est déjà le cas pour ce synode où siègeront également des laïcs avec droit de vote) pourraient être établis pour gouverner l’Église aux côtés de l’évêque ou même du pape,
    • la morale catholique serait révisée en continuité avec les nouveautés d’Amoris laetitiae, dans le sens de l’intégration dans la vie de l’Eglise de l’homosexualisme, du transgendérisme, de la cohabitation hors mariage, de l’adultère,
    • sans compter que l’enseignement sur la contraception, d’irréformable qu’il est, serait considéré comme devant être mis à jour,
    • un nouvel œcuménisme de type syncrétiste serait ouvert, mais sans évangélisation – assimilée à un prosélytisme à éviter -,
    • les critères de l’Eglise seraient adaptés à ceux du monde, et la pastorale aurait la victoire définitive sur la doctrine.

La vie de l’Église pourrait devenir une question d’histoire, de processus, de temps… et avec le temps émergerait le nouveau souffle de l’Esprit auquel il faut s’ouvrir et se risquer, en évitant de fixer des limites à Dieu.

Le fascicule aborde toutes ces questions une à une. Tous les documents préparatoires – depuis le discours de François en 2015 à l’occasion de l’anniversaire de l’institution du Synode des évêques par Paul VI jusqu’à l’Instrumentum laboris préparé par le Secrétariat du Synode comme guide pour les travaux du Synode – ont été examinés et sont cités ici.

Des informations sont données sur la « répétition générale » de ce synode constitué par le Sinodaler Weg allemand.
Sans oublier le fait que seuls des hommes d’une certaine orientation ont été placés dans le comité directeur du synode et que les autres nominations ont été pilotées, ce qui est contesté ici, c’est la méthode suivie consistant à confier au processus synodal lui-même la tâche de clarifier ce que l’on entend par synodalité – laissant ainsi de côté les critères doctrinaux qui sont anticipés, certains et orientés.

D’un tel synode, tout peut sortir, comme d’une boîte de Pandore, image qui donne son titre à l’ouvrage.
À partir du 4 octobre prochain, nous entrerons comme dans un tunnel. On espère en sortir pour « revoir les étoiles ». Mais les prémisses sont très inquiétantes, notamment parce que, comme cela s’est déjà produit lors de récents synodes, on a l’impression que les conclusions sont déjà établies à l’avance. » (benoit-et-moi.fr)

17 août

« En cette période de grande crise dans l’Église catholique, cette prière nouvellement composée par Mgr Athanasius Schneider qui nous réaffirme à tous la nécessité pour Jésus-Christ et sa Sainte Église catholique et apostolique de régner en maître. sur le monde entier.

Prière

Dieu tout-puissant et éternel, Père, Fils et Saint-Esprit, nous nous agenouillons devant Votre Majesté et Vous remercions du fond de notre âme pour le don inestimable de la Foi catholique, que Vous avez daigné nous révéler par Jésus-Christ, Vrai Dieu et vrai homme. Nous avons reçu cette lumière divine dans le saint baptême et vous avons promis de garder cette foi inviolée jusqu’à la mort.

Augmentez en nous Votre don de la Foi Catholique. Par Votre grâce, puisse-t-elle être fortifiée et rendue inébranlable. Augmentez quotidiennement en nous la compréhension de la beauté et de la profondeur de la foi catholique, afin que nous puissions vivre dans la joie profonde de votre vérité divine et être prêts à tout sacrifier plutôt que de compromettre ou de trahir cette foi. Accordez-nous la grâce d’être résolus à subir mille morts pour un seul article du Credo.

Recevez gracieusement notre acte d’humble réparation pour tous les péchés commis contre la foi catholique par les laïcs et le clergé, en particulier par les membres du clergé de haut rang qui, contrairement à la promesse solennelle qu’ils ont faite lors de leur ordination d’être des enseignants et des défenseurs de l’intégrité de la Foi Catholique, sont devenus les champions de l’hérésie, empoisonnant le troupeau qui leur est confié et offensant gravement la Divine Majesté de Jésus-Christ, la Vérité Incarnée.

Accordez-nous la grâce de voir tous les événements de notre vie, et les immenses épreuves que traverse actuellement notre Sainte Mère l’Église, à la lumière surnaturelle de la foi. Puissions-nous croire que Vous ferez surgir du vaste désert spirituel d’aujourd’hui une floraison renouvelée de foi qui ornera le jardin de l’Église de nouvelles œuvres de foi et donnera lieu à une nouvelle ère de foi.

Nous croyons fermement que la foi catholique est la seule vraie foi et religion, que vous invitez chacun à embrasser librement. Par l’intercession de la Bienheureuse Vierge Marie, destructrice de toutes les hérésies, et des grands Martyrs et Confesseurs de la foi, que la Foi Sainte, Catholique et Apostolique triomphe à nouveau dans l’Église et dans le monde, afin qu’aucune âme ne soit perdue sauf venez plutôt à la connaissance de Jésus-Christ, le seul Sauveur de l’humanité, et par une foi droite et une vie juste, atteignez la béatitude éternelle en vous, ô Très Sainte Trinité, Père, Fils et Saint-Esprit. A Vous soit rendu tout honneur et toute gloire, pour les siècles des siècles. Amen.

+ Athanasius Schneider, évêque auxiliaire de l’archidiocèse de Sainte Marie à Astana»

14 août

LE MYSTÈRE D’INIQUITÉ RÉVÉLÉ : LES DEUX BABYLONE

Le catéchisme stipule que le mystère d’iniquité nous sera finalement révélé lorsque l’imposture religieuse donnera aux humains la solution apparente à leurs problèmes au prix d’une apostasie généralisée.

« 675 Avant l’avènement du Christ, l’Église doit passer par une épreuve finale qui ébranlera la foi de nombreux croyants (cf. Lc 18, 8 ; Mt 24, 12). La persécution qui accompagne son pèlerinage sur la terre (cf. Lc 21, 12 ; Jn 15, 19-20) dévoilera le » mystère d’iniquité » sous la forme d’une imposture religieuse apportant aux hommes une solution apparente à leurs problèmes au prix de l’apostasie de la vérité. L’imposture religieuse suprême est celle de l’Anti-Christ, c’est-à-dire celle d’un pseudo-messianisme où l’homme se glorifie lui-même à la place de Dieu et de son Messie venu dans la chair (cf. 2 Th 2, 4-12 ; 1 Th 5, 2-3 ; 2 Jn 7 ; 1 Jn 2, 18. 22). »

Lorsque nous sommes témoins d’un tel événement, ainsi nous serons en présence de l’Antichrist.

Nous y sommes. Aucun doute.

Nul besoin d’expliquer encore en long et en large ce qui a été développé dans les analyses passées.

Le problème majeur pour plusieurs qui n’ont pas apostasié (ce qui est un petit nombre en réalité) est le fait que l’église conciliaire considère toujours cette partie du catéchisme comme étant au futur.

C’est l’aveugle qui conduit les aveugles au précipice.

Nous savons pertinemment que l’abomination de la désolation présentement sur le trône de Saint-Pierre, Bergoglio, utilise insidieusement un langage et une manière de faire qui favorise l’ambiguïté.

Mgr Vigano d’ailleurs affirme dans la dernière entrevue que rien ne vient de lui au point de vue de la doctrine et de la pastorale. Il ne fait que répondre à des questions. Constamment.

Bergoglio utilise la méthode avancée par les lucifériens eux-mêmes, en donnant des significations et des interprétations aux mots différentes.

C’est là la tromperie subtile de Satan : l’inversion.

Pour bien comprendre le danger de cette inversion, voici quelques extraits avancés par Albert Pike dans une recueil de textes publié à la fin du 19è siècle, ce qui en dit long sur le travail à long terme qui a été effectué pour saper l’autorité de l’église jusqu’à la conclusion dont nous sommes témoins présentement :

- « le titre de catholique est réservé à nous seuls »

-  nous mettrons d’avant la « double destruction du temple d’Adonaï et de l’édification du temple de Lucifer »
(Adonaï dans leurs langage est le « dieu mauvais », la Sainte Trinité, et Lucifer est le « dieu bon »)

- « L’œuvre principale est celle qui a pour but de transformer les catholiques romains en libre-penseurs déistes. »

- « lorsque nous nous trouverons être un milliard et plus (de catholiques lucifériens) faisant enfin flotter haut nos étendards, il faut que nous soyons prêts à produire l’explosion qui fera sauter le temple d’Adonaï ».

- « la même impulsion qui anéantira le temple d’Adonaï découvrira, aux yeux de l’humanité dûment préparée, le temple jusque là caché de notre divin maître. Lucifer roi verra alors le monde entier se consacrer à lui et l’adorer : sa religion sera dès lors vraiment catholique. »

- « le règne de l’athéisme sera devenu synonyme d’immortalité et d’amour passionné de l’humanité »
Ils prêchent un nouvelle doctrine, basée sur le « pur amour », une « révélation nouvelle qui doit nous unifier dans un immense amour sans préjugés »

C’est l’humanisme dans tout sa gloire avec l’humain déifié qui peut tout sans l’aide de Dieu, exactement comme il est décrit dans le catéchisme.

C’est donc la raison principale qui voile les yeux de plusieurs chrétiens catholiques car la tactique est de parler d’amour, de Jésus, des choses de l’église mais en donnant des sens différents aux mots prononcés par la bouche de ces imposteurs, de ces faux prophètes.

Le synode des synodes n’est-il pas le dernier instrument destiné à faire « exploser le temple d’Adonaï » ?

Ceci résume bien le mystère d’iniquité, mystère de l’inversion et de l’injustice.

La prophétie de Jean XXIII concernant Benoît XVI stipule que la Vierge Marie doit détruire les « deux » Babylone, les deux inversions majeures ou injustices qui concernent l’humanité, les deux « royaumes » qui constituent le système Antichrist : Le Vatican et les Nations-Unies.

Car cette injustice se manifeste présentement sur ces deux fronts.

Mgr Vigano l’a bien expliqué dans la dernière entrevue.

Ce n’est pas l’Église traditionnelle qui se sépare du cep, c’est l’église conciliaire qui par sa mutation face à l’humanisme s’éloigne de ses origines christiques, et fait passer les « deux témoins » fidèles à la Loi et aux Prophètes, la Tradition, comme des marginaux, des hérétiques qui ne veulent pas faire progresser l’église.

Bref, Notre Seigneur a raison.

Ce sont les chrétiens qui sont persécutés à la fin car ils sont les terroristes qui menacent le succès du nouveau système.

Ainsi en est-il du côté humaniste pour ceux qui ne croient pas dans le Christ sur cette terre, ou ceux qui ont apostasié.
Tout ceux qui ne pensent pas au système des nouvelles valeurs proposées par le nouveau système par l’inclusion de tous, grâce à la miséricorde infinie, qui culmine avec le grand spectacle mondial des mouvements « wokes », sont ostracisés.

« Le nouveau critère sera ainsi défini : Les vrais chrétiens seront ceux qui partageront toutes les croyances religieuses du Nouvel Ordre Mondial en tant que nécessité de base pour la survie de l’humanité. » S. Monast, 1995.

Il avait vu juste.

13 août

Excellent résumé de toutes les analyses des derniers mois grâce à Mgr Vigano, ardent défenseur de la Foi.

« Monseigneur Viganò : « Le plus grand dommage de ce pontificat ? Le discrédit jeté sur la papauté »

Entretien avec Matt Gaspers de  « Catholic Family News »

CFN : Votre Excellence, nous sommes maintenant dans la dixième année du pontificat de François. De son « Qui suis-je pour juger? » Chez Amoris Lætitia , de la Déclaration d’Abu Dhabi à l’incident de la Pachamama (et au Synode sur la synodalité en cours), nous avons été témoins de scandales papaux vraiment sans précédent au cours de la dernière décennie – des scandales qui touchent à la fois la foi et la morale. Selon vous, quel a été le problème le plus dommageable de ce pontificat et comment l’Église peut-elle s’en remettre ?

Carlo Maria Viganò : C’est difficile – et je pense que beaucoup seront d’accord avec moi – identifiez le problème qui a le plus négativement influencé les actions et les paroles de Bergoglio. Chacun de ses gestes est délibérément provocateur et histrionique, intentionnellement conçu pour laisser l’interlocuteur perplexe, ou pour l’offenser ou se moquer de lui. Quiconque pense que Bergoglio est naïf se trompe : chacun de ses mots est censé susciter le scandale, se démarquer de tous ses prédécesseurs, critiquer le passé de l’Église, le déformer avec des simplifications irritantes. Et surtout : il ne prétend jamais. Si vous l’avez remarqué, ses propos les plus controversés ne sont pas le résultat d’une déclaration autonome, mais la réponse à des questions posées par d’autres, selon les indications reçues, car il semble que le sujet ait été choisi par l’intervieweur ou l’interlocuteur. Si vous remarquez,– du « Qui suis-je pour juger » au dernier « Dieu t’aime tel que tu es » – sont des réponses à des questions. Bergoglio lui-même nous le confirme lors de la conférence de presse à son retour du Portugal : « Merci pour le courage de poser cette question. Merci » ( ici ).

En pratique, quel que soit le sujet abordé, tous les propos de Bergoglio reposent a priori sur une fiction, un mensonge. Dans certains cas, ces manipulations se font avec des systèmes plus élaborés, mais toujours malhonnêtes et déloyaux : pensons aux manœuvres pour imposer sa ligne lors des récents synodes, et au mépris absolu des règlements. Ajoutez à cela le mépris moqueur avec lequel il attribue aux autres circonstances et aux autres ce qu’il fait ostensiblement en premier.

Au-delà des scandales individuels, je crois que le plus grand dommage causé à l’Église par ce « pontificat » est le discrédit et le déshonneur jetés sur la papauté, l’Église, le clergé et les fidèles. Sa haine de la Tradition ne connaît pas de repos, et cela se répercute nécessairement sur ce qui est une expression naturelle de cette Tradition : doctrine, morale, liturgie, spiritualité. La démolition est systématique et part principalement de l’autorité, corrompue et asservie à l’ennemi, qui abuse de son pouvoir dans un but contraire à celui qui la légitime. La démocratisation de l’Église, la collégialité conciliaire, la synodalité de Bergoglio sont des mensonges colossaux, derrière lesquels se cache la tyrannie : le parallèle avec les gouvernements soumis à l’élite mondialiste est évident, et confirme une coordination unique des deux actions subversives. Et les deux institutions, comme nous pouvons le voir, sont discréditées et délégitimées précisément par ceux qui détiennent des rôles d’autorité. Comme ça, si quelque chose de cette crise devait prendre fin à l’avenir, restaurer la confiance dans l’Église et restaurer son autorité sera humainement presque impossible.

CFN : Dans une récente interview ( ici ), vous disiez que certains cardinaux « créés par Benoît XVI se sont révélés complètement inférieurs aux attentes des fidèles conservateurs » et que certains d’entre eux « ont été témoins lors du dernier Conclave de choses qu’ils n’ont pas dénoncer publiquement ». De quoi pensez-vous qu’ils ont été témoins et pourquoi ne les signalent-ils pas ?

Certains cardinaux entrés au Conclave en 2013 ne semblent pas comprendre la gravité de ce qui s’est passé et se passe, sous de fausses apparences de légalité formelle. Nous les avons entendus défendre la papauté à l’épée, déclarant que les erreurs promulguées par Bergoglio et ses provocations impromptues ne doivent pas être considérées comme le magistère papal ; nous les avons entendus demander à Bergoglio de dissoudre la Dubia sans même que celle-ci daigne répondre, et tout s’est arrêté là. Mais cette dénonciation des effets – c’est-à-dire le  » pontificat  » actuel – est tout à fait inutile lorsqu’il refuse, malgré tout, de reconnaître leurs causes dans la révolution conciliaire. Leur volonté tétragonale de « sauver » le pseudo-magistère de Vatican II, qui est la cause lointaine de la crise actuelle, rend toute action en faveur de l’Église complètement vaine.

Quant au silence sur les événements survenus pendant le Conclave, je vois la mentalité légaliste l’emporter sur l’urgente nécessité de mettre fin au coup subversif de l’église profonde. Leur principal souci n’est pas de porter atteinte à l’observance des normes valables en temps de relative normalité, car on ne peut pas dire qu’ils ont violé les préceptes humains, alors qu’avec leur respect des procédures, ils se retrouvent à cautionner la violation des préceptes divins par partie – pas moins – que les chefs de la hiérarchie catholique.

Je trouve incompréhensible qu’un membre du Collège des cardinaux puisse confier à des amis qu’il a été témoin de faits tels qui annuleraient l’élection de Jorge Mario, et en même temps qu’il ne veuille pas les dénoncer publiquement pour ne pas rompre le secret pontifical : ce secret qui a déjà été rompu en en parlant à quelqu’un qui n’y peut rien, oblige Son Éminence à se taire devant l’Église, dont les Pasteurs pourraient peut-être régler l’affaire. Mais ici nous ne parlons pas du Sceau de la Confession, mais de questions qui ont raison d’être réservées tant que cela ne se fait pas au détriment de l’institution qui les a mises en vigueur ; autrement nous nous retrouvons comme les pharisiens de l’Evangile, qui demandaient à Notre-Seigneur s’il était permis de sortir un âne du puits le jour du sabbat.

Les indiscrétions de ces Cardinaux portent sur la preuve de graves irrégularités, sans donner plus de détails. Je me souviens de ce qui s’est passé en 1958, avec la question de la fumée d’abord blanche puis noire : il semble que l’élu était le cardinal Giuseppe Siri, mais qu’en raison de l’opposition du régime communiste soviétique, il a forcé la main en forçant les Pères pour élire un autre pape, qui par coïncidence était le conciliateur Angelo Giuseppe Roncalli.

Si ces confidences étaient bien vraies, je n’ose pas penser à l’angoisse morale de quelqu’un qui s’apprête à emporter le secret dans sa tombe, alors qu’il aurait l’occasion de démasquer les manipulations de la mafia saint-galloise. S’ils n’étaient pas vrais, cela n’aurait aucun sens d’en parler même avec les personnes les plus fiables (qui, cependant, ont parlé à quelqu’un depuis que la nouvelle a été divulguée).

CFN : D’un point de vue humain, pensez-vous que le prochain Conclave ne répétera pas le résultat de 2013 ?

Sauf interventions extraordinaires de la Providence, le Collège des cardinaux est largement discrédité par Bergoglio : Caligula se borne à menacer de nommer son cheval Incitatus prêtre et consul ; cela crée plutôt des cardinaux qui, sous Pie IX, auraient été envoyés in partibus infidelium. L’issue du prochain Conclave paraît donc évidente, rebus sic stantibus . Mais si des preuves d’actes répréhensibles graves apparaissaient lors du Conclave de 2013, cela rendrait ipso facto l’élection qui a suivi, et par conséquent tous les actes de gouvernement et de magistère accomplis par l’élu, nuls et non avenus. Parmi ces actes, la création de Cardinaux, pour que tous les Consistoires de Bergoglio soient caducs : on se retrouverait comme par magie dans la situation de 2013 et cela perturberait les plans de Bergoglio, car les Électeurs du prochain Conclave seraient certainement moins enclins à répéter les erreurs déjà commises et, fort de l’expérience de cette décennie, pourrait élire la moins pire d’entre elles.

CFN : L’année prochaine, les Américains feront face à une autre élection présidentielle. En 2020, vous avez beaucoup soutenu les efforts de Donald Trump pour remporter un second mandat. À la lumière de sa promotion continue des vaccins COVID et de sa rhétorique en faveur de l’agenda LGBTQ, pensez-vous que les catholiques peuvent encore le soutenir dans une autre candidature à la présidence ? Le considérez-vous encore comme une sorte de « katéchon » ?

Le président des États-Unis d’Amérique peut être une sorte de katechon s’il comprend le coup d’État mondial perpétré par l’État profond . Je crois que Donald Trump a compris la tromperie à laquelle il a été soumis par Fauci et les autres vendeurs de BigPharma, et qu’il est également capable – comme Robert F. Kennery, Jr. est capable sur le front démocrate – de vérifier si le SRAS -Le virus CoV-2 fait partie d’un projet militaire, qui n’a fait appel à des sociétés pharmaceutiques que pour la production à grande échelle de sérums (d’ailleurs significativement démarré en 2019, avant la déclaration d’urgence pandémique).

En ce qui concerne les autres formes de soutien plus ou moins explicites à des mouvements ou idéologies contraires à la foi catholique, je voudrais suggérer au président de ne pas se laisser influencer par les rapports et les pourcentages des agences de communication électorale, et de réfléchir à la responsabilité devant Dieu des décisions que, en tant que président des États-Unis, il prend. La tâche du président des États-Unis est de gouverner son peuple pour le bien commun, selon la justice et dans le respect de la loi naturelle et divine. S’il remplit cette tâche, le Seigneur – qui est tout-puissant et qui décide du sort des nations et des individus – il le bénira et bénira le peuple américain; si vice versa il manque à ses devoirs et se laisse aller à la mentalité du monde et aux conseils de ses experts électoraux, il ne peut certainement pas s’attendre à ce que Dieu, offensé et désobéi, l’aide lui et la nation.

Il faut dire que Trump, lors de ses récents rassemblements, a vivement dénoncé les politiques éveillées et s’est engagé à lutter contre la transition de genre et les mutilations d’enfants, l’endoctrinement au genre dans les écoles, l’hypersexualisation de l’enfance et le trafic d’enfants. Il est significatif que, juste au moment où la perception populaire de la menace extrêmement grave du lobby pédophile augmente, le ministère américain de la Justice n’a rien de mieux à faire que de réduire le niveau d’alarme sociale : de toute évidence, le dôme de pervers qui manœuvre Biden sent la conscience du public respirer dans son cou.

En tout cas, je préfère mille atouts à un Biden, cela ne fait aucun doute. Aussi, parce que Trump s’est montré en fait beaucoup plus proche de l’image d’un politicien catholique que ne l’a fait le soi-disant catholique Biden.

CFN : Avez-vous des réflexions sur Robert F. Kennedy, Jr., et sa campagne pour remporter la nomination du Parti démocrate à la présidence ? Compte tenu de son soutien à l’avortement, un catholique pourrait-il voter pour Kennedy en toute bonne conscience ?

Robert Kennedy a certainement une vision claire de la pandémie et de la fraude aux vaccins et de l’assaut de l’État profond contre les droits fondamentaux des Américains. Les aspects positifs de son programme politique n’enlèvent rien au fait qu’il soutient l’avortement, ce qui signifie qu’on ne peut pas voter pour lui, d’autant plus que Kennedy se déclare catholique bien qu’il soit en grave contradiction avec l’enseignement de l’Église ainsi qu’avec la loi naturelle. Là aussi il faut un sursaut d’orgueil, qui laisse de côté les calculs électoraux et fait un choix radical. Le compromis n’est plus praticable aujourd’hui.

CFN : L’événement le plus important depuis que Joe Biden a pris ses fonctions a sans doute été le déclenchement de la guerre entre la Russie et l’Ukraine, qui semble avoir été provoquée au moins en partie par de mauvais acteurs. Que pensez-vous que l’État profond espère accomplir à travers ce conflit en cours ?

La crise ukrainienne a été préparée pendant des années, afin de détruire la Fédération de Russie par un processus de balkanisation, afin de garantir une hégémonie de l’anglosphère dans l’équilibre géopolitique international et de maintenir les nations européennes dans une position de subordination par rapport à l’anglo -puissance américaine.

Le conflit a entraîné un nouveau rapprochement de Poutine avec Xi Jinping, ce qui était largement prévisible et aurait pu être évité. Il est possible que pousser la Russie dans les bras de la Chine puisse constituer, dans l’esprit de la hiérarchie du Nouvel Ordre Mondial, le casus belli pour une déclaration de guerre à la Chine elle-même, ce qui est conforme à la demande de la Maison Blanche aux partenaires européens de mettre fin aux soi-disant accords commerciaux de la Route de la Soie. Cette demande aura non seulement de graves répercussions sur la réduction des exportations vers la Chine et sur les augmentations prévisibles des matières premières et des produits semi-finis en provenance de Chine qui ont été jusqu’à présent importantes ; elle constitue aussi le prémisse d’une instabilité et d’une crise économique qui sont généralement l’antichambre d’un conflit militaire, au profit des marchands d’armes et des profiteurs de la reconstruction (voir l’Irak, mais aussi la Grèce). Je doute cependant que l’élite ait le temps nécessaire pour atteindre ces objectifs : ses jours sont comptés, car le mensonge sur lequel repose son pouvoir est désormais exposé.

Au-delà des stratégies politiques d’une partie de l’establishment américain, on sait que la guerre en Ukraine a aussi servi à cacher les scandales de la famille Biden et à couvrir l’activité de biolaboratoires financés par le Pentagone et l’Amérique ou ses alliés : des virus artificiels génétiquement modifiés pour être efficaces sur certains groupes ethniques ont été découverts dans ces laboratoires, en violation des accords internationaux. L’échec partiel du projet de pandémie – qui prévoyait en 2015 de très fortes réductions de la population mondiale – est probablement dû au fait que Poutine a accéléré le début de son opération militaire et mis en prison les scientifiques de ces biolaboratoires.

N’oublions pas que l’Ukraine est le principal acteur du marché de la maternité de substitution, de la prédation d’organes et de la traite des êtres humains, qui alimente également le réseau pédophile. Les dénonciations des organisations humanitaires ne laissent aucun doute sur ces horreurs sans précédent : des enfants sont tués et démembrés pour envoyer leurs organes dans des cliniques en Occident ; des soldats ukrainiens blessés se font prélever leurs organes dans le même but ; la vie de créatures innocentes est vendue à de riches pervers pour satisfaire leurs abominables déviations. Et l’on sait à quel point l’État profond est composé de personnages susceptibles de faire l’objet d’un chantage précisément dans la poursuite de ces crimes exécrables, une dynamique mise en lumière par le récent film Sound of Freedom .

CFN : Si la paix en Ukraine était le véritable objectif, quelles mesures faudrait-il prendre pour l’obtenir ?

L’Ukraine agit comme un bélier dans la guerre par procuration de l’OTAN contre la Fédération de Russie, nous devrions donc d’abord cesser de considérer Zelensky comme un interlocuteur légitime dans tout accord de paix. S’il n’a compté pour rien dans la déclaration de guerre et dans la poursuite des actions militaires menées jusqu’ici, je ne vois pas quel devrait ou pourrait être son rôle à une table de négociations de paix.

Certes, la crise ukrainienne peut se terminer immédiatement, si Kiev redevient un tampon entre le bloc de l’OTAN – qui s’était auparavant engagé à ne pas s’étendre à l’Est – et garantit l’autonomie du Donbass et l’indépendance de Donetsk et de Lougansk. Le problème est que les dommages subis et la dette colossale contractée par l’Ukraine pour faire face à l’achat d’armes et à l’envoi de soldats au front rendent difficile la fin du conflit, notamment parce que la victoire contre la Russie est impossible sans l’accord officiel et l’implication d’autres nations. Tant qu’il y avait un plan pour envoyer simplement de vieux chars ou quelques volontaires, l’OTAN a convaincu ses pays membres de soutenir la guerre, mais je ne crois pas qu’ils veuillent vraiment déclencher une guerre mondiale, malgré les déclarations fulminantes de certains politiciens.

CFN : Dans des déclarations et interviews passées, vous avez exprimé un soutien notable à la Russie dans le contexte de la guerre. Alors que l’Ukraine a clairement le soutien des mondialistes occidentaux, n’êtes-vous pas d’accord pour dire que la forte alliance de la Russie avec la Chine communiste est tout aussi préoccupante, en particulier à la lumière des prophéties de Notre-Dame de Fatima concernant les « erreurs de la Russie » ?

Mon soutien n’est pas pour la Russie en soi, mais pour ceux qui s’opposent activement aux plans du Nouvel Ordre Mondial à ce stade. Il était bien connu qu’un conflit entre les États-Unis et la Fédération de Russie renforcerait inévitablement les liens de cette dernière avec la Chine : il reste à espérer que l’alliance entre Poutine et Xi Jinping ne soit pas seulement à l’avantage du régime communiste chinois, et que l’équilibre sera maintenu.

Je crois cependant que le moment est venu de sortir de la cage idéologique qui nous amène à considérer les Américains comme « bons » et les Russes comme « mauvais », sur la base d’un préjugé voulu et imposé par l’État profond. Comme l’a observé à juste titre Giulio Andreotti – avant d’être évincé de la politique internationale par l’intervention des services atlantiques avec la collaboration d’informateurs du crime organisé et de la mafia – « l’OTAN aurait dû être dissoute au profit d’un objectif social lorsque le mur de Berlin est tombé en 89 » ( Repubblica , 28 octobre 2004). Tant que nous ne réaliserons pas que les gouvernements occidentaux sont les otages d’un dôme d’élite de subversifs qui gèrent le pouvoir contre les peuples, nous ne pourrons pas vaincre ce cancer institutionnel qui altère l’équilibre international et se nourrit des guerres, de la famine et de la pauvreté.

Lorsque Notre-Dame parle des « erreurs de la Russie », nous devrions considérer que ces erreurs se sont maintenant répandues dans tout l’Occident, tandis qu’en Russie l’athéisme matérialiste et le communisme sont devenus une minorité. C’est en Occident — et même au sein de l’Église catholique — que les erreurs marxistes sont aujourd’hui publiquement professées par les gouvernements, dans une union infernale entre socialisme et libéralisme qui est l’expression des deux grands courants maçonniques, les courants socialiste et révolutionnaire de la franc-maçonnerie française. et les courants libéraux et institutionnels de la franc-maçonnerie anglo-américaine.

CFN : L’un des fléaux cachés de notre monde aujourd’hui est le trafic d’enfants. Le nouveau film Sound of Freedom avec Jim Caviezel, l’acteur qui a incarné Notre Seigneur dans La Passion du Christ de Mel Gibson , met en lumière ce fléau et appelle tout le monde à aider à l’éradiquer . Pendant ce temps, le ministère de la Justice de Joe Biden semble minimiser le problème ( ici ). Croyez-vous, comme le fait Caviezel, qu’il existe un lien entre les élites mondiales, les agences gouvernementales et la traite des enfants ?

Comme je l’ai dit plus tôt, l’Ukraine est au centre du trafic d’enfants et de la pédophilie, qui implique principalement les membres de l’élite satanique du Nouvel Ordre Mondial et les agences gouvernementales de nombreux États. Je ne suis pas surpris que cette élite cherche par tous les moyens à minimiser ou à cacher ces crimes odieux, en recourant également au pouvoir qu’elle possède à travers la politique, les médias et le monde du divertissement. Si nous pensons à la façon dont le fils de Joe Biden, qui a été photographié dans des poses avec des mineurs aussi obscènes qu’éloquentes, est toujours en liberté, nous devons nous demander quelles forces sont en jeu et quelle est la profondeur de la corruption de nos dirigeants. et toute la classe dirigeante qui gravite autour d’eux.

La dénonciation de Caviezel a le mérite de mettre au jour ce réseau de complicités et de crimes qui crient vengeance devant Dieu, et qui ne peuvent rester impunis. Je pense aussi que l’effondrement désormais imminent de l’ensemble de l’État profond sera davantage dû à l’indignation des citoyens ordinaires face aux horreurs qu’il a perpétrées contre les enfants qu’à la preuve de leur plan d’extermination de l’humanité au moyen de pandémies et de famines.

Quand j’entends Klaus Schwab déclarer : « Les confinements climatiques arrivent : plus de débat nécessaire », je me demande à quel point ces subversifs – Schwab, Gates, Soros, etc. – sont pressés de mener à bien leur projet infernal afin de cacher la réalité de ce qu’ils font. Leurs plans de contrôle total visent finalement à se garantir l’impunité en manipulant la Vérité et en imposant un mensonge.

CFN : À la lumière de la suppression croissante de la Vraie Messe par la hiérarchie, quels conseils donneriez-vous aux catholiques qui craignent d’assister à la Messe ou de recevoir des sacrements d’un prêtre dépourvu de facultés écrites ou en « statut canonique irrégulier » ?

Au cours des années 1970, alors que Mgr Marcel Lefebvre prend ses distances avec « l’église conciliaire » et continue d’ordonner des prêtres garants de la célébration de la messe catholique, les premières mesures prises contre la Fraternité sacerdotale Saint-Pie X sont d’ordre canonique : suspension un divinis pour avoir conféré les Ordres dans un institut devenu irrégulier du jour au lendemain. La même chose que Mgr Lefebvre avait faite jusqu’à la veille avec les encouragements du pape était devenue du jour au lendemain illicite. Ce n’est que quinze ans plus tard, en 1988, avec le sacre des évêques que l’excommunication est imposée à Lefebvre, puis révoquée par Benoît XVI. Mgr Lefebvre a eu la force de témoigner de sa fidélité au Christ même en désobéissant aux ordres de la Hiérarchie, et c’est grâce à cette sainte désobéissance que le clergé et les fidèles ont pu bénéficier d’abord du Motu Proprio Ecclesia Dei puis de Summorum Pontificum .

En fait, je dirais plus : beaucoup de ceux qui aujourd’hui se livrent à donner de petites leçons d’orthodoxie à d’autres, cherchant à démontrer l’acceptabilité de Vatican II, et qui assistent aux célébrations liturgiques de l’ancien rite avec l’accord tacite qu’ils ne rejeteront pas le Concile — ces individus ne peuvent le faire que grâce à « l’intransigeance », c’est-à-dire à la fermeté de principe, de Mgr Marcel Lefebvre, qui a dénoncé les erreurs de cette très malheureuse assemblée et la réforme liturgique qui l’a suivie. Sans son courage; sans le témoignage des prêtres qui ont continué à célébrer la messe de tous les âges et qui ont été arrachés des autels uniquement parce qu’ils étaient ordonnés par leurs évêques, le rite traditionnel aurait définitivement disparu de nos églises,

Et donc je me demande : est-il possible que l’autorité de l’Église puisse être utilisée pour empêcher la même chose que l’autorité de l’Église a bénie et louée avant le Concile ? Le pouvoir vicariant du pape et des évêques peut-il aller à l’encontre du but pour lequel Notre-Seigneur, détenteur de ce pouvoir, a établi l’Église ? Et encore : quelle crédibilité peut avoir l’autorité des Bergers lorsqu’elle établit d’abord une norme universelle, puis l’interdit, puis la restaure, puis enfin de facto supprime le même rite ? Il faut reconnaître que l’exercice de l’autorité ecclésiastique est indissolublement lié au but pour lequel le Christ a institué la Hiérarchie sacrée, et qu’aucun pouvoir subversif ne peut usurper cette autorité sans se mettre en opposition avec l’Église et avec le Christ lui-même. L’abolition de la messe apostolique par Paul VI pour la remplacer par une contrefaçon écrite par des hérétiques était un abus, et l’annulation de Summorum Pontificum par Bergoglio était aussi un abus. Ce n’est pas un hasard s’ils font tous deux partie d’une « Église conciliaire » détachée de l’Église catholique ; une « Église » autoréférentielle qui s’est séparée de la Tradition Sacrée, avec ses propres « saints », ses propres rites, sa propre doctrine et sa propre moralité, le tout en contraste frappant avec les Saints, les Rites, la Doctrine et la Morale de l’Église du Christ.

Quiconque entrave la célébration de la messe tridentine le fait indéfectiblement pour de mauvaises raisons. Mais dans toute l’histoire de l’Église, personne n’a jamais osé interdire la célébration du Saint Sacrifice sous une forme particulière au motif qu’elle n’exprime pas une « nouvelle ecclésiologie ». Car si quelqu’un avait jamais dit cela, il aurait implicitement reconnu par ces mêmes mots qu’il existe une nouvelle formulation doctrinale en contraste avec celle de la messe de tous les âges, ce qui, pour un catholique, est complètement inacceptable et inconcevable.

Si donc la messe de saint Pie V est hétérogène par rapport à la religion imposée par « l’Église conciliaire », alors c’est « l’Église conciliaire » qui se place hors de l’Église, et non ceux qui, ne changeant rien à ce qui a toujours été célébrée et crue, souhaite défendre un rite qui a façonné et façonne encore la sainteté des fidèles et des prêtres.

J’ai personnellement fondé l’ Association Exsurge Domine afin d’aider les prêtres et les religieux et religieuses qui sont persécutés par la junte bergoglienne. Nous construisons un village monastique dans la province de Viterbo en Italie, afin de donner un foyer aux moniales de Pienza qui ont été persécutées par le Saint-Siège et leur évêque. Nous aidons des prêtres laissés sans paroisse simplement parce qu’ils célèbrent la messe apostolique, des prêtres qui ont été retirés du ministère uniquement parce qu’ils n’acceptent pas l’apostasie actuelle. J’en appelle à tous les catholiques, leur demandant de contribuer à ce projet.

Les échecs de l’église profonde, comme ceux de l’état profond, peuvent être cachés et niés, mais ils sont apparents dans toutes leurs conséquences désastreuses. Pour extraire l’Église profonde du corps ecclésial — tout comme l’amputation d’un membre infecté — il faut avant tout dénoncer les faux bergers, résister fermement à leurs ordres illégitimes et coordonner la pastorale des petites communautés de ceux qui sont « réfractaires ”. Cela n’assurera probablement pas la victoire, mais notre engagement, notre désir sincère de servir le Seigneur et de sauver les âmes, notre témoignage de la cohérence de nos vies chrétiennes, pourront amener le Seigneur à ce « tout » que seul notre « néant  » peut bouger.

Et c’est, après tout, ce qui donne une raison d’espérer dans ces circonstances : pas le fatalisme (orthodoxe) de ceux qui attendent une intervention divine sans lever le petit doigt ; pas l’activisme (protestant) qui laisse de côté l’aide de Dieu et place tout son espoir en lui-même ; mais plutôt le pragmatisme sain (catholique et romain) qui combine la toute-puissance de Dieu pour décider du sort du monde avec la généreuse coopération de l’homme qu’il a créé et racheté. En un mot, c’est la multiplication des quelques pains et poissons.

10 août 2023
Saint Laurent Martyr »

6 août

« Après l'interview de François avec "Vida Nueva" / Monseigneur Viganò : "Préparons-nous pour un crescendo de provocations sans précédent"

Excellence, enfin motus velocior dit-on souvent de l'attitude de François visant à liquéfier le peu qui reste de la doctrine catholique et à épouser la pensée du monde. Les chroniques les plus récentes le confirment, dont l'énième entretien, cette fois. Quelle est votre évaluation ?

La Journée mondiale de la jeunesse, célébrée cette année à Lisbonne, a confirmé l'accélération du plan de Bergoglio pour provoquer un schisme. Ses dernières nominations, que définir comme provocatrices est un euphémisme ; les propos des futurs cardinaux, visant à entériner la « révolution bergolienne » ; la présence de James Martin pour promouvoir l'acceptation de l'idéologie LGBTQ chez les jeunes; la récente déclaration de Bergoglio à un transgenre : « Dieu nous aime tels que nous sommes, vas-y » [ ici ] : il ne manquait qu'une interview dans laquelle l'Argentin « avoua » à une rédaction de journalistes agenouillés et acclamés pour compléter le image [ ici ].

Le ton adorateur de l'interview est plus qu'embarrassant : ce qui, pour quelqu'un qui prétend détester l'hypocrisie et la servilité, semblerait tragique s'il n'était pas grotesque. La courtoisie mielleuse des journalistes va jusqu'à définir Bergoglio "comme un curé de village habitué à traiter tout le monde de la même manière, ou une femme qui se démène du matin au soir pour subvenir aux besoins de sa famille". Cependant, le lyrisme prégnant de Vida Nueva a l'inconvénient de souligner l'apparente spontanéité des propos de l'interviewé, largués comme des bombes à retardement attendant de les voir exploser.

De l'interview, il apparaît que Bergoglio s'attendait à moins que de devenir pape. Mais l'histoire dit quelque chose de très différent...

Je suis émerveillé par les dons littéraires de Bergoglio : l'évocation évocatrice de sa surprise lors de l'élection ne concilie pas avec ce que nous savons maintenant qu'il s'est passé au Conclave de 2013 et confié par un cardinal électeur mais incapable de le révéler publiquement. Et en se présentant comme un speculum totius humilitatis il parle de lui-même comme d'une « victime du Saint-Esprit et de la Providence », comme pour imputer le malheur de ce « pontificat » à Dieu lui-même, et non aux manipulations de l'Église profonde avec la Mafia de San Gallo, et de l' état profond avec les mails de John Podesta et Hillary Clinton.

Et nous arrivons aux bombes à retardement…

La première bombe à retardement : « Le Synode était le rêve de Paul VI. À la fin du Concile Vatican II, il s'est rendu compte que l'Église d'Occident avait perdu sa dimension synodale ». Une manière de confirmer le caractère subversif de la collégialité de Vatican II, en contrepoids à la primauté pétrinienne solennellement et infailliblement proclamée au Concile Vatican I par le bienheureux Pie IX. Ainsi apprend-on que la collégialité épiscopale théorisée par les innovateurs dans Lumen Gentiumelle devait se prévaloir du synode des évêques comme organe parlementaire sur le modèle des formes civiles de gouvernement. En substance, l'application dans la sphère ecclésiastique du principe maçonnique diffusé par la Révolution française pour renverser les monarchies catholiques. "Il s'agit d'avancer pour retrouver cette dimension synodale que l'Eglise d'Orient a et que nous avons perdue", affirme Bergoglio. Mais cette « dimension synodale » est un terme de novlangue moderniste pour ne pas admettre la subversion délibérée de la papauté comme forme d'autorité monarchique. C'est une attaque contre l'institution divine de l'Église, perpétrée par celui qui devrait plutôt la défendre contre les hérétiques. Nous assistons à la démolition de l'enseignement suprême et de l'autorité gouvernementale du Pontife romain, le lien de l'unité catholique, par celui qui est assis sur le Trône de Pierre et qui agit et est obéi en vertu de l'autorité reconnue par le Pontife Romain. C'est comme voir le chef des pompiers ordonner à ses subordonnés de verser de l'essence dans la brousse et d'y mettre le feu, après avoir fait vider les réservoirs et asséché les réserves d'eau.

On parle aussi du Synode de 2001…

Oui, dans l'inquiétante séquence des "remaniements de la réalité" de Bergoglio, il y a aussi un souvenir du Synode de 2001, quand Bergoglio évoque cet épisode : "Alors le cardinal chargé de la coordination est venu, a examiné les papiers et a commencé à dire : 'Ce n'est-ce pas que vous votez… même pas cela ». J'ai répondu: "Eminence, c'est hors des groupes..."". Et l'auditeur naïf pense: «Vous voyez comme Bergoglio est bon, qui veut que la base dise aux évêques quels sont les vrais problèmes des fidèles, etc. etc.", pour découvrir ensuite que ce qui était alors "sorti des groupes" était présenté comme tel, ni plus ni moins que ce qui s'est passé de façon farfelue au Synode de la Famille, dont les documents ont été préparés par l'entourage de Bergoglio et par lui préalablement approuvé ; et encore plus évidemment au Synode de Synodalité, pour laquelle le questionnaire envoyé aux diocèses, paroisses et groupes a été formulé de manière à exclure certaines questions et à orienter les réponses dans le sens souhaité. Quand Bergoglio rassure « Mais les choses ont été « épurées ». Nous avons fait des progrès et, aujourd'hui, tout est voté et écouté», il faut comprendre que les accrocs représentés auparavant par la CDF ou par d'autres Congrégations ont été éliminés soit avec la nomination d'hérétiques parfaitement alignés, soit avec l'exclusion des Romains Curie de tout rôle de coordination au profit des « Églises nationales » ou des Conférences épiscopales, toutes occupées par des hérétiques et des esclaves corrompus à Santa Marta.

« Nous avons aussi l'exemple du synode sur la famille. De l'extérieur, la Communion des divorcés s'est imposée à nous comme un thème majeur. Dans ce cas, il y avait celui de la psychologie ondulatoire, qui tentait de se développer. Mais, heureusement, le résultat est allé beaucoup plus loin… beaucoup plus loin». Au point - je dirais - de susciter la protestation formelle de quelques cardinaux et de nombreux prélats, prêtres, religieux et théologiens, face à l'écart de la doctrine traditionnelle sur l'adultère, le concubinage public et la famille. N'oublions pas l'opération frauduleuse avec laquelle certains hommes de main de Bergoglio sont allés voler dans les boîtes aux lettres des Pères synodaux le livre sur les erreurs d' Amoris lætitia dans lequel ils dénonçaient l'ingérence dans le déroulement du Synode par les progressistes.

Même dans les régions où la dissidence des fidèles et des pasteurs vis-à-vis du régime actuel du Vatican est la plus grande, comme l'Afrique par exemple, les rôles clés ont été confiés par l'autorité à des personnes qui bénéficient du soutien de Bergoglio, même s'ils sont tout à fait insuffisants pour occuper certains postes. d'une grande responsabilité.

Il semble donc que l'affirmation «Dans le Synode, le protagoniste est le Saint-Esprit» sert à donner une aura d'autorité aux décisions prises par Jorge Mario, qui n'ont absolument rien de divin, et se montrent en effet intrinsèquement opposées au Magistère catholique.

Au cours de l'entretien, un Concile Vatican III est évoqué…

Oui, ça arrive quand un journaliste de Vida nueva demande-t-il provocateur : « Ce synode sur la synodalité semble tout couvrir : des propositions de renouveau liturgique au besoin de communautés plus évangélisatrices, en passant par une vraie option préférentielle pour les pauvres, un vrai engagement en matière d'écologie intégrale, l'accueil des collectifs LGBTQ . A-t-on jamais pensé à lui donner la forme du Concile Vatican III?». Nous serions horrifiés même d'entendre l'hypothèse qu'un Synode pourrait traiter de sujets très délicats – la réforme liturgique et l'évangélisation des communautés – et d'autres totalement étrangers aux finalités de l'Église, comme « une véritable option préférentielle pour les pauvres, une véritable engagement en matière d'écologie intégrale, d'accueil des collectifs LGBTQ ». Et pourtant, ce sont les sujets abordés aux JMJ 2023, ces jours-ci. Et ce sont les thèmes - répétés de manière obsessionnelle par les médias, dans les écoles, sur le lieu de travail, en politique - de l'Agenda 2030 et de la Grande Réinitialisation, tous deux ontologiquement incompatibles avec la religion catholique parce qu'ils sont intrinsèquement anti-chrétiens et anti-chrétiens.

La réponse de Bergoglio est inquiétante : « Les choses ne sont pas mûres pour un Concile Vatican III. Et ce n'est même pas nécessaire en ce moment puisque Vatican II n'a même pas encore commencé. C'était très risqué et il fallait payer. Mais il y a toujours cette peur qui s'insinue parmi nous chez les "vieux catholiques" qui déjà à Vatican I se définissaient comme "dépositaires de la vraie foi"».

Quel est l'objectif final ?

Nous avons compris que le but principal de Bergoglio était de semer la division et de détruire. Son modus operandi est toujours la meme chose. Tout d'abord, elle provoque artificiellement un "débat" sur des questions qui ne peuvent pas faire l'objet de controverses dans l'Église, ayant déjà été définies par le Magistère : d'un côté les ultra-progressistes et de l'autre les conservateurs. Les catholiques traditionnels, comme je l'ai expliqué plus tôt, n'ont pas suivi ces illusions de Newchurch depuis longtemps, et ils s'en accommodent parfaitement. Puis il fait proposer ce qu'il veut obtenir – une modification doctrinale, morale, disciplinaire, liturgique – par un médiateur ostensiblement neutre qui tente de trouver un compromis tout en se pliant en réalité au côté progressiste. À ce stade, Bergoglio, d'en haut et comme s'il découvrait seulement alors qu'il y a une question à clarifier sur laquelle une déclaration faisant autorité est nécessaire, impose un changement qui semble moins grave que ce que les ultra-progressistes avaient demandé, mais qui reste inadmissible pour un catholique, alors contraint de désobéir. Et sa désobéissance devient instantanément hérésie ou schisme, simplement en rappelant les erreurs des anciens catholiques à Vatican I.

Mais c'est là que réside la tromperie la plus perfide : les déviations doctrinales des anciens catholiques sont rejetées de manière simpliste par Bergoglio comme une prétention à être "les dépositaires de la vraie foi" - quelque chose que chaque hérésiarque a toujours essayé de défendre - tandis que les anciens catholiques ont montré que ils partagent avec eux l'église bergoglienne qui a bien plus d'hérésies qu'elle n'a de vérités communes avec les traditionalistes, à commencer par le sacerdoce féminin. Et il est surprenant que Bergoglio ne se souvienne pas que les revendications doctrinales des anciens catholiques ont commencé bien avant le Concile Vatican I, pour des questions de nominations papales d'évêques aux Pays-Bas, mais ont rapidement montré leur assonance avec les modernistes,

Nous avons donc compris que l'identification d'un ennemi - en l'occurrence « les rigides », c'est-à-dire les catholiques fidèles au Magistère immuable - est le corollaire de la déification de la Révolution dans l'Église : le Synode est l'œuvre de l'Esprit Saint et Bergoglio est victime de la Providence. Alors soit on accepte l'apostasie comme voulue par Dieu – ce qui est absurde autant que blasphématoire – soit on se retrouve ipso facto dans le cercle des ennemis de Bergoglio, méritant ainsi la condamnation réservée aux hérétiques et aux schismatiques. Étrange façon de comprendre la parrêsia et l'inclusivité de l'église de la miséricorde.

L'interview reprend aussi le thème du "rigide" tant détesté par le pape...

"François n'ignore en rien la résistance à la réforme qu'il s'apprête à mener", commente un journaliste. Et il cite les paroles d'un prêtre "qui a un pied dans la Curie et l'autre dans son diocèse": "Je suis préoccupé par la rigidité des jeunes prêtres", dit Bergoglio. Et il vous a semblé!

Que le lecteur se rassure, étonné que Bergoglio ne se soit pas encore aventuré dans un de ses monologues contre les prêtres non pas traditionnels, mais même vaguement conservateurs. Les rigides, en fait, à l'égard desquels il a tissé une série inégalée d'insultes depuis les premiers jours de son « pontificat ». La provocation du prêtre "qui pue l'odeur du mouton" - j'imagine en jeans et baskets - est sautée par l'acteur, qui répond promptement : "Ils réagissent comme ça parce qu'ils ont peur d'un moment d'insécurité que nous vivons vivent et que la peur ne les laisse pas marcher. Nous devons éliminer cette peur et les aider." Une approche psychanalytique qui laisse bouche bée, en vérité, et qui trahit la volonté de reprogrammer le Clergé, justement préoccupé par un "moment d'insécurité" qui perdure depuis soixante ans, afin de l'inciter à céder aux innovations et aux déviations du Concile. Mais les paroles de l'entendement pharisien se transforment aussitôt en accusations et en insinuations : « Par contre, cette carapace cache beaucoup de pourriture. J'ai déjà eu à intervenir dans certains diocèses de différents pays avec des paramètres similaires. Derrière ce traditionalisme, nous avons découvert de graves problèmes moraux et des vices, des doubles vies. Nous connaissons tous des évêques qui, ayant besoin de prêtres, ont eu recours à des gens qu'ils avaient chassés d'autres séminaires parce qu'ils étaient immoraux ».

Il faut s'étonner de la détermination de Bergoglio à éradiquer l'indicible vice grec des séminaires conservateurs, mais de ne pas vouloir le voir même face aux plaintes des victimes du prédateur en série McCarrick, harceleur de séminaristes et de jeunes clercs, ainsi que la mafia lavande de ses sbires, crée des cardinaux et les promeut au sommet des dicastères romains. Et il ne semble pas que ce nouveau Pier Damiani de Santa Marta juge l'ancien jésuite Rupnik, dont il a révoqué l'excommunication pour les crimes très graves et les sacrilèges innommables qu'il a commis, digne de ses flèches. Si vous voulez voir Rupnik enchaîné dans une cellule de Castel Sant'Angelo, mettez le chapeau romain sur sa tête.

Cette indulgence de Bergoglio envers ses protégés – qui compte une longue liste de frères jésuites, unis par l'hérésie sur le plan doctrinal et la sodomie sur le plan moral – ne s'explique peut-être pas par le fait que lorsqu'il était maître des novices le Was Argentino se comportait en un parcours qui n'est pas sans rappeler celui de l'ex-archevêque de Washington ? Qui legit intelligat .

Oublions donc les paroles de Notre-Seigneur dans l'Évangile : "Viens, bon et fidèle serviteur, car tu as été fidèle en peu de temps" (Mt 25,21), et écoutons la "victime de l'Esprit Saint" : "Je n'aime pas la rigidité car c'est un mauvais symptôme de la vie intérieure. Le pasteur ne peut pas se permettre d'être rigide. [...] Quelqu'un m'a dit récemment que la rigidité des jeunes prêtres vient du fait qu'ils sont fatigués du relativisme actuel, mais ce n'est pas toujours le cas". Et l'on retrouve ici le cliché typique des anticléricaux du XIXe siècle : celui qui se montre vertueux est un pharisien qui cache des vices impurs, tandis que celui qui semble vicieux et immoral est en fait bon et n'a besoin que d'être accepté.

Voici donc les "bienheureuses Imeldas" - je suppose que vous faites référence à la bienheureuse Imelda Lambertini, une religieuse dominicaine décédée après avoir reçu miraculeusement la Sainte Eucharistie apportée en vol par les anges - c'est-à-dire les prêtres d'un monde irréel et irrévérencieux modèle de religiosité religieuse ostentatoire, qui fait « un visage de saint », à mettre devant « des séminaristes normaux, avec leurs problèmes, qui jouent au foot, qui ne vont pas dans les quartiers pour dogmatiser ». Mieux vaut un bon laïc qu'un mauvais prêtre, les mangeurs de prêtres du passé résumaient avec moins d'hypocrisie, sachant pertinemment que le paradoxe devait servir à stigmatiser la majorité des bons et non la minorité des mauvais.

Le commentaire de la rédaction de Vida Nueva est inquiétant : « Une fois ordonnés ces prêtres identifiés comme « rigides », comment sont-ils accompagnés pour entrer dans Vatican II ? Car, au fond, ils souffrent de ne pas pouvoir accueillir ce qui vient…».

En effet, il semble entendre parler un membre du Comité central du Parti communiste chinois : comment reprogrammer ces prêtres, les forcer à accepter les innovations du Concile ? Avec du chantage, de l'autoritarisme, de l'intimidation et surtout en leur montrant ce qui arrive à ceux qui ne cèdent pas. Les faire « adoucir » : « Il y a des gens qui vivent piégés dans un manuel de théologie, incapables d'avoir des ennuis et de faire avancer la théologie ». Pour "avoir des ennuis", comme l'affirme Bergoglio, il ne faut pas être hérétique ou corrompu, mais fidèle au Magistère, "pris au piège dans un manuel de théologie". Et il conclut par une de ses perles de sagesse : « La théologie stagnante me rappelle que l'eau stagnante est la première à se corrompre, et la théologie stagnante crée la corruption ».

La solution proposée par Bergoglio va dans le sens d'une sécularisation des instituts de formation cléricale : « Il faut mettre l'accent sur une formation humaniste. Ouvrons-nous à un horizon culturel universel qui les humanise. Les séminaires ne peuvent pas être des cuisines idéologiques. Les séminaires doivent former des pasteurs, pas des idéologues. Le problème des séminaires est sérieux».

Rappelons que les disciplines « humanistes » sont umanæ res et litteræ , et que « l'humanisation » d'une éducation laïque et universelle n'y est pour rien. Sans dire que si un séminaire ne dispense pas une formation intellectuelle et doctrinale - hâtivement définie comme "cuisine idéologique" - les nouveaux prêtres n'auront rien de nouveau à enseigner au monde, se rendant ainsi inutiles et superflus.

Bergoglio démontre une fois de plus qu'il dénonce le comportement des autres comme répréhensible, au moment même où lui-même l'adopte. En ce qui concerne la nécessité de privilégier la relation de l'évêque avec son troupeau, il ne se rend pas compte que ses propos sonnent moqueurs lorsqu'il déclare : « Vous voyez déjà que dans les nouvelles nominations d'évêques - non seulement en Espagne, mais dans le monde entier - je appliquer un critère général : une fois qu'un évêque est résidentiel et assigné, il est déjà marié à ce diocèse. Si vous en regardez un autre [si vous espérez un transfert], c'est "l'adultère épiscopal". Quiconque cherche une promotion commet un “adultère épiscopal”». Pourtant, des évêques aimés de leurs fidèles - comme Mgr Joseph Strickland au Texas - font l'objet d'intimidations et de visites apostoliques, dans le but de les destituer, les obligeant à démissionner.

L’entretien collectif aborde également le thème du tournant vert …

Oui, inévitable. «Pour novembre, avant la tenue du Sommet des Nations Unies sur le climat à Dubaï, nous organisons une réunion de paix avec les chefs religieux à Abu Dhabi. Le cardinal Pietro Parolin coordonne cette initiative, qui se déroulera en dehors du Vatican, dans un territoire neutre qui invite tout le monde à se rencontrer». Car – nous l'avons compris – l'important est de se rencontrer, de cheminer ensemble, « dans un lieu neutre » même si le chemin emprunté mène vers l'abîme. Et nous savons bien que "neutre" signifie ostensiblement non-catholique, dans lequel il n'y a pas de place pour Notre-Seigneur : l'empressement de Bergoglio à apparaître dans tous les événements ouvertement hostiles au Christ suffirait à comprendre à quel point il est complètement étranger, incompatible et hétérogène quant au rôle qu'il recouvre.

Que prévoyez-vous pour l'avenir immédiat?

Préparons-nous à un crescendo de provocations sans précédent : des bombes à retardement prêtes à exploser pour semer la désorientation, la confusion, la division. Mais préparons-nous aussi au réveil des consciences, d'abord des fidèles et du clergé, mais - Dieu nous en préserve - aussi de certains évêques, face à de telles énormités, pour la défense de l'Église du Christ. Très bientôt, nous aurons peut-être à nos côtés de braves gens honnêtes et bons qui ne peuvent plus se livrer aux divagations d'une secte d'hérétiques infidèles, sans espoir et sans charité. » (aldomariavalli.it)

3 août

Intervention de Mgr Vigano:

« Note de la rédaction : Le texte suivant est tiré du discours de Mgr Carlo Maria Viganò lors d’une conférence avec le mouvement politique Civitas à Pontmain, France, le 29 juillet 2023.

Ne croyez pas que je sois venu apporter la paix sur la terre ; Je ne suis pas venu apporter la paix, mais une épée. Je suis venu séparer le fils de son père, la fille de sa mère, la belle-fille de sa belle-mère : et on aura pour ennemis ceux de sa propre maison. – Mt 10 : 34‐36

( LifeSiteNews ) — Permettez-moi, chers amis, d’adresser mes salutations à tous les organisateurs de cette nouvelle édition de votre Université d’Été, en particulier au président de Civitas, Alain Escada ; aux intervenants, dont les interventions éclairent les différents aspects de la crise civile et ecclésiale actuelle ; et aux participants qui, par leur présence, confirment la détermination des bons catholiques à combattre le bonum certamen sous les bannières du Christ-Roi.

Ces rencontres de formation doctrinale, culturelle et sociale sont le signe d’un éveil des consciences et des cœurs : Quia hora est iam nos de somno surgere. Nunc enim propior est nostra salus, quam cum credidimus . C’est maintenant l’heure de se réveiller du sommeil, car notre salut est plus proche que lorsque nous avons accepté la foi pour la première fois (Rom 13:11).

La consistance du bien

Comme il y a une consistance du bien, il y a aussi une consistance du mal. Le bien, attribut substantiel de Dieu, a aussi sa propre consistance dans ce qui y participe : l’amour de la mère qui prépare le goûter de ses enfants ; la sollicitude du propriétaire de l’entreprise envers ses employés ; la préparation des cours par le professeur ; le dévouement du médecin aux patients; la disponibilité du prêtre dans le soin des âmes qui lui sont confiées – tout cela est conforme au bien.

Même repasser une chemise, entretenir le jardin, organiser une conférence, fêter un anniversaire avec ses proches devient cohérent avec ce que nous sommes, car nous nous comportons selon ce que nous sommes : Agere sequitur esse .

Ceux qui vivent dans le bien et donc dans le vrai ; ceux qui « respirent » le bien – des célébrations auxquelles ils assistent à l’église aux interactions avec leurs proches et à l’éducation dans la famille – n’ont pas besoin de vouloir faire le bien, car cela vient spontanément dans une bonne âme. Et c’est exactement ce que la grâce accomplit en nous, en transformant des actions qui sont en elles-mêmes moralement neutres – ou seulement humainement bonnes – en œuvres vertueuses, où l’habitude dans le bien devient vertu et tout imprègne notre vie ; et à ajouter aux actions bonnes dans l’ordre naturel ce quid qui les élève dans l’ordre surnaturel en les dirigeant vers une fin supérieure.

D’un autre côté, quand vous aimez le Seigneur, que pouvez-vous souhaiter de plus beau et de plus satisfaisant que de faire sa volonté ? Et quoi de plus motivant, dans nos relations avec nos prochains, que de leur faire connaître ce Vrai Saint qui est aussi suprêmement Bon et Juste ? Bonum diffusivum sui , selon l’adage scolastique : Le bien est en soi expansif, susceptible de se répandre. Cela nous est démontré par l’œuvre du Créateur, qui à partir de rien fait exister toutes les choses, visibles et invisibles. Cela nous est confirmé par l’œuvre du Rédempteur, qui tire l’homme rebelle en Adam de l’abîme de l’offense à la majesté divine par le sacrifice de l’Homme-Dieu.

La consistance du mal

Mais comme il y a une consistance dans le bien, il y a aussi une consistance dans le mal ; et ces actions que nous jugeons apparemment peu graves – si nous ne les contextualisons pas – s’avèrent être les rouages ​​d’un engrenage, peut-être marginal et petit, mais qui lui permettent de fonctionner, et sans lequel quelque chose se bloquerait.

C’est pourquoi le mal – qui est ontologiquement un non‐être, une absence de Bien – essaie de s’insinuer dans nos âmes à petits pas, obtenant des échecs progressifs, s’assurant qu’il ne suscite en nous aucune inquiétude ni aucun remords ; puis grandit et se développe comme un cancer. Et là où le bien apporte plus de bien, le mal appelle plus de mal, nous habituant à lui et à tout ce qu’il attire.

Les plans infernaux de l’élite mondialiste – dont nous avons vu qu’ils sont intrinsèquement mauvais – sont également cohérents les uns avec les autres, car ils sont motivés par la haine de l’adversaire envers le Christ. le projet de Bill Gates d’obscurcir le soleil et de vacciner la population mondiale ; le plan de Soros d’envahir les pays occidentaux par des hordes de musulmans et de saper la famille naturelle en finançant les mouvements éveillés et LGBT ; le plan de Klaus Schwab pour nous forcer à manger des insectes ou nous confiner dans des « villes intelligentes » de 15 minutes ; le projet de Harari d’effacer l’idée d’un Dieu transcendant et de composer une Bible « politiquement correcte » ; le plan de l’État profond pour centraliser le contrôle des citoyens au moyen de l’identification numérique, de la monnaie électronique et de la manipulation du vote ; Le plan de Bergoglio pour transformer l’Église en une agence de l’ONU.

Dans tout ce qui s’est passé ces dernières décennies sous une forme plus souterraine – et plus récemment de manière évidente – on peut voir un mensonge, une intelligence capable de s’organiser d’une manière qui apparaît à la fois infaillible et imparable. Car il faut bien l’admettre : celui qui a construit cette machine infernale, dont tous les engrenages semblent s’imbriquer parfaitement, fait preuve d’une intelligence supérieure, angélique, voire satanique.

La victoire apparente des méchants

Notre observation de l’efficacité organisationnelle des méchants ne doit pas nous effrayer, ni nous faire renoncer à lutter contre leurs plans. En effet, je crois que c’est précisément cette « perfection » dans le camp ennemi qui finira par constituer sa propre condamnation : Simul stabunt, simul cadent , dit l’adage latin – ils tiendront ou tomberont ensemble. Et il en sera bien ainsi, car le triomphe du mal est une fiction, une simulation, simplement la mise en scène d’une scène, une scène qui repose – comme tout ce qui vient de Satan – sur l’apparence et le mensonge.

Revenons un instant à Pâques de l’an 33 ap. J.-C. Plaçons-nous parmi ceux de Jérusalem qui ont été témoins de la crucifixion de Jésus, après l’avoir vu accomplir des miracles et des guérisons. Même sur le Golgotha, en l’absence des apôtres, la mise en scène de Lucifer aurait dû entériner la défaite du Messie, la dispersion de ses disciples, l’envoi de son enseignement aux oubliettes et le désaveu de sa divinité.

Mais précisément sur la Croix, instrument de mort et d’infamie, le sort de l’humanité a été renversé par celui qui par la mort du corps a rendu la vie à l’âme, et qui, se laissant clouer à ce bois, a cloué enfer à ça. O mors, ero mors tua . Notre nature, blessée par le péché originel, a du mal à comprendre que la victoire du Christ s’accomplit selon la logique de la charité plutôt que selon la logique de la haine, et que sa victoire est d’autant plus inexorable et définitive que nous ses enfants laisser plus de place à l’action de Dieu et moins de confiance dans les moyens humains.

Satan l’illusionniste

Ne jugeons donc pas l’apparente « vie heureuse de ceux qui sont mauvais » du Psaume 36 comme le signe d’une défaite inéluctable : cet impressionnant déploiement de forces, cette scénographie qui semble si réaliste, cette chorégraphie impressionnante, tout cela constitue la seule ressource dont le grand menteur peut puiser – l’illusion – et le seul moyen de nous faire croire qu’il est puissant et invincible. C’est un grand magicien, c’est certain : mais à ce titre il peut nous émerveiller en tant qu’illusionniste, nous tromper avec ses tours qui, une fois sortis de scène et vus au grand jour révèlent leur pathétique incohérence.

L’astuce de sortir un lapin d’un chapeau ou le spectacle d’une femme sciée en deux ne marchent que tant que le public reste à distance, se laisse tromper par la lumière tamisée et les gestes théâtraux du magicien – et c’est ainsi également avec les mantras du respect de l’environnement, de la santé des citoyens et de la fraternité universelle. En revanche, qui parmi les spectateurs d’un spectacle « magique » ou quelqu’un qui s’attarde dans le métro à regarder un artiste jouer au jeu des trois petites tasses penserait que les « trucs » sont réels ? Qui donnerait crédit à un docteur Dulcamara qui propose, comme dans l’œuvre de Donizetti, un médicament qui est « un remède contre les maux de dents, une liqueur admirable et un puissant destructeur de souris et de punaises de lit ? (Felice Romani, L’élisir d’amour, scène V, Dulcamara).

La fiction – ou, plus précisément, une vente frauduleuse, car c’est de cela qu’il s’agit – est la marque du commerce de Satan. Comprate il mio specifico, per poco ve lo do – Achetez mon article ; Je te le donne pour un peu d’argent . Ce marchand filou – et avec lui tous ses serviteurs, non moins occupés à vendre leurs breuvages – nous rappelle certains personnages qui, il y a encore quelque temps, sur les parkings des restaurants d’autoroute, offraient aux imprudents un magnétoscope pour quelques euros, qui se sont alors révélés être une enveloppe alourdie par une brique ; ou ceux qui, en échange d’une somme pour le traitement de la notarisation, promettent dans un e-mail de donner au lecteur l’héritage d’un millionnaire africain qui vient de décéder.

Mais si nous savons tous parfaitement que derrière ces promesses retentissantes il n’y a qu’une fraude contre nous, pourquoi y a-t-il encore ceux qui y croient ? L’efficacité de l’inoculation expérimentale de masse de sérum d’ARNm n’était-elle pas tout aussi manifestement fausse ? Le récit de la crise énergétique, obtenu en imposant des sanctions au plus grand exportateur européen de gaz naturel, n’est-il pas tout aussi ridicule ? La fraude environnementale n’est-elle pas grotesquement infondée ? Pourtant, en regardant autour d’eux, il semble que beaucoup, beaucoup de gens sont plus que disposés à croire les mensonges de ces Dulcamaras, ces colporteurs forains qui, du Forum économique mondial ou de la Fondation Bill & Melinda Gates, de l’Union européenne ou de l’Organisation mondiale de la santé, vantent les vertus de leurs filtres miraculeux : revenu universel, abolition de la pauvreté, défaite de la maladie et de la paix. Seulement pour découvrir que nous devons payer ce revenu universel en nous endettant et en abandonnant la propriété privée, que leur « abolition de la pauvreté » mène à la misère des individus et des nations, que Big Pharma veut que nous ayons un besoin chronique de soins médicaux, et que la paix du Nouvel Ordre Mondial signifie la guerre perpétuelle.

Comment était-ce possible ?

Beaucoup ces dernières années se sont demandé : comment était-il possible qu’une si grande partie de l’humanité ait pu consentir à tout cela ? Si l’on regarde en arrière – en remontant aux années 1980, par exemple, avant que la haute finance ne décide d’attaquer les nations européennes avec la privatisation des biens de l’État et avec la destruction définitive de la société et de la famille, qui avait déjà commencé bien avant -, cela semble presque impossible qu’en peu de temps l’ennemi aurait pu prendre des mesures aussi impressionnantes sans susciter de réactions et de résistance significatives. Et si nous écoutons les paroles de ceux que Roncalli appelait des prophètes de malheur, qui dès les premières séances de Vatican II ont annoncé l’apostasie à laquelle cela conduirait,

Et nous revenons ici à la fraude, à l’adultération de la foi, de la morale, de la liturgie, à la tromperie coupable de ceux qui, constitués en autorité, se révèlent ennemis de ceux qu’ils devraient au contraire protéger, et amis de ceux qu’ils devrait s’opposer ou se convertir. La chimère d’une fraternité dépourvue de la paternité commune de Dieu est démasquée comme fraude ; l’actuosa participatio qui a détruit le culte public en le protestantisant est une fraude ; le sacerdoce partagé des fidèles est une fraude, frauduleusement insinuée au concile pour affaiblir le sacerdoce hiérarchique ; la prétendue démocratisationde l’Église est fraude : Son Divin Fondateur l’a voulue monarchique, ce qu’aucune autorité humaine ne pourra jamais changer ; l’œcuménisme est aussi une fraude, par laquelle la majesté divine est humiliée au niveau de la prostitution, comme l’Écriture appelle avec éloquence les fausses religions. Tous les dieux des païens sont des démons (Ps 96:5), et les sacrifices des païens sont faits aux démons et non à Dieu (1 Co 10:20).

La bonne question

Essayons de reformuler plus clairement la question : « Comment a-t-il été possible que des peuples qui ont grandi dans l’héritage de la pensée grecque et romaine, à la lumière de la Révélation chrétienne et de la civilisation qu’elle a édifiée, aient décidé de croire à un faux mensonge flagrant, à savoir que la paix, la concorde, la prospérité et le bonheur loin de Dieu sont possibles ? En effet, se rangeant ouvertement du côté d’un ennemi que le Christ a déjà vaincu et vaincu ? »

En y regardant de plus près, nous aurions pu également poser cette question à Adam et Eve : « Vous étiez dans le paradis terrestre ; vous avez rencontré le Seigneur et lui avez parlé ; vous n’avez eu ni maladie ni mort; vous aviez une intelligence agile dans l’apprentissage et la compréhension ; tu n’étais pas sujet à la convoitise de la chair… tu avais tout, parce que tu avais Dieu : eh bien, comment as-tu pu croire le serpent, qui t’a promis qu’en désobéissant à l’ordre du Seigneur tu obtiendrais ce que tu avais déjà ? Quand il était évident qu’une créature rampante ne pourrait jamais rivaliser avec l’omnipotence du Créateur ?

On retrouve des promesses semblables dans les tentations auxquelles Notre-Seigneur a voulu se soumettre dans le désert : même dans ce cas, Satan offre au maître de toutes choses les domaines de la terre qui lui appartiennent déjà, osant lui demander en échange une acte d’adoration idolâtre aussi absurde qu’impossible. Tout cela sera à vous, si vous vous prosternez et m’adorez (Lc 4, 7). A ces absurdités dictées par un esprit pris au piège et obstiné dans la mauvaise volonté, le Seigneur répond en citant l’Ecriture, sans même daigner argumenter leur fausseté. Car avec le diable il ne peut y avoir de discussion : c’est une perte de temps. Satan doit être chassé et tenu à l’écart.

Le péché de l’homme moderne et contemporain

La fraude colossale qui a été ourdie contre l’homme moderne n’est en rien différente de celle qui a marqué la chute de nos premiers parents : croire le mensonge en tant que tel, renverser l’ordre divin. Nous n’avons pas été trompés par un nouveau mensonge, car la même tromperie est évidente depuis le début : devenir sicut dii en mangeant l’arbre de la connaissance du bien et du mal ou prétendre que les amputations chirurgicales peuvent transformer un homme en femme est sensiblement la même tromperie, comme offrir nos premiers-nés à Baal ou les tuer dans l’utérus pour ne pas augmenter l’empreinte carbone.

Ce que Satan nous demande, ce n’est pas tant d’accomplir une action répréhensible, mais de nous la faire faire en acceptant comme vraie qu’elle n’a pas de conséquences : jette-toi du haut de cette tour, et tes anges viendront te soutenir. Faites-vous vacciner avec ce sérum expérimental, et vous ferez un geste d’amour. Achetez un enfant avec une grossesse de substitution et vous serez un parent. Renoncez à votre liberté et vous serez libre. Achetez ce que vous ne pouvez pas vous permettre et vous endetterez pour toujours, et vous serez heureux. Enfermez votre mère âgée dans une maison de retraite et elle sera prise en charge par du personnel qui la fera se sentir bien. Laissez vos enfants changer de sexe et ils se sentiront comblés. Que l’État soit laïc et légifère sans condition de la part de l’Église, et la concorde régnera entre les fidèles de toutes les religions.

Aucune de ces promesses n’a même un semblant de vérité : ce sont toutes des mensonges, et à ce titre le Prince du Mensonge veut que nous les acceptions, car avec elles nous acceptons la subversion de l’ordre divin. C’est pourquoi ce n’est pas une erreur, mais un péché dont nous sommes moralement responsables.

Les conséquences d’accepter le mensonge

Le concept de tolérance du mal – qui, dans une société encore chrétienne, pourrait en quelque sorte admettre des exceptions limitées pour un plus grand bien – a été annulé par la société civile et l’Église lorsque, ayant perdu la référence transcendante du bien suprême et du saint vrai – le Seigneur Dieu – il n’y a plus de mal à tolérer, ni de propriété à protéger.

Car l’acceptation contemporaine à la fois de la vérité et de sa négation – le mensonge – est une contradiction logique, avant même d’être théologique. Et c’est le résultat d’un processus qui, je crois, mérite d’être analysé très attentivement.

Subversion par l’autorité

Le processus auquel je me réfère est cette séquence d’événements liés qui a conduit l’Église catholique – et avec elle les nations dans lesquelles les catholiques sont présents et socialement pertinents – à personnaliser la relation des fidèles avec Dieu là où elle avait été publique – par le culte, le; liturgie – et de collectiviser, pour ainsi dire, la relation des fidèles avec Dieu, quand elle avait été personnelle – conversion, prière, méditation, expérience ascétique et mystique.

Cette inversion – empruntée aux protestants – fait en sorte que l’action du culte public de l’Église devienne un moment d’auto‐célébration d’individus et de groupes, et non la voix chorale de l’Épouse ; et en même temps elle annule l’union intime de l’âme avec son Seigneur – qui ne peut être atteinte que dans le souvenir individuel – pour exalter une « communauté », lui donner la consistance et l’attrait d’une « marche ensemble », même si la marche n’a pas de but.

La normalité hiératique, qui se dresse au-dessus du temps et de l’espace, cède au caractère provisoire de l’expérience, au résultat inconnu, à la créativité pathétique ou à l’improvisation sacrilège. Et ce principe s’étend nécessairement à la vie civile, où le témoignage du catholique non seulement n’est pas nécessaire, mais est bien à déplorer ; et où les dirigeants, même s’ils sont théoriquement catholiques, peuvent légiférer contrairement à la loi de Dieu et à l’Église. Parce que chacun d’eux est persuadé qu’il peut penser d’une manière et agir dans l’autre sens, alors qu’en réalité ils finissent par penser en fonction de leur comportement.

Le rôle de l’Église profonde

Tant que la hiérarchie de l’Église était fidèle à son mandat, toute persécution des gouvernements anti‐catholiques et révolutionnaires était affrontée avec honneur et fermeté, souvent même avec l’héroïsme du martyre, comme en Vendée, en Espagne, au Mexique, en Union soviétique. , et la Chine. Mais dès que Vatican II a « réinitialisé » la hiérarchie dans un sens libéral et progressiste, la hiérarchie elle-même a commencé à promouvoir la sécularisation de la société et l’exclusion volontaire de l’Église et de la religion de toutes les sphères de la vie civile, allant jusqu’à appeler à la révision des Concordats.

En l’espace de quelques générations, la civilisation chrétienne qui s’est construite grâce à l’Église catholique a été niée et oubliée, au point de saper les fondements du contrat social. Il ne s’agit pas de statistiques ou de chiffres – qui peuvent aussi être documentés – mais d’un changement radical de la société, des principes qui animent ses citoyens, des espoirs que les grands-parents et les pères ont pour les générations futures. Je parle de la capacité de nos grands-parents et de nos parents à renoncer à tant de conforts pour garantir une éducation ou un foyer à leurs enfants ; Je parle du décrochage de la famille par le divorce, de la création délibérée d’une crise économique qui rend impossible d’être autonome, de pouvoir se marier et d’éduquer des enfants, de savoir que l’autorité civile et religieuse sont amies,

Cela a également conduit des générations à perdre progressivement mais inexorablement tout cet héritage de comportements quotidiens, d’idiomes et d’habitudes qui étaient la traduction pratique de la manière d’être d’un catholique ; un abandon encouragé par ceux qui ont inculqué aux citoyens et aux fidèles un sentiment de honte pour leur passé, pour leur histoire, leurs traditions et leur foi. Il est déconcertant que cette trahison se soit accomplie sans aucune résistance, après avoir été imposée d’en haut tant dans la sphère civile que même, de manière inédite, dans la sphère ecclésiale.

La laïcité de l’État, avec laquelle les nations se débarrassent de la seigneurie du Christ, constitue la base philosophique et théologique sur laquelle pourrait être théorisée la dissolution de la société chrétienne : sans elle, le divorce, l’avortement, l’euthanasie, la sodomie, la manipulation génétique et le transhumanisme pourraient n’ont jamais été introduits dans la législation nationale. Et cela s’est produit avec le soutien décisif de l’Église profonde depuis les années 1960, et plus récemment avec l’asservissement total de la hiérarchie catholique à l’Agenda 2030 : comme l’a reconnu Mgr. Hector Aguer, ancien archevêque de La Plata en Argentine.

L’éclatement de la famille

Tout cela a disparu : aucun jeune membre d’une famille moderne n’a jamais entendu parler de la vie d’autrefois. Ce qu’on croyait. Ce qu’on espérait. D’autre part, où sont les grands-parents, qui jadis s’occupaient de leurs petits-enfants et leur transmettaient les souvenirs de leurs ancêtres, leur sagesse, leur simple religiosité ? Ce sont les grands-parents qui amenaient leurs petits-enfants prier devant l’image de Notre-Dame, leur enseignaient les prières, comment faire un examen de conscience, comment réciter un Requiem – « Seigneur, accorde-leur le repos éternel » – en passant devant d’un cimetière, le sens de l’obéissance aux parents, de l’honnêteté, du respect de sa parole.

La franc-maçonnerie a éliminé les personnes âgées, les transformant en marchandises pour le commerce des établissements de soins ou les exterminant avec le sérum génétique ou la ventilation forcée. Leur absence, depuis des décennies, s’est accompagnée d’une attaque frontale contre la femme, dans son rôle d’épouse et de mère : un autre élément de cohésion de la famille démoli, un autre rempart abattu. L’atteinte à la figure paternelle – autrefois calquée sur l’autorité et la bonté de Dieu le Père – s’est faite par la corruption des mœurs, par la pornographie et la promiscuité, et enfin – après avoir coupé le cordon ombilical qui lie la sexualité à la relation conjugale relation à des fins de procréation – l’homme, le mari, le père, le citoyen a été davantage détruit en stigmatisant sa « masculinité toxique », en l’efféminant, le castrer à la fois dans sa volonté et dans son intellect ; d’abord en plaçant le moyen (le plaisir légitime de l’acte conjugal) avant la fin naturelle (la procréation), puis en substituant le moyen à la fin.

Et les enfants, séparés de leurs parents qui travaillent, trouvent à la télévision, sur internet, sur les réseaux sociaux, via des applications, à l’école – voire partout – un nouvel oracle, une entité qui les décharge de la responsabilité de choisir et leur dit quoi penser , quoi vouloir et contre qui diriger leurs frustrations. Et inimici domini domestici eius – et ses ennemis seront ceux de sa propre maison (Mt 10:36). Cette entité – à laquelle le pouvoir voudrait attribuer des caractéristiques quasi divines, simulant les facultés de l’intelligence humaine – propose un nouveau credo écologiste, exalte de nouvelles vertus « vertes » et « éveillées », désigne de nouveaux maîtres, et célèbre ses liturgies. Parce qu’elle se présente comme une religion et comme telle exige des fidèles leur assentiment et leur obéissance à ses ministres.

La religion d’État

Le système d’endoctrinement s’est avéré efficace et, au cours de l’histoire, il n’a changé que quelques détails en raison des temps nouveaux ou du progrès technologique, mais il a toujours conservé son schéma d’origine. Et c’est ce schéma qu’il faut faire connaître, si l’on veut s’y opposer sous toutes ses formes : sanitaire, énergétique, climatique, guerrière, financière, religieuse. Un schéma indéniablement inspiré non seulement par l’annulation de la seule vraie religion, mais aussi par son remplacement par la religion luciférienne du progrès, de l’humanité, de la fraternité et de la Terre Mère.

Ne nous étonnons donc pas si le prétexte initial avec lequel la franc-maçonnerie sapait l’autorité de l’Église catholique au nom de la liberté religieuse s’effondre, laissant la domination incontestée – également reconnue au niveau institutionnel – de la seule religion compatible avec l’idéologie du Nouvel Ordre Mondial : le culte de Satan. Qui, après s’être caché pendant deux siècles derrière Prométhée et la déesse Raison, sort aujourd’hui publiquement au grand jour et revendique pour lui-même cette exclusivité qu’il avait reprochée à la véritable Église et lui avait déniée, au point de devenir la « religion d’État ». », imposant ses dogmes absurdes et ses fausses croyances à la communauté internationale, endoctrinant les enfants et les jeunes dans les écoles et obligeant les citoyens à se conformer à ses préceptes.

Il semble que l’on assiste à un renouveau mondial du paganisme comme sous le règne de Julien l’Apostat : une sorte de revanche des cultes idolâtres sur la religion du Christ, une revanche des ténèbres sur la lumière. Mais cela, on le sait, est ontologiquement impossible.

Lève-toi, ô Seigneur

Face à l’abdication de l’autorité civile, de nombreux groupes dans le monde s’organisent pour s’opposer aux violations des libertés fondamentales, les dénoncer là où c’est possible et coordonner l’aide à ceux qui sont ostracisés en raison de leur résistance. Ce n’est pas une substitution d’autorité, ni une forme de sédition : c’est la réponse nécessaire – en attendant des temps meilleurs – de ceux qui voient leur avenir, leurs biens et leur vie même menacés.

J’ai considéré qu’il était de mon devoir de pasteur de prendre une initiative similaire dans le domaine ecclésial, en fondant l’association Exsurge Domine pour contrer la persécution inversée et inversée que subissent les prêtres et les religieux traditionnels de la secte Bergoglienne en raison de leur fidélité à l’Église du Christ. , qui est aujourd’hui infesté de traîtres, d’individus corrompus et de mercenaires.

Exsurge Domine, sous mon patronage personnel, veut venir en aide aux clercs, religieux, moines et moniales qui ont été privés de leurs moyens de subsistance, expulsés de leurs monastères, et fait l’objet de persécutions de la part de leurs supérieurs parce qu’ils sont liés à la liturgie apostolique ou parce qu’ils ne veulent pas renier le charisme de leur ordre. Des curés qui du jour au lendemain sont éloignés de leur paroisse, des religieuses à qui Rome impose une abbesse progressiste, des clercs réduits à l’état de laïcs sans procès et avec des accusations calomnieuses : toutes ces bonnes âmes, amoureuses du Seigneur et fidèles à l’Église, ont besoin d’aide matérielle, de soutien spirituel et d’assistance juridique et canonique.

Je vous demande à tous d’être les promoteurs de cette initiative, avec vos connaissances et amis, et de contribuer selon vos possibilités au financement de notre premier projet : la construction d’un village monastique dans la province de Viterbe pour accueillir la Bénédictine communauté de Pienza. Votre soutien, ainsi que vos prières, permettront à ces bons prêtres et religieux de ne pas succomber aux purges bergogliennes et de pouvoir exercer le ministère ou suivre le charisme qu’ils ont généreusement choisi selon la volonté de Dieu.

Conclusion

Je voudrais terminer mon propos en évoquant ce lieu même, Pontmain, où le 17 janvier 1871, la Vierge Marie est apparue sous le titre de Notre-Dame de France.

Peu de temps après, le 18 mars 1871, la guerre franco‐prussienne se terminera par la défaite de Napoléon III et les émeutes du mois de mars suivant donneront lieu à la Commune de Paris. En cette circonstance la franc-maçonnerie française (d’inspiration socialiste et liée aux centres du pouvoir culturel) organisa une révolution qui fut cependant noyée dans le sang au mois de mai suivant suite à l’intervention du gouvernement de Versailles sur les ordres de la franc-maçonnerie anglaise (qui était libérale et liée à pouvoir institutionnel).

Aujourd’hui, ce fossé entre les différentes franc-maçonneries a été surmonté par un pactum sceleris qui les unit – concilium fecerunt in unum (Ps 70, 10) – dans le but commun d’achever l’établissement du Nouvel Ordre Mondial, prémisse nécessaire au règne de l’Antéchrist. .

La Sainte Vierge, dans son apparition à Pontmain, n’a rien dit. À ses pieds se trouvait un rouleau ouvert avec des lettres d’or qui disaient : « Priez, mes enfants. Dieu vous répondra très bientôt. Mon Fils permet que Son Cœur soit touché. Eh bien, aujourd’hui encore, ces paroles de réconfort restent vraies et valables : le Seigneur répondra très bientôt, car il y a beaucoup de bonnes âmes qui, dans cette phase d’apostasie et de crise d’autorité, se réveillent de la torpeur dans laquelle elles sont restées pendant beaucoup trop long.

La supercherie infernale du mondialisme est vouée à l’échec total : sur ce point il ne peut y avoir le moindre doute. La Babel de l’Ordre Nouveau s’effondrera sous le poids de ses mensonges, marque indubitable de l’œuvre du diable. La tâche qui nous incombe est de proclamer la vérité, de rappeler au monde que le salut ne vient que du Christ, Prince de la Paix, dont la Seigneurie sur les nations et sur l’Église, usurpée par une autorité rebelle et corrompue, doit être restauré.

Que la Très Sainte Vierge, Reine des Victoires et Médiatrice de toutes les Grâces, hâte la fin de cette tribulation, afin que s’accomplissent ses paroles prononcées à Fatima en 1917 : « A la fin mon Cœur Immaculé triomphera ».

+ Carlo Maria Viganò, archevêque »


Juillet 2023

27 juillet

LE POINT DE NON RETOUR

Peu importe ce qui ressort du synode des synodes, nous comprenons aujourd'hui que le rubicon a été franchi.

« Le simple fait que l’Église permette et encourage une réunion avec la densité institutionnelle d’un synode pour discuter de questions qui visent à modifier directement la foi et la morale telles qu’elles nous ont été transmises par les apôtres et défendues par tous les pères et maîtres est un signe retentissant que quelque chose de très profond s’est brisé ; une bonne partie, une très bonne partie dirais-je, de la hiérarchie n’a plus la foi. Pour eux, l’Église n’est qu’une organisation parmi d’autres, et tout ce qu’ils ont pensé et enseigné sur elle-même n’est rien d’autre que des fables compréhensibles des temps passés, mais absolument insoutenables aujourd’hui. » (caminante-wanderer).

Bergoglio mettra la touche finale en septembre avec la nomination de nouveaux cardinaux assez jeunes qui ont 20 ans devant eux pour continuer la destruction de l'Église.

Mais nous savons qu'ils ne sont rendront pas à ce point final car l'Église qu'a fondée le Christ ne peut disparaître.

C'est l'annonce des intentions qui est le point déterminant et cette limite est octobre 2024 pour le rapport et 2025 pour l'application des mesures du synode.

Comme prophétisé par Anne Catherine Emmerich, nous aurons ainsi deux églises: la traditionnelle et l'église conciliaire qui se sera adaptée aux goûts du monde, une église humaniste, où la majorité des fidèles suivent le faux prophète à l'aveugle, sans avoir conscience que l'Église est en crise, ou tout simplement pour les semi-éveillés, pensant que nous avons affaire à une autre « crisounnette » au sein de l'église... et que cela passera.

« Les deux Églises (caminante-wanderer)

...

Mais quel mystère que des articles comme celui-ci soient encore écrits alors que 95 % des fidèles ne réfléchissent pas une seconde à ces problèmes, existentiels pour nous. Le matin, je travaille dans une institution catholique et le soir, je lis The Wanderer. Le court-circuit est absolu : lequel des deux mondes est le vrai ? Celui du matin est rose, plein d’espoir, étranger à tout conflit de foi ou de curialité. Il vit dans une église de joie, de bonne foi, où je travaille entouré de gens généreux et de religieuses très pieuses. On y respire la vertu et la paix. Quel mystère mon Dieu!!!!

La situation décrite est bien réelle. Ceux d’entre nous qui sont conscients de la dérive catastrophique que prend l’Église depuis quelques décennies, et qui s’est encore accentuée sous le pontificat de François, sont peu nombreux, très peu nombreux. Le commentateur nous attribue avec une générosité excessive 5% du nombre total de catholiques. Je crois que nous sommes beaucoup moins nombreux.

La grande majorité vit dans un monde rose où tout va plus que bien et où nos évêques et le pape de Rome savent ce qui est le mieux pour l’Église. Et, comme l’indique également le commentaire, la grande majorité de ces catholiques sont de bonnes personnes, pieuses à leur manière, croyant en Dieu, pratiquant les vertus et animées des meilleurs souhaits pour leurs frères et pour l’Église elle-même. On peut à juste titre soutenir que beaucoup de ces aspects positifs sont basés sur l’émotionnel ; le même émotionnel qui les a conduits à accepter sans discussion la communion des divorcés (« Les pauvres ! Ils ont le droit de reconstruire leur vie ») et qui les conduira à accepter la bénédiction des couples homosexuels (« Ils sont si bons et ils s’aiment tellement ! »).

Mais sont-ils à blâmer ? Ce serait à discuter. Comme le dit le proverbe, « ce n’est pas la faute du cochon, mais de celui qui le nourrit ». J’ai cependant de sérieux doutes quant à l’opinion positive du commentateur sur les « religieuses très pieuses ». Je ne sais pas si c’est dû à l’influence de Castellani [Leonardo Castellani (1899-1981), sj, souvent cité par the Wanderer, voir sa biographie sans le biais du mainstrean ICI], mais je pense que les religieuses sont une espèce du genre féminin extrêmement dangereuse pour les autres et pour elles-mêmes.

Mais c’est la question sous-jacente du commentaire qui mérite réflexion : « Lequel des deux mondes est le vrai ? Le rose ou le sombre? Les 95% ou les 5%? ». Heureusement, les lecteurs du blog ne sont pas enclins à croire aux fantasmes de la démocratie et à la raison automatique des majorités, et nous savons, parce qu’on nous l’a dit et enseigné, qu’à un moment donné de l’histoire, ceux qui garderont la foi seront très peu nombreux, presque insignifiants.

Le problème n’est pas le nombre. Le problème est de savoir pourquoi certains d’entre nous voient – et sont certains de ce qu’ils voient – ce que d’autres ne voient pas. En fait, la question devrait être posée dans l’autre sens, puisque nous avons la certitude qui découle de l’évidence écrasante. Pourquoi les autres ne voient-ils pas l’évidence ? Et c’est là le grand mystère, comme le souligne le commentateur. Car il ne s’agit pas de voir quelque chose de caché ou une vérité obtenue au terme d’un raisonnement théologique complexe. Non. Il s’agit simplement de voir l’évidence, ce qui est tautologique, car c’est justement parce que c’est évident (ex-videre), que cela saute aux yeux, qu’on ne peut pas le nier. On ne peut pas ne pas le voir.

Je crois qu’une grande partie du monde ne le voit pas simplement parce qu’elle ne veut pas le voir, c’est-à-dire par un acte de volonté positive. C’est le cas dans le monde conservateur et juanpabliste [de Jean-Paul II]. J’ai des contacts fréquents avec des amis appartenant à l’Opus Dei, dans toutes ses strates et dans tous ses âges, et il est impossible de leur parler de « crise de l’Église ». Ils ne parlent pas de ces questions, et quand on leur montre, presque à l’improviste, ce qui se passe, la réflexion la plus audacieuse que vous obtiendrez d’eux sera de dire : « Ce sont les misères de l’Église ». Cela règle tout, y compris leur conscience, et ils continuent à sourire dans ce monde de paraboles.

Et la situation est similaire dans le reste de l’univers conservateur : Légionnaires du Christ; Fasta [Fraternité des Groupes Saint Thomas d’Aquin], IVE [Institut du Verbe incarné] , Schönstatt, et probablement aussi kikos [de Kiko Argüello,  co-initiateur du chemin néocatéchuménal] et charismatiques, et tout le charivari qui ne manquera pas d’envahir Lisbonne [à l’occasion des JMJ] dans quelques semaines.

Mais un autre groupe, probablement la majorité, ne le voit pas parce qu’il ne peut pas le voir, parce qu’il n’en a pas la capacité. Ce sont ceux pour qui l’Église a été changée par inadvertance, et pour eux, être catholique, c’est vivre dans ce monde toujours rose où tout se résout par « prends ma main mon frère » et où il leur semble tout à fait normal que l’Église s’adapte continuellement aux modes et aux exigences ondoyantes du monde.

Ce sont ceux qui se sentent à l’aise dans des messes transformées en spectacles de guitares et de tambours, dans lesquelles l’Eucharistie n’est rien d’autre que le pain partagé de la communauté et dans des paroisses où la catéchèse a cessé d’enseigner les vérités de la foi pour former les enfants à être de bons frères et de bonnes sœurs pour tous les hommes. Bref, ce sont les « catholiques » qui vivent dans l’Eglise fondée lors du Concile Vatican II et qui, de même qu’un catholique né il y a un siècle ne reconnaîtrait pas comme catholique une messe d’aujourd’hui alors qu’il en reconnaîtrait une célébrée il y a un millénaire, ces nouveaux catholiques non seulement ne reconnaîtraient pas comme catholique une messe de 1960, ni un catéchisme ou un livre de dévotion de ces années-là, mais se réclameraient avec conviction d’une autre foi, désavouant celle enseignée par les apôtres.
Hésitant et inquiet au moment où j’écris ces lignes, la vérité est que le mystère signalé par le lecteur n’est pas si mystérieux que cela. En fait, la chose la plus logique est que « le court-circuit est absolu », car « lequel des deux mondes est le vrai? ».

Les deux le sont. Le problème vient de nous qui continuons à considérer que les deux mondes sont un seul et même monde et qu’ils devraient se ressembler. Deux Églises se présentent à nous, avec deux liturgies complètement différentes, deux théologies complètement différentes, deux symboles interprétés de manière complètement différente, deux morales complètement différentes, et nous pourrions continuer à souligner les distinctions. Le pontificat de Bergoglio n’a fait que décanter ce qui a commencé avec Vatican II et – soyons honnêtes – a été renforcé par le très long mandat de Jean-Paul II.

Il semblerait que les deux Églises soient désormais clairement délimitées, le même pape les confondant toutes deux : l’une, l’Église de la publicité et vendue au monde ; l’autre, avec à peine une poignée de fidèles, l’Église des promesses :


Il peut y avoir deux Églises, l’une, l’Église de la publicité, Église magnifiée par la propagande, avec des évêques, des prêtres et des théologiens médiatisés, et même avec un Pontife aux attitudes ambiguës ; et l’autre, l’Église du silence, avec un Pape fidèle à Jésus-Christ dans son enseignement et avec quelques prêtres, évêques et fidèles qui lui sont inféodés, dispersés comme des « pusillus grex » sur toute la terre. Cette seconde Église serait l’Église des promesses, et non la première, qui pourrait échouer. Un seul et même Pape présiderait les deux Églises, qui apparemment et extérieurement n’en seraient qu’une. Le Pape, par ses attitudes ambiguës, serait à l’origine de l’ambiguïté. En effet, d’une part, en professant une doctrine irréprochable, il serait le chef de l’Église des promesses. D’autre part, en produisant des actes équivoques, voire répréhensibles, il apparaîtrait comme encourageant la subversion et entretenant l’Église gnostique de la publicité.
*
Julio Meinvielle, De la cábala al progresismo, Salta : Editora Calchaquí, 1970. »

24 juillet

LE SCHISME

Mgr Vigano nous l’a indiqué dans sa dernière intervention.

La logique de Bergoglio est de « créer les prémisses d’un schisme, qu’il nie et déplore en paroles, mais qu’il prépare depuis longtemps. Bergoglio veut séparer, d’une manière ou d’une autre, la partie bonne des fidèles et des clercs de l’Église officielle ; et pour y parvenir, pour qu’ils se détournent du Sanhédrin moderniste, il a placé à des postes clés de la Curie romaine les personnes qui garantissent la pire gestion des dicastères qui leur sont confiés, avec le pire résultat possible et le plus grand dommage pour le corps ecclésial. »

Le katéchon décrit dans Saint-Paul avait la puissance de retenir l’homme de péché, le fils de la perdition, qui veut provoquer le schisme, afin d’isoler la Tradition, et ensuite l’excommunier.

C’est la mort des deux témoins de l’Apocalypse.

L’identification du katéchon nous permet de nous situer dans le calendrier de la fin des temps.

Benoît XVI était le katéchon, ce qui est abondamment documenté dans plusieurs de nos analyses.

Ce dernier le savait bien.

Il connaissait son rôle déterminant et sa démission ne fut pas un hasard.

A une « question pressante d’un journaliste allemand lui demandant pourquoi « il ne pouvait pas mourir », le Saint-Père ait répondu qu’il devait rester « comme un mémorial pour le message authentique de Jésus, comme une lumière sur la montagne » , avant de conclure « A la fin, le Christ vaincra » » (benoit-et-moi.fr)

L’apostasie est présente.

Le katéchon n’étant plus, le champs est maintenant libre pour le fils de la perdition qui s’est installé sur le trône de Saint-Pierre tel qu’annoncé aussi à La Salette.

C’est le destructeur de l’église tant de fois décrit dans les prophéties d’Anne Catherine Emmerich.

« La nomination du futur préfet de la foi exprime de manière significative ce que les gros titres cités au début veulent dire par la destruction de l’héritage de Benoît. Alors que François a écarté à la première occasion le cardinal Müller, appelé par Benoît, il hisse maintenant à ce poste, avec son acolyte argentin de longue date, quelqu’un qui a immédiatement annoncé une sorte d’autodémolition. Il veut modifier le catéchisme, relativiser les affirmations de la Bible, mettre le célibat en discussion. »

Nous découvrons aujourd’hui cet impie qui promulgue sa parole de vérité par ses « miracles de la technologie ».

« Le début a attiré l’attention. J’ai été impressionné par son engagement pour les pauvres, les réfugiés, pour la protection inviolable de la vie.

En même temps, le public étonné a observé que Bergoglio ne tenait pas beaucoup de ses promesses, qu’il se contredisait sans cesse et qu’il créait ainsi une confusion considérable. A cela s’ajoutent les nombreux cas où il a gouverné durement, destitué des personnes mal vues et fermé des institutions précieuses créées sous Jean-Paul II. »

Et nous savons que la fin n’est pas loin grâce au synode des synodes en cours.

C’est l’ultime épreuve de l’Église et au travers de ce calvaire nous découvrons finalement le vrai visage de Bergoglio.

« Bergoglio ne s’est pas rendu service avec cette affaire. Cela lui ôte toute crédibilité. On ne peut pas parler en permanence, Bible en main, d’amour fraternel, de respect mutuel et de miséricorde et en même temps piétiner ces vertus. »

« Dans son apparition cet impie sera, par la puissance de Satan, accompagné de toutes sortes de miracles, de signes et de prodiges mensongers, avec toutes les séductions de l'iniquité, pour ceux qui se perdent, parce qu'ils n'ont pas ouvert leur cœur à l'amour de la vérité qui les eût sauvés.

C'est pourquoi Dieu leur envoie des illusions puissantes qui les feront croire au mensonge, en sorte qu'ils tombent sous son jugement tous ceux qui ont refusé leur foi à la vérité, et ont au contraire pris plaisir à l'injustice. »  (Saint-Paul, Th 2)

Il est 15h pour l’Église. Elle se meurt. Les digues sont ouvertes avec les dernières nominations de Bergoglio aux postes clés pour avoir sa conclusion tant attendu.

Il a eu besoin de dix années pour imposer ses cardinaux à son éventuel successeur (alors qu’on sait qu’il est le dernier pape, par la prophétie de Jean XXIII et par la prophétie de Saint-Malachie sur la liste des papes) pour qu’il ait les mains liées avec son programme progressiste.

Aucun retour en arrière selon lui.

Et c’est bien ce que Satan veut, car ses paroles on le sait maintenant, s’adressent directement à la messe traditionnelle : aucun retour vers la messe traditionnelle possible.

Les extraits ci-haut sont du biographe de Benoît XVI, Peter Seewald qui était très proche qui ne cache plus les intentions de Bergoglio et qui confirme que les digues sont ouvertes. (vraiment percutant via benoit-et-moi.fr)

Seul l’intervention du Christ peut nous sauver.

Nous savons tous que 2024 sera l’année cruciale dans cette fin des temps avec la conclusion du synode des synodes.

Or, on ne pouvait anticiper que Bergoglio aurait l’intention de visiter l’Argentine en 2024 (car la Providence a éliminé l’intention première pour 2017).

On ne pouvait anticiper ainsi que le prophétie de Jean XXIII le concernant ne correspondait pas nécessairement à l’intention de Bergoglio d’être enseveli dans sa terre natale, mais peut-être au fait qu’il y trouvera la mort durant son voyage, d’où l’expression «à Rome ils ne voudront pas te donner ».

Jean XXIII (prophétie François) : « Ton règne sera grand et bref. Père, il sera bref mais il te mènera loin, dans la lointaine terre où tu es né et où tu seras enseveli.A Rome ils ne voudront pas te donner. »

« Et alors se découvrira l'impie, que le Seigneur (Jésus) exterminera par le souffle de sa bouche, et anéantira par l'éclat de son avènement. » (Saint-Paul, Th. 2, 8)

16 juillet

LA STRATÉGIE DE BERGOGLIO

Pour le dernier acte pour exécuter l'Église selon les écritures, il y avait deux possibilités telles que nous l'avions vu dans les analyses des dernières années: l'élimination pure et simple de la présence réelle (ou du moins son intention de la faire) par une nouvelle messe oecuménique, ou simplement en éliminant la branche saine de l'Église, la Tradition.

Or, Bergoglio semble choisir la deuxième voie, et sa stratégie de Bergoglio pour isoler et ensuite éliminer les traditionalistes est avancée par Mgr Vigano... exactement comme prédit par le regretté Serg Monast.

Tout est fait littéralement pousser les traditionalistes et les « deux témoins », c'est à dire ceux du clergé et des fidèles qui ont gardé la Foi dans la Loi et les Prophètes tel que nous l'a enseigné le Christ, vers la Fraternité Saint Pie X, car la clique vaticaniste sait bien qu'il n'y aura jamais de compromis de ces derniers qui sera accepté pour les réintégrer dans l'église conciliaire.

Et lorsque ce sera fait, Bergoglio excommuniera la Fraternité, et les « deux témoins » seront officiellement morts, pour trois jours, comme décrit dans l'Apocalypse.

Et Satan pense qu'il aura triomphé.

Erreur... car Dieu a un magnifique plan pour le berner à l'image de la résurrection de NSJC.

« Quelle est la logique suivie par Bergoglio dans ses nominations ?

La logique de Bergoglio est très évidente : il veut créer les prémisses d’un schisme, qu’il nie et déplore en paroles, mais qu’il prépare depuis longtemps. Bergoglio veut séparer, d’une manière ou d’une autre, la partie bonne des fidèles et des clercs de l’Église officielle ; et pour y parvenir, pour qu’ils se détournent du Sanhédrin moderniste, il a placé à des postes clés de la Curie romaine les personnes qui garantissent la pire gestion des dicastères qui leur sont confiés, avec le pire résultat possible et le plus grand dommage pour le corps ecclésial.

Les restrictions progressives à la célébration de l’ancienne Liturgie servent à enfermer les conservateurs dans des réserves de chasse, pour les canaliser ensuite vers la Fraternité Saint-Pie X, dès que le Synode aura porté à leurs tragiques conséquences les changements doctrinaux, moraux et disciplinaires qui se préparent et auront provoqué un exode des catholiques vers ce qui, après la suppression ou la normalisation des Instituts Ecclesia Dei, deviendra le « monopole » de la Tradition.

Mais à ce moment-là – c’est-à-dire quand les catholiques traditionnels auront migré dans la Fraternité et que ses dirigeants croiront avoir remporté une victoire sur la concurrence de Summorum Pontificum (supprimé) – une nouvelle provocation intolérable obligera au moins une partie de la Fraternité Saint-Pie X à prendre ses distances avec la Rome bergoglienne, validant ainsi l’ « excommunication » du traditionalisme, qui n’est plus représenté au sein de l’Église officielle, si tant est qu’il l’ait jamais été. C’est pourquoi, à mon avis, il est important de maintenir une certaine parcellisation, afin de rendre plus complexe la manœuvre malveillante d’éviction des catholiques traditionnels du corps ecclésial.

Diaconesses, abolition du célibat ecclésiastique, bénédiction des couples homosexuels, tolérance de la polygamie, théorie du gender, idéologie LGBTQ, panthéisme écologique à la Teilhard de Chardin : tels sont les points de discorde que Begoglio ouvre délibérément entre l’aile conservatrice (mais pas traditionnelle, déjà distante ou dépassée) et l’aile ultra-progressiste. Son but est de créer l’affrontement, de le laisser grandir, d’encourager par des nominations et des promotions les partisans des cas les plus extrêmes, puis d’assister à la réaction prévisible de condamnation des quelques bons évêques, prêtres et religieux restants, qui, face à l’écueil-Bergoglio, auront deux choix : retourner souffrir en silence ou se lever, dénoncer la trahison de la Vérité catholique et être contraints de quitter leur poste et d’exercer leur ministère dans la clandestinité ou au moins dans une apparente irrégularité canonique.

Une fois les pasteurs gênants ostracisés et les fidèles conservateurs écartés, la hiérarchie bergoglienne pourra exercer un contrôle total sur le clergé et le peuple, certaine de l’obéissance des laissés-pour-compte. Et cette secte, qui de catholique n’aura plus que le nom (et peut-être même plus), éclipsera totalement l’Épouse de l’Agneau, dans le paradoxe d’une Hiérarchie traîtresse et corrompue qui abuse de l’autorité du Christ pour détruire son Église.

C’est ce que souhaitent les commanditaires de Bergoglio et de ses minion [sic!] mais le sensus fidei du peuple saint de Dieu pourrait conduire beaucoup à rejeter cette fraude et à participer à une action de résistance ferme et de dénonciation résolue. Le Seigneur permettra que l’Église paraisse morte, que les forces de l’enfer croient l’avoir vaincue, parce qu’il veut que le Corps mystique suive le chemin de la Croix et de l’Enterrement, comme son divin Chef, s’il veut le rejoindre dans la gloire de la Résurrection.

On dit que le Collège des cardinaux, tel que voulu par François, représente l’Église universelle : vraiment ?

Si l’on soumettait un questionnaire anonyme aux éminents membres du Collège des cardinaux, dans lequel ils devraient répondre par « vrai » ou « faux » à une série de propositions sur lesquelles le Magistère s’est déjà infailliblement exprimé, on découvrirait avec horreur que la majorité absolue, voire la quasi-totalité des cardinaux ne sont pas « catholiques », tout court. Et dans le nombre de ceux-ci, je crois que nous trouverions aussi quelques conservateurs. L’hérésie notoire de nombreux prélats est confirmée par leurs propres déclarations, devant lesquelles Bergoglio s’est bien gardé d’ouvrir la bouche, comme il sait le faire sans trop de scrupules à l’égard des quelques prélats restés fidèles.

L’actuel Collège des cardinaux est la quintessence de l’Église bergoglienne : ses membres représentent la large diffusion du modernisme et du progressisme conciliaire dans le monde. Mais ils ne sont certainement pas l’expression de l’Église universelle : d’abord parce qu’ils n’en font pas partie, ne serait-ce qu’en apparence, étant hérétiques ; ensuite parce que, par la grâce de Dieu, les fidèles et le clergé apprennent – après soixante ans d’horreurs [post-conciliaires], depuis dix ans encore plus évidentes – à ne pas prendre pour argent comptant tout ce qui sort de la bouche du pape, de l’évêque ou du curé. Ceux-ci, après avoir prêché la désobéissance au vrai Magistère, se retrouvent donc à subir les conséquences d’une désobéissance qui, cette fois, est bonne et légitime, parce qu’elle obéit au Christ.

Nous assistons à l’effacement systématique de toute une partie de l’Église – identifiable géographiquement, mais aussi idéologiquement – qui reste catholique : quelques évêques américains, avec leurs diocèses ; de nombreux évêques africains, fidèles surtout sur le plan moral ; et un nombre croissant de curés, de prêtres, de religieux et de religieuses qui se rendent compte qu’ils sont les prochaines victimes des purges de Santa Marta (…)

Tucho Fernández sera cardinal. Jusqu’à récemment, cela semblait être une plaisanterie. Ce n’est pas le cas.

Cela reste une plaisanterie, car ce qui se passe depuis dix ans relève plus de la farce que de la tragédie. Tout ce que la secte de Santa Marta enfante est une supercherie : la prétendue « démocratisation » du synode sur la synodalité, où les questions soumises aux communautés locales sont formulées de manière à obtenir les réponses souhaitées, toujours selon un dessein subversif précis qui part de Bergoglio lui-même. L’implication des femmes dans le gouvernement de l’Église est un mensonge : c’est contraire à la volonté de Notre Seigneur et aucun pouvoir, aussi tyrannique et autoritaire soit-il, ne peut changer le sujet du sacrement de l’ordre. Les clins d’œil scandaleux des prélats et des clercs aux vices et aux modes de vie de la soi-disant « communauté LGBTQ » sont une tromperie : ils utilisent les faiblesses des laïcs égarés par l’idéologie woke pour légitimer leurs péchés personnels, qui émergent tôt ou tard dans leur prosaïsme embarrassant. Fernández lui-même, qui courtise Bergoglio depuis des années avec des déclarations publiques d’estime, de confiance en sa capacité réformatrice, de certitude de l’inexorabilité de son action « prophétique » (dans le néo-langage du Concile, synonyme d’ « hérétique ») en tant que Pasteur suprême de l’Église, est lui aussi un personnage construit.

Fernández est à Bergoglio ce que Zelenskyj est à Biden : des marionnettes dans les mains de marionnettes. Les ficelles sont toujours tirées par cette même élite subversive qui relie la Maison Blanche au Vatican, les courriels de Podesta à l’abdication de Ratzinger, l’État profond à l’Église profonde, Nancy Pelosi au « père » James Martin sj.

Il ne fait aucun doute que Fernández a été placé à la tête de l’ancien Saint-Office pour ne rien faire de ce que devrait faire le préfet de ce très important dicastère, aujourd’hui rétrogradé. Il fera exactement le contraire: il encouragera les hérésies et les déviations morales des théologiens en vogue aujourd’hui, des évêques impatients de déménager à l’hôtel Santa Marta, des partisans de la théorie du genre ; et en revanche, il agira avec une fermeté impitoyable pour le prêtre qui critique une déclaration hérétique de Bergoglio ou de l’un de ses protégés, pour l’évêque qui dénonce les déviations du Synode, pour le professeur de séminaire qui enseigne encore les actes magistériels antérieurs à Vatican II. Nous verrons jusqu’où ira le zèle de ce Fernández pour plaire à son commanditaire, et combien de temps ceux qui sont visés par les talibans de la Pachamama supporteront ces attaques sans y répondre, voire en les ignorant tout simplement....

La crise actuelle est le châtiment par lequel le Seigneur punit l’Église et le monde de l’infidélité de ses ministres et des gouvernants des nations. Nous considérons ce fléau comme le geste sévère d’un Père trop longtemps offensé, mais qui veut encore nous sauver. La conversion est la seule voie possible : revenons à Dieu, avant que la Miséricorde ne cède à la Justice. » (benoit-et-moi.fr)

12 juillet

UN TEMPS, DEUX TEMPS, ET UN DEMI TEMPS

« ... « Ouvrons ces deux foutoirs que sont le Droit canonique (celui de ’83) ou le Catéchisme (de ’94), pour en retirer beaucoup de choses inutilisables et faire de la place pour en mettre et en ajouter d’autres qui sont nécessaires pour assurer la continuité du cheminement synodal.

Le Nouveau Code de 83 et le Nouveau Catéchisme (de 94) sont souvent qualifiés de nouveaux “ratzingerianamente” [ndt – je comprends: nouveautés ratzingeriennes, de toute façon, l’allusion est claire] , mais ils ne sont pas si nouveaux, parce que sur de nombreux points ils ne sont pas en accord avec Lumen Gentium et Gaudium et Spes.

La révision de ces deux textes est un sujet incontournable pour la réalisation de la synodalité ecclésiale. Entre les deux synodes sur la famille qui ont précédé Amoris laetitia, le pape François a publié le Motu proprio « Mitis Iudex Dominus Iesus », par lequel il a anticipé le tournant pastoral du droit canonique, que ces synodes n’ont pas encore pu aborder, se limitant à sauver de justesse les décisions de discernement au for interne. » (benoit-et-moi.fr)

Nous avons vu dans les analyses précédentes que l’humanisme était intégré au code du droit canonique par Jean Paul II en 1983 et que la limite du diable était 2025.

Or, ce synode de 2023-24 s’attaque directement à ce droit canon ou plutôt tend vers la modification complète de ce dernier et ainsi transformer l’église conciliaire en église de Satan, d’où l’extraordinaire tour de passe passe inimaginable, qu’on qualifie de mystère de l’iniquité dans l’Apocalypse.

D'ailleurs, Bergoglio a annoncé un nouveau consistoire pour nommer 19 nouveaux cardinaux en septembre, juste avant le synode d'octobre, et plusieurs de ceux-ci y auront droit de vote, dont le fameux Mgr Fernandez.

Tous sont des progressistes, et Bergoglio n'a jamais ou presque nommé de cardinaux conservateurs depuis son intronisation, contrairement à ses prédécesseurs, pour avoir un équilibre au prochain conclave.

Il n'y aura pas de retour en arrière affirme-t-il et il prend les moyens pour que cela n'arrive pas.

Nous savons que les deux Babylone Nations-Unies et Vatican forment le système antichristique 666, la bête, avec à sa tête des personnifications humaines tel que Bergoglio.

Les derniers moments de la fin des temps sont caractérisés par un compte d’un temps, deux temps et un demi temps (voir analyse 24 octobre 2022).

Le demi temps est la période cruciale, ultime qui représente le temps de la purification dans l’Apocalypse (les 7 sceaux, 7 coupes, 7 trompettes) et dans les prophéties de Jean XXIII (sept fois, sept fois, sept fois).

Le chiffre 6, celui de l’homme déifié dans sa trinité (666=18), est purifié par 6X3,5 (ce qui donne 21 ou 777).

Rappel du décompte selon l’hypothèse d’octobre 2022 : un temps (1962-1983), deux temps (1983-2025), et un demi temps (ou nul ne connaît le jour ni l’heure), soit 1962 plus 21 ans, plus 42 ans pour 2025.

Nous savons grâce au miracle du soleil du 13 octobre 1917 que la purification se fera par le feu, et probablement que le soleil y occupera une grande place.

Le code de droit canonique de 1917 a été promulgué le 27 mai 1917 (peu après la première apparition de Fatima donc) et a donc été modifié en 1983.

Nombres d’années entre le 27 mai 1917 et le 27 novembre 1983 : 66 ans et 6 mois.

Le cycle solaire 25 devait atteindre son apogée en juillet 2025.

Or, tout s’accélère et les scientifiques prévoient donc le maximum solaire pour la fin 2023, début 2024.

En effet, 2023 est particulièrement actif du côté solaire...

« LE COMPTE DE TACHES SOLAIRES A ATTEINT UN SOMMET EN 21 ANS : Le soleil fait la fête comme en 2002. C'est la dernière fois que le nombre de taches solaires était aussi élevé qu'aujourd'hui. Le nombre moyen mensuel de taches solaires pour juin 2023 était de 163, selon le Centre d'analyse des données sur les influences solaires de l'Observatoire royal de Belgique. Cela éclipse chaque mois depuis septembre 2022 :
On ne s'attendait pas à ce que le cycle solaire 25 soit aussi fort. Lorsqu'il a commencé en décembre 2019, les prévisionnistes pensaient qu'il s'agirait d'un cycle faible semblable à son prédécesseur immédiat, le cycle solaire 24. Si cette prévision s'était avérée exacte, le cycle solaire 25 serait l'un des cycles solaires les plus faibles depuis un siècle. Au lieu de cela, le cycle solaire 25 a dépassé le cycle solaire 24 et pourrait être sur le point de rivaliser avec certains des cycles les plus forts du 20e siècle. La dernière fois que le nombre de taches solaires était aussi élevé, le soleil était sur le point de lancer les grandes tempêtes d'Halloween de 2003, qui comprenaient la plus forte éruption solaire à rayons X jamais enregistrée (X45), des aurores aussi loin au sud que le Texas et un CME si puissant, il a finalement été détecté par le vaisseau spatial Voyager aux confins du système solaire. » (spaceweather.com)
https://spaceweather.com/

« Les tempêtes solaires d'Halloween étaient une série de tempêtes solaires impliquant des éruptions solaires et des éjections de masse coronale qui se sont produites de la mi-octobre au début novembre 2003, culminant vers les 28 et 29 octobre. Cette série de tempêtes a généré la plus grande éruption solaire jamais enregistrée par le système GOES, modélisée aussi forte que X45 (initialement estimée à X28 en raison de la saturation des détecteurs de GOES)…

L'une des tempêtes solaires a été comparée par certains scientifiques dans son intensité à l'événement Carrington de 1859. Ces événements se sont produits pendant le cycle solaire 23, environ trois ans après son pic en 2000, qui a été marqué par une autre occurrence d'activité solaire connue sous le nom d'événement du 14 juillet. » (wikipedia.org)

« La tempête solaire du 14 juillet était une puissante tempête solaire du 14 au 16 juillet 2000 pendant le maximum solaire du cycle solaire 23. La tempête a commencé le jour de la fête nationale de la France, le 14 juillet. Il s'agissait d'une éruption solaire, d'un événement de particules solaires et d'une éjection de masse coronale qui a provoqué une violente tempête géomagnétique. » (wikipedia.org)

Il y a eu plus d’éjection de classe X, la dernière en date du 3 juillet, que dans les six premiers mois de 2023 que dans toute l’année 2022.

Le réchauffement climatique a le dos large…

Et si Dieu était en train d’agir?

Car il fut prouvé par la NASA que toutes les planètes de notre système solaire se réchauffent…

Présentement il y a des canicules sous-marines inhabituelles, dont une d’une ampleur jamais vue en Atlantique Nord

Des sécheresses un peu partout dans le monde (la moitié des récoltes de maïs perdues dans le mid-ouest américain cet été) qui côtoient des orages et des trombes d’eau ailleurs (il faut bien que cet eau évaporé aille quelque part).

Le phénomène El Nino est de retour… et il fait référence à l’enfant Jésus...

L’arctique canadien a des températures de 10 à 18 degrés au-dessus des normales.

Des feux de forêts sur des territoires immenses en mains endroits.

Et, on vient de le voir, octobre 2024, soit la fin du synode moins 2003 donne 21, le chiffre de la purification 777.

De plus, la tempête d’Halloween, fête satanique en soi, a eu lieu le 28 octobre, jour d’élection de Jean XXIII qui a parti le bal de Vatican II.

Or, entre le 28 octobre 1958 et 2024 il y a exactement 66 ans.

Notons aussi qu’entre ce 28 octobre 1958 et le 27 avril 2014, date de la canonisation de Jean XXIII, il y a exactement 666 mois.

Ce fut un signe donné pour nous indiquer que nous étions en présence du système antichristique 666 depuis Vatican II.

Et la tempête d’Halloween 2003 faisait partie du cycle solaire qui avait débuté par l’événement de la Bastille en 2000.

Or, on le sait, les deux derniers bastions catholiques à éliminer sont le Vatican et la Fille aînée de l’Église.

Du 28 octobre 1958 au 28 juillet 2023, il y aura exactement 777 mois depuis l’élection de Jean XXIII.

Nous sommes sur le point d’entrer dans le 7 ème sceau, la prophétie #11 de l’Église selon Jean XXIII.

6 juillet

Bergoglio a réalisé l’impensable en nommant un de ses proches au sommet du dicastère (notez la préparation qui avait eu lieu avant en changeant le nom de «congrégation» à «dicastère» pour couper le lien avec l’ère de Benoît XVI, basée entièrement sur la doctrine) pour la doctrine de la foi.

C’est le dernier mouvement avant le synode qui annoncent définitivement les intentions bergogliènnes : la destruction totale de l’église ou en fait, sa transformation subtile en église de Satan.

«  Je vis qu’un certain nombre de pasteurs acceptaient des idées dangereuses pour l’Église. Ils construisaient une grande Église, étrange et extravagante. N’importe qui était accepté, afin de s’y joindre et d’avoir les mêmes droits: les évangélistes, les catholiques, les sectes de toutes croyances. Ce devait être la nouvelle église … mais Dieu avait d’autres projets … » (Anne Catherine Emmerich)

Les analyses pleuvent sur les sites dédiés au Vatican.

En voici quelques unes :

« On peut se poser avec appréhension la question du devenir de ce dicastère central de la Curie romaine, sachant que si cette Congrégation change, c’est toute l’Église qui change« . En effet  » La CDF (ou ex-CDF] n’est pas un centre culturel, elle n’anime pas la recherche théologique, elle ne provoque pas de débats et n’initie pas de processus de confrontation. C’est plutôt le contraire qu’il faut dire. La Congrégation dit le dernier mot et clôt, sur ce point, la recherche, le débat et le processus« . C’est tout cela qui va être bouleversé avec l’arrivée du sicaire du Pape – une arrivée soigneusement programmée par l’intéressé lui-même. » (benoit-et-moi.fr)

« la personne de Fernández et la mission spécifique qui lui est confiée par la lettre de nomination sont taillées sur mesure pour l’assemblée plénière du Synode qui débutera à l’automne… Fernández est la bonne personne pour dédouaner enfin, en douceur, la ligne que Mgr Paglia a adoptée pour l’Académie pontificale pour la vie et l’Institut Jean-Paul II. C’est un fanatique du discernement supra todos, du cas par cas, de la non-existence d’actes intrinsèquement désordonnés. Bref, il est le clone non seulement de François, mais aussi de Paglia ». » (benoit-et-moi.fr)

« Mgr Fernandez, il y a 8 ans:

« « J’ai lu que certains disent que la Curie romaine est une partie essentielle de la mission de l’Eglise, ou qu’un préfet du Vatican est la boussole sûre qui empêche l’Église de tomber dans la pensée light; ou bien que le préfet assure l’unité de la foi et garantit au pape une théologie sérieuse. Mais les catholiques, en lisant l’Evangile, savent que le Christ a assuré un guide, et une lumière spéciale au Pape et à l’ensemble des évêques, mais pas à un préfet ou à une autre structure. Quand on entend dire des choses de ce genre, il semblerait presque que le Pape soit un de leurs représentants, ou quelqu’un qui est venu déranger et qui doit être contrôlé».

[François] a sans doute un objectif que nous ne comprenons pas encore. Il faut savoir qu‘il vise à des réformes irréversibles. Si un jour, il avait l’intuition qu’il lui reste peu de temps, et qu’il n’en a pas assez pour faire ce que l’Esprit lui demande, vous pouvez être sûr qu’il accélérera».

La chose qui me préoccupe le plus, c’est que les théologiens n’offrent pas de nouvelles analyses sur l’Église, sur le sens théologique de ses structures, sur le statut des Conférences épiscopales des pays et régions, et sur la vraie place de la Curie romaine en relation avec le Pape et avec le Collège des évêques

Non, on ne revient pas en arrière. Si François n’était plus pape et quand il ne le sera plus, son héritage reste fort. Par exemple, le pape est convaincu que ce qu’il a déjà écrit ou dit ne peut être puni comme une erreur. Donc, à l’avenir tout le monde pourra répéter ces choses sans la crainte de recevoir des sanctions. »  (benoit-et-moi.fr)

« Mgr Fernandez n’a pas de doctrine et sa foi catholique est plus que douteuse.

La première affirmation est prouvée si l’on s’approche de l’un des exemplaires de son abondante production bibliographique. Nous ne parlons pas ici de son ouvrage le plus connu, El arte de besar (L’art du baiser). Choisissez n’importe lequel de ses autres livres et vous verrez qu’ils sont toujours volumineux et adaptés à la lecture de religieuses âgées et désenchantées ; une sorte d’auto-assistance légère avec une coloration chrétienne. Quant à sa foi, si l’on écoute ce qu’il dit dans ses homélies ou ce qu’il écrit dans la presse, il n’est pas téméraire de douter du caractère catholique de ce qu’il croit. Le cardinal Müller lui-même, en 2016, en tant que préfet de la Congrégation pour la doctrine de la foi, l’a qualifié d’hérétique (sogar häretisch). En d’autres termes, c’est un hérétique – selon la qualification du cardinal – qui sera chargé de veiller à l’orthodoxie de la foi catholique. Personne n’aurait pu imaginer une situation plus absurde, ni Mgr Robert Benson, ni Hugo Wast [écrivain argentin, 1883-1962], ni Soloviev, ni Castellani [Leonardo Castellani, écrivain et poéte argentin, 1899-1981]. La réalité, une fois de plus, dépasse la fiction. » (benoit-et-moi.fr)


« ( LifeSiteNews ) -  L’archevêque argentin Hector Aguer a comparé le Synode et la Synodalité à «l’Agenda mondialiste 2030» de l’ONU et au schisme protestant.

Dans une lettre publiée par Rorate Caeli, Aguer a critiqué le nouveau document de travail , ou Instrumentum Laboris (IL), du Synode sur la synodalité, qui souligne la nécessité « d’ accueillir ceux qui se sentent exclus de l’Église en raison de leur statut ou de leur sexualité ».
Aguer a déclaré que « l’Église synodale formule une glose progressive sur l’Évangile ».

« L’ Instrumentum Laboris  définit comment assumer ecclésialement l’ Agenda 2030 mondialiste « , a-t-il déclaré. « Il est admirable de voir comment la monarchie pontificale fait dire à la ‘démocratie synodale’ exactement ce qu’elle veut que cette ‘démocratie’ dise. C’est quelque chose comme lancer une pierre et cacher la main.

Il a noté qu’à travers le Synode « l’Église catholique commence tardivement à suivre la voie ouverte par la Réforme protestante, à une époque où le protestantisme a depuis longtemps été englouti par le monde ».
« C’est le moment de citer ce qu’un luthérien danois qui fut un grand philosophe chrétien, Soren Kierkegaard, écrivait dans son Journal en 1848 : « En ce moment, alors qu’il est question de réorganiser l’Église, on voit combien il y a peu de christianisme dedans », a poursuivi l’archevêque.

Aguer a en outre critiqué la participation des laïcs au processus synodal, en particulier des laïques, et a estimé que « les vocations sacerdotales ne sont plus une priorité » dans « l’Église synodale ».

« L’itinéraire de la future Assemblée, déjà préparé depuis deux ans, fait parler et voter la ‘foule’ — surtout et de manière inédite la féminine », écrit-il. « C’est ce que j’ai sous-entendu avec l’exemple bien connu de la pierre. Lorsque la conception de cette autre Église sera achevée, le Souverain Pontife, face aux critiques qui ne manqueront pas, pourra dire : « Je ne l’ai pas fait » !
Aguer a déclaré que la nouvelle ecclésiologie appelée «synodalité» est ambiguë car elle n’indique pas clairement dans quelle direction l’Église est censée aller.

« Le but, alors, peut être la nouvelle Église progressiste, à contre-courant de la grande Tradition ecclésiale », a écrit l’archevêque.

« L’un des sujets à l’ordre du jour, qui attire rapidement l’attention, est » comment l’Église peut-elle être plus réceptive aux personnes LGBTQ + «  », a-t-il déclaré, notant que l’expression » personnes à tendances homosexuelles « qui a été utilisée dans le Catéchisme et d’autres documents de l’Église est remplacé par ce nouveau terme idéologique « personnes LGBTQ+ ».

Aguer a conclu que «la vérité objective et la reconnaissance des préceptes par lesquels la vertu et le péché sont jugés et reconnus ne comptent plus». Au contraire, « ce qui compte maintenant, c’est ce que ressentent ceux qui se considèrent comme exclus ; c’est leur sentiment qui compte, pas l’ état objectif dans lequel ils se trouvent.

« Le programme synodal, comme celui du Synode allemand, dessine une autre Église, hétérogène par rapport à la grande et unanime Tradition », a-t-il déclaré.

Aguer a mentionné qu’il connaissait personnellement le pape François depuis 45 ans. Il a comparé François et les auteurs des documents du Synode à des « causes secondes » par lesquelles Dieu permet que le mal se produise.

« Je reconnais et vénère François comme Successeur de Pierre, Vicaire du Christ », écrit-il. «Mais François est toujours Jorge Bergoglio. Maintenant, je connais Jorge Bergoglio depuis 45 ans. Il est une ’cause seconde’. »

On voit bien dans ce témoignage la prophétie d’Anne Catherine Emmerich qui s’exécute.

Juin 2023

25 juin

Le temps est proche.

Le calendrier de la fin des temps se précise.

Nous avons pu le constater avec ce brouhaha en Russie hier déclenché le jour de la Saint-Jean Baptiste, l’annonciateur du Christ.

Babylone Nations-Unies marche main dans la main avec Babylone Vatican et son synode.

Le document de travail du synode vient d’être publié, le 21 juin, soit 60 ans après l’élection de Paul VI en 1963, une autre preuve du veuvage de l’église.

« Attention, avis de tempête, révolution dans l’Église en vue

Depuis le début de ce pontificat, on se demandait quand cela allait arriver, et certains journalistes audacieux faisaient même des titres sur le pape « démolisseur », mais on ne voulait pas encore y croire, mettant cela sur le compte de la recherche d’un scoop, voire des délires complotistes de méchants conservateurs.

Là nous y sommes. Au moment où le physique du Pape le lâche et où la perspective du conclave semble une réalité chaque jour plus concrète, le synode qu’il a voulu risque de constituer l’estocade finale. L’Instrumentum Laboris du prochain « synode sur la synodalité » qui vient d’être publié envisage une série de bouleversements reposant (si l’on peut dire!) sur « l’inversion totale de la hiérarchie habituelle de la prise de décision ecclésiale au profit des laïcs » (Le Figaro). Cela inclut l’ordination d’hommes mariés, le diaconat féminin (en attendant plus), l’accueil de TOUS, y compris les LGBT, la mise sous tutelle des évêques par les laïcs. J’en passe.

Maintenant, savoir si ces mesures qu’il n’est pas excessif de qualifier de révolutionnaires vont être, ou pouvoir être, appliquées, c’est une autre histoire. Les prêtres et les évêques vont peut-être enfin réagir, peut-être même se révolter. Même dans ce cas, François sera malgré tout parvenu à ses fins, annoncées depuis le début: initier des processus irréversibles. Bref, « fare casino »

Reste l’autre question: le Pape sera-t-il à même de mener lui-même ce projet à son terme? » (benoit-et-moi.fr)

« Instrumentum Laboris du Synode: les séminaires dans la ligne de mire

Alors que les séminaires se vident faute de vocations, et que les rares jeunes attirés par le sacerdoce sont rebutés par la piètre qualité de la formation, le document préparatoire au Synode sur la synodalité en rajoute une dose et risque de leur porter le coup final. Le point de vue d’un initié, le blog (précieux) Silere non possum.

… bientôt, il faudra bien que quelqu’un retourne à la Maison du Père et là, il faudra démêler toute la confusion qui a été créée et qui a transformé l’Église en un lieu où tout le monde parle de synodes mais où plus personne ne prie. » (benoit-et-moi.fr)

« Hier a été présenté l’Instrumentum Laboris du Synode qui débutera le 4 octobre prochain, sous la bannière du « cheminement » mais sans but. La seule chose certaine est qu’il s’agit d’un « processus » ouvert à toutes les conclusions, même les plus révolutionnaires. La vérité est remplacée par la relation. » (benoit-et-moi.fr)

« Le cardinal Raymond Leo Burke, ancien chef de la signature apostolique, a critiqué le prochain synode des évêques sur la synodalité pour l’ordre du jour derrière l’ambiguïté des prélats chargés de le diriger.

Dans une longue interview avec EWTN qui couvrait le synode sur la synodalité, les abus cléricaux contre les homosexuels, la messe traditionnelle en latin et le refus de la sainte communion pour ceux qui persistent dans un péché grave manifeste, le cardinal a déclaré qu’en plus des tentatives claires de changement des enseignements sexuels et moraux de l’Église, un problème avec le synode sur la synodalité est que les principaux cardinaux ne peuvent même pas articuler clairement le sens de la synodalité.

« Le fait est qu’il n’y a pas d’idée claire de ce qu’est la synodalité », a-t-il déclaré. « Ce n’est certainement pas un signe de l’Église. Les signes de l’Église sont un, saints, catholiques et apostoliques. »

Notant que le manque de clarté sur ce qu’est la synodalité a permis aux évêques de faire avancer un programme hétérodoxe qui est loin d’être fidèle à l’enseignement et à la pratique constants de l’Église, en particulier en ce qui concerne la morale sexuelle, Burke a déclaré : « En Allemagne, c’était un slogan faire avancer… des enseignements et des pratiques qui sont clairement contraires à l’enseignement et à la pratique constants de l’Église, et cela a causé d’énormes dégâts en Allemagne. L’état de l’Église en Allemagne est franchement alarmant, et cela semble maintenant devenir un programme dans l’Église universelle à travers le synode ».

Burke a raconté que « le chef du Synode des évêques a récemment accordé une interview dans laquelle il semble indiquer qu’il n’a pas une idée claire de ce qui va se passer ni une idée claire de ce qu’est la synodalité. Pourtant, il continue à diriger ce processus. Et, bien sûr, le président de la session synodale sur la synodalité, [le cardinal luxembourgeois Jean-Claude] Hollerich, a publiquement épousé des enseignements et des pratiques qui sont clairement contraires à ce que l’Église a toujours enseigné dans la pratique.

«Ce sont donc des questions de la plus haute importance. Ma prière personnelle chaque jour à notre Seigneur est qu’il veille d’une manière ou d’une autre à ce que le synode n’ait pas lieu, car franchement, je n’en vois aucun bien. » » (marcotosatti.com)

Du côté de Babylone Nations-Unies, çà avance à grand pas.

Après l’annonce de l’intention de la création d’une monnaie unique mondiale par la Banque Mondiale pour septembre 2023, les Nations-Unies annonce l’identification numérique pour la lier aux comptes bancaires des particuliers.

L’Apocalypse de Saint-Jean se déroules sous nos yeux et peu le voit.

« Identification numérique de planification des Nations Unies liée aux comptes bancaires

L’Organisation des Nations Unies (ONU) prévoit d’introduire un système mondial d’identification numérique lié aux comptes bancaires des individus.

Le plan, qui est similaire au système développé par le Forum économique mondial (WEF), est décrit dans trois nouvelles notes d’orientation de l’ONU intitulées « Un pacte numérique mondial, des réformes de l’architecture financière internationale et l’avenir de l’espace extra-atmosphérique ». Gouvernance.

L’objectif de ces notes est de faire avancer la « vision pour l’avenir » du secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres.
Intitulée officiellement « Our Common Agenda », la « vision » de Guterres devrait recevoir le feu vert en septembre 2024 lors d’un événement baptisé « The Summit for the Future ».

Du rapport (https://www.un.org/sites/un2.un.org/files/our-common-agenda-policy-brief-gobal-digi-compact-en.pdf):

Les identifiants numériques liés aux comptes bancaires ou d’argent mobile peuvent améliorer la fourniture de la couverture de protection sociale et servir à mieux atteindre les bénéficiaires éligibles.

Les technologies numériques peuvent aider à réduire les fuites, les erreurs et les coûts dans la conception des programmes de protection sociale.

Tout comme leurs homologues non officiels du WEF, l’ONU parle également de réglementer fondamentalement l’avenir numérique mondial.

L’organisation non élue utilise des expressions telles que « coopération internationale » et « de nombreuses parties prenantes » qui « feront avancer les principes, les objectifs et les actions » pour décrire cet agenda mondialiste.

L’ONU décrit cet objectif comme « un avenir numérique ouvert, libre, sécurisé et centré sur l’humain ».

Cependant, l’avenir numérique tel qu’envisagé par ces groupes sera tout le contraire d’être ouvert, libre ou centré sur l’humain.

Quant à la « vision » de l’ONU pour un futur système financier mondial, elle est censée être harmonisée avec l’Agenda 2030 pour le développement durable.

Il serait régi par quelque chose appelé « l’organe suprême » qui n’a pas encore été mis en place.

Les acteurs clés ici seraient le chef de l’ONU, ainsi que le Groupe des 20, le Conseil économique et social et les « chefs des institutions financières internationales ».

Dans ce cadre, l’ONU voit des « visions » d’un « Pacte numérique mondial ».

Essentiellement, l’objectif est d’avoir des personnes, des appareils et des entités, tous liés dans un réseau connecté qui pourrait apparemment être administré de manière centralisée, apparemment par des bureaucrates non élus.

Lorsque ceux qui planifient ce futur programme s’inquiètent de tout impact négatif, ils ne le voient jamais comme affectant potentiellement tout le monde – mais seulement « la société civile (…) ou des groupes sélectionnés exclus des avantages sociaux ».

Pendant ce temps, le WEF vient de s’associer à une société de biométrie de premier plan pour faire avancer son propre programme de numérisation de l’humanité.

La société suédoise de biométrie Fingerprint Cards a fait un grand pas dans la communauté des nouveaux champions du WEF, une assemblée d’entreprises de taille moyenne.

Le WEF tient à promouvoir les formes biométriques d’identification numérique et affirme que la technologie servirait de gardien de «l’inclusion sociale».

Le programme de la communauté des nouveaux champions comprend une réunion à Tianjin, en Chine, du 27 au 29 juin, lors du rassemblement WEF Summer Davos.

Charles Burgeat, vice-président principal de la stratégie chez Fingerprint Cards, a partagé ce qu’il pensait être une pépite de sagesse :
« En tant que fier membre du programme WEF New Champions Community, nous voulons être reconnus comme une entreprise axée sur les objectifs qui contribue positivement aux changements nécessaires pour opérer dans le nouveau monde numérisé.

« En rejoignant cette communauté, nous sommes impatients de réfléchir et d’échanger des idées avec des pairs, et d’apporter notre expertise de l’industrie de la biométrie. »

Les cartes d’empreintes digitales ont fait face à des eaux agitées au premier trimestre de 2023, enregistrant une perte de 70 millions de couronnes suédoises (6,4 millions de dollars) sur un chiffre d’affaires de 117 millions de SEK (10,8 millions de dollars), a rapporté Biometric Update .

Cependant, l’entreprise a progressé, franchissant des étapes clés, notamment en intégrant sa biométrie d’empreintes digitales dans 700 smartphones Android et en expédiant 1 million de modules de capteurs biométriques pour les cartes de paiement.

Le Redmi K60 de Xiaomi a obtenu la distinction d’être le premier smartphone doté de la technologie de sous-affichage des cartes d’empreintes digitales.

Xiaomi est une entreprise technologique chinoise.

Le WEF, déjà bien familiarisé avec la tapisserie numérique de la biométrie, continue de défendre le secteur.

L’organisation avait précédemment intronisé Yoti dans une coalition associée. » (zerohedge.com)

Et ceci lié au fait que :

Les clés d’accès annoncent la mort du mot de passe (lapresse.ca)

« Entretien avec un politicien sorti de l’État profond.

Călin Georgescu a travaillé pour les Nations Unies en tant qu'expert en développement durable pendant 17 ans et pendant les mêmes années, il a été président du conseil d'administration du Centre européen de soutien au Club de Rome. Il a également occupé les postes de conseiller du ministre de l'Environnement, secrétaire général du ministère de l'Environnement, directeur du département des organisations économiques internationales au ministère roumain des Affaires étrangères. Il a vécu de nombreuses années en Suisse et en Autriche et a décidé de retourner dans son pays natal, en fondant le mouvement "Eau, Nutrition et Energie" et le projet "Terre de nos Ancêtres", qui rassemble depuis de nombreux membres et sympathisants.

Dans l'interview du 21 mai 2022, il évoque son travail et le processus au sein des Nations Unies et du Club de Rome, et comment ses nobles objectifs ont été bloqués au fil du temps et il s'est rendu compte, au fil de son travail, que tout tourne autour autour de l'argent et du pouvoir et que les personnes, l'environnement et la paix ne sont pas le véritable objectif de ces institutions. En 2021 il a quitté ces institutions et ne fait plus partie de ces ONG. Ce sont des choses que nous avons écrites et réécrites pendant des années, mais lorsqu'elles sont confirmées par une personne qui a fait partie de ce que nous appelons l' État profond , cela devrait inciter les mécréants à lever les antennes. Bien que, comme nous le savons, il n'y a pas plus sourd que celui qui ne veut pas entendre. Voici quelques extraits de l'interview que j'ai traduits de l'anglais.
"La raison de la création de la Société des Nations puis de l'Organisation des Nations Unies était pour qu'il n'y ait plus de guerres dans le monde, mais comme nous le savons tous, chaque année, nous avons eu au moins 20/30 conflits sur toute la planète.

[...] le Club de Rome est entré pour influencer les décisions. Les politiciens entrent en jeu et le Club de Rome commence à devenir "politiquement correct" et dès que vous commencez à être politiquement correct, vous perdez totalement votre liberté et vous avez en fait perdu votre objectif. En tant qu'être humain, la première chose est avant tout de vivre dignement, avec honneur et de ne pas opprimer la vie des autres pour plaire aux intérêts des politiciens.

[…] être politiquement correct signifie accepter un programme qui n'est pas celui de la dignité et du respect humains. Entre nous, d'abord le respect de soi et ensuite le respect des autres. Et aussi respecter la terre mère et cela s'est produit dans toutes les parties de la planète

[…] J'étais en Somalie, après quatre ou cinq ans, après la catastrophe de 1995. Ils ont tué près d'un million de personnes locales pour leurs propres intérêts et ce n'est pas facile à comprendre. Surtout quand on voit de ses propres yeux ce qu'il y a à l'intérieur : il y a deux ou trois ethnies qui s'affrontent. Il y en a beaucoup d'autres autour de nous, comme des étrangers qui n'investissent que pour les faire combattre. […] En ce moment, la situation est la même partout.

[…] aucun être humain ne veut la guerre, seul un esprit fou peut le croire aussi parce que nous croyons en Dieu et que nous sommes chrétiens. […] Ceux qui avaient un large public et qui parlaient de paix - Martin Luther King ou Gandhi ou n'importe qui d'autre, même Jésus, qui parlaient de paix - ils ont tous été tués ou ont essayé de les éliminer.

[...] nous avons besoin du langage de Jésus, nous ne pouvons pas utiliser le langage des politiciens. Si nous voulons survivre, nous devons être plus spirituels. […] Je dois dire qu'il y a une sorte de guerre entre l'humanité et le transhumanisme.

[…] il s'agit de contrôler les gens, et ils trouvent la solution. Ils construisent une école et par l'éducation ils contrôlent presque tout le monde, car les enfants y vont avec pureté, innocence et amour de la vie et quittent l'école comme des adultes standardisés.

[…] parce que les artistes pensent toujours que tu es libre, qu'il n'y a pas de limites pour toi, que tu peux tout essayer et que tu es toujours limité dans cette société. La société n'a pas besoin que vous soyez sage, car cela va à l'encontre de l'investissement de la société dans la nouveauté, donc ils n'ont pas besoin que vous soyez sage. Ils ont besoin que vous soyez obéissant pour respecter les règles, pour respecter l'ordre du jour, pour être politiquement correct, sinon si vous êtes libre vous êtes rebelle.

[…] Au fait, vous pouvez voir comment les médias coordonnent intelligemment tous ces processus. [...] de coordonner l'esprit, l'information est coordonnée et très souvent j'entends des gens proches de moi dire "à la télé ils ont dit ceci et cela", donc tout le monde est lié à la télé.

[…] Mon honneur d'être un être humain ne me permet pas d'accepter d'être guidé par les autres ou un autre agenda, sachant que l'agenda international est totalement différent de la façon dont les médias l'expliquent au peuple.

[…] L'agenda de l'État Profond , si je peux m'exprimer ainsi, est juste de contrôler les gens et de contrôler les gens comme ils le font depuis deux ans pour contrôler l'âme, contrôler l'humanité qu'aucun plus devrait exister. Nous pouvons voir que ce que nous risquons de perdre aujourd'hui, si nous ne nous tenons pas debout, nous risquons de perdre l'humanité de nous-mêmes. C'est bien leur but, car l'âme demeure pour toujours, et s'ils parviennent à la contrôler, ils contrôlent les gens. Tout est basé sur le pouvoir.

[...] ils se concentrent exactement sur l'émotion, ils vous contrôlent avec la peur qu'il y ait une guerre, la peur de ne pas avoir de salaire, la peur de ne pas avoir à manger, la peur de ne pas avoir d'eau, tout est contrôlé.

[…] La souveraineté, il faut promouvoir la souveraineté.

[…] tout ce qui s'est passé dans le monde aujourd'hui, c'est juste pour contrôler les gens, contrôler la propriété privée et tout concentrer dans une main pour faire de la centralisation, même si on parle de démocratie. Aussi si l'on parle de capitalisme ou de mondialisation, c'est uniquement pour tout concentrer dans une seule main.

[…] J'ai travaillé sur l'Agenda 2030 ou sur l'Agenda 21, appelez-le comme vous voulez, qui n'est qu'un chapitre de l'Agenda 21. L'Agenda 2030 est un problème, c'est une question d'autodétermination ou de détermination externe. Si vous lisez l'Agenda 2030 des Nations Unies, vous trouverez de belles choses comme avoir de l'air pur, de la bonne nourriture, la santé pour tous. Si vous le lisez, vous pensez que c'est le paradis sur terre.

[...] si aujourd'hui dans une communauté je cultive du maïs et dans une autre communauté je cultive des pommes, on leur donne la pomme et ils me donnent le maïs. Cela arrive partout, cela peut arriver parce que la philosophie de l'univers est l'amour entre nous. L'amour est la principale puissance qui peut exister sur cette planète. Et c'est la raison pour laquelle les politiciens et toutes les ONG ne parlent jamais d'amour ?

Je me souviens brièvement d'un autre entretien avec Georgescu.

Reiner Fuellmich, l'avocat allemand luttant contre la fraude dans le scandale du COVID-19, a interviewé Călin Georgescu le 24 janvier 2023, qui décrit le processus d'infiltration mondiale et de prise de contrôle des Nations Unies par des oligarques, en particulier par Klaus Schwab du Forum économique mondial (WEF)

Călin Georgescu révèle comment Trump avait fait dérailler les plans de l'État profond qui devaient avoir lieu en 2016 sous la présidence d'Hillary Clinton.

La pandémie devait avoir lieu en 2016. Il semble que les pénuries de nourriture et d'eau prévues pour 2020 aient été repoussées à 2025.
On parle de la façon dont la légalisation de la pédophilie est l'un des points d'arrivée des milliardaires qui contrôlent l'ONU, l'OMS et tous les acronymes internationaux.

Georgescu est convaincu que son système est sur le point de s'effondrer. Personnellement, je ne leur fais pas confiance tant que je n'ai pas vu leur tête rouler, évidemment dans un sens métaphorique. » (marcotosatti.com)

« Un haut responsable du Forum économique mondial (WEF) a appelé à la "réécriture" des écritures religieuses par l'intelligence artificielle (IA) pour créer une "nouvelle Bible" mondialisée.

Yuval Noah Harari, conseiller principal du WEF et de son président, Klaus Schwab, affirme que l'utilisation de l'IA pour remplacer les Écritures créera "des religions unifiées qui sont vraiment correctes".

Harari, auteur et professeur influent, a lancé cet appel lors d'un discours sur "l'avenir de l'humanité".
Selon Harari, le pouvoir de l'IA peut être exploité et utilisé pour remodeler la spiritualité conformément à la vision mondialiste d'« équité » et d'inclusivité du WEF.

S'adressant au journaliste Pedro Pinto à Lisbonne (Porugal), Harari a déclaré au public élitiste :
"C'est la première fois [dans l'histoire] que la technologie peut créer de nouvelles idées."
"Vous savez que la presse, la radio et la télévision diffusent les idées créées par le cerveau humain, par l'esprit humain", mais "elles ne peuvent pas créer une nouvelle idée".
"Vous savez que [Johannes] Gutenberg a imprimé la Bible au milieu du XVe siècle : l'imprimerie a imprimé tous les exemplaires de la Bible que Gutenberg avait commandés, mais n'a pas créé une seule nouvelle page." « Je n'avais aucune idée personnelle sur la Bible : est-elle bonne ? Il est mauvais? Comment interpréter cela ? Comment interpréter ça ?
 
Harari a révélé plus tard que lui et ses alliés du WEF avaient une solution aux prétendus problèmes qu'il venait de mettre en évidence.
"L'IA peut créer de nouvelles idées, voire écrire une nouvelle Bible ", a-t-il déclaré.
"Tout au long de l'histoire, les religions ont rêvé d'avoir un livre écrit par une intelligence surhumaine, par une entité non humaine", a-t-il ajouté.

"D'ici quelques années, il pourrait y avoir des religions qui sont réellement correctes (...) il suffit de penser à une religion dont le livre saint est écrit par une IA ."
"Cela pourrait être une réalité dans quelques années."
 
[Harari a souligné lors d'une autre réunion récente que les programmes informatiques comme ChatGPT dominent le langage humain et peuvent profiter de cette fonction pour influencer la culture, selon le Times of Israel .
Selon le journal, Harari a déclaré que "depuis des milliers d'années, les prophètes, les poètes et les politiciens ont utilisé le langage et la narration pour manipuler et contrôler les gens et remodeler la société". Et "maintenant, il est probable que l'IA puisse le faire. Et une fois que vous le pourrez... vous n'aurez plus besoin d'envoyer des robots tueurs pour nous tirer dessus." En fait, "cela peut inciter les humains à appuyer sur la gâchette".
 
Harari a également déclaré que "contrairement à ce que supposent certaines théories du complot, il n'est en fait pas nécessaire d'implanter des puces dans le cerveau des gens pour les contrôler ou les manipuler". Il a également averti que "nous devons agir rapidement avant que l'IA n'échappe à notre contrôle" et que "les gouvernements doivent immédiatement interdire la diffusion dans le domaine public d'outils d'IA plus révolutionnaires avant qu'ils ne soient sûrs", a ajouté le journal.

Harari promeut fréquemment des idées qui impliquent le remplacement de l'humanité par des machines.
Comme rapporté précédemment par Slay News, Harari a jubilé l'année dernière que « nous n'avons tout simplement pas besoin de la grande majorité de la population » dans le monde d'aujourd'hui.

Selon Harari, la majeure partie du grand public est devenue "superflue" et sera peu utile à l'élite mondiale à l'avenir. En ce sens, Harari soutient que les technologies modernes telles que l'intelligence artificielle "permettent de remplacer les gens".

Harari a déclaré que "si nous remontons au milieu du XXe siècle - et peu importe que ce soit aux États-Unis avec Roosevelt, ou en Allemagne avec Hitler, ou même en URSS avec Staline - et que nous pensons à construire l'avenir, alors les matériaux de construction sont ces millions de personnes qui travaillent dur dans les usines, dans les fermes, les soldats. "Nous avons besoin d'eux". Mais il ajoute que "maintenant, en ce début de XXIe siècle, nous n'avons plus besoin de la grande majorité de la population", car "l'avenir réside dans le développement de technologies de plus en plus sophistiquées, comme l'intelligence artificielle et la bio-ingénierie". La plupart des gens n'y apportent rien, sauf peut-être leurs données, et quoi que les gens continuent à faire d'utile, ces technologies vont le rendre de plus en plus superflu et permettre de remplacer les gens. » (marcotosatti.com)

L’intelligence artificielle est sur toutes les lèvres ces derniers mois et ce n’est par pour rien.

C’est la montée en puissance de Satan qui s’annonce comme le sauveur de cette « humanité » et de sa planète.

Une religion humaniste avec une écriture de sa « bible » par l'intelligence artificielle.

La fin est proche.

Car Dieu a d’autres projets…

08 juin

LE 8ÈME ROI

Le 8ème roi, c’est l’Antéchrist personnifié au faîte de l’église, comme prophétisé à La Salette.

Bergoglio.

« Dans son billet du 31 mai 2023, Sandro Magister, sous le titre « Le Pape François, monarque de droit divin », analyse la nouvelle « Loi Fondamentale de l’État de la Cité du Vatican » [c’est-à-dire, en termes profanes, la Constitution] , sortie le 14 mai dernier, presque en catimini car éclipsée par l’impact de la visite de Zelensky au Pape. Le sous-titre est plus explicite: « Ce qu’aucun pape n’avait osé faire avant lui ». Un comble, pour un pontife qui a fait de la collégialité et de la synodalité son cheval de bataille… » (benoit-et-moi.fr)

Ce qu’on peut comprendre de l’article et donc de la nouvelle constitution, c’est que la boucle commencée en 1929 avec l’Accord de Latran est bouclée.

Bergoglio et bel et bien devenu le 8ème roi en ce 14 mai 2023 (ce n’est pas une date anodine : Le 14 mai 1948 était proclamée la naissance de l’État d’Israël. 75Ème anniversaire cet année pour la gloire de la judéo-maçonnerie qui a réussi à mettre sur le trône de Saint-Pierre son pantin.)

Roi de « droit divin », et on sait de quel dieu…

L’État du Vatican était un outil guidé par le Saint Siège pour faire rayonner la foi chrétienne, avec le Christ Roi à sa tête.

Bergoglio vient de mettre officiellement dans la constitution l’État du Vatican en priorité sur le Saint Siège pour faire rayonner la foi humaniste, uniquement.

Il élimine par le fait même l’importance du rôle du Secrétaire d’État en prenant les rennes seul pour les relations et décisions diplomatiques (ligne directe avec les dirigeants de ce monde), en tant que 8ème roi, d’où la remarque de Sandro Magister sur la pseudo importance pour Bergoglio à propos de sa « synodalité ».

C’est l’inversion totale, en laissant croire que tout se décide dans la collégialité, alors qu’on sait à travers les branches que Bergoglio est un dictateur qui règne par la peur.

On a ainsi un bon indice encore une fois que le rapport sur le synode est déjà décidé par Bergoglio et qu’il essaiera d’amener les évêques et le 25% de laïcs à voter pour son programme, et non l’inverse.

Nous avons un échéancier devant nous pour octobre 2024 avec ce synode, et les décisions qui mènent à cette conclusion surgissent tranquillement.

Comme Bergoglio le dit à maintes reprises: « il n’y aura pas de retour en arrière ».

Ainsi que l’avait prédit le regretté Serge Monast:

« …L’Église, sous le pouvoir de l’Anti-Pape, sera absolument identique à l’Église de Jérusalem au temps de Jésus-Christ. Elle partagera l’idéologie des Nations-Unies de la même manière que les Prêtres du Temple partageaient l’Idéologie et le Pouvoir avec les Romains. Elle conservera les croyances en Jésus-Christ comme façade afin de dissimuler ses réels intérêts qui seront, en réalité, la richesse, le Pouvoir Politique et Religieux, et l’opportunisme sur tous les fronts tel que cela était le cas de l’Église de Jérusalem au temps de l’Empire Romain. Elle établira de nouveaux  »Concepts Religieux », tous basés sur la divinité de l’Homme où celui-ci sera considéré comme étant le  »Centre »… … En accord avec l’Agenda International à remplir, la première initiative de l’Anti-Pape en sera une de réconciliation truquée avec l’ensemble des Églises Chrétiennes du monde… L’élection d’un Anti-Pape aura eu pour effet de provoquer un  »Schisme » majeur, supposé être le dernier devant survenir dans le Monde Chrétien…

Voici donc le «Mensonge des Mensonges»! Voici «l’Abomination des Abominations»! Les faux chrétiens étant à la tête de la nouvelle église mondiale; et prétendant être les seuls et uniques représentants de Jésus-Christ d’un côté; de l’autre, les vrais et réels disciples de Jésus-Christ sur la route du Calvaire considérés comme étant les ennemies de l’État Mondial tel que cela était le cas, il y a deux milles ans, en face des prêtres de Jérusalem, et en face de l’empereur romain à Rome. »

C’est un signe évident de la fin des temps car il confirme que le 8ème roi est sur le trône, concrètement, inscrit dans une constitution.

« C'est ici qu'il faut un esprit doué de sagesse. — Les sept têtes sont sept montagnes, sur lesquelles la femme est assise. Ce sont aussi sept rois :
Les cinq premiers sont tombés, l'un subsiste, l'autre n'est pas encore venu, et quand il sera venu, il doit demeurer peu de temps.
Et la bête qui était et qui n'est plus, en est elle-même un huitième et elle est des sept, et elle s'en va à la perdition. » (Apocalypse 17, 9-11)

La clé pour démarrer le compte (guidé par « l’esprit de sagesse » et du fait qu’on ne peut reconnaître les faits qu’en y étant présent) est celui qui « subsiste », c’est à dire Benoît XVI. Cinq papes avant lui donc.

Et la bête qui était et qui n'est plus, en est elle-même un huitième et elle est des sept, et elle s'en va à la perdition.

Et Bergoglio, qui représente la bête marxiste socialiste judéo-maçonnique, est le septième pape, mais il a décidé d’abandonner son titre de vicaire du Christ, ET, d’abandonner son titre de pape en décidant qu’il n’était, dans son idée de collégialité, que l’évêque de Rome (en référence aux sept collines).

Il est devenu le huitième, la bête cachée derrière le titre de pape, et qui s’en va à la perdition.

Il est donc roi du Vatican, qui domine le Saint-Siège.

Le geste concret qu'il vient de poser est la preuve.

Un roi totalement temporel, qui a abandonné le titre de Vicaire du Christ, et qui vient de mettre à égalité l’État du Vatican avec les autres nations prônant le mêmes valeurs humanistes.

C’est l’abandon du Christ.

Heureusement que la Tradition veille.

Mai 2023

29 mai

« HOMÉLIE

en la solennité de la Pentecôte

Envoie ton Esprit et ils seront créés

et tu renouvelleras la face de la terre.

[Tu envoies ton souffle et ils sont créés,

Et tu renouvelles la face de la terre]

Salmo 103, 30

 

Quelle est la caractéristique de l'Amour ? C'est gratuit . Qui aime, aime sans rien attendre en retour. Celui qui aime se réjouit que le bien dont il jouit puisse être partagé par l'aimé. Ceux qui aiment n'ont pas de demi-mesure : ils aiment totalement, sans réserve. Celui qui aime veut le bien de l'aimé, sait dire non. Cela est vrai au plus haut degré lorsque l'Amour est divin, lorsque l'Amour du Père envers le Fils et du Fils envers le Père est si parfait et infini qu'il est la Troisième Personne de la Sainte Trinité, le Saint-Esprit Paraclet.

La magnificence est le signe distinctif des souverains et des princes, qui inspirent leur libéralité à la magnificence de Dieu, de la même manière qu'ils conforment leur gouvernement à la justice divine. Mais rien ne peut rivaliser avec la magnificence de l'œuvre de Dieu : une magnificence infinie tant dans l'ordre de la Création que -et de manière infiniment supérieure- dans l'ordre de la Rédemption. Une magnificence divine dans ses perfections, illimitée dans sa capacité de rayonner, semblable à la lumière bienfaisante du Soleil, comblant chacun et chacune de grâces et de faveurs imméritées et gratuites. Et c'est la gratuité absolue qui caractérise l'œuvre de Notre-Seigneur, établie de toute éternité des temps pour réparer le péché d'Adam par l'Incarnation, la Passion et la Mort de l'Homme-Dieu. Gratuits sont aussi les Cadeaux Esprit Saint; Gratuite est la Grâce, gratuite, accordée gratuitement. Libre est l'éternité bénie qui nous est préparée au Ciel ; Gratuite est la sanctification que l'Église opère à travers les Sacrements et le Saint Sacrifice de la Messe.

Mais si la gratia , la gratuité absolue du Bien qui nous vient de Dieu, est une note divine qui unit la toute-puissance et la miséricorde dans le lien admirable de la Charité ; au contraire, tout ce qui vient de Satan a un prix, pas du tout gratuit, car il n'a rien à donner et tout à voler avec tromperie et mensonges ; parce qu'elle vient de ceux qui veulent notre mal présent et éternel, enviant par-dessus tout la Rédemption du Christ et plus encore l'humilité de la Vierge Immaculée, que la Sainte Trinité a librement parée du privilège d'être conçue sans tache de péché, d'être une digne tabernacle du Très-Haut.

Satan, le marchand de mort. Satan, l'éternel trompeur, celui qui vend avec fraude ce qui ne lui appartient pas, et avec fraude achète notre âme immortelle, l'échangeant avec le néant de biens faux, éphémères et mensongers. Et c'est la tromperie, la simulation, le mensonge que l'on voit régner dans le champ adverse. Un mensonge que Satan veut faire reconnaître comme tel, mais qui n'en est pas moins approuvé et accepté. Car tandis que l'œuvre de Dieu est l'œuvre de la vérité - procédant de Celui qui est la Vérité absolue -, l'œuvre du diable est une fiction. Satan est le grand scénographe de la réalité virtuelle du monde d'aujourd'hui, de la société esclavagiste mondialiste de l'Ordre Nouveau, dans laquelle la simulation et la falsification sont la marque de l'action de l'Adversaire.

« Quelle belle fille : elle ressemble à une poupée ! » entend-on. "Quel beau paysage : on dirait une carte postale !" Dans ces expressions courantes, souvent utilisées avec naïveté, se manifeste la matrice frauduleuse de l'œuvre de l'Ennemi qui, en tant que créature, est incapable de créer à partir de rien, et doit donc recourir à l'imitation du Créateur pour nous tromper nous les hommes. Le Prince de ce monde nous propose des modèles artificiels et faux, qui prétendent être ce qu'ils ne sont pas et qui ne sont pas mus -comme les oeuvres de Dieu- par une Charité infinie, mais par une haine livide envers la Majesté divine et envers Ses créatures. La maternité de substitution, la manipulation génétique, la bio-ingénierie, le transhumanisme et les mutilations obscènes de la transition de genre, la parodie du mariage homosexuel,Simia Dei .

Ce qui se passe dans l'enceinte sacrée n'est pas différent, où les hérétiques et les apostats ont toujours essayé de remplacer les perfections de la Révélation divine par leurs propres falsifications ; se présentant, en effet, comme ce qu'ils ne sont pas, comme de faux bergers, comme de faux prophètes, comme des antéchrists. Le même Antéchrist, qui régnera dans les derniers temps avant d'être exterminé par le souffle du Christ, est un simulateur, un imitateur frauduleux du vrai Christ. Le prophète de l'Antéchrist est aussi un imposteur, qui est présenté dans l' Apocalypse comme son mainteneur, le chef de la Religion de l'Humanité, le prédicateur de l'écologie et de l'humanisme maçonnique.

Si nous observons la situation désastreuse dans laquelle se trouve l'Épouse du Christ, nous trouvons incrustés en elle comme des tumeurs malignes tous ces faux bergers et mercenaires qui font du mensonge et de la tromperie leur raison de vivre, et qui, comme leurs pairs dans la sphère civile, ils se présentent comme des promoteurs de la paix et de la fraternité, comme des défenseurs des faibles, des pauvres et des déshérités, alors qu'en réalité ils sont les serviteurs des puissants, complices des tyrans, promoteurs de division et impitoyables avec ses ennemis, c'est-à-dire les bons Les chrétiens. Mais surtout : contre Dieu, contre Jésus-Christ, contre la Bienheureuse Vierge Marie, contre la Sainte Église.

Dans ses actions tout est faux : le synode de synodalité est faux, ce qui sous l'apparence d'un vrai synode dénature la Foi ; les prétendues consultations avec le peuple de Dieu sont fausses, pilotées par tromperie ; ses revendications sur la dignité des femmes, utilisées pour saper le sacerdoce catholique, sont fausses ; Sa charité envers les pécheurs est fausse, qu'il ne réprimande pas mais confirme dans le péché, perdant leur âme. Aussi faux est « l'esprit » qui inspire ses illusions ; faux le « dieu des surprises » qui légitime ses erreurs ; fausse sa "pentecôte" qui contredit l'action du Paraclet et fausse son "église" qui éclipse la véritable Église du Christ. Faux, scandaleux et criminel est la parodie d'un sacrement auquel a été érigé un sérum expérimental qui modifie le génome humain grâce à la technologie de l'ARNm, mais que Bergoglio n'a pas hésité à définir sacrilège comme un "acte d'amour" et un "léger espoir pour tout le monde." Faux respect pour le Créé par "l'église amazonienne", qui rend un culte idolâtre à la Terre Mère et ratifie les manipulations de géo-ingénierie contre la nature que Dieu a créée.

Veni, Sancte Spiritus, reple tuorum corda fidelium : et tui amoris in eis ignem accende [Viens, Esprit Saint, remplis le cœur de tes fidèles et allume en eux le feu de ton amour]. En effet, la divine Liturgie du jour de la Pentecôte est un hymne à l'Esprit Saint : un chant d'amour de l'Église à l'Amour divin, qui procède du Père et du Fils. Dans le Graduel de la Messe , pour souligner la puissance de cette invocation, nous avons prononcé ces paroles à genoux : Viens, Esprit Saint, remplis le cœur de tes fidèles, et allume en eux le feu de ton amour . Un feu qui illumine nos esprits de Foi et réchauffe nos cœurs de Charité.

L'Esprit Saint -qui est l'Esprit de Vérité- agit en silence : le silence de nos cœurs qui se laissent conseiller et inspirer ; le silence du recueillement de cette église, où le sang-froid digne de la liturgie divine s'incline devant l'action du Paraclet invoqué par les ministres pour bénir et sanctifier les choses et les personnes ; le silence de tant d'âmes qui dans le monde semblent sans voix, dominées par la clameur infernale des armées de l'Ennemi, mais qui accomplissent la volonté de Dieu. Et en silence s'accomplissent les miracles les plus incroyables de l'Esprit Saint qui, avec une magnificence divine, nous prodigue ses dons gratuits, comme la grâce surnaturelle est gratuite.

Implorons le Consolateur – dulcis hospes animæ, doux hôte de l'âme – avec les paroles de la splendide Séquence de la Pentecôte, qu'Il soit pour nous repos dans la fatigue d'affronter nos devoirs quotidiens, rafraîchissement dans le désert torride de ce monde rebelle, consolation dans les larmes que nous avons versées en voyant sa femme tourmentée sur terre. Que le Paraclet purifie toute souillure de péché, baigne de Grâce l'aridité de tant d'âmes, guérisse les blessures de nos cœurs qui saignent pour cette passio Ecclesiæ qui semble sans fin. Pliez la dureté des pécheurs à la volonté de Dieu, alimentez l'apostolat des Pasteurs avec la flamme de la Charité, maintenez ferme la Foi de tant de personnes qui vacillent face au triomphe apparent du mal.

Viens, Esprit Saint, et renouvelle la face de la terre, que le Père a créée, que le Fils a rachetée, et que tu sanctifies par la sainte Église. Et ainsi soit-il.

 

+ Carlo Maria Vigano,  Arzobispo

28 mai 2023

Dimanche de Pentecôte »

28 mai

« HOMÉLIE

pour l'octroi de la Sainte Confirmation

à la veille de la Pentecôte

 

Celui qu'on appelle le Paraclet, le don du Dieu Très-Haut.

Hymne. Viens, Créateur

Aujourd'hui, nous célébrons la Vigile de la Pentecôte. L'ancienne liturgie baptismale de ce jour, abolie avec la réforme de 1955, a été récemment remise en usage par de nombreuses communautés qui suivent le rite tridentin, de plus avec l'autorisation de la Commission Ecclesia Dei . La raison de cette décision peut être attribuée au fait que les auteurs de l' Ordo Hebdomadæ Sanctæestablishus de Pie XII sont les mêmes que ceux du Rubricarum Instructum de Jean XXIII et du Novus Ordo Missæ de Paul VI. En vue de retrouver les trésors du Rite traditionnel, cette redécouverte s'explique donc non seulement de la Semaine Sainte d'avant 1955, mais aussi de la liturgie symbolique de la Pentecôte, dite Pâques des Rosesen mémoire de l'antique coutume de faire tomber une pluie de pétales de roses du haut de la voûte de nos églises, censées représenter les langues ardentes du Saint-Esprit. Cela se produit encore dans la Basilique de Santa Maria ad Martyres , le Panthéon romain.

Son caractère baptismal rappelle la Veillée pascale, de sorte que les catéchumènes qui n'avaient pas reçu le baptême le samedi saint - par exemple parce qu'ils n'étaient pas encore prêts ou malades - pouvaient être admis parmi les néophytes lors de la fonction solennelle d'aujourd'hui. Cet ancien rite contemple la bénédiction de la Fontaine Sacrée et l'octroi du lavage sacramentel, et nous rappelle la sollicitude de la Sainte Église, qui est Maîtresse en exigeant la préparation appropriée des candidats au Baptême, et Mère en leur accordant une autre occasion à la conclusion de la saison de Pâques. La lecture des prophéties constitue, selon Dom Guéranger, une référence évidente au samedi saint, avec le double symbolisme de la Pâque et de la Pentecôte juives qui s'accomplissent dans la Pâque et la Pentecôte chrétiennes.

Certes, le grand Pie XII, envers qui nous avons une profonde vénération, n'a pu percevoir dans ces premiers pas de la liturgie du renouveau , commencée dans les années 1920, la menace qui apparaîtra plus tard évidente avec la soi-disant « réforme conciliaire ». C'est pourquoi la récupération des rites antérieurs à 1955 ne remet nullement en cause son pontificat, ni son amour pour la liturgie romaine. Nous pouvons plutôt reconnaître la ruse diabolique avec laquelle ont agi les Innovateurs, qui ont miné à petits pas le trésor inestimable du culte catholique. Au lieu de divulguer ce patrimoine, fruit de siècles de développement harmonieux, ils ont jugé plus commode de le simplifier, démontrant en cela non seulement une mentalité totalement étrangère à une véritable compréhension de la liturgie divine, mais aussi un mépris substantiel pour le saint peuple de Dieu, considéré comme un tort incapable de se nourrir spirituellement en y puisant. Mais cela, rappelez-vous, n'était encore qu'un prétexte, une excuse - leactuosa participatio, la participation active des fidèles – derrière laquelle se cachait la volonté de saper la Foi, la lex credendi, par la falsification de son expression priante, la lex orandi .

En fin de compte, les Innovateurs révèlent leur manque de confiance dans l'action de la Grâce infuse par l'Esprit Saint – qui opère aussi à travers la Liturgie – et dans la capacité de l'homme à y correspondre. Dans leur mentalité, rien ne doit nous mettre à l'épreuve, rien ne doit représenter une opportunité d'amélioration : tout doit être à la portée de tous, aucun trésor ne doit être divulgué à ceux qu'ils jugent médiocres et ignorants ; ce qui trahit leur fière croyance qu'ils sont supérieurs à leur troupeau. Ce classisme présomptueux ne se limite pas à l'extérieur, mais s'étend aussi aux affaires intérieures, de sorte que pour eux l'ignorance de la Foi, l'accommodement indolent de la Morale, la paresse dans la Spiritualité et l'Ascétisme doivent être la règle pour une masse qu'ils n'ont aucune envie de guider, instruire, avertir. Trop d'efforts, pour ceux qui d'abord ne croient pas, n'aiment pas, n'espèrent pas. Trop d'efforts, pour ceux qui s'affairent à bâtir une église à leur image, considérant l'Église du Christ et sa Liturgie anciennes et impensables. Pour cela, ils dépersonnalisent les individus et les anéantissent en une assemblée sans visage et sans volonté à laquelle imposer une vision horizontale dépourvue d'aspiration surnaturelle, dans la certitude – que nous avons d'ailleurs sous les yeux – qu'un rite qui exprimeune autre vision ecclésiologique et doctrinale aurait fini par changer la Foi de ceux qui en auraient été témoins.

Inversement, les bons Pasteurs sont les premiers qui, dans le sillage de la Tradition et dans la pratique constante et humble de ce qu'ils prêchent, ont la tâche d'indiquer de grands objectifs aux âmes qui leur sont confiées. Soyez saint, comme votre Père est saint(Mt 5, 48), Notre-Seigneur nous exhorte. Et cette sainteté, faite d'héroïsme (même silencieux) et d'abandon généreux à la volonté de Dieu, est la réponse à la Grâce qui rend possible à Dieu ce que nous ne pourrions jamais accomplir par nous-mêmes. Et aujourd'hui, avec l'octroi de la Sainte Confirmation au jeune Gabriel, nous en avons la preuve : le Seigneur, qui nous appelle à être fils du Père Éternel et membres vivants de l'Église par le Baptême, fait de nous des soldats du Christ dans le Sacrement de la Confirmation, prêt à combattre le bon combat. Mais Il ne nous laisse pas seuls dans cette épreuve : Il nous fournit les armes spirituelles pour affronter l'Ennemi de notre âme. L'Esprit Saint nous donne ces armes très puissantes - gratuitement, comme tout ce qui vient de Dieu - précisément dans la Confirmation et dans tous les Sacrements : l'armure de Dieu, la ceinture de la vérité,

Ne soyons pas fiers de ce que le Seigneur nous permet d'être, ni des succès que nous obtenons grâce à Lui ; mais ne nous laissons décourager ni par nos échecs, ni par notre faiblesse, ni par l'inexpérience dans le maniement de ces armes, ni par le manque de dextérité dans leur maniement. Répétons plutôt avec saint Paul : Je puis tout en celui qui me fortifie (Phil 4, 13).

Dans cette Veillée solennelle qui nous prépare à la descente du Paraclet, invoquons l'Esprit Saint avec la confiance de celui qui connaît avec réalisme et humilité sa propre faiblesse, mais aussi la puissance infinie du Seigneur Dieu des armées déployées, et qui n'est pas moins formidable que la nôtre augusta Condottiere, Maria Santissima, terribilis ut castrorum acies ordinaria. La guerre spirituelle que nous menons contre le monde, la chair et le diable a été gagnée sur la Croix, où Notre Seigneur et Dieu a vaincu l'ennemi ; où la semence bénie de la Femme couronnée d'étoiles et revêtue de soleil écrasa la tête du Serpent antique. Elle connaîtra la victoire totale à la fin des temps, quand à nouveau la Femme annoncée dans la Genèse et le fruit de Ses entrailles extermineront l'Antéchrist et Satan. Nous nous trouvons au milieu de ce conflit d'époque, et si nous voulons triompher avec le Christ et avec Sa Très Sainte Mère, nous devons combattre avec enthousiasme sous les bannières glorieuses de notre Roi, protégés par l'armure que le Saint-Esprit - παράκλητος, c'est-à-dire défenseur, conseiller et avocat – nous rend disponibles, surtout avec la Grâce conférée dans la Confirmation.

Nous avons des idéaux élevés, de grands défis, des duels passionnants à affronter. Avec l'aide de Dieu, le jeune Gabriel en aura aussi, que l'Église enrôle dans ses rangs comme miles Christi, lui fournissant tout l'équipement spirituel dont il a besoin, lui fournissant les soins de la Confession, nourrissant sa force et sa vigueur de la Nourriture surnaturelle. de la Très Sainte Eucharistie. Gabriel : La force de Dieu . Le Saint-Esprit vous donnera aussi – comme il a donné et continue de donner à chacun de nous – ses dons, le septénaire sacré : sagesse, intelligence, conseil, courage, connaissance, piété, crainte de Dieu.

Ne nous laissons donc pas décourager par ceux qui veulent que nous soyons faibles et désarmés, résignés et ignorants, pour mieux pouvoir craquer et vaincre : plaçons plutôt toute notre espérance en Dieu, qui nous appelle à la l'héroïsme de la sainteté parce qu'il nous veut à sa droite au jour glorieux de la victoire, où il fera de ses ennemis son marchepied (Ps 109, 2). Et ainsi soit-il.

+ Carlo Maria Viganò, archevêque »

20 mai

« Étonnez-vous, réjouissez-vous : nous sommes devenus le Christ.

Saint Augustin, dans John. Évan. Tract , 21, 8

par Monseigneur Carlo Maria Viganò

La Divine Liturgie de cette Messe votive en l’honneur de la Très Sainte Vierge Marie, sous l’invocation de Regina Crucis, nous propose dans l’Épître la vision de l’Apocalypse de la Femme et du Dragon, qui offre à cette célébration solennelle de grands et importants points de réflexion.

La Femme représente la Très Sainte Vierge Marie et donc l’Église, dont elle est Reine et Mère, étant Mère de Notre Seigneur et Dieu, Chef du Corps Mystique et Mère spirituelle des chrétiens, qui en sont les membres vivants. Sous ses pieds virginaux, la Femme piétine la lune, symbolisant ainsi le mépris pour les choses transitoires et changeantes, qui s’oppose à l’éternité immuable de Dieu. Elle est revêtue du Soleil de Justice, c’est-à-dire placée sous la protection du Christ et porte une couronne de douze étoiles, les douze Apôtres qui constituent les joyaux de l’Église. Les cris pour les douleurs de l’accouchement font allusion au fait que la Sainte Église – et la Très Sainte Vierge Marie – engendrent les enfants de Dieu à la vie de la Grâce, unissant dans la Compassion et la Co-rédemption leurs peines à la Passion et à la Rédemption du Christ, et méritant ainsi à la Vierge le titre de Reine de la Croix. La Vierge Marie était avec le Christ tandis qu’Il se disait, du haut de la Croix, Souverain du monde ; et au pied de celle-ci, elle se revêtit du manteau royal d’une douleur parfaite, en s’en laissant transverbérer et couronner, tenant avec le divin Fils le sceptre de la souffrance.

L’Église – Marie qui en est la Mère – engendre aussi les plus chers de leurs enfants : les prêtres, ministres du Soleil et du Sang, comme les appelait sainte Catherine de Sienne. Leur naissance attire le Dragon, c’est-à-dire Satan, parce qu’il veut les déchiqueter pour les empêcher de renouveler mystiquement le Sacrifice de la Croix, par lequel le Seigneur a restauré dans l’ordre surnaturel ce que le péché d’Adam avait mérité de perdre. Et depuis l’expulsion de nos premiers parents, la promesse du Protévangile (Gn 3, 15) se réfère infailliblement à la vision de l’Apocalypse, dans laquelle la bataille entre le Christ et Satan est reproposée, entre le lignage du Christ qui est l’Église et le lignage de Satan qui est l’anti-église ou le Sanhédrin mondialiste maçonnique.

J’attire votre attention sur le triple assaut du Dragon : le premier est contre Jésus-Christ, le Fils nouveau-né de la Femme (Ap 12, 5), qui échappe à ses attaques et est enlevé au ciel ; le second est contre la Femme (Ap 12, 6), qui fuit dans le désert – allégorie d’un lieu protégé des assauts de Satan – pour une période de 1260 jours, c’est-à-dire 42 mois ou 3 ans et demi, c’est-à-dire le temps du règne de l’Antéchrist (Ap 12, 6 et 14) ; le troisième est contre les enfants de la Femme, c’est-à-dire les Chrétiens et l’Église, qui obtiennent cependant la victoire sur le Dragon grâce au Sang de l’Agneau (Ap 12, 11).

Je trouve cette triple distinction de l’assaut de Satan très édifiante et significative. Nous voyons que le diable attaque toujours le Christ, d’abord dans Sa Personne, puis dans Son Corps Mystique, et enfin dans Ses fidèles. Pourtant, la victoire que le Seigneur veut obtenir ne se réalise que dans le troisième assaut : Et le dragon fût rempli de fureur contre la Femme, et il alla faire la guerre au reste de ses enfants, à ceux qui observent les commandements de Dieu et qui gardent le témoignage de Jésus (Ap 12, 17). Qui sont-ils ? De qui parle saint Jean, quand il fait allusion à la descendance de la Femme, sinon de ceux qui sont restés fidèles et n’ont pas apostasié la Foi, et qui ne se sont pas laissés emporter par la queue du Dragon (Ap 12, 4) ? C’est une grande consolation de voir combien le Seigneur se complaît à appeler ses enfants à combattre dans la bataille contre Satan, afin que, grâce à leur généreux abandon à la volonté de Dieu, ils deviennent des instruments dociles du triomphe du Christ sur celui qui fut homicide dès le commencement (Jn 8, 44). Le Seigneur ne veut pas gagner seul : Il veut que Sa victoire soit aussi la nôtre, si nous descendons sur le champ de bataille sous les bannières du Christ Roi et de Marie Reine, qui nous ont rachetés – le Christ dans la Passion et la Rédemption et la Très Sainte Vierge Marie dans la Compassion et la Co-Rédemption – de notre état d’esclaves du diable. Et voici la Croix, sur laquelle le Roi est assis et aux pieds de laquelle se tient la Reine Mère ; Reine et Mère de tout baptisé, mais surtout de chaque prêtre, et que le Seigneur lui a confié comme ses vaillants sujets et ses enfants dévoués.

Ne nous laissons donc pas surprendre par la haine féroce du Dragon envers les enfants de l’Église, qui sont tous les enfants spirituels de la Très Sainte Vierge Marie : cette haine est le reflet de la haine envers l’Église elle-même, envers la Vierge Immaculée et envers le Fils de Dieu, Notre Seigneur Jésus-Christ. Soyons plutôt surpris si le Dragon n’essaie pas de nous dévorer, car cela signifierait qu’il ne voit pas le Christ en nous, et qu’il ne nous considère pas comme un obstacle dans la guerre qu’il mène contre Dieu. Soyons surpris si ses serviteurs nous traitent comme leurs amis, car alors nous devons comprendre que nous agissons et pensons selon l’esprit du monde, et non selon Dieu.

C’est pourquoi, dans cette société corrompue et rebelle, asservie au Mal par une élite de pervers dans l’esprit et dans la volonté, le Dragon de l’anti-église est si déchaîné contre les prêtres : il sait très bien combien ils sont redoutables, car entre leurs mains le Seigneur a placé le pouvoir divin de consacrer le Corps et le Sang du Christ, d’offrir la Victime immaculée au Père dans le Saint Sacrifice de la Messe, de perpétuer le fleuve de grâces et de bénédictions qui protège la Femme réfugiée dans le désert, image de l’Église. Tout tourne autour de la Croix, car c’est là que Satan a été vaincu par Notre Seigneur, c’est là que Sa Très Sainte Mère, unie à la Passion du Fils, a écrasé la tête du Serpent comme promis dans le Protévangile. C’est là que la Mère de l’Église se montre terribilis ut castrorum acies ordinata, contre le chaos des hordes infernales qui assiègent la Citadelle.

Sacerdoce, Messe, Eucharistie, Très Sainte Vierge Marie : ces fondements de notre Religion sont attaqués quotidiennement par le diable et ses serviteurs. Le Sacerdoce, parce qu’il continue dans l’Église l’action sanctifiante de sa Tête ; la Messe, qui est l’action principale du Sacerdoce ; la Très Saint Eucharistie, qui rend le Christ réellement présent sous les saintes espèces, qui devient nourriture spirituelle pour la patrie céleste ; la Vierge Marie, tabernacle vivant du Très-Haut et modèle de cette sainte humilité qui renverse l’orgueil de Lucifer.

Certes, nous devrions trembler pour le sort de ceux qui, aveuglés par le péché, s’en prennent à ce qui est le plus efficace pour mener cette bataille. Et nous devrions être horrifiés d’entendre celui qui s’est assis sur le Trône du Vicaire du Christ accuser comme arrièrisme la garde du dépôt de la Foi, comme rigidité la fidélité à l’enseignement de Notre-Seigneur, comme formalisme l’obéissance à ce qu’Il a enseigné aux Apôtres. Parce que ces paroles délirantes, ces déclarations aberrantes qui se multiplient depuis dix ans dans le silence narcotisé de la Hiérarchie, des clercs et des fidèles constituent la preuve la plus évidente et la plus déconcertante de l’étrangeté, de l’extranéité de Bergoglio au rôle qu’il occupe, voire de son aversion évidente pour tout ce qui est catholique, apostolique et romain ; à tout ce qui réalise le plus intimement la présence du Christ Roi et Pontife : le Sacerdoce, la Messe, l’Eucharistie. Et à Celle qui est Mère de l’Église et Reine de la Croix. Le sang se fige dans nos veines à entendre la doctrine de la Co-Rédemption et de la Médiation de la Très Sainte Vierge Marie qualifiée de « tonterias » – bêtises.

Non, chers frères : nous ne sommes pas « malades de la nostalgie », parce que nous ne sommes pas – et ne devons pas être – du monde, mais dans le monde. Parce que les paroles de Notre Seigneur ne sont pas soumises aux modes ou aux variations du temps : veritas Domini manet in æternum. Nous ne regrettons pas une époque lointaine, un âge d’or révolu, car nous savons bien que la bataille entre le Christ et Satan qui a commencé dans le Paradis terrestre est destinée à se poursuivre et à s’intensifier d’autant plus que le redde rationem des derniers temps se fait plus proche et inexorable, qui verra l’Archange Saint Michel repousser Satan et ses satellites, pour la deuxième fois et pour toujours, dans l’abîme. Le nôtre n’est pas un attachement au passé, mais à l’éternel. Ce n’est pas une façon d’échapper aux défis du présent en se réfugiant dans une oasis d’esthétisme, car s’il en était ainsi – et c’est malheureusement le cas pour certaines communautés dites conservatrices – nous serions coupables d’échanger la forme contre la substance, de transiger sur les principes pour en préserver les apparences extérieures.

Regardons ce qui se passe dans cette phase cruciale de l’histoire de l’humanité et de la vie de l’Église avec réalisme et sans nous laisser tromper : nous sommes très proches de la fin des temps, et peut-être que ces trois ans et demi pendant lesquels la Femme fuira dans le désert ne sont pas aussi éloignés que nous le souhaiterions. Trois ans et demi pendant lesquels l’Antichrist régnera en maître sur le monde, persécutant et martyrisant les fidèles dans l’indifférence du monde, dans le silence des médias, dans l’insouciance complice des faux pasteurs, avec leur complicité insensée et sordide, qui manifeste leurs véritables intentions et, ce qui est pire, leur trahison de Notre-Seigneur.

Si vous êtes le Fils de Dieu, descendez de la Croix : les hiérarques de la secte conciliaire le répètent, lorsqu’en abusant de leur pouvoir comme les Grands Prêtres du Sanhédrin, ils voudraient effacer le Sacerdoce institué par le Christ en transformant le prêtre en fonctionnaire, empêchant le Saint Sacrifice de la Messe, le corrompant en un banquet convivial, profanant la Très Sainte Eucharistie en admettant à la Communion ceux qui ne sont pas dignes de la recevoir. Descendez de la Croix, crient-ils, c’est-à-dire n’accomplissez pas la Rédemption que nous craignons tant. Descendez de l’autel, avertissent-ils aujourd’hui :  afin que la Rédemption ne soit pas perpétuée et prolongée dans le temps, afin que le Sacrifice d’il y a dix-neuf cent quatre-vingt-dix ans reste confiné au passé, soit rendu stérile et improductif comme le talent enterré dans le champ par le serviteur infidèle. Nous ne sommes pas les arriérés, les malades de nostalgie : ce sont plutôt eux qui regardent avec horreur la réalité de leur propre guerre déjà perdue et essaient par tous les moyens d’empêcher le triomphe du Christ – après avoir échoué dans l’assaut contre Lui et contre la Femme revêtue de soleil – frappant aujourd’hui les enfants de l’Église, les enfants de la Très Sainte Vierge Marie.

Comment pouvons-nous vaincre le Dragon ? Grâce au sang de l’Agneau et à la parole de leur témoignage (Ap 12, 11) : grâce à la Messe, que ce Sang très précieux verse encore abondamment aujourd’hui pour le salut des âmes ; grâce au Sacerdoce, qui rend la Messe possible et répand la parole de témoignage par la prédication ; grâce à la Très Sainte Eucharistie, Corps et Sang de l’Agneau. Et grâce à la Femme, image de la Très Sainte Vierge Marie et de l’Église, dans les entrailles de laquelle Notre-Seigneur a été formé et du sein de laquelle naissent spirituellement les enfants de Dieu.

Regardons les événements sub specie æternitatis : ce n’est qu’ainsi que nous comprenons la tromperie de celui qui agit selon la mentalité du monde – dont le Prince est Satan – et que nous pouvons le contrer. Et ne renonçons pas à être comme le Seigneur nous veut, et non comme ils nous voudraient, dans leur « vision pastorale », les mercenaires et les loups déguisés en agneaux. Aux énièmes déclarations déconcertantes et scandaleuses de Bergoglio répondent pour nous les paroles du Vénérable Pontife Pie XII : Derrière ceux qui accusent l’Église d’être rigide, il n’y a que la perversion du faux prophète qui attaque la vérité du Christ lui-même. Ainsi soit-il.

+ Carlo Maria Viganò, archevêque

20 mai 2023

Samedi sous l'Octave de l'Ascension »

Comme nous l'avons constaté au cours des analyses passées, les trois ans et demi du règne de la bête et en parallèle, des deux témoins de l'Apocalypse, sont un ordre de temps (2 temps, 1 temps et la moitié d'un temps) et ne sont donc pas à prendre au pied de la lettre pour 3,5 années de notre calendrier, car tout est allégorique dans l'Apocalypse.

Ainsi, nous sommes déjà sous le règne de la bête et nous achevons cette durée de temps.

Nous sommes déjà à la fin, et non en période d'attente du trois ans et demi.

18 mai

« Mgr Vigano. Homélie en la fête de l'Ascension du Seigneur

Pourquoi te poses-tu la question quand tu lèves les yeux vers le ciel ?

A 1, 11

 

Dans l'introït de la messe d'aujourd'hui, nous avons chanté : Viri Galilæi, quid admiramini aspicientes in cælum ? Hommes de Galilée, de quoi vous émerveillez-vous en levant les yeux vers le ciel ? Les deux Anges demandent aux Apôtres, absorbés de voir le Seigneur monter. La question des messagers célestes est rhétorique : le prodige qui déroge aux lois de la nature n'est rien comparé au miracle de la Résurrection dont ils seront témoins jusqu'à leur martyre.

 

Pourquoi êtes-vous surpris de voir le Seigneur monter au ciel ? Êtes-vous surpris de le voir miraculeusement monter pour disparaître dans les nuées, ou êtes-vous surpris qu'il vous laisse seul, maintenant qu'il est ressuscité et peut restaurer le royaume d'Israël (Actes 1:6) ? Mais ne vous a-t-il pas déjà dit : Je vais vous préparer la place. Et quand je serai parti et que je vous aurai préparé une place, reviendrai-je et vous prendrai-je avec moi, afin que là où je suis, vous soyez aussi (Jn 14:2-3) ?

Pourquoi le Seigneur n'est-il pas resté avec nous ? S'il n'était pas monté au ciel si tôt, en effet : s'il était encore ici sur terre, il aurait pu voyager et faire connaître son Évangile avec l'autorité d'un Dieu qui s'est fait homme, est mort et ressuscité. Le christianisme se serait répandu plus rapidement et avec plus de succès, épargnant également la vie de nombreux martyrs. Si le Seigneur était resté ici sur terre, il aurait pu vraiment restaurer le royaume d'Israël dans l'Église catholique, étant lui-même celui qui gouvernerait comme Pontife et comme Roi, il aurait traversé les siècles sans vieillir, ce qui aurait suffi pour lui convertir le monde. C'est pourquoi les Apôtres s'étonnent : parce qu'ils agissent et pensent encore selon la mentalité du monde.

Notre-Seigneur, après trente ans de vie retirée et trois de ministère, vainc en trois jours l'ancien Serpent par sa passion et sa mort, rachetant au prix de son sang le plus précieux toute âme enlevée au salut éternel par le péché d'Adam. Il nous a rachetés, il nous a achetés esclaves du diable pour nous rendre libres de ne plus être des serviteurs mais des amis (Jn 15:15). Dans les quarante jours qui suivirent la Résurrection, Il enseigna aux Apôtres les vérités de la Foi et de célébrer les Sacrements, et à la fin de ce "séminaire" accéléré tenu par nul autre que le Seigneur lui-même, le temps est venu de quitter le Haut Salle : Allez pour tout le monde, prêchez l'évangile à tous les hommes. Celui qui croira et sera baptisé sera sauvé ; celui qui ne croira pas sera condamné(Mc 16, 15-16). C'est Son dernier commandement, Son héritage avant de quitter cette terre.

Dix jours seulement s'écoulent entre l'Ascension du Seigneur et la descente du Saint-Esprit : vous recevrez la puissance du Saint-Esprit, qui viendra sur vous, et vous serez Mes témoins à Jérusalem, dans toute la Judée, en Samarie et en jusqu'aux extrémités de la terre (Actes 1:7). Les flammes du Paraclet qui s'arrêtent sur la tête des Apôtres et de la Sainte Vierge le jour de la Pentecôte donnent naissance à la Sainte Église, Corps Mystique du Christ, et à partir de ce moment les portes du Cénacle - jusqu'alors fermées par peur des Juifs ( Jn 20 , 19) - elles s'ouvrent largement et un nouveau peuple surgit, renaissant dans l'Esprit Saint, qui ne pense plus selon l'esprit du monde, mais selon Dieu. Nous le chanterons dans quelques jours :Il délivre Spiritum tuum, et creabuntur ; et renovabis faciem terræ . Dès qu'ils se sont laissés toucher par la grâce, ils ont changé leur façon de penser. Et c'est grâce à cela qu'ils comprennent la nécessité de l'Ascension. L'Église naît lorsque les Onze restés fidèles à leur Maître comprennent que ce vide laissé sur cette terre par le Seigneur, cet espace de temps qui va de Son Ascension au ciel à Son retour dans la gloire à la fin des temps, doit être servir à faire les trésors infinis des mérites de la Passion du Christ, avec la prédication de l'Evangile à toutes les nations, avec le témoignage de notre Foi, avec la conversion des âmes à l'unique Pasteur dans l'unique Berceau, dans l'unique Baptême, dans la seule profession fidèle.

La Sainte Église est la continuation de la présence de Son divin Chef jusqu'à la fin du monde. C'est dans son sein le plus pur - le Saint des Saints, l'Autel de Dieu - que dans le Saint Sacrifice de la Messe, sous les voiles eucharistiques, le Seigneur descend avec son Corps et son Sang glorieux, son Âme et sa Divinité. Et ce sont des hommes qui accomplissent ce miracle ineffable, grâce au Sacerdoce desquels Notre-Seigneur Jésus-Christ reste sur cette terre, présent aux yeux de la Foi, prisonnier du Tabernacle, afin qu'avec saint Thomas nous puissions Le reconnaître et L'adorer comme notre Seigneur et notre Dieu même sans mettre les doigts dans Ses saintes Plaies.

Le Saint-Sacrement de l'Autel, cœur battant de la Sainte Église, est le don divin du Seigneur qui monte au ciel à ses fidèles qu'il laisse dans cette terre d'exil, dans cette vallée de larmes, dans ce champ de bataille qui ne connaît jamais de répit. Et tandis que l'on se souvient du mystère de l'Ascension en éteignant symboliquement le cierge pascal en chantant l'Evangile, une autre flamme reste allumée : c'est celle de la lampe rouge qui brûle à côté du Tabernacle. Elle honore la Présence du Roi des rois, qui s'humilie dans son infinie magnificence en s'exposant à l'irrévérence, au sacrilège et à la profanation des méchants, afin d'avoir la consolation de nous voir prosternés devant Lui, pour Le prier, pour le remercier des faveurs accordées, pour l'implorer d'une faveur, pour lui demander pardon de nos manquements, pour le recevoir dans la Très Sainte Eucharistie et faire de nos âmes le temple de la Très Sainte Trinité. Mettre toute notre foi, toute notre espérance, tout notre amour en Lui :fais que je croie toujours plus en toi, espère en toi, t'aime .

Si Notre-Seigneur avait voulu son propre triomphe selon la mentalité du monde, Il nous aurait créés sans libre arbitre, nous programmant pour ne faire que Sa volonté, sans mérite et sans culpabilité. Il n'aurait même pas créé les anges pécheurs, évitant d'avoir contre les rangs des esprits rebelles. Il nous aurait rendus tous égaux, nous répartissant équitablement sur la planète, nous équipant du strict nécessaire et contrôlant chacune de nos actions. Bref, il aurait agi comme Klaus Schwab, qui voudrait nous asservir et effacer ce qui fait de nous des humains et de notre Créateur merveilleusement divin : notre unicité, notre liberté de L'aimer et de rendre la magnificence de Ses grâces à notre misère.

Le "succès" du Seigneur ne s'accomplit pas selon la mentalité du monde, car s'il en était ainsi ce ne serait qu'une illusion, un feu d'artifice éphémère, comme toutes les choses mondaines qui ne viennent pas de Dieu, délicatesse du père qui laisse le fils avec la satisfaction de lui démontrer ses propres capacités, fruit tiré de l'enseignement du père. Comme l'artisan qui, devant s'absenter, laisse l'atelier au plus expérimenté, pour lui donner l'occasion de confirmer la confiance bien placée. Et il sait qu'à son retour, il ne sera pas déçu.

Notre-Seigneur monte au ciel parce qu'à partir de ce moment chacun de nous, et en particulier les Successeurs des Apôtres, ont le mandat de proclamer le salut de Dieu dans un monde rebelle et apostat, d'apporter la lumière du Christ dans les ténèbres du péché et de la mort. Je vous envoie comme une brebis parmi les loups (Mt 10, 16), nous dit-il, prédisant qu'un disciple ne vaut pas plus que son maître, ni un serviteur ne vaut plus que son maître (Mt 10:25). C'est un moment d'épreuve, qui dure - avec des résultats mitigés - depuis deux mille ans : l'Église continue à rendre le Christ présent sur la terre, et à l'offrir mystiquement au Père. Mais combien de loups, déguisés non seulement en agneaux, mais même en bergers ! Combien de mercenaires corrompus, trompés qu'ils peuvent frauder le maître avant son retour ! Combien de traîtres qui cherchent à détruire l'Église précisément pour effacer la présence de Dieu et empêcher le salut des âmes !

Dans la question des deux anges aux disciples, il y a un avertissement : que Jésus, qui vous a été enlevé au ciel, reviendra comme vous l'avez vu monter au ciel (Actes 1, 11). Cela renvoie à la fin des temps, lorsque Notre-Seigneur triomphant de la mort et du péché reviendra juger les vivants et les morts, pour conclure par un procès universel cette victoire sur l'antique Serpent annoncée dans le Protoévangile (Gn 3, 15), inauguré avec l'Incarnation, accomplie avec la Passion et la Mort sur la Croix, mais encore incomplète car il manque la condamnation publique de Satan et de ses serviteurs. Une condamnation inexorable, déjà écrite, mais qui reste à prononcer. Liber scriptus proferetur, in quo totum continetur, unde mundus judicetur , nous chantons dans le Dies iræ. Le livre qui a été écrit, dans lequel tout est contenu, sera lu et le monde sera jugé.

Mais quand le Fils de l'homme viendra, trouvera-t-il la foi sur la terre ? (Lc 18, 8). Si nous regardons autour de nous, nous devrions dire oui, car les adversités que nous traversons permettent à de nombreuses âmes de se convertir et de revenir à Dieu, et cette célébration en est la preuve. Mais si l'on regarde le monde, il y a de quoi horrifier, à commencer par l'apostasie, la corruption et l'immoralité dans lesquelles se trouve la hiérarchie catholique. Beaucoup de mes confrères et beaucoup de prêtres pensent qu'il est plus facile de promouvoir une version soft du christianisme - humanitaire, écologiste et mondialiste - parce que son "édition complète" est considérée comme peu pratique pour la mentalité du monde. Avec une mentalité mercantile, ils croient pouvoir « rajeunir l'entrepôt » en proposant un nouveau « produit » qui répond aux goûts des clients. Des choses peu exigeantes, aussi génériques que rassurantes pour ceux qui ne veulent rien changer à leur vie : solidarité, acceptation, inclusion, synodalité, résilience, éco-durabilité. Et surtout : pas de référence au péché, donc pas de péché originel, pas de rédemption, mais seulement une « marche ensemble », vers l'abîme. La Passion et la Mort du Seigneur est une charge, elle divise, elle n'inclut pas. Il ne construit pas de ponts, il construit des murs.

Mais est-ce peut-être la Foi que le Seigneur a enseignée aux Apôtres pendant les trois années de ministère public et, après la Résurrection, jusqu'au moment de l'Ascension ? Est-ce pour cela qu'il a institué les Saints Ordres, et tous les sacrements ? Est-ce cela qu'il ordonna d'enseigner à toutes les nations ? Pour cette raison les Martyrs sont-ils morts dans d'atroces tourments ? Se faire dire que la mission divine de l'Église de convertir les peuples est « un non-sens solennel » ? Pour cette raison, les Saints Pères et Docteurs de l'Église ont-ils consacré leur vie à la prédication de la doctrine ? Écouter les discours délirants et incohérents contre ceux qui restent fidèles à la Sainte Tradition, marginalisés comme rétrogrades ou nostalgiques pathologiques? Des prêtres catholiques ont-ils été persécutés pour cela dans l'Angleterre d'Henri VIII ou dans la France de la Terreur ? Voir interdite cette messe haïe des hérétiques de tous les temps ?

Les deux anges avertissent non seulement les disciples avec leurs têtes hautes, mais aussi chacun de nous : que Jésus, qui vous a été enlevé au ciel, viendra, comme vous l'avez vu monter au ciel (Actes 1 :11). . Et à son retour, il demandera à ses administrateurs ce qu'ils ont fait des talents inestimables qu'il leur a laissés dans le coffre de la Sainte Église. Rendez compte de votre intendance (Lc 16, 2). Je tremble à l'idée du Jugement de Dieu, qui a établi le Pape et les Évêques en autorité pour être d'autres Christs et prêcher l'Évangile à tous les peuples, et aujourd'hui l'Église se trouve infestée par un Sanhédrin d'hypocrites, d'hérétiques et d'apostats déterminés à partager son vêtement inconsutil avec les puissants de la terre. Comment le patrimoine du Christ, composé des Sacrements et de la Sainte Messe, s'est-il fait fructifier ? En copiant la « Cène » aux Protestants et en interdisant le Rite Apostolique ? Comment se sont multipliés les talents de prédication et d'apostolat, les trésors de doctrine des saints théologiens ? En promouvant l'œcuménisme iréniste et en participant sacrilège au panthéon des « religions abrahamiques » d'Abu Dhabi ? en faisant adorer au Vatican l'idole infernale de la Pachamama ? encourager les vices et se moquer des vertus ? promouvoir des prélats indignes et persécuter de bons prêtres ? Ces bureaucrates corrompus se précipiteront pour déterrer le trésor,

L'Ascension du Seigneur nous montre que c'est Sa volonté que nous collaborions à l'œuvre du salut, car nous sommes des membres vivants de Son Corps qui est l'Église, et en tant que tels nous devons suivre docilement sa Tête divine. Il demande aux Pasteurs, auxquels il a ordonné de prêcher l'Evangile et de baptiser toutes les nations, sans laisser d'ambiguïté sur la condamnation qui attend ceux qui ne se convertissent pas et ceux qui n'annoncent pas l'Evangile. Parce que l'autorité des Pasteurs est vicariante , c'est-à-dire qu'elle existe précisément parce qu'elle s'exerce en l'absence physique de Notre-Seigneur, seul Chef de l'Église. Celui qui t'écoute m'écoute, et celui qui te méprise me méprise (Lc 10, 16): ce sont des paroles qui rassurent ceux qui sont méprisés du monde parce qu'ils prêchent le Christ, mais qui doivent terrifier ceux qui sont accueillis par le monde parce qu'ils prêchent un autre évangile au nom du Christ. Et malheur à ceux qui font mépriser le Christ parce qu'avec l'autorité du Christ ils répandent l'erreur, légitiment le péché et le vice, causent le scandale avec leur propre mode de vie.

Le Seigneur s'en va sans bruit, comme en silence. Il est ressuscité. Seul, Il se laisse voir par les Disciples, afin que l'évidence de Son Ascension au ciel soit suivie de la Foi en Sa présence sacramentelle dans la Très Sainte Eucharistie gardée par l'Église, l'Espérance de Le retrouver dans la gloire céleste et l'ardente Charité de l'aimer et de venir pour vous. C'est l'héritage que l'Église du Christ a transmis intact depuis deux mille ans, et que personne ne peut modifier ou falsifier, s'illusionnant qu'il peut s'en tirer : Deus non irridetur . Car lorsque le Seigneur reviendra, il voudra reprendre possession des biens spirituels inestimables qu'il a confiés à ses ministres pour administration, et dont ils devront rendre compte.

Chérissons donc tous - tous : des dirigeants de l'Église aux fidèles les plus humbles - le temps qui nous reste. De ce qu'il nous reste dans cette vie mortelle, avant de nous retrouver devant Dieu pour le Jugement particulier. De ce qui reste dans le monde et dans l'Église avant la fin des temps, avant le Jugement Dernier. Si même une seule âme a été gagnée au Christ par notre prédication, par notre exemple, par une de nos bonnes paroles, nous pourrons sereinement montrer au Seigneur que nous avons multiplié les talents reçus et entendre la réponse : Bravo, bon et fidèle serviteur... entre dans la joie de ton Seigneur (Mt 25, 23). Que cette espérance soit valable surtout pour ceux que le Seigneur a placés en autorité dans l'Église : telle est l'intention des prières que nous déposons aux pieds de la Reine des Apôtres et Mère de l'Église, Marie la Très Sainte. Et ainsi soit-il. »

15 mai

L’EXPÉRIENCE-SENTIMENT

Voilà exactement comment le grand architecte Bergolio modifie l’église.

La pyramide inversée.

Le peuple qui décide.

Mené par les émotions, le vécu, les faussetés suggérés par le malin, alors qu’il n’y a pas d’espoir sans le phare lumineux dans la nuit, le Christ.

Tu le dis, je suis roi. Je suis né et je suis venu dans le monde pour rendre témoignage à la vérité : quiconque est de la vérité écoute ma voix. " (Jean, 18-37)

NSJC indique bien qu’il n’y a qu’une seule voie à suivre, et une seule voix à écouter.

Et pourtant, le Vatican prend le chemin contraire avec le synode des synodes.

Le seul phare temporel qui demeure alors, est la tradition, les deux témoins de l’Apocalypse, ceux qui laïcs et clergé demeurent fidèles à la Loi et aux Prophètes.

C’est ce qu’accomplie la FSSPX en s’opposant à la bête, à ses principes et idées tordus tout en défendant l’intégralité de la Foi, de la doctrine via les sacrements et la liturgie tridentine de l’Église.

C’est ce que confirme Mgr Pagliarani dans un entretien récent. (fsspx.news)

« Tout d’abord, par rapport à l’autorité, on souhaite explicitement la reconnaissance d’une Eglise qui fonctionne à l’envers, et dans laquelle l’Eglise enseignante n’ait plus rien à enseigner…

on prône une Eglise sans doctrine, sans dogme, sans foi, dans laquelle on n’a dès lors plus besoin d’une autorité qui enseigne quoi que ce soit. Tout est dissout dans un esprit d’amour et de service, sans trop savoir à quoi cela correspond – si cela correspond à quelque chose – et où cela doit mener…

L’Église offre ainsi à l’humanité un enseignement qui ne correspond plus à la transmission d’une Révélation transcendante…

Je pense qu’il n’est pas nécessaire d’être un expert très averti pour saisir la volonté manifeste d’en finir avec la messe tridentine…

Pour le bien de l’Eglise, la Fraternité doit garder et garantir, à ses prêtres et à ses fidèles, la pleine liberté de la célébration de la liturgie traditionnelle. En même temps, la Fraternité doit continuer à assurer la conservation de la théologie traditionnelle qui accompagne et soutient cette même liturgie. Un catholique encore lucide ne saurait renoncer à cette doctrine : son changement au cours du Concile est bien ce qui – pour paraphraser le cardinal Roche – a inspiré la nouvelle messe. Nous avons le devoir de garder l’une et l’autre, avec la pleine liberté de nous opposer aux erreurs et à ceux qui les enseignent. En effet, si la liturgie est par définition publique, la profession de foi qui lui est associée l’est aussi… »

12 mai

CE MONDE EST PERDU

Sermon très révélateur (vidéo) de l’abbé Puga sur « ce monde ».

Très pertinent pour la fin des temps.

« Le monde dans lequel nous sommes n’est pas notre monde ; c’est pourquoi le Christ dit qu’il ne prie pas pour le monde. Ce monde disparaîtra, ou plus exactement il sera transformé à la fin des temps pour être rendu acceptable, et du moins vivable, pour des âmes qui ont été transformées en Notre-Seigneur Jésus-Christ. Et c’est pourquoi le monde d’aujourd’hui est un exil pour le chrétien. »

« Nous ne sommes pas dans l’admiration des merveilles de ce monde, surtout tel qu’il est aujourd’hui. »

« Mon royaume n’est pas de ce monde dit Jésus à Pilate ; oui le royaume du chrétien n’est pas de ce monde. »

« Le péché nous rend esclave du monde, nous sommes accrochés à ce monde par le péché, et celui qui est accroché à ce monde par le péché, périra avec ce monde qui sera détruit pour être transformé. »

Ce monde est celui de Satan, modifié à sa main depuis des décennies, et surtout pour l’église, depuis Vatican II.

C’est un monde malade.

Les fruits en sont le témoignage lorsqu’on regarde les dernières générations qui ont mis de côté le Christ.

Elles sont aveugles, sans phare, perdues et errantes sans savoir pourquoi.

Les délices de Capoues où « on a une vie » finalement sont un poison insidieux et ainsi,

« Au nom de la liberté on permet les pires crimes » (abbé Puga ci-haut) :

- avortement
- manipulation mentale des jeunes quant  au transgénérisme, propagande LGBT+, etc.
- destruction de la famille et du sacrement du mariage
- guerres
- esclavage mental de la société par la technologie, les médias, la publicité.
- le « wokisme », dernière trouvaille pour justifier l’humanisme sociétaire, cette nouvelle religion à IMPOSER et dont un des outils est l’immigration de masse pour éliminer toute traces chrétiennes des civilisations.

Et dans tout ceci, malheureusement, le Vatican s’est directement aligné sur cette religion humanisme avec en tête Bergoglio et sa propre définition de la miséricorde pour atteindre un humanisme athée : promulgation de l’immigration massive (pacte de Marrakech), répandre la thèse du réchauffement climatique (encyclique sur le climat Laudato Si), humanisme religieux (encyclique Fratelli Tutti), adhérence à l’Agenda 2030 maçonnique aux Nations-Unies (tous les papes depuis Vatican II), adhérence à la dictature mondiale du Covid, bref une dégradation fulgurante par rapport à la doctrine de l’Église, en un temps, disons, record.

Ce monde est un monde de culture de la mort.

« ( LifeSiteNews ) –  Un professeur catholique a fustigé le pape François, accusant le pontife de « détruire les fondements de la foi et de la morale ».

Josef Seifert, professeur de philosophie renommé et ami intime du pape Jean-Paul II, a publié une lettre ouverte adressée aux cardinaux de l’Église catholique, dans laquelle il appelait les évêques de l’Église à résister aux actions hétérodoxes du pape François, comme la signature de le document d’Abou Dhabi.

« Le pape François – je le dis avec un cœur saignant – n’est pas le » garant de la foi « , mais il détruit constamment de plus en plus les fondements de la foi et de la morale avec cela et bien d’autres déclarations et déclarations », a écrit Seifert.

Le professeur autrichien a spécifiquement critiqué le « Document sur la fraternité humaine pour la paix mondiale et le vivre ensemble », souvent appelé document d’Abu Dhabi, que François a signé avec le Grand Imam d’Al-Azhar. Le document stipule que « [l]e pluralisme et la diversité des religions, des couleurs, des sexes, des races et des langues sont voulus par Dieu dans sa sagesse, par laquelle il a créé les êtres humains ».

« Rappelons-nous la Déclaration sur la Fraternité de tous les Peuples signée par le Pape François avec le Grand Imam Ahmad Mohammad Al-Tayyeb », a déclaré Seifert.

« Ne serait-ce pas une hérésie et une terrible confusion de prétendre que Dieu — de même qu’il a voulu la différence des deux sexes — c’est-à-dire avec sa volonté positive — a aussi directement voulu la différence des religions et donc toute idolâtrie et hérésie ? Oui, la Déclaration d’Abu Dhabi n’est-elle pas bien pire que l’hérésie, à savoir l’apostasie ?

« Ne devriez-vous pas tous, cardinaux et évêques, prononcer votre ferme ‘non possumus’ [nous ne pouvons pas] lorsque François demande que ce ‘document’ soit la base de la formation des prêtres dans tous les séminaires et facultés de théologie ?

« Vrai comme il est en soi » que le pape est le pape et le garant de la foi « , cette déclaration ne peut pas être appliquée à un pape qui a signé la déclaration d’Abu Dhabi et l’a diffusée dans le monde entier, et qui a dit et fait beaucoup d’autres des choses contraires à l’enseignement constant de l’Église.

« Que dois-je répondre à un ami luthérien cher et profondément croyant, pour la conversion duquel je prie depuis des années, lorsqu’il m’écrit qu’avec cette déclaration d’Abu Dhabi, l’Église catholique a quitté le sol du christianisme ? Il a demandé.

« Ne faudrait-il pas que tous les cardinaux écrivent au pape comme un seul homme et lui demandent de retirer cette déclaration apostolique ?

Le professeur de philosophie a également dénoncé la promotion par François des «unions civiles» homosexuelles, ce qui contredit directement l’enseignement de l’Église et ses prédécesseurs.

« Sa déclaration selon laquelle il faut promouvoir les alliances civiles/unions civiles d’homosexuels contredit directement les déclarations claires du magistère de l’Église (cf. les considérations sur les projets de reconnaissance légale de la cohabitation entre personnes homosexuelles du 3 juin 2003, publiées sous le pontificat de saint Pape Jean-Paul II), mais surtout la Sainte Écriture et toute la tradition de l’Église ! Seifert a déclaré.

« Ne devriez-vous pas tous, cardinaux, comme l’a fait à merveille Mgr Athanasius Schneider, accomplir un véritable acte d’amour pour le pape et l’exprimer publiquement et aussi clairement que lui, avec toute la clarté requise ?
Seifert a rappelé aux cardinaux de l’Église catholique qu’ils devraient un jour répondre de leurs actions (ou de leur inaction) devant le siège du jugement de Dieu.

« Ne devez-vous pas, cardinaux, trembler avant le moment où le Christ vous demandera comment vous pourriez remplir le mandat missionnaire solennel de Jésus si vous ne protestiez pas contre la Déclaration d’Abu Dhabi, qui dit le contraire diamétralement des paroles de Jésus ? écrit le professeur.

De plus, Seifert a critiqué François pour avoir contredit l’enseignement de l’Église sur la peine de mort et changé le Catéchisme de l’Église catholique.

Il a également appelé le pape pour avoir dit que les âmes damnées sont détruites au lieu d’aller en enfer pour l’éternité. Le Pontife aurait fait ces remarques dans l’une de ses tristement célèbres interviews avec le journaliste athée Eugenio Scalfari .

« Tous les cardinaux ne devraient-ils pas protester dans de nombreux autres cas, par exemple lorsque le Pape introduit arbitrairement un changement théologiquement et ecclésiastiquement erroné dans le Catéchisme catholique, qui contredit les paroles claires de Dieu dans la Sainte Écriture (déjà dans le Livre de la Genèse) et de nombreuses déclarations doctrinales des papes sur la peine de mort formulées dans une tradition ininterrompue et aussi des faits historiques », a écrit Seifert.

« [O]r quand – contre de nombreuses paroles énergiques de Jésus et des dogmes de l’Église catholique – il parle d’un enfer vide ou même, comme les Témoins de Jéhovah, prétend que les âmes des pécheurs incurables ne vont pas en enfer mais sont détruites? »

Le professeur autrichien a ensuite reproché à François d’avoir nommé des membres qui contredisent ouvertement « le noyau de l’enseignement moral biblique et de l’Église et les encycliques Humanae Vitae, Evangelium Vitae et Veritatis Splendor à l’Académie pontificale pour la vie[.] »

« Comment pouvez-vous, cardinaux […], garder le silence sur cela et bien d’autres « désolations du sanctuaire » au lieu de faire beaucoup plus que les laïcs critiques et les théologiens pour faire tout leur possible pour proclamer ces nombreuses vérités de la foi que le Pape ouvertement ou tacitement contredit par des paroles et aussi des actes (comme la célébration de la Réforme, l’érection de la statue de Luther au Vatican, le timbre célébrant la Réforme, le culte Pacha Mama dans les jardins du Vatican et la basilique Saint-Pierre, etc.) [ …]”

Seifert est un professeur de philosophie catholique renommé qui a été renvoyé d’une université catholique en Espagne en 2017 pour avoir ouvertement critiqué le pape François. Il enseigne actuellement encore la philosophie à l’Université Ludwig-Maximilians de Munich. »

Cette dégradation des mœurs, morales et spirituelles, rapides, sont des preuves convaincantes que les limites sont atteintes.

La destination de la majorité des âmes est l’enfer pour tous.

Et le pire c’est que l’église elle-même nous y entraîne, réalisant la prophétie du Christ des aveugles conduisant les aveugles au gouffre.

Comme dernier geste, Bergoglio entraîne les jeunes pousses catholiques dans ce sillon avec la Journée mondiale de la jeunesse 2023 au

Portugal : « Notre mission est de construire les JMJ Lisbonne 2023 (JMJ Lisbonne 2023) sur la base des objectifs de durabilité adoptés au niveau mondial, des objectifs de Laudato si’ mis en avant par le Vatican, ainsi que de l’Agenda 2030 des Nations unies (SDG). »

« Les JMJ Lisbonne 2023 seront marquées par les encycliques Laudato si’ et Fratelli Tutti du pape François, ainsi que par l’exhortation apostolique Christus Vivit. Elles nous invitent à prendre grand soin de notre maison commune. Le Saint-Père affirme que « tout est lié ».

Le souci de l’environnement doit donc être associé à un amour sincère pour nos semblables et à un engagement sans faille pour résoudre les problèmes de la société ».  La JMJ Lisbonne 2023 portera en son cœur le concept d'écologie intégrale’. » ( www.lisboa2023.org/fr )

Remarquez que la rencontre préparatoire a eu lieu le 17 octobre 2022 à Fatima et annoncée le 13 octobre (journée du miracle du soleil en 1917).

Ce n'est pas un hasard.

Remarquez aussi qu'une nouvelle cathéchèse sera utilisée (RISE UP ou en français « debout, élevez vous »):

« Le Comité local d'organisation (COL) des Journées mondiales de la jeunesse (JMJ) Lisbonne 2023 inaugurera un nouveau modèle de catéchèse - les Rencontres Rise UP - impliquant une série de réunions préparatoires entre avril, mai et juin. Il propose que des jeunes du monde
entier soient les protagonistes de la réflexion sur les thèmes centraux pour le monde et la vie en société : l'écologie intégrale, l'amitié sociale et la miséricorde.
Avec le lancement de l'itinéraire catéchétique Rise UP, les JMJ de Lisbonne 2023 offriront à tous les jeunes une expérience en ligne avec le voyage synodal 2021-2024, actuellement en cours dans l'Église universelle sous le thème "Pour une Église synodale : communion,
participation et mission". »

Surpris?

L'objectif est clair pour 2024. Tout est planifié au moindre détail.

L'étau se resserre à l'insu de plusieurs.

Ainsi, le petit reste ne survivra plus très longtemps dans ce contexte.

Le synode des synodes est un décompte.

Pour la fin de Babylone Vatican.

Et pour la fin de Babylone Nations-Unies.

Les deux Babylone des prophéties de Jean XXIII.

Car, il ne reste plus qu’un seul endroit où le Christ est vivant si ce n’est pas dans les âmes, c’est la messe.

Et c’est inacceptable à leurs yeux.

Il y a longtemps que l’élite franc-maçonne attend ce moment.

On sait donc à l’avance la conclusion du synode.

1 mai 2023

Le synode des synodes au Vatican qui va à l’encontre de son propre droit canon.

C’est bien le signe que le chaos s’est installé.

Bergoglio change les règles du jeu pour que la conclusion soit finalement la sienne, ou du moins, selon le document final qui est probablement déjà décidé.

Alors…

Le synode ne sera plus composé seulement d’évêques… Qui verront leur pouvoir décisionnel réduit de 25%.

« Encore un document papal destructeur: des non-évêques et des femmes au Synode… des évêques.

Motus in fine velocior. La locution latine qui exprime que le mouvement s’accélère vers la fin n’a jamais été aussi vraie qu’aujourd’hui au moins dans l’Église (voir ci-dessous). Le Pape semble pris d’une véritable frénésie réformatrice, ou plutôt destructrice, comme s’il savait (lui ou ceux qui le « conseillent ») qu’il ne lui restait plus beaucoup de temps pour faire ce qu’il a été élu pour faire. Hier, on apprenait que « le 17 avril 2023, le Saint-Père a approuvé l’extension de la participation à l’Assemblée du Synode aux ‘non-évêques’ (prêtres, diacres, hommes et femmes consacrés, laïcs hommes et femmes) ».

Maintenant, au Synode des ÉVÊQUES, les laïcs (hommes et femmes nommés par lui) voteront aussi parce que beaucoup d’évêques ne voteront pas comme le veut le Pape.

Il était une fois… Au Synode des ÉVÊQUES, seuls votaient les évêques (cf. can. 342 et 343 Code de droit canonique).

En un coup de force inattendu, le Saint-Père François a modifié la Constitution apostolique Episcopalis Communio du 15 septembre 2018 et a inséré 70 laïcs choisis, de fait, par le Pape à partir d’une liste proposée.

Outre les nouveaux membres, il convient de mentionner qu’y compris parmi les membres de nomination pontificale, il sera possible d’avoir des membres non ÉVÊQUES.

Enfin, il est prévu que 50 % d’entre eux soient des femmes et que la présence de jeunes soit également valorisée.
...

Tout cela alors que le Synode est en cours (comme François a l’habitude de le faire, pour changer les règles d’un processus… en cours quand il voit que le processus ne se déroule pas comme il le voudrait).

Mais alors, quid de la synodalité que le Pape François appelle de ses vœux et qu’il proclame tellement? Compte-t-elle pour rien si elle ne décide pas comme LUI le souhaite ?

Du politiquement correct sur mesure, un précédent très dangereux pour la structure hiérarchique de l’Église et un nombre anormal de participants nommés par François lui-même (avec un document final qui pourrait être non seulement consultatif mais délibératif, le diable est dans les détails…) !

Définition de la ‘synodalité’ [selon François] : en cours de Synode, les membres du Synode sont changés jusqu’à ce qu’il n’y ait plus que ceux qui votent démocratiquement comme LUI le souhaite (sauf un ou deux, pour donner l’apparence d’une discussion).... » (benoit-et-moi.fr)

Saint-François d’Assise dans sa prophétie avait bien averti, comme s’il savait qu’on usurperait son nom… et son amour pour les pauvres et la nature :

« Il y aura très peu de chrétiens qui obéiront au véritable Souverain Pontife et à l’Église catholique romaine avec un cœur loyal et une parfaite charité. Au moment de cette tribulation, un homme, non élu canoniquement, sera élevé à la papauté, lequel, par ruse, s’efforcera d’entraîner beaucoup de monde dans l’erreur et dans la mort… en ces jours-là, Notre Seigneur Jésus-Christ leur enverra non pas un vrai Pasteur, mais un destructeur. »

« Il y avait à Rome, même parmi les prélats, bien des personnes de sentiments peu catholiques qui travaillaient au succès de cette affaire. Je vis aussi en Allemagne des ecclésiastiques mondains et des protestants éclairés manifester des désirs et former un plan pour la fusion des confessions religieuses et pour la suppression de l’autorité papale… » Anne Catherine Emmerich

Elle a vu juste avec le synode allemand qui entraînera le synode bergoglien.


« CITÉ DU VATICAN ( LifeSiteNews ) - Dans un geste signal, le pape François a approuvé la participation d'hommes et de femmes laïcs à participer au Synode sur la synodalité et à obtenir jusqu'à 25% des droits de vote de l'assemblée...

De plus, le Synode sur la Synodalité sera rejoint par d'autres "experts" qui n'auront pas le droit de vote, et ne recevront donc pas le titre de "Membre de l'Assemblée". Ces "experts" - peut-être tirés des " experts " qui ont rédigé le document de travail pour l'étape continentale - seront rejoints par d'autres "facilitateurs".

Le côté œcuménique du synode devient de plus en plus évident ces dernières semaines, avec l'annonce officielle que "des délégués fraternels, des membres d'autres Églises et Communautés ecclésiales participeront également"...

Avec l'approbation officielle maintenant donnée pour l'implication et le vote des laïcs dans le synode, les ressemblances avec la « voie synodale » hétérodoxe allemande, qui comprend également des membres laïcs et cléricaux, augmentent... » (lifesitenews.com)

Le synode est l'ultime finale de l'Antéchrist pour adapté l'église aux mondanités humanistes du système antichrist.

Nous avons donc l'avantage de connaître la date de la fin de la bête de l'Apocalypse: novembre 2024 au plus tard dépendant des nouvelles règles à venir s'il y a lieu.

Avril 2023

19 avril

« Prenez garde que nul ne vous séduise. »

Telles sont les paroles de NSJC en Matthieu 24 concernant la fin des temps.

Ces paroles s’adressent évidement aux chrétiens d’aujourd’hui, indiquant que des chrétiens catholiques tomberaient sous le joug de Satan (sans compté le protestantisme), donc qu’il y aurait « deux » types de catholiques.

Un passage de l'Apocalypse nous donne l'indice concernant ces deux groupes.

On discute souvent de la bête, des deux bêtes dans l’Apocalypse, mais rarement de la « femme ».

«Quand le dragon se vit précipité sur la terre, il poursuivit la femme qui avait mis au monde l’enfant mâle.
Et les deux ailes du grand aigle furent données à la femme pour s’envoler au désert, en sa retraite, où elle est nourrie un temps, des temps et la moitié d’un temps, hors de la présence du serpent…
Et le dragon fût rempli de fureur contre la femme, et il alla faire la guerre au reste de ses enfants, à ceux qui observent les commandements de Dieu et qui gardent le commandement de Jésus…» (Apocalypse. Chap. 12, 13-17)

Les Pères de l'Église ont expliqué ce passage de façon claire : la femme dans le ciel est à la fois une allégorie de la Vierge Marie et de l'Église.

L’Église doit s’enfuir au désert, se mettre à l’écart du monde et de ses tentations.

Comme le Christ nous demande de fuir dans les montagnes en Matthieu 24.

Mais en cette fin des temps, la femme, l’Église, à partir des persécutions de Vatican II en 1962, génère un « enfant mâle », une nouvelle génération de chrétiens refusant cette évolution : la tradition qui se regroupera derrière Mgr Lefebvre.

Cet « enfant mâle », va se mettre à l’écart de l'Église conciliaire, et de la Babylone pécheresse, donc aller au désert.

Ces chrétiens qui affichent préférence pour la tradition vont s’isoler durant 1260 jours, soit la même durée que les témoins, parce qu’ils sont les représentants des deux témoins (clergé et laïcs fidèles à la Loi et aux Prophètes), et parce qu’ils s’opposent à la Bête, qui a la même durée de vie selon l’Apocalypse.

Selon le calendrier de la fin des temps (voir analyses précédentes), la bête meurt après la résurrection des deux témoins.

C’est l’ouverture du 7ème sceau, et à ce point il n’y a plus de pape.

« Où croyez-vous fuir, maintenant que vous avez détruit les Églises et tué le dernier Père ? » confirme la prophétie de l’Église le « 7ème Sceau » de Jean XXIII.

Plus d’Église. Plus de phare dans la brume. C’est le temps du Jugement.

Ce dernier Père élu par un conclave, on le sait maintenant, était Benoît XVI.

Non pas Bergoglio. Non pas un autre pape (comme nous anticipions le cardinal Pietro Parolin).

Benoît XVI a été assassiné à petit feu.

C’est là le mystère d’iniquité qui se révèle petit à petit, une branche saine et l’autre pourrissant, une Église traditionnelle pré-Vatican II, et une église conciliaire menée au gouffre par Bergoglio.

Citons les paroles de Louise de Jésus concernant le 7ème sceau :

« au septième sceau, l’Archange saint Michel tuera de son souffle l’Antéchrist, qui tombera mort au milieu de ses partisans. Et alors les grands châtiments commenceront à pleuvoir sur la terre, la famine, la peste, une terrible guerre sur mer et sur terre, puis un embrasement qui sera l’œuvre de la secte impie et incendiaire. »

C’est exactement ce que confirme la prophétie de Jean XXIII :

« Quelqu'un brandira la croix noire. Des vallées du Prince viendront les chevaliers aveugles. Derrière eux, les corbeaux de la faim, de la famine, de la peste. Où croyez-vous fuir, maintenant que vous avez détruit les Églises et tué le dernier Père… »

Examinons les paroles de NSJC en Matthieu 24;

- « Car plusieurs viendront sous mon nom, disant : C'est moi qui suis le Christ, et ils en séduiront un grand nombre. »

Qui n’a pas été séduit par la technologie de pointe, par l’image de la bête via la télévision, les ordinateurs, les téléphones intelligents.

- « Cet évangile du royaume sera prêché dans le monde entier, pour être un témoignage à toutes les nations ; alors viendra la fin. »

Cet parole a été accomplie sous Pie XI!

- « Quand donc vous verrez l'abomination de la désolation, annoncée par le prophète Daniel, établie en lieu saint, — que celui qui lit, entende ! — alors que ceux qui sont dans la Judée s'enfuient dans les montagnes ; »

Nous savons tous qu’il est présentement sur le trône de Saint Pierre.

- « Car, comme l'éclair part de l'orient et brille jusqu'à l'occident, ainsi en sera-t-il de l'avènement du Fils de l'homme. »

L’effet de surprise : sous Noé, sous Sodome et Gomorrhe, et prochainement pour notre génération.
La stupeur en frappera plusieurs car ils ne connaissent pas les écritures et sont dans l’ignorance, alors que d’autres se sont laissés séduire et ont abandonné la barque.

Ainsi arrivera le Fils de l’Homme après les trois jours de ténèbres.

- « Aussitôt après ces jours d'affliction, le soleil s'obscurcira, la lune ne donnera plus sa lumière, les étoiles tomberont du ciel, et les puissances des cieux seront ébranlées. Alors apparaîtra dans le ciel le signe du Fils de l'homme, et toutes les tribus de la terre se frapperont la poitrine, et elles verront le Fils de l'homme venant sur les nuées du ciel avec une grande puissance et une grande majesté.

Tels furent les jours de Noé, tel sera l'avènement du Fils de l'homme.
Car dans les jours qui précédèrent le déluge, les hommes mangeaient et buvaient, se mariaient et mariaient leur filles, jusqu'au jour où Noé entra dans l'arche ; et ils ne surent rien, jusqu'à ce que le déluge survînt, qui les emporta tous : ainsi en sera-t-il à l'avènement du Fils de l'homme. »

Donc, TOUTES les conditions ont été remplies.

Tous ont eu la chance de connaître les paroles du Christ.

La grande apostasie s’est imposée malgré tout.

L’abomination de la désolation est en haut lieu à Rome.

La mort des deux témoins est proche, nous le savons grâce au synode des synodes, et à la rumeur d’une exhortation apostolique en préparation pour interdire la messe traditionnelle.

Alors viendra la fin de ce monde spécifie NSJC.

13 avril

L'échéancier avance plus vite qu'ils le pensent, semble-t-il...

« CITÉ DU VATICAN ( LifeSiteNews ) - Concernant son récent séjour à l'hôpital, le pape François aurait déclaré qu'il était arrivé inconscient, soulevant ainsi des questions sur la véracité d'un incident que le bureau de presse du Vatican a constamment tenté de blanchir.

Les commentaires du pape ont été révélés par les médias italiens le 11 avril et auraient été faits par lui à un confident personnel. Selon Michèle Ferri, qui s'est entretenue avec François au téléphone le dimanche de Pâques comme il le fait régulièrement, le pape a déclaré qu'il était arrivé inconscient à l'hôpital et que quelques heures auraient fait la différence entre la vie et la mort.

Le pape à l'hôpital : que s'est-il passé ?

François a été emmené à l'hôpital Gemelli de Rome le mercredi 29 mars, le bureau de presse du Saint-Siège déclarant le jour que le pape était là pour "des examens précédemment programmés". Mais les médias italiens ont rapidement démystifié le récit officiel, François devant annuler une interview prévue et ses rendez-vous après l'audience de mercredi et être transporté d'urgence à l'hôpital dans une ambulance. Selon les dépêches, qui citent des sources à l'hôpital, Francis souffrait de "problèmes cardiaques" ainsi que de problèmes respiratoires à son arrivée.

Un communiqué du Vatican du soir du même jour déclarait alors que le pape se plaignait depuis quelques jours de quelques difficultés respiratoires et que les médecins avaient découvert une « infection respiratoire (hors infection au Covid 19) qui nécessitera quelques jours de soins appropriés ». thérapie médicale hospitalière.

Un tel diagnostic était en contraste apparent avec la condition physique du pape quelques heures plus tôt lors de son audience hebdomadaire, où il était animé et ne présentait pas de signes d'une telle condition signalée.

Les déclarations officielles minimisant la gravité de l'état du pontife, François a ensuite avoir été libéré de l'hôpital le 1er avril. Lors de sa sortie, l'homme de 86 ans a plaisanté en disant qu'il était "toujours en vie".

Avant sa libération samedi, vendredi après-midi, François avait visité le service d'oncologie pour enfants, où il avait béni les patients et baptisé un bébé, ce qui ne correspondait pas à son diagnostic d'infection respiratoire.

Un appel téléphonique révèle la gravité de l'état

Les observateurs étant toujours confus quant à la véritable nature de l'état de santé du pape François, et les déclarations du bureau de presse du Saint-Siège semblant manifestement trompeuses, François a ensuite participé aux cérémonies de la semaine sainte et de Pâques, la plupart du temps comme prévu. Il s'est cependant retiré du chemin de croix du Vendredi saint au Colisée, invoquant le «froid intense» de ces derniers jours.

Cependant, le dimanche de Pâques, François a effectué une tâche régulière : appeler Michele Ferri, le frère d'Andrea Ferri, qui a été assassiné en juin 2013. Depuis, François s'est lié d'amitié et a appelé Michele 90 fois, y compris lors de fêtes comme Pâques.

S'adressant à Il Resto del Carlino, Michele a rapporté le contenu de son appel du dimanche de Pâques avec le pape. "Je suis toujours en vie, m'a-t-il dit", a déclaré Michele.

"C'est comme ça qu'il a commencé, et j'ai entendu une voix en forme, sonnante et sereine cette fois, mieux que la dernière fois, puis il avait semblé un peu fatigué", a ajouté Michele.

Michele a déclaré que François avait confié au téléphone qu'il était « arrivé inconscient » au Gemelli, après avoir souffert d'une maladie pendant douze jours. Le pape aurait dit : "Encore quelques heures et je ne sais pas si je racontais l'histoire."

François aurait ajouté que "je l'ai vraiment mal vu".

Alors qu'il était encore adolescent, François s'est fait enlever un poumon en raison d'une infection. Puis en 2021, le pontife a déjà subi une opération du côlon de six heures au Gemelli pour se faire enlever une partie de son côlon en raison d'une diverticulite. Il y a ensuite passé 10 jours en convalescence.

Au moment de l'opération, et après celle-ci, des rumeurs ont couru selon lesquelles il souffrait d'un cancer et approchait de la fin de son pontificat. Ces rumeurs ont été étayées par son utilisation de longue date d'un fauteuil roulant et l'augmentation des problèmes de genou. François a par la suite nié la suggestion qu'il avait un cancer.

Ce nouveau rapport éclaire maintenant davantage l'admission soudaine et toujours déroutante de François à l'hôpital il y a deux semaines. Le fait que la santé d'un pape soit entourée de secret, en particulier à mesure qu'un pontife avance en âge, n'a rien d'inhabituel.

Mais les déclarations du Vatican concernant la récente hospitalisation de François dénotent un contraste marqué avec la vérité et une détermination à continuer dans la promotion d'une réalité alternative.

Le pontificat du pape François a été marqué par des démonstrations de puissance, comme en témoigne le nombre remarquablement élevé de motu proprios qu'il a émis sur une variété de sujets : en seulement 10 ans, il a publié 61 de ces documents, bien plus que l'accord de Jean-Paul II 31 en 27 ans.

Pour un Pontife comme François, s'assurer que personne ne sache la vérité sur sa santé déclinante sera vital s'il veut conserver le pouvoir au sein du Vatican.

LifeSiteNews a contacté le bureau de presse du Saint-Siège pour commenter les commentaires papaux signalés, mais n'a pas reçu de réponse au moment de la publication. »

12 avril

Mise à jour concernant le cycle solaire.

L'activité assez intense du cycle 25 dans les derniers mois oblige les scientifiques à réviser leur prédiction du maximum solaire (soit le maximum de taches solaires et donc de possibilités de tempêtes solaires) entre la fin de 2023 et juillet 2024.

C'est tout un changement par rapport à la prédiction initiale pour juillet 2025 (ensuite révisée autour d'octobre 2024).

Image du graphique avec la nouvelle prédiction.

C'est donc dire que si le soleil a effectivement quelque chose à voir avec la fin des temps, et bien, c'est un indice que tout s'accélère, et que...., ce nouveau maximum arrive pile à point pour hypothétiquement empêcher Bergoglio de conclure son affreux synode, en plus de la chute de Babylone la grande, des deux Babylone dont parlent Jean XXIII.

Nous avons vu dernièrement que Bergoglio semble avoir des problèmes de santé et que son temps est compté.

À sa mort, plusieurs prophéties reconnues prendront fin.

Ce n’est pas rien.

Car il est l’Antichrist personnifié et que l’Apocalypse nous prédit la défaite de Satan et de son système à la fin des temps.

Vérifications avec :

- Les révélations de la Vierge à La Salette où « Rome perdra la foi et deviendra le siège de l’Antéchrist ».

Aucun doute ici.

Rome, la ville aux sept collines identifié dans l’Apocalypse, a sombré dans l’apostasie depuis Vatican II et a entraîné la majorité des brebis dans le gouffre,  grâce à l’adoption par L’église conciliaire de l’Antéchrist-système au sein de sa structure.

En effet, on y parle maintenant que des droits de l’homme, du réchauffement climatique, et de la pauvreté en termes matérialistes (ex : immigration nécessaire).

Son discours n'est plus christocentrique.

Et Bergoglio, le 8ème roi de l’Apocalypse, siège bien sur le trône de Saint Pierre.

- La prophétie des papes de Saint Malachie. Nous sommes en présence du dernier pape.

- La révélation de Satan ( dans « Le diable au XIXè siècle »,1894) : « combien de papes après Léon XIII »? « Neuf, et après eux je règnerai ».

En effet le 9ème et dernier pape est Benoît XVI.

Satan règne donc avec Bergoglio sur le trône.

Et Jean XXIII dans la prophétie de l’Église #11 « Le 7ème Sceau » spécifie « Où croyez-vous fuir, maintenant que vous avez détruit les Églises et tué le dernier Père ? »

Il semble bel et bien avec le temps qu'il s'agît de Benoît XVI, qu'ils ont forcé à démissionner, puis isoler, et fait mourir à petit feu.

La Résurrection dans l’Église catholique est appelée « le 8è jour ».

«  Après les sept jours douloureux de la Semaine sainte, voici le Huitième jour, le jour joyeux de Pâques. »

Le chiffre 8 est le chiffre de la plénitude, de l’infini, de la vie éternelle, de Dieu.

(le nom de Jésus en grec correspond au nombre 888)

Satan singeant Dieu concrétise sa plénitude avec son 8ème roi.

Après c’est la fin.

Tout se tient.

On rappelle le calendrier de la fin des temps.

La mort de l’Antichrist débute la dernière et 7ème période, soudaine et très rapide, à l’image de Sodome et Gomorrhe et du temps de Noé.

Selon l’ordre chronologique donné dans l’Apocalypse, nous avons :

1) Mort des témoins (3,5 jours)
2) Résurrection des témoins

Fin de la sixième période.

Entrée dans la 7ème période :

3) Mort de l’Antéchrist
4) Chute de Babylone (3ème malheur, Ap. 11, 14)
5) Retour du Christ
6) Jugement dernier
7) Règne définitif et sans partage du Christ (Ap. 21-22)

11 avril

LE MONDE DU MENSONGE

La poussée récente des agents conversationnels utilisant l'intelligence artificielle prôné dans les médias est en quelque sorte, la cerise sur les gâteau quant à l’ère des « fake news », l’apothéose du mensonge, par le prince du mensonge qui singe Dieu, Satan.

En effet, ces nouvelles technologies ont pour but de modifier l’opinion publique, de cacher la vérité puisqu’elles se servent de ce qui est publié sur le net pour faire leurs recherches.

Le gouvernement chinois a bien compris l’importance de cet outil : des agents à son service inondent présentement le web de fausses publications pour discréditer ce qui est contre leur idéologie, tout en mettant des publications favorables à la cause communiste chinoise.

Ainsi les agents conversationnels dit « intelligents » puisent dans des sources qui ne sont majoritairement que mensonges.

Ces outils liés aux téléphones intelligents ne font qu’abaisser le niveau intellectuel des jeunes générations, tout en provoquant des crises « conspirationnelles » chez les plus fragiles mentalement qui n’ont pas la foi chrétienne sur laquelle se reposer, pour amener au discernement et à la vérité, la seule Vérité qui vaut la peine de cultiver en soi.

Ce n'est pas un hasard car c’est la fin, le temps de la récolte par la séparation du bon grain de l’ivraie annoncé par NSJC.

Comprenez-vous bien maintenant les paroles de NSJC en Matthieu 24 qu'il faut s’isoler dans les montagnes, de se mettre à l’écart de cette influence néfaste.

Car ce qui nous attend en tant que société avec ces outils, c’est le chaos.

Physique, mental, et spirituel.

Mgr Vigano dans son sermon de Pâques :

« Le monde moderne est l'otage du mensonge. Tout ce qui est théorisé par l'élite, affirmé par les Institutions et propagé par les médias est un mensonge, une fausseté et une tromperie.
 
L'urgence psychopandémique est un mensonge, tout cela à cause d'un virus créé en laboratoire dans le but d'une vaccination de masse aussi inefficace que nocive pour la santé. La théorie du genre est un mensonge, qui nie la distinction des sexes voulue par le Créateur, et qui cherche à annuler l'image et la ressemblance de Dieu dans l'homme. Le changement climatique est un mensonge, basé sur la fausse prémisse d'une crise climatique provoquée par l'homme et sur la chimère encore plus fausse selon laquelle la réduction des émissions de dioxyde de carbone dans certains pays peut même modifier de manière minime la température de la Terre. La crise ukrainienne est un mensonge, qui a été provoqué afin de détruire le tissu social et économique des nations européennes par des sanctions déraisonnables contre la Fédération de Russie. L'Agenda 2030 est un mensonge imposé par une bande de subversifs dans le but d'asservir l'humanité.
 
Le plus déconcertant est que cette fraude contre les peuples - perpétrée par les autorités qui devraient plutôt les protéger et les défendre - a également infecté le corps ecclésial, où d'autres mensonges non moins graves corrompent la pureté de la Foi, offensant la Divinité Majesté et causant la damnation de nombreuses âmes, que le Seigneur a chèrement payées, les rachetant par son Très Précieux Sang.

L'œcuménisme est un mensonge qui abaisse le Dieu vivant et vrai au niveau des idoles des nations.

La Voie Synodale est un mensonge, qui subvertit la constitution divine de l'Église voulue par le Christ sous le faux prétexte d'écouter le Peuple de Dieu.

La réforme liturgique est un mensonge, introduit sous prétexte de rendre la messe compréhensible aux fidèles, dans le seul but d'honorer Dieu et de plaire aux hérétiques.

Le diaconat féminin est un mensonge qui, avec l'alibi de donner un rôle aux femmes, attaque la messe et les sacrements et trafique les ordres institués par Notre-Seigneur. La possibilité pour les couples divorcés et cohabitants de recevoir la Sainte Communion est un mensonge, la bénédiction des unions homosexuelles est un mensonge, l'entrée des transsexuels au Séminaire est un mensonge : la morale ne suit pas les modes du jour, quoi qu'en dise Bergoglio. L'acceptation de la sodomie est un mensonge, qui semble trop souvent vouloir légitimer la conduite de nombreux prélats et clercs plutôt que de sauver les âmes de pauvres pécheurs.
 
Ces mensonges ont l'effronterie de se manifester comme des mensonges évidents, dépourvus de tout argument rationnel ou crédible. Ce ne sont pas les mensonges avec lesquels on essaie maladroitement de cacher quelque chose : ce sont l'affirmation arrogante de la falsification, de la subversion de la logique, de la négation de la vérité.
 
Mais pourquoi tant de gens choisissent-ils volontairement de renoncer à leur propre jugement critique et d'accepter des mensonges flagrants comme rationnels et vrais ? Car l'adhésion à l'erreur est le prix que le monde demande à ses adorateurs, à ceux qui ne veulent pas être marginalisés, criminalisés et persécutés. Et qui est le prince du mensonge si ce n'est Satan, le père du mensonge, lui qui était un meurtrier dès le début ? Satan, qui tenta nos premiers parents par un mensonge non moins éhonté : Si vous mangez de ce fruit, vous serez comme des dieux. C'était un mensonge éhonté, et en le croyant, Adam et Eve ont choisi d'abdiquer la raison et de désobéir à Dieu afin de suivre une fausse promesse faite par une créature répugnante.
 
Ce que Satan promet à Notre-Seigneur quand il Le tente dans le désert était aussi un mensonge : Tout cela sera à toi . . . pour quelque chose dont le Christ n'était pas seulement déjà le maître mais aussi le Créateur.
 
Dans l'épître de la messe en ce jour très saint où nous célébrons la résurrection d'entre les morts de Notre-Seigneur Jésus-Christ, l'Apôtre nous exhorte à éliminer le vieux levain : expurgate vetus fermentum . Quiconque connaît les anciennes méthodes de fabrication du pain sait que la pâte mère est cette portion de farine et d'eau qui, lorsqu'elle est laissée à fermenter, devient la masse levante. Il peut être conservé pendant des décennies, périodiquement re-pétri avec de la nouvelle farine et de l'eau nouvelle, de sorte que le pain d'aujourd'hui est sensiblement lié à tous les pains précédents remontant dans le temps. Mais si le fermentum est vetus, si le levain est vieux, cela affecte la nouvelle pâte et le nouveau pain. Purger le vieux levain, c'est recommencer à zéro, accomplir une véritable « grande réinitialisation » de chaque âme individuelle et du corps social, annuler le ferment de la malice et de la perversité, et recommencer avec les pains sans levain, figure de l'Eucharistie et Saint-Sacrement de l'Alliance nouvelle et éternelle faite par le Christ avec son Église, renouvelée dans la grâce et non soumise aux changements de temps, de mode et de circonstances.
 
C'est pourquoi Saint Paul parle des azymes , des pains sans levain. Un pain d'austérité, le pain de ceux qui n'ont pas le temps de conserver vivante la pâte mère, le pain de ceux qui se préparent les reins ceints à manger l'Agneau sans tache et les herbes amères avant d'abandonner la terre d'Egypte et de traverser la Mer Rouge. La réinitialisation , la Nouvelle Création, la Nouvelle Pâque, s'accomplit en Christ, l'unique, indispensable, éternelle Vérité, la Parole Vivante et Vraie du Père Éternel. La vraie remise à zéro est le retour à la Vérité du Christ, de Celui qui a dit de Lui-même : Je suis le chemin, la vérité et la vie . Une Vérité qui est , alors que l'erreur au contraire n'existe pas. Une Vérité qui exigela sincérité de notre part - dans les pains sans levain de la sincérité - comme réponse nécessaire à la lumière de la Vérité - et la vérité .
 
Satan, le singe de Dieu, imite de façon grotesque la Création, se livrant à des monstruosités que toute personne sensée reconnaît comme telles. Il mime encore plus grotesquement la Rédemption, promettant aux hommes un bien qui lui est inconnu et qu'il ne possède pas lui-même d'abord, demandant en échange que les hommes le reconnaissent comme leur dieu. Nous devons reconnaître sa loi pour ce qu'elle est ; nous devons la rejeter et la combattre.
 
Si nous luttons pour la Vérité – pour n'importe quelle vérité, pas seulement la vérité théologique – nous nous alignons du côté du Christ ; du côté de Celui qui ne mentait pas lorsqu'il annonçait à Ses Apôtres Sa propre Mort et Résurrection.
 
Si au contraire nous choisissons de ne pas lutter pour la Vérité, voire de laisser proclamer ou répandre l'erreur nous-mêmes, nous nous alignons du côté de Satan, le prince du mensonge, du côté de celui qui promet et fait ne pas les garder, dans le seul but de nous entraîner dans cet abîme de damnation où il a choisi de sombrer quand, commettant le péché d'orgueil, il a cru pouvoir se mettre à la place de Dieu et décider de ce qui est et de ce qui n'est pas, c'est-à-dire ce qui est vrai et ce qui est faux, ce qui est bien et ce qui est mal, ce qui est beau et ce qui est laid. Et de fait, le monde infernal dans lequel nous nous précipitons aujourd'hui est composé de mensonges, de méchanceté et de laideur. Il ne pouvait en être autrement.
 
Ce n'est pas par hasard que Satan est appelé le prince de ce monde : il n'est pas roi ; son pouvoir est éphémère et permis par Dieu seulement jusqu'à ce que le moment vienne de mettre fin à la période d'épreuve et que le moment du Jugement vienne. Ce n'est pas différent pour les serviteurs de Satan. Même si leur puissance semble nous submerger, même si les moyens dont ils disposent semblent illimités et écrasants, leur fin approche inexorablement alors que le Christ reprend Son Royaume Universel. Oportet illum regnare , il faut que cela arrive, c'est dans l'ordre voulu par Dieu, et personne, pas même tout l'Enfer réuni, ne peut prolonger d'un seul instant le triomphe apparent du mal.
 
Il y a deux jours seulement, nous contemplions les Mystères de la Passion et de la Mort du Seigneur, après les manœuvres du Sanhédrin, le tumulte de la foule et les tortures des bourreaux. Avec Joseph d'Arimathie et les femmes pieuses, nous avons accompagné le corps sans vie de Jésus vers le sépulcre. Nous sommes restés en prière dans le silence nu de nos églises. Mais « Consummatum est » ne signifie pas « Tout est perdu », mais plutôt « Tout s'est accompli », c'est-à-dire « L'œuvre de la Rédemption est accomplie ».
 
Χριστὸς ἀνέστη est la salutation grecque de Pâques : le Christ est ressuscité. A quoi la réponse est donnée : Ἀληθῶς ἀνέστη – Vraiment Il est Ressuscité – Surrexit Dominus vere . Cet ἀληθῶς, ce vere , contient la réalité de la Résurrection du Sauveur, la vérité de cet événement historique dans lequel la Miséricorde de l'Homme-Dieu a réparé le péché d'Adam causé par le mensonge de Satan, qui a continué à mentir quand il accusé le Christ de faux témoins, et qui ment encore aujourd'hui, essayant de faire échouer les fruits de la Rédemption.
 
Aujourd'hui, après que les notes solennelles de l' Exsultet ont annoncé la gloire de la Résurrection, célébrons le triomphe du Christ sur la mort et le péché, sa victoire sur Satan. Célébrons également la victoire de l'Église et de la civilisation chrétienne sur les ennemis terrestres, car le sort du Corps mystique a été décrété au moment où sa tête divine a cloué l'ancien serpent sur la croix. Mors et vita duello conflixere mirando : Dux vitæ mortuus, regnat vivus.
 
 
    • Carlo Maria Viganò, archevêque
 
9 avril 2023
Dimanche de Pâques, à la Résurrection du Seigneur »

Le prince du mensonge est à son apogée.

Il a instauré un système, l’Antéchrist avec à sa tête des personnifications Antichrist tel que le « faux pape » Bergoglio (car si Benoît XVI fut forcé de démissionner comme on le croit, le conclave n’était donc pas valide).

La bête de la mer s’est révélée avec Vatican II et son action est évidente pour ceux qui connaissent les écritures : il y a 666 mois pile entre l’élection de Jean XXIII et sa canonisation.

C’est à partir du concile et tout ce qui s’ensuit que l’Église et la chrétienté basculent.

Idem pour ce monde sans base solide, évidement, que nous connaissons aujourd’hui.

La période qui a précédé a été témoin des signes avant-coureurs de l’Antéchrist, de ceux qui ont préparé le terrain.

Les prophéties de Jean XXIII soulignent que ce dernier a trouvé les racines du concile dans les papiers de Pie XII.

Aujourd’hui on sait que Pie XII voyant le danger a refusé de procéder (voir analyses précédentes).

C’est donc à partir de Jean XXIII que la bête immerge de l’eau (de la foule) : l’Antéchrist est là, et il règne.

Il y a eu 7 rois (papes) depuis Latran en 1929 où les papes sont devenus rois (voir analyses précédentes).

Le 8ème, Bergoglio, l’Antéchrist personnifié, récapitule tout ce que les 7 papes précédants ont initié et complété.

C'est la conclusion de Vatican II à laquelle nous assistons.

Bergoglio est le pape qui correspond à la description de la bête de la mer puisqu’il possède un pouvoir universel et mondial qui s’applique aux enfants de Dieu.

Rappelons-nous les paroles du regretté S. Monast (voir analyses précédentes) en cette fin des temps: le religieux domine le politique.

Dans cette ère du mensonge, l’Église catholique s’est muée en grande prostituée comme le spécifie l’Apocalypse, ce qui ne lui retire par le statut d’épouse pour autant car...

L’Église perdure par la Tradition et ses deux témoins.

La parabole de la samaritaine nous donne aussi un indice.

La Samaritaine d'aujourd'hui symbolise l’Église conciliaire: comme en Samarie on ne savait plus qui était du juif ou ou du paganisme, de même chez les conciliaires on ne sait plus ce qui relève du chrétien et du non-chrétien.

Car c'est le règne de l'ambuiguïté, où Bergoglio et ses serviteurs mélangent le tout et son contrraire.

Et NSJC a affirmé à la samaritaine :  tu as eu 5 maris et l’actuel n’est pas ton mari.

Combien de papes depuis le concile?

5 papes.

Bergoglio, on le sait ne peut pas être considéré comme pape.

Or, le pape est le vicaire du Christ.

Ce que refuse Bergoglio en spécifiant qu’il n’est que l’évêque de Rome, et qui a fait enlevé le titre de vicaire du Christ dans l’annuaire au Vatican.

Alors quel est le rôle de l’Antichrist-personnifié, le 8è roi?

C’est très clair dans l’Apocalypse, il est celui qui mettra à mort la prostituée.

« ...

Dans son apparition cet impie sera, par la puissance de Satan, accompagné de toutes sortes de miracles, de signes et de prodiges mensongers, avec toutes les séductions de l'iniquité, pour ceux qui se perdent, parce qu'ils n'ont pas ouvert leur cœur à l'amour de la vérité qui les eût sauvés. (note : pensons à toute cette technologie que l’on peut associer à ces miracles)

C'est pourquoi Dieu leur envoie des illusions puissantes qui les feront croire au mensonge, en sorte qu'ils tombent sous son jugement tous ceux qui ont refusé leur foi à la vérité, et ont au contraire pris plaisir à l'injustice. »
Saint-Paul (Th 2, 2)

Les miracles et les prodiges, nous les avons grâce à l’électronique et l’intelligence artificielle.

« En ce qui concerne l'avènement de notre Seigneur Jésus-Christ et notre réunion avec lui, nous vous prions, frères, de ne pas vous laisser ébranler facilement dans vos sentiments, ni alarmer, soit par quelque esprit, soit par quelque parole ou lettre supposées venir de nous, comme si le jour du Seigneur était imminent.

Que personne ne vous égare d'aucune manière ; car auparavant viendra l'apostasie, et se manifestera l'homme de péché, le fils de la perdition, l'adversaire qui s'élève contre tout ce qui est appelé Dieu ou honoré d'un culte, jusqu'à s'asseoir dans le sanctuaire de Dieu, et à se présenter comme s'il était Dieu. »
Saint-Paul (Th 2, 2)

La grande apostasie est là.

Le fils de la perdition est présent, assis dans le sanctuaire (physiquement à Rome, mais aussi spirituellement dans le cœur des humains).

Il est le 8ème roi, ou la bête à 7 têtes de l’Apocalypse qui est résumé par la 8ème tête.

Son dernier acte prévu : éliminer la présence réelle dans l’Eucharistie par l’imposition d’une célébration œcuménique commune suite au synode.

Je serai avec vous jusqu’à la fin des temps (via l’Eucharistie) avait spécifié NSJC.

Si nous en sommes rendus là, c’est précisément parce que …

Nous sommes rendus à la fin des temps.

02 avril

Avec l’hospitalisation de Bergoglio, les spéculations sont reparties en grande.

Pensons aussi que nous en sommes au dernier pape selon la prophétie des papes de Saint-Malachie.

« Le pape François est hospitalisé cet après-midi du 29 mars pour une infection respiratoire, et va rester à l’hôpital quelques jours.
Il aurait eu des problèmes de coeur et des difficultés respiratoires liées. (lifesitenews.com)

    « … « Le pape François est en train de mourir. C’est une question de jours ou de semaines, tout au plus de quelques mois ». Telle est l’information qui circule depuis un certain temps au sein de la Curie romaine. La gravité de sa maladie est un secret de polichinelle et a déjà été commentée en divers endroits. Comme le dit Specola, plus que jamais indispensable ces jours-ci, « les papes jouissent d’une bonne santé jusqu’à trois jours de leur mort ».

     
Ce qui aurait pu n’être considéré que comme une rumeur provenant des sombres centrales antibergogliennes, a pris de l’importance en raison de la soudaine dégradation subie hier, qui l’a contraint à être hospitalisé à l’hôpital Gemelli. En outre, les grandes lignes des célébrations de la Semaine Sainte sans sa présence sont déjà préparées : le cardinal Re présidera le dimanche des Rameaux et la veillée pascale ; le cardinal De Donatis présidera la messe chrismale et le cardinal Gambetti la célébration du Vendredi saint…. » (benoit-et-moi.fr)

     
Or, selon les dernières nouvelles, il est sorti de l’hôpital et finalement il va assister aux messes de la semaine pascale.

Ce qu’il faut aussi considérer : Bergoglio « s’était déjà rendu incognito « au moins deux fois à la clinique universitaire Agostino Gemelli pour des examens » au cours des trois semaines précédant son hospitalisation mercredi dernier…. » (benoit-et-moi.fr)

« ... Le malaise

Bergoglio a fait appel à l’humour pour commenter ce qui lui était arrivé et s’est exclamé « Je suis toujours vivant » face aux questions de ceux qui lui demandaient comment il se sentait. Malgré sa bonne volonté, le souverain pontife n’a pas répondu spécifiquement à la question la plus attendue, celle de la raison de son hospitalisation. Il a dit qu’il avait ressenti « un malaise, comme lorsqu’on a mal à l’estomac » et plus tard, au Vatican, il a dit qu’il ne savait pas ce qu’il avait, invitant les journalistes à poser la question aux médecins.

La référence à la mort que le pape a faite dans son message de salutations aux journalistes qui l’attendaient à l’hôpital Gemelli laisse penser qu’il ne s’agissait pas simplement d’un contrôle programmé. En effet, le souverain pontife a cité une personne plus âgée que lui qui lui a dit un jour : « Je n’ai pas vu la mort, mais je l’ai vue venir…. C’est moche, hein ».

Communication

En remerciant les journalistes, François a révélé qu’il avait lu les reportages le concernant ces derniers jours et a mentionné Il Messaggero en particulier, en disant que « c’est beau et clair, cela sert à éviter les fantasmes ». Des mots qui suggèrent que la reconstruction la plus fiable de sa situation clinique est celle présentée par la vaticaniste du quotidien romain, Franca Giansoldati. La journaliste écrit que « quand il s’est présenté dans le service, il était en grande détresse, son cœur fibrillait dangereusement et sa saturation en oxygène était préoccupante » et que les facteurs de risque au moment de son arrivée étaient élevés. Un tableau peu rassurant par rapport à celui fourni par les communications officielles... » (benoit-et-moi.fr)

Tout semble confirmer qu'il semble bel et bien d'un malaise cardiaque... Sinon pourquoi aller visiter des enfants malades « sans masque » alors que la version officielle est que c'est un problème respiratoire contagieux.

C’est à suivre… et on surveille les célébrations de la semaine sainte, surtout que l’intervention de la Sainte-Vierge (fin de la prophétie concernant Benoît XVI) n’a pas eu lieu comme prévue aux funérailles de Benoît XVI, effectivement… Mais «  devant la tombe du va-nu-pieds »…

Mars 2023

27 mars

LA PERSÉCUTION EST SPIRITUELLE

Plusieurs n’allument pas sur cette fin des temps, parce que constatent-ils, la persécution des chrétiens n’est pas généralisée à part quelques minorités ici et là.

L'un des malaises qui annoncent la parousie est la persécution.

À maintes reprises, l'évangile assure que les chrétiens de la fin des temps seront sévèrement persécutés.

De plus, cette persécution, contrairement au début de la chrétienté, n’est pas majoritairement physique, mais spirituelle.

Il a été impossible par le passé pour Satan de faire plier les chrétiens par la torture physique.

Au contraire, cela a produit des martyrs qui aujourd’hui renforcent la Foi via la prière par leurs intercessions.

Albert Frank-Duquesne, écrivain théologien belge converti au christianisme souligne  dans son ouvrage « Ce qui t'attend après ta mort  » :

« toutes les forces que le Démon peut mobiliser en ce monde, il les concentre et, par une persécution que les prédictions eschatologiques du Christ Lui-même nous présentent comme recourant plus à la séduction qu'à la violence, il les lance contre l’Église pour un définitif assaut. C'est alors que l'ivraie et le bon grain, le mal et le bien, si mystérieusement entremêlés ici-bas, vont tenter de se désécheveler, de se dégager l'un de l'autre, de se présenter dans leur nudité révélatrice, pour conquérir la terre. » (p. 94).

La fin est proche comme nous le constatons avec les signes que NSJC nous a donné en Matthieu 24.

L’une des caractéristiques de ce moment ultime est qu'il surprendra tout le monde comme au temps de Noé.

Tout furent emmenés presque sans s'en rendre compte et sans le savoir comme le spécifie les écritures.

Il convient néanmoins de veiller à cette indifférence néfaste et dangereuse de ce monde humaniste, ou l’aveugle guide l’aveugle.

Cette société et surtout le Vatican qui devrait guider les pauvres brebis égarées, n’est plus christocentrique.

En effet le Christ a été évincé, et surtout, c’est évident, depuis l’élection de Bergoglio, les valeurs humanistes ont remplacées les valeurs christiques.

NOUS SOMMES au milieu d'une très forte persécution et nous n'en sommes même pas conscients.

Et ceux qui le sont peuvent difficilement y résister, ou sinon céder au découragement, d’où le raccourcissement cette fin des temps annoncée dans l’Apocalypse afin que les quelques élus ne succombent eux aussi.

Cette dernière et grande persécution est dominée par les grands séducteurs qui occupent toute la place dans les médias (qu'ils ont achetés d'ailleurs).

C'est l'époque des grands miracles décris par Saint Jean grâce aux ondes et les téléphones dit intelligents. Suivra l'intelligence artificielle très bientôt.

Et la vérité est que les séductions que nous devons combattre sont de plus en plus intenses.

Nous sommes témoins que l’énorme majorité, non seulement d'humains sans foi, mais de chrétiens et de religieux, succombent en masse.

L'Église elle-même, dans sa structure visible, a été complètement emportée par cette séduction.

C’est ce qu’on appelle la mort des deux témoins dans l’Apocalypse (voir analyse précédentes et le calendrier de la fin des temps).

L’annonce de cette mort est évidente. Les dates sont inscrites dans l’histoire avec la fin du synode des synodes pour octobre 2024.

À moins que les délais ne soient raccourcis, par Dieu, ou par l’ennemi qui se sent pressé de triompher.

23 mars

Ce chaos tel que vu par Mgr Vigano:

« Votre Excellence, quelle est votre opinion sur la situation politique internationale ? Ne vous semble-t-il pas aussi que le discours sur l'Ukraine est en train de changer ?

Cette crise internationale a été provoquée par l' État profond américain dans le but de détruire le tissu social et économique des États européens. Cette destruction économique avait commencé avec la farce pandémique et les confinements , mais devait être rendue plus dévastatrice par les sanctions de l'Union européenne contre la Fédération de Russie, suite à la réaction de la Russie aux provocations de l'OTAN et à la persécution de la minorité russophone, depuis lors. depuis 2014 et en violation des Protocoles de Minsk, par le régime fantoche de Zelensky. Les choses se sont déroulées comme prévu, comme nous l'avons vu, et le récit dominant s'est immédiatement aligné....

Or le problème est que la marionnette de Biden et Soros - Zelensky - doit répondre à deux entités auxquelles il doit son ascension politique, ses gains et son avenir, à commencer par une banale survie. D'une part, l' état profond.

Les globalistes exigent que Zelensky se conforme non seulement à la provocation de la Russie et au rejet de tout accord de paix, mais aussi à l'introduction des mariages homosexuels, du genre, de la doctrine LGBTQ : ce qu'il fait presque en priorité par rapport au conflit avec la Fédération russe. D'un autre côté, le soutien interne à l'Ukraine provient de bataillons et de mouvements néonazis, mais ces fanatiques s'empressent d'écarter Zelensky lorsque sa politique n'est pas compatible avec la leur. Et Zelensky, comme toutes les mouches cocher, croit pouvoir jouer au leader en faisant monter les enchères, en menaçant de frapper la Fédération de Russie, en voulant conquérir la Crimée et anéantir définitivement l'empire de Moscou. Zelensky commence à agacer non seulement ses prétoriens, mais aussi les états profonds , car la menace d'une guerre mondiale les arrange tous , mais presque personne ne veut une vraie guerre mondiale....

En tant qu'ancien nonce apostolique aux États-Unis, comment jugez-vous le comportement de l'Amérique et en particulier de l'administration Biden ?

Joe Biden est une marionnette pathétique de l'État profond et de l'élite mondialiste. Son élection a été obtenue par fraude, et entretenue avec le drame du 6 janvier 2021 au Capitole, avec l'urgence psychopandémique et maintenant avec la crise ukrainienne. Son niveau de corruption le rend totalement vulnérable au chantage - comme c'est le cas pour presque tous les dirigeants internationaux - mais la dégénérescence cognitive dont il souffre le montre désormais totalement inadapté au rôle qu'il joue, car même Biden, comme Zelensky, pourrait dire ou faire quelque chose qu'il ne doit pas dire ou faire. Les vrais redoutables et dangereux sont les marionnettistes de Biden, les Dems avec leur idéologie éveillée , l' état profond avec son projet mondialiste, les théoconspiro-sionistes et fauteurs de guerre, le réseau criminel des pédophiles satanistes s'est infiltré dans les ganglions de l'État, du secteur privé, de l'information, d'Hollywood et de l'église bergoglienne.

Joe Biden est comme Jorge Mario Bergoglio : il est à la tête d'une institution qu'il a pour mission de détruire, non seulement par son action gouvernementale et le réseau de corruption qu'il utilise, mais aussi par le discrédit qu'il lui jette. Bergoglio fait de même dans l'Église, soutenu par l' église profonde reflétant l' état profond, et de ce fait élu pour empêcher la présence de Benoît XVI d'entraver le coup d'Etat mondialiste. Et tout comme Bergoglio se montre totalement étranger au rôle de pape, Biden est complètement étranger au rôle de président des États-Unis. Mais c'est exactement pourquoi je suis là. De plus, tous deux appartiennent à ce « catholicisme progressiste » qui depuis le Concile Vatican II s'est allié à l'élite maçonnique pour mener à bien le projet synarchique du Nouvel Ordre Mondial. Et tous deux – comme Obama et Nancy Pelosi – appartiennent à cette « soupe culturelle » qui s'est servie d'un personnage comme McCarrick, et qui se sert aujourd'hui de prélats non moins compromis, comme Cupich, Gregory, Tobin, Farrell, McElroy, à qui McCarrick doit sa carrière ecclésiastique...

Qui est derrière tout ça ? Pourquoi cette fureur contre la Tradition ?

La Tradition est le lien par lequel le Christ a voulu lier l'autorité de la Hiérarchie à l'enseignement immuable du Magistère. Ce qui était vrai à la naissance de l'Église, ce pour quoi les martyrs ont été tués et les chrétiens persécutés, est toujours vrai, est vrai aujourd'hui et le sera aussi demain, car il trouve son fondement en Notre-Seigneur, qui est l'Alpha et l'Oméga, principe et fin de tout, immuable dans Son essence divine qui est parfaite pour cela.

Depuis Vatican II, et surtout au cours de ces dix dernières années de " pontificat " - appelons-le ainsi - la Vérité révélée a été mise de côté, parce qu'elle est considérée comme gênante et " clivante ", au profit du dialogue œcuménique et du consensus des le monde. Mais ce n'est pas ce que le Christ a commandé à Saint Pierre et aux Apôtres : Il n'a pas commandé de dialoguer, de plaire au monde, de garder le silence sur l'Évangile et de propager l'agenda mondialiste. Notre-Seigneur a commandé aux Apôtres de prêcher l'Evangile à tous les peuples, les baptisant au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit, et disant clairement que celui qui croira sera sauvé, et que celui qui ne croira pas sera damné. .

La haine de la Tradition est la dernière étape avant la haine du Christ, dont les néomodernistes nient la divinité et qu'ils considèrent comme une sorte de « figure symbolique » créée par la « communauté primitive ». Nous ne pensons pas que les hérétiques et les corrompus qui sont au sommet de la Hiérarchie aujourd'hui ne soient que modérément progressistes : ceux qui les manœuvrent depuis soixante ans sont issus des mêmes covens de conspirateurs responsables du coup d'État mondialiste. Et il serait étrange que des gens dévoués au mal endurent ces forteresses de prière et de pénitence qui entravent leurs plans. Pour la même raison, ils ne peuvent tolérer la Messe traditionnelle : précisément parce qu'elle est traditionnelle , c'est-à-dire le fruit d'un développement harmonieux au cours des deux millénaires de la vie de l'Église, sous la conduite de l'Esprit Saint.

Il faut avoir un regard surnaturel, et comprendre que le combat actuel est essentiellement spirituel, dans lequel Dieu et Satan, les enfants de la Lumière et les enfants des ténèbres s'affrontent. Et que la victoire appartient à Dieu, et à ceux qui - ici et maintenant - prennent parti sous la bannière du Christ. Il va falloir se battre, c'est sûr ; mais la victoire finale est encore plus certaine : non prævalebunt .
...

Je vous bénis tous. » (aldomariavalli.it)

Le châtiment de Sodome : Abbé G. Puga, Église St-Nicolas-du-Chardonnet

21 mars

LA DESTRUCTION FINALE

Cette phase est belle et bien entamée.

Les deux bêtes montent en puissance pour le cri de la victoire finale.

La bête Nation-Unies représentant le politique, via la guerre comme diversion, met la touche finale sur le contrôle monétaire mondiale.

Vous avez sûrement remarqué la crise financière en cours avec les faillites bancaires, résultat de la montée des taux d’intérêts des grandes banques centrales contrôlant le système.

Que constate-t-on?

Que les petites et moyennes banques subissent un « bank run » et ne pourront survivre dans les prochaines semaines si cette situation persiste.

Ainsi, les banques en difficultés sont absorbées par les gros joueurs sous garanti des gouvernements, déjà surendettés, et les banques centrales.

En effet, centraliser les pouvoirs financiers permettra de passer à l’ère de la monnaie numérique plus facilement.

Quant à la bête Vatican, représentant le religieux, nous savons tous vers où elle nous dirige :

« Aldo Maria Valli sur les dix ans de Francisco

(I Cor. 7,23) Vous avez été achetés chèrement; ne vous faites point esclaves des hommes.

Pour commenter les dix années de pontificat de François, les mots écrits par Demos (alias feu le cardinal Pell) dans le mémorandum qu’il voulait distribuer à tous les cardinaux il y a un an suffiraient : « Un désastre à bien des égards, une catastrophe ».

Bergoglio a réussi l’exploit, uniquement possible pour certains individus particulièrement doués, de détruire sans reconstruire. Il a été choisi pour apporter de l’air frais. Après dix ans, l’air est irrespirable. Et la papolâtrie qui se déchaîne ces jours-ci, à l’occasion de l’anniversaire, le rend encore plus méphitique.

Au Vatican, on se croirait à Pyongyang, sous un régime despotique, capricieux et cruel. Dans une atmosphère de sous-empire, les espions et les informateurs dominent la scène. Mais plus que des complots, ce sont des tremblements. Chacun est terrifié à l’idée de tomber sous le regard du tyran. Qu’il s’agisse d’une conviction ou d’un coup de foudre, à peine lever la tête, c’est être écrasé dans une étreinte mortelle. C’est pourquoi beaucoup préfèrent faire le mort pour ne pas mourir.

Les journalistes soumis lui posent toujours les mêmes questions anodines et il donne toujours les mêmes réponses. Les interviews se multiplient, mais ce ne sont que des copier-coller au nom d’une piété mortifère.

Pendant ce temps, l’Église catholique est en plein désarroi (voir l’Allemagne) et Pierre, au lieu d’agir comme un roc, nourrit la confusion et l’ambiguïté.

Dans ce contexte, beaucoup se lamentent spontanément sur Benoît XVI, mais il faut le dire clairement : Ratzinger a eu beau se rendre compte du désastre, il n’a rien pu faire contre la dérive, parce qu’il faisait lui-même partie du projet de destruction. Un projet qui a un nom, le Concile Vatican II, et une racine précise : le modernisme.

Paradoxalement, nous devrions être reconnaissants à François. Avec son intempérance, il a rendu clair pour tout le monde (sauf, bien sûr, pour ceux qui ne veulent pas voir) ce que le modernisme voulait et a finalement réalisé : soumettre l’Église au monde. Si Benoît XVI, avec ses retraites, a réussi au moins en partie à dissimuler la catastrophe, avec François, tout est devenu clair : le catholicisme liquide prôné par les modernistes a pleinement conquis le trône de Pierre. En effet, les sermons qui en sortent ressemblent en tout point aux discours des mondialistes maçonniques. Il n’y a plus de distinction. La soudure a eu lieu.

S’en prendre à Bergoglio, c’est donc s’inquiéter du dernier rhume d’un organisme miné par des tumeurs foudroyantes et des métastases galopantes.

La preuve ? Demandez à un bon catholique de notre époque, qui va peut-être encore régulièrement à la messe, s’il croit à la royauté sociale de Jésus-Christ. S’il croit que Jésus-Christ est vraiment le Roi de toutes les nations et le Seigneur de l’univers. S’il croit que Celui qui est le Créateur et le Rédempteur de la nature humaine possède, en conséquence, un pouvoir souverain sur les hommes, en tant qu’individus et en tant que communautés sociales.

Le catholique en question vous regardera comme on regarde un Martien et, à supposer qu’il comprenne votre langue, commencera à argumenter qu’en réalité, il faut réconcilier la foi avec le monde, que rien ne peut être imposé, qu’il faut dialoguer, discerner et cheminer ensemble, que la liberté religieuse existe, que les droits de l’homme doivent être pris en compte, qu’il y a aussi de bonnes choses dans d’autres religions…. Cent ans, pas mille, ont passé depuis que les papes proclamaient encore la royauté sociale du Christ (l’encyclique Quas primas de Pie XI, qui a introduit la solennité du Christ-Roi, date de 1925), mais nous n’avons même pas un faible souvenir de cette Église et de cet enseignement. La Révolution a pénétré l’Église et l’a conquise de l’intérieur. Les saboteurs modernistes ont atteint le but pour lequel ils ont tant travaillé.

L’homme a été mis à la place de Dieu.

Compte tenu du travail accompli par le modernisme (multiples tunnels creusés dans l’organisme vivant de l’Église pour y implanter le virus de l’apostasie), le pontificat de François est une conséquence logique et nous devons le considérer comme tel.

Et alors ? Face à la Révolution, la seule solution est la Contre-Révolution. Mais il faut savoir qu’elle implique le martyre. A prendre ou à laisser. Si vous le prenez, ne vous faites pas d’illusions en pensant que vous éviterez les persécutions et les souffrances.

Aldo Maria Valli
16 mars 2023 »

L’encyclique Quas primas de Pie XI, qui a introduit la solennité du Christ-Roi, date du 11 décembre 1925.

Serait-ce la limite des 100 ans accordés à Satan dans le songe de Léon XIII?

Sachant que le 11 représente une porte, un passage...

« CITÉ DU VATICAN ( LifeSiteNews ) - Défendant les restrictions croissantes sur la messe traditionnelle en latin, le cardinal Arthur Roche - qui dirige la Congrégation du Vatican (aujourd'hui Dicastère) pour le culte divin et la discipline des sacrements - a déclaré que "la théologie de l'Église a changé".

S'exprimant sur BBC Radio 4 pour une émission diffusée le 19 mars, Roche a défendu les restrictions à la messe traditionnelle, que lui et le pape François ont mises en place depuis juillet 2021.

« La théologie de l'Église a changé », a soutenu Roche. "Alors qu'avant le prêtre représentait, à distance, tout le peuple - ils étaient canalisés par cette personne qui seule célébrait la messe."

Maintenant, cependant, Roche a déclaré que "ce n'est pas seulement le prêtre qui célèbre la liturgie mais aussi ceux qui sont baptisés avec lui, et c'est une déclaration énorme à faire".

Quelques instants auparavant, les commentaires de Roche avaient été devancés par le biographe papal Austen Ivereigh, qui affirmait que ceux qui se consacraient à la messe traditionnelle étaient « devenus un mouvement sapant le Concile Vatican II ». Par conséquent, a déclaré Ivereigh, les restrictions étaient nécessaires "pour mettre une limite, pour mettre des frontières, non pas pour la supprimer, mais pour la remettre entre les mains des évêques".

Non, la théologie de l'Église ne peut pas changer. Mais le fait que les pouvoirs actuels croient que cela peut changer est tout ce qu'il faut savoir sur la racine de notre crise actuelle. https://t.co/GUy9fUmwcE

– Père V (@father_rmv) 19 mars 2023

Le spécialiste de la liturgie Matthew Hazell a souligné les commentaires de Roche, notant que contrairement à l'affirmation du cardinal, l'enseignement de l'Église n'avait pas changé. Il a souligné l'enseignement du pape Pie XII dans son encyclique Mediator Dei de 1947 , dans laquelle le pontife a exposé l'enseignement catholique sur la congrégation s'unissant au prêtre dans le sacrifice de la messe.

Or il est clair que les fidèles offrent le sacrifice par les mains du prêtre du fait que le ministre à l'autel, en offrant un sacrifice au nom de tous Ses membres, représente le Christ, la Tête du Corps Mystique. C'est pourquoi on peut dire à juste titre que toute l'Église offre la victime par le Christ.

Alors que les arguments du « peuple sacerdotal » ont été beaucoup avancés depuis Vatican II, principalement par ceux qui cherchent à éradiquer une différence entre prêtres et laïcs, Pie XII a clairement noté la différence dans leurs actions respectives :

Cependant, le fait que les fidèles participent au sacrifice eucharistique ne signifie pas qu'ils soient également dotés du pouvoir sacerdotal. Il est très nécessaire que vous fassiez bien comprendre cela à vos troupeaux…

Or les fidèles participent à l'oblation, entendue dans ce sens restreint, à leur manière et d'une double manière, à savoir parce qu'ils offrent non seulement le sacrifice par les mains du prêtre, mais aussi, dans une certaine mesure, en union avec lui. C'est en raison de cette participation que l'offrande faite par le peuple est également incluse dans le culte liturgique….

Mais la conclusion que le peuple offre le sacrifice avec le prêtre lui-même n'est pas basée sur le fait que, étant membres de l'Église non moins que le prêtre lui-même, ils accomplissent un rite liturgique visible ; car ceci n'est le privilège que du ministre qui a été divinement nommé à cet office : il est plutôt basé sur le fait que les gens unissent leurs cœurs dans la louange, l'impétration, l'expiation et l'action de grâces avec les prières ou l'intention du prêtre, voire du Souverain Sacrificateur lui-même, afin que dans une seule et même offrande de la victime et selon un rite sacerdotal visible, elle soit présentée à Dieu le Père.

Il est évidemment nécessaire que le rite sacrificiel externe, de par sa nature même, signifie le culte interne du cœur.

Pie XII a également puisé dans le pape Innocent III pour désigner l'enseignement de l'Église dans l'offrande conjointe du sacrifice :

« Non seulement, dit Innocent III de mémoire immortelle, les prêtres offrent le sacrifice, mais aussi tous les fidèles : car ce que le prêtre fait personnellement en vertu de son ministère, les fidèles le font collectivement en vertu de leur intention.

Par conséquent, l'affirmation de Roche selon laquelle la théologie a changé ne semble pas être soutenue par l'enseignement de l'Église - à la fois celui des temps récents et celui des papes des époques anciennes. Son argument selon lequel le peuple se joint maintenant au prêtre pour offrir le sacrifice a toujours été enseigné, avec une différenciation soigneuse entre le prêtre et les différents rôles du peuple.

Pourtant, l'affirmation frappante du cardinal anglais selon laquelle « la théologie de l'Église a changé » n'est pas sans précédent.

L'année dernière, il s'est entretenu avec Vatican News, déclarant que les restrictions à la messe traditionnelle n'étaient qu'une "régulation de l'ancienne liturgie" qui était nécessaire parce que Vatican II a proposé "une nouvelle liturgie pour la vie vitale de l'Église".

Le cardinal a déclaré :

Tout ce qui se passe, c'est la réglementation de l'ancienne liturgie du Missel de 1962 en arrêtant la promotion de celui-ci, car il était clair que le Concile, les évêques du Concile, sous l'inspiration de l'Esprit Saint, proposaient une nouvelle liturgie pour la vie vitale de l'Église, pour sa vitalité.

Cette tâche est "vraiment très importante", a-t-il dit, avant d'ajouter "résister c'est-à-dire, c'est quelque chose qui est vraiment très sérieux aussi".

Quelques semaines plus tard, Roche alla jusqu'à suggérer que les catholiques attachés à la liturgie traditionnelle étaient « plus protestants » que catholiques. Il a cité une "réforme" nécessaire de la liturgie - une réforme qui, a-t-il dit, a abouti au Novus Ordo.

Mais les fidèles de la messe latine traditionnelle "traînaient les pieds" dans l'opposition, a affirmé Roche.

Cette réforme est en cours, mais c'est un processus lent parce qu'il y a ceux qui traînent les pieds à cet égard et non seulement traînent les pieds mais s'opposent obstinément à ce que l'Église a réellement décrété.

C'est une affaire très sérieuse. Au final, les gens doivent se demander : suis-je vraiment catholique, ou suis-je plutôt protestant ?

Il a décrit le Concile Vatican II comme "la législation la plus élevée qui existe dans l'Église", affirmant que "si vous ne tenez pas compte de cela, vous vous mettez de côté, aux confins de l'Église. Vous devenez plus protestant que catholique.

Mais contrairement à la déclaration de Roche selon laquelle Vatican II proposait une « nouvelle liturgie », dans son discours de 1988 attaquant l'archevêque Marcel Lefebvre, le cardinal Joseph Ratzinger a déclaré : « Ce Concile particulier n'a défini aucun dogme et a délibérément choisi de rester à un niveau modeste, comme un simple conseil pastoral; et pourtant beaucoup le traitent comme s'il s'était transformé en une sorte de superdogme qui enlève l'importance de tout le reste.

Pendant ce temps, la rumeur veut que Roche prépare encore plus de restrictions sur la liturgie traditionnelle, avec déjà trois documents de ce type émis contre elle depuis juillet 2021. Selon le journaliste respecté du Vatican, le Dr Robert Moynihan, un prochain décret de François contre la messe traditionnelle ne sera pas seulement une « nouvelle suppression du TLM », mais « porteront également le « poids » d'une Exhortation apostolique ». »

« ( LifeSiteNews ) — Le cardinal Gerhard Müller, ancien chef de la Congrégation pour la doctrine de la foi (CDF), a fustigé la voie synodale allemande hérétique, affirmant qu'elle est pire qu'un schisme et la qualifiant de variante de la « culture éveillée matérialiste et nihiliste » qui a abandonné "l'essence même du christianisme".

Dans une récente interview avec le magazine conservateur allemand Tichys Einblicke,  Müller a été interrogé sur son dernier livre "In Buona Fede", dans lequel il a déclaré que la situation de l'Église catholique en Allemagne est "pire qu'un schisme".

Müller a expliqué que tandis que les églises orthodoxes schismatiques restaient concentrées sur le Christ, la voie synodale en Allemagne a abandonné « l'essence même du christianisme […] au profit de sa transformation en une variante de la culture éveillée matérialiste et nihiliste de l'auto-rédemption de l'homme » et la création de soi.

"Au lieu de la parole de Dieu dans l'Écriture Sainte et la Tradition de l'Église, on se réfère aux 'autorités' comme Michel Foucault, Judith Butler, Helmut Kentler ou Yuval Harari", a poursuivi Müller.

"On ne peut pas chasser le diable avec Belzébuth, c'est-à-dire que dans la lutte contre la pédophilie, on ne peut priver la sexualité humaine des exigences des commandements de Dieu et du pouvoir transformateur de sa grâce et la réduire à un plaisir privé exempt de morale."

« L'Église catholique, depuis Irénée de Lyon, n'a jamais laissé les gnostiques de tous les temps s'en tirer avec la promiscuité sexuelle démoralisante, la polygamie et le brouillage de la distinction entre l'homme et la femme en disant que Dieu ne se soucie pas du monde matériel et de la corporéité de l'homme (Contre les hérésies I, 28, 2).

Le cardinal allemand a en outre déclaré que la "culture éveillée", qui est également représentée dans la Voie synodale, conduit l'humanité plus loin sur la voie de l'autodestruction. A la racine de ce problème, Müller identifie une « anthropologie erronée, qui fait du mariage de l'homme et de la femme une variante arbitraire de la libido égocentrique ».

Commentant l'appel à l'ordination des femmes, le prélat allemand a déclaré: «[c]e que les femmes ne peuvent pas recevoir le sacrement d'ordination aux niveaux d'évêque, de prêtre / presbytre et de diacre n'est pas historique-sociologique ("patriarcal") ou psychologique ( « anti-femmes », ce qui est une folie même en tant que terme), mais une question de la nature sacramentelle (et précisément non fonctionnelle) de ce sacrement lui-même en tant que représentation du Christ en tant qu'Époux de l'Église dans sa relation avec elle en tant qu'Épouse. ”

L'intervieweur a interrogé Müller sur le reproche des partisans de la Voie synodale selon lesquels les ennemis de la Voie synodale n'offriraient aucune bonne solution. "Nous n'avons pas besoin de penser à une solution du tout parce que nous vivons par la puissance de la rédemption de Dieu", a répondu l'ancien chef du CDF.

« Il suffit que nous témoignions par la parole et la vie de l'Evangile du Christ, dont la croix est plus intelligente que tous les intellectuels et plus forte que toute la puissance des puissants et des riches de ce monde. Alors nous pouvons répondre à tous ceux qui nous interrogent sur le sens et la raison de l'espérance qui nous soutient dans la vie et dans la mort (cf. 1 P 3, 15).

On a également demandé à Müller pourquoi il pensait que l'Allemagne était le centre de ce "Sonderweg" (chemin spécial) plutôt que l'Espagne, la France ou l'Italie.

"Malheureusement, il y a encore le Furor teutonicus, la tendance indomptable à toujours vouloir instruire et dominer le monde entier", a-t-il répondu. « Les catholiques allemands souffrent toujours d'être des citoyens de seconde classe (et des érudits en théologie et en sciences) depuis le Kulturkampf [guerre des cultures] dans l'Empire de Bismarck et les revendications de supériorité de la Leitkultur protestante prussienne [culture dominante]. C'est une ironie de l'histoire de l'Église que face au défi d'une déchristianisation agressive de l'Occident, les catholiques veulent surmonter leur complexe d'infériorité en se référant à leur commune médiocrité.

"Quel est votre conseil aux fidèles catholiques d'Allemagne qui n'aiment pas le chemin synodal mais qui ne trouvent plus la stabilité habituelle à Rome ?" l'intervieweur a demandé à Müller.

"Un regard sur l'histoire de l'Église nous aide à faire face plus facilement aux hauts et aux bas", a déclaré le cardinal allemand. «Après tout, nous, chrétiens, ne sommes pas promis à une réussite comme dans une entreprise humaine, mais à l'aide de l'Esprit Saint même en période de déclin ou même de persécution. En bourse, les prix montent et descendent. Nous vivons de la promesse de Jésus qu'il sera toujours avec nous jusqu'à la fin du monde.

« Le roc sur lequel Jésus bâtit son Église, même les portes de l'enfer ne peuvent vaincre. Mais celui qui est assis dans le fauteuil de Pierre, comme l'homonyme de ce bureau, peut personnellement échouer. C'est pourquoi le Christ prie pour Pierre afin que sa foi ne s'éteigne pas (cf. Lc 22, 32).

« Malgré toute notre fidélité au Pape, qui est naturelle pour un catholique, nous devons aussi toujours garder clairement à l'esprit que nous appartenons à l'Église du Christ et que le Pape, l'évêque et le prêtre ne sont que ses serviteurs — parfois infidèles — qui sont toujours besoin de repentance et de renouveau », a conclu Müller.

La Voie synodale est un projet de réforme hétérodoxe lancé par la Conférence épiscopale allemande et le Comité central des catholiques allemands en décembre 2019. Lors de sa dernière assemblée en mars, une écrasante majorité des membres de la Voie synodale, dont plus des deux tiers des évêques allemands, ont voté en faveur de documents hérétiques, réclamant des femmes diacres , des «bénédictions» des unions homosexuelles et même des prêtres «transgenres» dans un texte chargé d'idéologie de genre. »

12 mars

L’identité numérique est prévue pour 2025.

Ils ont maintenu les taux d’intérêts bas pour la masse et les gouvernements.

La guerre ukrainienne et la résultante inflation font monter les taux pour amener ces derniers à la faillite et donc à l’acceptation par le peuple de la monnaie digitale via l’identité numérique.

Tout se tient. Tout progresse… vers sa fin.

L’importance du chiffre 11 pour la kabbale:

Ce chiffre représente une porte qui s’ouvre, un passage, une Pâques, entre les deux colonnes.

C’est donc dire qu’il représente un nouveau départ, une grande réinitialisation ou des étapes menant à cette étape ultime, et un sacrifice ou suite à un sacrifice.

Satan singe et inverse, et évidement il n’offre pas une porte vers le Ciel avec le 11.

Exemples : armistice le 11 du 11ème mois, 11 septembre 2001, accident de la centrale Fukushima, 11 mars 2011, etc..

Jean XXIII publie son encyclique humanitaire PACEM IN TERRIS le 11 avril 1963.

Alors, pour l’année 2025 : Le Jubilé et les références au chiffre 11.

« la signification du jubilé dans la tradition juive : c’est l’accomplissement de l’œuvre, la réussite, le couronnement, l’année « divine » où l’on se repose de son travail. » à la 50ème année, après la limite du diable, le 49.

« Le 11 février 2022, jour de la mémoire de la bienheureuse Vierge Marie de Lourdes, le pape François a adressé une lettre à Mgr Rino Fisichella, président du Conseil pontifical pour la promotion de la nouvelle évangélisation, pour le Jubilé de 2025… le thème « Pèlerins d’espérance ».

La réussite de ce Jubilé, a-t-il affirmé, sera possible « si nous sommes capables de retrouver le sens de la fraternité universelle »… Le pape François a ajouté que les quatre constitutions du concile œcuménique Vatican II « unies au magistère des dernières décennies », continueront « à orienter et à guider le saint peuple de Dieu ». Après avoir déclaré que la Bulle d’indiction « sera émise en temps voulu », le pape François a stipulé l’année précédant l’événement jubilaire, 2024, « pourra être consacrée à une grande “symphonie” de prière ». »
(lacroix.com)

Le Jubilé pour la bête Vatican est l’occasion d’ouvrir une porte, les Portes Saintes pour l’Église et une singerie inversée pour l’église conciliaire sous l’attention de Satan.

Et pour ce passage prévue, il faut une préparation :

« Mgr Fisichella a en outre souligné l’indication du Pape François de consacrer les deux prochaines années précédant le Jubilé sur deux thèmes particuliers. L’année 2023 sera ainsi consacrée à revisiter les thèmes fondamentaux des quatre Constitutions du Concile Vatican II, dont on célébrera le 11 octobre prochain le 60e anniversaire de l’ouverture, «afin que l’Eglise puisse respirer à nouveau» cet «enseignement profond et actuel». Une série de supports utiles, «écrits dans un langage attrayant», sont en préparation.

L’année 2024 sera consacrée en revanche à la prière, pour «créer un cadre favorable au Jubilé et permettre que les pèlerins puissent se préparer à cet événement, qui est avant tout spirituel, de façon cohérente et efficace». » (osservatoreromano.va)

On y est.

En 2023, on célèbre le fameux 11 octobre 1962 et ses fruits pourris, alors que pour ceux qui ont les yeux ouverts, on célèbre en réalité le veuvage de l’Église (60 ans selon Saint-Paul).

Alors, qu’en 2024, on prépare mentalement les âmes pour accepter l’inévitable, la suppression de la présence réelle par l’institution d’une célébration œcuménique avec la fin du synode des synodes.

Cette fin du synode sera probablement célébrée dans la fin de semaine du 11 octobre 2024 (en référence au 11 octobre de Vatican II (François veut faire grandir l'Église du Concile Vatican II)

Rappelons que 2025, c’est en plein dans le maximum solaire du cycle 25 (prévu entre octobre 2024 et juillet 2025) augmentant la probabilité du forte tempête solaire qui annihilerait tout ce qui est d'électronique sur cette planète, et ainsi arrêter la guerre.

Les statistiques sur l’activité solaire du cycle 25 du mois de février sont encore une fois au-dessus de la prédiction des astronomes : cela fait 24 mois consécutifs que le nombre de taches solaires prévues sont au-delà des prédictions.

Toutes les taches solaires de février en une image (spaceweathergallery2.com):

Les Jubilés sont liés à une date de début et de fin précises : le 8 décembre.

Et le 8 décembre c’est la date de célébration de l’Immaculée Conception : date qui a son importance considérant l’Apocalypse pour les références à Marie, celle qui écrasera la tête du serpent et mettra fin à Babylone.

Alors, que célébrera l’église conciliaire (rappelons que Bergoglio a lancé le thème du jubilé de 2025 un 11 février, à la fête de Lourdes)?

La renaissance, comme…  la grande réinitialisation.

« … le prochain jubilé est l'occasion d'un réveil… une occasion de «contempler la beauté de la création et de prendre soin de notre maison commune». » (vaticannews.va)

L’église sera témoin d’un réveil, mais pas celui qu’elle espère…

Le logo de ce jubilé est pro LGBT (vaticannews.va) pour inclure tout le monde dans ce jubilé, pour le cri de victoire de l’œcuménisme, pour la conclusion de Vatican II. On nous l’a annoncé avec l’année 2023 consacrée aux 60 ans de Vatican II.

Or, pour le jubilé 2025, Bergoglio a créé une Commission pour les témoins de la foi qui fait référence au grand jubilé de Jean-Paul II de l’an 2000, où il a voulu mettre en lumière ces hommes et ces femmes qui, bien que non canonisés, ont manifesté avec force leur foi.

« Qui sont les témoins de la foi?

Permettez-moi de donner un exemple: celui qui me vient immédiatement à l'esprit est Dietrich Bonhoeffer (1906-1945), un théologien et pasteur d'église luthérien qui a été tué parce qu'il s'opposait au nazisme. L'Église ne le proclame pas martyr parce qu'il n'était pas catholique. »
(vaticannews.va)

Cela ne vous rappelle pas les « deux témoins » de l’Apocalypse?

Satan singe et inverse...

Nous avons bien spécifié les preuves du décompte menant à 2025 dans les analyses précédentes.

Un résumé :

La grande réinitialisation actuelle n’est possible que par le code QR ou son successeur.

C’est ainsi que la bête de la terre (humaniste, Nations-Unies, franc maçonnerie judéo-maçonnique) a pris le contrôle total de nos vies pour nous rendre esclaves du système antichristique.

Tout se fait maintenant via le téléphone intelligent.

Un marché aujourd’hui dominé par la compagnie Apple.

Il faut remonter à la création de l’ordinateur accessible pour tous, ancêtre en sorte du smartphone actuel, pour voir la bête sortir de l’eau, en termes apocalyptiques.

C’est Apple qui produit le premier ordinateur accessible à tous le 11 avril 1976.

Le Apple I se vendait 666.66 dollars.

Don Jean de Monléon dans son livre Le prophète Daniel:

« Malgré les efforts des bourreaux, la flamme ne montait qu’à 49 coudées, elle n’arrivait pas à cinquante… Pourquoi cela ? Parce que 50 est le chiffre de la Pentecôte, le symbole de la transformation totale que, seule, la grâce du Saint-Esprit est capable d’opérer dans l’homme. »

Par conséquent, « le démon ne peut dépasser 49 coudées, parce qu’il est incapable d’agir efficacement sur le fond de l’âme, sur la volonté, si celle-ci est résolue à tenir bon. »

Le diable n’a donc pas le droit d’aller jusqu’à 50, le chiffre en jours qui sépare la Résurrection de la Pentecôte, et qui est le chiffre d’un jubilé.

Sachant donc que la limite du diable est de 49, la limite de Babylone serait donc le 11 avril 2025 (1976+49 années).

Le Vatican doit obligatoirement suivre, car deux bêtes (terre et mer) agissent ensemble selon l’Apocalypse.

C’est à l’été 1976 que Paul VI suspend Mgr Lefebvre suite à la consécration de 13 prêtres et isole ainsi la tradition.

Le 11 septembre 1976, à Castel Gandolfo, une célèbre rencontre eu lieu entre Mgr Lefebvre et Paul VI où ce dernier dépose ses accusations.

Le nombre de jour entre le 11 avril 1976 et le 11 septembre 1976 liant les deux bêtes : 153.

Le chiffre des rachetés  de la pêche miraculeuse (voir analyses précédentes) de la fin des temps.

La fin des temps se mesurant en deux temps, un temps et un demi temps (3 étapes).

Un temps : 21 ans

Deux temps : 42 ans

Un demi temps : la donnée inconnue : nul ne connaît le jour ni l’heure…

Un temps : 21 ans

De 1962 à 1983.

1983 : Jean Paul II modifie le droit canon le 25 janvier 1983 et celui-ci est effectif le 27 novembre suivant au premier dimanche de l’Avent, ce qui en soit est un signe d’une nouvelle étape.

Le code de droit canonique de 1917 a été promulgué le 27 mai 1917 (peu après la première apparition de Fatima donc).

Nombres d’années entre le 27 mai 1917 et le 27 novembre 1983 : 66 ans et 6 mois.

Les 21 années de Vatican II à 1983 ont donc servi de préparation pour éclipser l’Église selon les prophéties de La Salette.

Deux temps : 42 ans

De 1983 à 2025.

Le nouveau droit canon plonge l'Église dans la fosse humaniste officiellement.

Le 5 avril 1983, Mgr Lefebvre répond à une lettre envoyée par Jean-Paul II via le cardinal Ratzinger.

L'Église est en crise.

La messe traditionnelle est ciblée.

« Sans doute c’est en raison de cette oppression des consciences exercée d’une manière inconcevable à l’intérieur de l’Église que vous prévoyez de publier un décret concernant l’usage de l’ancien rite romain de la Messe. N’est-ce pas, en effet, une oppression inique d’enlever aux prêtres le rite de leur Messe d’ordination et de les contraindre sous peine de suspens d’adopter un nouveau rite à l’institution duquel ont participé six pasteurs protestants !

C’est au pied du crucifix que je vous réponds, Très Saint-Père, uni à tous les évêques, prêtres, religieux, religieuses, fidèles qui ont subi un véritable martyre moral par l’imposition forcée de cette Réforme liturgique. Que de larmes, que de douleurs, que de morts prématurées dont demeurent responsables ceux qui ont indûment imposé ces changements opérés au seul titre d’un œcuménisme aberrant.» (laportelatine.org)

L’humanisme œcuménique a été inscrit dans l’ADN de l’Église avec le nouveau code de droit canon.

Concrètement.

On trouve une autre confirmation par la deuxième apparition de la Vierge Marie à Sœur Catherine Labouré à la rue du Bac:

La libération des justes, les 153 de la seconde pêche miraculeuse commencent donc au début de la phase de 42 ans, la période de prêche des deux témoins pour sauver le plus d’âmes possibles.

Nous venons de démontrer que cette phase commence par la validité du nouveau code de droit canon le 27 novembre 1983.

Or, le 27 novembre est la date anniversaire de l’apparition de la rue du Bac en 1830 et conséquemment de l’existence de la médaille miraculeuse.

Il y a exactement 153 ans entre l’apparition et le 27 novembre 1983.

2025, c’est aussi 161 ans par rapport au syllabus de Pie IX (publié le 8 décembre 1864) condamnant le maçonnisme et ses erreurs.

C’est bien là le mal de notre époque (suite à l’avertissement de Fatima avec le communisme).

161, c’est le chiffre de l’humain déifié, le 6, entre les deux colonnes maçonnique (les colonnes Boaz et Jakin), représenté par le chiffre 11.

La porte que veulent ouvrir les kabbalistes (la grande réinitialisation de 2025) est indiquée par la date de l’avertissement de Pie IX et qui est reliée à Marie.

Mais, en 2025, cela fera  aussi 171 ans que le dogme de l’Immaculée Conception a été proclamé par Pie IX, le 8 décembre 1854 exactement.

La Vierge Marie, c’est la clé de la victoire dans l’Apocalypse, celle qui écrasera la tête du serpent.

Si le 161 représente le chiffre de l’homme déifié entre les deux colonnes du 11, 2025 représente aussi le 6 transfiguré.

6X3,5 (en référence au 1 temps, 2 temps et un demi temps de la durée de vie de la bête dans l’Apocalypse) donne 21 et divisé par le chiffre de la Trinité, donne 7.

Le chiffre du Père, entre les deux colonnes.

Deux portes donc : une porte menant au Ciel et l’autre menant à l’enfer dépendant de l’application du trio « Foi, Espérance, Charité » pratiqué par chacun.

Les deux colonnes représenteraient les « deux témoins » ressuscités après les 3 jours et demi : les deux oliviers de l’Apocalypse.

Rappelons aussi qu’il y avait deux colonnes dans le songe de Don Bosco.

Ces deux témoins, on les nomment aussi Énoch et Élie.

Confirmés par La Salette :

« L’Église sera éclipsée, le Monde sera dans la consternation. Mais voilà Énoch et Élie remplis de l'Esprit de Dieu ; ils prêcheront avec la force de Dieu et les hommes de bonne volonté croiront en Dieu et beaucoup d'âmes seront consolées ; ils feront de grands progrès par la vertu du Saint-Esprit et condamneront les erreurs diaboliques de l'Antéchrist. »

La prêche des deux témoins aurait donc débuté officiellement en 1983 pour 42 ans.

Effectivement, tout doit être conclu avant mai 2026 selon la prophétie de Don Bosco, c’est à dire le retour du Lys avant mai 2026.

9 mars

« Nous devons être prudents dans nos prédictions. Ce que disait saint Augustin est toujours vrai : l’homme est un abîme ; personne ne peut prévoir ce qui émergera de ces profondeurs. Et celui qui croit que l’Église n’est pas seulement déterminée par l’abîme qu’est l’homme, mais qu’elle atteint l’abîme le plus grand, le plus infini, qui est Dieu, sera le premier à hésiter dans ses prédictions, car ce désir naïf de savoir avec certitude ne pourrait être que l’annonce de son inaptitude historique. (…)

L’avenir de l’Église peut résider et résidera dans ceux dont les racines sont profondes et qui vivent dans la pure plénitude de leur foi. Il ne résidera pas chez ceux qui ne font que s’adapter au moment présent, ni chez ceux qui se contentent de critiquer les autres en se prenant pour des juges infaillibles, ni chez ceux qui choisissent la facilité, qui éludent la passion de la foi en la déclarant fausse et obsolète, tyrannique et légaliste, tout ce qui exige quelque chose des hommes, les blesse et les oblige à se sacrifier.

Pour le dire plus positivement : l’avenir de l’Église, une fois de plus comme toujours, sera façonné par les saints, c’est-à-dire par des hommes dont l’esprit est plus profond que les slogans du jour, qui voient plus que ce que les autres voient, parce que leur vie embrasse une réalité plus large.

La générosité, qui rend les hommes libres, ne s’obtient que par la patience de petits actes quotidiens d’abnégation. Grâce à cette passion quotidienne, qui révèle à l’homme combien il est asservi par son ego, grâce à cette passion quotidienne et à elle seule, les yeux de l’homme s’ouvrent lentement.

L’homme ne voit que dans la mesure de ce qu’il a vécu et subi. Si aujourd’hui nous ne sommes plus très capables de prendre conscience de Dieu, c’est parce qu’il nous est très facile de nous échapper, de fuir les profondeurs de notre être à travers le sentiment narcotique de tel ou tel plaisir. De cette façon, nos profondeurs intérieures nous restent fermées. S’il est vrai qu’un homme ne peut voir qu’avec son cœur, alors combien nous sommes aveugles !


De quelle manière cela influe-t-il le problème que nous examinons ? Cela signifie que tout le discours de ceux qui prophétisent une Église sans Dieu et sans foi n’est que du bavardage inutile.


Nous n’avons pas besoin d’une Église qui célèbre le culte de l’action dans les prières politiques. Elle est entièrement superflue. Et donc elle va se détruire.

Ce qui restera sera l’Église de Jésus-Christ, l’Église qui croit au Dieu qui s’est fait homme et qui nous promet la vie après la mort. Le prêtre qui n’est qu’un travailleur social peut être remplacé par le psychothérapeute et d’autres spécialistes, mais le prêtre qui n’est pas un spécialiste, qui ne reste pas dans les tribunes à regarder le match, à donner des conseils officiels, mais qui se met au nom de Dieu à la disposition de l’homme, qui l’accompagne dans ses peines, dans ses joies, dans ses espoirs et dans ses craintes, un tel prêtre sera certainement nécessaire à l’avenir.

Faisons un pas de plus.

De la crise d’aujourd’hui émergera une Église qui aura beaucoup perdu. Elle deviendra petite et devra recommencer plus ou moins depuis le début. Elle ne pourra plus habiter nombre des bâtiments qu’elle avait construits dans la prospérité. Le nombre de ses fidèles diminuant, elle perdra également la plupart de ses privilèges sociaux. Contrairement à une période antérieure, elle sera davantage perçue comme une société volontaire, dans laquelle on n’entre que par libre décision. En tant que petite société, elle exigera beaucoup plus de l’initiative de ses membres individuels.

Elle découvrira sans doute de nouvelles formes de ministère et ordonnera au sacerdoce des chrétiens qui exercent une profession. Dans de nombreuses petites congrégations ou groupes sociaux autosuffisants, le service pastoral sera normalement assuré de cette manière.

Parallèlement, le ministère sacerdotal à plein temps sera indispensable, comme auparavant. Mais malgré tous ces changements que l’on peut supposer, l’Église retrouvera, avec toute son énergie, ce qui lui est essentiel, ce qui a toujours été son centre : la foi dans le Dieu trinitaire, en Jésus-Christ, le Fils de Dieu fait homme, dans l’assistance de l’Esprit, qui durera jusqu’à la fin. Elle repartira de petits groupes, de mouvements et d’une minorité qui remettra la foi et la prière au centre de l’expérience et qui revivra les sacrements comme un service divin et non comme un problème de structure liturgique.

Ce sera une Église plus spirituelle, qui ne s’arrogera pas un mandat politique en flirtant tantôt avec la gauche, tantôt avec la droite. Elle le fera avec difficulté. Le processus de cristallisation et de clarification la rendra pauvre, il en fera une Église des petites gens, le processus sera long et ardu, car il faudra éliminer l’étroitesse d’esprit sectaire et l’obstination pompeuse. On peut prédire que tout cela prendra du temps.

Le processus sera long et ardu, comme l’a été le chemin du faux progressisme à la veille de la Révolution française – où un évêque pouvait être considéré comme intelligent s’il se moquait du dogme et insinuait même que l’existence de Dieu n’était pas du tout certaine – jusqu’au renouveau du XIXe siècle.

Mais après l’épreuve de ces divisions, une grande force émergera d’une Église intériorisée et simplifiée.

Les hommes qui vivront dans un monde totalement programmé connaîtront une solitude indescriptible. S’ils auront complètement perdu le sens de Dieu, ils ressentiront toute l’horreur de leur pauvreté. Et ils découvriront alors la petite communauté des croyants comme quelque chose de totalement nouveau : ils la découvriront comme une espérance pour eux-mêmes, la réponse qu’ils avaient toujours cherchée en secret.


Il me semble certain que des temps très difficiles sont à venir pour l’Église. Sa véritable crise ne fait que commencer. Elle doit faire face à de grands bouleversements.

Mais je suis aussi très certain de ce qui restera à la fin : non pas l’Église du culte politique, qui est déjà morte, mais l’Église de la foi.

Il est certain qu’elle ne sera plus la force sociale dominante dans la mesure où elle l’était encore récemment. Mais l’Église connaîtra une nouvelle floraison et apparaîtra comme la maison de l’homme, où il peut trouver la vie et l’espérance au-delà de la mort ».


L’Église catholique survivra malgré les hommes et les femmes, pas nécessairement grâce à eux, et nous avons encore notre rôle à jouer. Nous devons prier et cultiver la générosité, l’abnégation, la fidélité, la dévotion sacramentelle et une vie centrée sur le Christ. »
(1969, père Joseph Ratzinger, radio allemande)

3 mars 2023

« L'évêque auxiliaire d'Astana, Athanasius Schneider, a accordé une interview à LifeSiteNews dans laquelle il a averti que les tendances actuelles dans l'Église catholique, en particulier le Synode sur la synodalité, sont "dangereuses" pour la foi catholique et sont des "poisons spirituels".

Comme le veut le prélat kazakh, il parlait avec force et sans détour. Schneider a toujours été particulièrement critique à l'égard de ce Synode et a averti que l'actuel Synode sur la synodalité est "un outil utilisé pour diluer de plus en plus la clarté de la foi catholique, comme nous l'observons, jetant de plus en plus de confusion et de confusion doctrinale dans la vie de la Église".

"C'est un abus flagrant de l'institution du synode, que l'Église a comprise depuis 2 000 ans", a-t-il déclaré.

Schneider a souligné qu'un synode bien ordonné a des prérogatives claires : « Le synode est un instrument du magistère, mais son premier objectif est de clarifier la doctrine sans équivoque, sans aucun doute ».

La deuxième tâche d'un synode devrait être de "repousser les erreurs de l'époque", mais Schneider a averti que les actions actuelles du synode permettent la propagation de "poisons, de poisons spirituels".

Un vrai synode devrait également traiter des questions "disciplinaires" pour fournir un "remède contre les abus", a-t-il déclaré.

Au lieu de cela, il a décrit le synode sur la synodalité comme semblable à un "parlement d'une manière mondaine", quelque chose qui "est contraire à toute l'histoire de l'Église et à toute la méthode de Dieu. C'est mondain, ce n'est même pas chrétien".

En outre, Mgr Schneider a souligné la particularité de l'attention de l'Église catholique à "l'écoute" plutôt qu'à l'enseignement. "Toute l'humanité doit écouter la voix du Christ, pas les autres", a-t-il déclaré. S'entendre plutôt que le Christ est "contre la révélation", a-t-il ajouté.
"C'est pourquoi le Christ n'a pas dit à tous les apôtres : 'Allez et écoutez toutes les nations', mais 'Allez, enseignez et instruisez ce que je vous ai enseigné'. C'est le message de l'Église : ne vous présentez pas, ne tenez pas de sessions parlementaires et n'écoutez pas les gens, mais proclamez la vérité, naturellement avec clarté et charité », a ajouté l'évêque auxiliaire d'Astana.

Tout en avertissant des dangers posés par de nombreux courants de pensée moderne dans l'Église catholique, Mgr Schneider a offert des encouragements aux catholiques sur la manière de préserver la foi. « Étudiez la foi catholique », a-t-il dit.
"Etudiez bien les anciens catéchismes où se trouve la foi immuable".

Il a mentionné certains textes post-conciliaires, tels que Humanae Vitae et Vertitatis Splendor, mais a surtout souligné que les catholiques doivent suivre les enseignements et les documents pré-conciliaires pour leur clarté.

L'évêque auxiliaire a également exhorté les catholiques à faire de la Sainte Eucharistie "le centre de leur vie". Il a encouragé à recevoir la Sainte Communion avec une grande révérence, à genoux et sur la langue "pour éviter tout danger de profanation ou de minimisation de la révérence".

En outre, Schneider, un fervent partisan de la liturgie traditionnelle de l'Église, a déclaré que rechercher la messe traditionnelle est un "geste d'amour" pour son prochain et un acte de "fidélité à la Sainte Mère l'Église".»

L’Église vit sa Passion.

Rappelons la dernière phrase de la prophétie des papes de St-Malachi :

« Dans la dernière persécution de la Sainte Église Romaine siégera Pierre le Romain qui fera paître ses brebis à travers de nombreuses tribulations; celles-ci terminées, la cité aux sept collines sera détruite ; et le Juge redoutable jugera son peuple. »

Plusieurs prophéties confirment que Rome sera détruit.

Et c’est peut-être là le mystère de la fin de la prophétie concernant Benoît XVI.

« devant la tombe du va-nu-pieds, éclatera le règne béni de la Très Sainte Vierge.
La terre détruira le ciment et de terre sera, Reine, ta nouvelle Église. Et sur la terre de blé, pour la faim de tes peuples, fleur sur son nouvel autel. »

Il est bien spécifié que c’est le point de départ du renouvellement pour la nouvelle terre.

Anne Catherine Emmerich spécifiait bien qu’il ne resterait pratiquement que l’Autel suite à la destruction.

Un peu comme cela nous a été annoncé par le feu à la cathédrale Notre-Dame de Paris où l’autel a été épargné.

Saint-Paul dans 2 Timothée 3 : 1-9 nous indique aussi la voie à suivre en cette fin des temps tout en affirmant que cette folie des apostats leur éclatera en plein visage.

« Sache que, dans les derniers jours, il viendra des temps difficiles. Car les hommes seront égoïstes, cupides, fanfarons, superbes, blasphémateurs, rebelles à leurs parents, ingrats, impies, sans affection, sans loyauté, calomniateurs, intempérants, cruels, ennemis des gens de bien, traîtres, insolents, enflés d'orgueil, amis des voluptés plus que de Dieu, ayant les dehors de la piété sans en avoir la réalité : éloigne-toi de cette sorte de gens.

Tels sont ceux qui s'insinuent dans les familles pour captiver des femmelettes chargées de péchés, travaillées de passions de toute espèce, qui toujours apprennent sans pouvoir jamais parvenir à la connaissance de la vérité.

Pareils à Jannès et à Jambrès qui s'opposèrent à Moïse, de même ces hommes, viciés d'esprit et pervertis dans la foi, s'opposent à la vérité.

Mais ils ne feront plus de progrès ; car leur folie éclatera aux yeux de tous, comme celle de ces deux hommes-là. »

C’est l’heure de la révélation et plusieurs seront très, très surpris.

Février 2023

25 février

« Traditionis Custodes: les évêques ont la terreur de parler


Alors que dans les paroisses, les fidèles simples et naïfs sont convaincus que François est le Pape de la miséricorde, ceux qui vivent chaque jour autour de Bergoglio ont un témoignage bien différent. C’est, une fois de plus, le grand pouvoir de la communication que le Pape a complètement asservi à lui-même.

En ce qui concerne le Motu Proprio « Traditionis Custodes » et le rescrit qui s’y rapporte aussi, il y a beaucoup à dire et le discours se fait très ample. Alors que François se dit miséricordieux et accueillant envers tous, il montre qu’il ne supporte absolument pas ceux qui célèbrent l’Eucharistie selon un rite qui lui est incompréhensible. De plus, le Pape ne s’est pas du tout demandé comment les fidèles vivent ce moment au sein de l’Eglise, où ils voient le Pape ne plus célébrer le Divin Sacrifice.

La perplexité est grande et les gens sont scandalisés. Ce n’est pas une question de « forme » mais de « fond ». Surtout ceux qui ont été habitués à voir Jean-Paul II, qui était vraiment malade et mourant, célébrer l’Eucharistie.

De nombreuses questions se posent donc lorsque le Pape choisit de se lever pour recevoir des personnes en audience ou pour échanger le signe de paix. Pendant l’épiclèse, il ne se lève pas, mais lorsqu’il doit donner la paix au célébrant, il le fait. S’il faut baiser les pieds du puissant du Sud Soudan, il se jette à terre, mais pendant la consécration il ne fait pas de génuflexion.

Oui, l’ambiguïté est la devise de ce pontificat. Nous l’avons vu à de nombreuses reprises. Ceux qui ont à cœur la figure du Pape continuent cependant à appeler les fidèles à l’obéissance et à la prière. En fait, il y a beaucoup de gens dans l’Église aujourd’hui qui font l’éloge du Pape et disent qu’ils sont obéissants parce qu’il est le Pape. Il suffirait cependant de faire un petit retour en arrière pour revenir en 2011, lorsque ces personnes insultaient le Pontife.

La question n’est pas du tout anodine, bien au contraire. Aimer Bergoglio est une chose, aimer le Pape en est une autre. Celui qui aime le Pape, l’aime quel qu’il soit. Celui qui aime Bergoglio en viendra bientôt à détester le Pape. Les journalistes, tous sans exception, sont des amoureux de Bergoglio et non du Pape.

Ceux qui aiment le successeur de Pierre, par contre, sont critiques précisément parce qu’ils se soucient du Pape et de l’Église. Cela, pourtant, ne plaît pas à François, car alors qu’il dit que les autres sont idéologiques, il montre qu’il est imprégné d’idéologie.
Nous l’avons vu lors de l’audience générale du mercredi 22 février 2023. François s’en est pris à ceux qui lui reprochent d’avoir choisi de signer le Rescriptum qui donne au Saint-Siège une compétence exclusive sur l’autorisation de célébrer selon le Vetus Ordo.

« Faites attention, a dit le pape a braccio, que l’Évangile n’est pas une idée, l’Évangile n’est pas une idéologie : l’Évangile est une proclamation qui touche votre cœur et vous fait changer de cœur, mais si vous vous réfugiez dans une idée, dans une idéologie qu’elle soit de droite ou de gauche ou du centre, vous faites de l’Évangile un parti politique, une idéologie, un club de personnes ».

Tous les collaborateurs de ce site participent à la célébration de l’Eucharistie selon le Missel de Saint Paul VI, et certains participent aussi aux célébrations Vetus Ordo. Personne n’a jamais songé à considérer un rite comme meilleur ou pire que l’autre. Diaboliser un rite ou, pire encore, les fidèles qui sont attachés à ce rite, n’est certainement pas une démonstration d’amour pour le peuple saint de Dieu.

François, lors de son voyage au Sud-Soudan, a dit aux évêques :

« J’ai dit ‘soyez miséricordieux’. La miséricorde. Pardonnez toujours. Quand un croyant vient se confesser, il vient demander le pardon, il vient demander la caresse du Père. Et nous, avec un doigt accusateur : ‘Combien de fois ? Et comment l’as-tu fait ?…’. Non, pas cela. Pardonnez. Toujours. ‘Mais je ne sais pas…, parce que le code [de droit canonique] me dit…’. Le code, nous devons le respecter, parce qu’il est important, mais le cœur du pasteur va plus loin ! Prends le risque. Pour le pardon, tu risques. Toujours. Pardonne toujours dans le sacrement de la réconciliation. Et ainsi tu sèmeras le pardon pour toute la société ».

Le Pape devrait nous expliquer pourquoi nous devons accueillir et pardonner une personne impénitente et qui n’a pas à cœur le salut de son âme, mais nous ne pouvons pas célébrer le Divin Sacrifice selon un rite qui appelle à la prière et au recueillement ?

À quoi servirait le sacrement de la réconciliation si nous absolvions tout le monde sans critères ? Ce serait une moquerie, pour nous et pour le pénitent lui-même. Le Pape dit : prenez des risques ! Je réponds: « Non, Votre Sainteté, je ne ‘risque’ pas mon âme et celle de mes pénitents, car il y va du salut ou de la damnation éternelle. Si je me tenais devant le Seigneur et que je disais que vous m’avez dit d’absoudre les impénitents, le Père éternel me demanderait un compte rendu de ce que j’ai médité dans l’Écriture ».

Il ne s’agit pas, comme François veut malheureusement nous le faire croire, d’être puritains. On ne refuse presque jamais l’absolution au confessionnal, mais quand c’est nécessaire, on doit le faire. Souvent, ce sont précisément les pénitents qui ont besoin de l’absolution.

Bien souvent, ce sont les pénitents eux-mêmes qui demandent à être accompagnés spirituellement. Bien sûr, il serait beaucoup plus simple d’absoudre, de quitter le confessionnal et de retourner à ses « affaires ». Mais ce n’est pas ce que l’on attend de nous. L’accompagnement spirituel est beaucoup plus « guérissant » que l’absolution donnée sans repentir. Notre tâche, en fait, est de sortir le fidèle de la situation de péché et non de l’y laisser.

Traditionis Custodes

Précisément parce que nous n’agissons pas par idéologie, il serait utile que le Pape commence à être transparent. On parle souvent de transparence, non ? Commençons maintenant.

François, dans sa Lettre aux évêques du monde pour présenter le Motu Proprio « Traditionis Custodes » sur l’usage de la liturgie romaine d’avant la Réforme de 1970 écrit :

« Les réponses reçues ont révélé une situation qui me chagrine et me préoccupe, confirmant la nécessité pour moi d’intervenir ».

Que ces réponses soient rendues publiques et puissent être consultées! Combien d’évêques ont signalé qu’il y avait des problèmes ? Quels étaient ces problèmes ? Qu’ont fait ces évêques pour corriger ces réalités qui niaient la validité du Concile?
Une confrontation avec plusieurs évêques montre que les lettres envoyées à Rome étaient tout à fait positives et non pas comme le prétend le Dicastère.

Il est clair que, si le travail est confié à Arthur Roche [le préfet du Culte divin] et Vittorio Viola [le secrétaire], la question n’est certainement pas traitée par des personnes « neutres » ou « libres » sur le sujet. Ce sont des personnes formées dans un athénée purement idéologique [l’Institut Saint-Anselme, très marqué à gauche]. Si vous ouvrez un dictionnaire et que vous cherchez « idéologie », vous trouverez une photo de Saint-Anselme.

L’intention de St Jean Paul II et de Benoît XVI était la communion. Avec Summorum Pontificum, Benoît XVI n’a pas agi avec l’intention de s’adresser à la Fraternité saint Pie X. Bien sûr, il l’a fait aussi pour cela, mais il a surtout été guidé par la volonté d’apporter la paix également au sein de l’Église catholique. Il existe de nombreux rites et personne n’a jamais offensé ou enlevé quelque chose à un autre. Où est le problème ? Le problème est uniquement idéologique. Le Pape qui dit accueillir tout le monde, devient ainsi une source de contradiction et chasse ceux qui célèbrent selon un rite qu’il ne conçoit pas.

Oui, parce que François ne comprend pas vraiment le vetus ordo. La messe [pour lui] doit être un moment de fête, où tous participent et l’aspect sacrificiel est supprimé. Lors de la célébration eucharistique du jeudi 23 février dans la basilique de Sainte-Sabine, le pape s’est déshabillé alors que le chant final n’était pas encore terminé. Il a retiré ses vêtements dans le presbytère, devant tous les fidèles. Il est monté dans son fauteuil roulant et a traversé toute la basilique.

Dans nos paroisses, nous passons beaucoup de temps à éduquer les fidèles au recueillement. Nous apprenons aux célébrants à rendre grâce et à ne pas enlever immédiatement leurs vêtements liturgiques. Et ensuite, ils allument la télévision et ils voient cela ? Quel exemple leur donnons-nous ? Croyons-nous en ce que nous professons ?

Tout cela est une source de scandale pour les fidèles. Le Christ n’est plus au centre, c’est le Pape qui l’est. Ce narratif est le moteur du pontificat de François depuis dix ans: « L’Église est laide et mauvaise, je l’ai améliorée », « les prêtres sont mauvais, les évêques désobéissants et moi pas ».

Les évêques sont terrifiés

Nous ne voulons certainement pas minimiser la question liturgique, mais l’attitude utilisée par François avec l’ancienne messe est utilisée avec d’autres questions de gouvernance. Il suffit de penser au Motu Proprio Mitis Iudex Dominus Iesus concernant les causes de nullité matrimoniale. Quand François a vu que sa réforme n’était pas mise en œuvre, il a immédiatement nommé ceux qui devaient superviser et intervenir pour s’assurer qu’elle se déroule selon sa volonté.

Quand Benoît XVI a publié le Motu Proprio Summorum Pontificum en 2007, l’épiscopat n’a eu aucun problème à intervenir pour dire au Pape qu’il n’était pas d’accord. Les positions étaient diverses et n’étaient en aucun cas voilées ou cachées. L’évêque de Sora-Aquino-Pontecorvo, heureusement devenu émérite, Luca Brandolini, a déclaré : « C’est un jour de deuil, non seulement pour moi, mais aussi pour tous ceux qui ont vécu et travaillé pour le Concile Vatican II ».

Benoît XVI n’avait en aucun cas éliminé le novus ordo, mais avait ouvert et donné plus de possibilités. Brandolini, qui ne jouit pas d’une grande intelligence, a oublié que Ratzinger a vécu lui-même le Concile œcuménique et l’intention des Pères du Concile.

Alessandro Plotti, le grand promoteur des pires épiscopats toscans à l’époque de Jean-Paul II, a même déclaré que, malgré le Motu Proprio, dans l’archidiocèse de Pise, les prêtres devaient encore demander la permission à l’évêque. Que reste-t-il de ces évêques ? Seulement leur idéologie et ses fruits, des diocèses qui ont des séminaires vides et qui se dirigent vers l’abîme.

L’évêque Sebastiano Dho parlait d’une Église parallèle. Et l’évêque de Côme, qui nous a montré aujourd’hui sa diligence dans les cas d’abus, a pris la peine de dire que nous devons être prudents. Pour la Messe ancienne prudence, pour lancer des enquêtes contre les abuseurs, non. Ce sont les mêmes évêques qui reçoivent les journalistes dans leur salon en survêtement.

A juste titre, certains fidèles disent : « Mais pourquoi les évêques ne disent-ils rien aujourd’hui ? ».

Nous aussi, nous nous posons cette question depuis un certain temps. Il faut beaucoup de courage, car Plotti, Coletti, Brandolini, Dho, etc. sont restés dans leurs diocèses et ont continué à vivre paisiblement. Benoît XVI n’a jamais mis personne à la porte, même lorsqu’ils le critiquaient de manière aussi mesquine. François, en revanche, a mis à la porte ses proches collaborateurs pour bien moins que cela. Les exemples sont nombreux. L’un d’eux est le bon archevêque Jorge Carlos Patrón Wong. Le prélat mexicain s’est toujours distingué par son humanité, même envers de nombreux séminaristes qui avaient des difficultés financières ou familiales. Bergoglio l’a convoqué en novembre 2021 et lui a dit : « Merci pour ton travail, très bien, mais maintenant j’ai besoin de toi à Jalapa ». L’évêque a pâli et a été surpris. « Très bien Votre Sainteté, le temps de terminer le semestre et je retourne au Mexique », lui a-t-il dit. Le pape a pris un air sombre et a dit : « Non, non. Maintenant ! À Noël, tu dois y aller ! » Le jour de la fête de l’Immaculée Conception, il lui a fait publier la nomination et l’a renvoyé au Mexique. Les raisons ? Aucune. Même ici, au Vatican, le prélat était très aimé et a laissé un très bon souvenir. Mais le système est celui du provincial jésuite : « Je commande, tu obéis ». Et, comme un bon provincial, François veut tout savoir sur tout le monde.

Si tel est le système, les évêques disent à juste titre : « Qui m’oblige à le faire? Le pape te dit de le corriger en face, mais ensuite il t’expédie au Kenya. Ou pas ». » (benoit-et-moi.fr)

22 février

La date du 3 avril risque de passer à l'histoire comme étant celle de la mort des deux témoins, car le Vatican s'apprêterait à éradiquer la messe traditionnelle et tout ce qui lui est reliée, comme les ordinations et les sacrements.

« Le pape révise une nouvelle Constitution apostolique pour renforcer Traditionis Custodes
(Diane Montagna par The Remnant)

Le Remnant  a appris qu'un document du Vatican est actuellement en cours d'examen par le pape François et élargirait et renforcerait son  Motu Proprio Traditionis Custodes  2021, et affirme que la seule liturgie officielle du rite latin est le Novus Ordo et réglementerait rigoureusement les anciennes communautés Ecclesia Dei.

Des sources vaticanes bien informées ont confirmé à  The Remnant, qui avait annoncé avec précision Traditionis Custodes avant sa publication en 2021, que le projet de document, sous la forme d'une constitution apostolique, a été présenté au pape François fin janvier par les supérieurs du Dicastère pour le culte divin et la discipline des sacrements, dirigés par le cardinal Arthur Roche.

Le document aurait été rédigé par des fonctionnaires du Dicastère, sous la direction de son secrétaire, Mgr Vittorio Francesco Viola, OFM, en collaboration avec au moins un consultant du Bureau des célébrations liturgiques du Vatican.

Alors que Traditionis Custodes  vise principalement à contrer la diffusion de la messe latine traditionnelle et des sacrements au sein du clergé diocésain, ce nouveau document porterait un coup particulièrement dur aux anciennes communautés Ecclesia Dei en interdisant les ordinations diaconales et sacerdotales dans le Vetus Ordo, interdisant l'administration d'autres sacrements aux fidèles et exigeant la concélébration de tous les prêtres, y compris les membres de ces instituts.

L'interdiction des messes dominicales dans le Vetus Ordo serait également en discussion .

The Remnant  a également appris qu'un cardinal italien nommé en 2022 tente de persuader le pape François de promulguer une constitution apostolique alternative, qui à première vue peut sembler moins dure mais qui est en réalité pire, cherchant à enterrer une fois pour toutes la liturgie latine traditionnelle.

Ce second brouillon ne mentionnerait jamais le Vetus Ordo, mais célébrerait plutôt le 54e anniversaire de la promulgation de la constitution apostolique de Paul VI dans le Nouveau Missel romain (3 avril 1969), donnant comme date probable de sa publication le lundi de la Semaine Sainte [ 3 avril  2023 ndt] .

Selon certaines sources, le document relate les "bénédictions" de la réforme liturgique de Paul VI et les "fruits abondants" qu'elle a produits dans l'Église, et cherche à "la couronner et la compléter" en déclarant que, désormais, le seul rite officiel de l'Église latine est le Missel romain de Paul VI, le  Novus Ordo .

Sans jamais dire un mot du Vetus Ordo, cette seconde option ferait avancer tout ce qui est contenu dans la première par les conséquences qu'elle implique.

Cela donnerait aux évêques qui sont hostiles à la liturgie traditionnelle - ou qui sont prêts à la sacrifier pour ce qu'ils considèrent comme le plus grand bien - la clé pour l'éradiquer de leurs diocèses. Et cela renforcerait les efforts du cardinal Arthur Roche pour forcer les évêques "inclusifs" à appliquer son interprétation de Traditionis Custodes, après des tentatives répétées de le faire d'une manière considérée par les canonistes comme contraire au droit de l'Église.

Mais à ce stade, il n'y a rien de définitif, nous dit-on, et il y a une résistance considérable de la part des membres de la Curie romaine, qui croient que la promulgation par le pape François de l'une des deux constitutions apostoliques enverrait l'Église dans des eaux inconnues, blessant davantage le Corps mystique du Christ et être considéré (par les catholiques et les non-catholiques) comme un acte cruel et diviseur.

Elle serait également interprétée par les cardinaux, les évêques, les prêtres, les religieux et les laïcs comme une répudiation totale de l'héritage du pape Benoît XVI quelques mois après sa mort. »

Cette date choisie juste après le dimanche des rameaux 2023 n'est pas une coïncidence (en plus de célébrer l'application du Novus Ordo de Paul VI de 1969).

Surtout par rapport à la mort et la résurrection des témoins de l'Apocalypse en référence à la Semaine Sainte.

Il y a un cri de triomphe à l'horizon pour l'ennemi.

Nous n'aurons pas beaucoup à attendre pour être nous-mêmes témoins de cette rumeur.

N'oublions pas que la dernière partie de la prophétie concernant Benoît XVI avec l'intervention de la Vierge Marie devant le tombeau du saint aux pieds nus (voir analyses précédentes) n'a pas encore eu lieu.

Et c'est bien l'héritage de Benoît XVI qu'on essait d'enterrer en annulant SUMMORUM PONTIFICUM de 2007.

21 février

Point de vue de Mgr Vigano sur le fait que le FBI fiche les chrétiens catholiques traditionnels.

« Le FBI dresse le profil des catholiques traditionalistes. Vigano : Et beaucoup dorment...

Le totem de la liberté de culte permet aux adorateurs de Satan d'ériger un monument blasphématoire à Baphomet devant le Capitole de l'État de l'Arkansas à Little Rock ou une statue de démon sur la façade du palais de justice de New York pour célébrer un juge avorteur de la Cour suprême ; tandis qu'au Nouveau- Mexique, le temple satanique inaugure une clinique qui pratique des avortements rituels et bénéficie de la reconnaissance de l'État. Pendant ce temps, les services secrets de l'administration Biden n'ont rien de mieux à faire que de dresser le profil des catholiques traditionnels et de surveiller les communautés dans lesquelles la liturgie est célébrée en latin, comme si elles représentaient une menace pour l'ordre établi et un danger potentiel pour le institutions de l'État.

Cette nouvelle doit être lue, à mon avis, comme une conséquence logique et nécessaire d'un autre événement analogue et similaire : le culte idolâtre rendu par les chefs de la hiérarchie catholique au démon de la Pachamama dans la Basilique Saint-Pierre et dans d'autres églises catholiques. , et la persécution simultanée des catholiques traditionnels par l'autorité ecclésiastique avec le Motu Proprio Traditionis Custodes et avec ses nouvelles restrictions, qui seraient imminentes.

Cette opération de criminalisation de la dissidence de la part du pouvoir temporel et spirituel n'est pas fortuite et devrait susciter une condamnation très ferme et une opposition décisive, tant de la part des citoyens et de leurs représentants dans les institutions civiles, que des fidèles et surtout de leurs pasteurs ; une condamnation qui ne peut se limiter à cet épisode récent, très grave en lui-même, mais qui doit aussi s'étendre à l'inquiétante conspiration de parties déviées de l'Etat collaborant avec des parties déviées de l'Eglise : d'une part l' état profond et de l'autre l' église profonde, tous deux corrompus et soumis à l'élite mondialiste, avec des objectifs subversifs dont les bases idéologiques sont unies par la haine du Christ, de l'Église et de la Sainte Messe.

Comme je l'ai expliqué dans mon allocution La religion d'État ( ici ), il est évident que la séparation de l'Église et de l'État et la prétendue "laïcité" du gouvernement temporel en ce qui concerne les questions religieuses constituent le prétexte trompeur et malveillant avec lequel exclure Dieu de la société pour laisser entrer Satan.

La Révolution a subverti l'ordre social en renversant ses principes et ses fins, mais elle a maintenu et exploité à son profit cette alliance du Trône et de l'Autel, c'est-à-dire du pouvoir temporel et du pouvoir spirituel, qui caractérisait la société chrétienne, et en particulier les monarchies catholiques. Ceux qui accusent l' ancien régime de la tyrannie n'ont jamais eu l'intention d'abolir, par exemple, la censure des médias au nom de la liberté d'opinion : ils ont simplement voulu se l'approprier dans un but opposé, afin de censurer la vérité et propager l'erreur. Ceux qui critiquaient le pouvoir temporel des Papes ne voulaient pas empêcher l'ingérence de l'Église dans les affaires publiques, mais se l'approprier – comme on le voit aujourd'hui – afin d'utiliser l'autorité et le pouvoir de la Papauté pour démolir l'Église et soutenir les exigences du Nouvel Ordre Mondial. Le « dogmatisme » qui s'opposait à Pie IX ou Pie XII parce qu'il s'opposait à la pensée moderne a évolué et s'est perverti dans le dogmatisme œcuménique et synodal de Vatican II et de Bergoglio, démontrant que la question était spécieuse, ne se concentrant pas sur les moyens mais à la fin.Ainsi, aujourd'hui, nous ne sommes pas surpris par l'autoritarisme avec lequel l'État impose des contrôles et des limitations aux libertés fondamentales - qui jusqu'à hier étaient exécrées comme une expression du totalitarisme nazi - ni par l'autoritarisme avec lequel la Hiérarchie soutient l'idéologie mondialiste et collabore avec des gouvernements inféodés. au Forum économique mondial et à l' Agenda 2030 .

Si nous continuons à croire qu'il est possible d'adopter une attitude de prétendue « neutralité » gouvernementale face à la question de la religion, nous condamnons notre civilisation à l'extinction, car nous nions cette lutte entre le Bien et le Mal qui fait partie de l'histoire de l'humanité et du destin éternel des individus. Nul ne peut servir deux maîtres , nous enseigne Notre-Seigneur dans l’Évangile (Mt 6,24) ; nous ne pouvons pas non plus décider de ne servir ni l'un ni l'autre lorsque nous sommes confrontés à un affrontement où notre neutralité est déjà en elle-même une aide à l'Ennemi. Et ici, il faut se demander quelle responsabilité assument les politiciens et les prélats qui restent inertes à veiller, se bornant à déplorer les excès du Mal et non ses causes. Insister pour sauver à tout prix la laïcité de l'État, alors qu'ils'est avéré être une chimère illusoire utilisée pour le détruire depuis ses fondements, ou s'acharner à défendre Vatican II alors que l'on constate son échec retentissant et les dommages incalculables causés à l'Église, est un pis-aller de ceux qui considèrent leur rôle de gouvernants et de pasteurs comme exclusivement celui de se contenter de protéger les institutions qu'ils représentent, refusant de saisir leurs graves infidélités et excluant ainsi la possibilité d'en faire profiter les citoyens et les fidèles. Un médecin est appelé à soigner le patient, à ne pas se limiter à diagnostiquer la maladie ou même à la dissimuler simplement parce qu'il ne veut pas admettre que les autorités sanitaires sont corrompues, ou parce qu'il n'ose pas désobéir à des ordres déraisonnables et faire face les conséquences.

Ce à quoi nous assistons à ce stade crucial, c'est à la disparition des prétextes qui servaient jusqu'ici à justifier les « acquis sociaux » - démocratie, liberté d'opinion et de culte, respect des minorités, etc. - et en même temps à la manifestation arrogante des véritables mobiles de l'élite criminelle qui usurpe l'autorité dans l'État et dans l'Église : l'inconciliabilité entre, d'une part, le modèle chrétien de société dans lequel Notre-Seigneur Jésus-Christ règne dans les sphères civile et religieuse pour nous conduire librement faire le Bien et ainsi nous faire participer à la béatitude éternelle, et d'autre part le modèle de société dystopique où la tyrannie de Satan impose le chaos et la rébellion pour nous contraindre, en violant notre liberté, à faire le mal et nous damner pour l'éternité.

Le profilage des catholiques traditionnels par les services de renseignement n'apparaît injustifié que si l'on suppose à tort que les dirigeants actuels poursuivent le bien commun et la sécurité de la nation ; mais elle est amplement justifiée lorsqu'elles ont pour but l'imposition d'un culte mondialiste, intrinsèquement antichristique et inconciliable avec la foi chrétienne. En même temps, la persécution des fidèles liés à la liturgie tridentine par la hiérarchie catholique n'est inouïe et impensable que si l'on s'obstine à présupposer chez les pasteurs le zèle pour la gloire de Dieu et pour le salut des âmes. Si on les voit pour ce qu'ils sont vraiment, à savoir des loups déguisés en brebis ou des mercenaires, leur aversion pour la messe apostolique est plus que compréhensible, et il serait d'ailleurs étonnant qu'ils ne le manifestent avec tant de fureur. En un sens, nous constituons à leurs yeux le « groupe témoin » des non-vaccinés aux côtés de la multitude de ceux qui ont été inoculés avec le sérum génique.

C'est vrai : nous, catholiques, sommes une menace pour ceux qui veulent un monde rebelle à Dieu et une « Église synodale » soumise à l'esprit de ce monde. Les Martyrs témoignent de l'héroïsme de la présence du prénom dans la société, un héroïsme face aux tourments et à la mort infligés à ceux qu'une autorité pervertie considère comme des ennemis parce qu'elle connaît et craint leur exemple, et surtout la puissance explosive de l'Évangile.

Si nous comprenons qu'il n'y a pas de troisième voie - aucune sorte de synthèse qui combine la thèse du Bien et l' antithèse du Mal - et que nous devons choisir de quel côté nous battre - comme l'ont fait les méchants - nous aurons une chance de résistance et victoire. Vous êtes le sel de la terre (Mt 5:13). Demander la tolérance dans un monde malade ne nous préserve pas de la contagion, mais ne sert qu'à retarder notre annulation, nous prive de saveur et nous destine à être piétinés par les hommes.

+ Carlo Maria Viganò, archevêque »

19 février

La nouvelle religion mondiale est pratiquement partout.

Seuls les chrétiens traditionnels catholiques et quelques autres éclairés par l'Esprit-Saint sont conscients de l'état actuel dans lequel nous nous trouvons sur cette terre.

Car la vie est spirituelle. La vie est Esprit.

Et l'illusion est de nous faire croire que l'humain se sauvera lui-même grâce à ses facultés.

Lire ici, l'élite se sauvera, le reste sera sacrifié.

D'où la nécessité de la guerre pour justifier le nouvel ordre à venir,

D'où la nécessité d'un synode pour aplanir les obstacles vers la nouvelle religion mondiale du côté du Vatican.

Nous approchons de la fin. Nous sommes très proches de la mort des deux témoins.

Le 7ème sceau n'est pas très loin.

« La société moderne est en train de formuler une foi antichristique, à laquelle on ne peut s’opposer sans être puni par l’excommunication sociale. Il est donc plus que naturel d’avoir peur de cette force spirituelle de l’Antéchrist, et il faut vraiment l’aide de la prière d’un diocèse entier, et de l’Église universelle pour y opposer de la résistance.» (Benoît XVI)

« Voici donc le «Mensonge des Mensonges»! Voici «l'Abomination des Abominations»! Les faux chrétiens étant à la tête de la nouvelle église mondiale; et prétendant être les seuls et uniques représentants de Jésus-Christ d'un côté; de l'autre, les vrais et réels disciples de Jésus-Christ sur la route du Calvaire considérés comme étant les ennemies de l'État Mondial tel que cela était le cas, il y a deux milles ans, en face des prêtres de Jérusalem, et en face de l'empereur romain à Rome...

Le nouveau critère sera ainsi défini : Les vrais chrétiens seront ceux qui partageront toutes les croyances religieuses du Nouvel Ordre Mondial en tant que nécessité de base pour la survie de l’humanité. » (Serge Monast, Le Complot des Nations-Unies contre la Chrétienté,1995; voir aussi 29 juillet 2021)

Dernière intervention de Mgr Vigano:

« Dans une intéressante interview sur Fox News intitulée The Church of Environmentalism ( ici ), le journaliste Tucker Carlson a mis en lumière une contradiction qui a peut-être échappé à beaucoup de gens mais que je considère extrêmement révélatrice.
Carlson rappelle que la Constitution américaine interdit toute religion d’État, mais depuis quelque temps le parti démocrate au pouvoir impose au peuple américain le culte mondialiste, avec son agenda vert, ses dogmes éveillés, ses condamnations et sa culture d’annulation, ses prêtres de la Santé mondiale Organisation, les prophètes du Forum économique mondial. Une religion à tous égards, englobant non seulement la vie des individus qui la pratiquent, mais aussi la vie de la nation qui la confesse publiquement, y adapte les lois et les peines et inspire l’éducation et toute action gouvernementale autour d’elle .

Au nom de la religion globaliste, ses adhérents exigent que tous les citoyens se comportent conformément à la morale du Nouvel Ordre Mondial, acceptant sans critique – et avec une attitude de soumission dévote à l’autorité religieuse – la doctrine définie ex cathedra par le Sanhédrin de Davos .

Les citoyens ne sont pas simplement tenus de partager les motivations qui justifient les politiques sanitaires, économiques ou sociales imposées par les gouvernements, mais de donner leur assentiment aveugle et irrationnel, qui va bien au-delà de la foi. Pour cette raison, il n’est pas permis de contester la psychopandémie, de critiquer la gestion de la campagne de vaccination, d’argumenter le non-fondé des alarmes climatiques, d’opposer les preuves de la provocation de l’OTAN à la Fédération de Russie avec la crise ukrainienne, de demander des enquêtes sur l’ordinateur portable de Hunter Biden ou la fraude électorale qui a empêché le président Trump de rester à la Maison Blanche, ou refuse de rester là alors que les enfants sont corrompus par des obscénités LGBTQ.

Après trois ans de folies incompréhensibles pour un esprit rationnel mais amplement justifiables dans une perspective de fidéisme aveugle, la proposition formulée par une clinique américaine de demander aux patients de renoncer à une partie de leur anesthésie afin de réduire leur trace de gaz carbonique et « sauver planète » ( ici) ne doit donc pas être lu comme un prétexte grotesque pour réduire les dépenses hospitalières au détriment des patients, mais comme un acte religieux, une pénitence à accepter de bon gré, un acte éthiquement méritoire. Le caractère pénitentiel est indispensable dans cette opération de conversion forcée des masses, car il contrebalance l’absurdité de l’action par la récompense d’un bien promis : portant le masque (qui ne sert à rien) le citoyen/religieux adhérent a fait son propre geste de soumission, s’est « offert » à la divinité (l’État ? la communauté ?). Une soumission confirmée avec l’acte tout aussi public de vaccination, qui représentait une sorte de « baptême » dans la foi mondialiste, l’initiation au culte.

Les grands prêtres de cette religion en sont même arrivés à théoriser le sacrifice humain par le biais de l’avortement et de l’euthanasie : un sacrifice exigé par le bien commun, pour ne pas surpeupler la planète, peser sur la santé publique ou sur la sécurité sociale. Même les mutilations subies par ceux qui professent la doctrine du genre et la privation des facultés reproductives induite par l’homosexualité ne sont rien d’autre que des formes de sacrifice et d’immolation de soi : de son corps, de sa santé, y compris de sa vie (recevoir, par exemple, un thérapie génique expérimentale manifestement dangereuse et souvent mortelle).

L’adhésion au mondialisme n’est pas facultative : c’est la religion d’État, et l’État « tolère » les non-pratiquants dans la mesure où leur présence n’empêche pas la société d’exercer ce culte. En effet, dans sa présomption d’être légitimé par des principes « éthiques » pour imposer aux citoyens ce qui représente un « bien » supérieur incontestable, l’État oblige aussi les dissidents à accomplir les actes élémentaires de la « morale mondialiste », les punissant s’ils ne se conforment pas aux ses préceptes.

Manger des insectes et non de la viande, s’injecter des drogues au lieu de mener une vie saine ; utiliser l’électricité au lieu de l’essence; renoncer à la propriété privée et à la liberté de mouvement ; contrôles et limitations durables des droits fondamentaux ; accepter les pires déviations morales et sexuelles au nom de la liberté ; renoncer à la famille pour vivre isolé, sans rien hériter du passé et sans rien transmettre à la postérité ; effacer son identité au nom du politiquement correct ; renier la foi chrétienne pour embrasser des superstitions; conditionner son travail et sa subsistance au respect de règles absurdes – autant d’éléments destinés à faire partie de la vie quotidienne de l’individu, une vie basée sur un modèle idéologique dont, à bien y regarder, personne ne veut et que personne n’a demandé, et qui ne justifie son existence qu’avec le croque-mitaine d’une apocalypse écologique non prouvée et indémontrable.

Cela viole non seulement la liberté de religion tant vantée sur laquelle cette société est fondée, mais veut nous conduire pas à pas, inexorablement, jusqu’à rendre ce culte exclusif, le seul autorisé.

L’« église de l’environnementalisme » se définit comme inclusive mais ne tolère pas la dissidence, et elle n’accepte pas de s’engager dialectiquement avec ceux qui remettent en question ses diktats. Ceux qui n’acceptent pas l’anti-Évangile de Davos sont ipso facto hérétiques et doivent donc être punis, excommuniés, séparés du corps social et considérés comme des ennemis publics ; il faut les rééduquer par la force, à la fois par un martèlement incessant des médias mais aussi par l’imposition d’une stigmatisation sociale et de formes de consentement véritablement extorsionnaires, à commencer par le consentement « éclairé » de se soumettre contre leur gré à l’obligation de vaccination et se poursuivant dans la folie de la soi-disant « cité des 15 minutes », qui est d’ailleurs anticipée en détail dans les points programmatiques de l’Agenda 2030 (qui sont finalement des canons dogmatiques contraires).

Le problème avec ce phénomène inquiétant de superstition de masse, c’est que cette religion d’État ne s’est pas imposée de facto uniquement aux États-Unis d’Amérique, mais qu’elle s’est également propagée à toutes les nations du monde occidental, dont les dirigeants se sont convertis au mondialisme ». Parole » par le grand apôtre de la Grande Réinitialisation, Klaus Schwab, son « pape » autoproclamé qui est donc investi d’une autorité infaillible et incontestable. Et comme dans l’ Annuario Pontificion peut lire la liste des cardinaux, évêques et prélats de la curie romaine et des diocèses répartis dans le monde, ainsi sur le site du Forum économique mondial on trouve la liste des «prélats» du mondialisme, de Justin Trudeau à Emmanuel Macron, en découvrant que non seulement les présidents et premiers ministres de nombreux États appartiennent à cette « église », mais aussi de nombreux responsables, chefs d’organismes internationaux et de grandes entreprises multinationales, et membres des médias. A ceux-ci, il faut aussi ajouter les « prédicateurs » et les « missionnaires » qui œuvrent pour la diffusion de la foi mondialiste : acteurs, chanteurs, influenceurs, sportifs, intellectuels, médecins, enseignants. Un réseau très puissant, très organisé, répandu non seulement au sommet des institutions, mais aussi dans les universités et les tribunaux, dans les entreprises et les hôpitaux.

Il est déconcertant – vous devez l’admettre – que dans le nombre de convertis à la religion universelle on puisse aussi compter des représentants des religions du monde, et parmi eux même Jorge Mario Bergoglio – que les catholiques considèrent aussi comme le chef de l’Église de Rome – avec toutes les lâchetés des ecclésiastiques qui lui sont fidèles. L’apostasie de la hiérarchie catholique a atteint le point d’adorer l’idole de la Pachamama, la « Terre mère », personnification démoniaque du mondialisme « amazonien » œcuménique, inclusif et durable. Mais n’est-ce pas Jean Podesta lui-même qui a prôné l’avènement d’un « printemps de l’Église » qui remplacerait sa doctrine par une vague sentimentalité écologiste, trouvant la prompte réalisation de ses espoirs dans l’action coordonnée qui a conduit à la démission de Benoît XVI et de la élection de Bergoglio?

Ce à quoi nous assistons n'est rien d'autre que l'application inverse du processus qui a conduit à la diffusion du christianisme dans l'Empire romain puis dans le monde, une sorte de revanche de la barbarie et du paganisme sur la Foi du Christ. Ce que Julien l'Apostat a tenté de faire au IVe siècle, c'est-à-dire restaurer le culte des dieux païens, est aujourd'hui poursuivi avec zèle par de nouveaux apostats, tous unis par une « fureur sacrée » qui les rend aussi dangereux que convaincus de l'être, capables de réussir dans leurs intentions grâce aux moyens infinis dont ils disposent.

En réalité, cette religion n’est rien d’autre qu’une incarnation moderne du culte de Lucifer : la récente performance satanique aux Grammy Awards parrainée par Pfizer n’est que la dernière confirmation d’une adhésion à un monde infernal jusqu’alors passé sous silence parce qu’il était encore considéré comme inavouable. Ce n’est pas un mystère que les idéologues de la pensée mondialiste soient tous indistinctement anti-chrétiens et anticléricaux, significativement hostiles à la morale chrétienne, ostensiblement opposés à la civilisation et à la culture que l’Évangile a façonnées en deux mille ans d’histoire. Non seulement cela: la haine inextinguible envers la vie et envers tout ce qui est l’œuvre du Créateur – de l’homme à la nature – révèle la tentative (presque réussie, bien que délirante) de trafiquer l’ordre de la Création, de modifier les plantes et les animaux, changer l’ADN humain même par des interventions de bio-ingénierie, priver l’homme de son individualité et de son libre arbitre, le rendant contrôlable et même maniable par le transhumanisme. Au fond de tout cela, il y a la haine de Dieu et l’envie du sort surnaturel qu’Il a réservé aux hommes en les rachetant du péché par le Sacrifice de la Croix de Son Fils.

Cette haine satanique s’exprime dans la volonté de rendre impossible aux chrétiens de pratiquer leur religion, de voir ses principes respectés, de pouvoir apporter leur contribution à la société et, en définitive, dans la volonté de les inciter à faire le mal, ou à moins pour s’assurer qu’ils ne peuvent pas faire le bien, encore moins le répandre ; et s’ils le font, de déformer leurs motivations originelles (amour de Dieu et du prochain) en les pervertissant à de pitoyables fins philanthropiques ou écologistes.

Tous les préceptes de la religion mondialiste sont une contrefaçon des Dix Commandements, leur inversion grotesque, un renversement obscène. En pratique, ils utilisent les mêmes moyens que l’Église a utilisés pour l’évangélisation, mais dans le but de damner les âmes et de les soumettre non pas à la Loi de Dieu, mais à la tyrannie du diable, sous le contrôle inquisiteur de l’anti-église de Satan. Dans cette perspective, les services secrets américains font également état de groupes de fidèles catholiques traditionnels, confirmant que l’inimitié entre la semence de la Femme et celle du serpent (Gn 3,15) est une réalité théologique à laquelle croient les ennemis de Dieu. surtout, et que l’un des signes de la fin des temps est précisément l’abolition du Saint Sacrifice et la présence de l’abomination de la désolation dans le temple (Dn 9, 27).

Église profonde et état profond, révélant la matrice essentiellement luciférienne des deux : parce que tous deux savent très bien quelles sont les grâces infinies qui se déversent sur l’Église et sur le monde à travers cette messe, et ils veulent empêcher que ces grâces soient données afin que ils n’entravent pas leurs plans. Ils nous le montrent eux-mêmes : notre combat n’est pas seulement contre des créatures de chair et de sang (Eph 6, 12).

L’observation de Tucker Carlson met en lumière la tromperie dont nous font quotidiennement l’objet nos gouvernants : l’imposition théorique de la laïcité de l’État a servi à éliminer la présence du vrai Dieu des institutions, tandis que l’imposition pratique de la religion mondialiste sert à introduire Satan dans les institutions, dans le but d’établir ce nouvel ordre mondial dystopique dans lequel l’Antéchrist prétendra être vénéré comme un dieu, dans son délire fou pour remplacer Notre-Seigneur.

Les avertissements du livre de l’Apocalypse prennent de plus en plus de concrétisation, plus le plan procède pour soumettre tous les hommes à un contrôle qui empêche toute possibilité de désobéissance et de résistance : ce n’est que maintenant que nous comprenons ce que signifie ne pas pouvoir acheter ou vendre sans le laissez-passer vert, qui n’est rien sinon la version technologique de la marque au chiffre de la Bête (Ap 13:17).

Mais si tout le monde n’est pas encore prêt à reconnaître l’erreur d’avoir abandonné le Christ au nom d’une liberté corrompue et trompeuse qui a caché des intentions indicibles, je crois qu’aujourd’hui beaucoup sont prêts – psychologiquement, avant même rationnellement – à prendre acte du coup d’état avec lequel un lobby de fanatiques dangereux parvient à prendre le pouvoir aux États-Unis et dans le monde, décidé à tout faire, même les plus téméraires, pour le maintenir.

Par un détour de la Providence, la laïcité de l’État – qui en soi offense Dieu parce qu’elle lui dénie le culte public dont il est souverain – pourrait être l’argument pour mettre un terme au projet subversif de la Grande Réinitialisation. Si les Américains – et avec eux les peuples du monde entier – peuvent se révolter contre cette conversion forcée, exigeant que les représentants des citoyens aux postes de gouvernement rendent des comptes aux détenteurs de la souveraineté nationale et non aux dirigeants du Sanhédrin mondialiste, il sera peut-être possible d’arrêter cette course vers l’abîme. Mais pour cela, il faut avoir conscience que ce ne sera qu’une première étape dans le processus de libération de ce lobby infernal.

Depuis trop longtemps citoyens et fidèles subissent passivement les décisions de leurs responsables politiques et religieux face à l’évidence de leur trahison. Le respect de l’autorité se fonde sur la reconnaissance d’un fait « théologique », c’est-à-dire de la Seigneurie de Jésus-Christ sur les individus, les nations et l’Église. Si les autorités de l’État et de l’Église agissent contre les citoyens et les fidèles, leur pouvoir est usurpé et leur autorité nulle et non avenue. N’oublions pas que les gouvernants ne sont pas les propriétaires de l’État et les maîtres des citoyens, de même que le Pape et les évêques ne sont pas les propriétaires de l’Église et les maîtres des fidèles. S’ils ne veulent pas être comme des pères pour nous; s’ils ne veulent pas notre bien et font tout pour nous corrompre de corps et d’esprit,

+ Carlo Maria Viganò, archevêque »

14 février

LE GERME DE LA RÉSURRECTION

Le germe de la résurrection de l’Église réside dans la tradition et Rome via Bergoglio fait tout pour « tuer » ce germe, dont une manœuvre majeure prévue le 3 avril sur la messe et les sacrements dans le rite traditionnel semble-t-il, soit au tout début de la semaine sainte 2023.

C’est la même date choisit par Paul VI pour imposer la nouvelle messe de 1969.

Pourquoi en est-il ainsi?

On s’en doute. Évidement parce que Satan agit via Bergoglio à la tête de l’église, mais un sondage américain vient de démontrer que ceux qui ne jurent que par la messe traditionnelle sont les mêmes qui sont contre le contre nature, l’inversion des valeurs de la nouvelle société humaniste.

Donc, la tradition risque de faire échouer leurs plans et on doit les coincer dans le coin.

Rappelons qu’en 2001 Bush avait fait inscrire sur la liste des terroristes possibles les chrétiens.

Rappelons aussi ce rapport des Nations Unies de 2020: « Les religions doivent se soumettre à l’ONU en matière de droits des femmes, droits LGBT… selon un rapport sur les droits de l’homme. » (leblogdejeannesmits.blogspot.com).

On sait aussi que Bergoglio marche main dans la main avec Bartholomé I (le patriarche vert orthodoxe), côté œcuménisme, humanisme et réchauffement climatique.

D’ailleurs, c’était la première fois depuis le schisme de 1054 qu’un patriarche orthodoxe assistait à la messe d’intronisation d’un pape, en 2013.
Bartholomé I a reconnu la séparation de l’église orthodoxe ukrainienne de l’église de Russie au début du conflite, et depuis ce temps sa tête est mise à prix.

Question : Et si l’église orthodoxe russe représente elle aussi un germe de renaissance puisque la tête de l’église orthodoxe est tout aussi prostituée que la Rome conciliaire?

Les deux seules religions qui se défendent présentement contre les valeurs inversées sont biens la tradition catholique et l’église orthodoxe russe.

L’occident dépravé essaie bel et bien de « tuer » ce qui reste des deux noyaux de la chrétienté.

Rappelons aussi les paroles du père Malachi Martin sur le 3ème secret de Fatima (malgré le fait que nous n’avons pas encore vu le signe du ciel qui devait avoir lieu une vingtaine d’années après l’interview (1997)):

« Le châtiment qui va venir sera le pire de vos cauchemars, à la puissance ‘exponentielle’ »

« L’Apostasie dans l’Église constitue la toile de fond ou le contexte du 3ème Secret. L’Apostasie [châtiment spirituel] a déjà commencé ! Mais les châtiments prédits dans le Secret sont bien réels, ce sont aussi des châtiments physiques et ils sont terribles ! »

«Vous savez, si le Vatican révélait le 3ème Secret ce serait un tel choc chez les gens, que les églises seraient immédiatement remplies de fidèles à genoux, les confessionnaux de toutes les églises, cathédrales et basiliques seraient pleins à craquer, même le samedi soir ! »

Quel est le rôle de la Russie dans le Secret de Fatima ?

« Très important ! Si on croit aux révélations de Notre Dame de Fatima, le salut du monde, la guérison de TOUS ses maux, commencera en Ukraine et en Russie.

C’est pour cela que la Vierge avait tant parlé de la Russie, qui, la première, devait être guérie de ses erreurs, car elle permettra ensuite au reste du monde d’aller mieux et de guérir de ses péchés.

C’est un Message très mystérieux puisqu’on aurait pu croire que selon nous, Occidentaux, le salut du monde viendrait de l’OUEST.

Mais non ! Selon Fatima, notre salut viendra de l’Est, et en particulier de la Russie et de l’Ukraine, ce qui est extraordinaire en soi. »

Le 3è secret de Fatima, pas besoin de le dévoiler, il fut donné dès le début. Rien n’a été caché en réalité.

Mais il fallait du recul pour le comprendre et le savoir.

Ce qu’on a aujourd’hui.

Qu’a dit soeur Lucie ?

Que le secret devait être dévoilé en 1960 « parce que ce sera plus clair ».

En 1960 le pape Jean XXIII ne le dévoile pas parce qu’il va l’accomplir lui-même en personne sous nos yeux par le concile Vatican II.

Ce concile est l’arme priviligiée pour détruire l’Église.

C’est ce que démontrent entres autres les prophéties d’Anne Catherine Emmerich (voir analyses précédentes).

Le résultat est la grande apostasie via la soumission de l’Église à la synagogue de Satan et au monde des valeurs inversées.

Jamais, jamais un pape n’a versé autant dans l’ambiguïté et la séduction pour faire pencher la balance vers les valeurs de la nouvelle société (tant condamnée par nombre de papes auparavant sous le nom de « modernisme»).

Un pape qui ne connaît pas la doctrine de l’Église en plus.

Du jamais vu.

Ainsi le 3è secret de Fatima se révèle tout seul à partir de 1960, parce qu’on le vit à partir de ce moment-là. Mais il faudra attendre les trente ou quarante années nécessaires pour voir clair, pour s’apercevoir ou du moins d’être capables de faire des liens.

La Russie joue un rôle central dans les apparitions de Fatima où il est mentionné qu’elle répandra ses erreurs, le communisme socialiste, mais qu’elle se convertira finalement à la fin.

Ce qui est très d’actualité d’ailleurs.

Dieu a été inscrit dans la constitution russe et des lois anti-inversion des valeurs ont été votées.

On construit des églises contrairement à l’occident où on désacralise et laïcise tout.

Donc, nous assistons à une guerre religieuse et effectivement, il semble y avoir deux germes qui permettraient de ressusciter l’Église originelle, deux germes comme les deux témoins de l’Apocalypse?

Peut-être, quoique la référence est plus du côté des chrétiens et le clergé fidèles à la Loi et aux Prophètes car les deux témoins prophétisent durant tout le règne de la bête, pas seulement à la fin du règne de celle-ci.

13 février

« Homélie de Monseigneur Carlo Maria Viganò du soixantième dimanche

Alors Yahweh vit que la méchanceté de l'homme sur la terre était grande,

et que toutes les pensées de ton coeur

étaient dirigés uniquement contre le mal, chaque jour

Gén. 6, 5

Le soixantième dimanche, nous approchons du temps de la pénitence et du jeûne en préparation de Pâques. Depuis une semaine l'Alleluia n'a pas été entendu dans la liturgie, remplacé dans la messe par le Tract. Et en ce dimanche presque pénitentiel, avec les lectures des matines, nous sommes accompagnés d'une méditation sur le péché qui a poussé Dieu à exterminer l'humanité rebelle avec le Déluge, ne sauvant que la famille de Noé.

Les Saintes Écritures parlent de la méchanceté des hommes : « toutes les pensées de son cœur étaient dirigés uniquement contre le mal, tous les jours. »

Il est difficile de croire que l'humanité ait pu commettre en d'autres temps ce que nous la voyons commettre aujourd'hui : dans aucune culture antique l'abîme du mal n'a été aussi profond qu'on le voit s'ouvrir dans le monde contemporain : massacres, violences, guerres, perversions, vols, meurtres, profanations et sacrilèges, commis non seulement par des personnes isolées, mais imposés par la loi par les dirigeants des nations, promus dans les médias, encouragés par les enseignants et les magistrats, et tolérés et même approuvés par les prêtres. On se demande si l'homme d'aujourd'hui méritera des châtiments plus terribles que le Déluge, vu le mal qui inspire toutes ses actions contre Dieu, contre ses semblables et contre la Création. Et en contemplant le triomphe apparent dumysterium iniquitatis,  voyant à quel point le mal est répandu et profondément enraciné dans ce monde corrompu et apostat, on se demande combien de temps la Divine Majesté tolérera les abominations des hommes. Nous avons du mal à croire la promesse du Seigneur : "Je ne maudirai plus jamais la terre à cause de l'homme, car les désirs du cœur humain ont été mauvais depuis son enfance, et je n'exterminerai plus jamais tous les êtres vivants, comme je l'ai fait" (Genèse 8, 21).

Ce qui nous étonne, ce n'est pas tant le silence avec lequel nous avons été laissés à notre propre sort et à nos tribulations, que le fait que l'impunité pour les crimes et péchés actuels peut constituer une peine encore plus terrible et plus grave que celle qui pourrait être infligée sur nous par le Père Éternel. La modernité païenne plongée dans la barbarie prépare de ses propres mains un fléau bien plus calamiteux que l'antique Déluge, une destruction bien plus large de l'espèce humaine, avec laquelle elle croit pouvoir éliminer de la Terre, non pas les méchants mais les bons : ceux qui restent fidèles au Seigneur et à sa sainte Loi.

Et tandis que des nuages ​​noirs et menaçants s'accumulent, gros de la pluie qui les noiera, nos contemporains se moquent de ceux qui préparent leur arche spirituelle pour se mettre en sécurité avec leurs les proches,

La Sainte Écriture et les Pères nous enseignent que l'Arche est une figure de la Sainte Église, grâce à laquelle les élus peuvent être sauvés du naufrage général. Hæc est arca  – chantons-nous dans la Préface de la Dédicace –  quæ nos a mundi ereptos diluvio, in portum salutis inducit . Et où pouvons-nous trouver l'Arche du salut ? Comment le distinguer des faux destinés à couler sous le poids de ceux qui s'y installent, dans une imitation faite pour mettre les méchants à l'abri tandis que le pilote empêche les gentils d'embarquer et expulse même ses enfants, les stigmatisant de passagers clandestins indigne de se sauver du déluge ?

Cette idée affligeante n'est pas si farfelue si l'on tient compte de qui occupe actuellement la Chaire de Saint-Pierre. De ce qu'on voit, l'Arche de l'Église veut accueillir tout le monde sauf ceux qui remplissent les conditions pour se sauver de la catastrophe. De plus, il semblerait que cela ne sert à rien, qu'il n'y aura pas de déluge auquel on puisse échapper. Pire encore : le gigantesque déluge provoqué, non par la juste colère de Dieu mais par le flot d'iniquité des hommes, est considéré comme une régénération, une opportunité de réduire la population mondiale sur la base des plans délirants du Grand Reset. Comme sur le Titanic, l'équipage et les passagers dansent ivres et insouciants alors que le navire avance à toute vapeur vers l'iceberg qui va le chavirer, tel un monument arrogant à l'orgueil qui se croit à l'abri de la justice divine.

Mais si d'une part ces considérations humaines peuvent nous gêner et nous faire craindre pour notre survie, d'autre part nous pouvons reconnaître la véritable Arche de salut, car nous la voyons prête à monter au Mont Calvaire où elle a été construite, et au calvaire mystique de l'autel où nous attendons chaque jour.

Peu importe si un autre nous est montré –même s'il est fait par des personnes en qui nous avons confiance et qui ne doivent pas nous tromper–, ou s'il y a ceux qui le considèrent inutile et pour cette raison se moquent de nous ou nous prennent pour des fous. Peu importe qu'il y ait ceux qui nient le déluge imminent, en étant eux-mêmes les architectes impies, dans leur sotte prétention de vouloir contrôler les phénomènes atmosphériques par la géo-ingénierie.

Nous savons que la véritable Arche, la seule Arche, est la Sainte Église. Et d'après les paroles de Notre-Seigneur, divin Pilote qui tient bien le gouvernail, nous savons que cette Arche sortira indemne du déluge et trouvera enfin la terre ferme où s'installer. Pour cette raison, nous sommes plus que déterminés à ne pas être trompés en croyant que nous pouvons nous sauver en dehors de l'Arche susmentionnée ou en en construisant une nous-mêmes.

Dans l'Épître de la Messe d'aujourd'hui, Saint Paul énumère toutes les épreuves que la semence de la Parole de Dieu devra affronter, en s'appuyant sur l'exemple de la Parabole du Semeur que l'Évangile nous présente : « Il m'a dit : ' Ma grâce suffit, car dans la faiblesse la force se perfectionne » » (2 Cor.12,9). Reconnaître notre faiblesse, être conscient de notre impuissance, que nous ne sommes rien, nous aide à percevoir la puissance de Dieu, d'autant plus intensément que notre humilité et notre confiance en Lui sont grandes .  Ma grâce te suffit. Parce que c'est la Grâce qui nous rend dignes de nous réfugier dans l'Arche ; celui qui nous permet d'y rester pendant le déluge ; et par grâce nous atteindrons le port céleste.

Ne perdons donc pas la Grâce de Dieu. Escaladons la montagne mystique au sommet de laquelle l'Arche nous attend. Arche dans laquelle nous trouverons aussi la nourriture de l'âme : le Pain des anges.

Ainsi soit-il.

12 février 2023

dimanche dans la soixantième »

4 février

Bergoglio a le champ libre.

Ainsi de plus en plus de croyants devront admettre que finalement l'Antéchrist est sur le trône.

Même les prêtres, qui pourtant étudient les écritures depuis longtemps refusent de le dire ouvertement.

Un exemple parmi tant d'autres:

«Lettre ouverte au Pape François

Elle est signée (avec nom, prénom, qualité et même numéro de téléphone et adresse mail pour joindre l’auteur) d’un » prêtre de montagne » comme il se qualifie lui-même. Bref, un curé de terrain, mal vu par sa hiérarchie – il explique pourquoi.

… 3) Si je le fais, c’est parce que j’ai observé dans ton magistère, tant oral qu’écrit, quelque chose d’anormal, presque schizophrénique, comme si tu avais une double personnalité ou, en tout cas, des troubles de la personnalité non résolus, qui sont déplaisants chez tout le monde, mais d’autant plus chez quelqu’un qui exerce, légitimement ou illégitimement, un office public, encore plus s’il s’agit d’un office pastoral ou de direction spirituelle.

Il y a des moments où tu parles très bien, avec une grande sensibilité humaine, de la douceur, une connaissance des problèmes, même avec des traits de poésie ; et il y a d’autres moments où tu parles de façon étrange, ambiguë, paradoxale. Oh, que tu es de peu de valeur en tant qu’enseignant de la Foi, c’est évident ! Parfois, tu ne sembles même pas avoir la Foi, et il semble que tu ne t’intéresses qu’à l’horizon terrestre, de sorte que – en te déguisant presque derrière le rôle que tu exerces – tu fais des citations du Christ, des saints, de l’Écriture Sainte, mais tu sembles te sentir étranger à tout cela ; il semble que, ce faisant, tu suives un modèle culturel auquel tu es lié, et non une conviction profonde. Tout cela est très déplaisant. Ta superficialité, ton apathie théologique, ton horizon culturel obstinément fixé sur certaines vérités, intouchables pour toi, nous mettent mal à l’aise. Il est désagréable de faire la comparaison, cela peut t’offenser, j’imagine ; mais comment ne pas voir le fossé qui te sépare, en tant que maître de Foi et de vie chrétienne, d’un Benoît XVI, d’un Jean-Paul II ? Sur certains points, ensuite, tu t’es certainement égaré ; en voici quelques-uns.

4) Ta vision de la fraternité universelle n’est pas la vision chrétienne, mais la vision maçonnique : tu devrais savoir bien mieux que moi que nous, chrétiens, nous nous appelons frères dans la mesure où nous sommes baptisés, et non dans la mesure où nous sommes membres de la soi-disant famille humaine ; l’Église nous a toujours enseigné, et tu devrais le faire aussi (et au contraire tu ne le fais pas), que nous sommes frères par grâce et non par nature. Serais-tu franc-maçon ? Serais-tu un sympathisant de la franc-maçonnerie ? Aurais-tu renié la véritable doctrine selon laquelle ceux qui adhèrent à la franc-maçonnerie commettent un grave péché ? Et, si ce n’est pas le cas, pourquoi répètes-tu constamment des pensées franc-maçonnes en les faisant passer pour des pensées chrétiennes ?

5) Ta vision œcuménique est erronée. A juste titre, de nombreux croyants scandalisés se demandent pourquoi tu continues à fréquenter des membres d’autres religions, avec un prurit et des déclarations qui les laissent pantois. Tu n’aurais pas dû affirmer, comme tu l’as fait, que toutes les religions sont une bénédiction de Dieu, tu n’aurais pas dû et tu ne dois pas te mettre côte à côte avec les membres d’autres religions ! Tu devrais et tu aurais dû réitérer, si tu es Pape, que « extra Ecclesiam nulla salus », mais tu ne l’as pas fait et tu t’obstines à ne pas vouloir le faire. Au contraire : alors que tu prônes le prétendu dialogue à tout prix, avec une attitude sévère et répréhensible, tu interdis aux fidèles qui aiment la liturgie tridentine de continuer à la célébrer : mais comment oses-tu être maître de la vie spirituelle des autres ? Donc : respect maximal, selon toi, pour les athées, les agnostiques, les bouddhistes, les mondialistes, les francs-maçons, les luthériens, les islamistes, et poing dur avec les catholiques traditionalistes ? Mais ne te rends-tu pas compte que tu as donné des signes ou, du moins, induit de forts doutes sur ton équilibre personnel, avant même ton équilibre sacerdotal ?

6) Enfin (mais je pourrais en dire beaucoup plus), y compris pendant les trois années de la pandémie fantôme, ton attitude a été un scandale suprême : de la soumission totale aux indications des représentants des grandes entreprises pharmaceutiques et des gouvernements collaborateurs du Nouvel Ordre Mondial, un ordre résolument maçonnique, élitiste, favorable au transhumanisme et d’inspiration satanique déclarée. Comment as-tu pu sombrer dans l’abîme en déclarant les prétendus vaccins moralement licites, voire moralement obligatoires ? Frère, tu as fait le grand écart, tu as enseigné le mal et induit le mal ! Pour ce seul péché contre l’humanité, pour lequel tu n’as jamais demandé pardon, tu devrais te retirer.

C’est la condition générale de l’Église qui me pousse à te parler ainsi. Elle souffre. L’Église : nous avons appris à l’aimer dès notre plus jeune âge et à la sentir, la respecter et l’honorer comme notre mère spirituelle ; et de notre propre mère terrestre, elle nous a été indiquée comme le trésor le plus précieux que nous aurions dans la vie, comme Tabernacle ouvert et unique et ne faisant qu’un avec le tabernacle fermé des églises ; comme le Christ sanglant, mort et ressuscité vivant dans le temps, son Corps mystique, la vie des âmes. Oh, l’Église, pour l’amour de laquelle nous avons désiré tout bien et au service de laquelle nous nous sommes mis ! Oh, l’Église, épiphanie dans le temps de la Jérusalem éternelle et nouvelle vers laquelle nos pas se hâtent joyeusement ! Pourtant, l’Église souffre. Te souviens-tu du jour où tu as dit oui à Dieu dans la prêtrise ? Et le jour où tu as répété et porté à la plénitude sacramentelle ce Oui à l’épiscopat ? Renouvelle donc ces Oui, soit en pleurant amèrement, comme Pierre, sur tes trahisons et en changeant de vie, soit en te retirant dans la vie privée et en convoquant un nouveau conclave.

Le présent et l’avenir de chacun de nous sont entre les mains de Dieu, qui est, comme le disait le saint Père Léopold Mandić, « médecin et médicament »; nous nous confions donc à Lui, dans un esprit filial, confiant, d’abandon total.

Je ne te demande pas de m’écouter, mais d’écouter ce que, dans ta conscience, ces paroles fraternelles, franches et sacerdotales de ma part peuvent te suggérer, si tu les lis.

Cordialement.

don Floriano Pellegrini
puntifermi.altervista.org » (benoit-et-moi.fr)

C'est exactement le résumé de toutes les analyses concernant Bergoglio depuis son élection.

Le maître de l'ambiguïté à l'oeuvre pour entraîner le plus de fidèles possibles dans l'abime.

Heureusement qu'il ne reste plus beaucoup de temps.

Janvier 2023

23 janvier

La terre frisera le massacre (prophétie politique «Grand Éclair à l’Orient»)

C’est désolant, mais nous nous rapprochons de plus en plus de ce fait.

Tout comme la guerre d’Armageddon prophétisée dans l’Apocalypse.

Remarquez que le fond de cette 3ème guerre mondiale (car c’est bien de cela qu’il s’agît en Ukraine) est religieuse.

Du moins c’est ce que laisse entendre les autorités russes.

Et l’Occident, l’Europe, renie sa fondation chrétienne dans tout cela.

Avec la venue de chars d’assauts lourds fournis par les membres de l’OTAN, le scénario catastrophique prend de l’ampleur.

Tout est fait pour alimenter le feu.

C’est bien ce qui est décrit dans la prophétie de Jean XXIII : « L'Europe a soif, elle aura du sang dans les rues. »

Le tableau actuel au niveau géopolitique est criant de vérité.

L’axe occidental contre l’axe Russie-Chine-Iran et quelques autres dont la Corée du Nord.

Or, les russes livreront des avions de chasses performants à l’Iran dans moins de deux mois.

Le nouveau gouvernement israélien de coalition dominé par l’extrême droite n’entend pas rire.

L’Iran fournit de plus des drones et des missiles à la Russie.

Pendant que toute l’attention est tournée vers l’Ukraine, qui sait ce qui arrivera en Iran?

C’est bien là l’avertissement : « Grand éclair à l'Orient. Vous n'entendrez pas le tonnerre, lui aussi sera imprévu. »

C’est bien l’ouverture du 7ème sceau de l’Apocalypse, la prophétie de l’Église #11 de Jean XXIII : « Alors quelqu'un criera sang et sera écouté. Malheur à celui qui aura crié, le premier sang à couler sera le sien. S'affronteront croissant de lune, étoile et croix. Quelqu'un brandira la croix noire. Des vallées du Prince viendront les chevaliers aveugles. Derrière eux, les corbeaux de la faim, de la famine, de la peste. »

C’est bien une guerre religieuse où s’affronteront l’Islam, Israël et la chrétienté.

2023 est l’année du passage, de la Pâques de la fin des temps.

De l'aboutissement probable de la fille de Caïn en octobre (voir analyses précédentes et surtout l'analyse des prophéties politiques « Grand Éclair à l'Orient » et « le Temps est Proche »).

Pas sûr que nous verrons la fin du synode des synodes de Bergoglio, car le temps presse.

L’Église agonise.

Mais le tout se terminera dans le retour de Notre Sainte Mère et de son Divin Fils.

C’est ainsi que se termine la prophétie « Grand Éclair à l’Orient » :

« Mais aussi de grandes processions et la Vierge Heureuse descendra sur terre. Vous ne la verrez pas dans la grotte, mais dans un coeur qui revivra. Depuis les ténèbres, elle apportera la parole que tous comprendront. C'est le temps des lettres. »

C'est le temps de l’Alpha et l’Oméga.

Le début et la fin d’un cycle.

La fin d’une génération annoncée par NSJC en Matthieu 24.

C’est ainsi que se termine la prophétie #11 « le 7ème sceau » :

« Où croyez-vous fuir, maintenant que vous avez détruit les Églises et tué le dernier Père ? Attendez le signe de Jean. L'agneau est prêt. Signez-vous sept fois avec une main fatiguée et attendez. La lumière vient encore de l'Occident. »

Et oui.

Malgré le reniement de son passé chrétien, l’Occident possède le germe de la résurrection dans la tradition conservée.

Bénit soit le Seigneur.

9 janvier

Il semble que Bergoglio est maintenant sur une poudrière depuis le décès de Benoît XVI.

Et surtout, il semble qu’il est prêt à aller jusqu’au bout avec ses réformes.

Il n’est pas du tout confirmé que nous devrons attendre la fin du synode pour voir le tout exploser, comme prévue donc en fait par la fin de la prophétie concernant Benoît XVI (voir analyses précédentes).

« Sarajevo 1914. L’Église après la mort de Benoît XVI

Depuis que le décès du pape Benoît XVI est connu, un conflit est devenu visible, celui qui s’est installé depuis 2013 au sein de l’église entre le secteur « conservateur » – j’entends par là ceux qui, dans la lignée de la tradition bimillénaire, soutiennent que l’Église est une institution fondée par Jésus-Christ avec une finalité transcendante et surnaturelle consistant dans le salut des âmes – et le secteur « progressiste », composé de ceux qui considèrent que l’Eglise est une institution humaine – peut-être la plus ancienne et la plus puissante – dont la finalité est immanente et consiste à promouvoir l’homme à tous les niveaux, y compris le religieux, mais en donnant à ce terme un sens diffus, éloigné de toute vérité dogmatique ou morale.

La semaine dernière, nous avons été témoins d’événements que nous aurions cru impossibles il y a encore quelques jours. L’archevêque Georg Gänswein, a rendu publiques des déclarations explosives concernant l’impact sur le Pape Benoît XVI de la promulgation de Traditionis custodes, et la manière dont il a été de facto écarté de sa position de Préfet de la Maison pontificale, avec les mots que le Pape émérite aurait prononcés à ce sujet: « Je crois que le Pape François ne me fait pas confiance et qu’il veut que vous soyez mon gardien ». Le livre de mémoires de Mgr Gänswein sera publié dans les prochains jours, et tout porte à croire qu’il révélera de nombreux autres détails significatifs.
Pour leur part, et comme nous l’avons détaillé la semaine dernière [Organisation des obsèques: tous les scandales], le Pape François et sa cour de Santa Marta n’ont pas hésité à infliger autant d’humiliations posthumes au Pape Benoît XVI qu’ils le pouvaient. Il semblerait qu’ils aient profité de ses funérailles pour donner libre cours à la rancœur qu’ils entretenaient depuis des années, montrant au monde entier la profondeur de leurs haines.

La question qui taraude l’esprit de tous les analystes est de savoir comment les deux acteurs ont pu mettre en lumière la gravité du conflit de cette manière.

Mgr Gänswein n’est pas quelqu’un qui agit sur un coup de tête et nous ne pouvons pas penser qu’il a agi de manière impulsive. Un conservateur comme lui ne commettrait jamais une telle erreur et, surtout, les entretiens – du moins certains d’entre eux – ont certainement été enregistrés avant d’être diffusés et ses mémoires étaient également prêts depuis longtemps ; un livre ne s’écrit pas, ne trouve pas d’éditeur et n’est pas publié en une semaine. En d’autres termes, chaque mesure prise jusqu’à présent par Mgr Gänswein a été soigneusement réfléchie et calculée.

Il me semble que ce n’est pas le cas du pape François, homme de gouvernement rusé. Même si sa rancœur à l’égard du pape défunt était profondément ancrée, il est difficile de trouver une explication à ces funérailles bâclées. Le président du Portugal a émis une critique formelle de la manière dont les choses ont été gérées et Václav Klaus, ancien président de la République tchèque, a publiquement mis en cause les raisons d’un si triste spectacle. La seule raison qui me vient à l’esprit est que Bergoglio a été aveuglé par sa colère – comme il l’a été en d’autres occasions – et qu’il ne s’est pas arrêté pour réfléchir à la brutalité et au caractère scandaleux de son comportement.
Le Tagepost, un grand journal allemand, a estimé qu’avec la mort de Benoît XVI, une nouvelle étape du pontificat de François, voire de l’église elle-même, commence. Et la raison en est que Ratzinger a agi comme une sorte de tampon qui a amorti la fureur des conservateurs contre les excès de Bergoglio. Ou, comme l’a dit le cardinal Müller, les conservateurs pouvaient aller se faire soigner au monastère Mater Ecclesiae. A présent, il n’y a plus de tampon et il n’y a pas non plus de maison de soin. L’affrontement est inévitable et nous le voyons, et nous le verrons dans les semaines à venir…

Ce qui est dangereux, extrêmement dangereux, c’est que François a sous la main un conflit potentiel capable de déclencher la guerre ; il y a un archiduc qui se promène à Sarajevo. Le bruit court dans les cercles du Vatican que la véritable intention de François est de nommer l’évêque allemand Heiner Wilme comme préfet de la Congrégation pour la doctrine de la foi. Et c’est un personnage décrit par tous comme ultra-progressiste, aligné sur les décisions les plus extrêmes du synode allemand.

Pour lui, par exemple, la Sainte Messe n’est pas un élément important de la vie chrétienne et il propose une révision complète de l’enseignement de de l’Eglise sur la sexualité. On dit qu’il n’a pas encore été nommé en raison de la forte opposition que François a rencontrée de la part de nombreux évêques et cardinaux comme le cardinal Müller. Mais s’il devait faire pression pour cette nomination, ce qui est tout à fait probable étant donné les circonstances, il ne fait aucun doute que l’Eglise entrera dans une lutte et une division très profondes dont personne ne sait comment elles se termineront.

Ce sera la fin et le fruit ultime du pontificat de François, le pire et le plus nuisible des papes de l’histoire de l’Église.» (benoit-et-moi.fr)

Et çà risque de brasser car Mgr Georg Gänswein sort un livre sur Benoît XVI:

« Aujourd’hui, après la disparition du Pape émérite, le moment est venu pour l’actuel Préfet de la Maison pontificale de dire la vérité sur les calomnies flagrantes et les manœuvres obscures qui ont tenté en vain de jeter de l’ombre sur le magistère et les actions du Pontife allemand, et donc de faire connaître enfin le vrai visage de l’un des plus grands acteurs de ces dernières décennies, trop souvent injustement dénigré par les critiques comme « Panzerkardinal » ou « Rottweiler de Dieu ».

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Un récit authentique et franc dans lequel, assisté de la plume experte du vaticaniste Saverio Gaeta, Mgr Gänswein offre une reconstruction autorisée d’une période très spéciale pour l’Église catholique, abordant également les questions sur des événements énigmatiques, tels que les dossiers Vatileaks et les mystères de l’affaire Orlandi, le scandale de la pédophilie et les relations entre le pape émérite et son successeur François.

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Le résultat est un témoignage intense de la grandeur d’un homme, d’un cardinal, d’un Pape qui a marqué l’histoire de notre temps et qui émerge ici comme un phare de compétence théologique, de clarté doctrinale et de sagesse prophétique. »(benoit-et-moi.fr)


Et pendant ce temps, des files d’attentes pour un dernier hommage à Benoît XVI dans la crypte vaticane (benoit-et-moi.fr)

Tout se confirme tranquillement…

«Mais aussi de grandes processions et la Vierge Heureuse descendra sur terre. Vous ne la verrez pas dans la grotte, mais dans un coeur qui revivra. Depuis les ténèbres, elle apportera la parole que tous comprendront.» (prophétie politique du Grand Éclair à l’Orient).

8 janvier

Benoît XVI… La suite

«Vous serez en haine à tous à cause de mon nom ; mais celui qui persévérera jusqu'à la fin, celui-là sera sauvé.» (Matthieu, 10-22)

Le dernier rite funéraire dans le tombeau du va-nu-pieds, dans la grotte vaticane, ce qui n’a pas été télévisé.

Les ennemis de Benoît XVI se font aller depuis son décès.

On voit bien que Satan est déchaîné, ce qui prouve le rôle incontestable du katéchon qui n’est plus pour faire obstacle.

Toujours, toujours, le pape nouvellement élu préside la cérémonie de la grotte vaticane.

Bergoglio n’y est même pas allé.

« Le pape François était déterminé à se retirer dans ses quartiers de Santa Marta dès la fin de la messe funéraire. Deux de ses plus proches collaborateurs ont dû insister fortement pour lui faire voir l’inopportunité du geste. Finalement, il a accepté de voir le cercueil du pape Benoît dans l’atrium de la basilique Saint-Pierre, dépouillé de ses vêtements pontificaux. Et il a refusé catégoriquement d’accompagner le cortège jusqu’à la crypte et d’y célébrer les derniers sacrements, qui ont été pris en charge par le cardinal Re, doyen du Sacré Collège… »
En fait, les agissements de Bergoglio pointent directement l’Antichrist sur le trône.

« Organisation des obsèques: tous les scandales. .. Le cœur mesquin du Pape François »

Un résumé via benoit-et-moi.fr

De plus, l’homélie de Bergoglio est qualifiée de misérable.

Une misérable homélie (benoit-et-moi.fr)

Ainsi donc, il semble bien que la dernière partie de la prophétie s’adresse à Bergoglio puisque nous n’avons pas eu «le» signe de la Sainte Vierge.

Le mystère persiste donc mais le délai est sur du très court terme car le saint aux pieds nus est descendu du mont.

En fait, il y a bien eu un signe mais que tous n’ont pas vu.

Les funérailles se sont déroulés dans la brume. Le dôme de la basilique qui avait été frappé par la foudre lors de la démission de Benoît XVI en 2013, était complètement englouti dans les ténèbres jusqu’à la lecture de l’évangile de Saint-Luc.

Comme pour nous montrer que la tête de l’église est dans les ténèbres.

Alors, une croix lumineuse apparue entre les nuages.

Une photo a été prise par ceux qui étaient dans les balcons surplombant la place Saint-Pierre.

En enlevant un peu de luminosité à l’image on peut voir plus clairement.

05 janvier

On ne comprend bien souvent que les prophéties que lorsqu’elles se sont réalisées d’où la difficulté d’anticiper.

Il n'y a pas eu d’action de la part de la Vierge Marie lors des funérailles de Benoît XVI.

C’est donc dire que la prophétie concernant ce dernier n’est pas tout à fait terminée.

La ligne a été franchie mais la Sainte Vierge attend son moment.

Nous avons qualifié Benoît XVI du bon larron des derniers temps (voir analyses précédentes).

Pour ceux qui ont bien suivi la cérémonie, on peut affirmer qu’on ne peut pas faire mieux pour confirmer ce fait.

Les desseins de Dieu sont magnifiques…

Car c’était l’évangile de Saint-Luc avait été choisi pour la célébration :

« 39 Or, l’un des malfaiteurs pendus à la croix l’injuriait, disant :  » Puisque tu es le Christ, sauve-toi toi-même et sauve-nous !  »
40 Mais l’autre le reprenait, en disant :  » Ne crains-tu donc pas Dieu, toi non plus, condamné que tu es au même supplice ?
41 Pour nous, c’est justice, car nous recevons ce qu’ont mérité nos crimes ; mais lui, il n’a rien fait de mal.  »
42 Et il dit à Jésus :  » Seigneur, souvenez-vous de moi, quand vous serez parvenu dans votre royaume.  »
43 Jésus lui répondit :  » Je te le dis en vérité, aujourd’hui tu seras avec moi dans le Paradis.  »
44 Il était environ la sixième heure, quand des ténèbres couvrirent toute la terre jusqu’à la neuvième heure.
45 Le soleil s’obscurcit, et le voile du temple se déchira par le milieu.
46 Et Jésus s’écria d’une voix forte :  » Père, je remets mon esprit entre vos mains.  » En disant ces mots, il expira. »

Cet extrait est un signe extraordinaire car il confirme la statut de bon larron de Benoît XVI, tout en se terminant par la mort du Christ…

Annonçant ainsi la mort de l’Église à l’image de la Passion du Christ.

À suivre...

02 janvier

«SEIGNEUR, JE T'AIME»

Telles furent les dernières paroles de Benoît XVI avant son dernier souffle.

Un simple ouvrier dans la vigne du Seigneur comme il aimait se décrire, qui ne vivait que pour l’Amour et la Vérité.

Comme il l’a souhaité, cette simplicité, ce dépouillement des choses temporelles, est reflété dans son testament spirituel et dans ses funérailles.

Les premières images de Mater Ecclesiae démontrent toute cette simplicité :
(benoît-et-moi.fr)

Le transfert vers la basilique Saint-Pierre s’est effectué aux petites heures ce matin (vaticannews.va)

«Coopérateur de la vérité», telle était sa devise épiscopal.

Il a témoigné de la Vérité en permettant au germe de l’Église traditionnelle de continuer.

Son Motu Proprio de 2007 rétablissant le statut de la messe tridentine et la levée de l’ex-communion de la FSSPX en 2009 qui permet une lignée de prêtres légitimes consacrés par Mgr Lefebvre afin que l’Église ressuscite, sont deux faits magistraux qui le prouvent.

Il était un élément clé de la fin des temps : le katéchon.

Ce n’est donc pas un hasard que le 31 décembre ait été choisi par Dieu pour nous confirmer ces signes.

Une date que tous vont se souvenir, mais surtout une date, le dernier jour de 2022, qui ferme cette année horrible marquée par la guerre qui n’est que le début des tribulations apocalyptiques, mais qui est suivie par le 1er janvier, jour de la solennité de la Vierge Marie, comme pour signifier que son règne est arrivé.

Revenons sur les quelques signes qui nous démontrent que la sixième période de l’Apocalypse achève (en référence au calendrier de la fin des temps; voir analyses précédentes) :

- les deux signes majeurs annoncés par les exégètes sont complétés, c’est à dire l’évangile annoncée par toute la terre, et la grande apostasie.

- On sait (voir analyse générale) que les tribulations apocalyptiques s'accélèrent au décès de Benoît XVI.

- Nous vivons la fin de la prophétie des papes selon Saint-Malachie.

- l’Église est confirmée veuve selon les paroles de Saint-Paul : en effet, au tout dernier jour de 2022, le Seigneur confirme les soixante années écoulées depuis Vatican II (1962), le poison infiltré qui a pourri l’Église, et surtout qui à partir de la nouvelle messe en 1969, a confirmé l’abomination de la désolation prophétisée par Notre-Seigneur lui-même.

- l’hypothèse que Benoît XVI est le saint aux pieds nus de la prophétie de Jean XXIII le concernant est plus que probable : il a accompagné Jean-Paul II comme gardien de la Foi et les deux étaient très liés.

D’ailleurs, c’est Benoît XVI qui a présidé les funérailles de Jean-Paul II.

Et Benoît XVI a exprimé le vœu d’être inhumé dans l’ancien tombeau de Jean-Paul II dans la crypte de la basilique.

Benoît XVI, aussi comme le saint aux pieds nus dans sa simplicité, dépouillé de tout, dans sa prison au monastère Mater Ecclesiæ sur le mont au Vatican.

Car Mater Ecclesiæ, qui tient son nom de l'expression latine Mater Ecclesiæ signifie « Mère de l'Église », est sur un mont au jardin du Vatican.

C’est en lien direct aussi avec le 1er janvier, solennité de Marie, et de la Passion de l'Église.

Benoît XVI est donc bel et bien descendu du mont selon la prophétie, et son décès est le signe visible de la mise à mort des deux témoins de l’Apocalypse à venir.

- sa prophétie se termine par l’appel à la Vierge Marie pour ouvrir la septième période et le fameux septième sceau.

Ce qui est intriguant avec la prophétie en relation au signe attendu devant la tombe du va-nu-pieds sont les mots : « Écoutez ses paroles ».

Ce signe, ce miracle, comporte donc un message, et un message est habituellement porté par la voix.

De plus, il doit être à la portée d’une multitude, à l’image du miracle du soleil du 13 octobre 1917.

C’est la tribune qui sera offerte par ces funérailles surveillées par tous via les médias.

Le tombeau de Jean-Paul II, à la chapelle Saint-Sébastien, est près de l’entrée à droite de l’allée menant à l’autel de Saint-Pierre.

Mais ce n’est pas nécessaire qu’un miracle se produise directement devant la chapelle Saint-Sébastien, car cette partie de la prophétie est réalisée dans le sens que le tombeau de Jean-Paul II était dans les grottes vaticanes jusqu’en 2011.

Donc en un sens, les funérailles de Benoît XVI auront lieu devant la chapelle Saint-Sébastien.

Décembre 2022

31décembre

Le pape Benoît XVI est décédé en ce 31 décembre 2022.

Paix à son âme.

Dieu fait bien les choses.

Il a fallu attendre le dernier jour de 2022, comme pour nous signifier que la récréation est terminée.

Le katéchon n’est plus.

Il n’y a donc plus de pape légitime.

La chrétienté est orpheline. L’Église est veuve. Nous sommes livrés à la Bête de l’Apocalypse.

2023 ne sera donc pas une année comme les autres : ce sera le temps des révélations et en parti, l’année des événements apocalyptiques.

La prophétie concernant Benoît XVI :

«Deux frères et personne ne sera le vrai Père. La Mère sera veuve.»

Exact.

«Les frères d'Orient et d'Occident se tueront et dans l'assaut tueront leurs enfants.»

Guerre en Ukraine sur fond de guerre religieuse, ou des deux factions judéo-maçonniques.

« Alors le saint aux pieds nus descendra du mont et… »

Benoît XVI, le saint aux pieds nus est décédé.

«... devant la tombe du va-nu-pieds, éclatera le règne béni de la Très Sainte Vierge

Éclatera…

Ce sera donc très visible, sans ambiguïté, un signe fort.

Devant la tombe du va-nu-pieds…

Deux interprétations possibles :

- lors des funérailles devant la tombe de Jean-Paul II, c’est à dire la chapelle Saint-Sébastien à l’entrée de la basilique Saint-Pierre,

ou

- à l’ancienne tombe de Jean-Paul II car il est prévu que Benoît XVI y sera inhumé.

Lorsque Benoît XVI a été élu, il est allé prier sur la tombe de Jean-Paul II selon la tradition.

Puisque nous avons une situation inusité avec Bergoglio, est-ce que ce dernier ira prier au tombeau après l’inhumation?

Toujours est-il, la Sainte-Vierge devrait signifier le début des dernières tribulation par un acte quelconque.

«Écoutez ses paroles.
Marie Très Sainte, fille et mère de Dieu, maîtresse du temps futur, bats le rappel de tes fils dans les campagnes, pour qu'ils abattent les deux Babylone.
Et que la Mère soit Une, comme toi tu es unique.
La terre détruira le ciment et de terre sera, Reine, ta nouvelle Église. Et sur la terre de blé, pour la faim de tes peuples, fleur sur son nouvel autel. Amen

C’est un appel évident aux événements apocalyptiques, un renouvellement complet de la terre, et on sait que cela sera par la puissance du feu.

N’oublions pas que la prophétie concernant François se déroule en parallèle et qu’il est signifié que « Mikail et Jean descendront sur terre.», donc l’Archange Michel et l’Apocalypse de Jean.

Il est bien spécifié que « Le grand frère d'Orient fera trembler le monde par la croix renversée sans les lis. »

Il semble ici que cela désigne le patriarche Kyrill, ou la Russie, et son rôle dans la guerre en Ukraine.

C’est à suivre.

Mais pour l’instant, il est intéressant de voir où exactement Benoît XVI sera inhumé.

Car si chaque pape peut spécifier ses propres arrangements funéraires, et bien que la famille de Benoît soit enterrée en Allemagne, son biographe Peter Seewald a déclaré qu'il voulait être enterré dans la tombe qui appartenait à son prédécesseur Jean-Paul II avant d'être canonisé et déplacé ailleurs au Vatican.

De plus, les funérailles auront lieu jeudi 5 janvier, juste avant l’Épiphanie, confirmation du Christ Roi par les mages qui apportent l’or pour le Roi, l’encens réservé à Dieu, et la myhrre pour atténuer les souffrances.

Le Ciel semble donc nous avertir que 2023 ne sera pas de tout repos.

30 décembre

LE MYSTÈRE D’INIQUITÉ

« Et maintenant vous savez ce qui le retient, pour qu'il se manifeste en son temps. Car le mystère d'iniquité s'opère déjà, mais seulement jusqu'à ce que celui qui le retient encore paraisse au grand jour. » (Thes. 2, 6-7)

Nous sommes en présence du katéchon (Benoît XVI) et du destructeur de l’église (Bergoglio).

Benoît XVI, le saint aux pieds nus qui descendra du mont (voir la prophétie le concernant) prochainement, ouvrira la porte sur 2023.

La fin de cette prophétie est l’appel de Marie pour la phase finale du calendrier de la fin des temps, car il est bien spécifié que la terre détruira le ciment, que tout ce qui est matériel, temporel, doit être renouvelé pour la Jérusalem Céleste.

2023 sera donc éprouvant, physiquement, et spirituellement.

Ainsi, on ne peut regarder 2023 sans garder notre attention sur ce mystère d’iniquité qui est à l’œuvre.

2024 sera l’année de la présentation du résultat du synode des synodes mais le travail de fond se fera en 2023, dans un contexte tout de même effrayant avec la l’escalade de la guerre en Ukraine :

« Les frères d'Orient et d'Occident se tueront et dans l'assaut tueront leurs enfants. » (prophétie concernant Benoît XVI)

On ne l’avait tout simplement pas vu venir : cette partie de la prophétie ne concernait pas l’islam, mais la guerre en Ukraine.

2023 verrait aussi l’effondrement du système en entier.

Tout est préparé d’avance pour installer la grande réinitialisation, la fausse résurrection.

En effet, si l’antichrist est d’abord et avant tout un système, c’est donc un système, une nouvelle civilisation avec pour dieu Satan qui doit ressusciter pour apporter le « bonheur » à la masse.

Rappelez-vous  l’Agenda 2030 du WEF : « En 2030, vous ne posséderez rien, et vous serez heureux ».

Mais revenons à ce mystère d’iniquité.

Le mystère d’iniquité est déroutant pour le chrétien fidèle à la Loi et aux Prophètes, les deux témoins de l’Apocalypse.

Depuis presque maintenant 10 années, nous avons vu le mystère d’iniquité lancé ses idées « progressistes » sur le pavé, laissant les fidèles dans la confusion par un silence perpétuel faces aux interrogations qui les tourmentent, ou face aux demandes d’éclaircissement de la part des cardinaux fidèles à la loi et aux prophètes (pensons à la saga des dubia par exemple).

Mensonges, ambiguïtés volontaires, déformations de la Vérité et de la vie des Saints, orgueil, colères non contrôlées, peurs de la pandémie (alors qu’un pape doit donner sa vie pour ses brebis. Nous devrions voir des processions du Saint-Sacrement partout. Mais non.), élimination du péché… tout cela sous les apparences du plus pauvre des pauvres, Saint-François D’Assise.

Nous pouvons en deviner quelques parties parce que nous sommes en plein dans l’action de son œuvre, mais il demeure avant tout un mystère jusqu’à ce que tout soit révéler avec le retour en Gloire de NSJC.
Quels indices avons-nous?

Saint-Paul (Th 2, 2):

« En ce qui concerne l'avènement de notre Seigneur Jésus-Christ et notre réunion avec lui, nous vous prions, frères, de ne pas vous laisser ébranler facilement dans vos sentiments, ni alarmer, soit par quelque esprit, soit par quelque parole ou lettre supposées venir de nous, comme si le jour du Seigneur était imminent.

Que personne ne vous égare d'aucune manière ; car auparavant viendra l'apostasie, et se manifestera l'homme de péché, le fils de la perdition, l'adversaire qui s'élève contre tout ce qui est appelé Dieu ou honoré d'un culte, jusqu'à s'asseoir dans le sanctuaire de Dieu, et à se présenter comme s'il était Dieu.

Ne vous souvenez-vous pas que je vous disais ces choses, lorsque j'étais encore chez vous ?

Et maintenant vous savez ce qui le retient, pour qu'il se manifeste en son temps.

Car le mystère d'iniquité s'opère déjà, mais seulement jusqu'à ce que celui qui le retient encore paraisse au grand jour.
Et alors se découvrira l'impie, que le Seigneur (Jésus) exterminera par le souffle de sa bouche, et anéantira par l'éclat de son avènement.

Dans son apparition cet impie sera, par la puissance de Satan, accompagné de toutes sortes de miracles, de signes et de prodiges mensongers, avec toutes les séductions de l'iniquité, pour ceux qui se perdent, parce qu'ils n'ont pas ouvert leur cœur à l'amour de la vérité qui les eût sauvés. (note : pensons à toute cette technologie que l’on peut associer à ces miracles)

C'est pourquoi Dieu leur envoie des illusions puissantes qui les feront croire au mensonge, en sorte qu'ils tombent sous son jugement tous ceux qui ont refusé leur foi à la vérité, et ont au contraire pris plaisir à l'injustice. »

Benoît XVI, sait que nous sommes en présence de l'Antichrist.

Il n’y a pas de doute.

Il identifie l’Antichrist au « système humaniste ».

Toute personne qui est contre les principes chers à François dont l’immigration, le réchauffement climatique, les célébrations païennes, l’œcuménisme… est automatiquement « stigmatisée » et identifiée comme ennemi de la nouvelle religion.

C’est exactement ce qu’affirmait le regretté Serge Monast dans ses écrits.

La seule différence c’est que tout s’est passé sous une forme plus insidieuse, plus hypocrite.

« La société moderne est en train de formuler une foi antichristique, à laquelle on ne peut s’opposer sans être puni par l’excommunication sociale. Il est donc plus que naturel d’avoir peur de cette force spirituelle de l’Antéchrist, et il faut vraiment l’aide de la prière d’un diocèse entier, et de l’Église universelle pour y opposer de la résistance.» (Benoît XVI)

Lifesitenews révèle plus de contenu de l'interview qui a servi à la biographie:

« Interrogé sur l'affirmation souvent répétée selon laquelle en tant que pape, il a rencontré «de nombreux blocages» pendant sa papauté de la part de la Curie romaine, le pape Benoît XVI a répondu: «Les blocages provenaient plus de l'extérieur que de la Curie. Je ne voulais pas simplement promouvoir avant tout la purification dans le petit monde de la Curie, mais dans l'Église dans son ensemble. » Expliquant plus en détail ses pensées, il a ajouté qu '«entre-temps, les événements ont montré que la crise de la foi a conduit aussi spécialement à une crise de l'existence chrétienne». C'est, a-t-il poursuivi, ce que le «pape doit avoir devant ses yeux»...

Mais la véritable menace pour l'Église et avec elle pour le bureau de Petrine ne vient pas de telles choses, mais de la dictature mondiale d'idéologies apparemment humanistes. »

Contredire cette dictature, a expliqué Benoît, cela «signifie l'exclusion du consensus de base de la société».

C'est dans ce contexte que Benoît a mentionné l'«Antichrist».

L'Église catholique enseigne qu'avant la glorieuse seconde venue du Christ, l'Église passera par une «épreuve finale» qui «ébranlera la foi de nombreux croyants».

«La persécution qui accompagne son pèlerinage sur terre dévoilera le« mystère de l'iniquité »sous la forme d'une tromperie religieuse offrant aux hommes une solution apparente à leurs problèmes au prix de l'apostasie de la vérité», déclare le Catéchisme de l'Église catholique.

"La tromperie religieuse suprême est celle de l'Antéchrist, un pseudo-messianisme par lequel l'homme se glorifie à la place de Dieu et de son Messie incarné", a-t-il ajouté.

Le vénérable archevêque Fulton J. Sheen dans un sermon radiophonique de 1947 a décrit l'Antéchrist comme un «grand humanitaire» qui «parlera de paix, de prospérité et d'abondance».

«L'antichrist ne sera pas ainsi appelé, sinon il n'aurait pas de disciples. Il ne portera pas de collant rouge, ne vomira pas de soufre, ne portera pas de lance ni n'agitera une queue fléchée comme Méphistophélès à Faust », a déclaré Sheen.

«Sa logique est simple : s’il n’y a pas de paradis, il n’y a pas d’enfer. S’il n’y a pas d’enfer, il n’y a pas de péché. S’il n’y a pas de péché, il n’y a pas de jugement, et s’il n’y a pas de jugement, alors, le mal est le bien, et le bien est le mal. Mais au-delà de toutes ces descriptions, Notre Seigneur nous enseigne que l’antéchrist Lui ressemblera tellement qu’il pourrait même tromper les élus –or, il est clair qu’aucun diable tel qu’on le connait dans les descriptions populaires, ne pourrait tromper les élus. Ainsi, par quel moyen viendra-t-il dans ce nouvel âge pour rallier des partisans de sa religion ?

Il utilisera le prétexte religieux pour détruire la Religion.
 
Il parlera même du Christ et affirmera qu’Il était le plus grand homme qui ait vécu. »

Rappel  des derniers temps par Anne Catherine Emmerich :

« Je vis une forte opposition entre deux papes … et je vis combien funestes seraient les conséquences de cette fausse Église… »

« Quand le royaume de l’Antéchrist sera proche, apparaîtra une fausse religion qui ira contre l’unité de Dieu et de son Église. Cela entraînera le plus grand schisme jamais vu dans le monde. »

«  Je vis qu’un certain nombre de pasteurs acceptaient des idées dangereuses pour l’Église. Ils construisaient une grande Église, étrange et extravagante. N’importe qui était accepté, afin de s’y joindre et d’avoir les mêmes droits: les évangélistes, les catholiques, les sectes de toutes croyances. Ce devait être la nouvelle église … mais Dieu avait d’autres projets … »

« Je vis le Pape en prières ; il était entouré de faux amis qui souvent faisaient le contraire de ce qu’il disait.
Je vis le saint Père dans une grande tribulation et une grande angoisse touchant l’Église. Je le vis entouré de traîtres.
Ils veulent enlever au pasteur le pâturage qui lui appartient ! Ils veulent en imposer un qui livre tout aux ennemis ! (alors saisie de colère, A.C. Emmerich leva le poing en disant) Coquins d’allemands ! Attendez ! Vous n’y réussirez pas ! Le pasteur est sur un rocher ! Vous prêtres, vous ne bougez pas ! Vous dormez et la bergerie brûle par tous les bouts ! Vous ne faites rien ! Oh, comme vous pleurerez cela un jour ! ».

« Je vois le Saint-Père dans une grande angoisse. Il habite dans un bâtiment autre que celui d’avant et il n’y admet qu’un nombre limité d’amis qui lui sont proches. Je crains que le Saint-Père ne souffrira beaucoup d’autres épreuves avant de mourir. Je vois que la fausse église des ténèbres fait des progrès, et je vois l’énorme influence qu’elle a sur les gens ».

Concernant l'Apocalypse et la dernière lignée de papes:

« C'est ici qu'il faut un esprit doué de sagesse. — Les sept têtes sont sept montagnes (Rome), sur lesquelles la femme (église) est assise. Ce sont aussi sept rois (papes depuis Latran en 1929):

Les cinq premiers sont tombés, l'un subsiste, l'autre n'est pas encore venu, et quand il sera venu, il doit demeurer peu de temps. (Donc la clé pour démarrer le compte est celui qui « subsiste », c’est à dire Benoît XVI. Cinq papes avant lui donc depuis l’État du Vatican (donc des rois temporels) en 1929. S’ensuit Bergoglio, qui doit demeurer peu de temps : C’est ce qui est confirmer dans la prophétie de Jean XXIII le concernant : « Ton règne sera grand et bref »)

Et la bête qui était et qui n'est plus, en est elle-même un huitième et elle est des sept, et elle s'en va à la perdition. (Ap. 17, 7-11) (Et Bergoglio, qui représente la bête marxiste socialiste, est le septième pape, mais il a décidé d’abandonner son titre de vicaire du Christ, ET, d’abandonner son titre de pape en décidant qu’il n’était, dans son idée de collégialité, que l’évêque de Rome (en référence aux sept collines). Il est devenu le huitième, la bête cachée derrière le titre de pape, et qui s’en va à la perdition) »

Or, Saint-François d’Assise dans sa prophétie avait bien averti, comme s'il savait qu'on usurperait son nom... et son amour pour les pauvres et la nature :

« Il y aura très peu de chrétiens qui obéiront au véritable Souverain Pontife et à l’Église catholique romaine avec un cœur loyal et une parfaite charité. Au moment de cette tribulation, un homme, non élu canoniquement, sera élevé à la papauté, lequel, par ruse, s’efforcera d’entraîner beaucoup de monde dans l’erreur et dans la mort… en ces jours-là, Notre Seigneur Jésus-Christ leur enverra non pas un vrai Pasteur, mais un destructeur. »

C’est simple : « Qui n’a pas le Fils, n’a pas le Père. Celui qui n’honore pas le Fils, n’honore pas le Père. » (Saint-Jean)

Cette fausse fraternité universelle sans le Christ Roi est une hérésie.

« Alors on vous livrera aux tortures et on vous fera mourir, et vous serez en haine à toutes les nations, à cause de mon nom.
Alors aussi beaucoup failliront ; ils se trahiront et se haïront les uns les autres.
Et il s'élèvera plusieurs faux prophètes qui en séduiront un grand nombre.
Et à cause des progrès croissants de l'iniquité, la charité d'un grand nombre se refroidira.
Mais celui qui persévérera jusqu'à la fin sera sauvé...

Quand donc vous verrez l'abomination de la désolation, annoncée par le prophète Daniel, établie en lieu saint, — que celui qui lit, entende ! — alors que ceux qui sont dans la Judée s'enfuient dans les montagnes.. » (Matthieu 24).

Benoît XVI est le dernier rempart.

Il est le bon larron de la fin des temps, car malgré ses erreurs, il a préservé le germe de l’Église par le motu proprio de 2007 et par la levée des excommunications sur la FSSPX en 2009.

La disparition du katéchon est le signe de la mort des deux témoins de l’Apocalypse, ce qui veut dire aussi en signe d’espoir que la résurrection de l’Église à partir du germe préservé est proche.

28 décembre

Bergoglio annonce que Benoît XVI est gravement malade.

Prions pour le katéchon.

La prophétie le concernant est sur le point de se terminer.

La mort des deux témoins de l'Apocalypse approche donc à grands pas.

19 décembre

POURQUOI M'AS TU ABANDONNÉ?

C'est ainsi que l'église crucifiée s'exclame aujourd'hui.

Pour preuve de la mort imminente de l'église à l'image de la Passion du Christ, nous cherchons les signes de Dieu pour nous conforter dans les épreuves, mais empêtrés que nous sommes dans les ténèbres, nous ne voyons rien.

Comme après la neuvième heure sur la croix, l'orage pointe à l'horizon.

Mais cet orage annonce le retour de la Lumière et est signe d'espoir, de résurrection.

Mgr Vigano dans un texte très long en préparation de Noël 2022, si important dans le contexte actuel, nous rappelle qu'une civilisation non basée sur le Christ Roi est voué à mourrir.

« Mgr Viganò : La royauté du Christ ne se limite pas à l’Église, mais s’étend à toutes les nations

De même, la négation de ce principe est l’apanage de la pensée hérétique et de l’idéologie maçonnique.

( LifeSiteNews ) — La doctrine de la royauté du Christ constitue une discrimination entre l’Église catholique et « l’Église conciliaire » ; en effet, c’est le point de séparation entre l’orthodoxie catholique et l’hétérodoxie néomoderniste, car les adeptes de la laïcité et de la laïcité libérale ne peuvent accepter que la Seigneurie de Notre-Seigneur s’étende à la sphère civile, la soustrayant ainsi à l’arbitraire des puissants ou des la volonté de la population manipulable.

Pourtant, l’idée même que l’autorité a son fondement dans un principe transcendant n’est pas née avec le christianisme, mais fait partie de notre héritage gréco-romain. Le même mot grec ἱεραρχία désigne d’une part « l’administration des choses sacrées », mais d’autre part il désigne aussi le « pouvoir sacré » de l’autorité, où les engagements qui s’y rattachent constituent de manière significative un λειτουργία , une fonction publique dont l’Etat s’en charge.

De même, la négation de ce principe est l’apanage de la pensée hérétique et de l’idéologie maçonnique. La laïcité de l’État constitue la principale revendication de la Révolution française, dont le protestantisme a fourni les fondements théologiques, qui s’est ensuite transformé en erreur philosophique avec l’avènement du libéralisme et du matérialisme athée.

Cette vision d’un tout entièrement cohérent et harmonieux qui traverse le cours du temps et franchit les frontières de l’espace, conduisant l’humanité à la plénitude de la Révélation du Christ, était propre à cette Civilisation dont l’effacement et l’annulation sont souhaités au nom d’une dystopie inhumaine parce qu’intrinsèquement impie, puisqu’elle est issue de la haine inextinguible de l’Adversaire, éternellement privé du Bien suprême par orgueil et rébellion contre la Volonté de Dieu.

Il n’est pas surprenant que nos contemporains ne comprennent pas les raisons de la crise actuelle : ils se sont laissés frustrer le patrimoine de sagesse et de mémoire construit au cours de l’histoire grâce à l’intervention pédagogique de la Providence, qui a inscrit dans cœur de chaque homme les principes éternels qui doivent guider tous les aspects de leur vie. Cette merveilleuse παιδεία a permis à des peuples éloignés de Dieu et plongés dans les ténèbres du paganisme de se prédisposer, par des moyens naturels, à l’éclatement de la dimension surnaturelle dans l’histoire, c’est-à-dire à l’avènement du Christ, en qui tout est récapitulé et se montre comme faisant partie du divin κόσμος .

Quand Auguste ordonna la publication de l’Enéide – dont Virgile avait ordonné dans son testament la destruction, la considérant incomplète – la Pax Romana venait de commencer dans tout l’Empire ; une paix accordée au monde pour accueillir l’Incarnation du Fils de Dieu et arracher l’humanité à l’esclavage de Satan. Les échos de cette paix solennelle et sacrée résonnent encore aujourd’hui dans les paroles grandioses du Martyrologe romain, que nous entendrons à nouveau le matin de la veille de Noël :

Fondée par la ville de Rome en l’an sept cent cinquante-deux, la quarante-deuxième année du règne d’Octave Auguste, le monde entier s’est composé en paix… est devenu un homme.

L’an sept cent cinquante-deuxième depuis la fondation de la ville de Rome, l’an quarante-deuxième du règne de l’empereur Octave Auguste, le monde entier étant en paix, . . . Jésus-Christ, Dieu éternel et Fils du Père éternel, désirant consacrer le monde par sa présence très aimante, a été conçu par le Saint-Esprit. . . et est né de la Vierge Marie à Bethléem de Juda, ayant été fait homme.

Quarante ans seulement avant la Naissance du Sauveur, Virgile eut l’occasion de fréquenter les fils d’Hérode venus étudier à Rome. C’est d’eux qu’il a appris les prophéties messianiques de l’Ancien Testament et l’annonce de la naissance imminente du Puer qui est chantée dans sa quatrième églogue :

La Vierge revient déjà, les royaumes de Saturne reviennent,

une nouvelle génération est déjà envoyée du haut des cieux.

Vous n’êtes qu’un enfant nouveau-né, avec qui le fer d’abord

cessera, et toute la nation dorée s’élèvera dans le monde,

chaste faveur Lucine : ton Apollon règne déjà.

Et que Dante montre Statius rappelant au Purgatoire (XXII, 70-72) :

Siècle et renouveler;

la justice revient et la première fois humaine,

et la progéniture est descendue du ciel.

L’âge se renouvelle;

La justice revient, et le temps primitif de l’homme,

et une nouvelle progéniture descend du ciel.

Dans cette attente anxieuse de l’avènement du Christ, Auguste sauve de la destruction le poème de Virgile, y voyant cette aspiration à un monde où règne la paix, après un siècle de guerres civiles. Il voyait en Enée le modèle de ceux qui se reconnaissent pius , en tant qu’ils sont respectueux de la volonté divine et des liens qui en découlent envers leur Patrie [ patrie ] et leur famille, insérés par la Providence dans les événements contingents de l’histoire, participant à la volonté de Dieu fixée dans l’éternité.

On comprend aisément que l’âme d’une personne droite et honnête, même privée de la Foi, puisse se sentir portée à une noble destinée, devant laquelle les dieux faux et menteurs se taisent, la Sibylle reste muette et l’Oracle des Aracœli se retire. On voit alors dans fatalité – fas en latin – la référence au verbe fari, qui signifie « parler » et renvoie à la Parole de Dieu, à la Parole éternelle prononcée par le Père. Le chrétien reste ravi de tant de bonté paternelle, de cette main providentielle qui accompagne l’humanité qui erre dans les ténèbres vers la Lumière du Christ, le Rédempteur du genre humain.

Il y a quelque chose d’ineffable dans cette vision de l’histoire et de l’intervention de Dieu en elle, quelque chose qui touche les âmes et les pousse vers le Bien, éveillant l’espérance d’actes héroïques, d’idéaux pour lesquels se battre et donner sa vie.

C’est sur cette composition parfaite du temporel et de l’éternel, de la nature et de la Grâce, que le monde a pu accueillir et reconnaître le Messie promis, le Prince de la Paix, le Rex pacificus vainqueur du péché et de la mort, le Desideratus cunctis gentibus .

Du Cénacle aux catacombes, des communautés des premiers chrétiens aux basiliques romaines converties au culte du vrai Dieu, s’élève la prière que le Seigneur a enseignée aux Apôtres : adveniat regnum tuum, fiat voluntas tua sicut in cœlo et in terra . Ainsi un empire païen devint le berceau du christianisme, et avec ses propres lois et sa propre influence civile et sociale rendit possible la diffusion de l’Evangile et la conversion des âmes au Christ. Les âmes simples, assurément ; mais aussi les âmes des érudits, des nobles romains, des fonctionnaires impériaux, des diplomates et des intellectuels, qui ont réussi à se voir – comme Pie Enée– engagé dans un dessein providentiel, appelé à donner sens à ces vertus civiques, à cette aspiration à la justice et à la paix qui sans la Rédemption seraient restées incomplètes et stériles.

Le rôle « providentiel » de l’État

L’économie du Salut, dans cette vision « médiévale » et chrétienne des événements, reconnaît aux individus le privilège de faire eux-mêmes partie de ce grand plan de la Providence divine : une actuosa participatio – pardonnez-moi d’emprunter une expression chère aux Innovateurs – de l’homme dans l’intervention de Dieu dans l’Histoire, où la liberté de chacun est confrontée à un choix moral donc décisif pour son destin éternel : un choix entre le Bien et le Mal, entre se conformer à la volonté de Dieu – fiat voluntas tua – et suivre sa propre volonté en lui désobéissant – non serviam .

Or, précisément dans l’adhésion des individus à l’action de la Providence, on comprend comment la société terrestre, qui est composée de ces individus, assume à son tour un rôle dans le dessein de Dieu, permettant aux actions de ses membres d’être dirigées plus efficacement par l’autorité des gouvernants vers le bonum commune qui les unit dans la poursuite d’un même but.

L’État, en tant que société parfaite, c’est-à-dire une société qui possède en elle-même tous les moyens nécessaires à la poursuite du quid unum perficiendum– a donc une fonction propre, principalement ordonnée au bien des citoyens, à la protection de leurs intérêts légitimes, à la protection de la Patrie contre les ennemis extérieurs et intérieurs, au maintien de l’ordre social. Il va sans dire qu’en éprouvant les tentatives et les échecs de ceux qui nous ont précédés – suivant la vision éminemment chrétienne de Giambattista Vico – les peuples civilisés ont su saisir l’importance de l’étude de l’histoire, permettant de réels progrès et reconnaissant la validité de La pensée aristotélicienne-thomiste précisément parce qu’elle s’est développée sur la base de la connaissance de la réalité et non sur la création de théories philosophiques abstraites.

On retrouve cette vision de la bonne gouvernance représentée symboliquement dans les fresques d’Ambrogio Lorenzetti au Palazzo Pubblico de Sienne, confirmant la profonde religiosité de la société médiévale ; une religiosité de l’institution, certes, mais qui était partagée et s’appropriait ceux qui, revêtus de fonctions publiques, considéraient leur rôle comme une expression conforme à l’ordre divin – le κόσμος , justement – imprimé par le Créateur sur le corps social .

De ce rôle historique de l’Empire romain, nous avons un exemple dans l’Enéide (VI, 850-853) :

Souviens-toi que tu gouvernes le peuple romain

ce seront vos compétences, et la manière d’imposer la paix

épargnez les sujets et battez les orgueilleux.

Mais Rome, c’est à toi seul, avec une influence terrible,

Pour gouverner l’humanité et faire obéir le monde,

Disposant de la paix et de la guerre par ta propre voie majestueuse ;

Pour apprivoiser l’orgueilleux, l’esclave enchaîné à la liberté :

Ce sont des arts impériaux, et dignes de toi.

C’est la conscience de cette mission providentielle qui a fait la grandeur de Rome ; c’est la trahison de cette tâche due à la corruption des mœurs qui a décrété sa chute.

Le concept de laïcité et la sécularisation du pouvoir

Il n’aurait pas pu en être autrement, puisque le concept de « laïcité de l’État » était complètement impensable pour les dirigeants et les sujets des nations occidentales de toute époque antérieure à la pseudo-réforme protestante. Ce n’est que depuis la fin de la Renaissance que la théorisation de l’athéisme a permis la formulation d’une pensée philosophique qui soustrait l’individu au devoir de reconnaître et de rendre un culte public à la divinité ; et, à partir des Lumières, les principes maçonniques se sont répandus à travers la sécularisation forcée de la société civile suite à la Révolution française, le renversement des monarchies de droit divin et la féroce persécution de l’Église catholique.

Aujourd’hui, le monde contemporain considère comme un mérite de revendiquer sa propre laïcité, alors que dans le monde gréco-romain la rébellion contre les dieux était considérée comme une marque d’impiété et un signe de révolte contre l’État, dont l’autorité était l’expression d’un pouvoir sanctionné et ratifié d’en haut. Discite justitiam moniti, et non temnere divos – Apprends la justice, et prends garde de mépriser les dieux – avertit Phlégyas, qui fut jeté dans le Tartare et condamné à crier cet avertissement sans répit ( Æn. , VI, 620). La culture classique dont nous avons hérité comme prémisse naturelle pour la diffusion du christianisme, et que le Moyen Âge a reconnue et valorisée, est donc fondée sur le devoir de ne pas mépriser les dieux , montrant comment l’absence de religion est la cause de la ruine de la Nation, de la trahison de la Patrie à l’instauration de la tyrannie, de la promulgation ou de l’abolition des lois au nom de l’intérêt économique à la violation des préceptes les plus sacrés de la vie civile.

Pour montrer à quel point ces peurs étaient fondées, nous osons contempler les ruines de notre société contemporaine, capable de légitimer des horreurs sans précédent telles que le meurtre d’innocents dans l’utérus, la corruption d’enfants par la théorie du genre et la sexualisation de l’enfance, et leur exploitation dans les rituels infernaux du lobby pédophile, dont les membres infâmes occupent des postes de pouvoir et que personne n’ose jusqu’ici tenter de condamner. Le monde contemporain est gouverné par une secte de serviteurs du diable voués au mal et à la mort. Ceux qui se taisent, fermant les yeux devant de telles monstruosités, sont les complices coupables de ces crimes horribles qui crient vengeance devant Dieu.

Le caractère sacré de l’autorité

Jusqu’à la Révolution française, les gouvernants trouvaient leur légitimité dans l’exercice de l’autorité au nom de Dieu, et en même temps les gouvernés voyaient leurs droits protégés contre les abus de pouvoir, puisque l’ensemble du corps social était hiérarchisé sous le pouvoir suprême, du Seigneur unique, qui a été reconnu comme Rex tremendæ majestatis précisément parce qu’il est le juge même des rois et des princes, des papes et des prélats. Couronnes, diadèmes et mitres parsèment les représentations de l’Enfer dans les scènes du Jugement dernier peintes dans nos églises.

Cette sacralité de l’autorité n’est pas un concept ajouté après coup à un pouvoir né neutre à l’origine. Au contraire, tout pouvoir a toujours trouvé son origine dans la référence à la divinité, tant en Israël que chez les nations païennes, qui ont ensuite acquis dans le monde occidental la plénitude de l’investiture surnaturelle avec l’avènement du christianisme et sa reconnaissance comme religion d’État par l’empereur Théodose. Ainsi l’empereur d’Orient était César dans une cour qui, à Byzance, parlait en latin ; le tsar des Russies et le tsar des Bulgares étaient également des Césars, et enfin il y avait le Saint Empire romain germanique, dont le dernier souverain, le bienheureux Karl von Habsburg, fut renversé par la franc-maçonnerie au moyen de la Première Guerre mondiale.

L’éducation des futurs souverains, de la noblesse et du clergé était tenue en haute estime et ne se limitait pas à dispenser un enseignement intellectuel et pratique, mais prévoyait nécessairement une formation morale et spirituelle spécifique assurant des principes solides, l’habitude de la discipline, la capacité de maîtriser ses passions et la pratique des vertus du gouvernement. Tout un système social a rendu ceux qui exerçaient l’autorité conscients de leur responsabilité devant le Christ-Roi, seul détenteur de la seigneurie temporelle et spirituelle que ses ministres sur la terre devaient exercer dans un cadre strictement indirect. Pour cette raison, comme cela s’est produit par exemple dans le cas de Frédéric II de Souabe, la supériorité de l’Autorité spirituelle de l’Église sur l’autorité temporelle des Souverains a permis au Pontife romain de libérer les sujets d’un Roi qui abusait de son pouvoir de leur lien d’obéissance.

La sécularisation étendue à toute autorité

La sécularisation de l’autorité civile a été suivie plus récemment par la sécularisation de l’autorité religieuse qui, avec le Concile Vatican II, a été significativement dépouillée – et pas seulement extérieurement – ​​de sa sacralité au profit d’une vision profane (et révolutionnaire) dans laquelle le pouvoir ecclésiastique vient d’en bas, en vertu du seul Baptême, et est déléguée par le « peuple sacerdotal » à ses représentants, auxquels sont conférées diverses tâches de « présidence », comme dans les sectes calvinistes.

Le paradoxe est ici d’autant plus évident qu’il introduit dans l’Église – déformant ainsi sa nature – la dynamique de tolérance au sein d’une société civile qui ne reconnaît pas les droits de la vraie religion, et finit par les légitimer en les faisant siens. Dans cette perspective, les très graves déviations propagées aujourd’hui par le Synode sur la synodalité dans un ton démocratique et parlementaire ne sont rien d’autre que la mise en pratique des principes théorisés par le Concile, pour lesquels la laïcité – c’est-à-dire la rupture du lien entre l’autorité terrestre et sa légitimation surnaturelle – aurait dû s’étendre à toute société humaine, et en même temps exclure toute tentation « théocratique » comme obsolète et inopportune.

Inévitablement, aucune autorité n’était hors de portée de ce processus, du pater familias à l’enseignant, du magistrat au fonctionnaire du gouvernement. Le devoir de ceux qui étaient soumis à l’autorité de lui obéir et de ceux qui exerçaient l’autorité de l’administrer avec sagesse et prudence rappelaient la paternité divine de Dieu. En tant que telle, elle devait être délégitimée, car la rébellion est avant tout contre l’autorité de Dieu le Père. La révolution des « Soixante-Huit » n’était qu’une émanation de la Révolution, dans laquelle tout ce que le libéralisme avait conservé à des fins d’utilitarisme ou de commodité pour se garantir un minimum d’ordre social a finalement été démoli, conduisant les nations occidentales à l’anarchie.

L’action subversive des sociétés secrètes

La secte infâme, consciente de la puissance de l’alliance entre Trône et Autel, complota dans l’ombre pour corrompre les souverains et attirer la noblesse dans ses rangs, à commencer par la dynastie capétienne. En réalité, déjà dans les Principautés allemandes avec l’hérésie protestante, puis dans l’Angleterre d’Henri VIII avec le schisme anglican, il y avait des conventicules actifs d’initiés de matrice gnostique qui s’opposaient à la papauté et aux souverains légitimes qui lui étaient fidèles.

Il est cependant certain et documenté que la Révolution a constitué le principal instrument par lequel les sociétés secrètes ont frappé les nations catholiques pour les arracher à la Foi et les asservir à leurs fins idéologiques et économiques, et partout où la Franc-Maçonnerie a réussi à agir, elle a toujours eu recours à les mêmes outils et la même propagande, afin d’obtenir la sécularisation des institutions publiques, l’annulation de la religion d’État, l’abolition des privilèges ecclésiastiques et de l’enseignement catholique, la légitimation du divorce, la dépénalisation de l’adultère et la propagation de la pornographie et d’autres formes de vice.

Parce que ce monde chrétien dans tous les aspects de la vie quotidienne devait être effacé et remplacé par une société impie et irréligieuse vouée à la satisfaction des plaisirs les plus bas, se moquant de la vertu, de l’honnêteté et de la rectitude : ce sont les « acquis » de l’idéologie libérale, qui l’anticléricalisme le plus abject appelle « progrès » et « liberté ».

Les innombrables condamnations par le Magistère des sectes secrètes étaient amplement justifiées par la menace à la paix des nations et au salut éternel des âmes. Tant que l’Église eut un allié valable dans l’autorité civile, l’action de la franc-maçonnerie progressa lentement et fut contrainte de dissimuler son intention criminelle.

Ce n’est qu’avec la corruption de l’autorité ecclésiastique, poursuivie par un patient travail d’infiltration et achevé à la fin du XIXe siècle grâce au modernisme, que la franc-maçonnerie put compter sur la complicité de clercs insoumis et fornicateurs, égarés dans l’intellect et volonté, et qui ont ainsi été facilement réduits en esclavage et soumis à un chantage. Leur ascension dans les rangs de l’Église, stoppée par la vigilance prévoyante de saint Pie X, reprend tranquillement dans les dernières années du pontificat d’un Pie XII affaibli, et connaît un essor sous Jean XXIII, lui-même probablement membre d’une loge ecclésiastique. Une fois de plus, nous voyons comment la corruption des individus contribue à la dissolution de l’institution à laquelle ils appartiennent.

La révolution civile, sociale et économique

La Révolution commencée en France en 1789 eut les mêmes modes de mise en œuvre : d’abord la corruption de l’aristocratie et du clergé ; puis l’action des sociétés secrètes qui s’infiltraient partout ; puis la propagande médiatique contre la Monarchie et l’Église, et en même temps l’organisation et le financement d’émeutes et de manifestations de rue pour inciter le peuple, qui était appauvri et accablé d’impôts en raison des spéculations de la haute finance internationale et de l’insuffisance de l’État aux mutations du système économique européen.

Dans ce cas également, le levier principal qui a permis à la théorie subversive de la franc-maçonnerie de se traduire en une véritable révolution était représenté par la classe qui avait le plus grand intérêt à s’approprier les biens des nobles et de l’Église, non seulement pour brader un bien inestimable patrimoine immobilier, meubles, objets d’art, mais aussi pour transformer radicalement le tissu socio-économique traditionnel, à commencer par l’exploitation des grands domaines, jusque-là pour la plupart laissés à produire leurs récoltes selon des rythmes naturels et des systèmes archaïques.

En fait, après la Révolution française, nous avons eu la Première Révolution industrielle qui, avec l’invention de la machine à vapeur et la mécanisation de la production, a imposé les migrations massives d’ouvriers et de paysans des champs vers la métropole afin de les convertir en main-d’œuvre bon marché, après les avoir privés de la possibilité d’avoir des moyens de subsistance autonomes et les avoir induits à la misère avec de nouveaux impôts et taxes.

La deuxième révolution industrielle a eu lieu entre le Congrès de Paris (1856) et le Congrès de Berlin (1878), impliquant principalement l’Europe, les États-Unis et le Japon dans de nouvelles avancées technologiques forcées telles que l’électricité et la production de masse.

La troisième révolution industrielle a commencé dans les années 1950 et s’est étendue à la Chine et à l’Inde, et a concerné principalement l’innovation technologique, informatique et télématique, puis s’est étendue à la nouvelle économie, l’économie verte, et le contrôle des informations.

Cela était censé créer un climat culturel de confiance néopositiviste dans les possibilités de la science et de la technologie pour assurer le bien-être matériel de l’humanité. L’action de manipuler les masses a donné une large place à l’imagination de ce que la société pourrait devenir, en la suggérant à travers le thème cinématographique de la science-fiction.

Depuis l’année 2011, la quatrième révolution industrielle a enfin commencé, qui consiste en l’interpénétration croissante entre le monde physique, numérique et biologique. Il s’agit d’une combinaison des avancées de l’intelligence artificielle (IA), de la robotique, de l’Internet des objets (IoT), de l’impression 3D, du génie génétique, des ordinateurs quantiques et d’autres technologies. Le théoricien de ce processus dystopique est le tristement célèbre Klaus Schwab, fondateur et directeur exécutif du Forum économique mondial.

La sécularisation de l’autorité comme prémisse du totalitarisme

Séparer artificiellement l’harmonie et la complémentarité hiérarchique entre l’autorité spirituelle et l’autorité temporelle était une opération malheureuse qui prévoyait, aussi souvent qu’elle était réalisée, soit la tyrannie, soit l’anarchie. La raison n’en est que trop évidente : le Christ est Roi à la fois de l’Église et des Nations, car toute autorité vient de Dieu (Rm 13, 1). Nier que les gouvernants aient le devoir de se soumettre à la Seigneurie du Christ est une très grave erreur, car en l’absence de la loi morale, l’État peut imposer sa propre volonté indépendamment de la volonté de Dieu, et donc subvertir le divin κόσμος de la Civitas Dei , en le remplaçant par l’arbitraire et le χάος infernal de la civitas diaboli .

Aujourd’hui, les nations occidentales sont prises en otage par des potentats qui ne répondent ni à Dieu ni au peuple de leurs décisions, car ils ne tirent leur légitimité ni d’en haut ni d’en bas.

Le coup d’État qui a été préparé et exécuté par le lobby subversif du Forum économique mondial a effectivement évincé les gouvernements de leur statut d’indépendance par le biais de pressions extérieures et a privé les États de leur souveraineté. Mais ce processus dissolutif a maintenant été exposé à cause de l’arrogance avec laquelle les satrapes du Nouvel Ordre Mondial – tout est nouveau quand cela les concerne, et tout est vieux quand il doit être renversé – ont révélé leurs plans, estimant qu’ils sont maintenant proches de la victoire finale.

Au point que même des intellectuels certainement pas accusés de conservatisme se mettent à dénoncer l’ingérence intolérable de Klaus Schwab et de ses sbires dans le gouvernement des nations. Il y a quelques jours le Pr Franco Cardini déclarait : « Les forces qui gèrent désormais l’économie et la finance choisissent, corrompent et déterminent la classe politique, qui devient ainsi un comité d’entreprise ».

Et l’on sait bien que derrière ce « comité d’affaires » se cachent des visées de profit aveugle, au détriment de l’économie des Etats, mais aussi des projets inquiétants de contrôle minutieux de la population, de dépopulation forcée, de chronicisation des maladies. face à la privatisation totale des services publics. La mentalité qui préside à cette Grande Réinitialisation est la même qui animait la bourgeoisie et les usuriers des siècles passés, soucieux d’exploiter les grands domaines que la noblesse et le clergé ne considéraient pas comme une source de profit.

Je le hais car il est chrétien,

Mais plus pour ça en basse simplicité

Il prête de l’argent gratuitement et fait tomber

Le taux d’utilisation ici avec nous à Venise.

Pour ces personnes, l’humanité est une entrave gênante qu’il faut rationaliser et instrumentaliser dans la poursuite de leurs objectifs criminels, et la morale chrétienne est un obstacle odieux à l’établissement d’un gouvernement aux mains de la finance. Si cela est possible aujourd’hui, c’est qu’il n’y a pas de référence morale transcendante qui arrête leurs délires, ni de pouvoir qui échappe à cet ignoble asservissement aux intérêts privés. Et ici, nous comprenons que la situation actuelle est essentiellement une crise d’autorité, au-delà de la compréhension des individus quant à la menace posée par le coup d’État mondial de l’élite usuraire.

La Nativité du Christ

La Naissance du Sauveur a représenté la percée de l’éternité dans le temps et l’Histoire, avec l’Incarnation de la Deuxième Personne de la Très Sainte Trinité dans le sein virginal de Marie Très Sainte. En la personne de Notre-Seigneur, vrai Dieu et vrai homme, l’autorité de Dieu s’ajoute à celle du descendant de la semence royale de David, et la Rédemption du genre humain par le Sacrifice de la Croix rétablit dans l’économie de la Grâce l’ordre divin brisé par le péché originel inspiré par le Serpent.

L’Enfant Roi, couché dans la crèche, se montre à l’adoration des bergers et des mages, enveloppé de langes, comme c’était l’apanage des souverains : et hoc vobis signum (Lc 2, 6). Il remue les étoiles et est honoré par les anges, mais il choisit la crèche pour son trône, la pauvre hutte de Bethléem pour son palais terrestre, tout comme au Golgotha ​​– et aussi dans la vision de l’Apocalypse – c’est la Croix qui est le trône de gloire.

Notre-Seigneur reçoit l’hommage des sages d’Orient en reconnaissance de ses titres de Roi, de Prêtre et de Prophète ; mais déjà il doit fuir celui qui voit en Lui une menace pour sa puissance. Hérode insensé et cruel, qui ne comprend pas quenon eripit mortalia, qui regna dat cœlestia – Il n’enlève pas les royaumes terrestres, qui accorde les royaumes célestes.

Insensés et cruels sont les puissants d’aujourd’hui, qui dans le massacre de millions d’innocents – un massacre perpétré contre leurs corps comme contre leurs âmes – veulent consolider leur tyrannie de la mort, et qui dans l’esclavage des peuples renouvellent leur rébellion contre le Roi des rois et le Seigneur des princes, qui a racheté ces âmes par Son propre Sang.

Mais c’est dans l’humble affirmation de sa Seigneurie que l’Enfant de Bethléem manifeste la divinité du Fils de Dieu dans l’union hypostatique de l’Homme-Dieu. Une divinité qui allie la toute-puissance du Pantocrator à la fragilité du bébé non sevré, le formidable jugement du Juge Suprême au cri du nouveau-né, l’immuable éternité de la Parole de Dieu au silence de l’enfant, la splendeur de la gloire de la Majesté divine avec la misère d’un abri pour animaux dans la nuit froide de la Palestine.

Dans cette contradiction apparente qui unit merveilleusement la divinité à l’humanité, le pouvoir à la faiblesse, et la richesse à la pauvreté, nous trouvons aussi la leçon que nous tous, et particulièrement ceux qui sont constitués en autorité, devons tirer pour notre vie spirituelle et pour notre survie même. .

Même le Souverain, le Prince, le Pontife, l’Évêque, le magistrat, l’enseignant, le médecin et le père jouissent d’un pouvoir qui puise dans la sphère de l’éternité, dans la Royauté divine du Fils de Dieu, car dans l’exercice de leur autorité ils agissent au nom de Celui qui la légitime tant qu’elle reste fidèle à ce pour quoi elle a été voulue.

Quiconque vous écoute, M’écoute. Et celui qui me méprise méprise celui qui m’a envoyé (Lc 10:16).

Pour cette raison, obéir à l’autorité civile et ecclésiastique signifie obéir à Dieu, dans l’ordre hiérarchique qu’Il a décrété. Pour cette raison, désobéir à ceux qui abusent de leur autorité est également nécessaire, afin de sauvegarder cet ordre qui a son centre en Dieu, et non dans le pouvoir terrestre qui en est le vicaire. Sinon, on finit par adorer celui qui détient le pouvoir, en lui rendant l’hommage auquel il n’a droit que dans la mesure où il est à son tour soumis à Dieu.

Aujourd’hui, cependant, l’hommage à ceux qui détiennent des positions de pouvoir non seulement n’a aucun lien de subordination due au Christ Roi et Pontife, mais est plutôt Son ennemi. Et aussi, où la prétendue souveraineté populaire propagée par la chimère de la démocratie s’est révélée être une tromperie colossale contre ce peuple qui n’a personne à qui faire appel pour voir ses droits protégés. D’autre part, quels « droits » pourraient revendiquer ceux qui ont toléré qu’ils usurpent Dieu ? Comment s’étonner que le pouvoir se transforme en tyrannie quand on accepte qu’il n’a plus aucun rapport avec le transcendant, seul garant de la justice pour le pauvre, l’exilé, l’orphelin et la veuve ?

Rétablir toutes choses en Christ

Le triomphe apparent des méchants – des criminels du Forum économique mondial aux hérétiques de la « voie synodale » – nous confronte à la dure réalité du Mal, voué à la défaite définitive, mais aussi permis par la Providence comme instrument de punition pour humanité capricieuse.

Parce que la pauvreté, les épidémies, la misère induite par les crises planifiées, les guerres impitoyables motivées par des intérêts économiques, la corruption des mœurs, le massacre des innocents reconnu comme un « droit de l’homme », la dissolution de la famille, la ruine de l’autorité, la dissolution de la civilisation, la barbarie de la culture et de l’art, l’anéantissement de tout élan vers la vertu et le Bien, tout cela n’est que la conséquence nécessaire d’une trahison opérée progressivement mais toujours dans le même sens, et ce n’est toujours qu’une introduction du pire c’est encore :non serviam contre la Majesté divine, qui devient d’autant plus impitoyable et furieuse que grandit la présomption satanique de pouvoir gagner une bataille dont Satan sortira éternellement vaincu.

Dors, ô enfant ; ne pleure pas;

Dors, ô enfant céleste :

Les tempêtes n’oseront pas

Faire rage contre ta tête,

Utilisé sur la terre d’autrefois

Comme des chevaux de bataille avant

Ton très face à face !

Récapituler toutes choses dans le Christ (Ep 1, 10), signifie recomposer l’ordre brisé par le péché, tant dans l’ordre naturel que dans l’ordre surnaturel, tant dans la sphère privée que dans la sphère publique, restituant la Couronne royale au Roi de rois, à qui dans un délire de ὕβρις la Révolution l’a enlevée; et, avant même, restituer la triple couronne au Souverain Pontife, arrachée par l’idéologie de Vatican II et par l’apostasie de ce « pontificat ».

Papes et Rois, prélats et chefs des nations, fidèles de l’Église et citoyens des États, tous doivent revenir, dans une palingénésie mûe par la Grâce, au Christ, au Christ Roi et Pontife, à l’unique Vengeur des vrais droits de Son peuple, à l’unique Protecteur des faibles et des opprimés, à l’unique Conquérant de la mort et du péché. Et dans ce chemin de retour vers le Christ, l’humilité nous guidera pour savoir retracer à rebours le chemin facile de perdition que nous avons entrepris en abandonnant le chemin du Calvaire tracé pour nous par le Seigneur. C’est un chemin qu’Il a parcouru le premier, et sur lequel Il nous accompagne par la Grâce des Sacrements, qui conduit à la Croix comme seule prémisse à la gloire de la Résurrection.

Celui qui croit qu’en continuant sur cette voie il est possible de changer les choses ; qu’une limite peut être placée sur l’idéologie de la mort et du péché du Nouvel Ordre Mondial ; que les méchants puissent être empêchés de propager les horreurs de la pédophilie, de la perversion, de l’annulation des sexes, du meurtre d’enfants, des faibles et de personnes âgées, est illusoire.

Si le monde est devenu un enfer grâce à la Révolution, il ne peut redevenir moins mauvais et moins meurtrier qu’avec une action contre-révolutionnaire. Si la Hiérarchie est devenue un réceptacle d’hérétiques, de corrompus et de fornicateurs grâce à Vatican II et à la liturgie réformée, elle ne peut redevenir l’image de la Jérusalem céleste qu’en revenant à ce que les Apôtres, Pères et Docteurs, Saints, Papes et Les évêques l’ont fait jusqu’avant le Concile.

Continuer sur le chemin de la perdition conduit, en effet, à la perdition.

Plus tôt chacun de nous sera capable de renforcer son appartenance au Christ, plus tôt la société commencera son retour vers son Seigneur. Et cette appartenance inconditionnelle à un Dieu qui s’est incarné pour nous racheter doit commencer par l’humble adoration de l’Enfant Roi, au pied de la crèche, avec les bergers et les mages.

Dors, ô enfant céleste :

Les nations ne savent pas

qui est né ;

Mais le jour viendra

Quand ils seront

Votre noble héritage;

Toi qui dors si humblement,

Toi qui es caché dans la poussière :

Ils vous connaîtront comme roi.

Puisse venir pour nous tous le moment béni où, touchés par la Grâce et émus par la vision salutaire de l’enfer sur terre qui se prépare si nous restons inertes pendant que s’installe la dystopie mondialiste, nous reconnaissons le Roi. Et dans lequel, en Le reconnaissant, nous pouvons combattre sous Ses saints insignes avec le redoutable Vainqueur de Satan – l’Immaculée – la bataille historique contre l’Ennemi de l’humanité. Ce sera une créature – une Femme, une Vierge, une Mère – qui écrasera la tête de l’ancien Serpent, et avec elle la tête de ses disciples maudits.

Et qu’il en soit ainsi.

+ Carlo Maria Viganò, archevêque

17 décembre 2022

Samedi de l’Avent des Quatre Saisons »

09 décembre

LA DYNAMIQUE DU SYSTÈME DE L'ANTICHRIST

Les aveugles conduisent des aveugles.

« Or, si un aveugle conduit un aveugle, ils tomberont tous deux dans la fosse. »

Le regretté Serge Monast avait vu juste : « Le nouveau critère sera ainsi défini : Les vrais chrétiens seront ceux qui partageront toutes les croyances religieuses du Nouvel Ordre Mondial en tant que nécessité de base pour la survie de l’humanité. » (Serge Monast, Le Complot des Nations-Unies contre la Chrétienté,1995; voir aussi 29 juillet 2021)

Ne croyez vous pas vivre cette période ultime?

Le système Antichrist tel un pieuvre géante emprisonne ses proies une à une.

Seuls lui échappent ceux qui vivent hors de Babylone, les chrétiens fidèles à la Loi et aux Prophètes, les deux témoins de l’Apocalypse.

Ce système est représenté par les bêtes à sept têtes et dix cornes de l’Apocalypse, en plus du faux témoin sur le trône de Saint-Pierre.

Depuis la pandémie, il est évident que ceux qui sont à la tête des pays ne sont que des clones, des « têtes » faisant parties d’une puissance temporelle  supérieure, qui a toujours aimé vivre dans l’ombre mais qui n’a plus peur de s’étaler au grand jour maintenant qu’elle pense gagner la guerre à l’Agneau… Car c’est cela qui est au cœur de cette guerre.

Les gouvernants appliquent les directives en restreignant les libertés d’être et de penser.

Ils appliquent des lois et des principes qui sont contre nature, légitimant ainsi le péché, tout comme le fait Bergoglio au Vatican.

Ainsi, ceux qui ne pensent pas comme le système sont carrément rejetés, mis de côté, et bientôt, on leur coupera les vivres grâces à la monnaie électronique.

Il n’est pas étonnant d’avoir le sentiment de vivre dans un monde de fous.

La rage de Satan est telle qu’il pousse même l’humanité à détruire la planète qui la fait vivre au nom de l'économie.

Ce n’est pas les cris désespérés de la jeunesse qui y changera grand-chose car elle est envoûtée dans la nouvelle religion humaniste basée sur les droits de l’homme et le « saint » réchauffement climatique.

On le sait. La puissance supérieure qui mène se réserve son paradis terrestre... après avoir réduit la population à un niveau acceptable.

 « ...L'Église, sous le pouvoir de l'Anti-Pape, sera absolument identique à l'Église de Jérusalem au temps de Jésus-Christ. Elle partagera l'idéologie des Nations-Unies de la même manière que les Prêtres du Temple partageaient l'Idéologie et le Pouvoir avec les Romains. Elle conservera les croyances en Jésus-Christ comme façade afin de dissimuler ses réels intérêts qui seront, en réalité, la richesse, le Pouvoir Politique et Religieux, et l'opportunisme sur tous les fronts tel que cela était le cas de l'Église de Jérusalem au temps de l'Empire Romain. Elle établira de nouveaux ''Concepts Religieux'', tous basés sur la divinité de l'Homme où celui-ci sera considéré comme étant le ''Centre''... ... En accord avec l'Agenda International à remplir, la première initiative de l'Anti-Pape en sera une de réconciliation truquée avec l'ensemble des Églises Chrétiennes du monde... L'élection d'un Anti-Pape aura eu pour effet de provoquer un ''Schisme'' majeur, supposé être le dernier devant survenir dans le Monde Chrétien…

Voici donc le «Mensonge des Mensonges»! Voici «l'Abomination des Abominations»! Les faux chrétiens étant à la tête de la nouvelle église mondiale; et prétendant être les seuls et uniques représentants de Jésus-Christ d'un côté; de l'autre, les vrais et réels disciples de Jésus-Christ sur la route du Calvaire considérés comme étant les ennemies de l'État Mondial tel que cela était le cas, il y a deux milles ans, en face des prêtres de Jérusalem, et en face de l'empereur romain à Rome.» (S.Monast, idem ci-haut)

« … En outre, la quantité de lois, de décrets et de règlements est telle que non seulement il devient nécessaire de faire appel à des experts pour savoir si une certaine action est permise ou interdite, mais que même les fonctionnaires chargés de faire appliquer les règles deviennent confus et contradictoires.

Dans une telle société, l’art de vivre ne peut que consister à minimiser l’obligatoire et l’interdit et, à l’inverse, à maximiser le permis, seul domaine dans lequel sinon le bonheur, du moins la joie devient possible. Mais c’est précisément ce que les misérables qui nous gouvernent font tout pour empêcher et rendre difficile, en multipliant les règles et les règlements, les contrôles et les vérifications. Jusqu’à ce que la morne machine qu’ils ont construite se ruine, bloquée par les règles et les dispositifs mêmes qui étaient censés lui permettre de fonctionner. » (benoit-et-moi.fr)

Alors...

« Qui commande dans le monde (occidental) aujourd’hui?

... Il n’y a plus que la réalité d’un modèle unique, macrolibéral, turbo-capitaliste, garni d’une idéologie unique, libérale, humanitaire et progressiste. Mais il n’y a plus de concurrence de modèles, ni même de référence visible à un État et à une souveraineté ; il n’y a que la domination réelle et globale d’un système de commandement, qui se présente comme unique, irréversible, indépassable. Il n’y a pas de droite ou de gauche, de conservateur ou de progressiste, par rapport à ce système impersonnel, acéphale et polycentrique… Dans ce contexte, tout leadership, à commencer par celui qui reçoit une investiture démocratique et populaire, disparaît. Les chefs d’État et de gouvernement ne sont que des hologrammes, des larves, des fantômes en transit qui donnent un visage délavé et provisoire au pouvoir qui les surplombe ; des figurations mimétiques d’un Système techno-financier inoxydable qui veille sur le sort de l’humanité et décide en dernier ressort de l’agenda des événements, fabrique les lignes directrices et façonne l’opinion publique, ou déstructure toute autre opinion qui n’est pas alignée ou favorable à son système.

Tel est l’Occident aujourd’hui. Non pas une civilisation, ou une représentation plurielle du monde libre et de la pensée indépendante, mais son contraire.

Pourtant, il se présente sous une forme qui préserve l’aspect rassurant d’un système évolué et global, fondé sur la liberté et la démocratie, voire articulé sur les droits de l’homme, la paix même au prix de la guerre, l’inclusion même au prix de lourdes exclusions, la liberté infinie des désirs même au prix de la suppression de tout ce qui ne se conforme pas à ce cadre. Il n’y a rien qui rappelle la civilisation, et donc les traditions, les identités, les différences ; il n’y a que la mégamachine totalitaire dans l’infini du présent global.

La contestation ne connaît aucun exutoire, toute tentative de déviation est durement punie et réprimée ; les Trump et les Johnson sont expulsés dès qu’ils présentent une quelconque difformité, il n’y a pas de place pour des leaderships qui ne soient pas totalement inféodés au Pouvoir dominant. Il est obligatoire de croire que nous vivons dans le Meilleur des Mondes possibles. » (benoit-et-moi.fr)

« La société moderne est en train de formuler une foi antichristique, à laquelle on ne peut s’opposer sans être puni par l’excommunication sociale. Il est donc plus que naturel d’avoir peur de cette force spirituelle de l’Antéchrist, et il faut vraiment l’aide de la prière d’un diocèse entier, et de l’Église universelle pour y opposer de la résistance. » (Benoît XVI)

Tel est la dynamique de l’Antichrist.

Un système où tous étouffent sans le savoir, où règne la peur et les fausses paix, où les âmes… meurent.

Hors de Babylone sont ceux qui sont dans la chair mais ne vivent pas selon la chair. Ils passent leur vie sur la terre tout en contemplant le  ciel car NSJC leur a promis. Ils obéissent aux lois établies, en rendant à César ce qui est à César, et leur manière de vivre surpasse toutes les lois.

Il n’y a pas de sortie possible sans un système basé sur le Christ Roi.

Novembre 2022

25 novembre

LA BÊTE EST SORTIE DE L’EAU

Comme les événements se précipitent…

Nous ne pouvons plus parler de la bête au futur.

Elle se montre et le peuple chloroformé par ses appétits matérialistes ne réagit même pas.

Effectivement, les politiciens issus de l’école du Forum Économique Mondial l’admirent, et les élites milliardaires montés sur l’autel suprême de leur montagne de profits se donnent le droit d’être les nouveaux gourous planétaires, les nouveaux messies qui prennent la place de Dieu et dictent leur monde idéal.

C’est la fusion entre le politique et le privé, le système Antichrist.

Rappelez-vous « la bête est là » d’Emmanuel Macron.

Rappelez-vous La bête « Gardien de la Paix et de la Sécurité » a été placée aux Nations-Unies le 21 décembre 2021.

Et cette semaine à l’APEC (Asia-Pacific Economic Cooperation) :

« Êtes-vous du côté américain ou chinois ? Parce que maintenant, progressivement, beaucoup de gens aimeraient voir qu'il y a deux ordres dans ce monde. C'est une énorme erreur, même pour les États-Unis et la Chine.

"Nous avons besoin d'un ordre mondial unique" (Emmanuel Macron). »

Tout juste après le G20 et le B20 (Le forum du B20 de représentants d'entreprises a une ligne de communication directe avec les dirigeants du Groupe de 20 (G20). Le secteur privé formule des recommandations de politique générale lors de la réunion annuelle du G20).

Et le président du Forum Économique Mondial, Klaus Schwab a eu droit son moment durant ce B20 :

« 1. … Nous pouvons parler d’une multi-crise, une crise économique, politique, sociale, écologique et institutionnelle, mais en fait ce à quoi nous devons faire face est une profonde restructuration systémique de notre monde, et cela prendra un certain temps, et le monde aura une apparence différente après que nous ayons terminé le processus de transition.

Politiquement les forces qui dirigent la transformation politique est une transition vers un monde multipolaire, qui a la tendance à rendre notre monde plus fragmenté.

Pour ces raisons, les événements comme le B20, le G20, et ainsi de suite, sont des connecteurs des plus importants pour éviter une plus grande segmentation.

Je dirais, « blocalisation » au lieu de « globalisation » de notre monde.

Si vous regardez les forces de transformations économiques, je voudrais juste en citer quatre :

a. la transition énergétique.

b. la transformation de nos chaînes d’approvisionnement.

c. l’intégration des coûts externes tel que la gestion des plastiques dans les océans.
C’est pourquoi en marge du B20 et du G20, je profite de l’occasion pour annoncer la création d’un O20 pour prendre soin de nos océans.

d. nous voyons les conséquences de la militarisation de nos économies. Maintenant, tout cela signifie, c’est qu’une transformation de nos économies vont amener des réductions de revenus et des coûts supplémentaires aux entreprises, ce qui peut conduire à de vastes tensions sociales que nous voyons se développer dans le monde maintenant.

Comment pouvons nous faire face à une telle transition qui peut durer plusieurs années?

N’appliquez pas seulement la gestion de crise, ni juste réagir, mais construisez le futur avec un but.

Nous devons utiliser ce temps de transition avec en vue un concept clair de ce que nous voulons accomplir, de réaliser comment nous voulons sortir de cette période de transition : nous voulons en sortir avec un monde plus durable, plus résilient et plus inclusif.

2. … révolution des forces industrielles… bref AI, technologie quantique, monde de Meta, etc.  La force de cette révolution est différente :

    • sa portée, non seulement une ou deux innovations mais l’ensemble de la technologie (donc un messie technologique est annoncé) qui va complètement changer la manière dont nous produisons, dont nous consommons, dont nous communiquons.

    • La vitesse : nous sommes à un point d’inflexion d’un développement technologique exponentiel. La technologie va changer COMPLÈTEMENT. CELA AURA UN IMPACT MÊME SUR QUI NOUS SOMMES (il mise sur le métaverse).

    • Les gagnants prennent tout car la nouvelle technologie sera très dure à copier. Si vous êtes premiers nés, vous êtes les gagnants, et cela déterminera la concurrence mondiale au niveau national, au niveau des entreprises en large mesure.

Depuis la crise de la Covid on a tendance à penser que les gouvernements ont pris le dessus. NON. Ce devrait être les gouvernements ET les entreprises, qui doivent coopérer pour devenir un POISSON RAPIDE, car dans notre monde d’aujourd’hui, ce n’est plus tellement qui est le gros poisson qui mange le petit poisson, mais c’est le poisson rapide qui mange le poisson lent. Bref intégration des entreprises et des gouvernements est nécessaire pour la gouvernance des nations. »

Ces élites pensent qu’ils ont beaucoup de temps pour compléter leur révolution.

La révolution technologique dont Schwab parle, si on se souvient bien de son livre, c’est la fusion, l’intégration de l’intelligence artificielle dans le corps humain, d’où son exemple chéri du métavers.

C'est le transhumanisme.

C’est inévitable pour eux étant donné qu’ils veulent contrôler tout.

Il faut donc introduire la technologie de contrôle dans le corps humain.

La vitesse d’exécution est rapide: il donne l’exemple lors de l’écriture de son livre il y a 5 ans où il nommait 23 nouvelles technologies dont 5 étaient déjà réalisées. En 2022 dit-il, toutes ces technologies sont réalisées et même dépassées.

Dans les deux prochaines années, nous verront la monnaie numérique de la part des banques centrales, et le contrôle individuel pratiqué avec le passeport Covid implanté, sous prétexte de protection de l’identité des donnés des individus.

Exemples:

– les banques américaines ont lancé leurs pilotes de monnaie numérique pour 2023.

– La banque russe a fait de même, ainsi que la Chine, l’Inde, etc.

– « L’usurpation d’identité touche des centaines de milliers de Canadiens par année, et le Québec est la province où le plus grand nombre de cas sont rapportés. Une des solutions au fléau : l’identité numérique, un projet qui pourrait voir le jour dès 2025 et qui soulève des questions inédites sur la propriété des renseignements personnels des Québécois. « 100 % des Canadiens vont être touchés » » (lapresse.ca)

Tout pointe vers une dictature mondiale, un seul ordre mondial, et une seule religion mondiale.

Les bêtes de la Terre et de la Mer agissent de pair.

Ils pensent qu’ils ont beaucoup de temps parce qu’ils se prennent pour des dieux.

Or, le plan divin suit la tendance de l’église, de son Église.

Et cette Église, elle subit sa passion à l’image du Christ.

Ce plan de Dieu se déroule sous nos yeux et presque personne ne le voit.

Le faux prophète de l’Apocalypse, le grand prêtre du sanhédrin (Vatican II) est sur le trône et il condamne l’Église.

Ce que Mgr Vigano confirme :

      « Viganò: La farce pandémique COVID a servi de ballon d’essai pour le Nouvel Ordre Mondial
  

   ( LifeSiteNews ) — …  Je suis heureux de pouvoir m’exprimer et partager avec vous mes réflexions sur la crise mondiale actuelle.
     

Une crise que l’on peut considérer comme ayant commencé avec l’urgence pandémique, mais dont on sait qu’elle est planifiée depuis des décennies avec des objectifs très précis par des personnalités bien connues.

S’arrêter à la seule pandémie serait en effet une grave erreur, car cela ne permettrait pas d’envisager les événements dans toute leur cohérence et leur interdépendance, nous empêchant ainsi de les comprendre et surtout d’identifier les intentions criminelles qui les sous-tendent.
     
Vous aussi – chacun avec votre propre expertise dans les domaines médicaux, scientifiques, juridiques ou autres – conviendrez avec moi que le fait de vous limiter à votre propre discipline, qui dans certains cas est extrêmement spécifique, n’explique pas complètement la justification de certains choix qui ont été fais par les gouvernements, organismes internationaux et agences pharmaceutiques.

     
Par exemple, trouver du matériel « ressemblant au graphène » dans le sang de personnes qui ont été inoculées avec des sérums expérimentaux n’a aucun sens pour un virologue, mais cela a du sens pour un expert en nanomatériaux et en nanotechnologie qui comprend à quoi peut servir le graphène.

     
Cela a également du sens pour un expert en brevets médicaux, qui identifie immédiatement le contenu de l’invention et le relie à d’autres brevets similaires. Cela a également du sens pour un expert en technologies de guerre qui connaît les études sur l’homme amélioré (un document du ministère de la Défense britannique l’appelle «homme augmenté» en termes transhumanistes) et est donc capable de reconnaître dans les nanostructures de graphène la technologie qui permet l’augmentation de la performance de guerre du personnel militaire.

    

     
Ces derniers jours, lors du sommet du B-20 à Bali, Klaus Schwab a donné des instructions aux chefs de gouvernement – ​​presque tous issus du programme Young Global Leaders for Tomorrow du Forum économique mondial – sur les prochaines étapes à suivre en vue d’établir un gouvernement mondial.

     
Le président d’une organisation privée très puissante avec d’énormes moyens économiques exerce un pouvoir indu sur les gouvernements mondiaux, obtenant leur obéissance de dirigeants politiques qui n’ont aucun mandat populaire pour soumettre leurs nations aux illusions de pouvoir de l’élite : ce fait est d’une gravité sans précédent.

     
Klaus Schwab a déclaré : « Dans la quatrième révolution industrielle, les gagnants prendront tout, donc si vous êtes un précurseur du Forum économique mondial, vous êtes les gagnants » (ici). Ces déclarations très sérieuses ont deux implications : la première est que « les gagnants prendront tout » et seront « gagnants » – il n’est pas clair à quel titre et avec la permission de qui. La seconde est que ceux qui ne s’adapteront pas à cette « quatrième révolution industrielle » se retrouveront évincés et perdront – ils perdront tout, y compris leur liberté. En bref, Klaus Schwab menace les chefs de gouvernement des vingt nations les plus industrialisées du monde de réaliser les points programmatiques de la Grande Réinitialisation dans leurs nations. Cela va bien au-delà de la pandémie : c’est un coup d’État mondial, contre lequel il est essentiel que les peuples se soulèvent et que les organes encore sains des États entament un processus juridique international. La menace est imminente et sérieuse,

     
À la lumière de ces déclarations – et de celles d’autres personnes non moins délirantes que Yuval Noah Harari, le conseiller de Schwab – nous comprenons comment la farce pandémique a servi de ballon d’essai pour imposer des contrôles, des mesures coercitives, restreindre les libertés individuelles et augmenter le chômage et la pauvreté. Les prochaines étapes devront être réalisées au moyen de crises économiques et énergétiques, qui sont essentielles à la mise en place d’un gouvernement synarchique aux mains de l’élite mondialiste.

     
Et ici, chers amis, permettez-moi de parler en tant qu’évêque. Car dans cette série d’événements auxquels nous assistons et que nous continuerons d’assister, votre engagement risque d’être contrecarré ou limité par le fait de ne pas voir sa nature essentiellement spirituelle. Je sais que deux siècles de pensée des Lumières, de révolutions, de matérialisme athée et de libéralisme anticlérical nous ont habitués à penser la Foi comme une affaire personnelle, ou qu’il n’y a pas de Vérité objective à laquelle nous devons tous nous conformer. Mais c’est le fruit d’un endoctrinement propédeutique, bien antérieur à ce qui se passe aujourd’hui, et il serait insensé de croire que l’idéologie anti-chrétienne qui animait les sectes secrètes et les groupes maçonniques du XVIIIe siècle n’avait rien à voir avec l’idéologie anti-chrétienne qui anime aujourd’hui des gens comme Klaus Schwab, George Soros et Bill Gates. Les principes moteurs sont les mêmes : rébellion contre Dieu, haine de l’Église et de l’humanité, fureur destructrice dirigée contre la Création et surtout contre l’homme parce qu’il est créé à l’image et à la ressemblance de Dieu.

     
Si vous partez de cette évidence, vous comprendrez qu’il n’est pas possible de prétendre que ce qui se passe sous nos yeux résulte uniquement de la recherche du profit ou de la volonté de pouvoir. Certes, la partie économique ne peut être ignorée, compte tenu du nombre de personnes qui ont collaboré avec le Forum économique mondial. Et pourtant, au-delà du profit, il y a des buts inavoués qui relèvent d’une vision « théologique » – c’est vrai, c’est inversé, mais toujours théologique – une vision qui voit deux faces opposées : la face du Christ et la face de l’Antéchrist.

     
Il ne peut y avoir de neutralité, car lorsqu’il y a un affrontement entre deux armées, ceux qui choisissent de ne pas combattre font aussi un choix qui affecte l’issue de la bataille. D’autre part, comment est-il possible de reconnaître dans vos nobles et hautes professions l’ordre admirable que le Créateur a placé dans la nature (des constellations d’étoiles aux particules de l’atome) et ensuite nier que l’homme fait aussi partie de cette ordre, avec son sens moral, ses lois, sa culture et ses découvertes ? Comment l’homme, qui est la créature de Dieu, peut-il prétendre ne pas être soumis à des lois éternelles et parfaites ?

     
Notre combat n’est pas contre des créatures faites de chair et de sang, mais contre les Principautés et les Puissances, contre les princes de ce monde de ténèbres, contre les esprits du mal qui habitent les lieux célestes (Eph 6:12).

     
D’un côté, il y a la Cité de Dieu – celle dont parle saint Augustin – et de l’autre, il y a la Cité du diable. On peut dire qu’à cette époque la cité du diable est clairement identifiable dans le mondialisme néo-malthusien, le Nouvel Ordre Mondial, les Nations Unies, le Forum Economique Mondial, l’Union Européenne, la Banque Mondiale, le Fonds Monétaire International, et dans toutes ces soi-disant «fondations philanthropiques» qui suivent une idéologie de la mort, de la maladie, de la destruction et de la tyrannie. Et aussi dans ces forces qui ont infiltré les institutions, que nous appelons l’État profond et l’Église profonde.

     
Par contre, il faut reconnaître que la Cité de Dieu est plus difficile à identifier. Même les autorités religieuses semblent avoir trahi leur rôle d’orientation des fidèles, préférant servir le pouvoir et propager leurs mensonges. Ceux-là mêmes qui devraient protéger et sanctifier les âmes les dispersent et les scandalisent, qualifiant les bons chrétiens de fondamentalistes rigides. Comme vous pouvez le voir, l’attaque est sur plusieurs fronts, et c’est donc une menace mortelle pour l’humanité, frappant à la fois le corps et l’âme.

     
Et pourtant, précisément à une époque où il est difficile de trouver des repères faisant autorité – aussi bien dans le domaine religieux que temporel – on voit de plus en plus de personnes qui comprennent, ouvrent les yeux et reconnaissent le esprit criminel derrière l’évolution des événements. Il est maintenant clair que tout est lié, sans avoir à écarter ceux qui le disent comme des « théoriciens du complot ». Le complot est déjà là : nous ne l’inventons pas, nous le dénonçons simplement, en espérant que les gens se réveilleront de cette narcose suicidaire et exigeront que quelqu’un mette fin au coup d’État mondial. Les opérations d’ingénierie sociale et de manipulation de masse ont démontré hors de tout doute que ce crime était prémédité, et combien il est cohérent avec une vision « spirituelle » du conflit qui se déroule actuellement :

     
J’espère que ce grand travail que vous entreprenez portera bientôt les fruits attendus, mettant fin à un temps d’épreuve dans lequel nous voyons comment le monde deviendra si nous ne nous tournons pas vers le Christ, si nous continuons à penser que nous pouvons coexister avec le mal, le mensonge et le culte de soi. Après tout, la Cité de Dieu est le modèle de ceux qui vivent dans l’amour, la maîtrise de soi et le mépris de Dieu pour le monde ; la cité du diable est le modèle de ceux qui vivent dans l’amour-propre, se conforment au monde et méprisent Dieu.

     
Je vous remercie et vous bénis tous.

     
+ Carlo Maria Viganò, archevêque »

L’Église par le processus synodal est soumise à la condmanation à venir de Pilate :

« Les contours du processus synodal deviennent de plus en plus clairs. Il fournit un porte-voix pour les points de vue non religieux… Ce que le document de travail semble suggérer, c’est de compiler une liste de griefs et d’en discuter ensuite. Mais la mission de l’Église en est une autre. Il ne s’agit pas d’examiner toutes les opinions et de parvenir ensuite à un accord. Jésus nous a commandé autre chose : proclamer la vérité… À ce jour, le processus synodal ressemble à une expérience sociologique qui n’a que peu à voir avec l’Esprit Saint qui devrait résonner en chacun. Tout cela pourrait presque être qualifié de blasphématoire ».

Ces évaluations proviennent d’un évêque, Monseigneur Robert Mutsaerts, auxiliaire du diocèse de ‘s-Hertogenbosch aux Pays-Bas, qui les a publiées sur son blog annonçant qu’il avait abandonné le synode avec une raison très claire : « Dieu est hors du cadre de cet ignoble procès synodal. Le Saint-Esprit n’a absolument rien à voir avec cela. Parmi les protagonistes de ce processus il y a pour moi un peu trop de défenseurs du mariage homosexuel, des gens qui ne pensent pas vraiment que l’avortement est un problème et ne se montrent jamais vraiment en défenseurs du riche credo de l’Église, car ils veulent avant tout être appréciés à leur environnement séculier. Tout cela n’est pas pastoral, ce n’est pas aimer. Les gens veulent des réponses honnêtes. Il ne veulent pas rentrer chez eux avec plus de questions. Vous éloignez les gens du salut. C’est pourquoi j’ai abandonné le procès synodal ».


La rhétorique de l’accueil et de l’inclusion selon Mgr Mutsaerts cache cependant des objectifs pervers.

« Le mantra du processus – écrit l’évêque néerlandais – est : écouter. Qui? Tous ». Ce qui se traduit en fait par offrir un mégaphone aux points de vue les plus éloignés de la doctrine de l’Église. Quand le document affirme que l’Église « apprend, par l’écoute, à renouveler sa mission évangélisatrice à la lumière des signes des temps, afin de continuer à offrir à l’humanité une manière d’être et de vivre dans laquelle chacun puisse se sentir inclus comme protagoniste » , c’est déclarer quelque chose qui n’a rien à voir avec la proclamation de la vérité.
Le paragraphe 39 est explicatif, où, à propos des « exclus », on lit : « Parmi ceux qui demandent un dialogue plus significatif et un espace plus accueillant, on trouve aussi ceux qui, pour diverses raisons, ressentent une tension entre l’appartenance à l’Église et leurs propres relations amoureuses, telles que : les divorcés remariés, les parents célibataires, les personnes vivant dans des mariages polygames, les personnes LGBTQ, etc. ».

Mais la mission de l’Église, commente l’évêque néerlandais, n’est pas d’écouter tous ceux qui vivent en dehors de ses enseignements. La mission de l’Église « n’est pas d’examiner toutes les opinions et de trouver ensuite un accord. Jésus nous a commandé autre chose : proclamer la vérité ; c’est la vérité qui vous rendra libre ».

Particulièrement curieux, note Mutsaerts, est le point où l’on dit que l’Église ne fait pas attention à la polygamie. Mais, d’ailleurs, le document ne fait même pas attention aux traditionalistes. Et eux aussi se sentent exclus. En effet, ils le sont littéralement du pape François ( Traditionis custodes ). Apparemment, il ne peut y avoir aucune empathie pour eux ».

D’où le jugement clair de l’évêque, qui parle du synode comme d’une « expérience sociologique » qui « n’a pas grand-chose à voir avec l’Esprit Saint », alors que « ce qui devient de plus en plus clair, c’est que le processus synodal sera utilisé pour changer certaines positions de l’Église, jetant l’Esprit Saint dans la mêlée comme un soutien ».

« Surtout, ce qui ressort des écoutes, c’est une foi évaporée, qui n’est plus pratiquée, qui n’accepte pas les positions de l’Église. Les gens se plaignent que l’Église n’accepte pas leurs positions. Mais ce n’est pas tout à fait vrai. Ce sont les évêques flamands et allemands qui prennent leurs distances avec le peuple, ce qui est en réalité bien plus tragique. Ils ne veulent plus appeler le péché par son nom et donc on ne parle plus de conversion et de repentance ».


« La phase finale du processus synodal ne peut s’avérer qu’une confusion dans la Tour de Babel. Comme on pouvait s’y attendre, quiconque n’a pas de place pour son opinion dira qu’il a été exclu. Et c’est une recette pour le désastre. Si chacun a le droit de faire ce qu’il veut – ce qui est en fait impossible – le désastre est complet. Alors l’Église se sera niée et gaspillée son identité ».
… (aldomariavalli.it)

La mort de l’Église est donc imminente.

Le temps est compté contrairement à ce que pensent les élites de ce monde.

Et entre la mort du Christ et la résurrection, entre la mort des deux témoins de l’Apocalypse et la résurrection de ces derniers, il n’y a que trois jours.

Benoît XVI est l’image vivante des deux témoins.

« … « Ratzinger souffre pour l’Église », nous dit Peter Seewald. Certes, et il y a de quoi. Par contre, il est douteux que ce soit la seule situation de « son Église » en Allemagne qui l’inquiète… C’est une interprétation « religieusement correcte » destinée à ne pas heurter la susceptibilité de François. Mais Benoît a certainement bien d’autres sujets d’affliction pour l’Eglise.

(…) Seewald a confié avoir été reçu en audience par le pape émérite ce mois-ci et avoir eu l’impression que le vieux théologien souffre beaucoup de « la situation actuelle de l’Église » au point de confesser que « peut-être Dieu le voulait encore ici pour témoigner au monde »… » (benoit-et-moi.fr)

Dieu veille.

7 novembre

LA BÊTE SORT DE L’EAU partie II (en référence à l’analyse du 2 juin 2022)

Déjà presque six mois depuis cette analyse et on peut affirmer avec le recul que l’élite judéo-maçonnique a accéléré sa transition vers la « grande réinitialisation ».

Elle se fait avec la guerre, les pénuries, l’inflation, essayant de démoraliser la population tout en initiant la peur pour finalement proposer le nouveau système, le messie tant attendu.

« C'est le temps des deux empereurs.
Et la Mère n'a pas de père, parce que beaucoup veulent être son père. Et deux seront soutenus par les adversaires.
Les cris et les barrières de la contestation se lèvent, mais déjà la Bête sort de l'eau. »
(Jean XXIII, Le Temps est Proche)

Les deux empereurs sont en place.

Ne vous méprenez pas, aucun des deux n’est un sauveur, ne représente une bonne cause, le bien contre le mal.

Les deux sont les reflets du clivage est-ouest de la bête système, de l’antichrist système.

Les deux ont en commun la nouvelle religion humaniste mais diffèrent sur la manière de gérer le monde : pour l’axe anglo-saxon, c’est un monde unipolaire à la morale dégénérée, pour l’axe avec en tête la Russie, c’est un monde multipolaire avec comme base une morale humaniste, la religion ayant sa place en tant que religion œcuménique basée sur l’humanisme.

Vous devinerez que l’église conciliaire adhère à ce dernier principe avec son faux prophète Bergoglio.

Cette église court une grand danger car l’axe anglo-saxon ne désire que faire la guerre à la grande prostituée, et l’éliminer, comme décrit dans l’Apocalypse.

C’est pourquoi l’église catholique est la seule qui « réfléchie » par un synode, qui n’est autre qu’une adaptation, un abaissement de ses dogmes pour adhérer à la religion humaniste.

Toutes les autres grandes religions mondiales demeurent dans leurs tranchées. Pas un ïota de leurs principes est en cause.

Il n'est pire aveugle que celui qui ne veut pas voir.

Nous avons vu dans les analyses précédentes les interventions de Pierre Hillard sur cette guerre entre les deux clans judéo-maçonniques, l’un proche de la City de Londres, et l’autre proche de la Russie, qui n’est qu’une guerre pour le partage du gâteau mondial.

Le clan anglo-saxon veut avoir toutes les richesses limitées du monde, alors que le clan mené par la Russie prône le partage des richesses (toujours dans le contexte que les richesses seront entre les mains d’une minorité; le petit reste, les goïm, ceux qui ne sont pas dignes de faire parti du peuple prêtre, seront réduit à l’esclavage).

Quelques preuves qui ne relèvent pas du complotisme et qui prouve que nous sommes dans la dernière ligne droite.

Elles viennent toutes de la Russie car l’occident cache bien son jeu.

Cet occident proclamant « paix et sécurité » à la manière indiqué par Saint-Paul, mais qui nous prépare un chaos total via le pion ukrainien.

La Russie affirme que la guerre ne se situe pas sur sa seule intervention en Ukraine, mais sur ces deux visions du monde antagonistes du nouvel ordre mondial qui ne peuvent plus cohabiter.

C’est l’heure du choix entre deux types de civilisations.

Là est le véritable affrontement.

Le ministre des affaires extérieures russe a prononcé le 24 octobre dernier aux Nations-Unies, un discours axé essentiellement sur ce point :

« Aujourd’hui la question de l’ordre mondial qui se dessine est claire pour tout observateur impartial : elle est de savoir si cet ordre mondial est un ordre nouveau, démocratique, juste, un monde sans chantage, sans que l’on ait besoin de faire peur à ceux qui ne sont pas d’accord avec nous, sans néocolonialisme ; ou le monde que nous avons aujourd’hui, l’ordre hégémonique, qui contraint tout un chacun à vivre selon certaines règles, même si l’on n’est pas d’accord avec ces règles. La Russie a choisi d’avoir, avec nos alliés et partenaires et les pays qui partagent nos idéaux, nous souhaitons voir ce monde advenir. Ce qui ne nous convient plus, c’est ce modèle unipolaire du développement mondial, qui ne sert que les intérêts de l’Occident. »

« La période historique de domination sans partage de l’Occident sur les affaires mondiales touche à sa fin, le monde unipolaire appartient au passé. Nous nous trouvons à un tournant historique. La décennie qui s’ouvre devant nous est peut-être la plus dangereuse, la plus imprévisible et la plus importante depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale. L’Occident est incapable de diriger seul l’humanité, mais il tente désespérément de le faire, et la plupart des nations du monde ne sont plus disposées à le supporter. (…) Cet état de fait est lourd de conflits mondiaux ou d’une chaîne de conflits, ce qui constitue une menace pour l’humanité, y compris l’Occident lui-même. »

L’axe représenté par la Russie rêve d’une grande union économique eurasienne, autonome pour larguer le système occidental, de Lisbonne à Vladivostok comme l’a déjà affirmé le président russe.

L’Ukraine est la façade de ce conflit majeur.

Jean XXIII avait prévenu dans la prophétie « Grand Éclair à l’Orient » :

« Le temps a nourri un esprit trouble, à l'ombre de la croix rouge et noir, inconnue de tous, fille des fugitifs de Nuremberg.
Elle a ourdi le crime contre elle-même. Il y en a qui renoncent à la vie, par amour du mal.
La terre frisera le massacre. »

« Nous déchaînerons les nihilistes et les athées et provoquerons un formidable cataclysme social qui démontrera clairement aux nations, dans toute son horreur, l'effet de l'athéisme absolu, l'origine de la barbarie et de la subversion sanglante. Alors les citoyens de partout, contraints de se défendre contre une minorité mondiale de révolutionnaires, […] recevront la vraie lumière à travers la manifestation universelle de la pure doctrine de Lucifer, enfin révélée aux yeux du public ; une manifestation qui sera suivie de la destruction du christianisme et aussi de l'athéisme, qui seront conquis et écrasés à la fois ! (Albert Pike, grand pontife luciférien, cf. Lettre du 15 août 1871 à Giuseppe Mazzini, Bibliothèque du British Museum, Londres).

La seule société possible apportant la paix est une société qui met en son centre le Christ Roi.

Voilà pourquoi l’Église perdurera éternellement, car il faut une base sur laquelle reconstruire.

Ce système antichrist a pratiquement mis dehors le Christ.

Le cri de victoire de Satan approche.

Ainsi, les deux Babylone courent à leur perte.

Le temps est proche.

Très proche.

Octobre 2022

24 octobre

Pour ceux qui suivent l’actualité au Vatican, vous avez constaté que

« Le Pape annonce deux sessions du Synode sur la synodalité. Après la récitation de la prière de l’Angélus, le Pape a annoncé que les fruits du parcours synodal sont nombreux et qu’ils doivent mûrir. Pour cette raison, il a décidé de tenir non plus une mais deux sessions du Synode sur la synodalité en octobre 2023 et octobre 2024. » (vaticannews.va)

Le Vatican se dirige avec une synodalité permanente où le pape centralisateur choisira les idées contraires aux dogmes pour semer plus de confusion chez les fidèles, mais surtout détruire l’église de l’intérieur, exactement comme l’a prophétisé Anne Catherien Emmerich.

« ... le synode se coule dans l’assembléisme. Mais truqué. Car avec le synode 2014-2015 sur la famille, le pape a forcé la main par rapport aux positions des évêques et l’a en fait géré en le pilotant depuis le centre. Et c’est la même chose aujourd’hui. L’assembléisme qui se profile à l’horizon donnera donc la possibilité d’introduire des changements doctrinaux au nom de la décentralisation... » (benoit-et-moi.fr)

Les deux Babylone progressent donc vers leurs chutes finales.

L’Apocalypse nous révèle que les 10 rois du monde (en place présentement, c’est à dire tous interchangeables puisque issus des « youngs leaders » de Davos, suspendus aux mamelles du Forum Économique Mondial) détesteront la Prostituée, l’église conciliaire, et chercheront à la faire disparaître, ce qui est relié à la mort des deux témoins.

C’est le but du synode des synodes.

Sans surprise, la division du rapport final du synode pour la deuxième partie en octobre 2024 nous amène exactement à la « limite de Babylone » .

Voir l'anlyse du 29 novembre 2021 dont voici le résumé :

Le 13 mai 2026, nous atteindrons une période de 109 ans depuis les apparitions de la Vierge Marie à Fatima, soit les 100 ans donnés comme indication à Léon XIII + la 9ème heure où tout est accompli (c’est à dire la mort du Christ sur la croix, donc de l’Église pour nous).

Nous savons aussi que mai 2026 est la limite pour le retour du Lys selon la prophétie de Don Bosco.

2025, c’est en plein dans le maximum solaire du cycle 25 (prévu entre octobre 2024 et juillet 2025) augmentant la probabilité du forte tempête solaire qui anihilerait tout ce qui est d'électronique sur cette planète, et ainsi arrêter la guerre.

La période de prédiction des deux témoins est de 42 mois (période des châtiments, soit le 2ème malheur de l’Apocalypse).

C’est la même durée de vie que les deux bêtes.

« Puis il parut dans le ciel un grand signe : une femme revêtue du soleil, la lune sous ses pieds, et une couronne de douze étoiles sur sa tête... et la femme s'enfuit au désert, où Dieu lui avait préparé une retraite, afin qu'elle y fût nourrie pendant mille deux cent soixante jours… Et les deux ailes du grand aigle furent données à la femme pour s'envoler au désert, en sa