LAS PROFECÍAS DEL PAPA JUAN XXIII/LE PROFEZIE
DI PAPA GIOVANNI XXIII
Fin des temps
Cette section fait
référence aux sections des prophéties sous l'onglet ''Analyse''.
Les
prophéties de la semaine sainte
Le Grand Réveil Louis D'Alencourt
Prière du premier samedi du mois
Prière du Saint Rosaire
2024
Février 2025
01 février
LE PACTE DES CATACOMBES
Peu après avoir convoqué le Concile, le pape Jean XXIII
prononce un discours remarqué dans lequel il plaide en faveur d’une
Église servante et pauvre, dépouillée des symboles de la puissance et
de la richesse. Cet appel trouve un écho favorable auprès d’un certain
nombre de pères conciliaires, particulièrement auprès d’évêques
sud-américains comme le Brésilien Hélder Câmara et le Chilien Manuel
Larraín, bien au fait des réflexions tiers-mondistes et décoloniales
émergentes sur la pauvreté et le sous-développement du continent. Le
Belge Charles-Marie Himmer, le Palestinien Maxime V. Hakim et le
Québécois Gérard-Marie Coderre se joignent bientôt à eux, constituant,
avec d’autres, le groupe « Jésus, l’Église et les pauvres ».
« Il voudra connaître le monde et le faire connaître avec ses yeux aux simples. Le scandale arrivera mais tous comprendront. » (prophétie concernant Jean XXIII)
Pie
XII avait eu l’idée d’un concile sur la doctrine mais dans sa grande
sagesse l’avait abandonné afin de ne pas créer de schisme.
«
C’est le 25 janvier 1959, lors d’un consistoire tenu à
Saint-Paul-Hors-les-Murs après la cérémonie de clôture de la semaine de
l’Unité, qu’il fait connaître sa détermination de convoquer un concile
œcuménique. Sur le moment même, les cardinaux n’ont aucune réaction, ce
qui laisse Jean XXIII quelque peu dépité. Montini est le premier
surpris; il écrit à l’un de ses amis : « Ce vieux saint coquin ne
paraît pas réaliser dans quel guêpier il se fourre ».
Plus tard, en 1962, Jean XXIII présentera cette décision comme une
inspiration du Ciel. Elle lui serait venue soudainement pendant une
discussion avec Mgr Tardini, le 20 janvier 1959 : « Soudain une grande
idée surgit en Nous et illumina notre âme. Nous l’accueillîmes avec une
indicible confiance dans le divin Maître, une parole monta à Nos
lèvres, solennelle, impérative. Notre voix l’exprima pour la première
fois : un Concile ! »
Dans son journal, qu’il savait devoir être publié après sa mort, il
écrit, le 15 septembre 1962, trois semaines donc avant l’ouverture du
Concile : « Sans y avoir pensé auparavant, j’ai prononcé dans une
première conversation avec mon secrétaire d’État, le 20 janvier 1959,
les mots de Concile œcuménique, de synode diocésain et de refonte du
Code de Droit canon, et ceci sans que j’aie fait là-dessus une
hypothèse ou un projet quelconque. Le premier à être surpris de cette
suggestion que je faisais, ce fut moi-même, alors que personne ne m’en
avait jamais donné la moindre idée ! »
« Tout de même honnête, Peter Hebbletwhaite rappelle que c’est Mgr
Ruffini qui en a eu l’idée en 1939, avant même d’être cardinal, mais
Pie XII ne s’y arrêta pas. Devenu archevêque de Palerme, il revint à la
charge en 1948, avec le soutien du cardinal Ottaviani, dans le but
d’obtenir la condamnation des erreurs modernes ; cette fois, le Pape en
ordonna la préparation secrète. Mais Pie XII abandonna quelques mois
plus tard, lorsque les réactions des prélats consultés laissèrent
entrevoir de grandes divisions au sein de l’épiscopat. Finalement, au
dernier conclave, les deux cardinaux s’adressèrent à celui vers qui le
vote s’orientait.
Le
30 octobre 1958, donc deux jours après son élection, Jean XXIII en
parla à son secrétaire et se fit apporter les archives de la
préparation de 1948. Après en avoir pris connaissance, il résolut que
son concile se ferait dans un tout autre esprit : son objectif
principal serait pastoral et non pas doctrinal, il fallait répondre aux
besoins nouveaux de l’Église et du monde. Sa décision est
définitivement arrêtée le 28 novembre. » (crc-resurrection.org)
« Qu’est-ce que le Pacte des catacombes ? » (vaticannews.va)
C’est un pacte concernant la richesse, les pompes et les cérémonies dans l’Église catholique.
François assume à présent l’héritage (livre sur le pacte des catacombes).
L’Alpha, sous Jean XXIII, avec l’ouverture de Vatican II, rejoint toujours l’Oméga, Bergoglio et la clôture de Vatican II.
«
L’histoire de la rédaction du Pacte des catacombes s’inscrit sur une
période longue, au moins antérieure au Concile, lorsque la vision d’une
Église pauvre germait déjà dans l’esprit du Pape Jean XXIII. Ainsi, le
11 septembre 1962, le Souverain Pontife italien affirmait: «en
face des pays sous-développés, l’Église se présente telle qu’elle est
et veut être : l’Église de tous et particulièrement l’Église des
pauvres» (Message-radio à tous les fidèles chrétiens à un mois du
Concile œcuménique Vatican II).
L’impulsion
semble toutefois être donnée par Dom Helder Camara. C’est d’ailleurs
lui qui présente à la presse le manifeste spirituel, avant qu’il ne
soit publié en janvier 1966 par les “Informations catholiques
internationales”. » (vaticannews.va ci-haut)
Hélder Câmara fut un défenseur des droits de l'homme au Brésil.
Le 27 décembre 2017, le Parlement brésilien, sur proposition du gouvernement, attribue à Hélder Câmara le titre de patron des Droits de l'Homme.
Peu
le savent, mais Mgr. Hélder Câmara, archevêque d'Olinda et de Recife au
Brésil, a rencontré le jeune Klaus Schwab dans ses jeunes années et a
profondément influencé ce denier.
Une
fois que Schwab a reconnu Câmara pour son opposition à l'Église
traditionnelle et ses théories révolutionnaires et paupéristes, il l'a
invité au Forum de Davos, considérant sa participation à cet événement
comme extrêmement importante au regard du projet de du nouvel ordre
mondial.
Klaus
Swab fonda ensuite en 1971 le Forum Économique Mondial pour promulguer
ensuite sa Grande Réinitialisation en même temps que la pandémie
faisait rage en 2020.
Coïncidence?
Hélder
Câmara fut parmi les organisateurs du « Pacte des Catacombes », signé
par quarante deux évêques ultra-progressistes, en majorité
latino-américains, le 16 novembre 1965, quelques jours avant la clôture
du Concile.
Le
but du pacte des catacombes, vous l’aurez compris, est de transformer
l’Église catholique à jamais en voulant la convertir en une église pour
les pauvres; ce que Bergoglio a fait avec l’église conciliaire aussitôt
élu.
Bergoglio lui-même a déclaré dès le début de son pontificat qu'il était d'accord avec les exigences du Pacte des Catacombes.
Le
pacte des catacombes est le serment de Bergoglio établi sous les 13
schémas préparatoires des grands textes de Vatican II. (Encore le
13, pour un pape élu un 13 en 2013; alors que le 13 appartient à Marie)
(le texte du Pacte des Catabombes)
C’est malhonnête et diabolique.
Car
le concept est une excuse pour dissocier l’Église de la doctrine pour
l’intégrer avec les autres religions mondiales, pour abandonner la
liturgie traditionnelle, dans l’esprit œcuménique où tous les chemins,
toutes les religions mènent à Dieu.
Quel mensonge de la part de cette secte des catacombes avec Bergoglio en tête.
L’Église a TOUJOURS été là pour les pauvres et les oubliés!
Depuis la venue du Christ.
Les hôpitaux, orphelinats, écoles, les soupes populaires, … ont été inventés par l’Église, pour les oubliés de la société.
C’est
dans les catacombes que les premiers chrétiens à Rome se réunissaient
pour célébrer l’Eucharistie vivante où Dieu s’incarne à nouveau par la
présence réelle dans l’Ostie consacré.
Quel
contraste, alors qu’en ce lieu en 1965 se signait un pacte qui sert de
serment à Bergoglio, menant à éliminer la messe Tridentine et la
présence réelle sous prétexte que cela nuit à « l’unité de l’église ».
Quel hypocrisie.
C’est son action qui nuit à l’unité de l’Église, car ce qu’il veut c’est une « unité » selon la fraternité universelle.
La Tradition est contraire à son plan.
Et
lorsque l’abomination de la désolation a paradé dans la basilique
Saint-Pierre le 20 octobre 2019, ils ont renouvelé le pacte, sonnant le
coup de grâce.
Lors
du Synode sur l'Amazonie, la célébration du pacte entre les conjurés
s'est répétée dans les Catacombes de Santa Domitilla, confirmant que le
plan commencé au Concile avait trouvé sa réalisation précisément en
Jorge Mario Bergoglio.
« Des pères synodaux renouvellent le «Pacte des Catacombes»… Pacte des Catacombes pour la Maison Commune» (vaticannews.va)
La maison commune… thème si cher à Bergoglio.
«La
signature du Pacte version 2.0 représente l’accomplissement du Concile,
prévu depuis longtemps… Il ne s’agit pas d’un événement purement
commémoratif, mais de l’acte final d’un processus qui commence avec le
Concile Vatican II et culmine avec la montée au trône pontifical de
Jorge Mario Bergoglio. » (benoît-et-moi.fr)
«
Le voici donc, là où on ne l’attendait pas forcément, le
moment crucial, le point névralgique du synode sur l’Amazonie, en un
événement qui a certainement été préparé bien avant l’arrivée des pères
synodaux à Rome… L’importance symbolique de cet événement est immense…
«Avec le Pape François, le « Pacte des Catacombes » revit 50
ans après» … «Dans le pacte des catacombes, la semence de l’Eglise
de François»… la semence de la véritable Église, celle évangélique,
celle qui est «pauvres pour les pauvres», n’est pas dans le Concile,
mais dans le « Pacte des Catacombes »… ce n’est pas
l’évangile; c’est seulement une interprétation idéologique de
l’évangile. Ce qui n’est pas la même chose… L’influence du marxisme,
tellement à la mode dans ces années, est très évidente… »
(benoît-et-moi.fr)
C’est
en effet à cette époque que Vatican et Nations-Unies, les deux Babylone
des prophéties de Jean XXIII, main dans la main, écrasait le monde pour
la grande réinitialisation via une « pandémie » avec conséquence des
églises fermées, un arrêt des célébrations eucharistiques, ajoutant à
la grande apostasie de la fin des temps…
Sauf pour la Tradition, dont les prêtres et les fidèles sont en croissance exponentielle.
À
la conclusion du pacte des catacombes en 1965, chaque évêque présent
est monté à l’autel pour signer le manifeste, jurant d’abandonner toute
marques et titres les reliant à la tradition de l’église : croix,
vêtements, titres d’évêque, de monseigneur, etc.
«nous
renonçons pour toujours à l'apparence et à la réalité de richesse
spécialement dans les habits (étoffes riches et couleurs voyantes), les
insignes en matière précieuse: ces insignes doivent être en effet
évangéliques».
« nous susciterons des collaborateurs pour être davantage des animateurs selon l'Esprit, que des chefs selon le monde ».
«
nous chercherons à être plus humainement présents, accueillants; - nous
nous montrerons ouverts à tous, quelle que soit leur religion ».
Çà
nous rappelle bien Bergoglio avec sa religion universelle et ses
innombrables synodes où tout est décidé selon lui par « le Saint Esprit
».
«'
Comme vous le savez, la tâche du conclave est de donner un évêque à
Rome. Il semble que mes confrères cardinaux soient allés presque
au bout du monde '' (Premières paroles du Pape François lors de
l'intronisation). Le Pape François... Pour la pauvreté et
la paix: «Comme je voudrais une Église pauvre, pour les
pauvres...François est le nom de la paix, et c'est ainsi que ce nom est
venu dans mon cœur » (premiers mots suite à l’élection).
Ensuite,
nous avons vu son abandon pour les appartements pontificaux, son refus
des vêtements, croix, etc. liés aux papes, et les abandons des titres
de « sa sainteté », de pape, pour n’être que le simple évêque de Rome.
Il
fait retirer le titre historique et essentiel « Vicaire du
Christ » de l’Annuaire pontifical 2020, l’annuaire annuel du
Saint-Siège, reléguant le titre à une note de bas de page, le
qualifiant de "titre historique", en ne signant que «
Francesco ».
Si
certains y ont vu un geste d’humilité, le cardinal Gerhard Ludwig
Müller, ancien préfet de la Congrégation pour la doctrine de la foi,
dénonce, une «barbarie théologique». Le titre de «Vicaire de
Jésus-Christ» a clairement une signification dogmatique. Il découle
directement des évangiles, dans lesquels Jésus a donné à Pierre
l’autorité dans l’Église. «Ce n’est qu’avec beaucoup d’humour et
d’ironie que l’on peut supporter le dilettantisme théologique des
statisticiens, même si ce changement devrait à nouveau être salué par
les intéressés pleins d’hypocrisie comme un signe de grande humilité».
Le pacte des catacombes, comme nous pouvons le constater, est une inversion des valeurs si chère à Satan. Une autre singerie.
Bergoglio a le mandat d’établir un nouvel ordre social tel que spécifié
au paragraphe 10 du pacte des catacombes, une nouvelle fraternité
universelle basée sur les valeurs sociales du nouvel ordre mondial tel
que défini AVEC Davos.
Paragraphe 10 :
«
Nous mettrons tout en œuvre pour que les responsables de notre
gouvernement et de nos services publics décident et mettent en
application les lois, les structures et les institutions sociales
nécessaires à la justice, à l'égalité et au développement harmonisé et
total de tout l'homme chez tous les hommes et par là l'avènement d'un
autre ordre social, nouveau, digne des fils de l'homme et des fils de
Dieu. »
Un projet humaniste où règne la religion du changement climatique, la fraternité franc-maçonnique, l’œcuménisme…
Voilà l’humain qui se divinise à la place Dieu.
Sous l’autorité pontificale de Bergoglio.
Pourquoi ramener à la surface le pacte des catacombes?
Parce que nous vivons le point Oméga de ce pacte et donc de Vatican II.
Bergoglio résume à lui seul tout Vatican II.
On
se rappelle : « la bête qui était et qui n'est plus, en est
elle-même un huitième et elle est des sept, et elle s'en va à la
perdition. » (Apocalypse 17, 9-11)
C’est la finalité. Le chiffre 8.
C’est la parabole du figuier en Matthieu 24, 32-33.
« Écoutez une comparaison prise du figuier. Dès que ses rameaux
deviennent tendres, et qu'il pousse ses feuilles, vous savez que l'été
est proche. Ainsi, lorsque vous verrez toutes ces choses, sachez
que le Fils de l'homme est proche, qu'il est à la
porte. »
La période de Jean XXIII à Bergoglio est le signe du figuier.
De la finalité.
L’Oméga.
2025-1965 : 60 ans
L’Église est veuve selon Saint-Paul.
Janvier 2025
28 janvier
LE DESTRUCTEUR DE L’ÉGLISE (2)
« Il y aura très peu de chrétiens qui obéiront au véritable Souverain
Pontife et à l’Église catholique romaine avec un cœur loyal et une
parfaite charité. Au moment de cette tribulation, un homme, non élu
canoniquement, sera élevé à la papauté, lequel, par ruse, s’efforcera
d’entraîner beaucoup de monde dans l’erreur et dans la mort… en ces
jours-là, Notre Seigneur Jésus-Christ leur enverra non pas un vrai
Pasteur, mais un destructeur. » (Saint-François D’Assise)
Qu'elle est la limite à atteindre avec la destruction de l'Église avant que NSJC n'intervienne?
On sait que le destructeur de l'Église est un « outil » placé en ces temps pour épurer, pour séparer le bon grain de l'ivraie.
Chaque
journée nouvelle est une occasion de polir son âme afin de faire parti
des « vierges folles » qui ont toujours de l'huile en réserve, car
l'époux n'est plus très loin.
Le destructeur vise la messe Tridentine, c'est évident.
Extrait
d’un discours de Mgr Joseph Strickland du 31 octobre 2023 au Rome Life
Forum où il expose une lettre d’un ami concernant son inquiétude face à
celui qui occupe le siège de Saint-Pierre.
Il décrit son ami comme « un croyant profond, un amoureux de notre
Seigneur Jésus-Christ, un vrai disciple, un amoureux de l’Église, un
amoureux de l’office pétrinien dans tous les aspects de notre foi
catholique ». Et il a dit qu'il avait reçu cette lettre comme « un
message profondément stimulant pour moi », ajoutant : « ça ne s'adresse
pas seulement à moi, mais à nous tous. Ça dit des choses fortes. Mais
je veux vous assurer que cet ami a un amour profond pour le Christ et
son Église, pour le pape François :
« François est un expert pour produire des lâches en prêchant le
dialogue et l'ouverture dans un esprit accueillant et en mettant
toujours de l'avant sa propre autorité. Il fait croire que celui qui
s'oppose à lui et à ce qu'il propose est un ennemi de l'Église. Et
pourtant, ce n’est pas le sang des lâches qui est la semence de
l’Église. C'est le sang des martyrs…
« Voudriez-vous maintenant permettre à celui qui a écarté le vrai Pape
et a tenté de s'asseoir sur une chaise qui n'est pas la sienne de
définir ce que doit être l'Église. « Quant à la bête, elle l'était et
elle n'est pas. C'est un huitième, mais il fait partie du septième, et
il va à la destruction.'»... (lifesitenews.com)
Les brumes plus épaisses ont envahi le Vatican en ce fameux 13 mars
2013 et il faut être très branché pour voir et comprendre l'action du
destructeur depuis.
« C'est ici qu'il faut un esprit doué de sagesse. — Les sept têtes sont
sept montagnes, sur lesquelles la femme est assise. Ce sont aussi sept
rois :
Les cinq premiers sont tombés, l'un subsiste, l'autre n'est pas encore
venu, et quand il sera venu, il doit demeurer peu de temps.
Et la bête qui était et qui n'est plus, en est elle-même un huitième et
elle est des sept, et elle s'en va à la perdition. » (Apocalypse 17,
9-11) »
La clé pour démarrer le compte (guidé par « l’esprit de sagesse » et du
fait qu’on ne peut reconnaître les faits qu’en y étant présent) est
celui qui « subsiste », c’est à dire Benoît XVI.
Cinq papes avant lui donc.
Et la bête qui était et qui n'est plus, en est elle-même un huitième et elle est des sept, et elle s'en va à la perdition.
Et Bergoglio, qui représente la bête marxiste socialiste
judéo-maçonnique, est le septième pape, mais il a décidé d’abandonner
son titre de vicaire du Christ, ET, d’abandonner son titre de pape en
décidant qu’il n’était, dans son idée de collégialité, que l’évêque de
Rome (en référence aux sept collines).
Il est devenu le huitième, la bête cachée derrière le titre de pape, et qui s’en va à la perdition.
Il est donc roi du Vatican, vassal de Satan, qui domine le Saint-Siège.
Il résume à lui seul tout Vatican II en ayant pour mission d'achever l'Église.
Clore Vatican II.
Et cette mission finale est d’interdire la messe Tridentine, ce qui sera la mort des deux témoins.
Inévitablement.
Cardinal Sarah :
« MILAN ( LifeSiteNews
) — Toute tentative d'« abolir » la messe traditionnelle serait un «
projet diabolique » qui « cherche à rompre avec l'Église du Christ », a
déclaré cette semaine le cardinal Robert Sarah.
« Dans l'histoire de la liturgie, il y a une croissance et un progrès,
mais pas une rupture », a noté Sarah lors d'un événement lundi.
S'inspirant de la remarque désormais célèbre du pape Benoît XVI, Sarah
l'a fait sienne en affirmant que « ce qui était saint pour les
générations précédentes reste saint et grand pour nous, et ne peut pas
être soudainement interdit ni même jugé nuisible. Il est bon pour nous
tous de préserver les richesses qui ont grandi dans la foi et la prière
de l’Église et de leur donner la place qui leur revient.
Sarah – qui a été préfète de la Congrégation pour le Culte Divin et la
Discipline des Sacrements (CDW) de 2014 à 2021 – a étendu ses critiques
sévères à l'égard de toute tentative d'abolition de la messe
traditionnelle (messe latine) en avertissant que ce serait un rejet.
Il a dit :
D'où le projet d'abolir définitivement la messe tridentine
traditionnelle, un rite qui remonte à saint Grégoire le Grand, une
liturgie vieille de 1 600 ans, une messe célébrée par tant de saints :
saint Padre Pio, saint Philippe Néri, saint. Jean-Marie Vianney : le
curé d'Ars, Saint François. de Sales, saint Josémaria Escriva, etc. Et
jusqu'au pape Grégoire le Grand (590-604) et même au pape Damase
(366-384).
Ce projet, s'il est vrai, me semble être une insulte à l'histoire de
l'Église et à la Sainte Tradition, un projet diabolique qui cherche à
rompre avec l'Église du Christ, des apôtres et des saints…
S'appuyant une fois de plus sur Benoît XVI, Sarah a cité le regretté
pape allemand : « Le Concile Vatican I n'a pas défini le Pape comme un
monarque absolu, mais plutôt comme le garant de l'obéissance à la
parole transmise : son autorité est liée à la tradition de la foi :
cela est également vrai dans le domaine de la liturgie.
« Même le Pape », a déclaré Sarah, « ne peut être qu'un humble
serviteur de son propre développement et de son intégrité et de son
identité constantes… L'autorité du Pape n'est pas illimitée ; elle est
au service de la Tradition Sacrée…. »
Mgr Stickland :
«
Je pense donc que nous devons être très clairs sur le fait que les
tentatives visant à éliminer, à dénigrer ou à enfoncer dans la
poussière de l'histoire la messe latine traditionnelle n'appartiennent
pas à l'Église que Jésus-Christ a établie . Appelons à la correction
toute voix qui tente de le faire avec amour et charité », a déclaré
Strickland.
Son Excellence a ensuite examiné les commentaires du pape sur la messe latine dans ses mémoires Espoir,
dans lesquels le Pontife accusait le clergé et les laïcs dévoués à
l'ancienne liturgie d'avoir un « déséquilibre
mental ».
«
Qualifier ceux qui ont la foi catholique traditionnelle et qui aiment
la messe latine de « mentalement instables » est vraiment erroné et
nuisible », a déclaré l'évêque.
«
Face au Christ, en me concentrant sur l'autel sacré du sacrifice qu'est
la messe, j'apprends de plus en plus combien cette liturgie est
essentielle. Je n'ai pas l'intention d'abandonner le Novus Ordo avec
lequel j'ai grandi, mais je cherche à le rendre plus respectueux et à
continuer à le purifier dans cette réalité fondamentale qu'est la messe
latine », a-t-il a ajouté… » (lifesitenews.com)
Louis D’Alencourt (grandreveilwordpress.com - l'enjeu c'est la messe (2)) sur la sainte messe :
« « La réussite de la guerre spirituelle menée par Satan à l’Église de
Dieu est liée à un enjeu majeur : le saint sacrifice de la messe.
Si vous contrôlez la messe, vous contrôlez le cœur de la vie spirituelle de l’Église…
Le
Saint Sacrifice de la messe perpétue les deux mystères insondables de
l’amour et de la miséricorde divine : l’institution du royaume
spirituel (Eucharistie) et le rachat des péchés du monde (Rédemption).
Chaque messe réunit le Jeudi Saint et le Vendredi Saint, c’est la
raison pour laquelle la consécration est en deux temps :
–
Le Corps du Christ, livré pour vous, est le moyen donné par le Christ
pour obtenir ses grâces et conserver le Saint-Esprit dans nos cœurs (la
vie spirituelle) ; il est réservé au peuple de Dieu, c’est-à-dire les
baptisés, d’où l’exclusif pour vous. Et d’où la communion des fidèles
uniquement au Corps du Christ. Les hosties consacrées sont conservées
ensuite dans le tabernacle où la Présence du Seigneur est Réelle mais
invisible.
–
Le Sang du Christ, signe de la Nouvelle Alliance par le rachat des
péchés du monde a été versé une seule fois. Par ce geste, nous offrons
le Fils au Père en offrande car c’est désormais le seul sacrifice qui
lui agrée. Ce Sang béni a été versé pour le peuple de Dieu (pour vous)
ainsi que pour tous ceux qui accepteront d’être sauvés par Lui (pour la
multitude) ; ce n’est donc pas tout le monde. Puisque ce rachat n’a eu
lieu qu’une fois et de façon définitive, le Sang du Christ n’est pas
conservé dans le tabernacle.
Ainsi, à chaque messe, le Corps et le Sang perpétuent les mystères du Jeudi et du Vendredi Saint : Eucharistie et Rédemption…
La messe actuelle, dite de Paul VI, est une abomination car elle fait
perdre le sens du sacré, réduit le Saint Sacrifice à un simple repas,
supprime ou limite les instants de recueillement, vide de leur sens
l’adoration et la contemplation, saccage les chants et la beauté
liturgique, massacre les textes sacrés, autorise toutes les déviations
et tous les excès, bref fragilise considérablement la vie spirituelle.
Et puis finalement elle mène l’homme à confondre le matériel avec le
spirituel.
Jésus
reproche aux juifs de l’époque les mêmes travers que ceux de son peuple
aujourd’hui, en citant Isaïe : « Ce peuple m’honore des lèvres, mais
leur cœur est loin de moi. Vain est le culte qu’ils me rendent, donnant
des enseignements (qui sont) des préceptes d’hommes. » (Matthieu 15, 8)
D’une
vision théocentrique (centrée sur Dieu), et même Christo-centrique
(centrée sur l’unique vrai Dieu, le Christ, qui par son Incarnation
rend visible la Sainte Trinité), l’Eglise est passé à une vision
anthropocentrique (centrée sur l’homme).
Cette
doctrine faisant de l’homme son pivot et non plus Dieu est apparue dès
le concile Vatican II et fut perpétuée, proclamée et défendue par tous
les papes depuis.
Elle
rejoint presque inconsciemment la même vision païenne de l’homme
divinisé qui lui aussi, considère qu’il peut se passer de Dieu, et même
qu’il est son égal.
L’humanisme met l’homme au centre.
Le christianisme met le Christ au centre.
Eh
bien aujourd’hui, les chrétiens sont avant tout des humanistes et ce,
principalement grâce à la nouvelle messe et au nouvel enseignement de
l’Église. Car celui-ci n’a pu prendre racine que grâce à la défaillance
spirituelle rendue possible par la nouvelle messe.
– Prêtre et fidèles tournés ensemble vers le tabernacle, lui-même situé
au centre du chœur sur le maître-autel (messe normale) = démarche
christo-centrique ;
–
Prêtre tourné vers les fidèles, tabernacle absent de l’autel, lui-même
souvent réduit à une simple table (nouvelle messe) = démarche
anthropocentrique.
Mais qui est le plus important ? Dieu ou l’homme ?
De qui doit-on se préoccuper en premier, à commencer par le prêtre ? Des fidèles ou de Dieu ?
Que vient-on faire ? Écouter des lectures et ânonner quelques prières
ou vivre spirituellement le renouvellement non sanglant de la Passion ?
Comment une telle inversion a-t-elle pu être rendue possible, à un tel point que plus personne ne s’en aperçoit ?
… »
«
Depuis le pape François, Rome n’est plus catholique, c’est à dire que
le Vatican n’est plus la religion de Jésus-Christ, Dieu fait homme. Le
Vatican est mondialiste, humaniste, écologiste, œcuménique,
vaccinaliste même, mais il n’a plus Jésus-Christ comme clé de voûte.
Sa clé de voûte, sa pierre d’angle, c’est la dignité de la
personne humaine, la fraternité humaine entre tous les hommes du monde,
sans Jésus-Christ pour guide, pour moteur et pour maître.
Il suffit de lire les encycliques ou les exhortations apostoliques du
pape François pour découvrir qu’il ignore totalement Jésus-Christ, pour
lui préférer un humanisme maçonnique dont il écrit la théologie…
Bergoglio
(le pape François) est sans chiffre parce qu’il est unique, il est à la
fois le dernier et le premier. Le dernier pape de l’ex-catholicisme et
le premier chef de la nouvelle religion de l’humanité. Il est chargé
d’accomplir la dernière mutation de l’Église, on pourrait même dire sa
mue ; il ne s’agit pas d’une disparition en tant que telle, mais d’une
transformation. Elle n’aura même pas besoin de changer de nom, parce
que sa requalification en religion de l’humanité constituera de facto
la disparition de l’original… »
( Louis D'Alencourt, legrandreveilwordpress.com - La réforme de la messe, plan secret du Vatican )
La
conclusion du synode des synodes d’octobre 2024 est le point
déterminant où tout est permis pour les évêques concernant la pastorale
et la célébration eucharistique.
L’église conciliaire n’est plus catholique.
Les
dix points non résolus du synode à l’étude ne sont que d’autres «
brumes » pour aveugler alors que la véritable révolution morale a cours
dans l’Église.
Un
des points non résolus est la place des « diaconesses » dans l’église,
et Bergoglio, fidèle à sa méthode, n’a pas attendu la conclusion du
rapport, car il va décider seul, comme par le passé, comme avec le
résultat du synode des synodes, qu’il a guidé vers ce qu’il voulait lui
en tant que réformateur et destructeur.
Bergoglio
a déjà nommé deux sœurs à des postes clés au Vatican depuis le début
janvier, tout en continuant sa réforme pour infiltrer des laïcs dans la
célébration eucharistique :
- « Le pape François institue 23 femmes comme lectrices, décrit comme un « changement tectonique » dans la tradition catholique
À la suite des modifications apportées au droit canonique en 2021, le
pape François a institué à quatre reprises des hommes et des femmes
comme lecteurs, citant ainsi le « sacerdoce commun ». Les spécialistes
de la liturgie ont averti que de telles actions contredisent des
siècles de tradition catholique.
...
Depuis
le texte de Paul VI, les actions liturgiques traditionnellement
accomplies par les séminaristes titulaires des « ordres mineurs »
respectifs ont été accomplies par des laïcs, hommes et femmes, dans la
liturgie du Novus Ordo.
En vertu de son texte Spiritus Domini de 2021 , François a codifié ce
qui était devenu une pratique répandue dans la liturgie du Novus Ordo
et l'a élevé au rang d'un ministère formel.
S'appuyant
sur le Synode amazonien dans Spiritus Domini , François a insisté sur «
la nécessité de réfléchir à de « nouvelles voies pour le ministère
ecclésial ». Non seulement pour l'Église amazonienne, mais pour toute
l'Église, dans la diversité des situations.
Centrant son attention sur l'institution des femmes ministres, François
a cité à nouveau le Synode d'Amazonie, disant « il est urgent que les
ministères soient promus et conférés à des hommes et à des femmes[.]…
C'est l' Église des hommes et des femmes baptisés que nous devons
consolider… » (lifesitenews.com)
-
« Dans un geste historique, le pape François a nommé une religieuse,
sœur Simona Brambilla, préfète du Dicastère pour les Instituts de vie
consacrée, soulignant ainsi ses efforts continus pour accroître le
leadership féminin au Vatican. » (lifesitenews.com)
- « À l’occasion d’une interview sur une chaîne privée de la télévision
italienne pour l'émission «Che tempo che fa» (Quel temps! ndlr),
François a anticipé une nouvelle nomination: en mars, la religieuse
Raffaella Petrini dirigera le Gouvernorat de la Cité du Vatican » (vaticannews.va)
«
Marie se tenait debout sur l'Église du côté du Nord et étendait son
manteau pour la protéger. C'était seulement le pavé (les fondations) et
la partie postérieure de l'Église (le chœur et l'autel), tout le reste
avait été démoli par la secte et par les serviteurs de l'Église
eux-mêmes… Quand même il ne resterait qu'un seul chrétien
catholique, l'Église pourrait triompher de nouveau, car elle n'a pas
son fondement dans l'intelligence et les conseils des hommes. » (Anne
Catherine Emmerich)
« L’œuvre la plus importante en 2025 est de voir ce que Mgr Lefebvre a vu en 1988 » (The Remnant)
La
préface de 1989 de « Pierre, tu m'aimes ? (Jean-Paul II) » est
stupéfiant à lire en 2025 car on pourrait appliquer essentiellement le
même message à l’état de l’Église catholique et du monde aujourd’hui :
« Une lecture de « Pierre, tu m'aimes ? » » suffit à désespérer un
fidèle catholique, si nous n'avions pas la promesse de Notre Seigneur
qu'il n'abandonnera jamais son Église. Il sera vraiment avec nous tous
les jours, mais quelles épreuves nous devons endurer.
Lui seul, dans Sa miséricorde, le sait.
On
peut voir le monde devenir de plus en plus mauvais de jour en jour, et
on peut voir les princes de l'Église ne rien faire pour le défendre. On
voit plus clairement les avertissements donnés par Notre-Dame à La
Salette, à Lourdes, à Fatima. À La Salette, elle nous a dit que « Rome
perdra la vérité et deviendra le siège de l'Antéchrist ». Notre-Dame a
donné à Sœur Lucie une troisième partie de son message à Fatima, qui
devait être publié en 1960. Le monde attend encore, mais il parle
presque certainement d'une apostasie générale. N'est-ce pas ce à quoi
on assiste aujourd'hui ?..
Si
les choses allaient vraiment si mal en 1989, comment pouvons-nous
imaginer que la crise actuelle de l’Église concerne avant
tout François ?.. »
Extrait de la postface de Mgr Lefebvre de « Pierre, tu m'aimes ? » :
«
Le Pape c’est la « Pierre » placée par Dieu à la base de Son Église,
c’est celui dont la foi ne doit pas défaillir, qui confirme ses frères,
qui paît les brebis et les agneaux, qui, assisté par l’Esprit-Saint, a
dirigé l’Église pendant près de vingt siècles, conférant ainsi à la
Papauté un crédit moral unique au monde.
Est-il concevable que depuis les années 1960 le Siège apostolique soit
occupé par des Papes qui sont la cause de l”« autodestruction de
l’Église » et y répandent « la fumée de Satan ». Évitant même de nous
poser la question sur ce qu’ils sont, nous sommes bien obligés de nous
poser des questions sur ce qu’ils font et de constater avec stupeur que
ces Papes introduisent la Révolution de 89 dans l’Église(1) avec sa
devise, sa charte, directement opposées aux principes fondamentaux de
la foi catholique…
La
Rome moderniste poursuivant son œuvre de démolition de la foi et de la
chrétienté, c’est un devoir de la répudier en nous attachant à la Rome
de toujours, proclamant plus que jamais la nécessité du Règne universel
de Notre-Seigneur Jésus-Christ et de Sa Sainte Mère, Marie Reine… » (laportelatine.org)
Dans sa lettre aux amis et bienfaiteurs à l'occasion de la
fête de Saint-Joseph en 1978, Mgr Marcel Lefebvre a écrit à propos de
la « passion » de l'Église catholique :
«
La Providence a permis cette crise douloureuse de l'Église pour notre
sanctification et afin de donner plus d'éclat à l'or pur de sa doctrine
et de ses moyens de rédemption. Cette passion de l'Église est un grand
mystère, car elle atteint principalement sa hiérarchie, ses savants,
qui semblent ne plus savoir qui ils sont et les raisons de leur
nomination. Satan, le père du mensonge, comme l'appelle Notre Seigneur
Jésus, a le talent extraordinaire de découvrir certains mots, auxquels
il attribue un sens nouveau pour que de leur ambiguïté, il fasse
accepter le mensonge destructeur qui renverse les sociétés les mieux
établies. . Il l'a trouvé dans cet « œcuménisme » du Concile qui a créé
une liturgie œcuménique, une Bible œcuménique et un catéchisme
œcuménique, unissant la vérité et le mensonge, mariant le vrai et le
faux.
Il faut absolument rester attaché à la vérité sans se mêler. Le pape
Pie IX a vigoureusement dénoncé ces catholiques libéraux qui croient
pouvoir unir le mensonge et la vérité, le bien et le mal, afin de
plaire à leurs semblables contemporains. Que cet œcuménisme empoisonné
nous parvienne ou non par la hiérarchie, le canal n'a pas d'importance
: c'est le poison qu'il faut refuser d'avaler. Il s’agit d’une stricte
obéissance à notre Seigneur Jésus-Christ, à l’Église de tous les temps,
à tous les successeurs de Pierre. Nous conserverons donc la liturgie
catholique, la Bible catholique et le catéchisme. Et c'est pour cette
raison que nous devons avoir des prêtres catholiques et des
séminaristes catholiques, des moines [et] religieuses catholiques,
actifs et contemplatifs. L'Église catholique ne périra pas ! »
Il
ne restera plus bientôt que les deux témoins, le petit reste fidèle à
la Loi et aux Prophètes, ceux qui ont épuré leurs coeurs et qui savent
que l'Église que NSJC a instaurée ne périra point, malgré toutes les
oeuvres du destructeur de l'Église, ne serait-ce qu'il reste un seul
catholique comme l'affirmait Anne Catherine Emmerich.
24 janvier
LES BRUMES
Pier Carpi dans son livre fait référence aux brumes comme étant la région d’où venait Paul VI, soit Milan ou dans les environs.
À la lumière de Vatican II et de sa conclusion imminente, que pouvons nous dire des « brumes »?
Les brumes, c’est ce qui aveugle, ce sont les ténèbres de l’âme, la grande apostasie.
Elles débutent dans les prophéties sous Jean XXIII, et se terminent par
la venue de la lumière dans les deux dernières prophéties de l’Église.
Jean XXIII n’a-t-il pas la devise dans la prophétie de la succession des papes de Saint-Malachie « Le pasteur et nautonier »?
Le nautonier conduit la barque dans « les brumes », en tant que
pasteur, et franc-maçon, puisque le nautonier est aussi un grade de la
franc-maçonnerie.
« Mais le jour où le Père qui viendra
après lui des brumes sera frappé, même sa voix sera entendue dans la
tombe. Le Père mort ouvrira le septième sceau. Pour lui je demande
pardon » (prophétie de Jean XXIII le concernant).
« Des brumes sera frappé »
concerne Paul VI, franc-maçon notoire, mais aussi Bergoglio, car il n’y
a pas de pape plus concerné par les brumes de l’apostasie que lui, le
Judas de la fin des temps.
Satan a réussi à mettre son valet sur le trône de Saint-Pierre tel qu’annoncé à la Salette.
Rappelons le livre de « Paul VI bienheureux? » De l’abbé Luigi
Villa, éditions St-Rémi : Selon ses observations, Paul VI ne
parlait que par allusions, sous-entendus. Il était ambivalent entre
traditions et nouveautés.
Que fait Bergoglio, le maître de l’ambiguïté?
« François, la « doublepensée » orwellienne et le triomphe du relativisme » (benoit-et-moi.fr)
Montini appartenait à la loge maçonnique Rampolla de l'Ordo Templi Orientis.
La création de la nouvelle messe rite Paul VI est une tromperie venue de Mgr Bugnini, connu comme rose-croix.
Voici en effet la lettre qu'il écrivait à son grand maître en 1967 et
qu’a publiée un prêtre ami de confiance de Padre Pio, Dom Villa dans
son journal Chiesa Viva (recommandé par Maxence Hecquard) :
Lettre du 2 juillet 1967
Grand Maître Incomparable Illustres conseillers, les degrés de
désacralisation procèdent rapidement. En fait, une autre instruction a
été publiée dont la mise en œuvre a commencé le 29 juin dernier -
Désormais nous pouvons chanter victoire parce que 1. la langue
vernaculaire est souveraine dans toute la liturgie, même dans ses
parties essentielles. 2. les vêtements sacrés sont de plus en plus
réduits ... 3. liberté maximale de choix des différents formulaires
jusqu’à la créativité personnelle et ... au chaos! 4. Génuflexions,
baisers, révérences, cérémonies, prescriptions rituelles abolies ... En
bref, par ce document, je crois avoir semé le principe du libertinage
maximum, selon vos dispositions. Je me suis battu et j’ai dû recourir à
toutes les astuces pour le faire approuver par le pape, contre mes
ennemis de la Congrégation des Rites. Heureusement pour nous, nous
avons immédiatement trouvé un soutien chez les amis et frères de
l’Université Laus qui sont fidèles. Je vous remercie de la somme
envoyée et j’espère vous voir dès que possible, je Vous embrasse. Votre
Frère (signé: “Buan”) AU GRAND MAÎTRE Palais Giustiniani (en main
propre).
"Buan" est le nom de maçon de Mgr Bugnini, auteur de la nouvelle messe
de rite Paul VI qui a ordinairement et principalement cours depuis 1969
dans l’Église catholique.
« Toi qui viens des brumes tu seras frappé… Tu auras un jour de paix, un seul. Puis tu devras t'en remettre au pacte. Les brumes. » (prophétie concernant Paul VI)
Toi qui viens, tu seras frappé par les brumes, la franc-maçonnerie
(Paul VI a survécu aussi à un attentat), et il a du s’en remettre au
pacte du Panthéon, en référence à Vatican II débuté sous Jean XXIII,
initié de la loge française.
Les brumes étaient bien installées, ce que Paul VI confirma en
affirmant que la présence de la fumée de Satan était entrée au Vatican
le 29 juin 1972.
« La fumée de Satan
Il fallut vite déchanter ! Le printemps annoncé d’une nouvelle
Pentecôte n’eut pas lieu. Moins de dix ans après l’ouverture de Vatican
II, le pape Paul VI faisait part de son désarroi. Le 29 juin 1972, il
déclarait dans son homélie pour la fête des saints Pierre et Paul : «
Devant la situation de l’Église d’aujourd’hui, nous avons le sentiment
que par quelque fissure la fumée de Satan est entrée dans le temple de
Dieu. Nous voyons le doute, l’incertitude, la problématique,
l’inquiétude, l’insatisfaction, l’affrontement. (…) Le doute est entré
dans nos consciences, et il est entré par des fenêtres qui devraient
être ouvertes à la lumière. On croyait qu’après le Concile le soleil
aurait brillé sur l’histoire de l’Église. Mais au lieu de soleil, nous
avons eu les nuages, la tempête, les ténèbres, la recherche,
l’incertitude. Nous prêchons l’œcuménisme, et nous nous séparons
toujours davantage les uns des autres. Nous cherchons à creuser des
abîmes au lieu de les colmater. Comment cela a‑t-il pu se produire ?
Une puissance adverse est intervenue dont le nom est le diable… ».
Cependant, Paul VI ne voulait pas voir dans cette situation dramatique
la conséquence des réformes et des nouveautés destructrices de la vie
catholique introduites par Vatican II, bien au contraire : « Nous
croyons à l’action de Satan qui s’exerce aujourd’hui dans le monde
précisément pour troubler, pour étouffer les fruits du Concile
œcuménique, et pour empêcher l’Église de chanter sa joie d’avoir repris
pleinement conscience d’elle-même. » On continua donc d’appliquer le
Concile, malgré la crise sans précédent qui secouait tous les pans de
l’Église : chute des vocations, révolution liturgique, crise des ordres
religieux… »
Jean XXIII nous confirme dans la prophétie de Jean-Paul II que « les
brumes », la franc-maçonnerie, amenaient les chrétiens vers la mort de
l’âme, vers leurs sépulcres.
« Vierge Marie proche. Vierge Marie
qui fus sacrifiée. Dans ses paroles tu trouveras le chemin, béni, béni,
béni. Tu seras père de tous. Le début du chemin sera difficile, marcher
pour Rome en des jours de sang. Éclaircir les brumes et leurs sépulcres. » (prophétie de Jean XXIII concernant Jean-Paul II).
Bergoglio a pour mission de clore Vatican II.
C’est l’Oméga.
L’Alpha, la date de la montée de la bête au Vatican est le 28
octobre 1958 avec l’élection de Jean XXIII, pape rosicrucien, donc des
brumes.
C’est la date à retenir: 28 octobre.
Jean XXIII ouvre le concile Vatican II le 11 octobre (chiffre hautement
maçonnique représentant les deux colonnes) en 1962 en osant « l’inosé » selon la prophétie.
De 1962 à 2025, la durée des destructions de Vatican II, nous avons 63 ans.
Ce chiffre est divisible par le 3,5 ce qui donne 18 ou 666.
« Et dans les papiers du Père mort il
trouvera le projet pour rassembler les bergers et parler au troupeau.
Il osera l'inosé. Il se trompera, mais ce sera un bien… »
Du 28 octobre 1958, date de l’élection de Jean XXIII au 27 avril 2014, date de sa canonisation, il y a pile 666 mois.
Le nombre d’années entre l’élection de Jean XXIII et le 27 avril 2025
est de 66 ans et 6 mois, ce qui confirme le summum de la divinisation
de l’humain dans toute sa trinité, le 666.
Le 27 avril, cela fera donc 11 ans depuis l’élévation de Jean XXIII au titre de « saint ».
Le 11, les deux colonnes franc-maçonniques.
Si ce ne sont pas des signes...
La phase diocésaine du synode des synodes, le début des vrais travaux, est lancée le 28 octobre 2021.
« Chers frères et sœurs, que ce
Synode soit un véritable temps de l'Esprit ! . . . Le Père Congar, de
mémoire bénie, a dit un jour : « Il n'est pas nécessaire de créer une
autre Église, mais de créer une Église différente » ( Vraie et fausse
réforme dans l'Église ). C'est le défi. » (François, 9 octobre 2021, Discours d'ouverture du Synode)
Voilà la preuve du vrai but du synode : La fausse église prophétisée par Anne Catherine Emmerich et autres prophètes.
Retenant que le 28 octobre est la date clé, la durée de vie de la bête
sur le temps court, soit 42 mois ou 3,5 années, partant de cette date
du début du synode, est le 27 avril 2025.
C’est le dimanche de Quasimodo 2025 où Thomas, représentant les
incrédules de notre temps, demande à voir les preuves de la
résurrection.
On se rapporte au 27 octobre 2024, à la clôture du processus synodal :
« Enraciné dans la tradition de l'Église, tout le chemin synodal s'est
déroulé à la lumière du magistère conciliaire. Le Concile Vatican II a
été comme une graine jetée sur le terrain du monde et de l'Église . . .
. Le chemin synodal met effectivement en pratique ce que le Concile a
enseigné sur l'Église comme mystère et l'Église comme peuple de Dieu,
appelé à la sainteté par une conversion continue qui naît de l'écoute
de l'Évangile. En ce sens, le chemin synodal constitue un acte
authentique supplémentaire de réception du Concile, approfondissant
ainsi son inspiration et redynamisant sa force prophétique pour le
monde d'aujourd'hui .» (Paragraphe 5 du rapport)
Cet exemple démontre qu’à l’image de Bergoglio, tout est ambiguïté,
utilisant la même technique que Paul VI, et continuera de l’être :
Ce sont les brumes…
Jusqu’à la lumière revienne avec le retour de NSJC.
Rappelons que Bergoglio attends toujours les rapports de ses comités
sur les questions non résolues d’ici juin 2025, et qu’il a dans le
viseur d’interdire la Tradition.
« Les prêtres liés à la liturgie traditionnelle présentent des « déséquilibres mentaux, des déviations émotionnelles » estime Bergoglio dans sa nouvelle biographie.
« Mais le parvis extérieur du temple,
laisse-le en dehors et ne le mesure pas, car il a été abandonné aux
Nations, et elles fouleront aux pieds la ville sainte pendant quarante
deux mois. Et je donnerai à mes deux témoins de prophétiser, revêtus de
sacs, pendant mille deux cent soixante jours. » (Apocalypse 11, 2-3)
C’est bien ce que le Seigneur demande. Laisser le parvis extérieur, la
fausse église, aux Nations, et pour les justes, Il envoie ses deux
témoins.
Les deux témoins personnalisés sur le temps court pourraient bien être
Mgr Strickland et Mgr Vigano, les deux évêques qui se lèvent depuis le
début du synode des synodes, et qui n’ont pas peur de servir le Christ
au péril de leur vie, pour défendre la Tradition et la Doctrine.
L’église synodale est effective depuis le 27 octobre dernier.
Les évêques ont la voie libre. Tout se décide à la base de la pyramide maintenant.
C’est le mécanisme franc-maçonnique, la pyramide, pour que les « brumes » demeurent à jamais.
Ce n’est plus l’Église catholique.
« Mais le jour où le Père qui viendra
après lui des brumes sera frappé, même sa voix sera entendue dans la
tombe. Le Père mort ouvrira le septième sceau. Pour lui je demande
pardon » (prophétie de Jean XXIII le concernant).
Mais le jour où viendra un pape, entièrement aveuglé, frappé par « les
brumes », l’esprit de la franc-maçonnerie, de Satan, et qui conclura le
plan initié par Jean XXIII, nous serons témoins du septième sceau.
Ou, ce pape, Bergoglio, sera frappé d'une manière inconnue mais imminente.
Nous avons aussi la possibilité, comme expliqué dans l’analyse
générale, d’une fin de la papauté subite, sous contrainte, avec en
action le Secrétaire d’État, le #2, le cardinal Pietro Parolin (voir
analyse générale).
Ce dernier serait le dernier « père » qui sera assassiné.
La mort de Bergoglio, ou de Parolin, sera le signe le signe de l’ouverture du septième sceau.
« Et quand l'Agneau eut ouvert le septième sceau, il se fit dans le ciel un silence d'environ une demi-heure. »
Parce que la stupéfaction frappera le monde. La papauté sera aboli. Les
goys se réjouiront. Les deux témoins seront effectivement mort,
confirmé par la prophétie #11 du 7ème sceau :
« Où croyez-vous fuir, maintenant que vous avez détruit les Églises et tué le dernier Père ? »
Mais la célébration sera de courte, très courte durée.
22 janvier
L’ÂGE D'OR
Et bien voilà.
Nous attendions le messie judéo-maçonnique décrit dans le « Projet 47 »
du regretté Louis D’Alencourt, et le 47ème président américain l’a
confirmé.
Rappelons que le messie judéo-maçonnique est une entité, un système
pour dominer le monde, et ce système est mené par les États-Unis sous
contrôle total de l’élite de la synagogue de Satan.
Les mots clés du président dans le discours d'investiture:
« L’âge d’or de l’Amérique commence maintenant »
« Ma récente élection m’a donné le mandat de renverser complètement et
totalement une horrible trahison, toutes les trahisons qui ont eu lieu,
et de rendre au peuple sa foi, sa richesse, sa démocratie et, en fait,
sa liberté. À partir de maintenant, le déclin de l’Amérique est
terminé. »
« J’ai senti à l’époque, et je le crois encore plus aujourd’hui,
que ma vie a été sauvée pour une raison. J’ai été sauvé par Dieu pour
rendre sa grandeur à l’Amérique. »
« À partir d'aujourd'hui, la politique officielle du gouvernement des
États-Unis sera désormais qu'il n'y ait que deux genres : masculin
et féminin . »
« ... tous les efforts visant à « intégrer socialement la race et le
genre dans tous les aspects de la vie publique et privée » seront
stoppés net. »
« Président de droit divin cherche nouveaux territoires » cite lapresse.ca.
Même la planète Mars…
Nous allons « planter les étoiles et les rayures sur la planète Mars ».
Il n’y a pas de limite à l’orgueil et au narcissisme.
Trump veut qu’on se souvienne de lui dans le futur comme étant celui qui a redonné ses lettres de noblesse aux États-Unis.
Mais, Dieu a probablement sauvé la vie du président pour exécuter les
tribulations de la fin des temps servant à ramener les âmes dans le
droit chemin.
La guerre entre les partisans du mondialisme et les pays qui penchent vers l’extrême droite est ouverte.
Car, il y a toujours un retour du balancier. La période « woke » semble terminée.
Satan, sachant son temps compté, va provoquer des sacrifices de masses pour damner les âmes.
C’est la chute de Babylone, étape nécessaire du calendrier de la fin
des temps (voir analyses précédentes), la chute des deux Babylone des
prophéties de Jean XXIII.
L’empereur de la prophétie politique #32 « Le Temps est Proche » est de retour.
Et cette prophétie est étroitement liée au « Grand Éclair à l’Orient » et « La Foudre en Plein Jour ».
Elles ont toutes comme point commun l’ouverture du 7ème sceau de l’Apocalypse où il se fait un silence d’une demi-heure.
Le monde sera surpris, « on n’entendra pas le tonnerre », et s’ensuivra
la guerre de la nature pour empêcher la guerre des hommes, car malgré
les désirs de paix en surface affichés par Trump, le Moyen Orient
s’enflammera.
La plus grande tache solaire du cycle 25 est apparue en une seule
journée, lundi, lors de l’investiture, comme un avant-goût du grand
éclair à venir.
Et le nombre de volcans en activités qui étaient de 69 en novembre (la
moyenne des dernières années étaient autour de 42), s’établit
maintenant à 76.
Car après l’ouverture du 7ème sceau, suite au « Grand Éclair à l’Orient », c’est la purification.
Louis D’Alencourt (legrandreveil.wordpress.com - le grand pardon) :
«… après cette demi-heure de suspension, le signe de la Femme
dans le ciel ouvrira définitivement la 7ème période, le fameux 777, car
les 3 descriptions de l’Apocalypse concernent en réalité un événement
similaire parce que c’est le même :
a) seconde phase du 7ème sceau : » Et l’ange pris
l’encensoir remplit du feu de l’autel, et le jeta sur la terre, et il
se fit des tonnerres, et des voix et des éclairs, et un grand
tremblement de terre. »
b)
sonnerie de la 7ème trompette : « Et le temple de Dieu fut ouvert
dans le ciel, et on vit l’arche de son alliance dans son temple ; et il
se fit des éclairs, des voix, un tremblement de terre, et une grande
grêle. »
c)
7è coupe : « Et il se fit des éclairs, des bruits et des
tonnerres, et un grand tremblement de terre, tel qu’il n’y en eut
jamais depuis que les hommes sont sur la terre. »
Nous
avons bien ici le même événement, prophétisé trois fois avec des
précisions à chaque étape : le sceau nous donne le nom de l’ange, la
trompette fait le lien avec la Femme dans le ciel comme signe initial
(la nouvelle arche d’alliance c’est la Sainte Vierge), la coupe précise
l’exceptionnelle gravité de ce tremblement de terre.
Une
fois de plus, il est inutile à ce stade d’essayer de savoir à quoi ces
descriptions correspondront dans la réalité, s’il faut les prendre dans
un sens littéral ou figuré, ou les deux.
Par contre, nous connaissons le nom de l’ange du 7è sceau : c’est saint Michel.
Car
nous savons, grâce à la liturgie, que saint Michel se tient à la droite
de l’autel de l’encens ; et d’ailleurs l’Église ne s’y trompe pas, car
elle a retenu ce verset de l’Apocalypse (Apoc. 8:3) pour le chant
d’offertoire de la messe du 29 septembre.
…
Je
continue à penser cependant que cette période de suspension d’une
demi-heure à l’ouverture du 7ème sceau (et que j’estime à 15 jours)
servira d’ultime période pour un grand pardon des âmes qui le
méritent….
Ce sera le grand pardon pour ceux qui sincèrement regretteront leurs péchés et feront pénitence.
Je
souhaite vraiment au plus grand nombre de saisir l’occasion qui se
présentera ; ce sera la dernière, après il n’y aura plus de rémission.
Surtout
qu’une première moisson aura alors lieu, l’ouverture du 7ème sceau
étant pour moi le passage de l’ange exterminateur ; seront
concernées à priori des personnes dont le cœur était déjà trop endurci.
»
La Terre détruira le ciment nous spécifie la prophétie concernant Benoît XVI.
Le dernier pape de la prophétie de la succession des papes de Saint-Malachie achève son règne.
« Où croyez-vous fuir, maintenant que vous avez détruit les Églises et
tué le dernier Père ? » nous spécifie la prophétie #11 « le 7ème sceau
».
Tout est relié à l’Église.
« Le pouvoir religieux est au-dessus du politique. » nous indiquait le
regretté Serge Monast ( Le Complot des Nations-Unies contre la
Chrétienté.)
Le décès de Bergoglio provoquera donc l’ouverture du 7ème sceau.
14 janvier
À
quelques jours de l'assermentation du président américain, nous pouvons
confirmer que l'esprit du messie judéo-maçonnique est bel et bien
imprégné dans la tête de l'élu qui menace l'Europe, le Canada, le
Groënland et le Panama pour contrôler toutes les ressources (car c'est
le but visé) sous prétexte de la sécurité nationale des États-Unis.
Rappelons une partie du texte « Projet 47 » du regretté Louis D'Alencourt: (legrandreveil.wordpress.com)
« LE PROJET MESSIANIQUE
Seuls
les imbéciles, les naïfs et les ignorants, soit la majorité de nos
concitoyens, ne savent pas que depuis deux mille ans la communauté
juive caresse un projet messianique basé sur les promesses de Dieu
faites à son peuple via les prophètes de l’Ancien Testament -à
commencer par Isaïe-, à savoir la domination du monde, l’accaparement
et la jouissance de ses richesses.
C’est
une promesse divine, or Dieu ne peut pas mentir ni se tromper, donc…
dans leur esprit c’est autant inéluctable que légitime et nécessaire.
Or
le peuple de Dieu à qui la promesse a été faite, c’étaient les hébreux
bibliques, que l’on appelle juifs aujourd’hui, et qui se considèrent
comme exclusifs : les non-juifs ne font pas partie du peuple de Dieu
d’où selon eux, leur rôle particulier de peuple-prêtre, c’est à dire
d’intermédiaire entre Dieu et les hommes. D’où aussi la nécessité de
justifier d’une ascendance par les liens du sang et/ou, au moins, par
l’appartenance à la communauté judaïque, car le judaïsme, c’est-à-dire
la religion, y joue un rôle essentiel d’osmose, de justification et de
continuité de l’ensemble.
Cette
domination sans partage sur tous les peuples et nations de la terre
doit se faire par le Messie et à son avènement. Voilà, très
schématiquement, le fondement de leur doctrine même si, évidemment,
officiellement elle n’est jamais présentée ainsi, surtout aux goyims
(les non-juifs)...
Qu’est-ce
que le sionisme en réalité ? C’est la prise de conscience par une
partie de l’élite, que les promesses liées au Messie commençaient à
s’accomplir concrètement ; les Protocoles des sages de Sion, qui sont
en réalité le compte-rendu des actes des groupes de travail du congrès
sioniste de Bâle, montrent bien que dans leur esprit la domination
mondiale est à leur portée.
L’objectif s’est transformé en certitude.
En
fait, cette élite de la synagogue a cru comprendre que les promesses
faites à leur peuple s’accomplissaient par eux et qu’en conséquence
c’était eux qui faisaient le travail du Messie, d’où l’état d’esprit
devenu majoritaire dans leurs rangs et que Bernard Baruch a résumé dans
cette formule lapidaire mais oh combien éclairante : « le Messie c’est
le peuple juif dans son ensemble ».
Je
crois que c’est là le secret du judaïsme et du sionisme : en
accomplissant lui-même les promesses du Messie, en se faisant Messie
lui-même, il se divinise et devient Dieu lui-même puisque le Messie est
Dieu.
Donc
on adore une idée de l’homme devenu un dieu, et cet homme c’est le
juif, c’est le monde judaïsé, dont la mentalité matérialiste a remplacé
l’idéal chrétien, et qui a permis à la Synagogue de prendre la
direction du monde, par le biais de l’argent (monopolisation effective
des richesses, même s’il leur faut en partager un peu) et des idées :
on disait tout à l’heure que déjà au début du XXè siècle, les peuples
n’avaient que deux choix principaux, capitalisme ou socialo-communisme,
et que ces deux choix sont d’essence et d’inspiration juive. Il y a
indéniablement dès cette époque une domination juive effective sur le
monde (un auteur juif, Yuri Slezkine, a appelé le XXè siècle « Le
siècle juif » et l’a démontré dans son livre), qui n’a fait que
s’accentuer par le progrès économique et scientifique, qui ne sont que
la concrétisation dans les faits de la conception matérialiste
économique du monde de la Synagogue.
Et
donc le sionisme avait pour objet, après avoir entériné la progression
et l’accomplissement à terme des deux premiers volets (domination du
monde et accaparement des richesses), de mettre en œuvre le troisième
volet des œuvres à accomplir par le Messie : le retour du peuple juif
en Terre promise. C’est fait depuis 1948 la boucle est bouclée et on
doit en conclure que le Messie est bien parmi nous, non pas en tant
qu’homme mais en tant que peuple.»
Il
ne restait qu'à conclure Vatican II, c'est à dire confirmer la victoire
de l'église conciliaire, la grande prostituée, sur la Tradition, et
Bergoglio a accompli la mission.
Il ne reste qu'à provoquer la mort des deux témoins.
Voilà qui résume toutes les analyses des dernières années:
« Nous devons rester catholiques, même si les francs-maçons essaient de détruire l'Église
( LifeSiteNews ) — Athanasius and the Church of Our Time
de l'évêque Rudolf Graber a été publié pour la première fois en anglais
en 1974 et, plus de cinquante ans plus tard, nous offre encore certains
des aperçus les plus précieux sur la crise actuelle de l'Église
catholique. Bien qu'une grande partie du petit livre de Mgr Graber se
rapporte aux assauts diaboliques contre l'Église, il termine sa
description des complots anti-catholiques par une note d'optimisme :
Nous savons à quoi nous sommes confrontés. Le plan de Lucifer est exposé clairement et ouvertement devant nous. (p. 72)
Pour ceux qui veulent combattre les maux qui affligent l'Église, le
plan de bataille de l'ennemi est d'une valeur inestimable. Lorsque nous
associons la connaissance du plan de l'ennemi à la réalité que Dieu
finira par prévaloir, nous sommes mieux préparés à rester fidèles à la
foi catholique immuable, tandis que Satan et ses serviteurs font tout
ce qu'ils peuvent pour nous inciter à fuir dans le désespoir.
Dans cette optique, nous pouvons considérer l’un des
passages les plus sobres du livre de Mgr Graber, à propos d’une
évaluation franc-maçonnique de l’état de l’Église en 1968 :
Dans cette veine, le journal parisien du Grand Orient de France, «
L'Humanisme », écrivait très ouvertement en 1968 : « Parmi les piliers
qui s'effondrent le plus facilement, on note le Magistère ;
l'infaillibilité, considérée comme solidement établie par le Concile
Vatican I et qui vient d'être prise d'assaut par les gens mariés à
l'occasion de la publication de l'encyclique Humanae vitae ; la
présence eucharistique réelle, que l'Église a su imposer aux masses
médiévales et qui disparaîtra avec l'intercommunion et
l'intercélébration croissantes des prêtres catholiques et des pasteurs
protestants ; le caractère sacré du prêtre, qui découle de
l'institution du sacrement d'ordination et qui sera remplacé par une
décision d'accès au sacerdoce pour une période d'essai ; la
différenciation entre l'Église qui donne la direction et le clergé
(inférieur) vêtu de noir, alors que désormais les directions
procéderont de la base de la pyramide vers le haut, comme dans toute
démocratie ; la disparition progressive du caractère ontologique et
métaphysique des sacrements, puis la mort ultérieure de la confession,
maintenant que le péché est devenu de nos jours un concept complètement
anachronique transmis par la rigoureuse philosophie médiévale qui était
à son tour l'héritage du pessimisme biblique. ' (p. 70)
Tous les objectifs ultimes prévus et défendus par la revue
franc-maçonnique ont été au moins partiellement atteints, même si les
détails spécifiques pour obtenir ces victoires diffèrent de ce dont
nous avons été témoins jusqu'à présent. Nous pouvons brièvement
considérer ces victoires franc-maçonniques ci-dessous.
Effondrement apparent du Magistère. Avec Vatican II, l'autorité
enseignante officielle de l'Église a semblé contredire ce qu'elle avait
enseigné auparavant. Yves Congar a bien exprimé la réalité dans son
Défi à l'Église : le cas de Mgr Lefebvre :
Par la Déclaration sur la liberté religieuse, par la Constitution pastorale Gaudium et spes , Sur l'Église dans le monde moderne ,
— un titre significatif, celui-là ! — l'Église de Vatican II s'est
ouvertement inscrite dans le monde pluraliste d'aujourd'hui; et, sans
rien renier de ce qu'il pouvait y avoir de grand, a coupé les cordages
qui l'amarraient aux rives du Moyen Âge. On ne peut pas rester pris à
un moment précis de l’histoire. (p. 46)
La véritable Église catholique ne pourra jamais changer de cette
manière, mais la majorité des catholiques ont été trompés en croyant
que la Foi immuable peut muter pour contredire ce qu’elle était
autrefois, signalant un effondrement fonctionnel du Magistère.
Attaque contre l'infaillibilité. Il était clair avant que Paul VI ne publie son encyclique de 1968 sur la « régulation des naissances », Humanae Vitae ,
qu’une partie importante du clergé et des laïcs se rebellerait contre
toute affirmation de l’enseignement catholique sur le contrôle des
naissances. Cette réalité n'aurait certainement pas dû pousser Paul VI
à nier ce que l'Église avait toujours enseigné. Cependant, il aurait dû
être évident à l'époque qu'il devait non seulement guider les
catholiques sur la pilule contraceptive, mais aussi protéger l'Église
de la rébellion prévisible contre l'autorité papale. Malheureusement,
le rejet généralisé de Humanae Vitae
a normalisé le rejet ouvert de l’enseignement catholique établi et a
contribué à faire du « catholicisme de cafétéria » une force dominante
et malveillante.
Déni de la présence réelle.
Si nous pouvons nous fier à des enquêtes de premier plan et à des
preuves anecdotiques, nous savons qu’un pourcentage important de
catholiques de nom rejettent la présence réelle de Jésus dans la Sainte
Eucharistie. Alors que cette évolution tragique a été exacerbée par la
communion dans la main, les ministres eucharistiques laïcs et le
retrait des rampes d'autel, l'intervention dite d'Ottaviani de 1969 a
identifié la manière dont le Novus Ordo Missae lui-même a répudié le
dogme de la Présence réelle, avant chacun de ces abus a été popularisé
:
La suppression de l'invocation à la Troisième Personne de la Très
Sainte Trinité ( Veni Sanctificato r) pour qu'elle descende sur les
oblations, comme autrefois dans le sein de la Très Sainte Vierge pour
accomplir le miracle de la Présence divine, est encore un autre exemple
de négation systématique et tacite de la Présence Réelle. Notons aussi
les éliminations : des génuflexions (il n'en reste plus que trois au
prêtre, et une, sauf certaines exceptions, au peuple, à la
Consécration); de la purification des doigts du prêtre dans le calice ;
de la préservation de tout contact profane des doigts du prêtre après
la Consécration; de la purification des vaisseaux, qui n'a pas besoin
d'être immédiate, ni faite sur le corporal; du tissu protégeant le
calice; de la dorure intérieure des vases sacrés; de la consécration
des autels mobiles; de la pierre sacrée et des reliques sur l'autel
mobile ou sur la mensa – lorsque la célébration n'a pas lieu dans
l'enceinte sacrée (cette distinction mène directement aux « soupers
eucharistiques » dans les maisons privées); des trois nappes d'autel,
réduites à une seule; d'action de grâces à genoux (remplacée par une
action de grâces, assis, de la part du prêtre et du peuple, complément
assez logique à la communion debout); de toutes les anciennes
prescriptions en cas de chute de l'Hostie consacrée, qui sont
maintenant réduites à une seule direction fortuite : « reverenter
accipiatur » (n° 239) ; tout cela ne fait que souligner à quel point la
foi dans le dogme de la Présence réelle est implicitement répudiée.
Comme pour tant d’autres maux auxquels nous avons été
témoins depuis le Concile, de tels avertissements ont été ignorés par
la hiérarchie. La seule explication rationnelle est que les torts dont
nous avons été témoins étaient effectivement intentionnels.
Diminution du caractère sacré du sacerdoce.
Nous n'avons pas vu la « période d'essai » pour l'ordination prévue par
le journal franc-maçonnique, mais nous pouvons tous reconnaître de
nombreuses façons dont la dignité du sacerdoce a été diminuée après le
Concile. De nombreux prêtres (peut-être la plupart) ne s'habillent plus
ou n'agissent plus comme des prêtres; leurs rôles dans la liturgie et
dans la direction paroissiale ont été largement supplantés par les
laïcs; et il semble que beaucoup d'entre eux n'ont plus aucun intérêt à
suivre ou à enseigner la foi catholique. Tout ça était intentionnel.
Inversion de la structure hiérarchique de l'Église.
L'exemple le plus évident de l'inversion de la structure hiérarchique
de l'Église a été le Synode sur la synodalité, dans lequel « l'Église
synodale » découvre ses croyances religieuses à travers un processus
d'écoute des laïcs et des prêtres . Comme discuté dans un article
précédent, l'étude de la Commission théologique internationale de 2017
intitulée « La synodalité dans la vie et la mission de l'Église » affirmait que le processus synodal consiste en une inversion de la structure hiérarchique actuelle de l'Église:
Reprenant la perspective ecclésiologique de Vatican II, le pape
François dessine l'image d'une Église synodale comme « une pyramide
inversée » qui comprend le peuple de Dieu et le Collège des évêques,
dont l'un des membres, le Successeur de Pierre, a un ministère
spécifique. Ici, le sommet est en dessous de la base. « La synodalité,
en tant qu'élément constitutif de l'Église, nous offre le cadre
interprétatif le plus approprié pour comprendre le ministère
hiérarchique lui-même. . . Jésus a fondé l'Église en mettant à sa tête
le Collège des Apôtres, dont l'apôtre Pierre est le « rocher » (cf.
Matthieu 16,18), celui qui doit « confirmer » ses frères dans la foi
(cf. Luc 22). ,32). Mais dans cette Église, comme dans une pyramide
inversée, le sommet est situé en dessous de la base. C'est pourquoi
ceux qui exercent l'autorité sont appelés « ministres », parce que,
dans le sens original du mot, ils sont les moindres de tous.
Cela peut nous surprendre aujourd'hui, mais avec le recul, nous pouvons
constater que de nombreux changements ont contribué à cette inversion,
notamment le rôle accru des laïcs et les attaques contre l'immuabilité
de la vérité catholique.
Agressions contre les sacrements.
Le bilan franc-maçonnique de L'Humanisme parlait de « la disparition
graduelle du caractère ontologique et métaphysique des sacrements puis
de la mort ultérieure de la confession ». Plusieurs des développements
tragiques décrits ci-dessus y ont contribué, mais l'accent mis sur le
faux œcuménisme a également joué un rôle dominant dans
l'affaiblissement des sacrements. Si, comme nous le disent les faux
bergers de Rome depuis des décennies, les religions protestantes
plaisent à Dieu et conduisent les âmes au Ciel, alors les sacrements
catholiques ne peuvent pas être aussi importants que l’Église l’a
toujours enseigné.
Rien de tout cela n'est une cause de désespoir, mais cela
souligne la nécessité réelle pour les catholiques sincères de
reconnaître toute l'ampleur de la crise qui afflige le Corps mystique
du Christ. Si les francs-maçons célébraient ces maux en 1968, on ne
peut pas les ignorer aujourd'hui sans donner aux ennemis de l'Église
une raison de plus de se réjouir. On peut se moquer du plan de bataille
d'un ennemi avant le début des combats ; mais une fois qu'on reconnaît
que l'ennemi atteint ses objectifs de combat, on doit s'efforcer de
bien comprendre ce qui se passe.
Nous voulons donc naturellement savoir ce que nous pouvons faire pour
lutter contre ces maux. Heureusement, nous pouvons consulter un
document rédigé à peu près au moment où Mgr Graber publiait son livre :
la célèbre Déclaration de 1974 de Mgr Marcel Lefebvre, que Mgr Joseph
Strickland a récemment citée dans son intégralité. Que nous soyons
d'accord ou non avec la décision de Mgr Lefebvre de consacrer des
évêques en 1988 sans l'approbation de Rome, nous devrions tous être en
mesure de reconnaître la sainte sagesse si évidente dans la Déclaration
de 1974 :
Nous tenons fermement, de tout notre cœur et de toute
notre âme, à la Rome catholique, Gardienne de la foi catholique et des
traditions nécessaires à la préservation de cette foi, à la Rome
éternelle, Maîtresse de la sagesse et de la vérité. Nous refusons en
revanche et avons toujours refusé de suivre la Rome des tendances
néo-modernistes et néo-protestantes qui se sont clairement manifestées
dans le Concile Vatican II et, après le Concile, dans toutes les
réformes qui en ont découlé. Toutes ces réformes, en effet, ont
contribué et contribuent encore à la destruction de l'Église, à la
ruine du sacerdoce, à l'abolition du sacrifice de la messe et des
sacrements, à la disparition de la vie religieuse, à une politique
naturaliste et l'enseignement teilhardien dans les universités, les
séminaires et la catéchétique; un enseignement dérivé du libéralisme et
du protestantisme, maintes fois condamné par le Magistère solennel de
l'Église. Aucune autorité, pas même la plus haute de la hiérarchie, ne
peut nous contraindre à abandonner ou à diminuer notre foi catholique,
si clairement exprimée et professée par le Magistère de l'Église depuis
dix-neuf siècles…
Ceux qui partagent les convictions exprimées par Mgr Lefebvre en 1974
ne céderont pas facilement à Satan ou aux tyrans mondialistes, c'est
pourquoi les ennemis de l'Église ont dû attaquer cette foi
inébranlable. Chacun d'entre nous peut aujourd'hui s'approprier l'appel
au combat de Mgr Lefebvre, même s'il n'a aucune allégeance à la
Fraternité Saint-Pie X qu'il a fondée. Si nous « tenons fermement, de
tout notre cœur et de toute notre âme, à la Rome catholique, gardienne
de la foi catholique et des traditions nécessaires à la préservation de
cette foi, à la Rome éternelle, maîtresse de sagesse et de vérité »,
alors nous sauverons. Dieu prévaudra – la question la plus importante
pour nous est de savoir si nous participerons à la victoire. Cœur
Immaculé de Marie, priez pour nous ! »
« L'« Église bergoglienne » est-elle (encore) l'Église catholique ?
Par P. Joachim Heimerl von Heimthal
Il y a des phrases qui vous collent et auxquelles vous réfléchissez
longtemps. La plupart du temps, ce sont des phrases auxquelles vous ne
vous attendiez pas, et souvent ce sont celles qui vous expliquent le
monde. Très souvent, ces phrases ne semblent rien de spécial à
l'extérieur et parfois elles proviennent de quelqu'un à qui on ne
s'attendrait pas à prononcer une telle phrase.
Ces dernières semaines, j'ai pensé à une phrase de Mgr Viganò, qui a
déclaré peu avant Noël que « l'Église bergoglienne » n'était plus
l'Église catholique.
J'avoue : cette phrase est formidable et fascinante, et ce qu'elle a de
choquant, c'est qu'elle est profondément vraie, car ce que nous vivons
sous le pape François n'est rien d'autre que l' établissement d'une
néo-Église qui sape les fondements de l'Église catholique.
Il y a des dizaines d'exemples et c'est fastidieux de les répéter
encore et encore. Le principe de base de tout est toujours le même :
François est le premier pape qui croit qu'il se tient à la place de
Dieu et qu'il peut donc donner une nouvelle forme à l'Église du Christ.
Avec la nomination d’une religieuse comme « préfète » d’un dicastère du
Vatican, cela s’est produit une fois de plus, et de manière
significative, sous les applaudissements (surtout) des ennemis
(internes) de l’Église. – Nous nous souvenons : cela fait partie du
dépôt – immuable (!) – de foi que Jésus-Christ a donné à son Église une
structure hiérarchique sur les épaules des apôtres.
Cela signifie que toute fonction de direction de l’Église est liée à la
réception du sacrement de l’ordre sacré et non, comme le prétend
François, à une banale « commission » du Pape. Même le Pape ne peut pas
remplacer les sacrements ni abolir la constitution sacramentelle de
l’Église. Au contraire : il leur est et reste lié, et pour cette raison
il ne peut pas faire des laïcs des « préfets ». S'il fait ça, comme
François, il remet en question l'Église dans son ensemble. – Non, le
catholique n’est pas ce à quoi un seul pape pense, mais le catholique
est seulement ce que tous les papes ont enseigné d’un commun accord.
Mais Francis en est maintenant très loin, et ce n'est pas la première
fois.
Il n'est pas du tout facile pour moi d'être d'accord avec Mgr Viganò,
et je pense que lui-même ne s'est pas facilité la tâche avec sa
déclaration. Cependant, une question cruciale demeure ici : si «
l’Église bergoglienne » n’est plus l’Église catholique, alors où est
passée l’Église catholique ? Ou, pour le dire autrement : l'esprit
catholique a-t-il complètement disparu entre-temps ?
J'ai
trouvé la réponse surprenante à cette question il y a quelques jours
lorsque j'ai vu une vidéo prise lors de l'incendie catastrophique de
Los Angeles. Dans ce film, une famille chantait « Regina Coeli » sur
les cendres de leur maison incendiée, et je me disais : « Oui, c'est ça
et rien d'autre qui est la vraie Église, c'est l'Église catholique, et
c'est exactement ce que leur inébranlable, à quoi ressemble leur foi
immuable.
Alors que le Pape lui-même ébranle les fondements de l'Église, l'Église
du Christ existe partout où les sacrements sont (encore) valablement
célébrés et où ce que l'Église a enseigné de tout temps est cru et
témoigné sans faille. - Certes, c'est douloureux de vivre ce paradoxe,
mais c'est sans conteste un des signes que le Christ lui-même nous a
annoncés avant sa venue. Et c’est seulement à cet égard que l’apostasie
générale sous François est un signe prophétique – et l’une des
dernières épreuves pour l’Église.
Mais qu'arrivera-t-il après François ? Y a-t-il un espoir que le
prochain pape inversera les aberrations du pape actuel et restaurera
l'Église dévastée ? – Je ne crois pas que ce sera le cas. François a
constamment nommé des hérétiques et des apostats comme évêques et
cardinaux, assurant ainsi sa voie destructrice. En même temps, tout a
été dit sur son fatidique pontificat. – En vérité : « catholique »
n’est certainement pas « franciscain » et ne le sera jamais. Au
contraire : tôt ou tard, nous chanterons le « Regina Coeli » d'un
nouveau départ sur les cendres de « l'Église bergoglienne ». -
Pourquoi? Parce que Jésus-Christ est le Seigneur de son Église, et non
Jorge Mario Bergoglio. » (marcotosatti.com)
13 janvier
LA SECONDE PENTECÔTE
« Or Pierre, se présentant avec les Onze, éleva la voix et leur
déclara: « Juifs, et (vous) tous qui séjournez à Jérusalem,
sachez bien ceci, et prêtez l’oreille à mes paroles.
Ces hommes en effet ne sont point ivres, comme vous le supposez, car
c’est la troisième heure du jour (9 heures du matin), mais c’est ce qui
a été dit par le prophète Joël :
Il arrivera dans les derniers jours, dit Dieu, que je répandrai de
mon Esprit sur toute chair, et vos fils et vos filles prophétiseront,
et vos jeunes gens auront des visions, et vos vieillards auront des
songes.
Oui, en ces jours-là, je répandrai de mon Esprit sur mes serviteurs et sur mes servantes, et ils prophétiseront.
Et je ferai paraître des prodiges en haut dans le ciel, et des signes
en bas sur la terre: du sang, du feu, de la fumée en éruption;
le soleil se changera en ténèbres, et la lune en sang, avant que vienne le jour du Seigneur, le (jour) grand et éclatant.
Alors quiconque invoquera le nom du Seigneur sera sauvé. » (Actes 2, 14-21)
« Mais aussi de grandes processions
et la Vierge Heureuse descendra sur terre. Vous ne la verrez pas dans
la grotte, mais dans un cœur qui revivra. Depuis les ténèbres, elle
apportera la parole que tous comprendront.» nous spécifie la prophétie de Jean XXIII « Grand Éclair à l’Orient ».
C’est la seconde pentecôte.
Cette lueur d’espoir du Jugement pour les justes.
C’est la résurrection des « deux témoins » de l’Apocalypse, ce silence d’une demi-heure pour convaincre les tièdes.
L’élection de Trump et le signe eschatologique des feux de Los Angeles
en Californie nous indiquent clairement que la sixième période de
l’Apocalypse achève, que la chute de Babylone commence et que la mort
des deux témoins est à nos portes.
Louis d’Alencourt (legrandreveil.wordpress.com)
à propos du messie judéo-maçonnique dans l’article « «Projet 47 » (et
nous pouvons confirmer maintenant que nous sommes bien en présence d’un
des deux empereurs de la prophétie de Jean XXIII) :
« Par contre, ce personnage peut représenter le messianisme vainqueur
et symboliser, par ses œuvres, ses décisions et ses prises de position,
la domination de la synagogue sur le monde, sans être lui-même ni le
Messie (pour les juifs), ni l’Antéchrist (pour les autres). »
Les feux dans la cité des « anges perdus » en Californie...
Un signe de la chute de Babylone à l’approche de l’assermentation du président américain?
Les vents chauds et secs qui attisent qui purifient le tout sont nommés : les vents de « Sainte Anne ».
Louis D’Alencourt :
« Quel est le lien entre sainte Anne et l’eschatologie?
Le Ciel respecte la hiérarchie humaine dont il est lui-même le
concepteur : la grand-mère annonce la mère qui annonce le Fils.
N’oublions pas que sainte Anne nous aura donné la Vierge Marie, qui
elle-même donnera à l’humanité son Sauveur, son Rédempteur et son Dieu
: Jésus-Christ…. »
« C’est que la stérilité d’Anne était pleine de raisons mystérieuses,
nous disent les Pères de l’Église. Anne était la figure du monde,
jusque-là stérilisé, et qui allait enfin produire
son fruit, suivant l’expression du prophète. » (laportelatine.org)
Les vents de Sainte Anne annoncent la purification par le feu de la fin
des temps, le feu du Dieu Trin, par le Père, le Fils et l’Esprit, via
la Vierge Marie, la femme de l’Apocalypse, Notre-Dame de Guadelupe.
Los Angeles représente le lieu par excellence de la domination de
l’image par la télévision et internet qui propulse les âmes en enfer.
« Et il lui fut donné d'animer l'image de la bête, de façon à la faire
parler et à faire tuer tous ceux qui n'adoreraient pas l'image de la
bête. » (Apo 13, 15)
Ce monde et l’église par la grande apostasie sont stériles à l’image de Saint-Anne…
Mais comme le miracle de l’Immaculée Conception pour donner ensuite au
monde son Sauveur, Marie fera renaître l’Église pour le Salut du monde.
« Marie Très Sainte, fille et mère de
Dieu, maîtresse du temps futur, bats le rappel de tes fils dans les
campagnes, pour qu'ils abattent les deux Babylone.
Et que la Mère soit Une, comme toi tu es unique.
La
terre détruira le ciment et de terre sera, Reine, ta nouvelle Église.
Et sur la terre de blé, pour la faim de tes peuples, fleur sur son
nouvel autel. Amen. » (prophétie de Jean XXIII concernant Benoit XVI).
Ainsi, le temps approche où le Père fera venir à Lui ses deux témoins.
Mais ils auront auparavant la tâche de convertir les tièdes durant la
demi-heure de silence, que le regretté eschatologue Louis
D’Alencourt évaluait à environ 15 jours :
« Une fois la 7è église enclenchée, quel est le déroulement des opérations ?
… La sixième période se termine par la résurrection des témoins ; à ce
moment-là, il se fait un grand tremblement de terre où 7000 hommes
périssent, et où la dixième partie de la ville tombe.
On ne peut savoir pour le moment à quoi correspondent ces événements, il faut attendre qu’ils se réalisent...
la résurrection des témoins est similaire à l’ouverture du 7ème sceau, car le septième sceau se fait en deux temps :
– à l’ouverture, il se fait un silence dans le ciel d’environ une demi-heure ;
– puis, à l’expiration de ce délai, l’ange prend l’encensoir plein de feu et le jette sur la terre...
Il s’agit donc d’un événement en deux temps, dont la première partie
est probablement secrète… les témoins sont ceux restés fidèles à la
vraie foi, principalement ceux restés dans la Tradition, et ceux qui
sont dans les mêmes dispositions du cœur et de l’âme. Il s’agit de la
résurrection de la véritable Église en réalité, celle donc de la
Tradition, et dont le chef de file est la Fraternité saint Pie X.
Cette résurrection est figurée dans l’Évangile dans au moins deux
passages : la Transfiguration et la résurrection de la fille de Jaïre.
La Transfiguration est l’annonce anticipée du retour en gloire du
Christ, annoncée par les deux témoins (Moïse et Élie, la loi et
les prophètes). Y assistent seulement Pierre, Jacques et Jean.
La fille de Jaïre est une figure de la résurrection de l’Église, c’est
pourquoi Jésus dit « elle n’est pas morte, elle dort » ; car
en réalité, la véritable église n’est jamais morte, mais elle a été
mise comme en sommeil, éclipsée par la fausse église, la moderniste à
Rome. Or les apôtres présents sont à nouveau Pierre, Jacques et Jean.
Enfin, pour ces deux événements, Jésus leur demande de conserver le
secret, de n’en parler à personne jusqu’à ce que le Fils de
l’homme soit ressuscité.
Il en va de même pour notre Église : il y a un délai entre sa
résurrection et sa visibilité effective aux yeux des hommes.
Normal, car le délai en question, c’est la fameuse demi-heure du 7è sceau.
Enfin, dernier rapprochement, l’Église du Christ vient de vivre ce
qu’il convient de nommer sa Passion ; c’est pourquoi ce sont toujours
les 3 mêmes apôtres qui seront les témoins de l’agonie de
Notre-Seigneur : car il y a un lien entre les 3 faits : agonie puis
Passion de l’Église, annonce de sa résurrection par les témoins au
moment du retour glorieux du Christ (Transfiguration), puis
résurrection effective (fille de Jaïre), MAIS, comme pour l’épisode de
saint Thomas, les incrédules n’en auront connaissance que dans un
second temps : quand la 7ème période sera définitivement enclenchée, à
la seconde phase du 7ème sceau.
… Donc, après cette demi-heure de suspension, le signe de la Femme dans
le ciel ouvrira définitivement la 7ème période, le fameux 777, car les
3 descriptions de l’Apocalypse concernent en réalité un événement
similaire parce que c’est le même… » (legrandreveil.wordpress.com
- le grand pardon)
C’est le « Grand Éclair à l’Orient » de Jean XXIII.
08 janvier
LE TEMPS DE MISÉRICORDE
La justice divine suit la miséricorde.
Ce temps de miséricorde est accordé jusqu’à l’ouverture du 7ème sceau dans l’Apocalypse qui débute la Justice divine.
Plus que 12 jours avant l’assermentation du président américain et donc
de la consécration du messie judéo-maçonnique, c’est à dire la
domination totale de l’élite sur les ressources mondiales, la Terre
Promise (voir les analyses antérieures du Projet 47).
« Le diable, de nouveau, le transporta sur une montagne très
élevée, et lui montrant tous les royaumes du monde, avec leur gloire,
il lui dit : " Je vous donnerai tout cela, si, tombant à mes pieds,
vous m'adorez ".
Alors
Jésus lui dit : " Retire-toi, Satan ; car il est écrit : Tu adoreras le
Seigneur, ton Dieu, et tu ne serviras que lui seul. » (Matthieu 4, 8-10)
Lorsque Lucifer fut évincé du Ciel après sa rébellion, il fut projeté sur Terre où il est devenu le Satan, l’ennemi.
C’est son royaume, le temporel, la Terre.
Il n’est donc pas surprenant que quelques 2000 ans après le Christ, il
présente son messie, car son temps est maintenant compté, et il le sait.
C’est la fin de la sixième période, celle de l’humain divinisé,
représenté par le 666, la 6ème sceau, la sixième coupe, la sixième
trompette.
Pour les chrétiens, c’est la séparation du bon grain de l’ivraie; le compte.
Les 144000 justes de l’Apocalypse: soient les 12 tribus d’Israël
purifiées par le sang du Christ, devenues les 12 apôtres et de la
multiplication au figuré des disciples, 12000.
Le système Antichrist atteint son apogée.
Ses rois mages se sont inclinés (dernière analyse) devant l’empereur de
la terre de Luther; terme désignant les États-Unis dans les prophéties
de Jean XXIII, terre du protestantisme issue de la City de Londres,
donc dominé par l’élite judéo-maçonnique.
C’est probablement la dernière personnification antichristique à laquelle nous assistons.
Après les César, Napoléon, Hitler, pour n’en nommer quelques uns.
Ils ont tous les mêmes caractéristiques que leur père spirituel, Satan.
Dominés par l’orgueil, le mensonge, l’ambiguïté et la manipulation,
montrer son bon côté en public en utilisant des paroles mielleuses pour
séduire, alors qu’ils sont des dictateurs en cachette, qui dirigent par
décrets, puisqu’ils sont les seuls à avoir raison.
Ils sont montés au pouvoir parce qu’ils suscitaient l’espoir, alors que
leurs fruits sont le chaos et les pires cauchemars que l’on peut
imaginer.
Ainsi en est-il de Bergoglio, le pape des pauvres, qui rappelez-vous,
avec ses premiers gestes, donnait l’illusion qu’un pape près du peuple
pour le peuple nous avait été donné, et qui se révèle être un dictateur
redoutable qui a détruit l’église le temps de le dire.
« Nous sommes au-delà de l'hérésie. Nous en sommes à la réduction du
christianisme à l'anthropologie, voire à l'écologie. Nous en sommes
donc à l'apostasie. Et tout cela non pas à cause d'une déchirure
soudaine, mais en étroite relation avec ce qu'on entrevoyait déjà
dans Evangelii gaudium et Amoris laetitia….
Naturellement, l'opération est conduite selon le système habituel: non
pas en niant, mais en se taisant, non pas en contredisant, mais en
diluant. De manière que le lecteur puisse être impressionné, et même
favorablement, par toutes les réflexions intéressantes, d'ordre
écologique, ethnologique, hygiénico-sanitaire, sociologique, etc. qui y
sont contenues, et dont beaucoup sont en elles-mêmes justes. Mais au
milieu de ces analyses empiriques foisonnantes et redondantes, qui ne
disent rien de nouveau et qu'un spécialiste pourrait formuler mieux, la
personne du Christ et son Évangile disparaissent, littéralement
engloutis par la luxuriante forêt tropicale….
… (à propro du synode amazonien) certains, mais ce n'est pas un
document chrétien. Que cela soit dit clairement. Quelques
citations bibliques placées comme titre de certains paragraphes ou
l'emploi de mots tels que «Église», «conversion» et «pastorale» ne
suffisent pas à garantir le caractère évangélique d'un texte. Elles
ressemblent à des écrans rassurants, mais la Parole du Dieu vivant ne
constitue pas la texture et l'inspiration sur lesquelles le document
est construit. (benoît-et-moi.fr)
Alors que le temps du repentir achève, Bergoglio prône encore le
mensonge de la miséricorde infinie, sans mentionner que Dieu est
Justice, et que tous n’entrent pas au Royaume des Cieux.
Tic tac, tic tac…
Plus que quelques temps avant le feu de la purification.
L’ouverture du 7ème sceau.
Selon Mgr Gaume, « onze multiplié par sept (77) marque la totalité de la transgression et la dernière limite du péché. »
Et de citer saint Augustin :
« Un nouveau trait de lumière nous révèle la signification du nombre
77, en faisant briller dans toute sa splendeur l’adorable sagesse qui a
tout disposé avec nombre. Saint Luc, traçant la généalogie du
Rédempteur, compte en tout 77 générations. Ainsi, dans les conseils
éternels, la descente du Fils de Dieu sur terre a eu lieu au moment
précis où 77 générations de pécheurs s’étant écoulées, afin de montrer,
par ce nombre mystérieux, qu’il était venu pour effacer l’universalité
des péchés commis par le genre humain. »
2025-77 donne 1948, soit l’année de la création d’Israël par l’élite
judéo-maçonnique suite à la déclaration de Balfour, le futur royaume de
Satan (la Terre) avec Jérusalem comme capitale à la place de Rome.
Le plan est toujours sur le long terme pour les talmudistes qui
agissent depuis les années 600s, ayant pour but d’éliminer le seul
obstacle à la venue du messie judéo-maçonnique, le Christ par la
Présence Réelle, via son épouse l’Église et la Sainte Messe.
77 est bien une donnée divisible par 3,5 en référence aux 42 mois de la
bête (un temps, deux temps et un demi-temps), et cela donne 22.
Un temps : 1948+22=1970 :
Première année de la messe conciliaire, l’arrêt du sacrifice perpétuel selon le prophète Daniel.
Deux temps : 2014 :
Première année suivant l’élection de Bergoglio, le destructeur de
l’église, celui qui élimine la messe Tridentine et qui modifie la messe
conciliaire pour en faire une messe païenne, pire que le repas
commémoratif des protestants.
Un demi-temps : 2025 :
La fin de la sixième période, du temps de miséricorde, la mort et la
résurrection des deux témoins si on suit le calendrier de l’Apocalypse.
Rappelons ce dernier dans l’ordre chronologique:
1) Mort des témoins (3,5 jours)
2) Résurrection des témoins
Fin de la sixième période, le temps de miséricorde.
Entrée dans la 7ème période, la Justice :
« Et quand l'Agneau eut ouvert le septième sceau, il se fit dans le
ciel un silence d'environ une demi-heure. » (Apocalypse, 8-1)
3) Mort de l’Antéchrist
4) Chute de Babylone (3ème malheur, Ap. 11, 14)
5) Retour du Christ
6) Jugement dernier
C'est lorsque Satan criera victoire que la Justice de Dieu s'abattra sur le monde.
06 janvier
« La manifestation de Dieu aux humains ».
Tel est le sens de l’Épiphanie que nous fêtons aujourd'hui.
L’étoile qui a guidé les rois mages était visible par tous, mais seuls
ceux qui avaient la connaissance des écritures, ou la sagesse des mages
qui y voyaient un signe extraordinaire, signe d’une royauté descendant
du ciel, ont vu et compris le signe.
Pour cela il faut lever les yeux au ciel.
Comme au temps de Jésus, combien d’entre-nous « lèvent les yeux au ciel »?
Combien d’entre-nous ont encore la Foi et attendent un signe du « Ciel »?
« Quand le sage désigne la Lune, l’idiot regarde le doigt. »
L’Épiphanie est un signe du Ciel et non la fête de l’apothéose d’un
président américain plein d’orgueil, signe du messie judéo-maçonnique
prenant le pouvoir (voir l’analyse précédente et la référence au Projet
47 du regretté Louis d’Alencourt), avec les trois « rois mages » du
système antichristique s’inclinant à ses pieds.
« Comment Trump réécrit le 6-Janvier
Décrite par le Wall Street Journal, cette scène s’est déroulée fin
novembre. Elle a coïncidé avec une période au cours de laquelle les
titans de la Silicon Valley et d’ailleurs ont convergé vers Palm Beach
pour « embrasser l’anneau » du président désigné ou « plier le genou »
devant lui, pour reprendre les métaphores préférées des médias.
Certains d’entre eux, dont Jeff Bezos (Amazon), Tim Cook (Apple) et
Sundar Pichai (Google), ont également promis de verser 1 million de
dollars au fonds d’investiture de Trump, par l’entremise de leurs
entreprises respectives ou de leur fortune personnelle… » (lapresse.ca)
L’Épiphanie est le signe de l’abandon des religions païennes pour adorer un seul et unique Dieu en NSJC.
C’est le signe singé par le diable en ce 6 janvier 2025, mais à la gloire de l’Antichrist et son messie.
D’ailleurs, tout comme la foudre a frappé la basilique Saint-Pierre le
11 février 2013 lors de la démission de Benoît XVI, la foudre a frappé
en ce 1 janvier 2025, le Capitole et le Monument à Washington, ainsi
que le World Trade Center à New York. Le même soir.
Dieu est à l’œuvre et il a annoncé la chute de Babylone à sa manière.
D’ailleurs, le soleil est très actif cette semaine.
Une tache solaire a déjà émit trois éjections de classe X depuis le 3
janvier et les probabilités pour en avoir d’autres de cette tache selon
la NOAA est de 25%.
C’est ce maximum solaire qui a amené toute cette activité en 2024 et qui continue.
Les signes, les aurores de 2024, sont toutes ici résumées en images (spaceweather.com)
Les signes, c’est aussi Notre-Dame de Gualelupe.
On y revient souvent.
Parce
que c’est la femme de l’Apocalypse, et qu’elle nous a laissé un message
pour notre époque via la Tilma, confirmant encore une fois de plus que
le chiffre 13 lui appartient (preuve founie dans la vidéo ci-dessous),
et non à Bergoglio.
Voici l'excellente interview concernant le film Notre-Dame de Guadelupe qui est sorti dernièrement. (RITV)
Qui sait?
Juste avant le signe de Jonas, nous aurons peut-être la chance
d’apercevoir dans le ciel le signe de la Vierge Marie annoncé par le
père Malachi Martin (voir analyses précédentes), lui qui a lu le 3ème
secret de Fatima.
Le « Grand Éclair à l’Orient » de la prophétie de Jean XXIII.
Peut-être verrons nous de notre vivant l’étoile Betelgeuse exploser et devenir une supernova (photo de ce que nous verrions dans le ciel; troisième avant dernière image de l’article)
Ou, tout comme les rois mages, observerons ceci (la-croix.com).
04 janvier
Nous voici donc en 2025.
Comme les avertissements des 13 mai et 13 octobre derniers, l’année a
commencé avec une tempête magnétique majeure le premier janvier
générant de magnifiques aurores partout sur la planète.
2025 est l’année du Jubilé mais aussi l’année du veuvage de l’église,
le veuvage (60 ans) de l’église conciliaire suite à Vatican II (dont
Nostra Aetate voté à la dernière session le 28 octobre 1965 (puisque
Jean XXIII a été élu un 28 octobre).
Rappelons que Pâques 2025 sera le 20 avril.
Ainsi, le dimanche de Quasimodo où Thomas représentant les incrédules
de notre temps, demandent à avoir les preuves de la résurrection, sera
le 27 avril.
Le nombre d’années entre l’élection de Jean XXIII et le 27 avril 2025
sera de 66 ans et 6 mois, ce qui confirme le summum de la divinisation
de l’humain dans toute sa trinité, le 666.
2025
est aussi la limite du diable dans le décompte long démontrée dans
l’analyse du 29 novembre 2021 avec le calendrier de la fin des temps.
Depuis l’apparition de l’ordinateur Apple I le 11 avril 1976 vendu
666,66 dollars, qui accéléra l’établissement du système
Antichrist, et la suspension de Mgr Lefebvre par Paul VI à l’été 1976
(préservant la Tradition si indispensable en ce moment), il y a bien 49
années en 2025.
Don Jean de Monléon dans son livre Le prophète Daniel:
« Malgré les efforts des bourreaux, la flamme ne montait qu’à 49
coudées, elle n’arrivait pas à cinquante… Pourquoi cela ? Parce que 50
est le chiffre de la Pentecôte, le symbole de la transformation totale
que, seule, la grâce du Saint-Esprit est capable d’opérer dans l’homme.
»
Par conséquent, « le démon ne peut dépasser 49 coudées, parce qu’il est
incapable d’agir efficacement sur le fond de l’âme, sur la volonté, si
celle-ci est résolue à tenir bon. »
Le diable n’a donc pas le droit d’aller jusqu’à 50, le chiffre en jours qui sépare la Résurrection de la Pentecôte.
Or, on sait en 2025 grâce à la prophétie de Jean XXIII « Le Temps est
Proche » que c’est le temps des deux empereurs. On peut affirmer
facilement maintenant qu’il s’agît de Donald Trump et du président
chinois, puisque Poutine est très affaibli avec la guerre
ukrainienne :
« Le premier empereur meurt de faim, enfermé dans la tour de son rêve.
Le second empereur dans le désert, attaqué par les animaux de la peste, inconnus.
La fille de Caïn est montée au Nord, pour prêcher. Luxure dans la nouvelle Babylone, pour sept ans.
La septième année tombe le
septième voile de Salomé, mais il n'existe pas d'empereur, il n'existe
pas qui saura lever l'épée et couper le cou de Jean. Le temps est
proche.»
Nous savons que la fille de Caïn, Greta Thunberg est montée prêcher le
nouvelle religion climatique si chère à Bergoglio en août 2018 (voir
analyses précédentes).
La fin des 7 années de la prophétie est en 2025.
Il n’y a plus d’empereur à cette date (à la limite du 49 ans : comme
pour la chute des murs de Jéricho, nous avons ici 7 voiles X 7 ans).
C’est donc dire que Babylone est tombée.
ET il est spécifié que lorsque le septième voile est tombé, qu’il n’y a personne pour couper le cou de Jean.
Jean-Baptiste, c’est l’avant Jésus.
Son rôle d’alors est typiquement apocalyptique : la fin est très proche et les châtiments vont suivre.
Les méchants vont être punis et les justes récompensés, d’où l’urgence
de se convertir, car au jour du Jugement, il sera trop tard.
On ne soupçonne pas assez l’importance de ce qui s’est passé en Syrie
le 8 décembre dernier lorsque le pays est tombé aux mains des rebelles
islamiques, le jour de l’Immaculée Conception.
C’est en lien avec Fatima.
Le 13 juillet 1917, lors de la 3ème apparitions, les enfants ont droit
à la vision de l’enfer, et la révélation du grand secret où Notre-Dame
demande la consécration de la Russie et dont :
« À la fin mon Cœur Immaculé triomphera. Le Saint-Père me consacrera la
Russie qui se convertira, et il sera donné au monde un certain temps de
paix. »
Louis D’Alencourt :
« Que nous dit-elle ?
Qu’on sera « à la fin ».
Que son Cœur Immaculé triomphera.
Que le pape consacrera la Russie.
Qu’elle se convertira.
Qu’il sera donné au monde un « certain » temps de paix, qui comprend
deux notions : on peut estimer que la Russie en sera l’acteur
principal, puisqu’elle vient d’être citée, et qu’il y a (a priori)
corrélation entre sa conversion et le temps de paix obtenu, et que ce
temps de paix ne sera pas éternel : un certain veut dire qu’il aura une
fin et qu’après… on ne sait pas. Ou plus exactement, à charge pour les
spécialistes, les eschatologues, de faire le lien avec d’autres textes,
comme l’Apocalypse, pour compléter le tableau. » (Louis D’Alencourt, - Ukraine ou Syrie ? - grandreveilwordpress.com)
Revenons en arrière.
En 2013.
Les États-Unis et la France, prépare une attaque début septembre pour
renverser le régime syrien qui a « utilisé » l’arme chimique contre ses
citoyens (attaque fausse bannière par les services secrets au gaz
sarin : 21 août 2013) , et déstabiliser la Russie présente en
Syrie.
C’est le 3 septembre que des navires américains « testent » le
dispositif de défense syrio-russe en lançant plusieurs missiles vers la
Syrie ; c’est à la fois un test et le déclenchement du conflit.
C’était, semble-t-il, le début de la 3ème guerre mondiale.
Et c’est justement la Russie qui empêche cette attaque en neutralisant les missiles.
La consécration de la Russie par Jean-Paul II en 1984 a été incomplète,
mais néanmoins le pays s’est converti par la suite à la foi orthodoxe,
et les liens sont devenus plus fort avec l'église orthodoxe russe suite
à la seconde élection de Poutine en 2012.
L'alliance avec l’église est très importante pour le président russe
car l’église prône les valeurs traditionnelles, qui dénonce "la
décadence morale" de l'Occident en cette ère de wokisme.
Sous Poutine, il s'est créé un système dans lequel les intérêts de l’église et de l'État sont liés.
Nous avons eu notre « certain » temps de paix depuis septembre 2013
selon Fatima, puisque des guerres ont lieu en Ukraine et autour
d’Israël respectivement depuis 2022 et 2023.
On connaît la suite.
Le monde se dirige vers une troisième guerre mondiale, conflit
nécessaire pour la grande réinitialisation et la venue du messie
judéo-maçonnique.
La Russie avec ses ressources consacrées à la guerre en Ukraine n’a pu défendre le régime syrien cette fois.
« Tout ceci s’inscrit dans un contexte eschatologique majeur, celui
annoncé par Fatima, où la Russie jouera un grand rôle, autant dans la
diffusion du mal via le communisme (ce qui s’est historiquement passé,
et ce de façon mondiale), que dans la concession d’un temps de paix, là
encore mondial, et là encore avéré depuis 12 ans. Mais tout a une fin,
y compris ce certain temps de paix : y serions-nous arrivés ? Dans
l’esprit de l’oligarchie mondialiste, c’est probable. Auront-ils
l’autorisation du Ciel ? Nous verrons bien, mais il est permis de
croire que le temps de Babylone (le monde moderne) est compté. Compté,
pesé, divisé. Place à la justice divine : la chute de Babylone. » (Louis D’Alencourt, - Ukraine ou Syrie ? - grandreveilwordpress.com)
2024
Décembre 2024
31 décembre
Paroles de Bergoglio en ce 31 décembre avec le projet du Jubilé 2025, l'année de la fraternité universelle:
« ... «L’espérance de la fraternité»
Le
Pape a rendu grâce à Dieu pour tout le travail effectué «avec ce large
horizon qu'est l'espérance de la fraternité». Promulguée le 9 mai 2024,
la bulle d’indiction Spes non confundit a donné «Pèlerins d’espérance»
comme devise au Jubilé 2025. Parmi tous les chemins d’espérance,
François a voulu s’arrêter sur celui de la fraternité. «L'espérance du
monde réside dans la fraternité», a-t-il assuré.
Mais, pour l’évêque de Rome, cette fraternité n’est pas qu’un «slogan
rhétorique». L’assise stable et durable de cette fraternité humaine
n’est ni une idéologie, ni un système économique, ni un progrès
technologique. Au contraire, comme le montre Marie Mère de Dieu, il
s’agit de Jésus, «le Fils incarné, envoyé par le Père pour que nous
devenions tous ce que nous sommes, c'est-à-dire des enfants du Père qui
est aux cieux, et donc des frères et des sœurs entre nous». » (vaticannews.va)
Mais on ne convertit pas: on s'adapte au nouvel ordre mondial.
Alors qu'on instaure au Vatican le QR code pour avoir le droit de passer la porte sainte et ainsi récolter son indulgence.(benoit-et-moi.fr)
Magnifique abaissement au système Antichrist.
Et ce, en ce jour commémoratif du décès du katéchon, Benoît XVI, il y a maintenant 3 ans.
La fin du séjour au tombeau?
Un signe?
2025 risque d'être l'année Oméga, la fin de Vatican II.
D'ailleurs, avez-vous remarquez que Bergoglio ressemble de plus en plus au pape Jean XXIII en fin de règne?
Voir cette photo récente dans l'article suivant (lapresse.ca).
Bonne et heureuse année marquée par la Paix et l'Espérance à tous!
Gardons la Foi.
23 décembre
LE SOLEIL OU « GRAND ÉCLAIR À L’ORIENT »?
Demain s’ouvre l’année du triomphe satanique, l’année du Jubilé
2025, l’année du testament de Bergoglio (voir analyse du 17 septembre,
LE TESTAMENT DE BERGOGLIO).
Ceux qui visitent régulièrement la section analyse du site savent que
nous portons une attention particulière à l’astre du jour parce que
c’est le signe qui nous a été donné à Fatima le 13 octobre 1917.
Ce signe qui a effrayé la foule mais pour sœur Lucie qui était la
vision de la Sainte Famille suivi des trois personnifications de la
Sainte Vierge Marie, se terminant par Notre-Dame du Carmel.
Puisque le monde ne s’est pas converti, ils est alors évident que nous sommes dû pour cette « tempête solaire ».
L’année 2024 est sur le point de se terminer et dans moins d’un mois la fin des 3,5 années depuis Traditionis Custodes du 16 juillet 2021 interdisant la messe Tridentine approche.
« Grand Éclair à l’Orient » ou la « Foudre en Plein Jour » ou «
Le Temps est Proche » sont les trois prophéties que nous pouvons
reliées à une intervention humaine comme une bombe puissante dans ce
contexte de guerre, mais aussi, ce vers quoi nous penchons, soit une
intervention divine, et ce venant du soleil car « Vous n'entendrez pas le tonnerre, lui aussi sera imprévu. » nous confirme la prophétie.
Puisque tout notre civilisation actuelle ne repose que sur la
technologie et l’électricité, une tempête d’une rare intensité,
inconnue depuis notre époque « moderniste » spirituelle où tout a été
abandonné à Satan, représenterait bien « Dieu a déchaîné la guerre de la nature pour empêcher la guerre des hommes. » de la prophétie de Jean XXIII.
Alors, qu’en est-il du soleil ces dernières semaines alors que nous sommes en plein dans le maximum solaire en 2025?
L’activité solaire a été particulièrement tranquille en ce mois de décembre.
Rappelons pour ceux qui ont oublié, qu’on mesure l’activité solaire par
le nombre de taches apparentes et par l’étendue qui est reliée à la
complexité magnétique de ces dernières.
Nous
pouvons surveiller l’activité solaire depuis le début des années 2000
grâce à des satellites d’observation solaire reliés aux ordinateurs sur
terre.
Plus la complexité magnétique est élevée plus la chance de voir une
éruption solaire de classe X, la plus grande sur l’échelle de mesure,
est élevée.
Si l’éruption solaire est accompagnée d'une éjection de masse coronale
(CME) (une bulle magnétique se déplaçant dans l’espace) se dirigeant
vers la Terre, alors nous risquons de tout perdre : électricité,
électronique, et tout ce qui s’en suit.
Par un « malheureux hasard », le 26 novembre dernier, un tuyau d'eau
servant à refroidir la salle des serveurs du Centre commun des
opérations scientifiques (JSOC) de l'Observatoire de la dynamique
solaire (SDO) s'est cassé. Cela a causé d'importantes inondations dans
le bâtiment et d'importants dégâts d'eau dans le laboratoire qui abrite
les machines qui traitent et distribuent les données des instruments de
l'imageur héliosismique et magnétique (HMI) et du réseau d'imagerie
atmosphérique ( AIA) ainsi que du vaisseau spatial IRIS.
Indice? Signe?
Nous devons donc présentement avoir recours aux observations
astronomiques des institutions et des particuliers pour suivre
l’évolution du soleil.
Le satellite SOHO de la NASA nous permet toujours d’être témoin des éruptions solaires et des CME.
Donc, tout n’est pas perdu.
Autre fait intéressant par rapport au « Grand Éclair à l’Orient », une
nouvelle étude scientifique publiée dans la revue Science conclue que
nous devrions être à l’affût des « super-éruptions » solaires.
L’étude conclue que les étoiles semblables à notre soleil dans notre
Voie lactée produisent des super-éruptions environ tous les 100 ans.
Les super-éruptions sont des éruptions solaires environs 50 fois plus
puissante que l’événement Carrington en 1859, événement qui à lui seul
représenterait un réel danger pour notre monde gavé de technologie.
Les 10 astronomes de l’étude ont observé 56,450 étoiles comparables au soleil grâce au télescope Kepler entre 2009 et 2018.
Ils ont identifiés 2889 super-éruptions sur 2527 étoiles avec cette énergie 50 fois plus élevée que l’événement Carrington.
Selon leurs mesures, la Terre n’a pas été frappé par une super-éruption dans le dernier siècle.
En
conclusion, nous sommes dû pour une super-éruption solaire, ou
simplement, notre soleil est moins actif que les autres étoiles
comparables au soleil dans notre Voie lactée.
Mais, nous, nous connaissons l’avertissement de Fatima.
Nous pouvons reliés les prophéties de Jean XXIII au soleil.
D’ailleurs, la prophétie de l’Église #11 du 7ème sceau se termine par : « Attendez
le signe de Jean. L'agneau est prêt. Signez-vous sept fois avec une
main fatiguée et attendez. La lumière vient encore de l'Occident. »
La lumière vient encore de l’Occident (donc de l’ouest) peut signifier deux choses :
- Il s’est passé physiquement un signe à l’est (Grand Éclair à l’Orient)
-
ou, comme les égyptiens attendaient impatiemment de voir si le dieu
solaire allait réapparaître le matin après son périple de la nuit, nous
sommes en présence du signe de Jonas, les trois jours de noirceur, et
nous attendons plein d’espoir, ce retour de la lumière.
La
force d’une super-éruption aurait évidemment des impacts probables au
niveau de la structure terrestre, qui est une immense boule magnétique.
Et la dernière prophétie #12 concernant l’église est « L’arrivée de la lumière ».
Et c’est relié à l’établissement du Royaume de Dieu sur terre.
« Avant l'ultime lumière, les pasteurs auront reconnu le signe. », soit le Grand Éclair à l’Orient.
« Le premier soleil illumine la balance de l'univers. »
Soit qu’il s’est passé de quoi avec le soleil, soit que c’est une représentation mystique du retour du Christ.
« Lumière de l'Occident, dernière lumière avant l'éternelle, inconnue. »
Le
père Malachi Martin qui avait lu le 3ème secret de Fatima nous a bien
averti de surveiller le ciel à l’est, à l’orient, pour LE SIGNE.
Il semble qu'il s’est juste tromper sur son estimé dans le temps.
Si
2024 est l’année où tout bascule, 2025 est l’année de la chute des deux
Babylone si la prophétie de Don Bosco du retour du Lys de Paix avant
mai 2026 est véridique.
Est-ce que Bergoglio se rendra à sa 13ème année de pontificat, chiffre appartenant à la Sainte Vierge?
Bergoglio, avec l'ajout des nouveaux cardinaux, a créé 111 des 140 électeurs admissibles pour le prochain conclave papal.
Les franc-maçons aiment bien le chiffre 11.
Pâques en 2025 sera le 20 avril.
Ainsi, le dimanche de Quasimodo où Thomas représentant les
incrédules de notre temps, demandent à avoir les preuves de la
résurrection, sera le 27 avril.
Le nombre d’années entre l’élection de Jean XXIII et le 27 avril 2025
sera de 66 ans et 6 mois, ce qui confirme le summum de la divinisation
de l’humain dans toute sa trinité, le 666.
Aussi, la canonisation de Jean XXIII a eu lieu le 27 avril 2014.
Donc, 11 ans en 2025.
Le chiffre franc-maçonnique par excellence.
22 décembre
« Mgr Carlo Maria Viganò : « L'Église aujourd'hui est en plein délire »
Entretien d'Andrea Caldart avec l'Arzobispo Carlo Maria Viganò
Andrea Caldart : L'Église de Bergoglio semble en émoi : de nombreux
fidèles continuent de voir ce pape excommunier des prêtres et d'autres,
parce qu'ils présentent la preuve que le pape Benoît XVI n'a jamais
vraiment renoncé au « munus » pétrinien. Monseigneur Viganò, dans
quelle Église vivons-nous ?
Carlo Maria Viganò : « L'église » de Bergoglio n'est pas seulement en
effervescence : elle est en plein délire. Si cela peut arriver, c'est
précisément parce qu'il ne s'agit plus de l'Église catholique, mais de
sa scandaleuse contrefaçon, et parce qu'à la place du pape sur le trône
de Pierre siège un tyran hérétique et usurpateur . La décomposition
entre munus et ministériel est un artifice produit par la pensée
hégélienne de Joseph Ratzinger-Benoît XVI : je l’ai longuement expliqué
dans mon discours sur le sujet, en parlant d’une « Papauté décomposée
». J'aimerais profiter de cette occasion pour réitérer ici un concept
que je considère comme fondamental : toute attaque contre l'institution
divine de la Papauté (et, avec elle, de l'Église) a pour objectif
ultime la transformation du pouvoir sacré du Pontife Romain . C'est ce
que souligne en revanche la doctrine hérétique de la synodalité : elle
porte atteinte à la constitution divine et à la nature monarchique de
l'Église, voulue par son divin Fondateur, Notre Seigneur Jésus-Christ,
qui est Roi non seulement des sociétés temporelles, mais aussi - et
surtout - de la société religieuse, c'est-à-dire de l'Église
catholique, corps mystique dont il est la tête.
Si Bergoglio était pape, la promesse d'une assistance spéciale faite
par le Seigneur au Prince des Apôtres et à ses successeurs serait
infondée et fausse, ce qui est totalement inconcevable et contraire à
la foi. Par conséquent, si Bergoglio peut exercer sa propre action
dévastatrice sur l’Église et propager ses erreurs, c’est parce que son
autorité a été usurpée avec préméditation et méchanceté et, en tant que
telle, est nulle. Ceux qui pensent que la crise a commencé avec ce «
pontificat » se trompent : la volonté de manipuler la papauté romaine
remonte au Concile Vatican II, poursuivie avec l'encyclique Ut unum
snot sint de Jean-Paul II, confirmée par l'anomalie de la
démission de Benoît XVI et que Bergoglio a fait sienne - en parfaite
cohérence avec ses prédécesseurs - avec le document d'étude L'Évêque de
Rome du Dicastère pour la Promotion de l'Unité des Chrétiens. Redéfinir
la papauté « dans une clé œcuménique et synodale » est le modus
operandi typique des hérétiques pour dissimuler derrière de vagues
formules une action délibérément subversive, contraire à la foi et à la
pratique constante de l’Église catholique romaine.
Il faut prendre acte du coup d'État fomenté par l' Église profonde et
qui a porté au pouvoir, au sommet de la Hiérarchie catholique, les
cinquièmes colonnes de l'ennemi, c'est-à-dire de l'anti-Église
maçonnique, de la synagogue de Satan.
Andrea Caldart : Au fil des ans, vous avez émis plusieurs critiques sur
la question de la transparence et de la gestion des problèmes internes
de l'Église. Quelles étapes vous semblent essentielles pour restaurer
la confiance des fidèles ?
Carlo Maria Viganò : Ce que vous appelez « transparence » dans le
langage bureaucratique trouve sa contrepartie religieuse dans le fait
de savoir que nous sommes toujours sous le regard de Dieu. Rien
n'échappe à Notre-Seigneur : ni ce qu'on fait, ni ce qu'on va faire, ni
les intentions qui nous animent. Si ceux qui soutiennent Bergoglio et
ratifient sa fraude avaient agi avec cette conscience, ils ne
l'auraient même pas admis au Conclave. Pour que le coup d'État
réussisse, il fallait pouvoir compter sur une Hiérarchie corrompue et
susceptible de chantage : la corruption de la volonté dans la violation
des principes moraux s'accompagnait de la corruption de l'intellect
dans la falsification progressive de l'esprit.
La Révolution, dans sa matrice ontologiquement antichrétienne et
anti-Christ , a nié l'origine divine de l'autorité terrestre,
déconnectant les dirigeants de leur obligation d'exercer le pouvoir
dans les limites du Bien en tant qu'expression de la Seigneurie suprême
du Christ. Cela a rendu l’autorité – civile et ecclésiastique –
autoréférentielle et essentiellement tyrannique, pervertissant
l’obéissance chrétienne en complicité servile. Citoyens et fidèles se
sont retrouvés à obéir au pouvoir temporel et spirituel même lorsqu'il
trahissait sa propre fin; et désobéir au véritable et unique détenteur
de l'Autorité, Notre Seigneur, confiné par la laïcité libérale et
conciliaire à la sphère privée des individus. Si le lien entre le
Christ Roi et le Pontife et ses représentants sur terre n'avait pas été
rompu, rien de ce que nous avons vu se produire n'aurait été possible.
À ceux qui soutiennent que l'action subversive de la Hiérarchie
moderniste bénéficie du soutien et de la reconnaissance pacifique et
universelle du peuple chrétien, il faut rappeler que soixante ans
d'endoctrinement moderniste par le clergé conciliaire - et cinquante
ans d'anarchie hérétique et sacrilège dans le domaine liturgique - les
erreurs philosophiques, doctrinales et morales que la Sainte Église
avait toujours condamnées et combattues ont été lentement normalisées. Les
quelques personnes qui veulent rester fidèles à la Tradition doivent
comprendre que nous sommes à une époque de persécution et d'apostasie
et doivent s'organiser pour résister aux loups déguisés en brebis et
aux faux bergers. Dans une magnifique parabole, le Seigneur nous
parle des faux bergers et des mercenaires, qui ne se soucient pas des
brebis, et nous rappelle que les brebis reconnaissent la voix du Berger
(Jn 10) : c'est le sensus Ecclesiæ qui permet à l'Église de survivre.
Andrea Caldart : Comment évaluez-vous l'état actuel de l'Église
catholique par rapport aux valeurs traditionnelles et à la modernité ?
Carlo Maria Viganò : L'Église catholique n'a rien à voir avec l'Église
bergoglienne, qui est conciliaire, synodale et œcuménique, mais elle
n'est certainement pas catholique. Il ne se pose comme tel que pour
obtenir l'obéissance de ses fidèles, sachant très bien que c'est
justement sur ce mensonge que sa hiérarchie peut exercer son pouvoir.
D'un autre côté, la fiction d'une autorité subversive qui agit contre
l'institution qu'elle préside est également reproduite par les
dirigeants civils, qui sont à la fois des traîtres et des usurpateurs. Ce
qui est déconcertant, c'est de voir le niveau d'obscurcissement des
consciences que la société a atteint, pour ne pas savoir comment réagir
à la violation des principes les plus sacrés et même pour coopérer
passivement à sa propre extermination physique et morale.
Andrea Caldart : À quoi faut-il attribuer cette attitude de
renoncement, d'aplatissement total des positions idéologiques du monde
moderne, de la part de l'Église de Bergoglio ?
Carlo Maria Viganò : Le désir de plaire à la mentalité du monde a
commencé au moment où la Hiérarchie, à ses sommets, a cessé d'être une
pierre d'achoppement et est devenue complice et coresponsable de la
diffusion des principes libéraux et laïques. Cela s'est produit dans
l'Église catholique à travers la révolution permanente inaugurée par le
Concile Vatican II, qui a complètement bouleversé toute la « hiérarchie
des valeurs » en déplaçant arbitrairement et illégitimement le centre
de gravité du corps ecclésial de Dieu vers le monde , du Christ. Cette
révolution, en affirmant vouloir restaurer la centralité de l'homme,
ses droits et sa « dignité infinie », nie par conséquent la centralité
de Dieu et le confine à la sphère privée de la conscience de
l'individu, déplaçant ainsi Notre-Seigneur de sa seigneurie
universelle. Au moment où l'exercice de l'autorité du pape et des
évêques trouve sa légitimité dans le consentement des fidèles, ils
n'agissent plus comme vicaires du Christ (qui d'en haut leur
confère le pouvoir sacré de paître son troupeau), mais qui deviennent
plutôt de simples représentants d'un mandat « collégial » ou « synodal
» (qui vient donc d'en bas ). Il est évident qu'une telle autorité
devient autoréférentielle et sans limites, par conséquent
essentiellement tyrannique.
Prétendre que l'Église doit être démocratique et que les laïcs peuvent
ou doivent participer à son gouvernement est évidemment un mensonge
colossal : non seulement parce que cela contredit la structure
monarchique que Notre Seigneur lui a donnée en la fondant sur Pierre,
mais aussi parce que derrière l'aspect subversif l'action de ses
promoteurs cache l'indicible détermination à le détruire, en le
frappant en son cœur, c'est-à-dire en la Papauté.
Dans la folle illusion de pouvoir détruire l'Église catholique, ses
ennemis savent bien que le moyen le plus efficace n'est pas de confier
à une multitude ce qu'on sait faire de mieux, mais au contraire de
pouvoir compter sur une autorité corrompue et pervertie.
Le premier pas vers cette autodestruction de l'Église a été accompli
précisément en inculquant aux fidèles un sentiment d'infériorité à
l'égard de ceux qui ne professent pas la Foi, et en les convainquant
que la Foi est en opposition et en contradiction avec la Science, comme
si le Seigneur n'était pas l'auteur des deux. Les fidèles seraient donc
des crédules, des rêveurs, des trompés qui croient aux miracles, à la
chute de la manne dans le désert, à la guérison des aveugles de
naissance ou des infirmes, à la multiplication des pains et des
poissons, dans la Résurrection du Christ et dans tous ces dogmes que
l'Église catholique enseigne mais qu'un esprit moderne non obscurci par
la « superstition papiste » sait bien qu'ils ne sont que des métaphores
et des élaborations de la « communauté primitive ». Une communauté
d'imposteurs, dans laquelle la nécessité de donner corps à une
institution organisée capable de rivaliser avec les autres religions a
inventé une série de mythes, en premier lieu celui de la divinité de
Notre-Seigneur. C'est, en résumé, la pensée du modernisme apparue au
XIXe siècle, condamnée au début du XXe siècle et qui a progressivement
pénétré l'Église jusqu'à s'imposer avec le Concile Vatican II. La
vision scientifique – et non scientifique – de la religion a convaincu
le clergé et les fidèles qu’ils doivent se considérer inférieurs et
méritant, tout au plus, une tolérance mal dissimulée, mais certainement
pas autorisés à défendre une Vérité considérée comme relative et non
universelle. Essentiellement, le diable a d’abord réussi à donner aux
citoyens le droit à l’erreur, puis à nier ce droit à la Vérité, le
réservant uniquement à l’erreur. L'alibi initial de la liberté pour
toutes les religions a été démontré pour ce qu'il est : une guerre
totale contre la Vérité unique de Dieu pour le triomphe des nombreux
mensonges de Satan, prince du mensonge.
Jorge Bergoglio, dans la continuité de ses prédécesseurs immédiats -
bien que certainement de manière plus décousue et plus agressive - a
usurpé l'autorité papale pour l'utiliser à son encontre, car ce n'est
qu'en se faisant passer pour Pape qu' il pouvait obtenir l'obéissance
immédiate du clergé et des laïcs dans son pays. Et ce sont précisément
ceux qui aujourd'hui reconnaissent Bergoglio comme pape légitime, mais
se réservent le droit de lui résister et de lui désobéir dans ce qu'ils
considèrent comme étant en contradiction avec la papauté et la doctrine
catholique, qui rendent cette situation humainement irréversible, dans
laquelle celui qui devrait être le Vicaire du Christ est le principal
architecte de l’action dissolvante de la Papauté et de l’Église
catholique. (Je pense à mes frères Burke, Sarah, Mueller, Schneider...
qui rendent un terrible service à la Vérité).
Andrea Caldart : Une question se pose spontanément : où « subsiste »
l’Église catholique aujourd’hui ? Comment l'Église catholique peut-elle
exister sans tête visible ?
Carlo Maria Viganò : L'Église catholique ne subsiste certainement pas
dans l'Église bergoglienne : certainement pas dans le conventicule des
cardinaux et des évêques qui soutiennent et accompagnent le tyran par
peur, timidité, intérêt, chantage ou acquiescement. Cela
suffirait pour comprendre, dans la perspective eschatologique de la fin
des temps et de la persécution finale annoncée par les Saintes
Écritures, le caractère singulier et extraordinaire de tout ce qui se
passe dans l’Église du Christ. C'est pour cette raison qu'il
n'est pas possible d'évaluer cette crise à la lumière des catégories et
des normes que l'Église s'est données pour des temps de relative
normalité. En ce sens, si l’on ne peut pas physiquement séparer
l’ivraie du bon blé, on peut au moins distinguer la mauvaise plante en
attendant que les moissonneurs viennent la jeter au feu.
Andrea Caldart : De nombreuses personnes dans le monde ont déclaré
avoir été sauvées des vaccinations forcées grâce à vos nombreuses
interventions et dénonciations des choses mauvaises et mauvaises que
les gouvernements ont faites et continuent de faire pour la mise en
œuvre de la Grande Réinitialisation et du Nouvel Ordre.
Carlo Maria Viganò : La farce de la pandémie, dont les crimes et les
horreurs apparaissent lentement même dans les grands médias, a ouvert
les yeux de nombreuses personnes intellectuellement honnêtes, y compris
des athées et des non-catholiques. Cet éveil des consciences constitue
certainement une occasion de s'approcher du Seigneur, au moment où
elles comprennent l'unité du plan satanique et anti-humain de la Grande
Réinitialisation et y reconnaissent l'action d'un esprit diabolique qui
cherche dans la destruction de l'homme pour annuler la Création de Dieu
et la Rédemption opérée par Notre Seigneur.
Ce qu'on peut faire, c'est suivre l'exhortation de saint Pierre :
Résistez fermement dans la foi, sachant que vos frères et sœurs du
monde entier souffrent les mêmes choses que vous (1 Pierre 5, 9).
Nous ne devons pas perdre la paix du cœur ni l'amitié avec Dieu face aux événements dont nous sommes témoins. Plus l'ennemi semble puissant et proche du triomphe, plus sa défaite inexorable face à l'archange Michel se rapproche.
On nous demande de rester fidèles, et de le faire avec les moyens
matériels et spirituels que le Seigneur nous assure dans les moments
d'épreuve. Organisons-nous en petites communautés, où la messe de tous
les temps est le cœur battant de notre action personnelle, familiale et
sociale. Préservons les enfants et les jeunes, en les éduquant avant
tout dans l'amour de Dieu et de la Sainte Vierge. Encourageons ceux qui
se sentent seuls et abandonnés, car la solitude est l'une des armes que
l'adversaire utilise pour nous prosterner et nous faire tomber. Prions
assidûment le Saint Rosaire. Vivons dans la charité fraternelle, sous
le regard de Dieu.
Andrea Caldart : En regardant vers l'avenir, quelles sont les priorités
de votre mission pastorale et quel message jugez-vous essentiel de
transmettre aux fidèles en ce moment historique ?
Carlo Maria Viganò : La tâche d'un évêque, c'est-à-dire d'un successeur
des apôtres, est résumée par saint Paul (2Tm 4, 1-5) : Je vous adjure
devant Dieu et devant Jésus-Christ, qui jugera les vivants et les morts
avec leur apparence et leur royaume : prêchez la Parole, insistez sur
toutes les occasions favorables et défavorables, convainquez,
réprimandez, exhortez avec toute sorte d'enseignement et de patience.
Car le temps viendra où ils ne supporteront plus la saine doctrine,
mais, désireux d'entendre, ils chercheront en grand nombre des docteurs
selon leurs propres désirs, et ils détourneront leurs oreilles de la
vérité et se tourneront vers les fables. Mais tu restes vigilant en
toutes choses, endures les souffrances, accomplis la tâche
d'évangéliste, accomplis fidèlement ton ministère. C'est ce que
j'essaie de faire. C'est ce que je ferai jusqu'à mon dernier souffle.
Et je prie ardemment pour que les autres évêques et prêtres fassent de
même, devant Dieu et le Christ Jésus, qui doit juger les vivants et les
morts, par son apparence et son royaume.
Dans ce combat spirituel, il est essentiel de penser aussi à l’avenir
de notre société et de l’Église. Ainsi, tout comme dans les affaires
mondiales, beaucoup s'organisent en communautés pour subvenir à leurs
besoins matériels - par exemple, pour fournir une alimentation saine ou
pour donner une éducation non idéologique à leurs enfants - de même,
dans les choses spirituelles, il est nécessaire d'organiser une
résistance qui assure de bons et saints prêtres qui continuent à
célébrer la messe et les sacrements dans la fidélité à la Tradition.
La Fondation Exsurge Domine a précisément pour objectif principal de
promouvoir et de soutenir la formation de nouvelles vocations
sacerdotales, dans la fidélité à la Tradition et à la Liturgie de tous
les temps, dans l'amour de l'Église catholique romaine et de la
Papauté. » (aldomariavalli.com)
21 décembre
ORDO AB CHAO
« En temps de persécution religieuse, l’intervention
divine attend ordinairement deux choses avant de se produire :
– D’abord que la purification des bons soit suffisamment accomplie ;
– Ensuite, que le triomphe des méchants soit sur le point de s’achever. » (abbé Augustin Lémann, 1886)
Ce temps des persécutions religieuses, est ce temps où Pierre le Romain
dans la prophétie des papes de Saint-Malachie conduit son peuple parmi
les tribulations, la dernière étape de la purification par Vatican II.
L’ère bergoglioènne.
L’ère du chaos.
Chaos utiliser par l’Antichrist pour la venue du « messie guerrier » judéo-maçonnique, pour établir l’ordre.
Le politique nous donne des signes évidents de chaos en cette fin
d’année 2024, où tout bascule : instabilité politique au Canada,
en France, en Grande-Bretagne, en Allemagne, aux États-Unis, …
Domenico Margiotta, franc-maçon du 33ème degré converti au
catholicisme à la fin du XIXème siècle, et qui dénoncera dans ses
livres les pratiques occultes de la franc-maçonnerie :
« Le
nombre 77 est sacré parce qu’il est le produit de la multiplication de
7, nombre sacré, par 11, nombre sacré. Le nombre 7 est sacré
parce qu’il est le total du nom ineffable du Grand Architecte de
l’Univers, qui est en sept lettres (Lucifer, nom révélé seulement dans
les triangles). Le nombre 11 est également nombre sacré
luciférien, parce que cabalistiquement il représente l’En-Soph et les
dix Séphiroth, dont les incarnations maçonniques sur terre sont le
souverain pontife de la franc-maçonnerie universelle et les dix
patriarches composant le sérénissime grand collège des maçons
émérites. Enfin le nombre 77 est trois fois sacré, parce qu’il est
le nombre de la hiérarchie céleste selon le Livre Apadno. C’est en
l’honneur de ce nombre que la juridiction suprême de la
haute-maçonnerie est divisée en 77 provinces triangulaires. »
Selon le « Projet 47 » de Louis d’Alencourt (voir analyses précédentes)
le messie judéo-maçonnique se découvre à la vue de tous le 20 janvier
prochain, c’est à dire 77 ans après la création d’Israël en 1948.
Le religieux domine le politique, quoiqu’on en dise.
Et le chaos est très présent au Vatican.
Dénoncé par quelques braves, toujours peu nombreux :
« … Les erreurs manifestées par François découlent de son aversion pour
la Tradition, qui le mène à maltraiter les traditionalistes, à
persécuter les évêques et les prêtres et à en annuler certains. Sa
procédure habituelle consiste à intervenir indirectement dans les
diocèses en nommant des « coadjuteurs » progressistes des évêques
respectifs. Dans bien des cas, il critique les prêtres, qu'il semble
mépriser, les qualifiant d'« arriérés » [« indiétistes »] parce qu'ils
aiment et suivent la Tradition. Ce mépris contraste avec l’amour pour
les prêtres manifesté par les papes ... Jean-Paul II et Benoît XVI.
La mariologie de François est déficiente : lorsqu'on lui a demandé de
proclamer la Co-Rédemptrice, il a refusé, avec un mauvais argument
affirmant qu'elle ne pouvait pas être appelée Co-Rédemptrice « parce
qu'elle n'est pas divine ». Il est clair qu'il ne comprend pas le
mystère de la participation de Marie à l'œuvre de rédemption. Le style
de François est populiste, ce qui lui vient de sa sympathie politique
pour le phénomène argentin du péronisme, mouvement auquel il adhère
depuis sa jeunesse, au sein du groupe connu sous le nom de « Garde de
fer ».
La question de l'infaillibilité ne se pose pas. En fait, il exerce son
activité en utilisant l'autorité papale de manière très naturelle. Il
est bien conscient d'être pape et est considéré comme tel par les
fidèles, sauf que beaucoup n'approuvent pas ses choix politiques et
reconnaissent clairement que cette dimension politique est étrangère à
la fonction de Successeur de Pierre.
Le pontificat actuel est axé sur l’agenda mondialiste et le dialogue
interreligieux ; il ne peut pas remplir son mandat de répandre la
connaissance et l'amour de Jésus-Christ. Mais le mandat apostolique
demeure : « Allez partout dans le monde et prêchez l'Évangile à toutes
les nations ; Celui qui croira et sera baptisé sera sauvé, celui qui ne
croira pas sera condamné » (Mc 16, 16). Cela vaut pour ce monde, qui
attend le rétablissement du Successeur de Pierre.
+ Héctor Aguer
Archevêque émérite de La Plata ». (lifesitenews.com)
« CITÉ DU VATICAN ( LifeSiteNews
) — Un employé frustré du Vatican a affirmé que le pape François
donnait la préférence au « lobby gai » lorsqu'il s'agissait de prendre
des décisions.
Dans une entrevue anonyme accordée au média italien Panorama , un
membre du syndicat du Vatican s'est plaint que non seulement ses
collègues étaient mécontents de la prétendue gestion financière de
François, mais qu'il accordait une forte préférence à ceux qui sont en
faveur de l'agenda homosexuel.
« On ne peut progresser que si on est ami d'un des deux lobbys qui
comptent : soit le « lobby gai », qui est vaste et très puissant, soit
le « Club Santa Marta » autour du Pape », dit-il. qui portait les
initiales «GF», a déclaré au média.
La personne a en outre fait remarquer que si « vous voulez adhérer,
vous ne pouvez pas lire les journaux de centre-droit et vous devez
parler espagnol ». Il faut être vert, pro-migrants et, surtout,
pro-palestinien. Pour eux, Nicolas Maduro est un saint et Donald Trump
est un diable.»
L'influence du lobby homosexuel dans l'Église n'est pas une simple
spéculation. LifeSite présente depuis des années une documentation
détaillée sur les efforts du groupe. Son pouvoir sur François est
indiqué, entre autres, par ses nominations papales, le traitement
réservé aux groupes homosexuels et d'autres signes de favoritisme
évident.
Ce mois-ci, François a nommé 21 nouveaux cardinaux, dont le prêtre
dominicain pro-LGBT, le père Timothy Radcliffe. François a également
rehaussé le profil public du prêtre jésuite pro-LGBT James Martin en
louant à plusieurs reprises son travail et son groupe hérétique
Outreach. De plus, François a récemment accueilli au Vatican un ermite
transgenre basé aux États-Unis et a souvent accueilli au Vatican
d'autres groupes de personnes confuses en matière de genre… »
« Lors de son audience du 16 décembre 2024 avec une délégation du
Conseil méthodiste mondial, François a faussement suggéré que les
catholiques professent la même foi que les méthodistes :
« L'an prochain, les chrétiens du monde entier célébreront le 1700e
anniversaire du premier concile œcuménique : Nicée. Cette occasion nous
rappelle que nous professons la même foi et avons donc la même
responsabilité d'offrir des signes d'espérance qui témoignent de la
présence de Dieu dans le monde. »
Bien qu'il soit vrai que les méthodistes et les autres protestants
acceptent le Symbole de Nicée, il est évidemment incorrect de suggérer
que les catholiques et les méthodistes « professent la même foi ». Le
pape Léon XIII a réfuté en profondeur la fausse affirmation de François
dans son encyclique de 1896 sur l'unité des chrétiens, Satis Cognitum :
« Mais celui qui s'écarte ne serait-ce que sur un point de la vérité
divinement révélée rejette absolument toute foi, puisqu'il refuse ainsi
d'honorer Dieu comme la vérité suprême et le motif formel de la foi. «
Dans bien des choses, ils sont avec moi, dans quelques affaires pas
avec moi ; mais dans le peu de choses où ils ne sont pas avec moi, les
nombreuses choses dans lesquelles ils sont ne leur serviront à rien »
(S. Augustinus dans Psal. liv., n. 19). Et c'est à juste titre ; car
eux, qui prennent de la doctrine chrétienne ce qu'ils veulent,
s'appuient sur leurs propres jugements, pas sur la foi ; et n'amenant
pas toute intelligence en captivité à l'obéissance du Christ (2 Cor.
X., 5), ils s'obéissent plus vraiment à eux-mêmes qu'à Dieu. »
Ainsi, quiconque rejette ne serait-ce qu’un seul point de la vérité
divinement révélée rejette la Foi dans son ensemble. Parce que les
méthodistes (comme les autres protestants) rejettent de multiples
points de vérité divinement révélés, ils rejettent la vraie foi,
s'appuyant plutôt sur leurs propres jugements. En tant que tels, les
méthodistes ne « professent évidemment pas la même foi » que les
catholiques… » (theremnant.com)
La Tradition est l’ennemi de l’œcuménisme.
Voilà pourquoi Bergoglio s’acharne tant sur la Tradition, car elle
empêche la conversion complète de l’église au protestantisme sous
couverture d’œcuménisme.
« … Evelyn Waugh à l'archevêque John Heenan du 25 novembre 1962 (moins
de deux mois après l'ouverture du Concile), la « protestantisation »
était évidente dès le début pour ceux qui avaient des yeux pour voir :
« La vraie difficulté (je pense) est que les Continentaux se déforment
pour nous faire ressembler le plus possible aux protestants. Comme
j'aimerais qu'on puisse les persuader (une grande majorité, je le
crains) qu'être à l'aise avec notre messe et nos cérémonies est bien
plus important que d'avoir raison selon les livres des antiquités
liturgiques.
Waugh avait tout à fait raison, et Michael Davies a confirmé
l'existence de ce processus de « protestantisation » lors de son
conseil du pape Jean :
« L'histoire du dialogue œcuménique initié par le Concile a été celle
de concessions continuelles de la part de l'Église catholique au
protestantisme – sans aucune réciprocité. . . . [L]'exemple le plus
grave en a été la modification de la messe romaine pour la rendre aussi
acceptable que possible à ceux qui rejettent l'enseignement catholique
sur le sacrifice et la transsubstantiation. (p. 154)
Mais qu'est-ce qu'être « protestantisé » ? Il n’y a aucun sens réel
dans lequel l’Église catholique actuelle pourrait être « protestantisée
» parce qu’elle ne peut pas changer de cette façon. Tout ce qui
ressemble à l’Église catholique et qui pourrait être « protestantisé »
serait nécessairement une église contrefaite. L'Église synodale de
François nous a aidés à mieux comprendre ce qui a été protestantisé.
Comme de plus en plus de catholiques le réalisent, cette Église
synodale est essentiellement une version plus avancée et officielle de
la soi-disant « Église conciliaire », qui, à bien des égards,
représentait une contrefaçon de l’Église catholique. Alors que les bons
catholiques auraient pu être en désaccord sur le sens ou la légitimité
du terme « Église conciliaire », François et ses collaborateurs
soulignent régulièrement les réalités selon lesquelles leur Église (a)
est maintenant appelée « Église synodale » et (b) a peu de
chevauchement avec l'Église catholique sur le plan doctrinal.
Dans cette optique, François avait généralement raison de dire que son
Église a la même foi que l'Église méthodiste. Cependant, lors de cette
audience particulière avec les méthodistes, il a fait référence à tort
à son église en l'appelant l'Église catholique plutôt que l'Église
synodale. Que ce soit par ignorance ou par malveillance, c'est le genre
d'erreur que les vrais catholiques devraient veiller à corriger. Si
François n'a pas la compréhension ou la décence nécessaire pour
identifier correctement son église contrefaite, nous avons une réelle
obligation de le corriger afin de minimiser les chances que d'autres
croient à tort qu'il parle de l'Église catholique dans de de tels cas.
Cette obligation de défendre la véritable Église catholique s'étend à
la nécessité pour nous de coopérer avec la grâce de Dieu pour vaincre
le faux œcuménisme qui tourmente le Corps mystique du Christ depuis des
décennies. Même si le faux œcuménisme est étranger à l'Église parce
qu'hérétique, cette notion erronée de l'unité des chrétiens nuit aux
catholiques d'innombrables manières. Dieu a permis que ces préjudices
deviennent de plus en plus clairs en 2024, avec le document de l'évêque
de Rome et le Synode sur la synodalité . Pour ceux qui aiment l'Église
catholique, cela nous appelle à faire plus que jamais en 2025 pour
lutter charitablement contre le fléau du faux œcuménisme. Cœur Immaculé
de Marie, priez pour nous ! » (theremnant.com ci-haut)
La fausse église prophétisée par Anne Catherine Emmerich.
« Parce qu'ils tiennent pour certain qu'il est très rare de trouver des
hommes dépourvus de tout sens religieux, ils semblent avoir fondé sur
cette croyance l'espoir que les nations, bien qu'elles diffèrent entre
elles sur certaines questions religieuses , sauront sans trop de
difficultés, parvenons à nous mettre d'accord en tant que frères sur la
profession de certaines doctrines, qui forment pour ainsi dire une base
commune de la vie spirituelle.
C'est
pourquoi ces personnes organisent fréquemment des congrès, des réunions
et des discours, auxquels assistent un grand nombre d'auditeurs et où
tous, sans distinction, sont invités à se joindre à la discussion,
aussi bien les infidèles de toute espèce que les chrétiens, même ceux
qui se sont malheureusement éloignés du Christ ou qui, avec obstination
et obstination, nient sa nature divine et sa mission. Certes, de telles
tentatives ne peuvent en aucun cas être approuvées par les catholiques,
fondées comme elles le sont sur cette fausse opinion qui considère
toutes les religions comme plus ou moins bonnes et louables,
puisqu'elles manifestent et signifient toutes de différentes manières
ce sens qui est inné en nous tous, et par lequel nous sommes conduits à
Dieu et à la reconnaissance obéissante de son règne.
Non
seulement ceux qui soutiennent cette opinion se trompent et se
trompent, mais encore, en déformant l'idée de la vraie religion, ils la
rejettent et se détournent peu à peu vers le naturalisme et l'athéisme,
comme on l'appelle ; d'où il s'ensuit clairement que celui qui soutient
ceux qui soutiennent ces théories et tente de les réaliser abandonne
complètement la religion divinement révélée. » (le Pape Pie XI,
Mortalium Animos, encyclique de 1928 sur l'unité religieuse)
« ( LifeSiteNews
) — Le deuxième dimanche de l'Avent, les chaînes de télévision du monde
entier ont diffusé deux services catholiques : la messe de réouverture
de Notre-Dame de Paris et la messe papale de fin du consistoire.
Ce qui unissait les deux messes, cependant, n'était nullement l'unité
de la célébration de la messe selon le nouveau missel de Paul VI ; au
lieu de cela, il était visible que les deux messes s'écartaient des
prescriptions de son missel d'une manière idiosyncrasique, démontrant
ainsi au monde entier qu'il n'existe pas de « nouvelle messe ».
Ce qui est encore plus frappant, c'est que les deux messes se
caractérisent par un rejet évident de la tradition : les vêtements, les
gestes, les rites centraux et même certaines parties de la prière
eucharistique ne donnent plus aucune indication sur la manière dont la
messe a été célébrée pendant 1 600 ans. Au lieu de cela, le lien avec
la tradition semblait avoir été coupé au couteau, et les deux messes
semblaient flotter dans un espace liturgique vide.
Cependant, la tradition dans l'Église est une chose délicate. Quiconque
y voit simplement une « coutume » qui peut être maintenue ou abolie ne
comprend pas la signification de la tradition de l’Église. Pour
l’Église, la tradition est toujours synonyme de légitimité, et
personne ne peut revendiquer une légitimité contraire à la
tradition, ni pour lui-même ni pour ses actions. Cela s'applique bien
sûr à la doctrine de la foi ainsi qu'à la célébration de la Sainte
Messe, et cela lie le pape ainsi que tout évêque.
Dans ce contexte, ce qui suit me semble significatif : nous,
catholiques, on nous prescrit une façon de penser autoritaire et
orientée vers le pape. Cela a fonctionné aussi longtemps que les papes
représentaient les enseignements de l’Église. Mais le pape actuel ne le
fait pas, et ça vaut aussi pour la célébration de la messe
traditionnelle. Ses actions ne sont pas légitimes parce qu'elles
contredisent la tradition, mais lui et ses partisans s'en moquent.
Mais en même temps, il met dans un dilemme les catholiques qui
s'accrochent à la messe traditionnelle. Ils sont contraints à «
l’illégitimité » par le pape et croient devoir justifier leur
légitimité. Mais ce n'est précisément pas le cas ! La messe
traditionnelle fait pleinement partie de la tradition de l'Église et
toute la tradition s'y reflète. Personne ne peut ébranler sa
légitimité, pas même un pape ennemi de la tradition et de la messe
traditionnelle.
À l'inverse, les tenants de la « nouvelle » messe doivent se demander
quelle est leur légitimité liturgique. D'autant plus s'ils ne
respectent pas les règles en vigueur et évitent délibérément tout lien
avec la tradition. Ces messes reflètent-elles encore la foi catholique,
ou ne sont-elles pas simplement le reflet d’un faux néo-catholicisme,
moitié protestant et moitié ce qu’on appelle désormais « synodal » ?
J'aimerais encourager tous ceux qui sont attachés à la messe
traditionnelle : ne vous laissez pas intimider et ne vous laissez pas
prendre au jeu d'être poussés vers l'illégitimité, imposés par des
interdictions ou autrement harcelés.
Rassurez-vous plutôt : seule la messe traditionnelle est dans la pleine
tradition de l'Église, et pour cette seule raison tout prêtre a le
droit de la célébrer, et tout croyant a le droit d'y assister. François
ne peut pas changer ça et personne d'autre ne le peut ! Alors ayez
confiance en vous et soyez catholique avec confiance !
Les néo-catholiques synodaux, en revanche, n’ont aucun lien avec la
tradition, et même s’ils – comme les ariens d’autrefois – sont
aujourd’hui majoritaires, ils ne sont pas catholiques, ou du moins pas
vraiment catholiques.
La messe du pape et la messe à Notre-Dame l'ont démontré de manière
éclatante. Et ils ont illustré la rupture dramatique dans l'Église
survenue avec la « nouvelle messe », quelque chose que François a
renforcé.
Tout cela ressemblait un peu à la Révolution française : à cette
époque, un peuple de plébéiens avait dévasté Notre-Dame et y avait
installé une nouvelle foi et une nouvelle « déesse ». Ils ont
littéralement piétiné la foi traditionnelle, et quiconque suit la messe
traditionnelle agit dans l’esprit révolutionnaire de ces gens. Avec
l'orgueil des plébéiens, ils adoptèrent de nouveaux rites qui leur
étaient propres et devinrent maîtres de la liturgie ; finalement un
geste diabolique.
La célébration de la Sainte Messe, par contre, requiert autre chose :
une humble entrée dans le courant de la tradition et une immersion dans
la forme traditionnelle de la Messe. Merci de rester fidèle à la foi
catholique et à la messe traditionnelle. (Le P. Heimerl)
Le mot d’Espérance de Mgr Strickland en cette fin d’année :
« ( LifeSiteNews ) — Chers frères et sœurs en Christ,
En cette période de l'année, alors que nous attendons Notre-Seigneur,
je voudrais attirer un instant notre attention sur saint Joseph, un
personnage plutôt silencieux mais très important dans l'Avènement de
Notre-Seigneur. Nous connaissons Saint Joseph comme charpentier parce
que Saint Matthieu et Saint Marc utilisaient le terme grec
tekton pour décrire son travail, terme courant désignant un
ouvrier du bois, un constructeur, un « menuisier » – dont les
compétences en menuiserie incluent « assembler des morceaux de bois
ensemble. Les pères latins interprétaient ce mot comme « charpentier ».
Le mot « menuisier » est un mot approprié pour saint Joseph car, à bien
des égards, il a été appelé à être un constructeur d'escaliers qui
fournissaient des marches permettant au ciel de « rejoindre » la terre
et à la terre de « rejoindre » » le ciel. La Sainte Vierge Marie a été
appelée à être la Mère de Dieu et saint Joseph a construit un escalier
en lui offrant le mariage et une maison où l'Enfant Jésus pourrait
vivre sur terre. Jésus-Christ a habité dans la maison fournie par saint
Joseph, et bien qu'une maison et toutes les marches construites par
saint Joseph auraient été faites de matériaux terrestres, le ciel a
marché dessus, on pourrait donc dire qu'il a construit un escalier qui
reliait le ciel à la terre.
Lorsque nous pensons aux escaliers et aux choses qui « joignent » le
ciel et la terre, nous pensons naturellement à l'Église du Christ, car
en tant que catholiques, nous nous tenons sur un escalier, ou un pont,
construit par le Christ qui relie la Terre au ciel. Les marches de cet
escalier sont les sacrements qui comblent l'abîme qui sépare le
Créateur du créé, et le Dépôt de la Foi en est la charpente. Tant que
nous nous tenons fermement sur cet escalier, nous pouvons, comme Marie
tenant l’enfant Christ, regarder le visage de Dieu. Car dans son
Église, le Christ nous rencontre véritablement sur terre, comme dans
Son Église il est véritablement présent. Les sacrements sont des signes
efficaces car ils apportent véritablement sur terre (et rejoignent) ce
qu'ils symbolisent. Pour que cela se produise, comme nous le savons, il
doit être correctement « symbolisé » (l’escalier doit être construit
avec les bons matériaux) à la fois dans la « forme » et dans la «
matière ». Si l'un ou l'autre est modifié, la forme (les paroles
prononcées) ou la matière (la partie physique du sacrement), alors la
validité est détruite. Chaque planche de cet escalier fait donc partie
intégrante de l’ensemble.
Cet escalier, ou pont, qui relie la terre au ciel, a toujours tenu bon,
malgré les attaques constantes de l'extérieur tout au long de
l'histoire de l'Église. Cependant, nous voyons maintenant des attaques
provenir de l'Église elle-même et de ceux qui prétendent avoir
l'autorité pour mener cette guerre. Ce qui se passe maintenant est le
point culminant de ce que les déchus ont systématiquement, avec une
intention diabolique, planifié et de ce qui a été prophétisé par de
nombreux saints tout au long de l’histoire de l’Église. Cependant, les
planches de cet escalier ont été données par le Christ lui-même, et
tout matériau de substitution mis à leur place ne supportera pas le
poids de ce qui nous a été donné. C'est pourquoi il me tient à cœur, en
tant qu'évêque, que les fidèles ne perdent pas de vue le véritable
escalier et ne se retrouvent ensuite debout sur un escalier construit
avec des matériaux de substitution, se demandant pourquoi leur église
semble si vide. Le Christ sera toujours présent dans son Église, debout
sur l'escalier qu'il a construit, mais nous devons être certains que
c'est là qu'on est aussi, et qu'on n'a pas été attaqués par le « singe
de l'Église » prophétisé par l'archevêque Fulton Sheen.
En tant qu'évêque, j'ai promis – quel qu'en soit le prix – de rester
ferme sur le véritable escalier qui a été donné par le Christ et qui
repose en Lui, et dont la charpente est le Dépôt de la Foi, et bien sûr
de le protéger de tous ceux qui essaieraient de le faire. Je suis
appelé à me rappeler que le précieux sang du Christ marque cet
escalier, qu'il est aussi taché par le sang des martyrs, et que je dois
aussi être prêt à verser mon sang pour le protéger. Pour que Christ
meure pour nous, il a dû devenir homme et s'abandonner à l'atrocité de
la mort tout en détenant la clé même de la vie. Cela a nécessité une
volonté sans précédent – il a fallu la Volonté de Dieu. Et c'est là
qu'Il appelle chacun de nous : à marcher complètement dans la Volonté
de Dieu.
Quand a commencé la tentative de destruction de cet escalier ?
Plusieurs considèrent Vatican II comme le coupable. Je suis né en
octobre 1958, la même année et le même mois où le pape Jean XXIII a été
élu à la chaire de Saint-Pierre en tant que Pontifex Maximus (Pontife
suprême), ce qui signifie grand bâtisseur de ponts. Je mentionne cela
parce que très souvent cette année est soulignée comme le début de la
tourmente dans l’Église que nous voyons actuellement déborder
d’innombrables façons. Il est vrai que son pontificat et sa décision de
convoquer le Concile Vatican II ont été un moment charnière dans
l’histoire de l’Église. Le 11 octobre 1962, le pape Jean XXIII ouvrait
le Concile Vatican II ; cependant, il est décédé en juin 1963 et Paul
VI, son successeur, a pris sa place. La quatrième et dernière session
du Conseil s'est terminée en décembre 1965.
Était-ce le début ? Il semble bien qu'il y ait eu une tentative
systématique de démolition de ce qui était considéré comme «
irréformable » avant Vatican II. Et pourtant, comment les responsables
ont-ils essayé de détruire ce qui est éternel ? Ils y sont parvenus en
essayant de limiter ce qui relevait du ciel à une définition terrestre,
et cela s'est fait de manière plus efficace en tentant de substituer
des matériaux fabriqués par l'homme à ce qui a été donné du ciel.
Cependant, lorsqu'une extrémité repose sur la terre et qu'une autre
extrémité repose au ciel, comme le fait l'Église, alors l'homme ne peut
pas la détruire. Ce qu'il peut faire, cependant, c'est obscurcir la
Vérité en proposant le « singe de l'Église » à sa place.
Il ne fait aucun doute que bien des choses ont changé après Vatican II.
L'accent a été mis sur l'Église marchant avec le « monde », ce qui a
définitivement ouvert la porte à des conceptions théologiques qui
compromettaient l'identité unique de l'Église. Des idées comme
l'œcuménisme ont porté un coup dur à l'escalier, car le Christ n'a
jamais dit que son Église devait faire partie du monde ; en fait, il a
dit le contraire.
Avec Vatican II, un mouvement ciblé a commencé à encourager l'Église à
engager un « dialogue » avec d'autres confessions. Pourtant, je dois
demander : « De quoi y avait-il lieu de dialoguer ? » Le Christ nous a
donné son Église. Il est clair maintenant que c'est la progression
logique de ce qui est issu de Vatican II que nous en sommes maintenant
au point où le Saint-Père peut faire une déclaration comme : « Toutes
les religions sont des chemins qui mènent à Dieu », et la majorité des
évêques et des cardinaux se contentent de hocher la tête, sans jamais
dire un mot.
Et pourtant, ils savent – ils ne peuvent pas s'empêcher de le savoir
– qu'ils abandonnent l'escalier qu'ils ont promis de protéger. Ce que
le pape Boniface VIII enseignait infailliblement dans sa Bulle
Unam Sanctam (1302) se trouve sur cet escalier : « Nous sommes
contraints en vertu de notre foi de croire et de soutenir qu'il n'y a
qu'une seule Église catholique, et qu'elle est apostolique. Nous le
croyons fermement et le professons sans réserve. En dehors de cette
Église, il n’y a ni salut ni rémission des péchés. Ainsi, l'époux
proclame dans le Cantique : « Une est ma colombe : ma parfaite n'est
qu'une. Elle est la seule de sa mère, l'élue de celle qui l'a enfantée
» (Cant. 6 : 8). Or, cet élu représente le seul corps mystique dont la
tête est le Christ, et la tête du Christ est Dieu. En elle il y a « un
seul Seigneur, une seule foi, un seul baptême » (Eph. 4 : 5). Car au
moment du déluge, il n’existait qu’une seule arche, figure d’une seule
Église.
Il y a de nombreuses paroles divinement inspirées dans l’escalier qui
nous amèneraient à conclure sans exception que « Non, toutes les
religions ne sont PAS des chemins vers Dieu ». Car, comme l'a déclaré
le pape Benoît XV dans son encyclique papale Ad Beatissimi
(1914), paroles qui se trouvent également sur cet escalier : « Telle
est la nature du catholicisme qu'il n'admet pas plus ou moins, mais
doit être considéré comme un tout ou dans son ensemble rejeté : « C'est
la foi catholique, selon laquelle, à moins qu'un homme ne croit
fidèlement et fermement, il ne peut être sauvé » (Symbole d'Athanase).
Il n'est pas nécessaire d'ajouter des termes qualificatifs à la
profession de catholicisme : il suffit à chacun de proclamer : « Mon
nom est chrétien et mon nom de famille est catholique », mais qu'il
s'efforce d'être réellement ce qu'il appelle lui-même.
L'Église catholique a TOUJOURS condamné la fausse croyance selon
laquelle toutes les religions sont bonnes et « de Dieu ». C'est la
fausse doctrine de l'indifférentisme religieux, et c'est une planche
qu'il ne faut jamais placer sur cet escalier sacré. Il y a eu beaucoup
d'autres planches que les hommes ont essayé de placer depuis Vatican II
et qui sont faites de matériaux fabriqués par l'homme. Ils ont essayé
de remplacer les matériaux célestes par des matériaux fabriqués par
l'homme parce qu'ils croyaient que les matériaux d'origine étaient «
périmés ». Cependant, ce que le ciel a bâti ne devient jamais démodé.
Une grande partie de ce qui est ressorti du Deuxième Concile
représentait un mouvement de l’Église catholique vers l’Église
conciliaire. Ce qui est particulièrement tragique, c'est qu'il est
probable qu'à ce stade, nous ayons perdu l'objectif d'amener le monde à
Christ.
Cependant, rien n'a été aussi dommageable pour l'escalier que les
changements survenus dans le Saint Sacrifice de la Messe. tombeau vide
: « Où l'ont-ils déposé ? » Les changements dont l'Église a été témoin
dans le Saint Sacrifice de la Messe depuis Vatican II ont laissé
beaucoup de gens ignorants de l'endroit où Il se trouve et de Son
sacrifice d'amour pour toute l'humanité, car la croyance en la présence
réelle a considérablement chuté.
L'ancienne messe a été supprimée en 1970 et de nombreux catholiques ont
quitté l'Église, le pape Paul VI accusant en fait tous ceux qui
observaient l'ancienne messe de rebelles contre le concile. Alors que
je réfléchis aux changements survenus dans la messe à la suite de
Vatican II, l’archevêque Marcel Lefebvre me vient à l’esprit. Mgr
Lefebvre, fondateur de la Fraternité Saint-Pie X (FSSPX), une société
sacerdotale traditionaliste, a été qualifié de désobéissant, de rebelle
et même de schismatique dans les années 1970 et 1980 pour avoir refusé
de célébrer la nouvelle messe. estimait que l'Église était en proie à
une profonde « crise de la foi » due à l'infiltration du modernisme et
du libéralisme. Il sentait qu'il y avait une tentative active
d'arracher les planches de l'escalier et de les remplacer par des
planches du monde. Il a consacré quatre évêques « soucieux de la
tradition » sans l'approbation papale (bien qu'il ait demandé à
plusieurs reprises l'approbation pendant des années après avoir été
informé que l'approbation serait accordée) parce qu'il estimait que
sans des évêques qui soutenaient les enseignements traditionnels et la
messe latine tridentine, la continuité de la Tradition de l'Église
serait en danger. Et ainsi, il s'est assuré que l'escalier soit
préservé intact.
En 1976, alors que Lefebvre était sur le point d'ordonner 13 prêtres
dans la Fraternité, Mgr Giovanni Benelli, du Secrétariat d'État du
Vatican, lui a écrit pour lui demander de rester fidèle à l'Église
conciliaire, et Mgr Lefebvre a a répondu : « Quelle est cette église ?
Je ne connais pas d'église conciliaire. Je suis catholique!
Moi-même, ayant été au séminaire à une époque où le latin n'était même
pas enseigné, et ayant toujours célébré le Novus Ordo (nouvelle messe)
en tant que prêtre et évêque, j'ai entrepris un voyage pour comprendre
cette question. Je voudrais nous exhorter tous à reconnaître, comme je
suis parvenu à le reconnaître, que les problèmes liés à la Sainte Messe
ont commencé à cause d'une tentative de détourner l'attention de
Jésus-Christ et de son sacrifice qui EST la Sainte Messe .
Je crois que nous devrions chacun nous efforcer d'être des chrétiens du
premier siècle au XXIe siècle, et c'est particulièrement significatif
dans le domaine de la Sainte Messe. Cène, rendant présent Le sacrifice
une fois pour toutes du Christ. Des récits comme celui de saint Justin
martyr nous offrent des descriptions très anciennes de ce qui s'est
passé lors de la Sainte Messe, et la beauté de ces récits est qu'ils
sont si proches dans le temps du sacrifice que la messe commémore. Nous
devons garder notre concentration sur Jésus-Christ comme le faisaient
les premiers chrétiens, de sorte que la distance temporelle par rapport
à son sacrifice devienne insignifiante parce que nous sommes concentrés
sur le même Seigneur crucifié et ressuscité comme les premiers
chrétiens.
Il ne fait aucun doute qu'avec la nouvelle messe, l'attention portée à
Jésus-Christ a diminué. Cela a souvent été observé de manière subtile,
mais nous avons également été témoins d’une négligence drastique de la
Présence réelle de Jésus-Christ, qui s’élève dans bien des cas au
niveau du blasphème depuis Vatican II. Lorsque la liturgie s'est
tournée vers le peuple et s'est éloignée de Jésus-Christ, elle a ouvert
la porte à une négligence extrême de sa présence sacrée.
Il est intéressant de noter que même si le Novus Ordo est généralement
célébré dans la langue vernaculaire, la langue commune du pays où il
est célébré, tandis que la messe traditionnelle est célébrée en latin,
la langue normative du Novus Ordo est également le latin. Bien que des
dispositions aient été prises pour que la messe soit célébrée dans la
langue vernaculaire locale pour des raisons pastorales, il a toujours
été supposé que la messe continuerait à être célébrée en latin, et le
pape Benoît XVI a exhorté à la réintroduction du latin dans le Novus
Ordo.
Lors de l'introduction du Novus Ordo, de nombreuses rampes d'autel ont
été supprimées. Cependant, la rampe d'autel nous a aidés à maintenir la
distinction entre le sanctuaire (où se trouve l'autel et qui représente
le ciel, où mène notre escalier) et le reste de l'Église (qui
représente la terre et où commence notre escalier). Dans la messe
latine traditionnelle, les communiants s'agenouillent devant la rampe
de l'autel (la porte du ciel) et reçoivent l'Eucharistie sur la langue
du prêtre.
Bien qu'il existe de nombreuses messes sacrées et belles du Novus Ordo
célébrées de manière constante, il est un fait que la Nouvelle Messe a
représenté une rupture dans des siècles de continuité liturgique. Et
cela s'est accompagné d'un déclin massif de la fréquentation de la
messe, des vocations et de la croyance dans les enseignements
catholiques fondamentaux. Le pape Benoît XVI a répondu à ces
préoccupations avec son motu proprio Summorum Pontificum de
2007 dans lequel il a élargi l'accès à la messe latine
traditionnelle . l'accès à la messe latine traditionnelle. Mais
lisons ces paroles du pape Pie V dans sa Constitution apostolique
Quo Primum de 1570 à propos de la messe traditionnelle latine :
De plus, par les présentes [cette loi], en vertu de Notre autorité
apostolique, Nous accordons et concédons à perpétuité que, pour le
chant ou la lecture de la messe dans n'importe quelle église, ce Missel
devra désormais être suivi absolument, sans aucun scrupule de
conscience ou de crainte d’encourir une pénalité, un jugement ou une
censure, et peuvent être utilisés librement et licitement. Les
supérieurs, administrateurs, chanoines, aumôniers et autres prêtres
séculiers ou religieux, quel que soit le titre désigné, ne sont pas non
plus tenus de célébrer la messe autrement que comme nous l'avons
enjoint. Nous déclarons et ordonnons également que personne, quel qu'il
soit, ne soit contraint ou contraint de modifier ce Missel, et que ce
présent document ne puisse être révoqué ou modifié, mais demeure
toujours valable et conserve toute sa force malgré les constitutions et
décrets antérieurs du Saint-Siège, comme ainsi que toutes constitutions
générales ou spéciales ou édits des conseils provinciaux ou synodaux,
et nonobstant la pratique et la coutume des églises susmentionnées,
établies par une prescription longue et immémoriale…
Les paroles prononcées par Mgr Lefebvre lors de l'ordination de 13
prêtres en 1976 sont des paroles qui doivent nous tenir à cœur. Il a
dit : « Car si la très sainte Église a voulu garder à travers les
siècles ce précieux trésor qu'elle nous a donné du rite de la Sainte
Messe canonisée par saint Pie V, cela n'a pas été sans but. C'est parce
que cette messe contient toute notre Foi, toute la Foi catholique : Foi
en la Très Sainte Trinité, Foi en la Divinité de Notre Seigneur
Jésus-Christ, Foi en la Rédemption de Notre Seigneur Jésus-Christ, Foi
au Sang de Notre Seigneur Jésus Christ. C'est ce que nous croyons.
C'est ce que nous croyons en célébrant le Saint Sacrifice de la Messe
de tous les temps. C'est une leçon de foi et en même temps une source
de notre foi, indispensable pour nous en cette époque où notre foi est
attaquée de toutes parts. Nous avons besoin de cette vraie messe, de
cette messe de tous les temps, de ce sacrifice de Notre Seigneur
Jésus-Christ pour remplir réellement nos âmes du Saint-Esprit et de la
force de Notre Seigneur Jésus-Christ.
Le pape Benoît XVI a déclaré : « Ce que les générations précédentes
considéraient comme sacré reste sacré et grand pour nous aussi, et cela
ne peut pas être tout d’un coup totalement interdit ou même considéré
comme nuisible. Il nous incombe à tous de préserver les richesses qui
se sont développées dans la foi et la prière de l'Église.»
Je pense qu'il est également important de préciser ici que la FSSPX
n'est pas en dehors de l'Église catholique et que, bien qu'elle soit
canoniquement irrégulière, elle n'est pas schismatique. Mgr Athanasius
Schneider a mené une étude approfondie sur la FSSPX et, par conséquent,
a donné une défense claire et cohérente de la Fraternité. Il a dit que
les catholiques peuvent assister aux messes de la FSSPX et recevoir les
sacrements de son clergé sans souci. Bien qu'il reconnaisse la «
situation canonique irrégulière » de la FSSPX, il déclare que cela
n'équivaut pas à être en dehors de l'Église, et il a félicité la FSSPX
pour avoir défendu la foi et la liturgie catholiques traditionnelles.
Mgr Schneider a également appelé à leur pleine reconnaissance canonique
par le Vatican, affirmant que la FSSPX adhère aux enseignements et aux
sacrements catholiques traditionnels tels qu'ils étaient pratiqués
pendant des siècles avant Vatican II.
En conclusion, j'aimerais citer une déclaration célèbre de Mgr Lefebvre
en 1974. Il est clair que Mgr Lefebvre a suivi un chemin d'apôtre et a
été amené à établir un lieu sûr, un refuge, où se tiendrait la messe
des siècles en sa forme pure, un lieu où le dépôt de la foi serait
protégé et l'escalier conservé intact, même pendant que le singe de
l'Église arracherait les planches et jetterait tout ce qu'il y a de
plus précieux. Voici la déclaration de Mgr Lefebvre :
Nous tenons fermement, de tout notre cœur et de toute notre âme, à la
Rome catholique, Gardienne de la foi catholique et des traditions
nécessaires à la préservation de cette foi, à la Rome éternelle,
Maîtresse de la sagesse et de la vérité.
Nous refusons en revanche et avons toujours refusé de suivre la Rome
des tendances néo-modernistes et néo-protestantes qui se sont
clairement manifestées dans le Concile Vatican II et, après le Concile,
dans toutes les réformes qui en ont découlé.
Toutes ces réformes, en effet, ont contribué et contribuent encore à la
destruction de l'Église, à la ruine du sacerdoce, à l'abolition du
sacrifice de la messe et des sacrements, à la disparition de la vie
religieuse, à une politique naturaliste et l'enseignement teilhardien
dans les universités, les séminaires et la catéchétique ; un
enseignement dérivé du libéralisme et du protestantisme, maintes fois
condamné par le Magistère solennel de l'Église.
Aucune autorité, pas même la plus haute de la hiérarchie, ne peut nous
forcer à abandonner ou à diminuer notre foi catholique, si clairement
exprimée et professée par le Magistère de l'Église depuis dix-neuf
siècles.
« Mais si nous, dit saint Paul, ou un ange du ciel vous prêchons un
évangile en plus de celui que nous vous avons prêché, qu'il soit
anathème » (Galates 1 : 8).
N'est-ce pas ce que le Saint-Père nous répète aujourd'hui ? Et si l’on
peut discerner une certaine contradiction dans ses paroles et dans ses
actes, ainsi que dans ceux des dicastères, eh bien, nous choisissons ce
qui a toujours été enseigné et nous faisons la sourde oreille aux
nouveautés qui détruisent l’Église.
Il est impossible de modifier profondément la lex orandi
sans modifier la lex credendi . Au Novus Ordo Missae
correspondent un nouveau catéchisme, un nouveau sacerdoce, de nouveaux
séminaires, une Église pentecôtiste charismatique, tout ce qui s'oppose
à l'orthodoxie et à l'enseignement éternel de l'Église.
Cette Réforme, née du libéralisme et du modernisme, est empoisonnée de
part en part ; elle découle de l'hérésie et aboutit à l'hérésie, même
si tous ses actes ne sont pas formellement hérétiques. Il est donc
impossible à tout catholique consciencieux et fidèle d’épouser cette
Réforme ou de s’y soumettre de quelque manière que ce soit.
La seule attitude de fidélité à l’Église et à la doctrine catholique,
en vue de notre salut, est un refus catégorique d’accepter cette
Réforme.
C'est pourquoi, sans aucun esprit de rébellion, d'amertume ou de
ressentiment, nous poursuivons notre œuvre de formation des prêtres,
avec pour guide l'intemporel Magistère. Nous sommes convaincus que nous
ne pouvons pas rendre un plus grand service à la Sainte Église
catholique, au Souverain Pontife et à la postérité.
C'est pourquoi nous nous attachons à tout ce qui a été cru et pratiqué
dans la foi, la morale, la liturgie, l'enseignement du catéchisme, la
formation du prêtre et l'institution de l'Église, par l'Église de tout
le temps ; à toutes ces choses telles que codifiées dans ces livres qui
ont vu le jour avant l'influence moderniste du Concile. Nous le ferons
jusqu'à ce que la véritable lumière de la Tradition dissipe les
ténèbres qui obscurcissent le ciel de la Rome éternelle.
En faisant cela, avec la grâce de Dieu et l'aide de la Bienheureuse
Vierge Marie, ainsi que celle de saint Joseph et de saint Pie X, nous
sommes assurés de rester fidèles à l'Église catholique romaine et à
tous les successeurs de Pierre , et d'être les fidèles
dispensateurs mysteriorum Domini Nostri Jesu Christi in Spiritu
Sancto. Amen.
L'archevêque n'a pas écrit cela dans un esprit de rébellion, mais
plutôt comme un cri de ralliement pour tous ceux qui veulent se battre
pour le Christ Roi. J'offre cette même déclaration ainsi que mon cri de
bataille pour combattre pour Lui.
En terminant cette lettre, je le fais en renouvelant notre
concentration sur Jésus-Christ. L'Église est à Lui, la Messe est à Lui,
Il s'est offert au Père une fois pour toutes pour le salut de nos âmes.
Résistons à toute nouvelle tentative visant à diminuer notre
concentration sur Lui et attirons plutôt toute l’Église – ordonnés,
religieux et laïcs – à Le connaître plus profondément « dans la
fraction du pain ». Et proclamez au monde que Jésus-Christ est le
Sauveur et le Seigneur de tous.
Et à mes confrères évêques, je cite les paroles du pape Jean-Paul II :
« Nous devons défendre la vérité à tout prix, même si nous sommes à
nouveau réduits à douze ».
Que Dieu Tout-Puissant vous bénisse et que notre Sainte et Immaculée
Mère vous protège et vous guide toujours vers son Divin Fils, Notre
Seigneur Jésus-Christ.
Mgr Joseph E. Strickland
Évêque émérite »
17 décembre
LE CORPS MYSTIQUE DE L’ANTÉCHRIST
« Il est inspiré non par
l’Esprit du Christ, mais par l’esprit du serpent. C’est le nouvel élu,
le corps mystique de l’Antéchrist. » Mgr Fulton Sheen
Le corps mystique de l’Antéchrist, c’est le système Antéchrist avec ses valeurs inversées, basées sur le socialisme/communisme.
On explique depuis 2011 que Satan échouant dans ses tentatives
d’éliminer l’Église, a choisi la voie de la conversion de l’Église en
église conciliaire, pour en faire son corps mystique à l’image du corps
mystique du Christ.
C’est Vatican II qui a accéléré le processus d’une telle « transfiguration ».
Et l’élément clé est le concept du « Peuple de Dieu ».
Ce concept est abondamment abordé dans plusieurs de nos analyses en ce
qui a trait à la religion noachide que l’élite judéo-maçonnique veut
imposer : seul peuple prêtre ayant accès à Dieu.
Dans le noachisme, la Sainte Trinité doit disparaître et Jésus doit être considéré comme un simple prophète.
Le Christ n’ayant pas été reconnu comme Messie par le judaïsme, les
pharisiens ont écrit le Talmud pour contrer la chrétienté naissante, et
la Kabbale, espérant donner au peuple juif éventuellement son « Messie
guerrier ».
Ainsi, certains textes de l'Ancien Testament ont été modifiés pour
favoriser la conquête du monde et conséquemment détruire le
christianisme.
Le « messie guerrier » arrive. Nous l’avons expliqué avec le « projet 47 » de Louis d’Alencourt.
Trump, comparé à Cyrus le Grand (voir analyse du 28 octobre) par
Netanyahu, semble bien celui qui donnera le coup de pouce en ce sens
selon ses intentions annoncées depuis l’élection du 5 novembre.
Louis D’Alencourt :
La troisième guerre mondiale commencée démontrera « … une fois de plus
l’animosité entre les trois grandes religions monothéistes (chrétiens,
juifs et musulmans), les promoteurs du nouvel ordre mondial proposeront
la religion mondiale du noachisme via le faux prophète.
La
religion noachide sera présentée comme celle de la « nouvelle
civilisation de l’amour », celle de l’Antéchrist et de son bras droit,
le faux prophète.
« Le Dieu unique est actuellement adoré sous des formes multiples, au
sein de cultes bien différents, mais à l’époque messianique, le monde
spirituel verra se réaliser l’unité d’adoration » explique un promoteur
de la religion noachide.
En
somme, une religion universelle et cosmopolite, réunissant tous les
hommes devenus enfin frères. Albert Pike est un peu plus clair : ce
sera « la manifestation universelle de la pure doctrine de Lucifer,
enfin révélée aux yeux de tous ». » (grandreveilwordpress.com)
Cette religion noachide est la révélation du messie guerrier via le corps mystique de l’Antéchrist, puisque Satan singe Dieu.
C’est pourquoi l’église conciliaire doit renoncer au Christ pour s’y conformer, pour abaisser Jésus à un simple prophète.
Le concept clé du corps mystique du Christ et de l’Antéchrist est le « peuple de Dieu ».
Louis D’Alencourt sur le Peuple de Dieu :
« tout membre du peuple de Dieu est appelé Fils de la
promesse, et cette promesse divine c’est la domination du monde,
et la possession de toutes ses richesses.
En
théorie, ce peuple est supérieur à tous les autres parce qu’il a été
choisi par Dieu, qu’il en possède l’exclusivité (par le sang et par la
foi), exclusivité qui ne s’étend pas aux Gentils (les autres
peuples non-juifs), et qu’à ce titre, il est le seul à rendre un culte
à l’unique et vrai Dieu, culte qui lui a été donné et transmis par Dieu
en personne.
Je
rappelle que le premier des dix commandements est d’affirmer qu’il n’y
a qu’un seul Dieu et qu’un seul culte à lui rendre ; or les juifs
prétendent, encore aujourd’hui, en tant que Peuple élu, avoir
l’exclusivité de cette foi et de ce culte, et donc d’être eux seuls les
Fils de la promesse….
Voilà pourquoi le Messie révèle un nouveau statut du Peuple de Dieu qui
ne pouvait pas être connu auparavant ; et voilà pourquoi, du
coup, la possibilité d’être membre du peuple de Dieu s’élargit à
tous les hommes, juifs de naissance comme Gentils.
Je rappelle que les descendants d’Abraham, Isaac et Jacob, avaient
droit au titre de Fils de la Promesse, de Fils de Dieu. Or le Christ
étend ce statut à tous ceux qui croient en lui, nous rappelle saint
Jean dans le prologue de son évangile : « Mais à tous ceux qui l’ont reçu, il a donné le pouvoir de devenir enfants de Dieu, à ceux-là qui croient en Lui. » (Jean 1:12)
Et le nouveau peuple de Dieu, élargi de cette façon, puisque sa
pierre d’achoppement c’est le Christ, porte désormais un nouveau nom,
dérivé de son fondateur : le christianisme, les chrétiens.
Il faut donc bien comprendre cette distinction essentielle :
Le mot juif pris dans son sens spirituel c’est à dire
désignant le peuple de Dieu, est remplacé par le
mot chrétien à partir de Jésus-Christ, parce qu’il désigne
les mêmes personnes.
Cela veut dire que lorsqu’on transpose un texte de l’Ancien Testament
dans le monde après Jésus-Christ, les
termes Israël, juif ou peuple de Dieu doivent
être appliqués aux chrétiens et non pas aux juifs, puisque les juifs
après Jésus ne désignent plus les enfants de Dieu.
Il est là le drame du sens spirituel du mot juif : il ne désigne plus depuis Jésus le Peuple de Dieu.
Et Jésus ne l’a pas caché : « C’est pourquoi je vous le dis : le royaume de Dieu vous sera ôté pour être donné à un peuple qui en produira les fruits. » (Matthieu 21:43).
C’est très clair : Jésus leur dit que le royaume spirituel n’est plus
entre les mains des juifs mais d’un autre peuple, celui qui sera appelé
les chrétiens, un mot au singulier (peuple) pour montrer que le
principal c’est la foi qui les unit.
Voilà pourquoi en réaction, les juifs qui ne se convertirent pas vont
créer le judaïsme, rabbinique au départ, talmudique par la suite, qui
continue à se considérer comme le peuple élu.
C’est un mensonge, au même titre que la mystification ethnique dont on
parlait plus haut : le judaïsme n’est pas la religion de Dieu.
La religion de Dieu c’est le christianisme, c’est à dire le mosaïsme initial corrigé, enrichi et sanctifié par le Messie.
Sans la mise à jour effectuée par le Messie, le judaïsme perd
son statut de religion de Dieu, même s’il fait référence au mosaïsme de
l’Ancien Testament et le perpétue en partie.
D’ailleurs les chrétiens se réfèrent tout autant à l’Ancien Testament
que les juifs et sont les seuls à disputer aux juifs le statut de
Peuple de Dieu. À raison. (grandreveilwordpress.com)
Benoît XVI, dans son dernier discours au clergé de Rome le 14 février
2013, a condamné le « Conseil des médias »pour la promotion des idées
de ceux qui cherchaient à « décentraliser l'Église » :
« C’était une herméneutique politique : pour les médias, le Concile
était une lutte politique, une lutte de pouvoir entre différentes
tendances au sein de l’Église. Il était évident que les médias
prendraient le parti de ceux qui leur semblaient plus proches de leur
monde. Il y avait ceux qui recherchaient la décentralisation de
l'Église, le pouvoir pour les évêques et ensuite, à travers
l'expression « Peuple de Dieu », le pouvoir pour le peuple, les laïcs.
Il y avait cette triple question : le pouvoir du Pape, qui était
ensuite transféré au pouvoir des évêques et au pouvoir de tous – la
souveraineté populaire.»
C’est
bien là que Bergoglio a mené la barque de Saint-Pierre avec son synode
des synodes selon les mots de Benoît XVI :
• Décentralisation de l'Église
• Pouvoir accru des évêques par rapport au pape
• Pouvoir pour les laïcs, à travers l’expression « Peuple de Dieu »
• Transférer le pouvoir du pape au peuple – souveraineté populaire
La
vérité maintenant se discerne à travers le processus d'écoute du «
Peuple de Dieu ». Le processus synodal est la décentralisation ultime
possible de l’autorité.
Dans
la note qui accompagne le Document final, signée le 24 novembre en la
solennité du Christ Roi de l'Univers et publiée lundi 25 novembre,
Bergoglio décrit à quoi ressemble ce processus de décentralisation dans
la pratique :
« Le Document final contient également des indications qui, à
la lumière de ses orientations fondamentales, peuvent déjà être mises
en œuvre dans les Églises locales et les regroupements d'Églises, en
tenant compte des différents contextes, de ce qui a déjà été fait et de
ce qui reste à faire pour apprendre et développer toujours mieux le
style propre à l'Église synodale missionnaire… »
Tout est maintenant entre les mains des laïcs, des prêtres et des évêques locaux.
La
discussion de Bergoglio sur l'aspect « magistral » du Document final
ajoute un autre élément au processus de décentralisation dans l'Église
synodale :
«
Le Document final fera partie du Magistère ordinaire du
Successeur de Pierre (cf. CE 18 § 1 ; CCC 892), et à ce titre je
demande qu'il soit accepté. Il s'agit d'une forme d'exercice de
l'enseignement authentique de l'évêque de Rome, avec quelques
caractéristiques inédites mais qui correspond en fait à ce que j'ai eu
l'occasion de souligner le 17 octobre 2015, lorsque j'affirmais que la
synodalité était le cadre interprétatif approprié pour comprendre le
ministère hiérarchique. »
C'est la nouvelle norme de l'église synodale.
Ce n’est plus l’Église catholique.
Bergoglio offre ses opinions et ses idées et laisse le processus décisionnel lui-même se dérouler jusqu'au Peuple de Dieu.
Le
concept du « Peuple de Dieu » est central à la construction de la
nouvelle Église synodale, basé sur le processus synodale allemand,
cette fausse église prophétisée par Anne Catherine Emmerich :
« Je vis tout ce qui tient au protestantisme prendre de plus en plus le
dessus, et la religion tomber en décadence complète. II y avait à Rome,
même parmi les prélats, bien des personnes de sentiments peu
catholiques qui travaillaient au succès de cette affaire. Je vis aussi
en Allemagne des ecclésiastiques mondains et des protestants éclairés
manifester des désirs et former un plan pour la fusion des confessions
religieuses et pour la suppression de l’autorité papale. Et ce plan
avait, à Rome même, des fauteurs parmi les prélats.
Ils bâtissaient une grande église étrange et extravagante ; tout le
monde devait y entrer pour s’y unir et y posséder les mêmes droits ;
évangéliques, catholiques, sectes de toute espèce : ce devait être une
vraie communion des profanes où il n’y aurait qu’un pasteur et un
troupeau. Il devait aussi y avoir un Pape mais qui ne posséderait rien
et serait salarié. Tout était préparé d’avance et bien des choses
étaient déjà faites ; mais à l’endroit de l’autel, il n’y avait que
désolation et abomination.»
En sommes-nous effectivement rendus là?
Évidemment.
Bergoglio dans son message à l’ouverture de Notre-Dame de Paris a bien salué que tous étaient bienvenus.
Ainsi, TOUS les baptisés sont membres du « Peuple de Dieu », qui est « l’Église synodale ».
Benoît XVI, dont la force était la doctrine et la théologie, dans son
discours final au clergé de Rome, au courant des tendances
progressistes au sein du Vatican, a rappelé le concept clé du « Peuple
de Dieu » indispensable à l’Église catholique :
« Voilà, disons, les deux éléments de base – et entre-temps, dans la
recherche d'une vision théologique complète de l'ecclésiologie, une
certaine critique est apparue après les années 1940, dans les années
1950, à propos du concept de Corps du Christ : le mot « mystique »
a été jugé trop spirituel, trop exclusif ; le concept de « Peuple de
Dieu » a alors commencé à entrer en jeu .
Le
Concile a accepté à juste titre cet élément qui, chez les Pères, est
considéré comme une expression de la continuité entre l'Ancien et le
Nouveau Testament.
Dans le texte du Nouveau Testament, l'expression Laos tou Theou ,
qui correspond aux textes de l'Ancien Testament, désigne – à deux
exceptions près, je crois – l'ancien Peuple de Dieu, les Juifs, qui
parmi les peuples du monde , goim, sont « le Peuple de Dieu. Les
autres, nous, païens, ne sommes pas en soi le Peuple de Dieu : nous
devenons fils d'Abraham et donc Peuple de Dieu en entrant en communion
avec le Christ, l'unique semence d'Abraham.
En communiquant avec lui, en étant un avec lui, nous devenons nous aussi le Peuple de Dieu.
En
un mot : le concept de « Peuple de Dieu » implique la continuité des
Testaments, la continuité de l'histoire de Dieu avec le monde, avec
l'humanité, mais il implique aussi l'élément christologique.
Ce n'est que par la christologie que nous devenons le Peuple de Dieu, et ainsi les deux concepts se combinent.
Le Concile a choisi d’élaborer une ecclésiologie trinitaire : Peuple de Dieu le Père, Corps du Christ, Temple du Saint-Esprit. »
En
éliminant l’Église christocentrique par une église synodale dans sa
note du 25 novembre 2024, Bergoglio a coupé le petit lien qui demeurait
avec le corps mystique du Christ.
L’église conciliaire est morte puisque détachée de la vigne nourricière.
Elle fait partie maintenant du corps mystique de l’Antéchrist, qui selon l’Apocalypse, est condamné à mort.
La branche saine de la Tradition, les deux témoins, ressusciterons l’Église.
10 décembre
« Pape François: Mission accomplie
Le
9 mai 2019, j'ai soutenu que la meilleure façon de détruire l'Église
catholique institutionnelle serait d'utiliser ses propres armes contre
elle-même, en particulier le pouvoir et la primauté du pape.
L'Église catholique, bien sûr, est indéfectible ; mais je soutiens
maintenant que François a accompli la mission de ruiner la
manifestation temporelle de l'Église. Comme l'archevêque Fulton Sheen
l'avait prévu, nous avons maintenant le « singe de l'Église… vidé de
son contenu divin ».
«C'est un peu dramatique», pensez-vous. « François a-t-il interdit la
messe traditionnelle latine alors qu'on ne regardait pas ? Ce à quoi je
réponds qu’il a fait pire : il a interdit le motif de la messe
traditionnelle latine, ou de toute autre messe d’ailleurs.
Il n’y a pas eu d’annonce majeure, pas même un autre motu proprio . Le
coup final n'a pas eu lieu à Rome. Ça s'est passé à Singapour. Vous en
avez entendu parler, mais vous n'y avez probablement pas beaucoup
réfléchi.
Le 13 septembre 2024, dans des remarques apparemment spontanées devant
un groupe diversifié de jeunes d'un collège catholique, François a
déclaré : « Toutes les religions sont un chemin pour arriver à Dieu… Il
n'y a qu'un seul Dieu et chacun de nous a un langage pour arriver à
Dieu. Certains sont sikhs, musulmans, hindous, chrétiens et suivent des
chemins différents.
Ces remarques ont été sévèrement critiquées par d'importants
catholiques parce que François semblait dire qu'une religion en vaut
une autre. Cela s'appuierait sur le Document sur la fraternité humaine,
que le pape a signé à Abou Dhabi le 4 février 2019, déclarant que « le
but premier et le plus important des religions est de croire en Dieu… ».
Nous avons ici le chef de 1,390 milliard de catholiques dans le monde,
le pape infaillible, le successeur de saint Pierre, lançant dans une
conversation informelle, devant le monde entier, l'idée que l'Église
catholique n'est pas nécessaire « pour arriver à Dieu ».
Techniquement, c'est vrai. En fait, vous n'avez besoin d'aucune église
pour « arriver à Dieu ». Saint Thomas d'Aquin a développé cinq
arguments par lesquels la raison humaine seule pouvait « arriver à Dieu
».
Mais François s'adressait à un groupe interconfessionnel dans un
établissement d'enseignement catholique. Il est donc peu probable que
le terme ambigu « arriver à Dieu » (terme qui, je crois, a été
soigneusement inventé) signifie simplement « arriver à l’existence de
Dieu ». Parce qu’il a mentionné quatre religions spécifiques comme
exemples de « chemins » pour « arriver à Dieu », François devait
vouloir dire quelque chose de plus, comme « connaître Dieu » ou «
croire en Dieu ». Cela serait conforme à la Déclaration d'Abu Dhabi
concernant l'objectif le plus important de toutes les « religions ».
(Notez le pluriel.)
Je soutiens que l'histoire ne réside pas dans ce que François a dit,
mais dans ce qu'il n'a pas dit, alors qu'il avait le devoir de le dire,
en tant qu'évêque consacré de l'Église catholique . La ruine finale de
l'Église catholique institutionnelle a été accomplie lorsque François a
dit à ces jeunes : « Il n'y a qu'un seul Dieu », sans donner de détails.
Quoi? Ça semble tellement familier. Donc catholique. Nous le disons à
chaque messe : « Je crois en un seul Dieu, le Père tout-puissant… ».
Le monde ne connaît pas – ou ne s'en soucie pas beaucoup – les
conditions nécessaires à des déclarations papales infaillibles. Le
monde n'analyse pas les déclarations papales comme je le fais ici. Le
monde a une impression de la gravité du pape et perçoit le message
voulu par le pape , quelle que soit l'ambiguïté des mots utilisés et
quel que soit le contexte théologique dans lequel le message est
délivré.
Le message était le suivant : Dieu, le Père Tout-Puissant, est le même
pour toutes les religions. Mais comme François n'a pas mentionné
Jésus-Christ et le Saint-Esprit, les autres Personnes divines du Dieu
trinitaire, comme le fait le Credo catholique, le message était
également que Jésus-Christ et le Saint-Esprit ne sont pas pertinents
dans une discussion sur « l'arrivée à Dieu ». .»
L’essentiel du message est que la divinité de Jésus-Christ n’a pas
d’importance. Par conséquent, sa passion, sa mort et sa résurrection
n’ont aucune importance. La Sainte Eucharistie n'a pas d'importance. Le
sacerdoce (masculin ou féminin) n'a pas d'importance. Les sacrements
n'ont pas d'importance. Aucune messe, traditionnelle latine ou autre,
n’a d’importance. L'Église catholique institutionnelle n'a pas
d'importance ; il a été vidé de son contenu divin.
En 2013, le cardinal Cormac Murphy-O'Connor a dit : « Quatre années de
Bergoglio suffiraient pour changer les choses. » En 2017, l'ancien
cardinal Theodore McCarrick a admis qu'il existait un plan pré-conclave
pour élire Jorge Bergoglio comme celui qui pourrait « réformer
l'Église… [et dans] cinq ans, il pourrait nous remettre sur la bonne
voie » .
Le cardinal Donald Wuerl a expliqué qu'après le Concile Vatican II, les
papes Jean-Paul II et Benoît XVI s'étaient égarés ; mais François avait
remis l'Église sur le chemin tracé par le concile. L'évaluation de
Wuerl était que « [la papauté] ne ressemblera plus jamais à ce qu'elle
était il y a 25 ans ou plus ».
Cette évaluation était trop étroite. Comme Ross Douthat l'a montré dans
son livre To Change the Church , François ne change pas seulement la
papauté, mais aussi le catholicisme lui-même. Ça a pris plus de onze
ans, mais finalement la pierre angulaire a aussi été rejetée. La
mission de François est accomplie.
Épilogue
L'archevêque Sheen n'a pas tardé à souligner que nous étions à la fin
de la chrétienté, mais pas à la fin du christianisme. De même, en 1958,
le père Joseph Ratzinger observait que la taille de l'Église était
devenue une sorte d'obstacle à son activité missionnaire. « Tôt ou
tard, dit-il, avec ou contre la volonté de l’Église… elle deviendra
extérieurement un petit troupeau ».
Notre tâche est donc de prier pour la restauration de l’Église
institutionnelle, tout en demeurant une partie du petit troupeau, où
seule compte la divinité de Jésus-Christ et tout ce qui en découle. » (onepeterfive.com)
08 décembre
NOTRE-DAME SE RELÈVE
Ou, l’imminence de la résurrection de l’Église.
C’est sous une météo exécrable (la tempête Darragh) que s’est déroulé la cérémonie de réouverture de Notre-Dame de Paris.
Le discours du président français, qui devait se faire sur le parvis de
la cathédrale ( puisque les présidents ne sont pas autorisés à exprimer
de discours politique au sein d'un lieu religieux ), a eu lieu dans
l’antre de Notre-Dame, comme un signe donné par Dieu à toute la planète
que l’humanisme a atteint son apogée, à l’intérieur même de l’Église.
Le président français a vanté les mérites des artisans pour avoir
rebâti la cathédrale en 5 ans, comme promis, élevant devant les
dirigeants mondiaux, les rois et les reines, le savoir faire humain
dans toute sa splendeur.
L'orgueil.
Satan singe Dieu.
Selon la Kabbale, le chiffre 5 est le chiffre de l'humain parfait – débarrassé du côté animal.
Le président français a vanté la fraternité universelle, si chère au franc-maçons, et à Bergoglio, évidemment.
« … Et pour rendre cela possible, une fraternité inédite.
Fraternité de ceux qui ont donné sur tous les continents, de toutes les religions, de toutes les fortunes.
Unis par l’espérance, et réunis dans ces murs.
Fraternité des compagnons, apprentis, et de tous les métiers, ici réunis…
Fraternité des échafaudeurs, des grutiers, ...
Cette cathédrale fut ainsi la métaphore heureuse de ce qu’est une Nation, et ce que devrait être le monde.
Fraternité d’un peuple déterminé à faire de grands choix ; fraternité universelle et entraide.
» (président Macron)
Au sein de Notre-Dame de Paris, par la volonté de Dieu, nous avons vu
la bête de la terre, réuni sous le même toit avec le représentant de la
bête de la mer (puisque Bergoglio ne s’est pas présenté).
Les deux Babylone des prophéties de Jean XXIII réunis.
Emmanuel Macron à la première rangée au côté de Donald Trump, Brigitte Macron et Jill Biden.
Cela ne rappelle-t-il pas le lien avec le « projet 47 » du Grand Réveil?
«
La France c’est avec les États-Unis, le pays emblématique de Babylone,
la fameuse ville de l’Apocalypse, qui représente la société moderne,
laïque et athée, fruit de l’œuvre de Satan. » (Louis D’Alencourt –
grandreveilwordpress.com)
Merci à Mgr Ulrich qui a louangé Dieu...
Et à la manière bergoglienne, spécifié que tous sont bienvenus,
catholiques comme visiteurs non croyants à l’intérieur de Notre-Dame de
Paris.
Après avoir auparavant symboliquement fait ouvrir les portes sur
lesquelles il a donné neuf coups de crosse, officialisant la
renaissance de ce chef-d’œuvre gothique du XIIe siècle.
Est-ce une indication de la 9ème heure de la Passion de l’Église, comme la Passion du Christ?
Le grand orgue, restauré et nettoyé suite à l’incendie de 2019, a
retenu son souffle pour cet instant, avant
d’être «réveillé» par l’archevêque.
Cela ne fait-il pas le lien avec les trompettes de Jéricho ou celles de l’Apocalypse?
Quant à Bergoglio, sa seule citation après avoir fait l’éloge de l’entrée gratuite à Notre-Dame :
« Puisse la renaissance de cette admirable église constituer un
signe prophétique du renouveau de l’Église en France ».
C’est beaucoup plus que cela…
Car la réouverture de Notre-Dame, la dimension spirituelle, annonce la résurrection de l’Église de la Tradition.
Ce qui est la prophétie #9 de Jean XXIII non achevée concernant Benoît XVI:
« Marie Très Sainte, fille et mère de
Dieu, maîtresse du temps futur, bats le rappel de tes fils dans les
campagnes, pour qu'ils abattent les deux Babylone.
Et que la Mère soit Une, comme toi tu es unique.
La terre détruira le ciment et de terre sera, Reine, ta nouvelle Église.
Et sur la terre de blé, pour la faim de tes peuples, fleur sur son nouvel autel. Amen. »
En 2024, année où tout bascule, c’est la France qui est au centre du monde.
Pourquoi la France est-elle un signe plus grand et plus fort qu’ailleurs ?
« Parce que dans la symbolique divine, la France figure le peuple de Dieu.
Dans la mystique biblique, la cité sainte, Jérusalem puis Rome, villes
aux sept collines, figure l’institution, l’Église, c’est à dire là où
se trouve Dieu. La papauté peut s’installer provisoirement dans une
autre ville, pour diverses raisons, à Viterbe ou Avignon par exemple,
mais les textes saints continueront à dire « Rome » pour symboliser
l’institution créée par le Dieu vivant pour le relier aux hommes.
Il en est de même pour le peuple ; depuis Jésus-Christ, le peuple de
Dieu est constitué de tous ceux, peuples, nations et langues, qui
croient en la divinité de Jésus-Christ, le baptême étant le signe
visible de l’entrée de chacun au sein du peuple de Dieu.
Mais, de même qu’autrefois Israël désignait à la fois le pays et le
peuple, une nation choisie par Dieu figure toujours ce peuple dans la
mystique divine. Ce sera la France, d’où les deux privilèges qui lui
sont exclusifs : celui de posséder un roi de « droit divin », le seul à
être considéré comme « lieutenant du Christ » et celui d’être appelée «
la fille aînée de l’Église ».
Ceci ne veut pas dire que les enfants de Dieu doivent forcément être
français mais que cette nation figure le peuple de Dieu. C’est la
raison pour laquelle les textes prophétiques indiquent que Dieu veut
régner sur la France et par la France sur le monde.
Il ne s’agit pas là d’une domination temporelle sur les autres nations
mais d’une référence au rôle mystique de la France, dans son sens
religieux, car la chrétienté doit effectivement régner sur le monde.
Notons tout de même que la France est probablement le pays qui ait donné à la chrétienté le plus de saints et de missionnaires.
Par conséquent, on peut et on doit s’attendre à ce que la France et
Rome soient liées dans les signes divins eschatologiques déterminants.
Nous allons d’ailleurs le démontrer quelques lignes plus loin…
»(Louis D’Alencourt – grandreveilwordpress.com)
L’Église flambe.
Tel était le titre de l’analyse du regretté Louis D’Alencourt suite à l’incendie de Notre-Dame de Paris. (lien précédent)
« Or l’Église qui flambe, c’est la Rome conciliaire, c’est celle qui
s’est muée en « grande prostituée » de l’Apocalypse, l’Église adultère
qui trompe son divin maître en réclamant la liberté religieuse et en
affirmant que nous partageons le même Dieu avec des religions qui ne
reconnaissent pas la divinité du Christ. C’est l’Église tâchée du sang
du Christ qu’elle crucifie quotidiennement par son encouragement au
péché, son refus de la vertu, ses accointances avec le monde.
L’Église qui flambe n’est donc pas l’Église une, sainte et apostolique
qui perdure dans la FSSPX car cette dernière, même si elle est
indirectement associée aux turpitudes de Rome, n’en partage ni les
péchés, ni les erreurs, ni l’infamie.
L’Église qui flambe, c’est celle qui va recevoir le paiement de son
salaire, le prix du sang, le salaire des traîtres et des apostats… et
avec elle la chrétienté entière, ou du moins ce qu’il en reste puisque,
en abandonnant les principes du règne social de Jésus-Christ, elle est
devenue la grande Babylone, la cité de toutes les infamies, retournée
au paganisme, elle aussi appelée à flamber telle Sodome dont elle
reproduit les péchés à l’identique.
Babylone c’est donc le monde entier, et son destin est indissociable de celui de l’Église.
Quand Notre-Dame flambe, c’est le signe que l’Église ET le monde
flambent et se consument déjà mystiquement (quoique… l’apostasie soit
visible et flagrante), avant de basculer dans l’embrasement au sens
propre et… visible.
…
Il reste un dernier point à aborder : définir où nous placer dans la chronologie de l’Apocalypse.
L’incendie de Notre-Dame de Paris est un signe universel : le monde
entier en a pris connaissance, et tout le monde a compris que ce
n’était pas un événement de plus, mais un signe majeur.
Peu importe ensuite les interprétations : nul ne peut nier qu’il
fut un grand signe à la fois majeur, universel et visible. Or ceci
est nécessaire au préalable pour susciter une prise de conscience des
populations.
… »
Si l’incendie de Notre-Dame de Paris fut un signe universel parce que
le monde entier a vu, tel était aussi le signe de la réouverture de la
cathédrale avec la présence des « rois » du monde et la couverture
mondiale en direct.
L’Église achève sa Passion et vivra sa résurrection.
Puisque la cathédrale avait brûlé au dimanche des rameaux, ainsi a-t-on
substitué la lecture du jour lors de la cérémonie religieuse de
réouverture par le rituel des Rameaux.
« Portes, levez vos frontons, levez-les, portes éternelles :
qu’il entre, le roi de gloire ! Qui est ce roi de gloire ?
C’est le Seigneur, Dieu de l’Univers ; c’est lui, le roi de
gloire… »
L’entrée triomphale de l’Église à l’image du Christ à Jérusalem une semaine avant sa Passion.
« Qu’est ce que le dimanche des Rameaux ?
C’est l’entrée triomphale du Christ à Jérusalem une semaine avant sa Passion.
Tout Jérusalem et même beaucoup plus, car de nombreux juifs d’autres
contrées étaient montés à Jérusalem pour la Pâque, accueille l’entrée
du Christ dans la ville sainte comme un roi, comme le Messie.
Mais attention, à la fin de la semaine, donc très rapidement après, ce fut la Passion, la mort de Jésus et sa mise au tombeau.
...
Parce qu’il s’agit de la « passion » du monde satanique,
concrétisée par la chute de Babylone, de la prostituée et des bêtes. »
(Louis D’Alencourt – grandreveilwordpress.com)
Signe?
Si la réouverture de Notre-Dame le 7 décembre constitue le dimanche des
rameaux, alors 5 jours plus tard, c’est le Vendredi Saint, la mort du
Christ.
Dieu annonce-t-il la mort de l’Église pour le 12 décembre?
Jour de Notre-Dame de Guadelupe ou la dame de l’Apocalypse.
Alors que le 13 décembre consacrera le retour de la couronne d’épines qu’aurait porté le Christ lors de sa crucifixion.
«
Souvenez-vous... quand ces moments viendront : les commandements de
Dieu, les prières du matin et du soir, le Saint Rosaire, les
sacrements, le catéchisme, les saints et faites tout dans la foi de nos
pères, dans la foi de nos pères !.. . dans la foi de nos pères !!… et
n'écoutez plus personne." (Padre Pio)
06 décembre
On ne peut passer sous silence le chaos qui s’installe en Syrie avec l’avancée rapide des troupes rebelles islamiques.
Ce chaos est voulu.
D’un côté, le président Assad (les forces armées arabes syriennes) avec
ses alliées (l'armée de l'air russe, le Hezbollah, l'Iran et sa milice
irakienne).
Et
de l’autre, la Turquie (armée nationale syrienne, les États-Unis, et
Israël) supportant « HTS » (Hay'at Tarir al-Sham) – les anciens «
rebelles » d'Al-Qaïda, de l'EI et d'al-Nosra.
En
bref, les États-Unis, la Turquie et Israël soutiennent les terroristes
islamiques pour renverser Assad, tout comme ils ont armé et
utilisé des terroristes comme Al-Qaïda et ISIS dans le passé pour faire
avancer leurs programmes politiques.
Le président syrien aimerait bien que l’Iran vienne à son secours.
Mais, l’Iran sait bien qu’Israël garde l’œil sur eux.
Car,
les derniers rapports de l’Agence internationale de l'énergie atomique
indique que l’enrichissement de l’uranium iranien a augmenté
considérablement.
Si
l'Iran poursuit ses projets d'enrichissement d'uranium à ce rythme, il
sera en mesure de produire 12 bombes nucléaires prochainement.
On voit que ce conflit oppose chiites (le gouvernement et ses alliés), et sunnites (les rebelles supportés par l’occident).
C’est bien selon la prophétie politique # No 27: La foudre en plein jour de Jean XXIII.
C’est bien ce qui se dessine à l’horizon pour l’ouverture du septième sceau dans cette région où « S'affronteront croissant de lune, étoile et croix. » selon la prophétie #11 de l’Église « le 7ème Sceau ».
« Mgr Strickland et le diacre Fournier : les chrétiens doivent rester forts dans l’Église alors que le monde s’effondre
( LifeSiteNews )
— Dans le septième chapitre de l'Évangile de saint Matthieu, nous
lisons ces paroles de Jésus à ses disciples concernant la manière dont
ils devraient vivre leur vie :
«
Quiconque écoute mes paroles et les met en pratique sera comme un homme
sage qui a bâti sa maison sur le roc. La pluie tombait, les inondations
arrivaient et les vents soufflaient et brassaient la maison. Mais il ne
s'est pas écroulé ; il était solidement fixé sur le roc. Et quiconque
écoute ces paroles mais ne les met pas en pratique sera comme un fou
qui a bâti sa maison sur le sable. La pluie tombait, les inondations
arrivaient et les vents soufflaient et brassaient la maison. Et il
s'est écroulé et a été complètement détruit. (Matthieu 7)
Il
est temps de faire une évaluation honnête. Nous devrions nous poser
cette question : « Sur quelles fondations bâtissons-nous ? »
On
vit une époque de plus en plus turbulente. Le tumulte de la violence
dans nos rues semble se produire si souvent qu'on n'en est même plus
surpris. Partout où l'on regarde, on constate un ébranlement des
fondements moraux sur lesquels on s'appuyait autrefois. Il y a des
fractures dans le tissu de notre ordre civil et des blessures profondes
qui doivent être guéries.
Et
oui, l'Église aussi est ébranlée. Toutefois, les chrétiens ne doivent
pas avoir peur. Notre vie ensemble dans le Seigneur, notre connexion
dans le Corps mystique du Christ, est toujours en mesure de fournir un
lieu d'abri, non seulement pour nous, mais aussi pour d'autres qui
recherchent la stabilité alors que les secousses continuent tout autour
. Les fausses fondations, dont certaines ont endormi même certains
croyants et les ont amenées à la complaisance, pourraient bientôt
tomber sous la pression provoquée par les troubles et le déclin
croissants. Mais comme l'apôtre Pierre l'a rappelé aux premiers
chrétiens persécutés, « le jugement commence dans la maison de la foi
». (1 Pierre 4:17)
Tous
ceux qui portent le nom de chrétien, même si nous sommes divisés, sont
néanmoins appelés à cette Église fondée sur Jésus-Christ. C'est le seul
endroit de véritable sécurité – l'endroit où nous pouvons rester forts
et en sécurité, et d'où nous devons tendre la main à ceux qui
succombent à la peur qui se déchaîne dans le cœur des hommes, des
femmes et des nations. C'est parce que l'Église a un fondement
inébranlable, Jésus-Christ, qui est le même « hier, aujourd'hui et
éternellement ». (Hébreux 13 : 8) Et c'est en Lui.
C'est
là qu'on doit se tenir - et rester ensemble - en Jésus-Christ. On ne
peut pas s'éloigner des turbulences qui nous entourent. Mais, en nous
basant sur la base solide à partir de laquelle nous pouvons apporter
stabilité et liberté à ceux qui commencent à craindre ce qui nous
attend, nous devons à partir de là mener « le bon combat de la foi ».
(1 Tim. 6:12)
L'Église militante
De ce lieu de sécurité, on peut faire la guerre ensemble contre le
monde, la chair et le diable. De là, nous pouvons atteindre tous les
hommes et toutes les femmes avec l'amour de Dieu, pleinement manifesté
en Jésus-Christ. Et à partir de là, on peut reconstruire les fondements
d'une liberté authentique et guider les autres sur le chemin de la
seule paix durable.
Le lundi 21 mai 2012, le pape Benoît XVI a organisé un déjeuner avec
les membres du Collège des Cardinaux pour les remercier de leur
gentillesse en lui souhaitant un joyeux 85e anniversaire le 16 avril
2012. Il a également tenu à remercier ses amis pour lui souhaitant un
joyeux septième anniversaire de son élection à la Chaire de Pierre le
19 avril 2012. Des sources de Vatican News rapportent que Benoît XVI a
rappelé aux frères sur lesquels il comptait pour ses conseils et
conseils que « l'Église, le Corps mystique, existe sur cette terre ». ,
et est appelée l’Église militante, parce que ses membres luttent contre
le monde, la chair et le diable.
Il a partagé plusieurs de ses moments de joie pendant son ministère
apostolique en tant que successeur de Pierre, ainsi que ses aperçus des
luttes, en disant aux cardinaux :
«(Je) remercie particulièrement le Seigneur pour les nombreuses années
qu'il m'a données, des années avec de nombreux jours de joie, des
moments merveilleux, mais aussi des nuits sombres. Mais
rétrospectivement, on comprend que les nuits étaient nécessaires et
bonnes. On voit que le mal veut gouverner le monde et qu'il faut se
battre contre le mal. Nous (voyons) cela le fait de bien des manières,
sanglantes, avec diverses formes de violence, mais aussi déguisées en
bien et détruisant ainsi les fondements moraux de la société. Nous
sommes dans ce combat et (dans) ce combat, c'est très important d'avoir
des amis. Je suis entouré d'amis du Collège des Cardinaux : ce sont mes
amis et je me sens chez moi, je me sens en sécurité en compagnie de
grands amis qui sont avec moi, ensemble.
Nous croyons que les sentiments exprimés ce jour-là pointaient vers une
action historique qu'il a entreprise le 28 février 2013. Avec
l'humilité qui caractérisait son extraordinaire papauté, Benoît a
démissionné de sa charge apostolique. L'annonce était simple et
directe. Il a été présenté à un consistoire de ses frères dans
l'épiscopat, cardinaux réunis à Rome où il a approuvé plus de 800
causes de canonisation. Il est devenu le premier pape depuis 1294 à
démissionner de cette manière.
L'utilisation de l'expression « Église militante » pour décrire la
mission de l'Église sur Terre était autrefois très courante. Cependant,
pour de nombreuses raisons, y compris une possible mauvaise
compréhension du terme à une époque de plus en plus violente, il est
tombé en désuétude. Il faut le raviver et le replacer dans son propre
contexte, un contexte spirituel. En 1953, le pape Pie XII, qui avait
dirigé l'Église à travers deux décennies d'obscurité dans un monde
assiégé par la guerre, déclarait sans équivoque : « Nous appartenons à
l'Église militante ; et elle est militante parce que sur terre, les
puissances des ténèbres sont toujours impatientes d’envisager sa
destruction.
Alors que nous faisons face à une hostilité croissante simplement parce
que nous professons notre foi chrétienne dans notre vie quotidienne, il
est important d'entendre à nouveau les paroles que l'apôtre Paul a
adressées aux chrétiens d'Éphèse : « Nous ne luttons pas contre la
chair et le sang ; mais contre les principautés, contre les puissances,
contre les princes des ténèbres de ce siècle, contre les armées
spirituelles de méchanceté dans les lieux célestes. (Éph. 6:11,12)
La foi et l'avenir
En 1969, le cardinal Joseph Ratzinger, devenu plus tard le pape Benoît
XVI, a écrit un petit livre intitulé La foi et l'avenir . Il
y parlait de ce qui pourrait arriver à l’Église. Il ne se doutait pas
alors qu'il occuperait la chaire de Pierre. Voici quelques extraits qui
méritent une réflexion sérieuse :
« L'Église deviendra petite et devra recommencer plus ou moins depuis
le début. Elle ne pourra plus habiter bon nombre des édifices qu’elle a
construits dans la prospérité. À mesure que le nombre de ses adhérents
diminue, elle perdra bon nombre de ses privilèges sociaux. En tant que
petite société, [l'Église] exigera beaucoup plus de l'initiative de ses
membres individuels.
« Ce sera une tâche difficile pour l'Église, car le processus de
cristallisation et de clarification lui coûtera une énergie précieuse.
Cela la rendra pauvre et la fera devenir l'Église des doux. Le
processus sera long et fastidieux, comme l'était le chemin qui mène au
faux progressisme à la veille de la Révolution française – lorsqu'un
évêque pouvait passer pour intelligent s'il se moquait des dogmes et
insinuait même que l'existence de Dieu n'était en aucun cas certaine.
Mais lorsque l'épreuve de ce criblage sera passée, une grande puissance
jaillira d'une Église plus spiritualisée et simplifiée.
« Dans un monde totalement planifié, les hommes se retrouveront
indiciblement seuls. S'ils ont complètement perdu de vue Dieu, ils
ressentiront toute l'horreur de leur pauvreté. Alors ils découvriront
le petit troupeau de croyants comme quelque chose de complètement
nouveau. Ils le découvriront comme un espoir qui leur est destiné, une
réponse qu’ils ont toujours cherchée en secret.
« Il me semble donc certain que l’Église traverse des temps très
difficiles. La vraie crise vient tout juste de commencer. Il faudra
compter sur de formidables bouleversements. Mais je suis aussi sûr de
ce qui restera à la fin : non pas l'Église du culte politique, déjà
morte, mais l'Église de la foi. Il se pourrait bien qu'elle ne soit
plus le pouvoir social dominant dans la mesure où elle l'était jusqu'à
récemment ; mais elle connaîtra un nouvel épanouissement et sera
considérée comme la maison de l'homme, où il trouvera la vie et
l'espoir au-delà de la mort.
« Mais dans tous les changements que l'on pourrait deviner, l'Église
retrouvera son essence à nouveau et avec une pleine conviction dans ce
qui a toujours été au centre : la foi au Dieu trinitaire, en
Jésus-Christ, le Fils de Dieu fait homme, la présence de l’Esprit
jusqu’à la fin du monde.
Notre foi et notre vie ensemble
On a tous un besoin d'appartenance, précisément parce qu'on est pas
solitaires par nature. Nous avons été façonnés et créés pour la
relation. Le cœur de la Révélation chrétienne est que Dieu n'est pas
non plus solitaire. Dieu est une Trinité de Personnes Divines, Père,
Fils et Saint-Esprit, qui, dans l'amour parfait, sont parfaitement Un.
Jésus a prié pour qu'on fasse l'expérience de ce genre d'unité, tout de
suite - et qui se terminerait dans la vie à venir. Cette belle prière
de Jésus est consignée dans son intégralité dans le chapitre 17 de
l’Évangile de saint Jean. Voici un extrait :
« Je prie non seulement pour eux, mais aussi pour ceux qui croiront en
moi par leur parole, afin qu'ils soient tous un, comme toi, Père, tu es
en moi et moi en toi, afin qu'eux aussi soient en nous , afin que le
monde croie que Tu m'as envoyé. Et je leur ai donné la gloire que tu
m'as donnée, afin qu'ils soient un, comme nous sommes un, moi en eux et
toi en moi, afin qu'ils soient amenés à la perfection comme un, afin
que le monde sache que tu m'as envoyé. (Jean 17 : 20-23)
Par l'Incarnation salvatrice – la conception, la nativité, la vie, la
mort, la Résurrection et l'Ascension de Jésus-Christ, la Deuxième
Personne de la Trinité et le Verbe incarné – nous sommes rendus
capables de participer à la communion trinitaire , par la grâce de
Dieu.
Cette participation commence maintenant et s'ouvre sur
l'éternité. Ce n'est pas un concept ésotérique ou mystique réservé à
quelques-uns seulement - c'est une vie chrétienne normale. Nous sommes,
selon les mots de l’apôtre Pierre, « participants de la nature divine
». (2 Pierre 1 : 4) Nous sommes appelés à avoir une relation
en Lui et les uns avec les autres pour le bien du monde.
C'est dans le don de soi à Dieu, puis par la grâce les uns envers les
autres, qu'on se retrouve vraiment et qu'on découvre notre véritable
mission dans ce monde. L'affirmation chrétienne est que nous avons été
faits pour Dieu, et comme le dit si bien saint Augustin, « nos cœurs
sont agités jusqu'à ce qu'ils reposent en Toi ». C'est là qu'on trouve
aussi notre vraie maison. Cette maison est dans l'Église, d'où nous
nous tournons maintenant vers le monde. Dieu aime toujours tellement le
monde qu'il envoie son Fils (Jean 3 : 16). Son Fils est
toujours en vie. Il a été élevé. Il marche maintenant à travers son
Corps, l'Église, dont nous sommes véritablement membres. (1 Cor.
12 : 12-26)
L'Église est fondamentalement une réalité relationnelle, une rencontre
permanente avec Jésus Ressuscité, une participation à la communion
trinitaire en et par Jésus-Christ. C'est la tête du corps. L'Église
n'est pas quelque chose mais Quelqu'un . C'est une
partie essentielle d'être chrétien. Il y a une barre verticale et une
barre horizontale à cette croix sur la colline du Calvaire. L’une des
paroles les plus souvent citées des premiers pères chrétiens est
peut-être celle de saint Cyprien de Carthage, qui écrivait : « Celui
qui n’a pas l’Église pour mère ne peut pas avoir Dieu pour père.
Ce genre de langage familial souligne le fait irréfutable que les
premiers chrétiens croyaient qu’appartenir à Jésus, c’était appartenir
à son Église. Ils croyaient que, tout comme nous sommes tous nés du
sein de notre mère, de même nous sommes invités par Dieu, en et par
Jésus-Christ, à « naître de nouveau » dans l'Église, la nouvelle
humanité étant recréée en Lui.
Le processus de rédemption commence lorsque nous traversons les eaux
sacramentelles des fonts du Saint Baptême. Cela continue à mesure que
nous coopérons avec la grâce qui nous est donnée dans notre vie au sein
de l’Église. Il ne sera pleinement achevé que lorsque le Seigneur
reviendra et que nous serons ressuscités dans des corps ressuscités –
et que nous vivrons dans un nouveau ciel et une nouvelle terre ! Cette
compréhension de l’Église comme participation à Jésus-Christ et entrée
dans la communion trinitaire se retrouve dans les écrits des premiers
Pères de l’Église. Nous vous proposons quelques exemples dans ce qui
suit.
Les premiers Pères de l'Église
Tout d'abord, quelques paroles d'Origène (185-254 de notre ère) : « Le
Christ a inondé l'univers de vagues divines et sanctifiantes. Pour ceux
qui ont soif, il fait jaillir une source d'eau vive de la blessure que
la lance a ouverte de son côté. De la blessure du côté du Christ est
sortie l'Église, et il en a fait son épouse. Ensuite, de l'évêque
Irénée de Lyon (120-203 de notre ère), disciple de Polycarpe et
lui-même disciple de l'apôtre Jean : « Nous avons besoin de nous
réfugier auprès de l'Église, de boire du lait à son sein, d'être
nourris des Écritures du Seigneur. Car l'Église a été implantée dans le
monde comme un paradis.
On pourrait continuer, mais on l'a fait valoir. Les premiers chrétiens
ne considéraient pas l’Église comme quelque chose ,
mais comme Quelqu’un . L'adhésion à l'Église n'était ni
coûteuse ni facultative. Ils y voyaient une norme pour chaque chrétien
– et une source de vie pour tous. Nous résumerons une partie de ce que
vous trouverez dans leurs beaux écrits en quelques-unes de nos propres
phrases en utilisant l'imagerie déployée dans les écrits des premiers
pères chrétiens.
L'Église est une semence du Royaume à venir. L'Église est la vigne sur
laquelle nous sommes greffés. L'Église est Jésus ressuscité, rendu
véritablement présent dans le monde. L'Église est la nouvelle famille
commencée sur la Croix. L'Église est l'endroit où nous apprenons à
aimer en entrant dans la communion même de l'Amour de la Divinité
révélé dans le don total du Fils de Dieu sur le deuxième arbre de la
Croix. Née du côté blessé du Sauveur, qui est le « nouvel Adam », sur
l'autel de la Croix, l'Église est son corps mystique poursuivant sa
mission rédemptrice sur la terre.
Nous ne faisons pas l'Église à notre image, l'Église nous refait à
l'image du Christ par la grâce. Concluons avec quelques paroles
inspirantes de l'un de nos théologiens contemporains préférés, un laïc
orthodoxe nommé Olivier Clément. Il écrit à propos de l'Église :
« Dans le Christ ressuscité, dans son corps glorifié, à l'ouverture
même de ses plaies, ce n'est plus la mort qui règne mais l'Esprit, le
Souffle de Vie. Et la croix de victoire et de lumière, qui est le
modèle de notre baptême, peut désormais transformer la situation la
plus désespérée en une mort et une résurrection, une « Pâque », un
point de passage sur le chemin de l'éternité. Et voilà ce qu’est
l’Église, cette institution profondément sainte : elle est le sein
baptismal, le calice eucharistique, la brèche faite pour l’éternité par
la Résurrection dans le couvercle infernal du monde déchu. »
Construisez sur le rocher, combattez
Choisissons de bâtir notre vie sur le Rocher du Seigneur Jésus-Christ
et de son Église – et ouvrons grandes nos portes aux hommes et aux
femmes de notre époque qui recherchent stabilité et refuge alors que le
monde est ébranlé. Soyons forts et accueillons les autres dans le seul
lieu de véritable sécurité, l’Église qui porte son nom. Elle est
peut-être divisée, mais elle reste sa demeure et révèle son plan pour
toute la race humaine. Alors que nous prions, marchons et travaillons
ensemble, il guérira les blessures de nos divisions et rétablira notre
pleine communion. En tant que chrétiens, nous sommes appelés à nous
aimer les uns les autres, en Lui. (Jean 13:34, 35.) Nous avons aussi la
grâce de faire exactement cela.
Il est temps de se préparer pour la bataille à venir et de devenir
l’Église militante de ce moment de l’Histoire . Souvenez-vous
des paroles de l'apôtre Paul :
« Soyez forts dans le Seigneur et dans la force de sa puissance.
Revêtez toutes les armes de Dieu, afin de pouvoir résister aux ruses du
diable. Car nous ne luttons pas contre la chair et le sang, mais contre
les principautés, contre les puissances, contre les dirigeants du monde
de ces ténèbres présentes, contre les armées spirituelles de la
méchanceté dans les lieux célestes. Prenez donc toutes les armes de
Dieu, afin que vous puissiez résister au mauvais jour et, après avoir
tout surmonté, tenir debout.
« Tenez donc debout, après avoir ceint vos reins de la vérité, et ayant
revêtu la cuirasse de la justice, et ayant chaussé vos pieds de
l'équipement de l'évangile de paix ; prenez surtout le bouclier de la
foi, avec lequel vous pourrez éteindre tous les traits enflammés du
malin. Et prenez le casque du salut et l'épée de l'Esprit, qui est la
parole de Dieu. Priez en tout temps dans l’Esprit, avec toutes sortes
de prières et de supplications. (Éph 6 : 10-18) »
05 décembre
En voilà un qui confirme encore une fois que l'église, la grande prostituée de l'Apocalypse, est condamnée.
Il
confirme que l'Antéchrist est au pouvoir, mais n'ose pas, comme les
autres « Élie » potentiels, affirmer que nous sommes à la fin des temps.
C'est
quand même incroyable puisqu'ils connaissent très bien les écritures,
et surtout, le catéchisme, qui ne peut être plus limpide que cela:
Le
Catéchisme de l’Église catholique nous enseigne qu’«avant l’avènement
du Christ, l’Église doit passer par une épreuve finale qui ébranlera la
foi de nombreux croyants. La persécution qui accompagne son pèlerinage
sur la terre dévoilera le “mystère d’iniquité” sous la forme d’une
imposture religieuse apportant aux hommes une solution apparente à
leurs problèmes au prix de l’apostasie de la vérité. L’imposture
religieuse suprême est celle de l’Anti-Christ, c’est-à-dire celle d’un
pseudo-messianisme où l’homme se glorifie lui-même à la place de Dieu
et de son Messie venu dans la chair. […] L’Église n’entrera dans la
gloire du Royaume qu’à travers cette ultime Pâque où elle suivra son
Seigneur dans sa mort et sa Résurrection» (§675).
L'Église n'entrera dans la gloire du Royaume qu'à travers cette ultime
Pâque où elle suivra son Seigneur dans sa mort et sa Résurrection (cf.
Ap 19, 1-9). Le Royaume ne s'accomplira donc pas par un triomphe
historique de l'Église (cf. Ap 13, 8) selon un progrès ascendant mais
par une victoire de Dieu sur le déchaînement ultime du mal (cf. Ap 20,
7-10) qui fera descendre du Ciel son Épouse (cf. Ap 21, 2-4). Le
triomphe de Dieu sur la révolte du mal prendra la forme du Jugement
dernier (cf. Ap 20, 12) après l'ultime ébranlement cosmique de ce monde
qui passe (cf. 2 P 3, 12-13) (§677).
« Une année de « Fiducia supplicans » : le pape, l'apostasie « synodale » et « l'hérésie gaie ».
par P. Joachim Heimerl von Heimthal
Il y a des hommes qui ressemblent à un cri solitaire dans le
désert, et nous savons par la Bible que c'est généralement l'Esprit de
Dieu qui repose sur de tels hommes.
Joseph Strickland, évêque de Tyler, au Texas, qui a été déposé à tort par François, est un tel homme.
Il partage le même sort que les prophètes de la Bible, à savoir que personne ne l'écoute.
Des millions de personnes écoutent maintenant Mgr Strickland, mais pas ses confrères évêques.
Lorsque Strickland leur a récemment demandé de prendre enfin position
sur le fait que François n'enseigne plus la foi catholique, ses paroles
sont tombées dans le silence. Personne n’a osé soutenir le Texan qui
disait si hardiment la vérité, aucun évêque aux États-Unis et
certainement personne ailleurs.
Néanmoins, ce que Strickland a dit reste vrai : François défend une
nouvelle Église « synodale » et avec elle une nouvelle foi qui n’est
plus catholique et qui doit être résolument rejetée ! Personne n’est
obligé de croire en une Église « synodale ». Au contraire : la foi
traditionnelle de l’Église l’interdit.
Alors que les évêques gardaient le silence sur tout cela, le supérieur
du district allemand de la Fraternité Pie a clairement appelé un chat
un chat. Il a qualifié « l’Église synodale » du pape de « diabolique »,
de « trahison de la mission du Christ » et d’« anti-évangile ».
Mais ça dérange personne non plus. Les rangs des évêques écoutent
encore moins la voix de la Fraternité Pie que celle du Texas. Au lieu
de cela, le silence des évêques orchestre une apostasie à plusieurs
voix : celle du Pape et d'une grande partie du monde catholique, et il
semble presque qu'il s'agisse d'une nouvelle « normalité ».
Mais d'où vient l'indifférence de ceux qui sont désignés gardiens de la
vérité et qui, par leur silence, ne servent pas Dieu, mais plutôt
Satan, le « père du mensonge » (cf. 1 Jean 3, 8) ?
Leur apostasie pourrait-elle surgir de rien ? - À peine. Au contraire,
elle est probablement latente depuis longtemps, et il a suffi d’un pape
comme François pour qu’elle devienne enfin visible.
Le document controversé « Fiducia supplicans », publié il y a un an, le
montre peut-être le plus clairement : le pape lui-même a autorisé la «
bénédiction » des couples irréguliers, c'est-à-dire la bénédiction des
homosexuels et des adultères.
Aux yeux des Écritures, une telle « bénédiction » est une abomination
et un blasphème. Néanmoins, le document est resté en vigueur jusqu'à ce
jour, et la - légère - résistance des évêques a été étouffée dès le
début.
La signification de « Fiducia supplicans » est donc double : le
document est la Magna Carta, qui documente de la manière la plus
évidente l’apostasie générale des évêques. Et cela rend visibles les
forces qui ont travaillé en secret au sein de l’Église pendant trop
longtemps, à savoir les nombreux homosexuels parmi les évêques et les
cardinaux.
Ce n'est certainement pas un secret que le clergé est
traditionnellement infiltré par des homosexuels, même si les gens
n'aiment pas en parler ouvertement. Ça vaut aussi pour le haut clergé.
Des estimations fiables (en l'absence de données fiables) évaluent ce
chiffre à environ les deux tiers, et même s'il était inférieur (ce que
je ne crois pas), l'Église détient un record sans précédent.
Il y a de nombreuses raisons à cela, notamment sociologiques, et parmi
les membres du clergé les plus âgés, jusqu'à la génération du pape, un
nombre supérieur à la moyenne a échappé aux représailles sociales en
choisissant le célibat.
Aujourd'hui, les choses sont différentes, du moins dans les sociétés
occidentales, et les homosexuels coincés dans le sacerdoce et surtout
dans l'épiscopat font maintenant pression avec véhémence dans les
coulisses du Vatican pour que l'Église s'ouvre à la nouvelle voie.
Soyons clairs : l’Église est tombée aux mains d’hommes gais plus âgés.
Ce n'est que dans ce contexte qu'on peut comprendre que le pape a rendu
le monstrueux possible avec la « Fiducia supplicans » et qu'en même
temps il a rencontré si peu de vents contraires : très peu de gens se
souciaient de la « bénédiction » du péché et de l'apostasie de Dieu ;
La plupart des gens s'y sont manifestement identifiés depuis longtemps
et ont spécifiquement élaboré ce document sous la direction du cardinal
Fernandez.
Depuis lors, rien n'est plus pareil : ce qu'on appelle communément «
l'hérésie gaie » a pris l'Église en otage avec l'approbation du Pape,
et de plus en plus d'évêques et de cardinaux prétendent hypocritement
qu'ils ont été impliqués dans un « processus synodal en écoutant » ont
soudainement « compris ». Ils ont compris – miraculeusement – que
l’homosexualité était « voulue » par Dieu et n’était en aucun cas un
péché, contrairement à la révélation et à l’enseignement vieux de 2 000
ans de l’Église.
Un changement étonnant, ne trouvez-vous pas ? Ou n'est-il pas plus
probable que tous ces prélats aient simplement saisi l'occasion pour
finalement justifier leur disposition et « l'approuver » avec l'aide du
pape ? Qui d'autre pourrait promouvoir « l'hérésie gaie » si ce n'est
ces messieurs les plus révérends qui sont eux-mêmes « gais » et qui
sont uniquement motivés par elle et non par le « Saint-Esprit » ?
C'est aussi incroyable que vrai : l'Église est en captivité
babylonienne d'un haut clergé homosexuel qui, en commençant par «
l'hérésie gaie », installe progressivement une nouvelle pseudo-église,
exactement celle devant laquelle Mgr Strickland nous met en garde.
Le navire de l'église vit ainsi quelque chose comme la mutinerie du
Bounty, mais avec une différence cruciale : le capitaine lui-même est
ici avec les mutins, et les hommes qui, comme Strickland, rejettent la
mutinerie des « gais », sont presque le dos au mur.
Pendant ce temps, l'Antéchrist règne dans la maison du Seigneur, et le
Pape lui-même lui a érigé un autel d'idoles appelé « Fiducia supplicans
». Ce ne sera pas la dernière si François reste longtemps au pouvoir.
J'aimerais contredire tous ceux qui objectent aujourd'hui que François
n'est de toute façon pas le pape légitime et que c'est la seule raison
pour laquelle ces circonstances effrayantes sont possibles. Il n’y a
pas d’autre pape que François. Mais il a probablement fallu un pape
comme lui pour dénoncer l’œuvre de Satan dans l’Église et la pousser à
l’extrême. – Oui, François est le pape légitime, et il ne l’est pas à
la gloire de Dieu, mais à la honte éternelle du Siège apostolique,
qu’il a profané avec la « Fiducia supplicans ».
Et pourtant : Peut-être Dieu a-t-il seulement voulu rendre visible la
défiguration de son Église par François pour la restaurer par un
successeur plus digne de Pierre ? Qui sait ?
Entre-temps, il est important d’écouter la voix des hommes justes,
c’est-à-dire ceux qui ne représentent pas « l’hérésie gaie » et donc
leur propre tempérament, mais qui, comme Mgr Strickland, sont la voix
de Dieu. – « Celui qui a des oreilles pour entendre, qu’il entende ! »
(Mt 11, 14). » (marcotosatti.com)
Une année de « Fiducia supplicans »... Effectivement.
2024, l'année où tout bascule.
Qu' « Élie » de la fin des temps se lève!
À la Gloire de Dieu!
04 décembre
LE SIGNE DE JONAS III – LES 40 JOURS
Le signe de Jonas mentionné par le Christ en Matthieu 24, le
seul signe que nous aurons, les trois jours au tombeau, les trois
jours de noirceur.
Jonas, qui ne voulait pas délivrer le message de Dieu aux habitants de
Ninive, a eu le « privilège » d’expérimenter les trois jours de
noirceur dans le ventre du poisson.
Cela l’a définitivement convaincu et à sa sortie, il part à Ninive
délivrer son message : « Encore 40 jours et Ninive sera détruite ».
Au compte long, nous avons vu dans les analyses précédentes que nous
avons atteint les 100 ans de destruction de Satan ajoutés aux 40 ans
d’attente dans le désert à l’image du Christ, notre carême, depuis la
vision de Léon XIII du 13 octobre 1884.
Nous savons que le 40 est le nombre de l'attente:
- Jésus a vécu 40 jours au désert après son baptême;
- Le peuple juif a erré 40 ans dans le désert avant d'entrer en Terre sainte ;
- Moïse a jeûné 40 jours avant de recevoir les tables de la Loi;
- le Déluge a duré 40 jours, avant que Noé n'ouvre la fenêtre de l'Arche;
- les 40 jours d’errance du prophète Élie pour aller du mont Carmel à l’Horeb, la montagne de Dieu;
- Et c’est aussi le signe du carême, 40 jours avant Pâques.
Tel est le scénario des trois jours de ténèbres : après les 40
jours, Dieu nettoie et purifie la terre par le feu avant de se
manifester aux élus.
Car le Seigneur ne se manifeste pas aux autres : tout le monde
verra son signe mais seuls les élus jouiront de sa vision.
Comme sœur Lucie a vu la Sainte Famille le 13 octobre 1917 et les trois
métamorphoses de la Sainte Vierge Marie, alors que les autres voyaient
le miracle du soleil fonçant sur eux.
Les habitants de Ninive se sont convertis.
Mais contrairement à Ninive, l’Apocalypse nous indique qu’il n’y aura pas de conversion en cette fin des temps :
Il est expliqué que malgré les signes, « les autres hommes, ne se
repentirent ni de leurs meurtres, ni de leurs enchantements, ni de leur
impudicité, ni de leurs vols.» (Apoc. 9, 21).
Une attitude confirmée dans le livre de Daniel : « il y en aura
beaucoup qui seront purifiés, blanchis et éprouvés ; et les méchants
feront le mal, et aucun méchant ne comprendra ; mais les intelligents
comprendront. » (Daniel 12, 10)
Babylone
n’a que 40 jours avant le début des châtiments et des deux derniers
grands malheurs (6è et 7è trompettes) de l’Apocalypse.
Le signe de Jonas est relié à l’Apocalypse, la résurrection des deux témoins.
Nous avons vu dans la dernière analyse que les 40 jours précédant les 3
jours de noirceur sont reliés au témoignage d’Élie ou Jean, et que ces
40 jours (avant le 16 janvier, les 42 mois depuis Traditionis Custodes)
commencerait selon notre hypothèse le 7 décembre.
La cathédrale Notre-Dame de Paris ré-ouvre le 7 décembre décembre.
Et la Fille Aînée de l'Église est aussi importante que Rome.
Est-ce qu’on occultera l’Immaculée Conception à Notre-Dame de Paris par une discours à caractère maçonnique?
En tout cas, les « rois » de la terre y seront réunis pour la réouverture et ce n’est probablement pas pour la Sainte Vierge.
« Le président américain élu Donald Trump a annoncé lundi qu’il se
rendrait samedi en France afin d’assister à la réouverture de la
cathédrale Notre-Dame de Paris, où une cinquantaine de chefs d’État et
de gouvernement sont attendus. »
Bergoglio a refusé d'y assister, car il dit qu’il est trop occupé par
la nomination de 21 nouveaux cardinaux (jeunes pour conserver les
valeurs bergogliennes, progressistes, et sans culture théologique) lors
du consistoire du 7 et 8 décembre.
« Il y a un manque de grandes figures, avec une lumière propre, des
pasteurs, bien sûr, mais aussi des intellectuels puissants, avec un
arrière-plan philosophique, théologique et canonique convaincant et
reconnaissable.
À ce jour, la quasi-totalité des cardinaux créés par le pape François
(163 au 8 décembre) sont des personnes qui se comportent comme des
clones du pontife, ou plutôt, comme on l’a écrit ces derniers jours, «
ce sont des cardinaux copié-collé ». » (benoit-et-moi.fr)
N’oublions pas que le 7 décembre est un premier samedi du mois, en
relation avec la demande de la Sainte Vierge à Fatima. (Lien de la
prière du premier samedi du mois ci-haut)
Voyant l’urgence de la situation, Lifesitenews.com
démarre une neuvaine du 8 au 17 décembre, consacrée à la conversion du
pape François et à la restauration de l'Église catholique.
Comme on le voit, les deux témoins sont constitués des laïques (Énoch) et des clercs (Élie) qui se lèvent vu la situation.
Nous savons que Satan singe Dieu.
Et, grâce à l’analyse « Projet 47 de Louis D’Alencourt » nous savons
que l’élite judéo-maçonnique espère son messie pour le 20 janvier.
Or, le 12 décembre, c’est la fête de Notre-Dame de Guadelupe.
Mgr Burke termine sa neuvaine de 9 mois, et Notre-Dame de Guadelupe, c’est la femme de l’Apocalypse au septième sceau.
Si on additionne 40 jours on arrive au 21 janvier, le lendemain de l’assermentation du président américain.
C’est un sérieux avertissement du Ciel.
Louis D’Alencourt :
« Quelqu’un de bien plus savant et érudit que moi m’a révélé un
jour qu’à la fin des temps, il ne fallait plus compter en années
mais en jours.
Je crois que le Seigneur Dieu, dans sa très grande miséricorde, va
effectivement accorder aux hommes une ultime chance avant le
déchaînement de sa colère.
Sauf que le message cette fois-ci sera : dans 40 jours Babylone sera détruite.
Par conséquent, « Sortez de Babylone mon peuple, de peur que vous n’ayez part à ses péchés » et repentez-vous
« Elle est tombée, la grande Babylone, elle est
tombée ! » (Apoc. 18, 2) et avec elle, la grande Prostituée
tombe aussi.
Si vous lisez bien l’Apocalypse, à ce moment-là la bête n’est pas
morte, d’une part, et cela se réalise devant les rois de la terre, qui
se lamentent « hélas, hélas, Babylone, grande ville, ville si
puissante, ta condamnation est venue en ce moment ».
Pourtant les rois de la terre ne sont pas mieux que Babylone,
puisqu’ils font partie de l’équipe de la bête. » (note : ils
seront à Notre-Dame de Paris le 8 décembre) (grandreveilwordpress.com)
Mais, nous devons aussi considérer qu’il y a eu un autre 40 jours, les 40 jours après la Résurrection du Christ!
« Les Actes des apôtres nous apprennent que durant les 40 jours entre
la Résurrection et l’Ascension, le Christ leur parlait du Royaume
de Dieu, sans plus de précisions.
Il y a deux notions importantes à retenir :
– Après la Résurrection, le Christ n’apparaît qu’à ses apôtres et
disciples, c’est-à-dire que seuls des justes le voient, et
non plus la multitude du peuple.
Un des volets de la prédication d’Élie sera d’annoncer le Royaume de
Dieu ; mais ce discours ne sera compris et entendu que par les
justes et la foule des rachetés ; les autres seront imperméables à
de tels propos.
– L’Ascension symbolise à la fois le départ et le retour du
Christ. Qu’il y ait 40 jours d’écart entre l’annonce du royaume et le
retour effectif du Christ est là aussi significatif. Il renforce l’idée
que le délai ultime est bien de 40 jours avant de voir la terre
promise. » (Louis D’Alencourt – grandreveilwordpress.com)
Les écritures nous mentionnent qu’à la fin des temps, le tiers des humains seront éliminés.
La traduction exacte est plutôt : la troisième partie.
Il s’agît des incroyants, de ceux qu’on ne peut espérer la conversion avec les événements à venir.
Cela se passe à la sixième trompette (c’est tout le chapitre 10 et 11 de l’Apocalypse).
L’autre tiers, ce sont les justes, et l’autre, ce sont les « tièdes »,
ceux dont la chance de sauver leur âme est encore possible.
Les 40 jours avant « l’Ascension » pourrait bien servir cette cause.
Nous avons identifié dans notre hypothèse le 16 janvier 2025, soit la
fin des 42 mois depuis l’interdiction de la messe Tridentine.
Si on y ajoute les trois jours de noirceur comme le Christ au tombeau, nous arrivons au 19 janvier 2025.
Si on y ajoute les 40 jours après la résurrection avant l’Ascension, nous arrivons au 28 février 2025.
C’est la date effective de la démission de Benoît XVI en 2013.
Donc 12 ans entres les deux dates, 12 comme les douze apôtres.
Quant à Bergoglio, NSJC lui laissera-t-il atteindre son 12 ans le 13 mars prochain?
Ce chiffre appartient à Marie (exemple les apparitions du 13 du mois en 1917), et non au faux prophète.
Nul ne connaît le jour ni l’heure mais plus nous avançons plus les pièces du casse-tête se mettent en place.
Nous pourrions avoir des signes « d’Élie » en fin de semaine.
2 décembre
LA MORT DES DEUX TÉMOINS
« … lorsque l’Apocalypse se révèle, elle doit être
comprise par tous, c’est-à-dire qu’à partir de ce moment, le
sens littéral l’emporte sur le sens mystique. » (Louis D’Alencourt
- grandreveilwordpress.com)
La mort des deux témoins est un événement important car il indique la
fin de la sixième période, tout juste précédé par l’ouverture du
sixième sceau : le grand tremblement de terre et ce qui s’en suit,
et la sixième trompette, soit les 4 anges liés au grand fleuve de
l’Euphrate : Armageddon.
(À ce titre, un avant goût du « tremblement » terrestre pourraient être
le signe de la guerre, et comme signe de la sixième trompette à venir,
nous avons assisté la semaine dernière à la prise de la ville d’Alep en
Syrie, sur le bord de l’Euphrate, par l’armée islamique (les 4 anges
étant relâchés).)
Alors quelle partie de l’évangile doivent prophétiser les deux témoins de l’Apocalypse?
Eh bien tout simplement celui qui a trait au retour du Christ, en
commençant par le début, c’est à dire l’épisode de Jonas cité par Jésus
lui-même, soit;
1) le retour du Christ est maintenant très proche.
2)
le seul signe qui sera donné avant son retour sera celui de Jonas, et
justement celui-ci venant d’avoir lieu, Babylone sera détruite dans 40
jours et cette destruction sera le début des châtiments et des deux
derniers grands malheurs (6è et 7è trompettes).
3)
Par conséquent, « Sortez de Babylone mon peuple, de peur que vous
n’ayez part à ses péchés » et repentez-vous.
Il est difficile d’imaginer la manière dont seront « exécutés » les « deux témoins » de l’Apocalypse.
Nous savons qu’ils sont la référence aux laïcs et membres du clergé qui sont demeurés fidèles à la Loi et aux Prophètes.
On les nomme symboliquement Énoch et Élie.
« Énoch préfigure tous les autres qui, n’appartenant pas à la
catégorie des « justes » n’en sont pas moins des
« hommes de bonne volonté » et qui, quelle que soit leur
religion et leurs sensibilités, comprendront eux aussi la teneur des
événements et se lèveront pour le dire. » (Louis D’Alencourt, grandreveilwordpress.com)
« … on peut aussi faire un parallèle avec le livre
d’Hénoch car celui-ci est en lien direct avec la fin des
temps.
Voici ce qu’en dit l’abbé Arminjon dans son livre Fin du monde présent et mystères de la vie future :
« Le livre d’Hénoch, bien qu’apocryphe, semble contenir les
principales croyances qui avaient cours en Judée au temps de
Jésus-Christ. Quand les hommes, est-il dit, auront comblé la
mesure de leurs iniquités envers Dieu et envers Israël, alors viendra
le grand cataclysme dont le déluge n’a été que le prélude et comme
l’avertissement. Cette fois-ci, la justice divine ira jusqu’au
bout ; le mal sera vaincu à jamais ; la terre sera purifiée
par le feu, non plus par l’eau. Sous des cieux nouveaux, une terre
nouvelle, commencera le règne sans fin de l’Elu, règne de justice, de
fidélité et de paix, véritable règne de Dieu, dans lequel Israël sera
le peuple roi. »
Il est là le lien entre Hénoch et le premier témoin...
Le chapitre 11 de l’Apocalypse semble se référer plutôt à Élie, même
s’il parle des deux témoins dans leur ensemble, car la caractéristique
de « fermer le ciel et d’empêcher la pluie » se rapporte
directement à la vie d’Élie, puisqu’il en a usé au début de sa vie
publique face au roi Achab.» (Louis D'Alencourt, grandreveilwordpress.com)
« Mikail et Jean descendront sur terre. » nous confirme la prophétie de l’Église concernant François.
Juste après son décès.
Ce Jean, est probablement le précurseur : Élie.
Élie accomplie le rôle du second témoin de l’Apocalypse et celui de l’annonciateur du retour du Christ comme Jean-Baptiste.
Élie est le prêtre qui est monté sur le Carmel pour convertir les adorateurs de Baal.
Nous pouvons affirmer aujourd'hui que les adorateurs de Baal sont en grand nombre :
À toutes les religions qui ne sont pas de la tradition, on y ajoute le
paganisme à manière du synode amazonien, le protestantisme, et tout ce
qui relève des valeurs inversées qui sont sacrifiées sur l’autel de
l’humanisme depuis que le faux prophète est sur le trône de
Saint-Pierre.
Nous avons deux indices important pour mieux cerner le « quand » et « l’événement » symbolisant la mort des deux témoins :
- Ils prophétisent pendant 1260 jours ou 42 mois.
- Les habitants de la terre se réjouiront parce qu’ils ont fait le TOURMENT des habitants de la terre.
Par contre, identifier le moment du début de la prêche des deux
témoins, et de la durée de la bête parallèlement pour 42 mois est
difficile en soi.
Nous avons émis l’hypothèse du 16 juillet 2021, soi la date de
Traditionis Custodes interdisant la messe Tridentine, et surtout, fête
de Notre-Dame du Carmel, reliée donc à Élie (voir analyses précédentes).
Parce que c’est là que la multitude d’ « Élie » ont élevé la voix au Vatican.
Est-ce qu’un cardinal ou un évêque plus influent sortira du lot plus nous approchons de la fin de l’hypothèse des 42 mois (voir 20 novembre - L’ANGE EXTERMINATEUR) le 16 janvier prochain?
Cela reste à voir.
Car pour avoir un « Élie »à la manière de Jean-Baptiste, il faut que ce dernier proclame :
- La fin des temps
- Le repentir
Pour l’instant, seul le cardinal Burke a mentionné du bout des lèvres que nous sommes « peut-être » à la fin des temps.
Mgr Vigano attend toujours l’Antichrist alors qu’il est déjà là comme système.
Mgr Strickland affirme que nous sommes au bord du précipice.
C’est tout.
Il n’y a personne d’autre du clergé qui se démarque comme un « Élie ».
Mais, la mort des deux témoins est étroitement relié au signe de Jonas, les trois jours au tombeau qui suivent leurs morts.
Et, le signe de Jonas est indissociable des 40 jours donné à Ninive pour se convertir, pour éviter la destruction.
Si on recule de 40 jours à partir du 16 janvier, alors nous devrions
avoir un « Élie » qui se manifeste le 7 décembre, juste avant la fête
de l’Immaculée Conception, fête dont Bergoglio bafoue depuis son
intronisation.
Bergoglio prépare-t-il une annonce qui provoquera définitivement le
schisme ( la guerre dans la mère de la prophétie du Jean XXIII du
7ème sceau)?
Pourquoi les habitants de la terre se réjouissent-ils à la mort des deux témoins?
À cause de la disparition de la messe Tridentine?
Pas vraiment.
Mais, cette étape est nécessaire au triomphe de Satan pour y substituer le messie judéo-maçonnique à venir.
En fait, les habitants de la terre se réjouissent de la conversion de
l’église conciliaire à l’humanisme depuis la libération des mœurs en
1968, parce que cette dernière a imposé des valeurs morales strictes
depuis l’Ascension de NSJC, ce code moral important pour passer le chas
de l’aiguille qui mène à la vie éternelle puisque le peuple n’est pas
assez mature pour aimer Dieu de toute ses forces et son prochain comme
lui-même.
Et cette libération des mœurs, cette réjouissance, connaît son apogée
avec le wokisme, qui a dominé la scène médiatique ces dernières années.
Ceux qui restent et espèrent à se réjouir sont du clergé.
Les autres se réjouissent déjà puisque c’est la grande apostasie et que Bergoglio a éliminé le péché.
C’est pourquoi nous voyons la montée en puissance de la reconnaissance
de l’homosexualité au sein des prêtres de l’église conciliaire.
C’est pourquoi que le nouveau prédicateur de Sainte-Marthe aime bien
trouvé des perles d’homosexualité dans la Bible pour ses sermons :
« Le nouveau prédicateur homophile du pape François
Le père Roberto Pasolini, nouveau prédicateur attitré du pape, invente une Bible homo
… La tendance, très marquée dans les milieux homosexuels, à découvrir
toujours et partout l’homosexualité, même au prix de devoir réécrire
toute l’histoire, est bien connue… » (benoit-et-moi.fr)
Que reste-t-il à faire pour que le document final du synode des synodes
devienne la base de la « nouvelle église », où « tous seront inclus »
pour citer Bergoglio, et qu’ainsi tous les « habitants de la terre » se
réjouissent, prêtres inclus?
Pour l’instant, c’est un mystère, mais il est évident que l’humanité
est de retour à Sodome et Gomorrhe, et au temps de Noé au déluge
lorsque la méchanceté des hommes était grande sur la terre, et que
toutes les pensées de leur cœur se portaient chaque jour uniquement
vers le mal.
« Car, sachez-le bien, aucun impudique, aucun impur, aucun homme cupide
(lequel est un idolâtre), n'a d'héritage dans le royaume du Christ et
de Dieu. » (Eph. 5, 5)
« Dehors les chiens, les magiciens, les impudiques, les meurtriers, les
idolâtres, et quiconque aime le mensonge et s'y adonne ! » (Apoc.
22, 15)
Novembre 2024
30 novembre
Voici
un aperçu de la philosophie russe sur la guerre en cours, alors que 39%
des russes dans un dernier sondage se disent favorables à l'utilisation
de l'arme nucléaire.
N'oublions que le patriarche Cyrille et le président russe sont d'anciens membres du KGB.
«
Malgré les discussions en cours du 25e Congrès du Conseil populaire
mondial russe concernant la doctrine du « monde russe » et ses
implications, le 26e Conseil a encore renforcé les relations étroites
entre le Patriarcat de Moscou et le Kremlin . La réunion a également
souligné le soutien de l'Église aux aspirations des dirigeants
politiques.
Le 28 novembre, le patriarche Cyrille de Moscou a présidé la réunion du
26e Conseil populaire mondial de Russie, intitulée « Le monde russe :
défis externes et internes ».
Dans son discours , le patriarche Cyrille a souligné le « modèle unique
d'interaction entre l'Église et l'État », soulignant son rôle central
dans la préservation des valeurs culturelles et spirituelles.
« Lorsque nous parlons de l'Orthodoxie comme d'une foi traditionnelle,
nous soulignons le rôle de l'Église en tant que gardienne vitale,
transmettant ces valeurs de génération en génération à travers sa
doctrine, ses prières et la formation des pensées et des croyances des
gens. Cela fait de l’Église un porteur indispensable de ces valeurs »,
a-t-il déclaré.
« Aujourd’hui, notre pays bénéficie d’un modèle sans précédent
d’interaction entre l’Église et l’État. Ce modèle garantit pleinement
la capacité de l'Église à sauvegarder et à transmettre ses valeurs aux
générations futures.
La forme actuelle de coopération est un rêve dont les générations
précédentes ne pouvaient que rêver. L'Église vit librement, sans
ingérence extérieure, tandis que l'État respecte sa mission.
Cette collaboration harmonieuse s'étend à l'éducation des enfants et
des jeunes, ainsi qu'à la promotion du climat spirituel et culturel de
la nation. Ensemble, nous visons à renforcer les valeurs essentielles à
la préservation de l’identité et de l’authenticité de nos citoyens.
Perdre ces valeurs signifierait perdre notre capacité à nous défendre
et à défendre notre patrie », a ajouté le patriarche Cyrille.
Dans ses remarques précédentes , le patriarche Cyrille a mis en
contraste sa focalisation antérieure sur les défis auxquels est
confronté le « monde russe »avec l'accent qu'il met actuellement sur
ses menaces les plus critiques.
« Parmi les menaces extérieures qui pèsent sur le monde russe, la plus
urgente aujourd’hui est l’opération militaire en cours. L'escalade
tragique du conflit fraternel entre la Russie et l'Ukraine est
constamment alimentée par des forces extérieures bien connues, qui ont
recours à la stratégie séculaire du diviser pour régner », a-t-il
déclaré.
Kirill
a notamment évité d'aborder le fait que le conflit a commencé avec
l'intervention militaire russe en Ukraine en 2014 , en commençant par
l' annexion de la Crimée .
Le patriarche Cyrille a attribué la guerre aux actions de « forces
extérieures » et l'a présentée comme un affrontement culturel et
spirituel plus large. « La Russie, l’Ukraine et la Biélorussie sont
perçues comme une épine dans le pied du monde occidental en raison des
valeurs que nous défendons, qui constituent le fondement de notre
identité spirituelle et culturelle », a-t-il affirmé.
Kirill
est allé -encore une fois- encore plus loin, en proposant une
justification du conflit , le présentant comme une défense de ces
valeurs. « Ces valeurs sont désormais héroïquement défendues par nos
soldats combattant dans la zone d’opérations militaires spéciales »,
a-t-il déclaré, bénissant ainsi la guerre qui ravage la région depuis
près de trois ans.
Le patriarche a également imputé la responsabilité du conflit au monde
occidental, l'accusant de ne pas vouloir « reconnaître le droit des
autres cultures à leur identité et à leur indépendance ». Il a ajouté :
« C'est évident dans l'escalade incessante, qui menace d'évoluer vers
une collision directe entre deux mondes. »
Le patriarche Cyrille s'est empressé d'exprimer sa gratitude à Dieu
pour la réponse mesurée du président russe Vladimir Poutine aux
provocations, louant son attitude calme. Dieu merci, le président
Poutine, conscient de sa responsabilité, fait preuve de prudence et de
sang-froid face aux provocations cyniques, tout en continuant à
progresser vers les objectifs fixés : protéger les intérêts légitimes
et justifiables de la Russie et du monde russe ", a-t-il déclaré. .
Abordant le sujet des menaces nucléaires – souvent évoqué par le
président russe – Kirill a fait remarquer qu'alimenter la peur avec des
scénarios apocalyptiques ou spéculer sur des questions nucléaires
manque de mérite spirituel. Il a exhorté les chrétiens à ne pas
craindre la soi-disant « fin du monde », mettant l'accent sur une
vocation plus élevée : « Nous attendons le Seigneur Jésus, qui viendra
dans une grande gloire pour détruire le mal et juger toutes les
nations. Toutefois, ça veut pas dire qu'on doit laisser le mal
triompher. Notre mission terrestre est d'être des guerriers du
Seigneur, luttant contre les forces du mal. C'est l'objectif de la
Russie.»
Le patriarche a également évoqué les défis sociétaux, notamment la
question de l'alcoolisme , qu'il a qualifié de stéréotype néfaste . «
Pendant des siècles, de faux récits sur la prétendue propension des
Russes à boire ont été perpétués et ancrés dans la conscience publique.
C'est faux ! Le peuple russe a toujours été travaillant et responsable.
Sans ces qualités, il aurait été impossible de bâtir une nation comme
la Russie », a-t-il déclaré.
Kirill a en outre exprimé sa gratitude au président Poutine pour avoir
favorisé une relation de coopération entre l'État et l'Église . « Je
tiens à exprimer mes sincères remerciements à notre président pour la
direction prise par nos dirigeants politiques vers la collaboration
avec l'Église orthodoxe russe, pour le développement d'un véritable
dialogue et d'un partenariat significatif. Puisse ce parcours continuer
à jeter les bases du progrès futur de notre pays et de relations encore
plus dynamiques et fructueuses entre l'Église et l'État », a-t-il
conclu. » (orthodoxtimes.com)
Le
président russe a fait l'apologie de son dernier missile en spécifiant
dernièrement qu'en groupant ces dits missiles dans une attaque, que
cela aurait le même effet qu'une bombe nucléaire, avec des températures
atteignant la température du soleil.
« La terre frisera le massacre » de la prophétie de Jean XXIII ne concerne plus uniquement l'arme nucléaire semble-t-il.
29 Novembre
L’ÉGLISE HUMANISTE
Bergoglio a affirmé (voir dernière analyse) que l'Église a été «
éclairée par le Saint-Esprit » pendant le processus du synode des
synodes et qu’il « souhaitait » que le document final du Synode
soit accepté comme faisant partie du Magistère de l'Église.
Mais le cardinal Müller ne l’entend pas ainsi :
« Les partisans de la soi-disant « Église synodale » sont coupables de
« péchés contre le Saint-Esprit » en essayant de renverser
l'enseignement catholique avec une « idéologie éveillée » et de «
subordonner l'Église du Dieu Trinité » à des programmes mondialistes
comme l'Agenda 2030, a dit le cardinal.
( LifeSiteNews
) — Le cardinal Gerhard Müller a déclaré que les partisans de la
soi-disant « Église synodale » sont coupables de « péchés contre le
Saint-Esprit ».
Dans un essai publié dans First Things , le cardinal Müller a critiqué
le concept moderne de « synodalité » du pape François, énumérant sept
façons dont « l'Église synodale » pèche contre le Saint-Esprit.
« Des factions ayant des arrière-pensées ont détourné le principe
traditionnel de synodalité, c'est-à-dire la collaboration entre les
évêques (collégialité) et entre tous les croyants et les bergers de
l'Église (basée sur le sacerdoce commun de tous les baptisés dans la
foi), pour faire avancer leur programme progressiste.
« En effectuant un virage à 180 degrés, la doctrine, la liturgie et la
moralité de l’Église catholique doivent être rendues compatibles avec
une idéologie néo-gnostique éveillée », a-t-il déclaré.
Dans une tentative de changer l'enseignement de l'Église sur le mariage
ou l'ordination des femmes, les partisans du Synode invoquent une
prétendue « communication directe entre le Saint-Esprit et les
participants au Synode », a poursuivi le cardinal Müller.
« Mais quiconque, en faisant appel à l'inspiration personnelle et
collective du Saint-Esprit, cherche à concilier l'enseignement de
l'Église avec une idéologie hostile à la révélation et avec la tyrannie
du relativisme se rend coupable à divers titres d' un « péché contre le
Saint-Esprit ». " (Matt. 12 :31 ; Marc 3 :29 ; Luc 12 :10) », a ajouté
le cardinal allemand.
« Le péché le plus courant » des sept péchés contre le Saint-Esprit «
est celui où l'origine et le caractère surnaturels du christianisme
sont niés afin de subordonner l'Église du Dieu Trinité aux buts et aux
objectifs d'un projet de salut mondain, qu'il soit écologique.
Le cardinal Müller a averti que c'est un péché contre le Saint-Esprit
de réinterpréter « l'histoire du dogme chrétien comme une évolution de
la révélation, reflétée dans l'avancement des niveaux de conscience
dans l'Église collective, au lieu de confesser la plénitude
insurpassable de grâce et de vérité en Jésus-Christ.
Il a expliqué que le pape et sa fonction d'enseignant « ne sont pas
au-dessus de la parole de Dieu, mais la servent, en enseignant
uniquement ce qui a été transmis ( Dei Verbum , 10). »
Le pape ne peut donc pas changer le dépôt de la foi, tel qu'il a été pleinement révélé en Jésus-Christ.
De plus, le cardinal Müller a déclaré que c'est un péché contre
l'Esprit Saint « lorsque l'unité de l'Église dans l'enseignement de la
foi est livrée à l'arbitraire et à l'ignorance des conférences
épiscopales locales (qui se développent doctrinalement à des rythmes
différents) sous prétexte d’une soi-disant décentralisation.
Citent l'œuvre de saint Irénée de Lyon contre les Gnostiques, le
cardinal écrit : « Bien que dispersée dans le monde entier, jusqu'aux
extrémités de la terre… l'Église catholique possède une seule et même
foi dans le monde entier (Irénée de Lyon, Contre Hérésies , livre I,
10, 1-3).
Les remarques du cardinal Müller font probablement référence à la
conférence des évêques allemands, dont la majorité a approuvé des
textes hérétiques pro-LGBT et d'autres textes lors de la « Voie
synodale » des évêques allemands.
Dans une référence probable aux « annulations » injustes par le pape
François, telles que la destitution de Mgr Joseph Strickland de son
diocèse de Tyler, au Texas, et de Mgr Daniel Fernández Torres de son
diocèse d'Arecibo, à Porto Rico, le cardinal Müller a dit :
C'est un péché contre le Saint-Esprit, qui, par le sacrement de
l'Ordre, a nommé des évêques et des prêtres comme pasteurs de l'Église
de Dieu (Actes 20 :28), de les déposer, ou même de les séculariser, à
sa seule discrétion.
Le cardinal a aussi critiqué la politisation de l'Église selon la «
philosophie révolutionnaire » et les idées de la Révolution française
comme un péché contre le Saint-Esprit :
C'est un péché contre le Saint-Esprit lorsque la division politique et
idéologique de la société depuis les Lumières européennes et la
Révolution française est incorporée dans une philosophie réparatrice ou
révolutionnaire de l'histoire et lorsque l'Église une, sainte,
catholique et apostolique est ainsi paralysée par opposant en interne
les factions « progressistes » aux factions « conservatrices ».
L'ancien chef du CDF a conclu son essai en rappelant aux fidèles de
mettre leur confiance uniquement en Jésus-Christ et non dans les
idéologies modernistes « éveillées ».
« Quiconque veut vraiment entendre ce que l'Esprit dit à l'Église ne
s'appuiera pas sur des inspirations spiritualistes et des platitudes
idéologiques éveillées, mais placera toute sa confiance, dans la vie et
la mort, uniquement en Jésus, le Fils du Père et le Oint du
Saint-Esprit », a déclaré le cardinal Müller.
Il a conclu en citant l'Évangile de saint Jean : « Ceux qui m'aiment
garderont ma parole, et mon Père les aimera, et nous viendrons vers eux
et ferons notre demeure avec eux… Mais l'Avocat, l'Esprit Saint, qui le
Père enverra mon nom, vous enseignera tout et vous rappellera tout ce
que je vous ai dit. (Jean 14 :23-26)
»
Nous mettons l’article du blog d’Aldo Maria Valli, même si en italien, pour montrer la photo de la nouvelle église de Berlin (et l’autel païenne ) et traduisant les paroles de l’archevêque de Berlin lors de l’inauguration :
« Aucun dieu sombre n'est pas à l'œuvre ici et menaçant. L'esprit
d'hospitalité règne ici. L'Église doit être un lieu d'ouverture pour
les croyants, y compris ceux des autres religions, ainsi que pour les
non-croyants. Et aussi pour tous ceux qui veulent juste relaxer ».
C’est bien l’église humaniste.
Où tous sont inclus selon Bergoglio.
Le péché n’existant plus, et où les valeurs inversées sont la norme.
Le Saint-Esprit est invoqué lorsqu’ils en ont besoin pour modifier la doctrine.
La Tradition devient hors norme.
Elle est la menace à la nouvelle église.
C’est l’église inversée.
27 novembre
La prophétie #11 de l’église, le septième sceau, confirme le
début de la guerre : « S'affronteront croissant de lune, étoile et
croix. »
Alors qu’il y a guerre aussi au sein de l’Église.
Pourquoi la guerre?
Parce que l’élite judéo-maçonnique a comme principe de faire naître
l’ordre par le chaos, la peur, et aussi parce la guerre représente un
sacrifice de masse.
« L'élite judéo-maçonnique ne peut attendre trop longtemps. Leur messie
doit venir par un sacrifice sanglant, le sacrifice de l'humanité pour
la survie de l'élite et sa progéniture. » écrivions nous le 6 novembre
dernier.
« Le basculement d’un monde dans une étape supérieure passe par un
sacrifice expiatoire égal à l’obtention d’un « bien » défini selon les
critères des thuriféraires du système pharisaïque. S’agissant de
l’établissement d’une gouvernance mondiale, ce « bien » ne peut être
adoubé que d’une manière holocaustique. » (Pierre Hillard, Des origines
du mondialisme à la grande réinitialisation, p.251)
Aujourd’hui, le monde retient son souffle avec la nouvelle du cessez-le-feu au Liban.
Or, Israël confirme que c’est pour mieux se concentrer sur la menace iranienne.
Du côté de l’Ukraine, l’État profond fait tout ce qui est en son
pouvoir pour augmenter la tension avec la Russie, malgré
l’avertissement donnée par cette dernière avec le lancement de missiles
balistiques supersoniques (sans charge nucléaire) sur l’Ukraine, une
première dans toute l’humanité.
« Pour la 1ère fois de l’histoire, la Russie tire un missile nucléaire ICBM sur l’Ukraine sans charge ! ». (insolentiae.com)
« Guerre. Point de situation. A 2 doigts de la catastrophe majeure ! ». (insolentiae.com)
Face à cette escalade, au lieu de prendre la voie diplomatique, la
France décide d’envoyer des missiles SCALP à « longue portée » à
l’Ukraine tout en précisant que l’envoi de troupes au sol n’est pas
exclu.
« L'Europe a soif, elle aura du sang dans les rues .» (prophétie politique #22 « Grand Éclair à l’Orient »).
« Selon le New York Times , les responsables américains
et européens ont discuté d'une série d'options
qui, selon eux, dissuaderaient la Russie de s'emparer davantage de
territoire ukrainien, notamment en dotant Kiev d'armes nucléaires.
» (zerohedge.com)
Signes qu’on prépare le pire de la guerre, la Suède, la Finlande, et la
Norvège ont envoyé un livret à leurs populations concernant la manière
de survivre à la guerre.
L’Allemagne recense ses bunkers et demande à la population de préparer leurs propres abris à la maison.
« L’Allemagne recense ses bunkers… j’espère que vous avez une bonne cave ! » (insolentiae.com)
« Finlande et Suède encouragent la population à se préparer à la guerre ! » (insolentiae.com)
« L'OTAN relance les discussions sur l'envoi de troupes européennes en
Ukraine et avertit les dirigeants du monde des affaires de se préparer
à un « scénario de guerre » »
(zerohedge.com)
Et on avertit les entreprises européennes d’être prêtes à entrer dans une économie de guerre.
C’est le cas des gouvernements allemands et néerlandais.
«Chef de l’Otan ” les entreprises doivent être prêtes à la guerre” » (insolentiae.com)
« L’armée allemande prépare les entreprises à la guerre ! » (insolentiae.com)
L’élite judéo-maçonnique veut son messie.
Avant l’entrée en scène de Trump.
«... si contre toute attente Trump est élu, la situation sera
insupportable pour le comité des 300, tous leurs projets annoncés
tombant à l’eau, donc ils sont capables de tout envoyer en l’air »
(Louis D’Alencourt – grandreveilwordpress.com – projet 47)
C’est la raison de tous ces avertissements de la dernière semaine.
Tout s’accélère.
Même avec Bergoglio, qui veut le chaos le plus rapidement possible.
Les deux Babylone agissent bien de pair, comme dans les prophéties de Jean XXIII.
« ( LifeSiteNews ) – Le pape François souhaite que le document final du Synode soit accepté comme faisant partie du Magistère de l'Église.
Ce matin, le pape François a publié une « note » officielle pour
accompagner son « Document final de la 16e Assemblée générale ordinaire
du Synode des évêques », c'est-à-dire le document final du Synode sur
la synodalité, qui comprenait un nombre important de non-évêques.
Dans sa « Note », le Pape a demandé que le contenu de ce « Document
final » soit accepté comme faisant partie de son Magistère,
c'est-à-dire de son enseignement faisant autorité en tant que
Successeur de Pierre, chef terrestre de l'Église chrétienne – ou, en
tant que pape François s'est décrit comme « l'évêque de Rome ».
Dans l' original italien , le pape François a salué les
années de rencontres qui ont eu lieu avant le Synode, affirmant
qu'elles comprenaient « l'écoute du peuple de Dieu et le discernement
des pasteurs ». Il a aussi dit que l'Église a été « éclairée par le
Saint-Esprit » pendant le processus.
Reconnaissant
la valeur du chemin synodal accompli, je remets maintenant à toute
l'Église les orientations contenues dans le Document
final , comme retour de ce qui a mûri au cours de ces années, à
travers l'écoute et le discernement, et comme orientation faisant
autorité pour sa vie et sa mission », a-t-il ajouté.
«
Le Document final participe au Magistère
ordinaire du Successeur de Pierre (cf. CE 18 § 1 ; CCC 892) et à ce
titre je demande qu'il soit accepté. Il s'agit d'une forme d'exercice
de l'enseignement authentique de l'évêque de Rome qui présente des
caractéristiques nouvelles, mais qui correspond en fait à ce que j'ai
eu l'occasion de souligner le 17 octobre 2015, lorsque j'affirmais que
la synodalité est le cadre interprétatif approprié pour comprendre le
ministère hiérarchique .»
Tout
en affirmant que le document nécessiterait « plusieurs médiations »,
François a précisé que « [l]es Églises locales et les groupements
d'Églises sont désormais appelés à mettre en œuvre, dans leurs
différents contextes, les instructions faisant autorité contenues dans
le Document , à travers les processus de discernement
et la prise de décision prévues par la loi et par
le document lui-même.
Cette histoire se développe…. »
20 novembre
L’ANGE EXTERMINATEUR
« Il y en aura beaucoup qui seront purifiés, blanchis et
éprouvés ; et les méchants feront le mal, et aucun méchant ne
comprendra ; mais les intelligents comprendront. » (Daniel, 12,10)
La lettre de mgr Strickland dans la dernière analyse confirme que nous arrivons à la fin de la sixième période de l’Apocalypse.
« Vous êtes réunis ici aujourd'hui, apôtres d'aujourd'hui, alors que
l'Église et, par conséquent, le monde sont perchés au bord d'une
falaise. » (Mgr Strickland)
Rappelons à ce stade le calendrier de la fin des temps dans l’ordre chronologique dans l’Apocalypse:
1) Mort des témoins (3,5 jours)
2) Résurrection des témoins
Fin de la sixième période.
Entrée dans la 7ème période :
« Et quand l'Agneau eut ouvert le septième sceau, il se fit dans le
ciel un silence d'environ une demi-heure. » (Apocalypse, 8-1)
3) Mort de l’Antéchrist
4) Chute de Babylone (3ème malheur, Ap. 11, 14)
5) Retour du Christ
6) Jugement dernier
La
sixième période de l’Apocalypse, celle de l’Antéchrist, se termine donc
par une résurrection, celle des témoins, avant l’enclenchement du 777
(7ème sceau, trompette et coupe) où le mystère divin s’accomplit : mort
des bêtes et du dragon, chute de Babylone et Jugement dernier.
La fin de sixième période est caractérisée par la sixième trompette, qui à l’évidence, est la grande guerre au Moyen-Orient.
La confirmation de la mort de l’Église/deux témoins est donc imminente.
Les conséquences du synode amazonien permettant n’importe quoi à la messe est en marche en Amérique du Sud, et au Mexique.
« Le Vatican approuve le rite maya avec danse rituelle, encenseurs féminins et direction laïque des parties de messe. » (lifesitenews.com)
Et les États-Unis autorisent l’utilisation des missiles longues portées en Ukraine.
Poutine a toujours affirmé que cette autorisation constitue un acte de
guerre directe de l’OTAN, puisque ces armes sophistiquées ne peuvent
être manipulées que par les pays les fournissant.
L’Ukraine a utilisé ces armes pour la première fois hier, et Poutine a
signé un décret qui modifie la doctrine militaire nucléaire, même si la
Russie n’est pas attaqué par de telles armes.
Stratégiquement, drainer les ressources russes, et maintenant, nord
coréennes en Ukraine, diminue la capacité d’une intervention russe
autour d’Israël.
On se rapproche de la « terre frisera le massacre » de Jean XXIII, forçant la guerre de la nature par le Père.
On ne connaît ni le jour ni l’heure, mais on peut affirmer que plus
nous avançons dans le calendrier de la fin des temps, plus les signes
du figuier donné par NSJC sont évidents, rapprochant ainsi de plus en
plus l’ouverture du 7ème sceau.
Ce n’est plus une question d’années, mais de mois (peut-être de jours
puisque l’élite judéo-maçonnique veut en finir avant l’arrivée de Trump
au pouvoir; c’est un sacrifice de masse), au plus, 15 mois avant le
mois de mai des deux lunes de 2026 prophétisé par Don Bosco pour le
retour du Lys de Paix (voir analyses précédentes).
La septième trompette, c’est la moisson finale, le châtiment et les trois jours de noirceur prophétisés.
De la mort et de la résurrection des deux témoins, passant par la chute
de Babylone et la mort de l’Antéchrist, menant au Jugement suite au
7ème sceau, ce sera très court.
N’oublions pas que NSJC nous a spécifié que nous n’aurons comme signe
que le signe de Jonas (voir analyses précédentes), c’est à dire trois
jours dans le ventre du poisson (ou au tombeau concernant la Passion de
l’Église à l’image de la Passion du Christ).
Pourquoi?
Parce que nous revivons l’époque moderne des pharisiens qui ne voulaient par accepter Jésus le Messie.
Nous ne le méritons pas.
Même le Vatican n’est même pas capable de reconnaître les signes des temps et guider efficacement les brebis.
Seuls quelques « deux témoins » du clergé traditionnel avertissent que c’est la fin des temps.
C’est la Pâque de l’humanité à l’image de la Pâques du Christ et du peuple hébreu en Égypte.
Louis D’Alencourt (grandreveil.wordpress.com) :
« Le Seigneur Dieu choisit de mourir au moment de la Pâque juive, très
exactement la veille de la Pâque, c’est dans tous les évangiles. La
date de la Rédemption du monde, par cette mort sur la croix aussi
providentielle que mystérieuse, se situe au 14 Nizan. C’est un fait
indéniable que personne ne nie ou remet en cause.
Rappelons que la Pâque juive est la commémoration de la sortie d’Égypte
sous la direction de Moïse. Dans la nuit du 14 au 15 Nizan, la
dixième plaie s’abat sur l’Égypte : le passage de l’ange
exterminateur qui met à mort tous les premiers nés d’Égypte, des hommes
au bétail. Ce sera la dernière plaie, qui décide le Pharaon à laisser
partir les Hébreux la nuit même.
Voilà donc le secret de la Semaine Sainte, et dont nous
devons tenir compte si nous effectuons un parallèle avec notre temps
: entre la mort du Christ et sa Résurrection, il y a le passage de
l’ange exterminateur, la dixième plaie d’Egypte – et c’est cet
événement qui va provoquer la libération du peuple de Dieu.
Or, les théologiens nous expliquent que le jour de la Présentation au
Temple..., « Siméon prophétise que le Seigneur sera, comme
l’ange exterminateur, un signe de contradiction : délivrance pour
ceux qui l’accueillent, châtiment pour les autres. »
Il se trouve que c’est exactement ce que nous dit aussi l’Apocalypse
car en réalité, sortir de Babylone, cri de l’ange avant la chute de la
ville, équivaut à sortir d’Égypte. C’est la même signification.
C’est à dire que les enfants de Dieu, après la mort de l’Église mais
avant sa Résurrection, qui correspond en réalité à la Résurrection des
témoins, seront invités à sortir de Babylone -appelée
d’ailleurs Égypte et Sodome au chapitre 11- au moment du passage
de l’ange exterminateur. »
Les trois jours de ténèbres sont à l’image de la 9ème plaie d’Égypte avant le passage de l’ange exterminateur.
L’ange exterminateur interviendra à l’ouverture du 7ème sceau, pour purifier la terre.
La rapidité des derniers événements du calendrier de la fin des temps
est « le temps d’un éclair » : « Car, comme l'éclair part de
l'orient et brille jusqu'à l'occident, ainsi en sera-t-il de
l'avènement du Fils de l'homme. » (Matthieu 24, 27)
Parce que sinon les élus ne survivraient pas à la mort de l’âme (les morts envierons les vivants nous affirme-t-on).
Pour identifier le signe de Jonas à venir, selon NSJC, nous n’avons que
le signe du figuier : l’abomination de la désolation sur le trône
(c’est accompli), la guerre finale (elle est entamée), et la prêche des
deux témoins au même titre que la durée de la bête : 42 mois (1260
jours).
Pouvons-nous relier la prêche et la mort des deux témoins à un événement récent?
Effectivement.
Traditionis Custodes (publié le 16 juillet 2021 en la fête de ND du
Carmel, figure de la dernière apparition de Fatima) interdisant la
messe tridentine.
C’est bien à ce moment précis que plusieurs (même s’ils sont peu
nombreux) se sont élevés pour défendre la Tradition (dont Mgr
Strickland qui a perdu la charge de son diocèse parce qu’il célébrait
la messe traditionnelle).
Or, si on y ajoute 42 mois nous nous retrouvons au 16 janvier 2025 selon l’échéancier de l’Apocalypse.
Et, 4 jours plus tard, aura lieu l’assermentation du président américain.
Nous l’avons vu dans l’analyse «Projet 47 », le 20 janvier 2025,
c’est l’échéance du plan judéo-maçonnique : la venue du messie
juif.
« Parce que les élites juives, civiles et rabbiniques, ont demandé
à l’ensemble des juifs du monde de réciter une prière mondiale pour
demander le Messie le 21 février 2021 : ce jour-là, tous les juifs
du monde devaient réciter la même prière à la même heure, 18h heure de
Jérusalem.
Or le 21 février 2021 est distant de 47 mois, au jour près, du 20 janvier 2025. » (Louis D’Alencourt – Grand Réveil)
Le 47 est le chiffre du Saint Nom de Jésus.
Les deux témoins ont eu la chance de défendre la messe tridentine et l’Église catholique durant ces 42 mois.
Quels sont les quelques autres événements en 2021 pour démontrer que la
bête est « sortie des eaux (Apocalypse) » et qu’elle règne à la vue de
tous?
-Le drame du 6 janvier 2021 au Capitole.
-Le cardinal Sarah qui a été écarté comme préfet de la Congrégation pour le culte divin et la discipline des sacrements en 2021.
Il était probablement un obstacle à la nouvelle messe en préparation.
Il fut punit pour la sortie de son livre dont la préface avait été
signée par Benoît XVI tout juste avant le rapport amazonien qui voulait
redéfinir le sacerdoce.
-Le signe visible de « La bête » est le « Gardien de la paix aux Nations-Unies » le 9 novembre 2021.
-Interdiction de la messe en latin dans la basilique Saint-Pierre :
« CITÉ DU VATICAN, 30 juin 2021 ( LifeSiteNews ) — Le Vatican
a décidé d’interdire le latin, la langue traditionnelle de l’Église
catholique, de la célébration de la plupart des messes dans la
basilique Saint-Pierre. »
-L’ouverture du synode des synodes :
« Chers frères et sœurs, que ce Synode soit un véritable temps de
l'Esprit ! . . . Le Père Congar, de mémoire bénie, a dit un jour : « Il
n'est pas nécessaire de créer une autre Église, mais de créer une
Église différente » ( Vraie et fausse réforme dans l'Église ). C'est le
défi. » (François, 9 octobre 2021, Discours d'ouverture du Synode)
LES TROIS JOURS DE NOIRCEUR
Où trouve-t-on les signes de la chute de Babylone/ les trois jours de noirceur?
-Jean XXIII : « bats le rappel de tes fils dans les campagnes,
pour qu'ils abattent les deux Babylone. Et que la Mère soit Une, comme
toi tu es unique. La terre détruira le ciment et de terre sera, Reine,
ta nouvelle Église. »
-
La Salette : « Voici la bête avec ses sujets se disant le
sauveur du monde. Il s’élèvera avec orgueil dans les airs pour aller
jusqu’au Ciel ; il sera étouffé par le souffle de saint Michel
archange. Il tombera, et la terre qui, depuis trois jours sera en de
continuelles évolutions, ouvrira son sein plein de feu ; il sera plongé
pour jamais avec tous les siens dans les gouffres éternels de
l’enfer. »
- Jean-Paul II (AVANT la publication du faux troisième secret de Fatima
en 2000) : Une interview de Jean-Paul II donnée en Allemagne en
novembre 1980, publiée dans la revue Stimme des Glaubins, dans laquelle
on va retrouver des détails précis du texte de sœur Lucie :
Question : Et le troisième secret de Fatima, il aurait dû être révélé en 1960 ?
Jean-Paul II : Vu le sérieux de son contenu, mes prédécesseurs ont
diplomatiquement choisi de reporter sa publication pour ne pas
encourager les puissances communistes à faire certains mouvements. D'un
autre côté, la suite devrait suffire à tous les chrétiens : s'il y a un
message dans lequel il est écrit que les océans inonderont des zones
entières de la terre, et qu'à un moment des millions de gens mourront,
il va de soi que publier un tel texte n'est pas souhaitable.
- Padre Pio et tous les prophètes sur les trois jours de noirceur (voir le lien dans l’analyse du 14 novembre 2024)
- Notre Seigneur Jésus à Lucie (1917) (Du livret « Abba, Père » : extrait du message page 31) :
« Voici
l’heure de l’agonie. Voici l’heure de l’abandon, du reniement…Voici
l’heure des trois jours de ténèbres, des trois jours de la mise au
tombeau. Vis ce temps de détresse dans l’attente de la
résurrection ».
La Terre entrera en convulsions.
Le phénomène des trois jours de ténèbres est un renouveau terrestre
pour la naissance de la Jérusalem Céleste, pour les âmes pures qui
resteront.
Très rapide.
On l’a vu ci-haut.
L’ange exterminateur passe avant la résurrection, avant la fin des
trois jours de noirceur, et le pharaon a libéré le peuple hébreu la
nuit même du passage de l’ange exterminateur.
C’est donc dire qu’il y aurait juste AVANT la résurrection des deux
témoins (qui confirme la fin de la sixième période du calendrier de la
fin des temps) : l’entrée dans la 7ème période, la mort de
l’Antéchrist et la chute de Babylone.
Tout cela en TROIS JOURS!
Nous avons eu comme avertissements des aurores boréales intenses le 13
mai et le 13 octobre 2024 reliées aux dates de début et fin des
apparitions de la Vierge Marie à Fatima.
Réitérons qu’en 1917 où tous voyaient le miracle du soleil, sœur Lucie
voyait la Sainte Famille et les trois figures de Marie : Notre-Dame du
Rosaire qui s’éleva au firmament à côté du soleil, joints par
Saint-Joseph et l’Enfant Jésus qui bénissaient le monde, puis Marie
devint Notre-dame des Douleurs, joint par Jésus qui bénissait à son
tour le monde, puis Marie devient Notre-Dame du Carmel.
C'est à l'image que les élus verront la délivrance dans les châtiments alors que les non croyants verront leurs fins atroces.
La dernière apparition se termine par ND du Carmel.
Or le Carmel, c’est aussi le 16 juillet 1878 pour la 18ème et dernière apparition à Lourdes.
Cela fera 147 ans en 2025.
Et 147 divisé par 3,5 donne 42 pile.
N’oublions pas que la fête du Carmel du 16 juillet est liée au prophète
Élie (Élie, le précurseur, voir analyse du 8 avril 2022).
Dans le livre des rois, Élie a le pouvoir de faire pleuvoir, ou bien de
retenir la pluie, tout comme les 2 témoins de l’Apocalypse, c’est à
dire d’ouvrir le passage pour recevoir les grâces sanctifiantes en
cette fin des temps.
Énoch et Élie représentent les deux témoins de l’Apocalypse, les deux colonnes dans le songe de Don Bosco sur la fin des temps.
Ce qui est confirmé à la Salette :
« L’Église sera éclipsée, le Monde sera dans la consternation. Mais
voilà Énoch et Élie remplis de l’Esprit de Dieu ; ils prêcheront avec
la force de Dieu et les hommes de bonne volonté croiront en Dieu et
beaucoup d’âmes seront consolées ; ils feront de grands progrès par la
vertu du Saint-Esprit et condamneront les erreurs diaboliques de
l’Antéchrist. »
Le chiffre 16 est un chiffre important.
Il représente la Résurrection.
Nous avons vu ci-haut que Jésus est crucifié le jour de la préparation
de la Pâque, c’est à dire, dans le calendrier mosaïque, le 14 Nizan,
puisque la Pâque a lieu dans la nuit du 14 au 15 Nizan.
C’était un vendredi puisque le lendemain, jour de la Pâque, tombait cette année là sur un jour de sabbat, donc un samedi.
Nous savons, toujours par les évangiles, que Jésus meurt à la 9ème
heure (15h) le 14 Nizan puis est mis au tombeau avant la nuit pour
ressusciter le troisième jour, à savoir le 16 Nizan au petit matin.
La résurrection à l’aube du 16 nous donne la preuve de la divinité de NSJC.
Nous avons vu que le 16 juillet, c’est aussi la date de publication de
Traditionis Custodes en 2021, tentative vaine pour essayer de faire
taire ce qui reste des deux témoins.
Notre-Dame du Carmel est fêtée le 16 juillet.
Le prophète Élie est fêté le 20 juillet.
Il y a trois jours et demi entre les deux fêtes…
DEUX dates importantes donc.
Récapitulons :
Le signe du figuier en Matthieu 24 se précise.
Nous entrons dans un temps très critique.
Que nous indiquent les 16 juillet et 20 juillet 2021?
Le début possible de la prêche de 42 mois des deux témoins nous menant jusqu’à leur mort/mort de l’Église?
Ce qui serait le 16 janvier 2025.
Les deux témoins étant liés à Élie, ressusciteront-ils 3 jours après la mise au tombeau, comme le Christ?
Le 20 janvier 2025… ou juste avant la venue du messie judéo-maçonnique?
Nul ne le sait.
Mais…
« Par une froide nuit d’hiver » (Padre Pio, le début des trois jours de noirceur).
16 novembre
Lettre
de Mgr Strickland aux évêques réunis à Baltimore dernièrement,
confirmant les propos des dernières analyses et l’urgence de la
situation :
La mort de l’Église à venir.
( LifeSiteNews ) — Chers évêques,
Vous
êtes réunis ici aujourd'hui, apôtres d'aujourd'hui, alors que l'Église
et, par conséquent, le monde sont perchés au bord d'une falaise.
Et
pourtant, vous qui êtes chargés de la garde des âmes, choisissez de ne
pas dire un mot du danger spirituel qui abonde. Aujourd'hui, nous
sommes à l'aube de tout ce qui a été prophétisé sur l'Église et les
abominations qui surgiraient en ces temps, une époque où tout l'enfer
attaquerait l'Église de Jésus-Christ, et une époque où les anges déchus
de l'enfer ne cherchent pas à entrer dans ses salles sacrées, mais
restez à l'intérieur, regardant par les fenêtres et déverrouillant les
portes pour accueillir une destruction plus diabolique.
Je pense que saint Jude pensait à des hommes comme beaucoup d'entre
vous lorsqu'il décrivait des hommes qui se régalaient « ensemble sans
crainte, se nourrissant eux-mêmes, nuages sans eau, emportés par
les vents, arbres d 'automne infructueux, deux fois morts, arrachés par
les racines, vagues déchaînées de la mer, écumant leur propre confusion
; étoiles errantes… » (Jude 1 : 12-13).
Beaucoup
de gens se demandent ce qu’il faudra pour que plusieurs évêques
s’élèvent enfin contre les faux messages qui circulent constamment du
Vatican sous la direction du pape François, et je me pose sans cesse la
même question :
QU'EST-CE QU'IL FAUT FAIRE ?
Ne
savez-vous pas que Notre-Seigneur enverra ses anges vengeurs pour
accumuler des charbons ardents sur la tête de ceux qui ont été appelés
à être ses apôtres et qui n'ont pas gardé ce qu'il leur a donné ?
Et
pourtant, presque tous, mes frères, avez assisté silencieusement au
déroulement du Synode sur la Synodalité, une abomination construite non
pas pour garder le dépôt de la foi mais pour le démanteler, et pourtant
peu de cris ont été entendus de votre part , hommes qui
devraient être prêts à mourir pour le Christ et son Église.
Le
document final du Synode a été publié, mais avec le tour de passe-passe
si caractéristique du Vatican contrôlé par François. En attirant
l'attention sur des questions qui préoccupaient beaucoup, ils ont
glissé dans ce qui a toujours été leur véritable objectif, sans que
personne ne s'en aperçoive. Ce qu'ils recherchaient en premier lieu,
c'était le démantèlement de l'Église du Christ en remplaçant la
structure de l'Église telle que Notre Seigneur l'a instituée par une
nouvelle structure de « synodalité » d'inspiration diabolique qui est
en réalité une nouvelle église qui n'est en aucun cas catholique.
Nous
voyons maintenant se dérouler sous nos yeux les paroles prophétiques du
vénérable archevêque Fulton Sheen : « Parce que sa religion sera la
fraternité des hommes sans la paternité de Dieu, il établira une
contre-Église qui sera le singe de l'Église, parce que lui, le Diable,
est le singe de Dieu. Elle aura toutes les notes et caractéristiques de
l’Église, mais à l’envers et vidée de son contenu divin, elle sera un
corps mystique de l’Antéchrist qui ressemblera en tous points au corps
mystique du Christ… » (Radiodiffusion ; 26 janvier , 1947).
Avec la pression en faveur de la « synodalité », nous voyons que les
ennemis du Christ nous proposent, comme le dit l'archevêque Sheen : «
une nouvelle religion sans croix, une liturgie sans monde à venir, une
religion pour détruire une religion, ou une la politique qui est une
religion – une religion qui rend à César même les choses qui
appartiennent à Dieu.
QU'EST-CE QU'IL FAUT FAIRE ?
Une
compréhension rudimentaire de la papauté nous laisse avec la réalité
que le pape François a abdiqué sa responsabilité de servir de gardien
principal du dépôt de la foi. Chaque évêque fait cette promesse
solennelle de garder le dépôt de la foi, mais l'office pétrinien existe
avant tout pour être le gardien des gardiens et le serviteur des
serviteurs. Saint Pierre a reçu la charge qui porte son nom lorsque,
après la Résurrection, le Christ lui a demandé trois fois : «
M'aimes-tu ? et saint Pierre répondit : « Tu sais que je t'aime »,
guérissant ainsi sa trahison alors que le Christ endurait sa
Passion. Et qui est ce Jésus que Pierre prétend aimer ? Il est
bien sûr la Vérité Incarnée ; ainsi saint Pierre déclare qu'il aime la
Vérité. Cela nous laisse avec cette question : « Le pape François
aime-t-il la Vérité incarnée par Jésus-Christ ? Malheureusement, ses
actions et sa politique qui promeuvent une version relativisée de la
vérité qui n'est pas du tout la vérité nous amènent à une conclusion
dévastatrice : l'homme qui occupe la Chaire de Saint-Pierre n'aime pas
la vérité et cherche à la remodeler à l'image de la vérité.
Il
ne peut y avoir aucun évêque qui ignore les déclarations du pape
François qui constituent des dénégations sans ambiguïté de la foi
catholique. Par exemple, François a déclaré publiquement que Dieu veut
l'existence de toutes les religions et que toutes les religions sont un
chemin vers Dieu. Dans cette déclaration, le pape François a nié faire
partie intégrante de la foi catholique. Combien d'âmes seront perdues
si elles acceptent sa déclaration erronée selon laquelle toutes les
religions mèneront au salut ? Ce que je trouve si difficile à
comprendre, c'est que les apôtres des temps modernes, des hommes
ordonnés pour être les gardiens de la foi, refusent de reconnaître cela
et ignorent ou même promeuvent ce mensonge mortel. Chaque évêque et
cardinal devrait déclarer publiquement et sans équivoque que François
n'enseigne plus la foi catholique. Des âmes sont en jeu !
Par conséquent, je demande encore :
QU'EST-CE QU'IL FAUT FAIRE ?
En
tant que successeurs des Apôtres, cette situation doit obliger les
évêques de l’Église du Christ à répondre nous-mêmes à la question
centrale : « Aimons-nous vraiment Jésus-Christ, la Vérité incarnée ?
Avec un pape qui s'oppose activement aux vérités divines de notre foi
catholique, la responsabilité incombe aux évêques du monde de professer
leur propre amour pour Notre Seigneur, de garder le dépôt sacré de la
foi et de s'opposer à toute tentative de démanteler la Vérité.
Revenons
à la conversation fatidique entre notre Seigneur ressuscité et saint
Pierre. Lorsque Pierre répond : « Seigneur, tu sais que je t’aime »,
Jésus répond : « Pais mes agneaux » et encore « Pais mes brebis ».
Comment Pierre doit-il nourrir les agneaux du Christ ? Avec la Vérité
bien sûr – avec Jésus-Christ Lui-même qui EST la Vérité.
Et
pourtant, où sont ces hommes que le Seigneur a appelés pour faire
paître ses brebis ? Où sont les successeurs des Apôtres qui ont promis
de défendre les brebis au prix de leur vie ? Ils sont assis à quelques
mètres de là, se tapotant le dos, écoutant des paroles dont ils savent
sans aucun doute qu'ils ne sont pas la Vérité, gambadant dans les
ténèbres et blasphémant la Vérité même pour laquelle les premiers
apôtres sont morts.
QU'EST-CE QU'IL FAUT FAIRE ?
Vous
avez des paroles de ceux qui ont parlé dans la Sainte Écriture, de la
sagesse de la Sainte Tradition de l'Église et des conseils d'anciens
papes et d'une grande multitude de saints selon lesquels de faux
enseignants viendraient et que la sainte la foi serait attaquée, et
pourtant la plupart d'entre vous sont partis au combat sans armure, et
ont ensuite réagi comme quelqu'un de perplexe que sa peau ait été
transpercée par des flèches empoisonnées. Vous avez reçu tout ce qui
était nécessaire pour vous assurer que vos têtes ne soient pas tournées
par les mensonges de Satan. Pourquoi donc êtes-vous sortis sans
l'armure de Dieu ? Il est de VOTRE responsabilité, lorsque vous voyez
des flèches empoisonnées du mensonge tomber sur les hommes, de les
appeler et de leur dire : « Revêtez l'armure de Notre Seigneur qui est
la Vérité, et vous ne serez pas blessé. »
Et aux fidèles, je pose la même question :
QU'EST-CE QU'IL FAUT FAIRE ?
Et
si vos bergers ne se mobilisent pas ? Et s'ils avaient tous accepté
trente pièces d'argent, et qu'ils restaient silencieux face au mensonge
qui transperce encore davantage les mains et les pieds de
Notre-Seigneur ? Alors, qu'est-ce qu'il faudra pour que vous
parliez ?
Beaucoup pourraient dire que ce n’est pas votre responsabilité ;
vous pouvez vivre la Vérité tranquillement dans votre cœur. Cependant,
dire la Vérité ne peut jamais relever simplement de la responsabilité
de quelqu'un d'autre, car Dieu a gravé la Vérité dans le cœur de chaque
personne. La Vérité est donc la propriété de chacun en tant que don
sacré de Dieu. Et personne ne pourra jamais dire qu'il n'y a pas de
Vérité en eux – et jamais un homme ne pourra prétendre à juste titre
que pour trouver la Vérité, il a dû la recueillir du vent, ou qu'il ne
pouvait la recueillir que des paroles d'un autre. L'âme reconnaît la
Vérité et s'en nourrit, et ceux qui dépérissent par manque de Vérité ne
dépérissent pas parce qu'aucune part de Vérité ne leur a été donnée
dans leur propre âme.
En
fait, la Vérité a été réprimée encore et encore par une telle personne
– et on lui a si souvent dit de « se retirer » – jusqu’à ce qu’elle
n’ose plus relever la tête. Et c'est pourquoi un homme se trouve dans
un état si triste et pourquoi lorsqu'il s'écrie : « Ce n'est pas ma
faute si je n'avais pas de Vérité ou si je ne la connaissais pas quand
je l' j'ai rencontré », il parle dans l'erreur.
Notre
Seigneur Jésus-Christ, accordant le libre arbitre à ceux qu'il aime,
c'est-à-dire à chaque personne sans exception, a donné le don de la
Vérité à chacun d'entre nous, de sorte que s'il il y a une
prédisposition dans le cœur d'un homme, alors il est la propension de
l'âme à vibrer vers Sa Vérité. Par conséquent, l'âme, lorsqu'elle est
privée de la Vérité, reste en sommeil jusqu'à ce qu'elle se transforme
en quelque chose de froid et de dur. N'avez-vous pas vu comment même
les anges des ténèbres reconnaissent la Vérité et ne peuvent faire
autre chose que ce que Notre Seigneur leur commande – et pourtant ils
s'efforcent de cacher la Vérité à chaque homme, jusqu'à la damnation
éternelle de chacun ?
Alors je demande encore : QU'EST-CE QU'IL FAUT FAIRE ? VOULEZ-VOUS MOURIR POUR LUI ?
Mgr Joseph E. Strickland
Évêque émérite
»
Le
cardinal Zen confirme que la mascarade du synode n'avait comme but de détruire
l'Église et que cette dernière est maintenant « synodale »:
« I. Le Synode qui vient de s’achever ne peut être appelé « Synode des évêques ».
…
Sous le nom de Synode des évêques, le pape François a institué une nouvelle assemblée hybride….
Si tous les problèmes particuliers ont été écartés de la discussion et
ne sont pas résolus par le Synode, à quoi aboutira le Synode de
2024 ? La victoire de la synodalité ! L’Église synodale ! Une Église
inconditionnellement inclusive ! C’est-à-dire une communauté
démocratique de baptisés marchant ensemble….
L’Instrumentum Laboris de la session synodale de 2024 contient la
proposition de codifier l’autonomie des conférences épiscopales
nationales en matière de doctrine.( !)
Allons-nous devenir comme l’Église anglicane ? Nous ne serons plus
l’Église « une, catholique et apostolique » ! Nous ne serons plus
l’Église ‘sainte’, parce que sans principes moraux fiables pour
discerner entre la sainteté et le péché. Si cette autonomie avait
été approuvée, notre Église se serait effondrée. Le Seigneur ne
l’a pas permis. De nombreux fidèles, avertis du danger, ont prié. Et
ils ont été exaucés. Deo gratias.
... le Pape a déclaré qu’il reconnaissait en bloc le document de
conclusion du Synode et qu’il n’écrirait pas d’exhortation
post-synodale.
…
Non. Le Saint-Père croit aux « processus » (le temps est plus important
que l’espace). Commencer un processus plutôt que d’obtenir
immédiatement certains résultats.
Le Synode est terminé, mais le processus a commencé ! Avec ce document
final, l’Église synodale commence ; en elle, nous devons vivre !
Prions l’Esprit Saint et confions-nous à la Sainte Vierge. » (benoit-et-moi.fr) »
Mgr Vigano sur l'attitude de Bergoglio:
« ( LifeSiteNews )
— Notre Seigneur s'est associé aux pécheurs pour les convertir : pensez
à Madeleine, qui était adultère, ou à Zachée, qui était percepteur
d'impôts pour le compte de l'Empire romain. L'effet seul de la présence
du Seigneur convertit ces âmes, qui abandonnent le chemin du péché et
se convertissent à Lui. « Va et ne pèche plus. »
Le Sauveur ne cache pas la culpabilité, mais au contraire la signale
comme un obstacle au salut et à la sainteté et offre sa grâce pour
changer sa vie et le suivre. Parce que c'est le salut de l'âme que veut
le Seigneur, et non la normalisation du péché. La bataille contre le
monde, la chair et le diable se mène et se gagne d'abord en
reconnaissant l'ennemi et en s'armant pour pouvoir le renverser.
Les
connaissances de Bergoglio sont tout le contraire. Il ne s'intéresse
pas au salut des âmes, qu'il encourage en réalité au péché et au
scandale public. Sa « sympathie » pour les ouvriers d’iniquité est
affichée, tout comme son aversion pour ceux qui servent fidèlement
Notre Seigneur.
Bergoglio s'approprie l'enseignement et l'exemple de Notre-Seigneur,
s'attribuant l'autorité de déclarer ce qui est bien et ce qui est mal –
prérogative exclusive de Dieu.
Il
ne dit pas « Va et ne pèche plus », mais « Dieu t'aime tel que tu es ».
Mais il ne dit pas ça à tout l'monde ! Il existe des catégories de «
pécheurs » qui doivent changer : les rigides, les arriérés, les
catholiques qui s’opposent à l’apostasie.
Pour
Bergoglio, le péché n'est pas contre Dieu, mais contre l'anti-décalogue
de « l'Église conciliaire et synodale » et contre l'agenda mondialiste.
C'est donc impardonnable. Dieu peut être nié, offensé, blasphémé et
contredit, mais pas Bergoglio. Ce mensonge, raconté par celui qui
prétend être le Pape, trahit le mandat du Christ et la confiance des
fidèles, montrant cet usurpateur tel qu'il est réellement.
C'est ce qui rend l'action de Bergoglio non seulement frauduleuse, mais fondamentalement « antichristique ». »
On ne peut nier à la lecture de ces derniers articles que le temps
presse et qu'il y a un décompte sur le court terme pour l'ultime
période de conversion.
La
mort de l'Église nous sera donc confirmée très bientôt avec les décrets
de Bergoglio liés à la synodalité installée et, on le répète, à «
la constitution apostolique Episcopalis communio du 18 septembre 2018,
François a introduit la possibilité d’attribuer un caractère
magistériel aux documents finaux du synode. (voir analyse du 31
octobre) ».
Quand on gouverne par décrets, c'est signe qu'on est dans une dictature.
14 novembre
LA FIN DE LA PAPAUTÉ
Le rapport final du synode des synodes ne peut être compris
qu’en le comparant au plan judéo-maçonnique, puisque Bergoglio n’est
qu’un valet mis en place pour le dernier acte, le quatrième coup de
canon de Pike.
Le rapport confirme la fin de l’autorité de la papauté par le simple évêque de Rome, et l’annonce de la mort de l’église.
C’est le calendrier de l’ennemi qui dicte la fin des temps.
C’est de l’intérieur, par l’orgueil, l’égoïsme, et la haine que chutera Babylone.
NSJC attends le moment opportun afin de sauver le plus d’âmes possibles.
« P. Joachim Heimerl von Heimthal
Vous
avez peut-être aussi été surpris lorsque le pape François a déclaré
pour la première fois que la « synodalité » faisait partie de la nature
de l’Église. Après tout, à ce jour, personne ne sait ce qu’il associe à
ce terme, et il n’apparaît nulle part dans l’histoire de l’Église.
Lorsque
François a ensuite convoqué le « Synode biennal sur la synodalité »,
vous avez été peut-être encore plus surpris, et probablement aussi par
ses résultats, qui sont maintenant disponibles dans le document final.
Mais qu'est-ce qui se cache derrière tout ça ou qu'est-ce qui, selon Goethe, est « le nœud du problème » ?
En
termes simples, ce que François appelle « synodalité » n'est qu'un
système complexe de mensonges, et le « synode sur la synodalité » était
lui-même un mensonge : ce n'était pas un « synode des évêques » car un
le quart des participants n'étaient pas des évêques, mais des laïcs.
D'ailleurs,
aucun « synode des évêques » n'a d'autorité, qu'on veuille l'attribuer
au « Saint-Esprit » ou au « sens de la foi des fidèles ». C'est
d'autant moins vrai que François a occupé stratégiquement le synode ;
les résultats étaient clairs dès le départ.
Un
tel « synode » n'est qu'une chose : c'est une étiquette frauduleuse de
la part du pape, et il montre de manière choquante à quel point
François utilise naturellement le mensonge.
En
fin de compte, ce « synode des évêques » était en quelque sorte un
super mensonge, c'est pourquoi, dans notre contexte, on l'appelle «
mensonge papal numéro 1 ».
Le
« mensonge papal numéro 2 », par contre, était que François avait
toujours souligné que la « synodalité » n’était pas un processus
politique mais véritablement « spirituel ».
Qu'un
pape puisse prescrire des « épreuves spirituelles » est évidemment
douteux, car même un concile ne se considérerait pas comme une «
épreuve spirituelle ».
Cependant,
son document final démontre que le « Synode mondial » n’est pas un
processus « spirituel », mais purement politique : les résultats des
votes individuels sont énumérés point par point et les décisions sont
prises à la majorité.
Il
va sans dire qu'il s'agit d'une méthode purement politique et non
spirituelle, et cela s'applique également au fait qu'on ne peut pas
voter sur l'Église et sur la foi. Ce n'est certainement pas le cas si
l'on considère que dans l'histoire de l'Église, il n'était pas rare que
des minorités s'accrochent à la foi révélée, par exemple à l'époque de
l'arianisme .
Le
« mensonge papal numéro 3 » est cependant plus difficile à comprendre
car il concerne ce que François appelle habituellement le «
discernement ».
Selon
lui, cette « distinction » est constitutive des processus « synodaux ».
Ce que le Pape entend par « distinction » n’est pas, comme toujours,
clair. Ce qui est clair, cependant, c'est qu'à la fin du « Synode », il
a lui-même renoncé à toute forme compréhensible de distinction et, en
bref, a déclaré que les résultats majoritaires du Synode faisaient
partie du magistère pontifical.
Mais
ce faisant, il a donné au « Synode » une autorité qu’il n’a pas et
qu’aucun pape ne pourra jamais lui attribuer. Car même s'il s'agissait
d'un véritable « synode des évêques », il aurait eu au mieux un
caractère consultatif (!), et même le pape lui-même n'aurait pas pu y
changer. Il ne peut pas céder ou simplement partager avec des tiers
l'autorité qu'il a reçue du Christ.
En
d'autres mots : François a remplacé le magistère papal par un nouveau
magistère qui n'existe pas vraiment et qui se reflète dans les
résultats des votes d'un pseudo-synode des évêques. À cet égard, la
conclusion du « Synode » a été une étape historique, et le « mensonge
papal numéro 3 » s’est avéré être un acte d’arbitraire papal et une
trahison de sa propre fonction.
Cependant,
en raison du caractère systématique du mensonge, le pape s'est placé
dans une situation précaire : de nombreuses déclarations contenues dans
le document final du « Synode » sont incompatibles avec la foi
catholique.
Ils
témoignent de la rapidité avec laquelle le catholicisme s'est évaporé
et du soutien que François y apporte. Pour le dire un peu plus
grossièrement, on pourrait aussi parler d’un « synode » hérétique et
d’un « pape hérétique », ce que font désormais ouvertement de plus en
plus de catholiques.
Cette
dimension hérétique devient plus claire là où le Synode parle de
lui-même dans le document final et crée ainsi une compréhension de
l'Église qui reste purement horizontale, intra-mondaine et
communautaire.
Alors
qu'en revanche, selon l'enseignement catholique, l'Église est le
sacrement universel du salut, l'union « synodale » se rapproche ici du
« sacramentel » et trouve un parallèle sérieux avec la « célébration de
l'Eucharistie » ( voir No. .27). On avance même que l'Esprit de Dieu
agit dans le « Synode » de la même manière que dans la Sainte Messe,
qui, au contraire, s'adresse uniquement à une communauté protestante.
Le péché et la grâce ne jouent plus aucun rôle ici, le sacrifice de la
croix et la rédemption ne sont même pas évoqués.
Soyons
clairs : il n'y a aucune trace de la foi catholique ici, et si la «
synodalité » est quelque chose, alors c'est le triomphe ultime de
Luther sur l'Église.
Seul
François est responsable de tout cela en établissant un « magistère »
de mensonges et d'hérésies, et ce n'est pas la première fois.
L'objectif
de ce « magistère » est clair : François et ses disciples veulent
fonder une nouvelle Église qui ne soit plus l'Église du Christ et qui
ne soit plus dans la succession des apôtres.
Cela devient plus évident dans le problème de la soi-disant « consécration de la femme ».
Dans le document final, le « Synode » et François déclarent que l'ordination des « diacres » est une question « ouverte ».
Mais
comme bien des choses, c'est aussi un mensonge, car les apôtres n'ont
mis la main que sur les hommes, et l'Église s'est à juste titre vue
engagée au fil des siècles dans cette tradition apostolique.
C'est
pour cette raison qu'il n'y a jamais eu de « diaconesses » valablement
ordonnées et il aurait été du devoir du Pape de clarifier
définitivement ce point, au plus tard à la fin du synode.
Mais c'est exactement ce que François a choisi de ne pas faire et a plutôt approuvé le mensonge flagrant de son « Synode ».
La
question apparemment « ouverte » devrait maintenant être clarifiée plus
tard par les experts, mais cette démarche cache aussi un autre mensonge
: la foi de l'Église n'est jamais ce que pensent les experts
individuels, mais seulement ce que croit l'Église dans son ensemble, ce
que croit l'Église dans son ensemble. Cela signifie que selon la
pratique apostolique, seuls les hommes peuvent être ordonnés.
François
et son « Synode » sont loin d'être des vérités de foi aussi claires. Le
mensonge ne mène jamais à la vérité et jamais à Jésus-Christ, qui a dit
clairement devant Pilate : « Quiconque est de la vérité entend ma voix
» (Jean 18 :37). –
En
revanche, on préfère ne pas écouter la voix de François et de son
synode. Les mensonges synodaux nous éloignent du Christ et de son
Église.
Rappelons-nous : peu avant le « Synode », François lui-même a nié le
seul salut par le Christ, et avec cela TOUT a été dit sur lui et sur
son « Synode ». (stilumcuriae.com)
« les résultats majoritaires du
Synode faisaient partie du magistère pontifical … On avance même que
l'Esprit de Dieu agit dans le « Synode » de la même manière que dans la
Sainte Messe, qui, au contraire, s'adresse uniquement à une communauté
protestante. Le péché et la grâce ne jouent plus aucun rôle ici, le
sacrifice de la croix et la rédemption ne sont même pas évoqués.
Soyons clairs : il n'y a aucune
trace de la foi catholique ici, et si la « synodalité » est quelque
chose, alors c'est le triomphe ultime de Luther sur l'Église. »
Le processus synodal cache un coup d’État.
« la constitution apostolique Episcopalis communio du 18
septembre 2018, François a introduit la possibilité d’attribuer un
caractère magistériel aux documents finaux du synode. (voir analyse du
31 octobre) »
Ce n’est pas une possibilité.
Il l’a fait avec le rapport du synode des synodes.
Donc, tout confirme de plus en plus, dont le P. Joachim Heimerl
von Heimthal ci-dessus, que l’église catholique en est à son dernier
souffle puisque le rapport a un caractère magistériel.
Il s’applique.
Point.
Selon le regretté Louis D’Alencourt du Grand Réveil et les écrits d’Albert Pike, le grand pontife luciférien (voir l’article du Grand Réveil sur les coups de canons), « la lutte terrestre durera encore un an avant le quatrième coup de canon. »
Le quatrième coup de canon est l’abolition définitive de la papauté.
D’après le texte de Pike, le dernier pape « se convertira à la
religion de Lucifer et fera cause commune avec l’Antéchrist. »
« Albert Pike et le livre Apadno nous donnent une clé :
« Jérusalem tressaillira de
joie, car celui de ses fils qui pour commander aux adorateurs d’Adonaï
avait fermé les yeux à la lumière, recouvrera la vue, déposera le
triple diadème maudit et mettra son honneur à travailler à l’œuvre du
rempart de Dieu, du Dieu le meilleur et le plus grand. »
Explication : Jérusalem, dans le langage biblique, c’est l’Église.
Adonaï c’est le nom que donnent les palladistes au Bon Dieu, et celui
qu’ils appellent Dieu c’est Lucifer et la lumière c’est la sienne.
Toute la difficulté avec l’adversaire, c’est qu’il garde les mêmes
termes, mais en leur donnant un sens inversé. On retrouve donc les mots
de catholique, lumière, miséricorde, Dieu etc… mais ils n’ont pas le
même sens dans leur bouche que dans la nôtre. C’est très subtil et très
déstabilisant car ils usent des mêmes descriptions.
Diana Vaughan explique qu’il s’agit « du dernier pape des catholiques » et que « Par
le rempart de Dieu, on désigne le frère [maçon] qui occupera le
souverain pontificat luciférien, au temps de la mission publique de
l’Antéchrist ».
Voilà.
Benoît XVI a eu à déposer la tiare de force pour faire monter le frère maçon sur le trône.
Bergoglio est le destructeur.
Plus besoin de preuves.
Il court à sa perte et décédera bientôt car nous sommes dans le temps de la moisson.
Car on sait avec les dernières analyses que, et la clique
judéo-maçonnique, et les chiites provoquent la guerre pour faire venir
leurs messies respectifs.
Or, « la justice divine s’abattra sur le monde au moment où
l’Antéchrist (le Messie des juifs) apparaîtra, selon la Salette :
« Voici la bête avec ses sujets
se disant le sauveur du monde. Il s’élèvera avec orgueil dans les airs
pour aller jusqu’au Ciel ; il sera étouffé par le souffle de saint
Michel archange. Il tombera, et la terre qui, depuis trois jours sera
en de continuelles évolutions, ouvrira son sein plein de feu ; il sera
plongé pour jamais avec tous les siens dans les gouffres éternels de
l’enfer. »
La bête qui se dit le sauveur du monde et qui s’élève avec orgueil dans
le ciel : n’est-ce pas là l’exacte description de la synagogue de Satan
obtenant le pouvoir spirituel des mains du pape lui-même, comme si elle
accédait enfin à l’échelle de Jacob? »
Remarquez : la terre sera en de continuelles évolutions pour la purification par le feu.
Trois jours.
Comme prophétisé par le Padre Pio.
C'est donc dire que nous approchons rapidement da la mort de l'Église et des deux témoins de l'Apocalypse.
À la neuvième heure, comme le Christ au vendredi Saint, l'Église, avec toute l'humanité ira au tombeau pour trois jours.
On compte maintenant en termes de mois, semaines et puis jours.
Ce qui est confirmé dans les prophéties de Jean XXIII :
- la terre détruira le ciment (prophétie concernant Benoît XVI)
- L’Asie en flammes (prophétie La Foudre en Plein Jour)
- Dieu a déchaîné la guerre de la nature pour empêcher la guerre des hommes. (prophétie Grand Éclair à l’Orient)
Il est clair que la terre entrera en convulsions.
D’ailleurs, il y a 69 volcans actifs présentement, beaucoup plus que la moyenne de 45 des dernières années.
Louis D’Alencourt :
« Sur le calendrier de l’Antéchrist
Le livre Apadno continue :
« Mais il y aura encore des
millions d’aveugles, le rameau d’olivier se changera en épée, et la
lutte terrestre durera un an, jusqu’au quatrième coup de
canon, qui sera tiré dans l’île de la vengeance. »
Là c’est intéressant car nous apprenons qu’il leur faudra encore un an avant de se déclarer vainqueurs.
Diana Vaughan explique :
– « Le quatrième coup de canon, c’est l’abolition définitive du pouvoir spirituel de la papauté chrétienne » ;
– « L’île de la vengeance, c’est l’île de Malte
» . Pourquoi Malte ? Parce que les palladistes estiment que les
chevaliers de l’ordre de Malte, rivaux des Templiers, ont obtenu après
leur disgrâce la plus grande partie de leurs richesses. » (legrandreveil.com – le plan de satan)
Un an.
C’est le délai nécessaire pour faire accepter l’abolition de la papauté
à la petite cuillère, sans provoquer trop de remous, par l’application
des rapports des dix comités du synode à venir.
« Le rameau d’olivier se changera en épée » et il y aura lutte terrestre; pour faire adhérer les « millions d'aveugles ».
C’est bien une référence à la guerre.
Pour les prochains mois, semaines, sinon jours?
Netanyahou a avertit l’Iran qu’au prochain missile tiré vers Israël,
ces derniers attaqueront les sites nucléaires et pétroliers iraniens.
Le futur président américain a donné son aval.
Les bombes nucléaires israéliennes sont dissimulées dans des
sous-marins afin de les soustraire à l’intelligence militaire
ennemie :
« Selon des sources étrangères, Israël possède entre 80 et 200 armes
nucléaires, y compris la capacité de tirer depuis des sous-marins, ce
qui rend presque impossible la destruction de toutes les armes
nucléaires signalées par Israël lors d'une première frappe sur son
territoire . (jesuralempost.com)
Quels sont les liens avec les prophéties de Jean XXIII?
Plusieurs.
N’oublions pas que les prophéties « Grand Éclair à l’Orient », « Le
Temps est Proche « et la « Foudre en plein jour » sont toutes reliées à
un éclair, de la foudre.
La
foudre en plein jour, de l’Orient, lorsque l’Islam sera divisé, avec le
premier jour de malheur d’Europe, lorsque l’ennemi partira de la «
petite île de la Méditerranée ».
Le
grand éclair à l’Orient où la terre frisera le massacre, où les
véritables assassins sont en Europe et veulent la Méditerranée.
Le temps est proche ou la chute de Babylone où « Dieu a déchaîné la guerre de la nature pour empêcher la guerre des hommes.»
Les prophéties de l’Église :
Concernant
François où « Le grand frère d'Orient fera trembler le monde par la
croix renversée sans les lis. », donc la guerre et où la mère est
devenu orpheline.
Concernant la prophétie #11 « Le 7ème sceau » : il y a guerre entre les peuples et dans l’église.
Le
grand éclair à l’Orient représente probablement le signe des trois
jours de noirceur : le signe de Jonas, le seul signe que nous
aurons.
Ou selon Malachi Martin qui avait prédit un signe dans le ciel, à l’est, selon ce qu’il avait lu du troisième secret de Fatima.
Il affirmait que le signe dans le ciel nous montrerait que Dieu existe
quant il déclara en 1997 que « le grand facteur déclenchant aura lieu
dans le ciel. Observez toujours le ciel. Le signe de la
Vierge apparaîtra dans le ciel, et c’est pour bientôt. D’ici les
10 ou 20 prochaines années. Ce sera un choc pour tout le
monde. Cela montrera que Dieu existe. Lorsqu’un jour de printemps, vous
verrez dans le ciel un signe, comme une aurore boréale, tout
commencera… »
C’est
un signe de la Vierge donc de la dame de l’Apocalypse avec les deux
pieds sur la lune : « Puis il parut dans le ciel un grand
signe : une femme revêtue du soleil, la lune sous ses pieds, et
une couronne de douze étoiles sur sa tête ».
Jean
XXIII utilise les termes suivant dans la prophétie du 7ème sceau :
« Attendez le signe de Jean. L'agneau est prêt. Signez-vous sept fois
avec une main fatiguée et attendez. La lumière vient encore de
l'Occident. »
Le signe de Jean : la dame de l’Apocalypse ou l’image de Notre-Dame de Guadelupe.
La Vierge Marie voile le soleil de son manteau et la lune des ses pieds.
Padre Pio dans la prophétie des trois jours de noirceur confirme que le soleil sera voilé par un matin froid d’hiver.
Malachi Martin parle d’un jour de printemps.
Puisque cela confirmera l'existence de Dieu, ce ne peut qu'être qu'un phénomène divin.
Le Jubilé 2025 est la dernière chance de conversion.
Une grâce de Dieu quoiqu’en fasse les faux prophètes au Vatican.
« Car, comme l'éclair part de l'orient et brille jusqu'à l'occident,
ainsi en sera-t-il de l'avènement du Fils de l'homme. » (Matthieu 24,
27)
11 novembre
« Je tiens à vous dire que le peuple juif a une longue mémoire ;
nous nous souvenons donc de la proclamation du grand roi Cyrus le
Grand, le roi perse, il y a 2 500 ans. Il a proclamé que les exilés
juifs à Babylone pouvaient revenir et reconstruire notre Temple à
Jérusalem.
Nous nous souvenons qu'il y a cent ans, Lord Balfour a publié la
proclamation Balfour qui reconnaissait les droits du peuple juif sur sa
terre ancestrale.
Nous nous souvenons qu'il y a soixante-dix ans, le président Harry S.
Truman a été le premier dirigeant à reconnaître l'État juif.
Et nous nous souvenons qu'il y a quelques semaines, le président Donald
J. Trump a reconnu Jérusalem comme capitale d'Israël. Monsieur le
Président, notre peuple s'en souviendra à travers les âges. » (Benjamin
Nétanyahou - voir analyse du 28 octobre)
Effectivement, le futur président Trump a déjà eu plusieurs
conversations depuis son élection avec le premier ministre israélien
concernant la Palestine et l’Iran.
Il a clairement confirmé qu’il ressaiera l’étau sur l’Iran par des
mesures économiques encore plus drastiques, tout en affirmant qu’il est
hors de question que l’Iran accède à la bombe nucléaire.
« Ces derniers jours, Nétanyahou a eu trois conversations téléphoniques
avec Trump. De quoi ont-ils discuté? Entre autres d’attaques contre les
installations nucléaires iraniennes.
«Nous
sommes d’accord sur la menace iranienne dans tous ses aspects et sur le
danger qu’elle pose», a déclaré hier le premier ministre israélien.
Nétanyahou
vient aussi de nommer un nouveau ministre de la Défense, Israël Katz.
Ce dernier a déclaré que la destruction des infrastructures nucléaires
iraniennes était sa priorité… » (journaldemontreal.com)
Ainsi, « Les responsables de la Défense craignent que l'Iran n'agisse contre Israël avant le retour de Trump à la Maison Blanche
Les
services de renseignement ont commencé à intensifier le partage de
renseignements et les évaluations de la situation avec l’armée
américaine pour éviter de négliger des développements critiques.
Des
inquiétudes ont été exprimées au sein de l’establishment de la défense
israélienne quant au fait que l’Iran pourrait tenter
d’exploiter la période précédant le retour au pouvoir de l’ancien
président américain Donald Trump pour agir contre Israël.
Les
services de renseignement ont commencé à intensifier le partage de
renseignements et les évaluations de la situation avec l’armée
américaine pour éviter de négliger des développements critiques.
Les
responsables soulignent que les dirigeants politiques israéliens
doivent comprendre la politique iranienne proposée par Trump pour
façonner leur propre stratégie militaire et diplomatique. Plusieurs
membres de la communauté de la défense estiment que les efforts
diplomatiques visant à freiner les ambitions nucléaires de l'Iran « ont
atteint leur terme ».
Certains
responsables de la défense rappellent la déclaration de Trump lors
d'une récente convention : « L'Iran n'aura pas d'armes nucléaires »,
tout en ajoutant que s'il était élu, il viserait à mettre fin aux
guerres plutôt qu'à à en déclencher de nouvelles. Des questions
demeurent quant à ses méthodes envisagées.
Lors
de discussions privées, des sources ont déclaré que Trump avait confié
à ses associés que s'il avait eu quelques mois de plus au cours de son
premier mandat, il aurait imposé des sanctions supplémentaires pour
déstabiliser l'économie iranienne. Maintenant, la question pour Israël
est de savoir si le gouvernement du premier ministre Netanyahu
s'alignera sur Trump sur une nouvelle série de sanctions contre l'Iran
ou s'il fera pression en faveur d'une initiative militaire plus large
ciblant les installations nucléaires iraniennes.
Jusqu'à présent, Trump n'a pas fourni de politique détaillée sur le programme nucléaire iranien... » (jerusalempost.com)
Il ne reste pas beaucoup de temps pour se convertir au Christ.
Le 24 décembre prochain, s’ouvrira le Jubilé 2025.
Ce jubilé, c’est l’occasion de faire pénitence en se remémorant les 2025 années depuis la naissance du Christ.
Le symbole approprié d’un jubilé est l’ouverture des portes saintes, et
non un logo aux origines douteuses, ni à une mascotte issue des pires
valeurs inversées du système antichrist pour justement, séduire la
jeunesse selon le Vatican.
La porte est l’image temporelle de l’ouverture de la porte spirituelle qu’est le Christ, qui mène au Salut.
Le pénitent durant le Jubilé confirme son baptême en reconnaissant la seule porte valable, le Christ.
En 2024, année où tout bascule, c’est une donc une porte spirituelle qui s’ouvre.
Une étape cruciale de la fin des temps menée par la Sainte Vierge pour le retour de son Fils.
Mais le Vatican ne l’entends pas ainsi.
Le Jubilé 2025 sera l’occasion de célébrer le synode des synodes, avec
le dépôt des rapports des dix comités sur les questions brûlantes du
synode pour la fin juin, en plus des surprises que nous réservent
Bergoglio, tel l’interdiction de la messe tridentine et l’annonce d’une
nouvelle messe œcuménique.
2025 est donc l’année du choix.
Pour ou contre le Christ.
Effectivement, on le répète, tout doit être conclu avant mai 2026 si la
prophétie de Don Bosco est véridique, c’est à dire le retour du Lys de
paix avant mai 2026.
Rappelons que pour le jubilé 2025, Bergoglio a créé une Commission pour
les témoins de la foi qui fait référence au grand jubilé de Jean-Paul
II de l’an 2000, où il a voulu mettre en lumière ces hommes et ces
femmes qui, bien que non canonisés, ont manifesté avec force leur foi.
« Qui sont les témoins de la foi?
Permettez-moi de donner un exemple: celui qui me vient immédiatement à
l’esprit est Dietrich Bonhoeffer (1906-1945), un théologien et pasteur
d’église luthérien qui a été tué parce qu’il s’opposait au nazisme.
L’Église ne le proclame pas martyr parce qu’il n’était pas catholique. »
«Dans un monde où il semble parfois que le mal l'emporte - conclut
François - je suis certain que l'élaboration de ce catalogue, également
dans le contexte du Jubilé imminent, aidera les croyants à lire notre
époque à la lumière de Pâques, en puisant les raisons de vivre et de
faire du bien dans le trésor de la fidélité généreuse au Christ». (vaticannews.va)
C'est encore l'utilisation du double sens, de l'ambiguïté bergoglienne.
Il
utilise « à la lumière de Pâques » et saisit l'occasion en 2025
pour inviter à progresser « vers l’unité visible », en s’accordant sur
la date de Pâques, que catholiques et orthodoxes célébreront le 20
avril en 2025, pour promouvoir l'oecuménisme.
On célèbre donc tout autant le protestantisme lors du Jubilé, en fait, l’humanisme.
Car le thème principal du Jubilé 2025 « pélerins de l'espérance » est l'oecuménisme.
C’est ce qu’on constate en examinant le calendrier des célébrations du Jubilé (holyart.fr).
C'est
ce qu'on constate avec l’itinéraire européen, un des trois itinéraires
de pèlerinage proposés à Rome. qui aura un caractère œcuménique, le
Jubilé coïncidant avec les 1700 ans du Concile de Nicée (325), premier
concile christologique.
Les pères conciliaires de Nicée n'auraient sûrement pas été d’accord avec cette récupération œcuménique.
Ainsi
les 28 églises et basiliques de cet itinéraire comptent des églises
non-catholiques, comme l’église San Teodoro du patriarcat orthodoxe
grec, ou encore l’église luthérienne allemande.
Ce
n’est que la suite du synode de la miséricorde infinie de 2016 pour
l'humanisme, où tous doivent être inclus, Bergoglio éliminant à cette
occasion la notion de péché.
Le Jubilé 2025 n’est pas représentatif des Jubilés passés.
Il n’est pas représentatif de l’Église catholique.
Tout comme le synode des synodes.
Mgr Joseph Stickland :
« ( LifeSiteNews
) — L'évêque Joseph Strickland a adressé une réprimande cinglante au
Synode sur la synodalité tout en appelant les catholiques à s'opposer à
ceux qui suivent les traces de Judas Iscariote.
« Il y a des menaces à l’horizon. Ce Synode sur la Synodalité, je le
rejette, parce qu'il n'est pas catholique. De nombreuses voix ont déjà
dit que ce n'était pas l'Église catholique », a fait remarquer Son
Excellence lors de la couverture de la soirée électorale de LifeSite,
mardi soir. "Nous sommes à une époque où Judas Iscariote lève sa
vilaine tête."
Tout en exhortant les catholiques à travers les États-Unis à «
être forts et joyeux dans la vérité », Stickland a en outre
déclaré à l'animateur John-Henry Westen qu'il s'agissait d'un « moment
critique pour cette nation et… pour l'Église universelle » car il y a «
des menaces pour cette universalité ». qui viennent malheureusement de
Rome même, du Vatican.
«
Nous sommes en territoire dangereux pour cette nation, mais plus
important encore, et de manière plus critique, je crois, pour la foi
catholique », a-t-il poursuivi. « La foi catholique, l'Église
catholique, ne s'effondrera pas. Le Christ a promis qu'il prévaudrait
contre les portes de l'enfer jusqu'à la fin des temps. Mais « s’il
s’agit de nous opposer à un prêtre, à un évêque ou à quelqu’un du
Vatican qui proclame un faux message, nous devons être des disciples
suffisamment forts de Jésus-Christ pour dire : « Non. On vit la vérité
qui est Christ. Il est la vérité incarnée.
Strickland
a maintenu un profil public actif depuis qu'il a été démis sans
cérémonie par le pape François de son poste d'évêque de Tyler, au
Texas, pour son soutien à la messe latine, entre autres
choses. Il a pris la parole au Forum sur la vie de Rome cette
année et a continué à fournir des conseils pastoraux aux catholiques à
la recherche de conseils fiables sur un large éventail de questions. En
août, il a publié une déclaration énergique rappelant les
prétendues paroles de Notre-Dame de Fatima selon lesquelles il y aurait
« une apostasie qui commencerait au sommet » de l’Église.
Strickland
a aussi dit à Westen que Judas Iscariot voulait « une fraternité
mondiale des hommes », mais qu'un tel « royaume sur terre » était «
contraire à ce que Jésus-Christ a proclamé ».
«
Nous avons l’occasion de combattre les ténèbres, le mal et les faux
messages qui affectent et infectent même l’Église », a-t-il expliqué.
«
On doit devenir forts. On doit être clairs. Nous devons prendre la
parole et ne permettre à personne en poste ou en chaire de dire quelque
chose qui n'est pas fidèle au Christ et laisser tomber cela.
Strickland
a en outre appelé les catholiques à prier devant le Christ dans le
Saint-Sacrement et à « arrêter de faire des compromis » avec ceux
qui sèment l’erreur et à « proclamer clairement quelle est cette vérité
parce que trop de gens se trompent » .
6 novembre
L’EMPEREUR EST DE RETOUR
Difficile d’imaginer ce dénouement il y a quelques années lors
de la défaite de 2020 qui changeait la donne quant à la prophétie
politique « Le temps est proche » où deux empereurs qui occupent le
pavé géopolitique vont à leurs déchéances en même temps...
Que la guerre interne au Vatican.
Cette victoire de Trump ramène donc l’empereur et signifie donc une
chose : nous entrons dans une ère de chaos et de vengeance.
La dominance mondiale des États-Unis va s’effriter rapidement pour mener à la chute de Babylone.
Ce sera très rapide, comme l’affirmait le regretté Louis D’Alencourt du Grand Réveil dans ses analyses.
Pourquoi?
L'explication de Louis:
«
Que ce soit une sorte de sauveur remplaçant Biden au pied levé avant ou
après son élection, je pense que cette nouvelle ère sera mort-née et
que l’Amérique est déjà condamnée, car si contre toute attente Trump
est élu, la situation sera insupportable pour le comité des 300, tous
leurs projets annoncés tombant à l’eau, donc ils sont capables de tout
envoyer en l’air, et si Trump n’est pas élu, le pays basculera dans la
guerre civile, les Républicains refusant certainement la triche pour
une seconde fois. » (grandreveilwordpress.com - Projet 47)
L'élite judéo-maçonnique ne peut attendre trop longtemps.
Leur messie doit venir par un sacrifice sanglant, le sacrifice de l'humanité pour la survie de l'élite et sa progéniture.
Les
faucons israéliens montent déjà aux barricades et demandent l'attaque
immédiate avant la date du 20 janvier 2025, date de passation des
pouvoirs entre présidents. (clin d'oeil au Projet 47: Satan singe Dieu
et il y 77 jours entre la date du 5 novembre et le 20 janvier 2025)
Ils veulent profiter du fait que Biden a les mains liées.
Comme signe potentiel allumant le chaos: la prophétie « Grand Éclair à l’Orient » a comme
particularité d’être précédée par l'assassinat d’un « chef » au sud ou
dans le sud des États-Unis.
« Grand Éclair à l’Orient » ne signifie pas nécessairement que c’est l’issue d’une explosion créée par l’humain.
Dieu agit et dans un monde où le surnaturel a été chassé, quoi de mieux
que d’avoir une intervention divine pour montrer qu'Il existe, et pour
une purification par le feu comme c’est annoncé.
On penche depuis longtemps pour une tempête majeure du soleil dans nos
analyses mais qui sait ce que notre système cosmique peut encore nous
réserver?
D’ailleurs, en cette confirmation électorale américaine, la complexité
des taches solaires faisant face à la Terre a tellement augmentée
rapidement, que la NOAA a augmenté la probabilité d’une tempête majeure
de classe X à 35%.
Du jamais vu depuis belle lurette.
Normalement, cela tourne autour de 10%.
Cette tache n'a pas mis de temps à produire.
Une éjection de classe X2 a eu lieu quelques heures après le lancement de l'alerte.
Tout cela juste après le synode des synodes qui comme on l’a laissé
entendre signifierait la mort de l’Église, Une, Catholique et
Apostolique.
Mgr Eleganti concernant le rapport du synode :
« ( LifeSiteNews
) — L'évêque suisse Marian Eleganti a averti que la décentralisation
espérée du Synode du Vatican sur la synodalité de « l'enseignement et
de la discipline » catholiques « serait la fin de la catholicité de
l'Église ».
Dans un article récent publié sur le site Web d'Eleganti, il a souligné
le fait que, comme le pape François et les principaux religieux du
synode l'ont signalé à plusieurs reprises, l'un des résultats souhaités
du synode est une « régionalisation culturelle de l'enseignement et de
la discipline » de l'Église en contradiction avec sa pratique éternelle.
« Une condition préalable à cela est une amélioration de l'autorité
doctrinale des conférences épiscopales (Dieu nous en préserve !) », a
écrit Eleganti. "Ce serait alors la fin de la catholicité de l'Église
si les choses étaient différentes en Pologne qu'en Allemagne ou en
Afrique."
Le mot « catholique » signifie universel – ainsi, la « régionalisation
de l’enseignement et de la discipline » porterait effectivement
atteinte à la catholicité, ou à l’universalité, de l’Église… »
Et comme on le sait depuis longtemps, la messe est en jeu.
Le cardinal Gadecki confirme qu’on discute ardemment d’une nouvelle
liturgie au Vatican, avec une « nouvelle vision » de l’Eucharistie. (vidéo sur ce sujet ici).
Une célébration plus synodale et moins centrée sur le prêtre.
Centrée sur l’humain avec une expérience plus participative.
C’est exactement la conclusion du synode amazonien, qui est entré dans
une phase expérimentale de trois ans juste avant le synode 2024.
Et c’est exactement ce que permet le rapport du synode 2024 confirmant
les soupçons que les évêques ont maintenant le pouvoir de faire la
liturgie comme ils l’entendent, pour plaire à la base, au bon peuple.
L’église s’est convertie.
Protestantisée.
Humanisée.
« … il ne fait aucun doute que la transformation de l’Église catholique
est presque achevée, et qu’elle doit finir soit par une réforme du
sacerdoce, soit par une réforme de la messe supprimant la Présence
Réelle, soit les deux.
Je soupçonne Rome de préparer ce projet de réforme de la messe en
cachette afin de bénéficier de l’effet de surprise pour l’imposer d’un
coup et autoritairement.
La mutation de l’Église catholique sera terminée, elle sera réellement
morte, accomplissant doublement les prophéties, à savoir le lynchage de
la grande Prostituée (l’Eglise conciliaire) et la mort des Témoins (la
Tradition).
Ainsi l’Église aura achevé en totalité sa Passion, mort incluse.
Qu’on se rassure, la durée au tombeau est courte et on en connaît l’issue : la Résurrection.
Pour quand toutes ces choses-là ? Très vite après la mort de Benoît XVI, celui qui les retient. Celle-ci
ne saurait tarder.
Louis d’Alencourt, le 8 juillet 2022, en la fête de sainte Elisabeth du Portugal » ( La réforme de la messe, plan secret du Vatican
- grandreveilwordpress.com)
C’est cette période de chaos annoncée pour tenter de mettre en place le messie judéo-maçonnique.
Ainsi, Armageddon et la modification liturgique pour tenter d’éliminer la présence réelle vont de pair.
Aucune surprise ici.
Le temps est définitivement proche.
4 novembre
PROJET 47 : LE JOUR D’AVANT
Les juifs attendent toujours un messie temporel qui
viendra les délivrer pour leur donner la terre promise, c’est à dire le
pouvoir sur le monde, et les délivrer de la Rome moderne, alors que les
chiites, Iran en tête, attendent le mahdi qui les délivrera d’Israël et
du monde occidental, États-Unis en tête.
Le fonds de l’histoire est religieux.
La situation au Moyen-Orient est critique et chacun des deux
belligérants pensent en sortir vainqueur parce que justement c’est une
question de religion, quitte à tout détruire pour repartir à neuf.
C’est l’histoire du phœnix, la « grande réinitialisation », Tikoun Olam
(voir analyses précédentes) qui guident la clique judéo-maçonnique,
pour un monde unipolaire, ou multi polaire, selon les clans anglo-saxon
ou russe respectivement.
Pour arriver à cette fin, il leur faut organiser un grand chaos mondial
pour faire accepter le messie « humaniste » à tous, qui n’est pas un
être physique en soi, mais un système car le peuple juif (lire ici la
clique judéo-maçonnique) dans leur conception, est le messie, seul
peuple prêtre entre les goys et Dieu.
Une journée avant les élections américaines et la finalité du projet 47
si cher au regretté Louis D’Alencourt du Grand Réveil, où en sommes
nous?
L’Iran constatant que les dommages de la dernière attaque israélienne
sont plus importants qu’estimés en partant, a décidé qu’elle lancera
une nouvelle attaque, peut-être à partir de l’Irak.
« Le guide suprême iranien, l'ayatollah Ali Khamenei, a menacé Israël,
promettant une « réponse écrasante » aux représailles d'octobre.
L'Iran prévoit une attaque complexe contre Israël, qui pourrait
inclure des missiles dotés d'ogives de grande puissance, selon un
article du Wall Street Journal publié lundi , citant des
responsables arabes et iraniens.
Le rapport note que l’armée iranienne serait également impliquée dans cette série potentielle d’attaques.
« Nos militaires ont perdu des gens, ils doivent donc réagir », a affirmé un responsable iranien.
Il aurait ajouté que l'attaque, probablement axée sur des cibles militaires israéliennes, serait plus agressive.
Le
responsable iranien a en outre ajouté que la réponse de la République
islamique viendrait après les élections américaines, mais avant
l'investiture en janvier d'un nouveau président. » (jerusalempost.com)
Et vendredi, les États-Unis ont annoncé de nouveaux déploiements
d’avions de combats et de bombardiers, incluant des moyens de défense
contre les missiles balistiques.
Tout en avertissant désormais Téhéran « qu’ils « ne seront pas en
mesure de retenir Israël » si la République islamique riposte, ont
déclaré samedi à Axios des responsables américains et israéliens.
« Nous avons dit aux Iraniens : nous ne pourrons pas retenir Israël, et
nous ne pourrons pas garantir que la prochaine attaque sera calibrée et
ciblée comme la précédente », a déclaré le responsable américain. »
(zerohedge.com)
Il est donc clair que les américains avaient demandé à Israël d’y aller avec une riposte modérée le 26 octobre dernier.
Les indices sont donc évidents que la porte du chaos ouvrira pleinement suite à l’élection américaine demain.
Pour les prophéties de Jean XXIII, c’est le « Grand Éclair à l’Orient »
où une frappe arrivera par surprise (Israël attaquera-t-elle avant,
sachant que l’Iran a confirmé la semaine passée qu’il se lance dans
l’armement nucléaire?) et que la terre frisera le massacre, tout en
enflammant l’Europe au passage.
Lorsque L’Europe demande à tous 72 heures de stocks d’autosuffisances, c’est qu’il y a anguille sous roche (insolentiae.com)
C’est la chute prévue de Babylone dans le calendrier de la fin des
temps de l’Apocalypse, et des deux Babylone de Jean XXIII dans la
prophétie de Benoît XVI : « La terre détruira le ciment »
Ce sera aussi la « guerre de la nature » de la prophétie politique #32
« Le temps est proche » où deux empereurs règnent, et qui vont à leurs
déchéances.
Pour nous chrétiens catholiques qui font partis des « deux témoins »
fidèles à la Loi et aux Prophètes, la chute de Babylone est le signe
d’une grande épuration avant la seconde venue de NSJC.
C’est le châtiment des méchants, la délivrance de ce monde pourri.
C’est la séparation du bon grain de l’ivraie.
C’est l'important d'avoir conservé la Foi comme demandé dans la parabole des vierges folles.
Notre seule arme est le Rosaire.
La seule attitude à avoir est de se retirer de Babylone par la prière comme l’a indiqué le Christ en Matthieu 24.
Le signe de Jonas, le seul que nous aurons, approche.
Gardons la Foi et l’Espérance.
Nous rajoutons des liens de la prière du premier samedi du mois et du Saint Rosaire en début de page ci-haut.
2 novembre
Réaction du cardinal Burke sur le rapport final du synode des synodes :
« CITÉ DU VATICAN ( LifeSiteNews )
— Le cardinal Raymond Burke a déclaré que les propositions du Synode
sur le document final de la synodalité sont « extrêmement gênantes et
dangereuses »…
Le document, adopté par le pape François plutôt que d'être utilisé pour
rédiger une exhortation apostolique, contient des plans pour une
gouvernance laïque accrue, une liturgie synodale, et soutient que le
diaconat féminin est une question qui « reste ouverte ».
Mais Burke a critiqué l'événement et le texte, réitérant son argument
de longue date selon lequel le synode a un objectif indéfini : «
Personne n'a été capable de définir ce qu'est la synodalité – c'est
devenu une sorte de lieu réservé pour avancer.
François ayant adopté le document final du synode dans le magistère
papal, cela signifie que l'organe consultatif – composé de clercs et de
laïcs – est en fait devenu un organe d'enseignement. Burke a rejeté
l'idée selon laquelle le synode est une « marque essentielle de
l'Église », tout en admettant qu'il reste une place appropriée pour la
consultation au sein de la sphère ecclésiale :..
Le document final du synode a lancé un appel fort à la mise en œuvre
d'un rôle accru des laïcs à travers l'Église, notamment en ce qui
concerne la gouvernance. Certaines limites supplémentaires seraient
également imposées au pouvoir papal, le document affirmant qu'un pape
ne peut pas « ignorer une direction qui émerge d'un discernement
approprié au sein d'un processus consultatif, surtout si cela est fait
par des organismes participatifs ».
Interrogé par Arroyo sur ces commentaires, Burke a déclaré que « les
gens qui font ce genre de propositions devraient être capables
d'exprimer de manière articulée, claire et compréhensible pour les
fidèles catholiques ce que cela signifie, sinon c'est un discours très
dangereux "… »
Bref, ce rapport confirme que c’est bien la mort de l’église, la
structure de décision se laïcisant est un démantèlement annoncé, à la
sauce du synode amazonien.
« Une liturgie synodale » confirme le cardinal Burke.
La liturgie est bien en jeu contrairement à ce qu’affirmait le cardinal
Hollerich à la fin du synode: « Interrogé sur ce point lors du briefing
synodal de samedi soir, Hollerich a déclaré qu’il n’y avait aucun
projet de « révolution » liturgique. »
Pour ceux qui se demande ce qui est arrivé avec la comète de la fin du
synode, et bien, à l’image de la fausse église qui disparaîtra avec la
venue de la Lumière , elle s’est évaporée à l’approche du soleil.
01 novembre
Il semble finalement que l’Iran frapperait Israël prochainement, peut-être avant les élections américaines.
«
Les renseignements israéliens suggèrent que l'Iran se prépare à
attaquer Israël depuis le territoire irakien dans les prochains jours,
peut-être avant l' élection présidentielle américaine du 5
novembre, a rapporté jeudi Axios, citant deux sources israéliennes non
identifiées.
L'attaque
devrait être menée depuis l'Irak en utilisant un grand nombre
de drones et de missiles balistiques , ajoute le rapport
Axios.
Le rapport indique que mener cette attaque par l'intermédiaire de
milices pro-iraniennes en Irak pourrait être une tentative de Téhéran
d'éviter une nouvelle attaque israélienne contre des cibles
stratégiques en Iran.
Plus tard jeudi, un article du New York Times , citant trois
sources iraniennes, a déclaré que l'ayatollah Ali
Khamenei avait déjà ordonné lundi au Conseil suprême de sécurité
nationale iranien de se préparer à frapper Israël… » (jerusalempost.com)
C’est donc dire qu’Israël répondrait par une attaque sur les sites les
plus importants d’Iran, c’est à dire les industries pétrolières et
nucléaires, comme l'avait annoncé le chef de l'IDF.
C’est bien le scénario du « Grand Éclair à l’Orient » de Jean XXIII qui se dessine à l’horizon.
Du côté de l’Église, les derniers articles sur le synode confirme que Jésus n’est plus au centre de l’Église.
L’Église semble morte.
C’est ce qu’atteste le document final du synode des synodes.
Puisque la conclusion du synode n’est que du vent, alors pourquoi avoir prolongé le synode jusqu’en 2024?
Pour célébrer via le Jubilé 2025.
Il n’y aura pas d’exhortation apostolique.
Pourquoi?
Cette
manière de faire permet d’éliminer la dimension verticale des prises de
décisions (via le pape, les cardinaux, les évêques,…) et laisse le
libre choix aux paroisses de faire la liturgie et leur pastorale en
pigeant dans les principes du rapport final pour s’adapter à la réalité
de l’ « esprit missionnaire » woke qui fait l’affaire des fidèles.
Notez qu’il y a eu plus de 1200 amendements entre la première mouture du rapport et la version finale.
Ces
amendements n’ont pas été inclus mais pourraient l’être selon le désir
de Bergoglio et les conclusions des comités d’ici juin 2025.
Est-ce la 9ème heure qui vient de sonner?
L’Église est-elle au tombeau pour 3 jours?
Qu’est-ce que cela représente en terme de temps?
Voici d’autres réflexions sur la conclusion du synode, c’est à dire la mise en œuvre de l’agenda woke via la base :
«
Père Gilles Routhier, quelle est la signification de cette annonce de
François de ne pas faire suivre le synode d’une exhortation apostolique?
L'exhortation
apostolique risquait de clore le synode, alors que le document final
fait un pont entre ce que nous avons vécu pendant trois ans et la
prochaine étape qui est l'étape de mise en œuvre. Il ne s'agit pas de
clore. Il s'agit de dire, maintenant, que nous passons à une autre
phase toute aussi importante. Sinon ça resterait une exhortation
apostolique de plus. Ça aurait fait un beau livre sur les étagères
d'une bibliothèque.
Quelle lecture faites-vous de cette décision du Pape François, de cet
exercice de l'autorité, en décidant précisément de ne pas recourir à ce
qui était l'habitude, après un synode, une exhortation post-synodale?
Le Pape souhaite donner aux Églises locales la responsabilité qui est
la leur de mettre en œuvre les conclusions du synode. On demande, on
suggère aux conférences épiscopales de faire quelque chose de ce
document final, pour qu’il soit, en quelque sorte, une carte pour la
route à suivre. On est toujours en route, on ne s'arrête pas.
Est-ce que cette décision du Pape François a une dimension œcuménique?
En un sens, oui. Et les observateurs ou les délégués fraternels ont
aimé participer à cet exercice parce qu'ils voient eux aussi qu'il y a
quelque chose qui est en train de bouger dans l'Église catholique. Je
pense que ce qui est en train d'advenir est quelque chose
d'irréversible. On ne pourra pas retourner en arrière. (vaticannews.va)
On croirait entendre Bergoglio : aucun retour en arrière.
Évidement puisqu'il y a contrainte de temps pour rencontrer les exigences de l’Agenda 2030.
Le religieux et le politique doivent fusionner.
«…
Avec la dernière session du faux Synode des évêques sur la synodalité,
l'évêque de Rome a franchi une nouvelle étape dans son objectif
d'éradiquer de l'Église catholique son fondateur, chef suprême de
l'institution qu'il a fondée sur la base de son sang et de celui dans
lequel le jésuite argentin se croit le chef suprême, au-delà des
paroles pieuses et des gestes « d'humilité » qu'il exerce publiquement,
pour déguiser la poigne de fer avec des gants de velours qui
accompagnent son gouvernement despotique, démasculinateur et
pro-homosexuel.
Le
spectacle du Synode sur la Synodalité 2024 est terminé, dont les
conclusions ont été présentées dans un Document final qui, pour
la première fois dans l'histoire des synodes des évêques, a remplacé
l'Exhortation apostolique publiée par les Pontifes régnants afin
de recueillir et tenir compte des conclusions de chaque
Synode.
Mais
dans ce cas, JMB a décidé que le Document remplace l'Exhortation qu'il
devait rédiger, car il contient « des indications très concrètes qui
peuvent guider la mission des Églises, dans les différents continents,
dans les différents contextes », ce qui c'est pourquoi qui a décidé de
« le rendre désormais accessible à tous », comme l'enseigne
l'enseignement ecclésial.
Mais
en agissant ainsi, de manière très sibylline, l’évêque de Rome a
transformé l’un des trois axes de la Révélation, en introduisant comme
magistère ecclésial les conclusions d’une assemblée « synodale », en
elle-même hétérogène et insignifiante. C'est-à-dire qu'il a été
constitué par le jésuite argentin dans « l'enseignement ecclésial »,
dans le cadre de la Révélation, ce qu'un petit groupe de personnes
éclairées « par l'Esprit » a erré pendant près d'un mois comme
expériences de vie, encouragées par un compagnon qui les faisait
réfléchir, à la manière des Exercices Spirituels Ignatiens
. À la différence que ces Exercices s'appliquent à l'origine à
l'individu qui réfléchit et médite sur les Mystères divins, tandis que
la méthodologie utilisée dans le Synode a été appliquée collectivement
aux sentiments, pensées et croyances personnels, comme matière à
écouter , à dialoguer.
Il faut tenir compte du fait que cet événement « synodal » :
1) constituait en réalité une parodie d'un synode des évêques, comme un
faux synode, car en plus de celui-ci participaient des religieux et des
religieuses, des laïcs, etc. ;
2°)
au total, 368 personnes (272 évêques et 96 non-évêques) ont participé à
cet événement « synodal », que le pape Bergoglio a manipulé comme une
Assemblée générale ou un mini Conseil universel, avec la majorité de
ses membres arbitrairement choisis par lui et en grande partie certains
sont partisans du progressisme qui a caractérisé le pontificat actuel ;
3º)
réitérant le contenu de la première session synodale tenue l'année
dernière et à d'autres occasions antérieures, le grand absent de
cet événement n'a été nul autre que Jésus-Christ, ignoré et laissé de
côté , pour lui donner la primauté fondamentale du « dialogue
dans l'Esprit », pas au Seigneur ressuscité .
Le salut final de JMB le montre très clairement : il n'y a pas une
seule mention de Jésus-Christ ou du Christ, complètement absent, il y a
seulement deux mentions en passant au Seigneur et au Seigneur
ressuscité, mais pas aussi centrales dans le discours. Et il n’y a plus
l’Église bimillénaire du Christ, une, sainte, catholique et
apostolique (mention zéro), mais plutôt l’Église « synodale »,
horizontale, d’écoute et d’harmonie « dans l’Esprit » .
Et que cette absence du Seigneur ressuscité n'est pas accidentelle est
démontrée par le Document final lui-même , dans lequel bien que
Jésus/Jésus-Christ soit mentionné 31 fois, le noyau central du texte
est la synodalité , mentionnée 77 fois comme axe au cœur
des réflexions. En d’autres termes : Jésus-Christ n’est pas le
centre de l’Église « synodale », mais de la synodalité , comme « un
chemin de renouveau spirituel et de réforme structurelle pour rendre
l’Église plus participative et missionnaire, pour la rendre plus
capable de marcher avec chaque homme. Cette « nouvelle » voie de
l'Église synodale n'a plus pour but ni pour mission « d'établir toutes
choses dans le Christ » (saint Pie X), ni d'annoncer « le nom, la
doctrine, la vie, les promesses, le royaume, le mystère de Jésus de
Nazareth, Fils de Dieu » (Paul VI), ni réaffirmer Jésus-Christ comme «
centre du cosmos et de l'histoire » et « marcher en Lui » (Jean-Paul
II), encore moins « offrir le monde à Jésus-Christ ». et son message de
salut » (Benoît XVI). Rien de tout cela, pour l'« Église » synodale
bergoglienne, la mission de l'Église est « de marcher avec chaque homme
et chaque femme en rayonnant la lumière du Christ ». Il ne s’agit
plus de rendre Jésus-Christ présent dans le monde par la prédication et
l’évangélisation des cultures, mais plutôt de faire rayonner sa
lumière , mais pas vers Lui.
Et
si Jésus-Christ n'est plus le centre et le fondement, alors l'« Église
» synodale le devient, qui cesse d'être le Corps du Christ institué et
fortifié au cours de 2000 ans de mission évangélisatrice, pour devenir
une assemblée constituée à travers « la conversion des sentiments, des
images et des pensées qui vivent dans nos cœurs, ainsi que la
conversion de l'action pastorale et missionnaire »[4]. C'est-à-dire que
ce n'est plus le Christ et sa présence ecclésiale dans le monde qui
sont le fondement de la vie et de la mission de l'Église, mais
plutôt les sentiments, les images et les pensées qui résident
dans le cœur , pour faire naître le « l'échange de dons et
l'entrelacement des liens qui nous unissent dans l'Église ».
Comme on peut le constater tout au long de la lecture du Document
, la Révélation dans son ensemble - Écriture Sainte, Tradition et
Magistère - n'est plus le centre et le fondement de la réflexion
synodale et de la pastorale, mais plutôt « l' écoute, le dialogue et la
réconciliation ».
Et
Jésus-Christ ? Eh bien, merci, qu'il reste calme au Ciel et ne dérange
pas les synodaux démasculinisés et homosexualisés, afin qu'ils puissent
faire entrer « tout le monde, tout le monde, tout le monde », même si
le Seigneur lui-même a clairement dit que plusieurs sont appelés au
salut et d'autres à la damnation, et que « celui qui me dit Seigneur,
Seigneur n'entrera pas dans le Royaume des Cieux, sauf celui qui fait
la volonté de mon Père céleste » (Mt 7, 21). Volonté du Père totalement
absente des réflexions et des conclusions du faux Synode des évêques
récemment conclu.
Le fait est que la synodalité bergoglienne n'a qu'une
signification ou une orientation horizontale - les membres actuels de
l'Église -, mais elle manque totalement d'orientation verticale
et historique : il n'y a pas d'écoute ni de dialogue avec le Dieu
vivant, Un et Trine, ni avec le sanctifiante - les saints qui vivent
aujourd'hui au Ciel - ni avec la doctrine impérissable des Pères,
Maîtres et Docteurs de l'Église ni avec le Magistère Pontifical presque
bimillénaire. C'est la raison pour laquelle le Document
final conclut en affirmant que l'Église bergoglienne est
synodale, parce qu'elle est « un peuple de disciples missionnaires qui
marchent ensemble », c'est-à-dire qu'elle n'est plus le peuple de Dieu,
ni le Corps du Christ, ni le Temple du Saint-Esprit, simplement une «
ville de marcheurs ». Et sibyllin et astucieux, le texte se tourne vers
la Vierge dans son personnage d' Hodiguitria , terme grec qui
signifie « celle qui montre le chemin » [du grec οδός (chemin). Ηγήτρια
(guide), c'est-à-dire la Femme qui, dans l'iconographie
gréco-catholique orientale, désigne l'Enfant Jésus comme la voie à
suivre, mais que le néo-magistère de Bergoglio fait référence au chemin
synodal, sans aucune référence au Seigneur ressuscité.
En bref, l'« Église » synodale conçue par Don Jorge Mario Bergoglio est l'Église du Christ, mais sans le Christ .
Une véritable schizophrénie diabolique. » (stilumcuriae.com)
Aujourd’hui premier novembre, la Toussaint.
Pensons à nos proches décédés demain pour qu’ils reçoivent les grâces de nos prières.
Octobre 2024
31 octobre
Décidément, il n’est vraiment rien sorti du synode des synodes.
Les vaticanistes le confirmant.
Ce que confirme benoit-et-moi.fr.
«
Je m’attendais à avoir des choses à commenter et des articles à
traduire, bref, un peu de travail à la conclusion (est-ce vraiment la
conclusion?) de cet interminable synode. Et puis… rien. No comment. Les
« synodaux » ont passé trois semaines à brasser du vent et ce qui est
éventuellement sorti baigne dans la confusion. Je m’en suis finalement
totalement désintéressée, et j’avoue que j’ai tout simplement cessé de
suivre.
Juste
après, on apprend la sortie d’un encyclique. Celle-là aussi, je doute
qu’elle laisse un souvenir impérissable dans le magistère bergoglien…
et dans la mémoire des catholiques.
Le
problème de ce pape, c’est qu’à force de parler à tort et à travers
dans des improvisations hasardeuses, plus personne ne le prend au
sérieux, et à moins qu’il ne profère de vraies énormités, totalement
contraires au depositum fidei (ce qu’il n’ose pas encore tout à fait
faire), même les médias progressistes l’ignorent. L’inflation de la
parole a tué la parole.
Voici un formidable résumé du sentiment des fidèles, publié sur le portail espagnol Info Vaticana. »
L’encyclique
sur le sacré-cœur de Bergoglio est interprété comme un acte pour dirigé
l’attention ailleurs que sur le rapport synodal (elle fut publiée en
presque en même temps).
«
Chaque fois que sa popularité auprès des catholiques les plus fidèles
commence à s’effriter, François sort un atout de sa manche, quelque
chose qui sent l’encens traditionnel.
Nous approchons de la fin du Synode de la synodalité, ce grand projet
qui était censé révolutionner l’Église, mais qui, à ce stade, en a
laissé plus d’un sans voix .
Que reste-t-il de tout ce fracas médiatique ? Beaucoup de bruit pour
rien. Personne n’écoute, personne ne s’intéresse. Et il semble que, de
plus en plus, les vrais catholiques – ceux qui vont à la messe et
s’engagent réellement dans leur foi – se sentent étrangers à ce qui
vient de Rome.
Alors, maintenant, quoi ?
Ah,
mais François n’est pas un imbécile. Il sait que le noeud est serré et
que la déconnexion avec une partie importante de son troupeau est
évidente. Alors, quel meilleur moyen de regagner la faveur des fidèles
que d’utiliser une vieille formule ? Rien de moins qu’une encyclique
traditionnelle. Car bien sûr, quand les choses vont mal, il y a
toujours la possibilité d’éblouir les catholiques qui respectent encore
ce qui sonne pieux, ce qui a une saveur traditionnelle, ce qui leur
rappelle que l’Église n’a pas commencé avec François.
La nouvelle encyclique, Dilexit Nos, ressemble à un mouvement
stratégique pour redonner une lueur d’espoir aux méfiants, et quelle
coïncidence qu’elle arrive juste après ce Synode désastreux ! Comme
pour dire : « Allons, détendez-vous, regardez, je suis aussi un pape
comme les anciens »… »
Or, ce n’est pas le cas.
Plusieurs papes pré-Vatican II ont sonné l’alarme contre de tels manœuvres :
«
Certains critiques de François ont loué ce qui semble bon dans son
encyclique Dilexit Nos. Mais l'Église ne nous oblige pas à passer au
crible les œuvres de ses ennemis pour trouver ce qui pourrait être bon
: en fait, plusieurs papes enseignent le contraire. » (lifesitesnews.com – long article en anglais malheureusement )
Ainsi, le maître de l’ambiguïté a encore frappé.
Le mystère d’iniquité n’est pas facile à comprendre.
C’est troublant.
Nous sommes dans cette période trouble de la Passion de l’Église comme à la Passion de NSJC.
« Depuis la sixième heure jusqu'à la neuvième, il y eut des ténèbres sur toute la terre. »
Autre article sur benoit-et-moi.fr qui confirme notre dernière analyse.
Le processus synodal cache un coup d’État.
«
Passionnante analyse. Les conclusions posées par le pape ouvrent
peut-être à des développements inattendus que Giuseppe Nardi n’hésite
pas à assimiler à un coup d’état dans l’Église. Enfin, c’est une
hypothèse, mais bien étayée. Pour comprendre la démarche un tantinet
tordue du locataire de Sainte Marthe, il faut remonter à un document
vieux de 6 ans, qui n’avait à l’époque guère retenu l’attention, hormis
celle des spécialistes en droit canon: par la constitution apostolique
Episcopalis communio du 18 septembre 2018, François a introduit la
possibilité d’attribuer un caractère magistériel aux documents finaux
du synode.
Le
pape François tire-t-il finalement le frein à main ? Ou réalise-t-il un
coup d’état ? Nous ne serions pas sous le pontificat de François s’il
n’y avait pas d’ambiguïté à ce sujet.
Dans
un premier temps, il a prolongé la durée du synode des évêques, qui en
réalité n’est nullement un synode des évêques, jusqu’en juin 2025. Au
terme de la deuxième session, François annonce maintenant qu’il renonce
à la publication d’une exhortation post-synodale, comme c’était l’usage
jusqu’à présent. Y a-t-il des objections juridiques ? Ou François
veut-il tenter pour la première fois un putsch « synodal » en insérant
ses interventions dans la constitution de l’Église de 2018 ?
Les particularités du synode sur la synodalité ont déjà été maintes
fois soulignées. Le synode des évêques institutionnalisé était une
invention de la phase finale du Concile Vatican II, introduite par le
pape Paul VI. François a introduit le terme de « synodalité », qui n’a
aucune signification canonique, c’est-à-dire en termes de droit
canonique. On pourrait parler d’un mot-clé, voire d’un slogan à la
mode. Le secteur des relations publiques invente de nouveaux termes
pour des choses anciennes afin de relancer les affaires.
…
2024
François déclare à la clôture du synode que, pour la première fois, il
ne publiera pas d’exhortation post-synodale, mais qu’il mettra à
disposition le document final du synode comme « guide pour la mission
des Églises sur les différents continents et dans les différents
contextes (…) », reconnaissant ainsi « le chemin synodal » et «
remettant » son document au peuple de Dieu.
2025 Reconnaissance du caractère magistériel du document final du synode (modifié ?)?
…
François
n’a toutefois pas fait son annonce de samedi sans raison. En d’autres
termes, il a une intention, mais comme toujours, il ne se laisse pas
dévoiler.
Plusieurs scénarios s’offrent à lui.
Il pourrait faire réviser le document final du synode, ce pour quoi il
dispose de suffisamment de temps jusqu’en juin 2025, et transmettre ce
document révisé à l’Église avec un caractère non contraignant en tant
que document du synode;
ou bien le faire entrer en vigueur avec un caractère contraignant à
différents niveaux en tant que magistère du synode (pas le sien). »
Bergoglio a un plan caché.
Le Jubilé 2025 sera son moment de célébration.
Du jamais vu, ils ont décidé d’avoir une mascotte du Jubilé.
Quelle farce.
« Mgr Fisichella (préfet du Dicastère pour l’Évangélisation depuis
2010) a présenté hier en conférence de presse la « mascotte » du jubilé
2025 (jubilé qui est censé célébrer le 2025-ème anniversaire de la
naissance de Jésus, nous rappelle Yves Daoudal). Pas vraiment
catholique, avec la figure de Greta Thunberg comme emblème. Et on se
demande bien pourquoi le jubilé a besoin d’une mascotte, comme
n’importe quel évènement « festif » planétaire mondain (cela nous
rappelle tristement Paris 2024).
Mais
le scandale ne s’arrête pas là. Le designer chargé de la conception de
l’objet s’est signalé par des créations… douteuses, comme des gadgets
pour les gay-prides et des vibromasseurs.
Seule consolation: beaucoup de ces hideux objets finiront probablement
très vite dans une poubelle (jaune, ou grise? that is the question…) » (benoit-et-moi.fr)
On ne parle plus du Christ dans ce Jubilé.
C’est la suite du Jubilé de la Miséricorde infinie.
Babylone est vraiment en train de chuter.
Ci-dessous suit une brève réflexion de Mgr Carlo Maria Viganò à la
suite de la clôture du Synode pluriannuel du pape François sur la
synodalité.
« Le « Synode sur la synodalité » qui vient de s’achever est une icône
de la duplicité et de la nature frauduleuse de l’Église conciliaire et
synodale.
La promotion de l’agenda mondialiste n’est que trop évidente.
La subversion hiérarchique de la parité de genre est à l’origine de la
discussion surréaliste sur l’ordination des femmes, permettant
d’entamer une expérience pastorale qui puisse dans un avenir proche
servir d’alibi au changement officiel de doctrine sur le sacrement de
l’ordre. Tout comme l’acceptation de l’idéologie LGBTQ+, servilement
transposée au Synode selon les prémisses de Fiducia supplicans, est un
objectif mondialiste.
La Deep Church agit en rupture totale avec le corps ecclésial,
exactement comme le Deep State légifère à l’encontre des citoyens.
Indépendamment des articles de foi spécifiques auxquels le Synode
apporte des modifications par des moyens pastoraux, il est également
évident que le but ultime de Bergoglio est de détruire l’Église
catholique en déformant la nature de la papauté telle qu’elle a été
instituée par Notre-Seigneur.
L’Église de Jorge Mario Bergoglio est une « Église synodale »,
c’est-à-dire qu’elle n’est ni monarchique ni divine, mais démocratique
et humaine. Son autorité n’est pas vicaire du Pouvoir sacré du Christ,
mais l’expression fausse et trompeuse d’une prétendue volonté
populaire, ou pire encore, un signe de l’Esprit, derrière lequel se
cache une organisation subversive. Les fidèles sont trompés par de faux
pasteurs et par des mercenaires.
Tout dans les paroles et les actes de l’Église synodale est mensonge.
Car son but est d’imposer d’autorité, sous couvert d’une demande
populaire, ce qu’aucun fidèle catholique n’a jamais demandé parce que
cela contredit l’enseignement de Notre Seigneur. Cette autorité,
usurpée dans un but opposé à celui que Jésus-Christ lui a donné, est
totalement illégitime et il devrait être du devoir de chaque Successeur
des Apôtres de dénoncer cette farce synodale, ultime étape de la
révolution conciliaire, par laquelle l’Épouse de l’Agneau est remplacée
par la Prostituée de Babylone, asservie au Nouvel Ordre Mondial.
Certains pensent que les inquiétudes sur les intentions subversives de
Bergoglio sont excessives et infondées, citant la dernière « encyclique
» sur la dévotion au Très Sacré Cœur de Jésus comme un exemple de son
orthodoxie en dents de scie. Ce document est une diversion pour tromper
les fidèles, selon la stratégie de tromperie bien rodée propre au
jésuite et péroniste Bergoglio, confirmant sa duplicité et sa
malhonnêteté intellectuelle.
Le thème de Dilexit nos – traité dans une tonalité résolument
antimoderne – constitue une tentative maladroite de réappropriation
frauduleuse par la Compagnie de Jésus du culte du Sacré-Cœur, dont elle
est la gardienne historique. Cette dévotion, née pour contrer l’hérésie
janséniste, doit inévitablement être détournée pour donner l’apparence
de la rigueur théologique à l’hérésie opposée, c’est-à-dire à une forme
de laxisme doctrinal et moral qui admet tout comme déjà guéri et
pardonné par l’infinie Miséricorde de Dieu.
Ce qui est parfaitement cohérent avec l’intention du Synode.
+ Carlo Maria Viganò, archevêque
Notre Seigneur Jésus Christ Roi
27 octobre 2024 » (benoit-et-moi.fr)
Une confirmation rassurante ici : le pape ne peut en rien modifier
la messe en contradiction avec la loi divine, ce qui est la vérité
postulée par NSJC où les portes de l’enfer ne prévaudront jamais sur
l’Église.
« ( LifeSiteNews )
— Le célèbre exorciste et théologien Chad Ripperger a précisé que
le pape ne peut pas modifier la messe en contradiction avec la loi
divine positive, par exemple en modifiant la consécration d'une manière
« qui l'invaliderait ».
Alors que l'on craignait que le Vatican puisse promulguer ou
permettre de nouvelles modifications de la messe après le Synode sur la
synodalité, Ripperger a récemment discuté de son livre The Limits
of Papal Authority Over the Liturgy avec le Dr Robert
Moynihan et Matt Gaspers de À l'intérieur du Vatican.
L'exorciste a d'abord fait la distinction importante entre le pouvoir
et l'autorité, le pouvoir étant la « capacité d'effectuer un changement
», tandis que l'autorité donne à une personne le droit de
déterminer quelque chose ou d'adopter un changement . « Le seul qui a
une autorité absolue, c'est Dieu », a-t-il souligné.
Dans
son livre, Ripperger a partagé une citation du cardinal Joseph
Ratzinger (pape Benoît XVI) qui exprime les limites de l'autorité
du pape sur la liturgie, lue à haute voix par Gaspers lors de
l'entrevue de septembre :
«
Le pape n’est pas un monarque absolu dont la volonté fait loi ; il est
plutôt le gardien de la Tradition authentique et, par le fait même, le
premier garant de l'obéissance. Il ne peut pas faire ce qu'il veut… Sa
règle n'est pas celle du pouvoir arbitraire, mais celle de l'obéissance
dans la foi. C'est pourquoi, en ce qui concerne la liturgie, il a la
tâche d'un jardinier et non celle d'un technicien qui construit de
nouvelles machines et jette les anciennes aux ordures.
Le
rôle du pape est limité plus spécifiquement par la loi divine positive
– celle qui est expressément révélée par Dieu – et par la loi
naturelle, a expliqué Ripperger.
Un
exemple clé de la façon dont le pape ne peut pas changer la
liturgie est de changer les « paroles de la consécration » d'une
manière « qui l'invaliderait », a déclaré Ripperger, car cela violerait
la loi divine positive ordonnée par Dieu lorsque le Christ a dit
pendant la Dernière Cène : « Faites ceci en mémoire de
moi ».
Cela
signifie également que la consécration – par laquelle le Corps, le
Sang, l'Âme et la Divinité du Christ Jésus sont rendus présents dans
l'Eucharistie – ne peut être omise, ce qui, selon les spéculations,
pourrait se produire dans le cadre expérimental, appelé « rite
amazonien » du Messe, selon Anthony Stine de Return
to Tradition.
Le pape ne peut pas non plus « insérer quelque chose dans la liturgie…
qui soit contraire à la loi naturelle », comme le « culte des idoles
païennes », a ajouté l’exorciste.
«
C'est précisément son obéissance à ces choses qui est précisément
l'objectif de son bureau », a déclaré Ripperger à propos du pape.
Gaspers a souligné le point du prêtre théologien selon lequel, parce
que la foi catholique est immuable et que la liturgie est basée sur la
foi, des changements dans la messe concernant ses principes
fondamentaux sont impensables.
«
Étant donné que le dépôt de la foi ne change pas et constitue
la loi ou la loi autour de laquelle s'articule le
développement liturgique, seul un développement organique peut
légitimement être envisagé », a cité Gaspers dans le livre de Ripperger.
L'exorciste
a déclaré avoir souligné dans son livre que « ce n'est pas à nous de
déterminer comment nous adorons Dieu », en citant l'Ancien Testament
comme preuve de cela, puisque Dieu était « très exact » en dictant
comment la liturgie est censée se dérouler.
«
Même le Christ a dit : 'Faites ceci en mémoire de moi.' Il est donc
très précis sur certaines choses qui doivent être faites » dans la
liturgie, a déclaré Ripperger. "Et c'est à Dieu de prendre ces
décisions."
a
noté que le pape a « un peu de latitude » concernant les parties «
accidentelles » de la messe – c'est-à-dire ses aspects extérieurs, qui
se sont en fait « développés au fil du temps » – mais que ceux-ci ne
peuvent pas tenter de modifier les fondamentaux : la foi elle-même, la
loi divine positive et la loi naturelle.
«
En fin de compte », nous devons reconnaître que Dieu a déterminé la
manière dont nous devons l'adorer, a déclaré Ripperger, c'est pourquoi
« la tradition est si essentielle », et il approfondit l'importance de
cela dans son livre .
«
Parce que c'est précisément à travers la tradition que ce que Dieu nous
a enseigné sur ces questions nous parvient », a déclaré l'exorciste,
soulignant que l'Écriture est également considérée comme faisant partie
de la tradition.
Le
fait est que c'est précisément à travers ces choses qui nous ont été
transmises depuis le tout début, depuis l'époque des apôtres jusqu'à
aujourd'hui, que nous savons réellement que c'est ce que nous sommes
censés faire , a-t-il poursuivi.
En
d'autres termes, « plus quelque chose reste longtemps dans la
liturgie, plus on sait que c'est la volonté de Dieu qu'il y soit
utilisé », a déclaré Ripperger.
Son
analyse semble suggérer des problèmes avec le Novus Ordo
Missae, ainsi que mettre en garde contre des changements
potentiels à venir dans cette messe, ou même contre une nouvelle messe
(« Messe » ?). En effet, Ripperger, Gaspers et Moynihan ont fait
allusion aux dommages que le Novus Ordo a infligés à la foi
des gens en raison de l'apparition soudaine de nombreux changements
radicaux dans la liturgie.
"Quand
il y a autant de changements" dans la messe, "en fin de compte... ce
qui se passe c'est... ça leur donne l'impression que la foi elle-même
pourrait changer, ou que le contenu de la foi pourrait changer », a
déclaré le Père. Ripperger, ajoutant qu'il n'est "pas la seule personne
à avoir attiré l'attention sur ce problème particulier".
En fait, selon Ripperger, saint Thomas d’Aquin lui-même a déclaré
que si la loi est modifiée trop fréquemment, sa force finit par
s’éroder. »
Rappelons suite à notre dernière analyse que les élections américaines 2024 sont un pivot, un point de bascule.
D’ailleurs les prophéties de Jean XXIII font état d’une guerre civile
aux États-Unis, mais les prophéties politiques sont plus difficiles à
interpréter.
Tout comme la prophétie « Grand Éclair à l’Orient ».
Le Jerusalem Post a publié une analyse qui confirme qu'Israël a mis la
pédale douce dans la dernière attaque contre l’Iran à la demande des
États-Unis pour qu’il n’y ait pas d’influence sur le résultat des
élections.
Le
chef de la Force de Défence Israélienne a confirmé que si l’Iran
réplique, les cibles seraient les points stratégiques majeurs.
Bref, ils ont testé la défense iranienne et ils savent à quoi s’en tenir.
Israël devrait frapper après les élections.
Préparez-vous car une attaque majeure contre l’Iran (ces derniers
bloqueront le détroit d’Ormuz, voie navigable du pétrole) ou de la
Chine contre Taïwan (ce qui se dessine à l’horizon après les élections;
il y aura un blocus des pays occidentaux contre la Chine en
représailles), vont avoir une incidence majeure sur le coût des biens
et services.
Une inflation de guerre n’est jamais négligeable.
28 octobre
LE PROJET 47 : LA SUITE
À
une semaine des élections américaines, effectuons un retour sur le
dernier article du regretté Louis D’Alencourt du Grand Réveil qui
anticipait avec impatience cette date du 5 novembre et sa vision du
Projet 47 pour le venue du « messie » le 20 janvier 2025, jour
d’assermentation du président, et date invoquée en 2021 :
«
Parce que les élites juives, civiles et rabbiniques, ont demandé à
l’ensemble des juifs du monde de réciter une prière mondiale pour
demander le Messie le 21 février 2021 : ce jour-là, tous les juifs
du monde devaient réciter la même prière à la même heure, 18h heure de
Jérusalem.
Or le 21 février 2021 est distant de 47 mois, au jour près, du 20 janvier 2025. »
« Seuls les imbéciles, les naïfs et les ignorants, soit la majorité de
nos concitoyens, ne savent pas que depuis deux mille ans la communauté
juive caresse un projet messianique basé sur les promesses de Dieu
faites à son peuple via les prophètes de l’Ancien Testament -à
commencer par Isaïe-, à savoir la domination du monde, l’accaparement
et la jouissance de ses richesses. »
(projet 47 - grandreveilwordpress.com)
Telle est la théorie développée dans l’article « Projet 47 » : la venue du messie judéo-maçonnique.
Cinq mois se dont écoulés depuis la publication de l’article.
Où en sommes-nous? Que s’est-il passé depuis le mois de mai?
Albert Pike (dernière analyse) :
« La Troisième Guerre mondiale doit être fomentée en utilisant les
divergences que les agents des Illuminatis attiseront entre les
Sionistes Politiques et les dirigeants du monde musulman. La guerre
doit être menée de telle manière que l’Islam (le monde Arabe y compris
la religion de Mahomet) et le Sionisme Politique (y compris l’État
d’Israël) se détruisent mutuellement. Dans le même temps, les autres
nations une fois de plus divisées entre elles à ce propos, seront
forcées de se combattre jusqu’à un état d’épuisement complet, physique,
moral, spirituel et économique. »
Tel est le plan pour en arriver au messie judéo-maçonnique.
Or, nous constatons en cette fin d’octobre 2024 que :
- La guerre entre l’Islam chiite et Israël s’est étendue et amplifiée.
-
La guerre en Ukraine persiste et la Corée du Nord fournie de l’armement
et des combattants (plus de 12000) en abondance à la Russie. Idem pour
la Chine.
- L’Iran resserre ses liens avec ces derniers.
- La Chine menace Taïwan.
-
Bref, il existe deux axes maintenant confirmés, que nous connaissons
depuis longtemps pour les avoir analysés : l’axe anglo-saxon qui
veut un messie avec domination unipolaire, et l’axe des Loubavitch,
Russie en tête, qui veut un messie avec un monde multipolaire.
« M. Poutine présente l’invasion de l’Ukraine comme « le fer
de lance de la destruction de l’ancien ordre mondial et de la
construction d’un nouvel ordre », a déclaré Alexander Gabuev,
directeur du Centre Carnegie Russie-Eurasie à Berlin. « Le BRICS
est la structure la plus puissante et la plus représentative de ce
nouvel ordre mondial. » (lapresse.ca)
Les
pays associés aux BRICS (axe russo-chinois) ont décidé de faire tomber
le dollar américain la semaine dernière et publié leur projet d’une
nouvelle monnaie commune.
-
Tous les pays dominants ont augmenté de façon drastique l’immigration
avec comme conséquence des prix des loyers et des habitations
augmentant en flèche. Le but : diluer le christianisme et
l’identification culturelle pour pouvoir imposer la nouvelle religion
humaniste.
-
Tous les pays ont augmenté leurs dépenses fiscales conséquemment,
plongeant ces derniers dans une dette qui ne sera pas remboursée. Les
deux guerres ont parallèlement la même fonction : augmenter la
dette tout en épuisant les ressources militaires des autres
nations y participant : matérielles et humaines.
« Dans le même temps, les autres nations une fois de plus divisées
entre elles à ce propos, seront forcées de se combattre jusqu’à un état
d’épuisement complet, physique, moral, spirituel et économique. »
(Albert Pike ci-haut)
Voilà l'état de notre monde à l'aube des élections américaines.
Les brebis sont menées à abattoir par l’anxiété et l’épuisement.
Le « Projet 47 » est étroitement lié aux élections américaines selon Louis D’Alencourt.
Pour la venue du messie judéo-maçonnique.
Depuis la parution de l’article, il s’est passé une série d’évènements
proprement extraordinaires dans le contexte d’une campagne électorale.
Un
débat où le président sortant, le plus vieux de l’histoire en exercice,
a démontré que l’âge avait affecté ses facultés cognitives.
Ce qui a mené à son retrait de la course présidentielle un mois plus tard.
L’ex-président Trump a échappé à deux attentats contre sa personne.
Les deux camps sont au coude à coude et les mensonges pleuvent dans les médias pour influencer la masse quant au vote.
Louis D’Alencourt :
« Par conséquent la stratégie paraît claire : le candidat qui doit
gagner le 5 novembre est très certainement le Démocrate, quitte à
tricher encore une fois, comme ils l’ont fait en 2020 pour reprendre la
main et évincer Trump. Ceci me paraît être leur projet avec certitude.
Ensuite, l’inconnue réside dans le fait qu’on ne sait pas encore si
celui ou celle choisi pour être le 47è Président, qui doit être selon
moi forcément juif, ce qui n’est pas le cas de Biden, sera révélé peu
de temps avant l’élection, remplaçant le candidat Biden à la dernière
minute, dans un contexte et une situation arrangés pour la circonstance
(l’actualité internationale est suffisamment riche pour
« organiser » de grands changements), ...
Conclusion
Le Projet 47, c’est l’entrée dans l’ère de l’hégémonie et de la
domination des élites juives, du judaïsme et de l’esprit juif sur le
monde (le tout formant leur « Messie »), et cette ère, nous
disent-ils avec leurs signes ésotériques, commencerait à l’investiture
du 47è Président américain, le 20 janvier 2025.
Mais puisque le 47 est aussi le chiffre du Christ en gloire, il n’est
pas interdit de penser que l’inverse peut se passer et qu’en réalité,
ce sera la victoire du Christ sur le monde, le démon et la synagogue.
Et le signe de la conversion en masse des juifs à la fin du monde comme
le pressent la tradition chrétienne. »
Nous
savons tous (analyses précédentes) que l’Islam chiite, Iran en tête,
espère voir son « mahdi » ou messie apparaître suite à une guerre avec
Israel.
Ils ont donc intérêt à continuer l’escalade.
Du côté israélien :
«
Netanyahou est sous l'influence de certains ministres messianiques et
racistes qui le forcent à déclencher une escalade pour accélérer la
venue du Messie et ce n'est pas une manière saine pour un État comme
Israël dans un environnement hostile et complexe » (Ehud Barak,
ancien Premier ministre israélien)
Pour les israéliens au pouvoir, le comportement de Trump lors de la
dernière élection n'a été que stratégie pré-électorale, voici un rappel
des propos tenus par Netanyahu le 5 mars 2018 à Washington DC quant à
celui qu'il compare au roi Cyrus.
« Je tiens à vous dire que le peuple juif a une longue mémoire ; nous
nous souvenons donc de la proclamation du grand roi Cyrus le Grand, le
roi perse, il y a 2 500 ans. Il a proclamé que les exilés juifs à
Babylone pouvaient revenir et reconstruire notre Temple à Jérusalem.
Nous nous souvenons qu'il y a cent ans, Lord Balfour a publié la
proclamation Balfour qui reconnaissait les droits du peuple juif sur sa
terre ancestrale.
Nous nous souvenons qu'il y a soixante-dix ans, le président Harry S.
Truman a été le premier dirigeant à reconnaître l'État juif.
Et nous nous souvenons qu'il y a quelques semaines, le président Donald
J. Trump a reconnu Jérusalem comme capitale d'Israël. Monsieur le
Président, notre peuple s'en souviendra à travers les âges. » (israelnationalnews.com)
Jésuralem, c’est la capitale qui doit être reconnue comme centre du système messianique judéo-maçonnique… à la place de Rome.
« L’idée principale véhiculée par ces pièces est que le président Trump
initie un processus prophétique qui facilitera finalement, le moment
venu, la reconstruction du Troisième Temple. » (pierre hillard)
Netanyahou, rappelons-le, est celui qui d'après le rabbin Schneerson, « remettra les clés d'Israël au Messie »
Voilà pourquoi on le maintient au pouvoir depuis des années.
« Netanyahou : détenir les clés du Messie
Une division au sein de la coalition dirigée par le premier ministre
Benjamin Netanyahu pourrait mener à de nouvelles élections, ce qui
susciterait l'inquiétude de certains, tandis que d'autres notent que
cette évolution aurait pu être prédite à maintes reprises comme le
précurseur d' une époque meilleure et beaucoup plus messianique.
...
Même si les élections pourraient mettre fin au long séjour de Netanyahu
au poste de premier ministre, certains pensent qu’elles marqueront le
début d’une ère entièrement nouvelle, beaucoup plus messianique.
Le lien le plus fort de Netanyahu avec le Messie était celui du
rabbin Menachem Mendel Schneerson , le dirigeant de
Loubavitch Habad décédé en 1994. Les deux hommes se sont rencontrés
pour la première fois en 1984, lorsque Netanyahu était ambassadeur
d'Israël auprès des Nations Unies.
Avant que Netanyahu ne retourne en Israël en 1988 pour rejoindre le
Likoud, le Rabbi lui a donné des conseils qui se sont révélés au moins
en partie prophétiques.
...
« Ça me fait vraiment mal, en tant qu'ami, en tant que frère, en tant
qu'ami proche, de voir comment les gens versent constamment le sang de
Netanyahu », a confié le rabbin Schneerson à Nachshon. »
Mais j'ai une surprise pour toi, il va s'en sortir et il va se tenir
debout, du côté de Dieu. Il a une promesse du Rabbi, et il va tenir
jusqu'au bout. Nous avons vu cela se produire jusqu'à présent, et c'est
aussi comme ça que ça va se passer désormais. Il s'en sortira et il
continuera, et j'espère qu'il pourra remettre ses clés au Machia'h (le
Messie), et nous aurons la Rédemption complète et véritable.
Le rabbin Loubavitch n'était pas le seul tsadik (homme juste)
éminent à avoir de grandes attentes à l'égard de Netanyahu. Le
rabbin Yitzchak Kaduri, l'un des chefs spirituels sépharades les
plus influents du siècle, décédé en 2006 à l'âge de 106 ans, a
rencontré Netanyahu en 1997 lors de son premier mandat de premier
ministre.
Le rabbin Kaduri a murmuré un long message à l'oreille des politiciens.
Le rabbin Shmuel Shmueli, un disciple du rabbin Kaduri, a révélé que
Kaduri avait toujours soutenu que Netanyahu servirait très longtemps et
qu’après son mandat, le Messie arriverait. Avant sa mort, Kaduri avait
dit qu'il attendait l'arrivée prochaine du Messie juif et qu'il l'avait
rencontré un an plus tôt.
En mai, Breaking Israel News a rapporté l'opinion du
rabbin Levi Sudri, soulignant les nombreux parallèles entre l'actuel
premier ministre et Jonathan, le fils du roi biblique Saül. Sudri a
suggéré que Netanyahu remplit la fonction de Moshiach ben Yosef (Messie
de la maison de Joseph) dans la première moitié du processus
messianique en deux étapes.
Moshiach ben Yosef est un processus pratique et banal qui comprend
le rassemblement des exilés et la construction de la Terre
d'Israël. La deuxième étape, Moshiach Ben David (Messie de la maison de
David) est un processus miraculeux qui comprend le rétablissement de
la dynastie davidique et l'achèvement du Troisième
Temple .
Le rabbin Sudri a expliqué qu’en tant que réincarnation de Jonathan et
manifestation du Machia’h ben Yosef, Netanyahu ouvre la voie au
Machia’h ben David, plus transcendant, qui suivra immédiatement.
« Il est très clair que nous voyons chez le premier ministre Benjamin
Netanyahu qu’il accomplit son destin de Machia’h ben Yosef ,
c’est-à-dire la réincarnation de Jonathan », avait alors déclaré le
rabbin Sudri à Breaking Israel News . « Le nom « Netanyahu » (נתניהו)
est composé des mêmes lettres que le nom « Jonathan (יהונתן). »
Ce sentiment a été repris par le rabbin Moshe Ben Tov , connu
pour sa capacité à percevoir le passé et le présent des gens en
regardant la mezouza à leur porte. Après avoir accroché une mezouza
dans le bureau du premier ministre, le rabbin Ben Tov a fait une
déclaration remarquable au premier ministre.
« Il est très important que votre amour pour Israël continue jusqu’à
l’arrivée du Machia’h parce que vous allez rester au pouvoir et allez
le rencontrer », a déclaré le rabbin Ben Tov à Netanyahu. "Vous allez
lui remettre les clés de ce bureau."… » (israel365news.com)
Pour la kabbale, c’est le temps du messie, et tout sera fait pour qu’il arrive, car cette guerre est spirituelle.
Le religieux domine toujours le politique, quoiqu’en pense la masse laïcisée.
27 octobre
LE RAPPORT
L’éléphant a-t-il accouché d’une souris?
Trois longues années de consultations et de tables rondes pour en arriver à un rapport… qui ne conclut sur rien.
Rien.
Que du vent, sauf comme conclusion que le processus synodal est là pour demeurer indéfiniment.
Le
futur cardinal Radcliffe avait bien raison de dire dans sa méditation
du 21 octobre (analyse précédente) qu’il y aurait beaucoup de
déceptions.
Pour ceux qui ne le savent pas encore le rapport a été publié après approbation rapide de Bergoglio samedi le 26 octobre.
«
Il n’y aura pas d’exhortation apostolique post-synodale, a annoncé le
pape François, à la fin du synode de trois ans, mais il est ordonné que
le processus se poursuive.
CITÉ DU VATICAN ( LifeSiteNews
) — Le texte officiel et le document final du Synode pluriannuel sur la
synodalité ont été publiés : plus silencieux sur les questions dites «
brûlantes » que l'année dernière, mais appelant plutôt à une réforme à
l'échelle de l'Église conformément à « synodalité » – un mot décrit
comme signifiant une concentration sur l'œcuménisme, l'écoute et le
renouveau. »
Alors…
Au premier abord, ce n’est pas la conclusion à laquelle nous nous attendions.
Pas
de grande déclaration. Pas d’interdiction de la messe tridentine. Pas
de grande manœuvre d’œcuménisme via une nouvelle messe.
En fait, le synode, cela n’existe pas comme l’ont analysé les différents spécialistes théologiques dans les dernières analyses.
On
en conclu donc que la base n’a réellement rien à dire dans la destinée
de l’église comme l’ont spécifié les intervenants du Vatican depuis
2021.
Voici ce que déclarait Bergoglio à l’ouverture de ce dernier :
«
Chers frères et sœurs, que ce Synode soit un véritable temps de
l'Esprit ! . . . Le Père Congar, de mémoire bénie, a dit un jour : « Il
n'est pas nécessaire de créer une autre Église, mais de créer une
Église différente » ( Vraie et fausse réforme dans l'Église ). C'est le
défi. » (François, 9 octobre 2021, Discours d'ouverture du Synode)
Voilà.
La fausse église prophétisée par Anne Catherine Emmerich et autres.
Le
synode n’a été qu’une grande réinitialisation, et N’EST, qu’un paravent
pour adapter l’église au renouveau mondial humaniste, à la nouvelle
religion de l’Agenda 2030.
Si
notre hiérarchie catholique avait été peuplée d’évêques saints et
fidèles, ces paroles auraient suffi à forcer la fin du Synode sur la
Synodalité avant qu’il ne commence.
« Enraciné
dans la tradition de l'Église, tout le chemin synodal s'est déroulé à
la lumière du magistère conciliaire. Le Concile Vatican II a été comme
une graine jetée sur le terrain du monde et de l'Église . . . . Le
chemin synodal met effectivement en pratique ce que le Concile a
enseigné sur l'Église comme mystère et l'Église comme peuple de Dieu,
appelé à la sainteté par une conversion continue qui naît de l'écoute
de l'Évangile. En ce sens, le chemin synodal constitue un acte
authentique supplémentaire de réception du Concile, approfondissant
ainsi son inspiration et redynamisant sa force prophétique pour le
monde d'aujourd'hui .» (Paragraphe 5 du rapport)
Cet exemple démontre qu’à l’image de Bergoglio, tout est ambiguïté, et continuera de l’être.
Et,
ce paragraphe confirme la fin de Vatican II, dont le rejeton, le «
processus synodal » est là pour rester, et damner les âmes.
On
le répète, l’église synodale implique LE processus démocratique qu'on a
vu à travers le Synode, au moins superficiellement. En réalité,
cependant, ce sont les ennemis de l'Église (avec Satan à leur tête) qui
prennent les décisions, tout en faisant semblant de permettre aux
fidèles d'avoir leur mot à dire.
Alors que le Saint-Esprit est celui qui guide toutes les décisions critiques dans l' Église catholique.
Pas ici dans ce processus superficiel.
Alors, que pouvons nous en conclure.
Simplement que l’Église est morte ou le sera bientôt car le processus synodale est un acte d’euthanasie sur cette dernière.
Est-ce la mort des deux témoins?
Il ne semble pas que ce soit encore le cas.
Car,
il faut avoir la mémoire longue, Bergoglio attends toujours les
rapports de ses comités sur les questions non résolues pour le début
2025.
C’est là que tout se décide.
Dans la tête de Bergoglio.
Et personne d’autre.
Car,
selon la Constitution apostolique de Bergoglio de 2018, Episcopalis
communio , une fois que le document final d'un synode « est
expressément approuvé par le Pontife romain, le document final
participe au Magistère ordinaire du Successeur de Pierre ».
Donc, Bergoglio a le mot final sur tout.
Il y aura donc plusieurs surprises à l’horizon dont l’interdiction totale de la messe Tridentine.
Et, comme nous l’avons vu pendant le synode, la mise en pratique pour trois ans du rapport du synode amazonien.
Pas de modification de la Liturgie pour l’instant, mais si on le
mentionne dans le rapport final, c’est qu’on y pense et qu’on attend le
moment propice pour agir :
«
« Approfondir le lien entre liturgie et synodalité aidera toutes les
communautés chrétiennes, dans la diversité de leurs cultures et
traditions, à adopter des styles de célébration qui rendent visible le
visage d'une Église synodale », peut-on lire dans le texte. (26 :
312/43) Interrogé sur ce point lors du briefing synodal de samedi soir,
Hollerich a déclaré qu’il n’y avait aucun projet de « révolution »
liturgique.
«
Il n’est pas prévu de remplacer les prêtres par des laïcs ou des laïcs,
juste pour rendre le processus un peu plus participatif », a-t-il
déclaré. » (lifesitenews.com ci-haut)
Nous en saurons plus avec les analyses des spécialistes qui sortiront cette semaine.
Pendant
la publication du rapport, « Des catholiques du monde entier se
rassemblent à Rome pour le pèlerinage international annuel de la messe
latine Summorum Pontificum, au cours duquel le cardinal Gerhard Müller
a conduit les fidèles en prière à l'intérieur de la basilique
Saint-Pierre. » (lifesitesnews.com – en anglais- mais des photos donnent une idée).
Pour terminer, la comète de la fin du synode plonge présentement vers le soleil (image ici du satellite SOHO : la comète vient du sud-est, en bas en droite de l’écran) et nous verrons ce qu’il en advient.
Vive le Christ Roi!
25 octobre
Dernier droit pour le synode des synodes: les participants sont en train d'écrire le rapport final.
Le
futur cardinal Radcliffe, toujours responsable des méditations
synodales, a eu le privilège de guider les « brebis synodales » en ce 21
octobre, avant la phase de rédaction du document.
Cela se résume à « liberté de parler et d'accepter des décisions même décevantes ».
On prépare donc les esprits à accepter l'inacceptable: la mort de l'Église et des deux témoins.
«
Le père Radcliffe a appelé les participants à mettre en pratique la
mission de «prêcher et incarner» une double liberté, «la double hélice
de l'ADN chrétien»: «la liberté de dire ce que nous croyons et
d'écouter sans crainte ce que les autres disent»...
«nous
avons la liberté de ceux qui croient que, comme l'écrivait saint Paul
aux Romains (Rm 8.28), “Dieu fait tout pour le bien de ceux qui
l'aiment”, et qu'en fin de compte “nous pouvons être en paix parce que
”rien ne peut nous séparer de l'amour de Dieu», pas même
l'incompétence, pas même l'erreur ». Ce n'est qu'ainsi que nous pouvons
passer de la première liberté, celle qui nous fait dire «je», à la
liberté plus large qui nous fait «appartenir à l'Église et dire
“nous”». » (vaticannews.va)
L'église du « nous », c'est l'église synodale. En permanence. Évoluant au gré des moeurs des fidèles.
Comme
preuve, il clôture sa méditation en mettant l'accent sur la façon dont
la « liberté » synodale se traduit par le besoin de se libérer avec
audace des contraintes de l'orthodoxie.
Lire ici: se libérer de la Tradition, la véritable Église catholique fondée sur Pierre, la pierre angulaire de l'Église.
«
Si nous avons seulement la liberté d'argumenter pour nos positions,
nous serons tentés par l'arrogance de ceux qui, selon les mots de
Lubac, se considèrent comme 'la norme incarnée de l'orthodoxie'. Nous
finirons par battre le tambour de l'idéologie, qu'elle soit de gauche
ou de droite.
Si nous n'avons que la liberté de ceux qui font confiance à la
Providence de Dieu mais n'osent pas entrer dans le débat avec leurs
propres convictions, nous serons irresponsables et ne grandirons
jamais. » (vaticannews.va ci-haut)
C'est
ce type de « liberté » qui permet à un prêtre catholique qui soutient
haut et fort l'agenda LGBTQ d'être le guide spirituel du Synode.
Cependant,
comme les catholiques le savent, cet état d'esprit exclut la véritable
liberté que Dieu offre à ceux qui respectent sa vérité et conduit
plutôt ses adhérents à être esclaves du péché, qui est une facette clé
du processus synodal.
Ce n’est pas là le vrai sens de la liberté chrétienne.
Dieu nous a créé libre pour faire le choix entre être sauvé par le Christ, ou perdre son âme à jamais.
Ce n'est qu'en vivant selon ce que l'Église enseigne réellement qu'on peut avoir la liberté intérieure dont parle saint Paul.
Ces paroles confirment nombres de prophéties en passant par Anne Catherine Emmerich et l'archevêque Fulton Sheen :
« Il établira une contre-Église qui sera le singe de l'Église, car lui,
le Diable, est le singe de Dieu. Elle aura toutes les notes et les
caractéristiques de l'Église, mais à l'envers et vidée de son contenu
divin. (Mgr Fulton Sheen, Le communisme et la conscience de l'Occident
).
Ainsi,
nous aurons la conclusion de Vatican II avec le rapport final qui sera
déposé par les participants en ce dimanche 27 octobre 2024.
Octobre 2024 est l'année où tout bascule (voir analyse du 18 septembre: À L'AUBE DU SALUT).
La
fausse église montrera à tous les adeptes du mondialisme qu'elle s'est
pleinement convertie aux valeurs humanistes de la « théologie de la
libération » à la sauce bergoglienne.
Si
ce n'est pas une coïncidence, Bergoglio a rendu un grand hommage au
père de la théologie de la libération qui est décédé le 22 octobre
dernier, alors que Jean-Paul II et Benoît XVI avaient pris les
dispositions nécessaires pour s'éloigner de cette idéologie marxisante.
(voir benoit-et-moi.fr)
Mais, l'Église ne périra point.
En ce 27 octobre, selon l'Église, c'est la fête de Notre Seigneur Jésus-Christ Roi.
Pas de hasard pour les véritables croyants qui ont la vue pour voir.
Le monde n'a jamais été sous une telle tension qu'en cette fin de mois
où s'entrecroisent la fin du synode, Israël qui menace l'Iran d'une
attaque foudroyante, ce qui va mettre le feu aux poudres pour
l'élargissement du conflit au Moyen-Orient, la guerre ukrainienne, les
menaces de la Chine envers Taïwan, et les élections américaines dans
deux semaines.
Et le soleil...
Une
série de taches solaires sont apparues hier qui élèvent drastiquement
le niveau d'alerte des possibilités d'une tempête solaire majeure.
(photo ici)
Ces taches au sud-ouest sur l'image se déplaceront vers le sud-est durant les prochains 14 jours.
Elles feront donc face à la terre lorsqu'elles seront en plein centre de l'astre du jour.
C'est à suivre...
22 octobre
LE FAUX PROPHÈTE, LE SYNODE, ET LA MESSE
L’ascension
de Bergoglio au trône de Saint-Pierre est la conséquence d’un processus
très long engendré par la franc-maçonnerie, directement lié au
relâchement des démons pour la fin des temps évoqué par Léon XIII (voir
analyses précédentes sur Léon XIII et l’importance du chiffre 13).
La franc-maçonnerie avait réussi à placer son premier pape sur le trône de Saint-Pierre suite au décès de Léon XIII en 1903.
Mais, le cardinal Rampolla nouvellement élu fut évincé grâce à
l’intervention de l’empereur François-Joseph d’Autriche qui usa de son
droit de veto (privilège réservé à l’Autriche, à la France et à
l’Espagne. Évidemment, le droit de veto fut aboli peu de temps après).
Ce qui n’empêcha pas les cardinaux de mettre son buste dans la salle
papale en face de la liste des papes décédés avec l’inscription
suivante :
«
Marianus Rampolla del Tindaro titulaire de Sainte-Cécile (tu
Transtevere) étant dévôt du bienheureux Pierre et ayant comme
archiprêtre de la basilique offert à cette dernière une splendeur
insigne l’Ordre des Chanoines plein de reconnaissance envers ce grand
homme perpétue sa mémoire année 1914. »
« Franc-maçon appartenant supérieurs lucifériens (OTO : Ordo
Templi Orientis) au service du pape Léon XIII et qui faillit lui
succéder en 1903. Par un coup de pouce de la Providence, c’est Saint
Pie X qui arriva sur le trône de Saint-Pierre. Son action permit de
retarder le développement du modernisme dans l’Église. Cette
infiltration, sans oublier les relais au service de Rampolla, on
perduré après sa mort… cela a donné Vatican II… » (Pierre Hillard,
Archives du Mondialisme, p. 178)
Rampolla fut l’homme d’action dans le domaine spirituel pour détruire
l’église et amener l’humanité au nouvel humanisme. Il a échoué à
devenir pape pour accélérer le processus, mais son réseau a perduré
après sa mort en 1913 pour en venir à l’assimilation de l’Église aux
dogmes judéo-maçonniques.
Du côté politique, c’est Josef Hieronim Retinger qui a tenu le rôle
pour la construction européenne (organisme maintenant supra-national
qui dicte ses lois au pays en faisant partis), prélude nécessaire au
nouvel ordre mondial.
Rampolla et Retinger se connaissaient, et s’estimaient.
La tentative Rampolla avait échoué.
Les franc-maçons essayèrent de nouveau en 1958 où le cardinal Siri fut
élu pape mais on lui a fait rapidement savoir au conclave, sous
menaces, qu’il devait laisser la place au cardinal Roncalli.
« Mes chers amis, le Siège
de Pierre et les places d'autorité à Rome étant occupés par des
antéchrists, la destruction du Royaume de Notre Seigneur s'effectue
rapidement jusque dans Son Corps Mystique ici-bas, notamment par la
corruption de la Sainte Messe. qui est à la fois l’expression splendide
du triomphe de Notre-Seigneur sur la Croix – Regnavit a Ligno Deus – et
la source de l’extension de son royaume sur les âmes et les sociétés. »
(MgrLefebvre, un an avant la consécration de quatre évêques pour la
Fraternité Saint-Pie X)
Ainsi, la porte était ouverte pour Vatican II et la venue du faux prophète : Bergoglio.
Le faux prophète n’est mentionné qu’à deux occasions dans
l’Apocalypse : pour la toute fin des temps, pour la préparation de
l’acte final, Armageddon.
« Et je vis sortir de la bouche du dragon, et de la bouche de la bête,
et de la bouche du faux prophète, trois esprits impurs, semblables à
des grenouilles. Car ce sont des esprits de démons qui font des
prodiges, et ils vont vers les rois de toute la terre, afin de les
rassembler pour le combat du grand jour du Dieu tout-puissant. Voici
que je viens comme un voleur. Heureux celui qui veille et qui garde ses
vêtements, pour ne pas aller nu et ne pas laisser voir sa honte !
Et ils les rassemblèrent dans le lieu appelé en hébreu Armaguédon. » (Apocalypse 16, 13-15)
Le
dragon, Satan, est accompagné de la bête de la terre (le système
antichrist; Nations-Unies, France, Fille Aînée de l'Église converti à
la laïcité avec à sa tête Macron) et le faux prophète Bergoglio pour le
Vatican, soient les deux Babylone de la prophétie de Jean XXIII.
«
Quand les mille ans seront accomplis, Satan sera relâché de sa prison,
et il en sortira pour séduire les nations qui sont aux quatre
extrémités de la terre, Gog et Magog, afin de les rassembler pour le
combat : leur nombre est comme le sable de la mer.
Elles montèrent sur la surface de la terre, et elles cernèrent le camp
des saints et la ville bien-aimée ; mais Dieu fit tomber un feu du
ciel qui les dévora. Et le diable, leur séducteur, fut jeté dans
l'étang de feu et de soufre, où sont la bête et le faux prophète, et
ils seront tourmentés jour et nuit aux siècles des siècles. »
(Apocalypse 20, 6-10)
Nous avons eu la preuve depuis 2013, que Bergoglio parle comme un
esprit impur, ni oui, ni non, que de l’ambiguïté, ne se fiant
aucunement aux dogmes, mais à l’« esprit humaniste », esprit habitant
maintenant le synode des synodes, et non, l’Esprit-Saint.
Il est bien celui qui prône l’amalgame de toutes les religions et pour
y parvenir prêche l’immigration de masse pour éliminer l’identification
culturelle, et surtout l’identification au christianisme catholique.
Il prépare le nouvel ordre mondial avec l’élite judéo-maçonnique
dominante, prônant les cessez le feu et la paix
mondiale pour arriver à cette fin avec une seule religion humaniste.
«Le
pape François a canonisé hier, le 20 octobre, les martyrs de
Damas. Dans la nuit du 9 au 10 juillet 1860, dans le cadre de la
persécution des chrétiens, des druzes ont pris d’assaut le couvent des
franciscains dans la vieille ville de Damas. Ils y ont tué onze
chrétiens dont ils se sont emparés : huit franciscains et trois laïcs
arabes.
L’Osservatore
Romano, le quotidien officiel du pape, a présenté les nouveaux saints
sans mentionner pourquoi ils avaient souffert le martyre : Parce qu’ils
avaient refusé d’embrasser l’islam. » (benoit-et-moi.fr)
Voilà.
On ne froisse pas l'Islam parce qu'elle doit absolument entrer dans le
rang (voir analyses précédentes et le pacte d'Abu Dhabi signé par
Bergoglio).
Voici ce qu’avait affirmé Albert Pike, le grand prophète luciférien du XIXème siècle :
« La
Troisième Guerre mondiale doit être fomentée en utilisant
les divergences que les agents des Illuminatis attiseront entre
les Sionistes Politiques et les dirigeants du monde musulman. La guerre
doit être menée de telle manière que l’Islam (le monde Arabe y compris
la religion de Mahomet) et le Sionisme Politique (y compris l’État
d’Israël) se détruisent mutuellement. Dans le même temps, les autres
nations une fois de plus divisées entre elles à ce propos, seront
forcées de se combattre jusqu’à un état d’épuisement complet, physique,
moral, spirituel et économique. » (grandreveilwordpress.com)
C’est exactement ce à quoi nous assistons au Moyen-Orient.
Le prince du mensonge étant orgueilleux, ainsi en est-il du fils
spirituel, le faux prophète : Bergoglio sortira une troisième
autobiographie en deux ans, confirmant sa volonté d’un testament
perpétuel de son pontificat (voir analyses précédentes).
Et ce testament est marqué, comme ce fut prophétisé, par la grande apostasie.
« Mgr Viganò : le « faux prophète » Bergoglio est coupable d’« apostasie totale » (analyse 14 décembre 2023)
«
Comme il l’a fait en Hongrie devant les jésuites (« le soutien
incroyable au restaurationnisme » est une « maladie nostalgique ».),
Bergoglio cite encore Saint Vincent de Lérins, et portant fièrement le
chapeau de « faux prophète » de l’Apocalypse, il divise au lieu de
rassembler, il égare au lieu de ramener la brebis à la bergerie, il
manipule les mots avec sa langue fourchue pour empoisonner l’âme,
provoquer le schisme en faisant croire qu’il est le chef de la nouvelle
église moderniste, et que tous, doivent être inclus au banquet
comme l’a dit Jésus. » (analyse 28 août 2023)
Le faux prophète, c'est aussi celui qui cache la vérité pour atteindre l'objectif du dragon.
Pendant
qu'on discute au synode des synodes, Bergoglio a créé dix comités qui
ont pour mandat de conclure les dix questions non résolues d'octobre
2023. Le rapport lui sera remis en 2025, soit hors synode!
Et le 5ème comité... Obscur...
«
Le champ d’action de ce groupe comprend « les questions théologiques et
canoniques concernant les formes ministérielles spécifiques » et, en
particulier, « la recherche théologique et pastorale sur l’accès des
femmes au diaconat ».
Au cours de sa présentation, le cardinal a indiqué aux membres du
synode que la possibilité de restaurer le diaconat féminin reste une
question ouverte.
Le cardinal a toutefois mis en garde contre une décision « précipitée »
qui court-circuiterait le discernement nécessaire sur cette question,
ainsi que sur les questions plus générales concernant les ministères
féminins dans l’Église catholique.
Dès le départ, cependant, le groupe d’étude n° 5 a été entouré de mystère.
Contrairement aux neuf autres groupes, sa composition n’a toujours pas
été révélée. Lors de présentations vidéo spéciales le jour de
l’ouverture du synode, des photos ont été montrées des membres de
chaque groupe d’étude, à l’exception du groupe n°5.
Au cours des réunions spéciales du 18 octobre, qui avaient été ajoutées
au calendrier du synode pour permettre aux délégués de dialoguer avec
les responsables de chaque groupe d’étude, la session du groupe d’étude
n°5 a été animée par deux jeunes fonctionnaires du Dicastère pour la
Doctrine de la Foi du Vatican.
Selon de nombreux participants, ceux-ci ont distribué aux délégués
synodaux des feuilles indiquant comment ils pouvaient soumettre leurs
commentaires pour le groupe d’étude n°5.... » (benoit-et-moi.fr)
Louis
D'Alencourt a toujours affirmé que la mort de l'Église ou des deux
témoins arriveraient par l'abolition de la Présence Réelle ou la
dilution du sacerdoce:
«
les questions théologiques et canoniques concernant les formes
ministérielles spécifiques » est exactement un mandat pour diluer le
sacerdoce.
Le faux prophète est partie intégrante du 3ème secret de Fatima :
«
Voici ce qu’on soupçonne d’être le 3ème secret, reconstitué par Frère
Michel de la Trinité au terme d’une étude publiée il y a plus de trente
ans (en 1985) !
Tandis
qu’au Portugal se conservera toujours le dogme de la foi, dans bien des
nations peut-être dans le monde presque entier, la foi se perdra. Les
pasteurs de l’Église manqueront gravement aux devoirs de leurs charges.
Par leur faute, les âmes consacrées et les fidèles en grand nombre se
laisseront séduire par des erreurs pernicieuses partout répandues. Ce
sera le temps du combat décisif entre la Vierge et le Démon. Une
vague de désorientation diabolique déferlera sur le monde. Satan
s’introduira jusqu’au plus haut sommet de L’Église. Il aveuglera les
esprits, il endurcira le cœur des pasteurs. Car Dieu les aura livrés à
eux-mêmes en châtiment de leur refus d’obéir aux demandes du Cœur
Immaculé de Marie. Ce sera la grande apostasie annoncée pour les
derniers temps, le faux agneau, faux prophète trahissant l’Église au
profit de la Bête, selon la prophétie de l’Apocalypse. »
Le regretté Louis D’Alencourt du Grand Réveil nous révélait que :
«
Bergoglio (le pape François) est sans chiffre parce qu’il est unique,
il est à la fois le dernier et le premier. Le dernier pape de
l’ex-catholicisme et le premier chef de la nouvelle religion de
l’humanité.
Il
est chargé d’accomplir la dernière mutation de l’Église, on pourrait
même dire sa mue ; il ne s’agit pas d’une disparition en tant que
telle, mais d’une transformation. Elle n’aura même pas besoin de
changer de nom, parce que sa requalification en religion de l’humanité
constituera de facto la disparition de l’original.
Cependant il subsiste un problème de taille : la messe.
La messe fait tâche d’encre, elle ne colle pas avec ce discours ni
son esprit, ni même l’ambiance. Car la messe, même sous sa
forme ordinaire (la messe de Paul VI), même dénaturée, est
peut-être le dernier lieu, le dernier office, à vénérer ostensiblement
Jésus-Christ comme Dieu, malgré leurs efforts pour le diluer dans
l’humanisme ambiant. En tous cas, la messe telle qu’elle existe encore
-et je rappelle qu’elle constitue l’office principal des catholiques-
n’est pas compatible avec cette nouvelle théologie, qui voit Dieu
partout, dans toutes les religions, justement parce qu’elle ne lui
donne pas son vrai nom : Jésus-Christ. Sauf à la messe.
C’est une incongruité. Une incompatibilité avec la nouvelle théologie
du Vatican. En toute logique, elle aurait déjà dû être réformée,
adaptée au goût du jour, assaisonnée d’œcuménisme comme tout le reste,
pour qu’elle soit compatible avec leur nouveau Dieu, universel et non
Trinitaire.
Mais ce n’est pas si simple.
Il faut rappeler que la messe catholique ou orthodoxe est le seul
office religieux qui prétende faire venir Dieu en personne sur l’autel
à chaque office. Aucune autre religion n’a une telle prétention,
personne n’ose prétendre faire venir Dieu sur place et encore
moins physiquement (car c’est bien l’objet du miracle de la
Transsubstantiation : l’hostie et le vin dans le calice sont les signes
visibles d’une Présence divine réelle, par définition invisible puisque
Dieu est un pur esprit. D’où leur changement de substance : la Présence
Réelle est physique !)
Personne ne le fait parce que cette idée ne peut pas et ne pouvait pas
être humaine : seul Dieu pouvait en avoir l’idée et l’instaurer parmi
les hommes. Parce que si Dieu ne se rendait pas présent à ce moment-là,
la supercherie serait découverte et la religion en question ferait long
feu.
Voilà
pourquoi aucune religion, en dehors de nous, ne prend le risque de
déclarer faire venir Dieu durant ses célébrations. Si c’était facile à
faire, et s’il suffisait de l’affirmer sans preuve, tout le monde le
ferait.
Or
personne ne le fait. Même pas les Protestants, parce que le fondateur
des protestants, Luther, savait très bien au fond de lui-même, qu’il
était un hérétique coupé de la grâce et du soutien divin.
Pour
tromper son monde, il a donc institué à la place de la messe une
célébration commémorant la Sainte Cène mais sans Consécration ni
miracle de la Transsubstantiation. La messe de Luther n’est qu’une
cérémonie où l’on prie Dieu comme dans toutes les autres religions,
sans le signe distinctif qui fait le privilège de la seule vraie
religion, de la seule agréée par Dieu parce que fondée par Lui, un
signe exceptionnel inégalable et inimitable : la Présence Réelle.
Et la garantie de la Présence Réelle est donnée d’une part par
l’expérience unique de la vie divine en soi (la véritable spiritualité)
et par les innombrables miracles accomplis chez les catholiques seuls.
Rappelons
que le principe des Ex-voto et de la canonisation n’existe que dans le
catholicisme et l’orthodoxie. Aucune religion ne nous imite
sur ce plan et pour cause : parce qu’aucune ne peut prétendre aux
miracles qui prouvent la présence de Dieu. Les plaques de remerciements
(Ex-voto) témoignent de ces miracles au quotidien et n’existent que
dans nos églises, de même pour les saints, une canonisation ne peut
être prononcée qu’après constat avéré d’un ou plusieurs miracles liés
au saint.
Voilà
pourquoi les protestants ont abandonné le culte des saints : là aussi,
Luther savait très bien que dans sa contrefaçon du christianisme il n’y
aurait pas de miracles et donc pas de saints ; pour le masquer,
l’astuce a consisté à supprimer le culte des saints.
D’autre part, l’Eucharistie catholique est le principal sacrement qui
unit l’homme à Dieu, appliquant à l’homme le mystère de l’union
hypostatique effectuée par le divin Maître. Par les sacrements, mais
principalement par l’Eucharistie car celui-ci a l’éminente qualité
d’être répétitif, Dieu insuffle à l’homme la grâce sanctifiante, et le
divinise en s’unissant à la nature humaine, c’est à dire non par le
corps mais par l’esprit (c’est le véritable sens du mot spirituel,
la vie spirituelle ne peut s’appliquer en réalité qu’aux catholiques en
état de grâce et sûrement pas à tout le monde).
C’est
dans notre âme que Dieu habite, c’est notre âme que Dieu nourrit par
ses sacrements, principalement l’Eucharistie, faisant de ses enfants
des temples du Saint-Esprit selon l’expression de saint Paul.
Voilà pourquoi le Royaume de Dieu n’est pas de ce
monde (matériel) mais d’ordre spirituel. C’est par l’âme que Dieu
s’unit à l’homme.
Ainsi donc, modifier la messe n’a rien d’anodin. » (grandreveilwordpress.com)
Voilà pourquoi on s’attaque dans les derniers mois à ceux et celles qui pratique la Messe Tridentine.
Cet obstacle gênant doit être éliminer au plus vite, le temps presse.
Une autre victime?
« ( LifeSiteNews )
— La journaliste du Vatican Diane Montagna rapporte que l'archevêque
émérite de Dublin d'Irlande, Diarmuid Martin, et l'archevêque émérite
de Tours de France, Bernard-Nicolas Aubertin, ont été sollicités pour
effectuer la visite apostolique récemment annoncée par le
Vatican à la Fraternité sacerdotale de Saint-Pierre.
Fondée en 1988 pour les prêtres désireux d'offrir la messe latine avec
l'accord du Vatican, la FSSP a annoncé cette visite fin
septembre dans un communiqué.
«
Cette visite n'a pour origine aucun problème de la Fraternité, mais a
pour but de permettre au dicastère de savoir qui nous sommes, comment
nous allons et comment nous vivons, afin de nous apporter toute l'aide
dont nous pourrions avoir besoin », a dit le groupe.
L'annonce a été considérée comme un signe inquiétant d'une
possible répression de la FSSP par le pape François, alors que de
précédentes visites apostoliques de communautés et de membres
du clergé à l'esprit traditionnel , notamment Mgr Joseph
Strickland, les frères franciscains de
l'Immaculée et les Carmélites de Fairfield, l'ont
fait …. »
La guerre mené par le faux prophète et ses maîtres judéo-maçonniques a
pour but d’éliminer Dieu sur cette terre pour y faire régner Satan
comme seul maître.
Louis D’Alencourt (lien ci-haut) :
«
Cette guerre ayant démontré une fois de plus l’animosité entre les
trois grandes religions monothéistes (chrétiens, juifs et musulmans),
les promoteurs du nouvel ordre mondial proposeront la religion mondiale
du noachisme via le faux prophète. La religion noachide sera présentée
comme celle de la « nouvelle civilisation de l’amour », celle
de l’Antéchrist et de son bras droit, le faux prophète. « Le Dieu
unique est actuellement adoré sous des formes multiples, au sein de
cultes bien différents, mais à l’époque messianique, le monde spirituel
verra se réaliser l’unité d’adoration » explique un promoteur de
la religion noachide. En somme, une religion universelle et
cosmopolite, réunissant tous les hommes devenus enfin frères. Albert
Pike est un peu plus clair : ce sera « la manifestation
universelle de la pure doctrine de Lucifer, enfin révélée aux yeux de
tous ». »
17 octobre
LA COMÈTE DE LA MORT?
En
hommage aux écrits du regretté Louis D’Alencourt du Grand Réveil :
son analyse des plus pertinentes à l’ouverture du synode en 2021.
Et,
à dix jours de la conclusion le 27 octobre, il est temps d’ajouter à
l’analyse de Louis, les quelques révélations qui ont transpiré des
premières sessions, car il faut le mentionner, la loi du silence est
imposée aux participants, et où, seuls quelques porte-paroles donnent
des informations au compte goutte aseptisées par la bureau de presse du
Vatican.
Le synode est même absent des principaux médias, comme s’il n’existait pas, ce qui est normal dans cette humanité apostasiée.
Ce qui est tout un contraste avec l’ouverture de Vatican II.
« LE SYNODE DE LA MORT » (grandreveilwordpress.com)
«
Nous nous doutions que le synode sur la synodalité lancé par le
« pape » François en octobre 2021 serait l’instrument pour
achever l’Église et faire périr définitivement le peu de catholicisme
authentique qui restait encore présent, nous en avons désormais la
quasi certitude. »
… Le 10 octobre 2021, lors de l’ouverture de ce synode, le Figaro titrait :
« François lance sa grande réforme de l’Église »
Donc personne ne se méprend sur le contenu réel et les objectifs de
cette démarche, ni Rome qui ne se cache plus, ni les médias grand
public.
C’est très simple : la méthode consiste à entreprendre des réformes de
fond, décidées et prévues depuis longtemps, sous le couvert de la
volonté populaire. On expliquera que les décisions prises ne
proviendront pas de l’autorité ecclésiastique souveraine, mais des
souhaits de la base, c’est à dire des croyants et des pratiquants
du monde entier, après les avoir consultés.
(Note: Cela est confirmé aujourd’hui : Le synode deviendra LA manière de faire de l’église.
La base des chrétiens et ses prêtres « aux mœurs perverties » choisira
la direction à prendre selon le calendrier humaniste :
« De toute évidence, le but de cette conférence était de renverser la
classe hiérarchique de l’Église et de mettre en œuvre un système
démocratique », a écrit le cardinal Joseph Zen à propos du Synode sur
la synodalité…. Le cardinal Joseph Zen a lancé un avertissement sévère
au sujet du Synode sur la synodalité et de la division persistante
résultant des Fiducia Supplicans, affirmant que « l'avenir de l'Église
» est « incertain » à moins que les problèmes ne soient résolus.
« Je suis très inquiet de la manière dont cette soi-disant « synodalité
» du Synode des évêques pourra être conclue sans heurts », a commencé
Zen , l'évêque émérite de Hong Kong.
Le dernier essai du cardinal, publié le 17 octobre, renouvelle ses
préoccupations et ses critiques antérieures à l'égard du Synode sur la
synodalité, mais fait également référence à la déclaration controversée
Fiducia Supplicans de 2023 qui a approuvé les « bénédictions »
homosexuelles.(lifesitenews.com)
«Il a averti que certains, « ne comprenant pas correctement la notion
de synode, pourraient penser, par exemple, que l’Église catholique est
désormais devenue une sorte d’organisme démocratique doté d’une sorte
de nouvelle constitution ». (cardinal Tobin, analyse précédente))
Ceci est d’une totale hypocrisie, il s’agit en réalité d’un faux
synode, d’une consultation pipée, dont les conclusions étaient déjà
écrites avant même qu’il ne s’ouvre.
...
Petit aparté : il semblerait que les Églises locales n’aient pas toutes
appliqué le principe aberrant d’étendre la consultation à tous, à
commencer par ceux qui ne sont pas concernés par le catholicisme. Alors
en janvier 2022, on a repoussé la première étape d’avril au 15 août
2022 pour forcer les diocèses catholiques à au moins y associer les
protestants et les orthodoxes, sous prétexte de « dimension œcuménique
» du processus synodal.
« Le Vatican a publié une lettre demandant aux évêques
catholiques d’inviter les dirigeants orthodoxes et protestants locaux à
participer à l’étape diocésaine du processus de deux ans menant au
Synode de 2023 sur la synodalité. » ; lettre du 17 janvier
cosignée par le cardinal Mario Grech, secrétaire général du Synode des
évêques, et le cardinal Kurt Koch, président du Conseil pontifical pour
la promotion de l’unité des chrétiens.
« Le dialogue entre chrétiens de différentes confessions,
unis par un seul baptême, occupe une place particulière dans le
cheminement synodal », avancent-ils pour justifier cette démarche.
« En effet, la synodalité et l’œcuménisme sont des processus de « marcher ensemble ».
Là encore le ton est donné.
Mais si les catholiques demandent leur avis aux autres, en quoi
resteront-ils catholiques ? Devons-nous nous fondre et nous confondre
avec le monde ou bien au contraire défendre et renforcer ce qui fait
notre spécificité et notre différence ? Ne sommes-nous pas capables par
nous-mêmes d’analyser nos forces et nos faiblesses, et d’évaluer
comment nous sommes perçus, et pourquoi ? »
(Note: Effectivement, le but ultime est la nouvelle religion humaniste
« débarrassée » de ce gênant obstacle qu’est la présence réelle, le
Christ. Nous savons tous maintenant que des groupes « wokes » ont leurs
représentants au synode et font du lobbying ( François reçoit un groupe « trans »
), que les autres religions chrétiennes présentes (orthodoxes,
mennonites, protestants, etc.) et Bergoglio savourent l’idée d’un
œcuménisme avec comme célébration une forme commémorative à la sauce
protestante sans le Christ.
« Synodalité et œcuménisme: un seul chemin
La conférence de presse de ce jeudi 10 octobre sur les travaux de
l'assemblée sur la synodalité était centrée sur le thème de l'unité des
chrétiens. Le cardinal Koch, le métropolite orthodoxe Job, l'évêque
anglican Warner et la pasteure mennonite Graber étaient les invités de
cette réunion. Demain, une veillée œcuménique avec la communauté de
Taizé aura lieu au Vatican. » (vaticannews.va)
Ainsi, Bergoglio pourra se vanter d’avoir réussi l’impossible, le rêve
de Paul VI, une religion qui se dit chrétienne, sans la Sainte Messe,
humaniste.
Pour que son œuvre soit éternelle, Bergoglio, on l’a vu dernièrement,
nommera encore plus de cardinaux le 8 décembre prochain, des cardinaux
gagnés à la cause, et assez jeune pour pouvoir perpétuer l’église
synodale.
Les cardinaux nommés par Bergoglio sont maintenant majoritaires, ET, SANS profondeur théologique.
«
Il y a un manque de grandes figures, avec une lumière propre, des
pasteurs, bien sûr, mais aussi des intellectuels puissants, avec un
arrière-plan philosophique, théologique et canonique convaincant et
reconnaissable.
À ce jour, la quasi-totalité des cardinaux créés par le pape François
(163 au 8 décembre) sont des personnes qui se comportent comme des
clones du pontife, ou plutôt, comme on l’a écrit ces derniers jours, «
ce sont des cardinaux copié-collé ». (benoit-et-moi.fr)
Comment Bergoglio a-t-il réussi à faire avaler la pilule concernant l’œcuménisme humaniste?
Vous allez tous comprendre ici la manœuvre si importante de Bergoglio
abandonnant le titre de pape pour n’être que le simple « évêque de Rome
» il y a quelques années (confirmant la dernière citation de la
prophétie des papes de Saint-Malachie : Pierre le Romain) :
« Qui dit œcuménisme dit primauté de l’évêque de Rome, une question
latente depuis des siècles qui reste indirectement l'une des
thématiques du synode en cours.
Une Église catholique plus synodale pourrait ouvrir la porte à une
avancée significative en la matière. Depuis Ut Unum Sint de Jean Paul
II en 1995, la primauté du Pape est ouvertement posée et des gestes
concrets ont jalonné les dernières décennies: d’abord la demande de
pardon de Paul VI et du Pape polonais, puis le 13 mars 2013, la manière
dont François s’est présenté aux fidèles au soir de son élection: «la
tâche du Conclave était de donner un Évêque à Rome. […] La communauté
diocésaine de Rome a son Évêque». Jorge Mario Bergoglio ne s’est pas
cité comme Pape.
Ce qui pourrait sembler un détail pour les uns, a été en réalité perçu
comme le franchissement d’une nouvelle étape du dialogue œcuménique.
Orthodoxes et protestants sont en effets ouverts à la question du rôle
de l’évêque de Rome et l’exercice de la primauté. » (vaticannews.va) )
Continuons avec Louis D’Alencourt :
« Revenons à ce document de travail que doit préparer Rome pour la seconde phase du synode.
Sur quoi va-t-il se baser ? Sur une synthèse des consultations nationales.
Cette synthèse, nous pouvons la faire dès maintenant, car se dégagent
des grandes lignes communes à presque tous les rapports, et qui sont
sans surprise, comme si tout le monde suivait un mot d’ordre établi
d’avance. Ce qui n’a rien d’étonnant, je le rappelle, les dés sont
pipés. »
(Note: Le cardinal Tobin nous a confirmé dernièrement la « grande
sagesse » de Bergoglio qui a déjà décidé du rapport final : ce
sera un amalgame de ses propres encycliques et Exhortations
Apostoliques humanistes.
D’ailleurs, un informateur a confirmé que tous les sujets qui avaient
été écartés lors de la session de 2023 qui faisaient scandales, ont été
ramenés sur le tapis en ce mois d’octobre 2024, parce qu’il est
important que cela soit dans le rapport final.
« CITÉ DU VATICAN ( LifeSiteNews
) — À travers le processus et le style du Synode sur la synodalité, le
pape François semble tenter subtilement mais fermement de mettre en
œuvre de manière irréversible les points les plus controversés de son
pontificat.
« Le synode sur l’Amazonie a ouvert la voie au synode sur la synodalité
», a déclaré le cardinal Leonardo Steiner, archevêque de Manaus au
Brésil, aux journalistes du Vatican le 15 octobre. C’est un « voyage
construit jour après jour », a-t-il déclaré… « La synodalité », a-t-il
soutenu, « nous explique que nous devons être de plus en plus ouverts à
l’inculturalité et à l’interreligion. » Steiner a également salué le
style synodal consistant à « être ouvert à l’écoute des religions et
des cultures afin que l’Évangile soit de plus en plus inculturé. »)
...
(Louis D’Alencourt) Une religion peut-elle ou doit-elle se réformer ?
Il est essentiel de rappeler quelques données fondamentales avant
d’entrer dans le détail de ces propositions : une religion n’est
pas une institution comme les autres.
Une religion a pour but de relier l’homme à Dieu, et particulièrement
la religion catholique, puisqu’elle revendique le privilège d’être la
seule religion à relier l’homme au seul, vrai et unique Dieu : la
Sainte Trinité : UN seul Dieu en trois Personnes (Père, Fils et
Saint-Esprit).
D’autre part, le catholicisme fonde sa doctrine, ses dogmes et ses
rites sur la Révélation, à savoir sur l’enseignement donné par Dieu en
personne aux hommes, tout au long de l’Ancien Testament, et surtout par
le Verbe, Jésus-Christ, Dieu fait homme, venu sur terre pour enseigner
les hommes et créer son Église (celle qui est à Rome), qu’il a chargée
de perpétuer son œuvre par l’enseignement de sa doctrine et
l’administration des sacrements, afin de procurer aux hommes le salut
de leurs âmes et la vie éternelle.
Par conséquent, il n’appartient pas à l’homme de modifier quoi que
ce soit de cet enseignement, ou de le réinterpréter ou de l’adapter au
gré de ses caprices et de ses envies.
...
Ainsi donc, il est totalement incongru, inadapté et même sacrilège
de demander aux hommes leur avis sur une doctrine, des règles, des
valeurs et un culte qui ont été définis par Dieu en personne et
transmis, explicités et ordonnancés fidèlement par ceux qu’il en avait
chargés : les apôtres et leurs successeurs (la fameuse succession
apostolique que seule l’Église catholique peut revendiquer
historiquement par ses papes).
Répétons-le, car c’est nécessaire, aucune autre religion, pourtant
fausse, ne se permet de tels impairs, de telles violations de ses
propres fondements.
Seuls quelques aspects concernant le rite et ses applications
pratiques, ou la nécessité de préciser certains points de doctrine
selon l’évolution des mœurs et l’apparition de nouvelles pratiques, ou
idées, peuvent être envisagés dans la vie d’une religion. Mais c’est
tout.
Il faut donc prendre conscience du niveau d’apostasie, de
désorientation et d’ignorance abyssales des catholiques contemporains,
à commencer par la haute hiérarchie, pour ne serait-ce qu’envisager de
discuter ou de réformer des points de doctrine, de valeurs, ou
d’application du culte (la liturgie) qui ne dépendent pas des hommes
mais de Dieu.
Quel est l’enjeu à ce stade ?
Il faut déjà savoir que le concile Vatican II a radicalement modifié,
déformé et perverti le visage de l’Église, ses bases, sa perception du
monde, la définition de sa mission, sa place et son rôle dans la
société, et surtout l’interprétation et l’enseignement de sa doctrine.
Il a aussi dévoyé considérablement l’administration des sacrements, et
par conséquent altéré la puissance et l’efficacité des grâces qui en
découlent, par la désacralisation et la dénaturation de la liturgie.
C’était ses buts cachés, mais les élites qui ont convoqué ce concile
savaient ce qu’ils faisaient, et ils sont parvenus à leur but.
Il en est résulté une apostasie générale, car :
– de l’Église du Christ, on est passé à l’Église de l’homme ;
– du christianisme, on a basculé dans l’humanisme ;
– de la recherche de la vie éternelle on est passé à la défense de la dignité de la personne humaine ;
– de la royauté sociale du Christ, on a opté pour la définition luciférienne et maçonnique des droits de l’homme ;
– du respect et de la défense de la loi naturelle, on a choisi la foi
dans les progrès scientifiques, techniques et sociaux humains.
Apostasier c’est quoi ? C’est rejeter ou déformer la doctrine initiale
pour lui substituer une autre foi, une autre doctrine au gré des
circonstances. En ce qui nous concerne, la doctrine initiale étant
issue de la Révélation, elle est d’essence divine et donc unique, seule
vraie, inaltérable et immuable : l’apostasie dans ce cas n’est même pas
envisageable et constitue alors une très grave violation de nos devoirs
et de nos responsabilités.
Tandis que les valeurs morales, sociales, économiques et religieuses
basculaient progressivement dans un satanisme au début équivoque et
discret, aujourd’hui public et palpable, où le péché devient la norme
par la valorisation et même l’institutionnalisation à grande échelle
des 7 péchés capitaux et des trois concupiscences, l’Église catholique,
au lieu d’allumer le contre-feu avec ses 7 vertus et ses 7 sacrements,
a abandonné le combat, d’une part en accompagnant cette évolution plus
qu’en s’y opposant, et d’autre part en cherchant à concilier la foi
avec ce néo-paganisme issu du matérialisme. Autrement dit, l’Église
s’est fourvoyée en faisant le choix de l’homme qui se fait
dieu à la place du Dieu fait homme, qui évolue en faire-valoir de
l’humanité déifiée.
…
Ainsi donc, vouloir concilier la foi en Dieu et la société
matérialiste, c’est justement vouloir concilier Dieu et Mammon, la
chair et l’Esprit ; et puisque, nous le savons, celui qui l’a emporté
depuis 60 ans c’est Mammon, c’est la vie selon la chair, c’est
l’humanisme, alors cela veut dire que l’Église catholique issue du
concile mène les hommes, le plus souvent, à la damnation, c’est à dire
exactement à l’inverse de son rôle et de sa mission.
...
La Sainte Écriture, et Jésus-Christ lui-même, appellent cela La
loi et les prophètes : la Loi ce sont les règles données par Dieu,
les prophètes ceux qui parlent au nom de Dieu. Par extension, les
prophètes désignent ceux qui enseignent la Vérité Révélée et la
doctrine qui en découle.
...
Mais cette fois-ci, on arrive à l’accomplissement final du concile et
de ses objectifs occultes, après soixante ans de bons et loyaux
services des papes conciliaires successifs (qui sont chaleureusement
remerciés en étant tous canonisés), on arrive à ce qui n’avait
encore jamais été fait : envisager de modifier la doctrine, c’est à
dire les textes légaux, en matière de foi et de mœurs.
...
Voilà pourquoi je parle de mort de l’Église. Car si on modifie la
doctrine elle-même en matière de foi et de mœurs, ainsi que les bases
fondamentales de certains sacrements, au profit d’idéologies contraires
au catholicisme initial, c’est à dire à la volonté et à l’enseignement
de Dieu en personne, alors il s’agit d’un basculement inédit
dans autre chose, une autre religion, mais ce ne sera plus la
religion de Jésus-Christ ; enfin, du VRAI Jésus, pas du faux qu’on
nous sert depuis cinquante ans, plus proche du prophète, aussi illustre
soit-il, que du Dieu fait homme. »
( Note: Comme le confirmait Louis D’Alencourt, ce synode des synodes est la mort de l’Église annoncée.
Il n’y a que deux manières d’assassiner l’Église dans sa Passion, avant
sa résurrection : éliminer la présence réelle par une nouvelle
célébration commémorative ou changer les règles du sacerdoce afin
d’enlever le pouvoir sacramentel du prêtre.
L’église conciliaire s’est protestantisée pour plaire à l’élite
humaniste de ce monde, pour faire partie de ce monde, alors que le
Christ a toujours avertit qu’on ne peut servir Dieu et Mammon à la
fois. )
Louis D’Alencourt :
« Aujourd’hui, cette Passion est déjà très largement avancée, l’Église
depuis le concile est devenue méconnaissable suite aux déformations
liturgiques et doctrinales qui confirment et prouvent qu’elle a
accomplit son apostasie et adopté des positions protestantisées,
voire hérétiques.
Il ne reste plus qu’à donner le coup de lance final, celui qui assurera
la mort certaine et définitive, c’est le synode sur la synodalité qui
s’en chargera.
Mais alors, me dira-t-on, qu’en est-il de la promesse divine
que les forces de l’enfer ne prévaudront pas contre son
Église ? C’est oublier qu’il existe, au sein de celle-ci, une
partie saine qui n’a pas déformé la doctrine ni dévoyé la liturgie
: la Tradition, qui fait perdurer l’Église d’avant, celle sainte
et sans tâche, une et apostolique, la véritable Église de Dieu, et dont
les membres constituent les derniers Témoins de la foi.
L’épisode final de la mort de l’Église (conciliaire) aura pour
conséquence, aussi, la probable mort, du moins en apparence, de la
Tradition, événement que l’Apocalypse décrit dans l’épisode de la
« mort des Témoins » … »
Ainsi en est-il.
Le
synode de la mort mène à la mort de l'église et des deux témoins, deux
éléments essentiels du calendrier de l'Apocalypse avant la chute de
Babylone.
Les signes dans le ciel sont présents pour nous accompagner.
L’autre
comète découverte juste avant le synode (voir analyse du 30 septembre;
Lumière dans le Ciel) et se dirigeant vers le soleil pour la fin du
synode, semble s’être fragmentée, ce qui réduira son intensité
lumineuse, mais aucunement son importance.
Car, ce qui est plus intéressant, c’est le rôle qu’elle pourrait avoir
en cette fin de synode si sa désintégration dans l’astre du jour
provoque une tempête solaire vers la terre.
La comète du synode de la mort aurait alors une grande signification.
Pour suivre l’évolution de cette nouvelle comète en français ici.
Une
tache solaire complexe fait face à la terre pour les dix prochains
jours, et la NASA/NOAA confirme que le cycle solaire 25 a atteint son
maximum, qui durera durant l'année 2025.
Pas de hasard.
Fin du synode de la mort, mort des deux témoins, tempête solaire?, chute de Babylone...
Tout
a cela aurait un sens logique... juste avant les élections américaines
et la fin de la neuvaine de Notre-Dame de Guadelupe du cardinal Burke
le 12 décembre prochain.
14 octobre
LA COMÈTE DU SYNODE
Saint-Jean,
dont l’évangile est spirituelle par rapport aux trois autres qui
décrivent plus des faits historiques, est le seul qui décrit le
transfert de la co-rédemption à la Sainte Vierge Marie au pied de la
croix par : « Femme, voilà votre fils. Fils voilà votre
mère. »
Car, c’est Marie qui conduit au Fils.
Saint-Jean représente toute l’humanité dont Marie est Mère.
Saint-Jean
nous a donné l’Apocalypse, la Révélation, et l’image de la femme avec
les deux pieds sur la lune, l’image révélée par Notre-Dame de
Guadelupe, la Sainte Vierge Marie à la fin des temps.
En ce mois du Rosaire si crucial à cause du synode, une comète nous accompagne, comme signe de la fin des temps.
Hier,
13 octobre, il semble que nous n’ayons pas eu de signe majeur du côté
géopolitique, mais la comète TSUCHINSHAN-ATLAS s’est révélée pour la
première fois à l’œil nu à toute l’humanité.
(Images sur spaceweather.com)
Elle est facilement visible au sud-ouest, environ 40 minutes après le coucher du soleil.
Retournons
au 13 octobre 2023 avant la première portion du synode des
synodes : « avant la congrégation générale, une messe a été
célébrée par le cardinal Fridolin Ambongo, archevêque de Kinshasa en RD
Congo et président du SCEAM, symposium des conférences des évêques
d’Afrique et de Madagascar. Dans son homélie, il a considéré ce synode
comme une nouvelle Pentecôte qui renouvellera certainement l'Église
dans la communion de ses membres et dans la participation active de
tous à la vie et à la mission de l'Église. » (vaticannews.va)
L’article
publié par le Vatican est amputé intentionnellement pour démontrer que
l’église synodale est la voie, voie dirigée par le Saint-Esprit, rien
de moins qu’une « nouvelle Pentecôte » avec une petite mise en garde
contre le malin à la toute fin, qui lutte pour empêcher la nouvelle
église synodale.
Rien de moins.
Or, dans cet article du catholicworldreport.com nous découvrons qu’il a mentionné Satan à plusieurs reprises :
«
Le diable lance des attaques pour diviser l'Église, et nous devons
riposter avec l'arme du Saint-Esprit, a déclaré vendredi un cardinal de
la République Démocratique du Congo lors de la Messe.
...
“Si
nous avons le courage de regarder notre réalité actuelle en tant
qu'Église, il ne sera pas difficile de voir comment le Malin est à
l'œuvre, influençant notre façon d'être et d'agir. Le Malin veut nous
voir divisés; il pourrait même utiliser certains d'entre nous pour sa
cause,”, a déclaré l'archevêque de Kinshasa, encourageant les gens à se
battre avec “les armes de la synodalité.”
...
La
lecture “nous rappelle que le diable est toujours présent et actif dans
notre monde,”, a déclaré le cardinal. “Sa force réside précisément dans
la stratégie de se rendre invisible et d'apparaître sous les formes les
plus séduisantes et les plus rassurantes. Connaissant bien sa proie, le
diable lance ses attaques à partir des réalités les plus sensibles.
Il cite le pape Benoît XVI qui a dit“le Malin cherche toujours à gâcher
le travail de Dieu, semant la division dans le cœur humain, entre le
corps et l'âme, entre l'individu et Dieu, dans les relations
interpersonnelles, sociales et internationales .. Le Malin sème la
discorde.”
“C'est pourquoi nous devons combattre courageusement le Malin, en
utilisant les armes de la synodalité,” a-t-il poursuivi, “qui exigent
l'unité, la marche ensemble, le discernement priant, l'écoute mutuelle
et ce que l'Esprit a à dire à l'Église.”
“Nous sommes appelés à combattre ce puissant adversaire avec une arme
tout aussi puissante à notre disposition: l'Esprit Saint, protagoniste
de cette nouvelle façon d'être Église — l'Église synodale.” »
Et
dans ce monde aux valeurs inversées, le système antichristique, même au
sommet du Vatican avec l’Antichrist personnifié sur le trône de
Saint-Pierre, ils ne sont même pas capable de voir que cet esprit du
synode des synodes, est le même Satan dont Paul VI en 1963 avait
confirmé la présence au sein même du Vatican.
Satan est en train de convertir l’Église pour en faire sa propre église puisqu’il ne peut l’éliminer.
Et les aveugles n’y voient rien.
Un des « McCarrick boys » (voir article sur benoit-et-moi.fr sur ce sujet), le cardinal Tobin, affirme « que la synodalité met en œuvre le « programme » du pape François pour l'Église ».
Donc, la conclusion et le rapport final sont déjà décidés d’avance comme plusieurs le soupçonnent.
« Avec « Amoris Laetitia, Fratelli Tutti, Laudato Si », le pape
François a « distillé la sagesse » des synodes précédents, a déclaré le
cardinal Joseph Tobin lors d'un point de presse au Saint-Siège
aujourd'hui. »
Ainsi,
le rapport final sera un amalgame de toutes les encycliques de
Bergoglio, soit une église transformée, uniquement basée sur
l’humanisme, décentralisée du Christ.
«
Selon Tobin aujourd'hui, les membres du concile ont fortement conseillé
au pape que l'immigration ou la vie sacerdotale devraient être au
centre des préoccupations, mais François a décidé de faire le synode
sur la « synodalité », provoquant une forte confusion au sein du
concile.
Tobin
a salué la décision du pape François, tout en soulignant qu'il ne
l'avait pas comprise à l'époque. « Mon péché a été de remettre en
question la sagesse du Saint-Père », a-t-il déclaré. « Je l'ai absous
en essayant de comprendre ce qu'il voulait dire et pourquoi il y
accorde de la valeur. »
Le
cardinal de 72 ans a suggéré que l'accent mis par François sur la
synodalité reliait les thèmes et documents clés de son pontificat. »
Remettre en question la sagesse du Saint-Père?
On n’y voit vraiment plus clair chez les cardinaux.
On voit bien que Satan est à l’œuvre.
Ainsi,
il confirme par ses paroles que ceux qui ne sont pas pour la synodalité
(un concept qui n’existe pas), sont contre la sagesse de Bergoglio, et
donc contre la nouvelle église.
Exactement
ce qu’avait anticipé le regretté Serge Monast (voir analyse du 20
septembre dernier) où le chrétien vivant la Tradition est considéré
comme une nuisance, un terroriste qui mérite l’exclusion ou le bâillon.
«
En distillant la sagesse qui a été présentée lors des synodes suivants
– Amoris Laetitia, Fratelli Tutti, Laudato Si' –, il m’est apparu
clairement que le Saint-Père ne proposait pas simplement un programme,
mais qu’il m’aidait, ainsi que d’autres, à comprendre que pour faire
cela, pour répondre au Seigneur de cette manière, il faut penser
différemment à la manière dont l’Église vit et agit. »
Maintenant, conclut Tobin, l’attention de François à la synodalité « est un grand moment de grâce pour l’Église et le monde ».
Le lien établi par Tobin entre trois documents clés écrits par François
et le Synode est remarquable car il présente le Synode sur la
synodalité comme un moyen de mettre pleinement en œuvre les
propositions contenues dans les textes précédents…
Il
a averti que certains, « ne comprenant pas correctement la notion de
synode, pourraient penser, par exemple, que l’Église catholique est
désormais devenue une sorte d’organisme démocratique doté d’une sorte
de nouvelle constitution ». (lifesitenews.com)
Voilà.
La
trahison suprême, le synode des synodes, le Judas des Judas qui fait
passer l’église conciliaire dans la nouvelle ère en ce mois d’octobre
2024, en donnant le coup final pour faire mourir l’Église dans sa
Passion à l’image du Christ, pour faire mourir les « deux témoins » de
l’Apocalypse, comme prévu par Saint-Jean.
Et
dans son orgueil, Bergoglio lègue ainsi son testament, sa manœuvre
finale qu’il espère éternelle (voir analyse du 17 septembre, LE
TESTAMENT DE BERGOGLIO), sans retour en arrière comme il l’a affirmé si
souvent, la conclusion de Vatican II.
Nous vivons un temps critique, la fin des temps, et peu s’en aperçoivent.
Même
le cardinal Burke y est allé du bout des lèvres en se demandant, devant
les signes présents (voir 17 septembre), si nous n’étions pas à la fin
des temps.
Pourtant le signe du figuier donné par le Christ en Matthieu 24 pour nous guider en cette occasion est bien facile à décrypter.
Et
comme à la venue du Christ sur cette terre il y a plus de 2000 ans un
signe dans le ciel annonçait sa venue, nous avons en ce mois d’octobre
un signe dans le ciel annonçant sa seconde venue.
Même
si les signes du zodiaque dans le ciel sont une œuvre païenne, il est
quand même intriguant de constater que la comète
TSUCHINSHAN-ATLAS s’est révélée le 13 octobre aux pieds de la
constellation de la Vierge, qui elle écrase la constellation du
Serpent, comme en référence à la Genèse et à l’Apocalypse.
L’Alpha et l’Oméga, le début et la fin d’un cycle, la fin des temps.
12 octobre
La
veillée de prière œcuménique célébrant l’entrée dans l’œcuménisme pour
une seule religion humaniste, soit Vatican II, donne le ton à la
conclusion du synode des synodes.
C’est le 11 octobre, date si chère au francs-maçons.
Et c’est le 11 octobre que nous avons eu cette tempête solaire avec aurores pour nous donner un signe.
«CITÉ DU VATICAN ( LifeSiteNews )
— Le pape François s'est joint aux délégués œcuméniques et aux
participants du Synode sur la synodalité dans une veillée de prière
œcuménique au Vatican ce soir, au cours de laquelle le lien entre
œcuménisme et synodalité a été une fois de plus affirmé.
Pour
clôturer la journée complète de réunions du Synode, vendredi 11
octobre, les participants ont pris part à une veillée de prière
œcuménique très attendue sur la Place des Protomartyrs au Vatican, lieu
traditionnel du martyre de saint Pierre.
Le
pape et le synode étaient accompagnés d'un certain nombre de délégués
œcuméniques, escortés du cardinal Kurt Koch, préfet du Dicastère pour
la promotion de l'unité des chrétiens.
La
date a été choisie délibérément, car elle marquait l'anniversaire de
l'ouverture du Concile Vatican II, qui « a marqué l'entrée de l'Église
catholique dans le mouvement œcuménique », a déclaré Koch aux
journalistes jeudi.
Donnant
un signe de fatigue, François n'a pas prononcé son homélie prévue lors
de la veillée, bien que le bureau de presse du Saint-Siège l'ait
ensuite publiée en ligne .
(note: voir ici pour le sermon)
(extrait :
«En ce jour où nous nous souvenons de l’ouverture du Concile
Vatican II, qui a marqué l’entrée officielle de l’Église catholique
dans le mouvement œcuménique, nous sommes réunis avec les Délégués
fraternels, nos frères et sœurs des autres Églises.
…
L’unité des chrétiens et la synodalité sont liées. En effet, si
« le chemin de la synodalité est justement celui que
Dieu attend de l’Eglise du troisième millénaire » (Discours
50e anniversaire de l’institution du Synodes des Évêques, 17
octobre 2015), il doit être parcouru par tous les chrétiens. « Le
chemin de la synodalité […] est et doit être œcuménique, de même que le
chemin œcuménique est synodal » (Discours à Sa Sainteté Mar Awa
III, 19 novembre 2022). Dans les deux processus, il ne s’agit pas tant
de construire quelque chose que d’accueillir et de faire fructifier le
don que nous avons déjà reçu. Et comment se présente le don de
l’unité ? L’expérience synodale nous aide à en découvrir certains
aspects. )
Dans son texte préparé, François a réitéré ce qui a été un thème
constant et important tout au long du synode de trois ans : « L’unité
des chrétiens et la synodalité sont liées. »
«
Le cheminement de la synodalité… est et doit être œcuménique, tout
comme le cheminement œcuménique est synodal », a-t-il déclaré,
poursuivant les points de discussion longuement exposés par le cardinal
Koch lors d'un point de presse du 10 octobre .
Notant
que le Saint-Esprit « nous guide vers une plus grande communion »,
François a fait valoir qu’il n’était pas clair à quoi ressemblerait une
telle unité :
De même que nous ne savons pas à l’avance quel sera le résultat du
Synode, nous ne savons pas non plus exactement à quoi ressemblera
l’unité à laquelle nous sommes appelés… Comme le disait le Père Paul
Couturier, l’unité des chrétiens doit être implorée « comme le Christ
veut » et « par les moyens qu’il veut ».
François a également souligné l'aspect particulier du Synode en matière
de relations œcuméniques, affirmant que l'événement « nous aide à
redécouvrir la beauté de l'Église dans la variété de ses visages ».
Reprenant une phrase qu’il répétait souvent, François a déclaré que «
l’unité n’est pas l’uniformité, ni le résultat d’un compromis ou d’un
contrepoids ».
Il a plutôt déclaré que « l’unité des chrétiens est l’harmonie entre la
diversité des charismes suscités par l’Esprit pour l’édification de
tous les chrétiens ».
La date de la veillée était déterminante, tout comme le lieu. François
et toute l’assemblée œcuménique étaient assis sur la place où la
Tradition rapporte que saint Pierre fut martyrisé, crucifié la tête en
bas. « En ce lieu, les protomartyrs romains nous rappellent
qu’aujourd’hui encore, dans de nombreuses parties du monde, des
chrétiens de différentes traditions donnent leur vie ensemble pour leur
foi en Jésus-Christ, incarnant un œcuménisme de sang », a commenté
François.
Il
a également parlé de « honte » face au « scandale de la division parmi
les chrétiens, le scandale de notre incapacité à porter un témoignage
commun au Seigneur Jésus ».
François
a présenté le synode comme une solution possible à ce problème, et
comme « une opportunité de faire mieux, de surmonter les murs qui
existent encore entre nous ».
Reprenant
une fois de plus les thèmes du Synode, François a souligné « le terrain
commun de notre baptême partagé, qui nous pousse à devenir des
disciples missionnaires du Christ, avec une mission commune. Le monde a
besoin de notre témoignage commun ; le monde a besoin que nous soyons
fidèles à notre mission commune ».
Alors
que le « terrain d’entente du baptême » a été évoqué ce soir dans le
cadre d’un effort œcuménique, au sein du Synode, il est également
utilisé pour appeler à un renforcement du ministère et de la
gouvernance des laïcs dans l’Église catholique.
Œcuménisme catholique
Au
cours des dernières années, depuis le Concile, l’engagement catholique
dans l’œcuménisme a connu une croissance exponentielle, alors que,
parallèlement, la promotion de la foi par l’Église a considérablement
diminué.
Comme
l’enseignent les catéchismes, l’œcuménisme catholique authentique
implique la mise en pratique du commandement du Christ de prêcher
l’Évangile et d’amener des âmes à l’Église. (Mt 28, 19)
Dans
Libertas , le pape Léon XIII , se référant aux relations de
l'Église avec les autres religions, écrit que l'Église catholique
tolère « certaines libertés modernes, non parce qu'elle les préfère en
elles-mêmes, mais parce qu'elle juge opportun de les permettre ; elle
exercerait sa propre liberté dans des temps plus heureux ; et, par la
persuasion, l'exhortation et la supplication, elle s'efforcerait, comme
elle y est tenue, de remplir le devoir qui lui est assigné par Dieu de
pourvoir au salut éternel de l'humanité. »
Le
pape Pie XI, dans Mortalium Animos, a également mis en garde
fermement contre « la fausse opinion qui considère toutes les religions
comme plus ou moins bonnes et louables, car elles manifestent et
signifient toutes de différentes manières ce sens qui est inné en nous
tous et par lequel nous sommes conduits à Dieu et à la reconnaissance
obéissante de sa règle. »
À
la lumière du danger – déjà régulièrement évoqué – des conséquences
d’un œcuménisme défaillant, un décret du
Saint-Office du Vatican de 1949 demandait aux évêques chargés de
promouvoir le véritable œcuménisme d’attirer les âmes vers l’Église et
de toujours enseigner la plénitude de la priorité de l’Église. Le
document disait :
Il n’est en aucun cas permis de passer sous silence ou de voiler sous
des termes ambigus la vérité catholique sur la nature et la voie de la
justification, la constitution de l’Église, la primauté de juridiction
du Pontife romain et la seule véritable union par le retour des
dissidents à la seule véritable Église du Christ.
La pratique actuelle du Vatican est beaucoup plus conciliante que celle
des décennies précédentes, privilégiant l’unité œcuménique par rapport
à la pratique antérieure de l’intégrité doctrinale. »
10 octobre
Sans surprise à l’approche du 13 octobre.
Une
éjection de masse coronale se dirige vers la terre pour produire une
tempête d’aurores aussi intense que le phénomène du 11-13 mai dernier.
Ici, la vidéo de l’éjection avec en bonus le passage de la comète du 13 octobre venant de la droite pour contourner le soleil.
Les taches solaires sont présentement très grosses, instables et dirigées face à la Terre.
Le
13 octobre, date du miracle du soleil en 1917, nous atteindrons 107
années révolues depuis l’apparition de Notre-Dame du Rosaire.
Le troisième secret de Fatima concerne la perte de la Foi au sommet de l’Église et la grande apostasie.
Regretté père Gabriel Amorth (était exorciste du Vatican) :
«
« En effet, déclare Amorth, un jour Padre Pio m’a dit avec beaucoup de
tristesse : « Tu sais, Gabriele ? C’est Satan qui a été introduit
dans le sein de l’Église et qui, dans très peu de temps, viendra
diriger une fausse Église . »
« Oh mon Dieu ! Une sorte d’Antéchrist ! Quand vous a-t-il prophétisé cela ? » [demande Zavala].
« Cela devait être vers 1960, car j’étais déjà prêtre à cette époque. »
«
Est-ce pour cela que Jean XXIII a eu une telle panique à l’idée de
publier le Troisième Secret de Fatima, afin que les gens ne pensent pas
qu’il était l’antipape ou quoi que ce soit d’autre… ? »
Un sourire léger mais entendu dessine sur les lèvres du père Amorth.
« Padre
Pio vous a-t-il parlé d’autres catastrophes à venir : tremblements de
terre, inondations, guerres, épidémies, famines… ? A-t-il fait
allusion aux mêmes fléaux prophétisés dans les Saintes Écritures ? »
[demande M. Zavala]
« Rien
de tout cela ne lui importait, si terrifiants qu’ils fussent, sauf la
grande apostasie au sein de l’Église. C’était le problème qui le
tourmentait vraiment et pour lequel il priait et offrait une grande
partie de sa souffrance, crucifié par amour » [dit le père
Amorth].
« Le troisième secret de Fatima ? »
" Exactement. " (lifesitenews.com)
Ce qui confirme que l’important, c’est la perte des âmes.
Le Ciel ne parle que des choses du Ciel.
Notre-Dame avait averti que si la Russie ne se convertissait pas que les erreurs du communisme se répandraient sur le monde.
N’est-ce
pas ce que nous avons à la tête de l’église? Un pape adepte de la
théologie de la libération et sa clique socialo-marxiste ne prônant que
des messages humanistes et non du Christ?
Quant
au temporel, c’est nous qui faisons l’histoire, et Dieu dirige la
nature humaine et terrestre pour nous retourner sur le bon chemin, si
nous en avons la volonté.
Ce 13 octobre prochain pourrait être la journée (un an après l’intervention d’Israël à Gaza) pour frapper l’Iran.
L’Iran menace les autres pays arabes si ils permettent l’utilisation de l’espace aérien pour une attaque israélienne :
«
Téhéran a fait savoir aux États du Golfe qu’il serait
« inacceptable » qu’ils permettent l’utilisation de leur
espace aérien contre l’Iran et que toute action de ce type entraînerait
une riposte, a déclaré mardi un haut responsable iranien, alors que le
pays se prépare à une éventuelle riposte israélienne à l’attaque de
missiles iraniens de la semaine dernière. » (timesisrael.com)
Le
chef du parti conservateur canadien s’ajoute à la liste de ceux qui
veulent une frappe contre les installations nucléaires
iraniennes :
«
Canada : Le chef de l’opposition soutient une frappe israélienne contre
le programme nucléaire iranien... ce qui serait un cadeau juif pour
l'humanité » (timesisreal.com)
Il est temps de ramener la prophétie de Bernadette Soubirou (on ne sait pas par contre si elle est véridique) :
«
"Bernadette a écrit en 1879 au Pape Léon XIII afin de lui soumettre des
messages pour notre siècle. De ces cinq prophéties, quatre se sont déjà
réalisées. Cette lettre, considérée comme perdue pendant 120 ans,
aurait été retrouvée par le Père français Antoine Lagrande au Vatican
alors qu'il cherchait des documents sur des miracles à Lourdes. Cette
lettre au Pape, écrite juste avant sa mort par Bemadette, comprend cinq
messages de la Sainte Vierge concernant les événements de notre siècle
et l'avenir après l'an 2000. Le contenu de la lettre n'a jamais été
publié et les personnes au Vatican avouent qu'elle avait été égarée. Le
Père Lagrande a découvert cet écrit en décembre dernier [décembre 1997]
dans une armoire métallique, dans la cave de la bibliothèque vaticane.
Il s'agit de cinq pages séparées et sur chaque page se trouve une
révélation.
...Au
début du XXIe siècle, on assistera au choc des adeptes de Mahomet et
des nations chrétiennes. Une terrible bataille aura lieu dans laquelle
5 650 451 soldats perdront la vie et une bombe très destructrice sera
lancée sur une ville de la Perse. Mais à la fin c'est le signe de la
croix qui vaincra et tous les musulmans se convertiront au
christianisme. Suivra un siècle de paix et de bonheur car toutes les
nations déposeront les armes. Une grande richesse s'ensuivra car le
Seigneur va répandre sa bénédiction sur les croyants. Sur toute la
terre, il ne restera pas une seule famille vivant dans la pauvreté et
souffrant de la faim. A un homme sur dix Dieu donnera le pouvoir de
guérir les maladies de ceux qui appellent à l'aide. Suite à ces
miracles, on entendra les cris d'allégresse d'un grand nombre. Le 21e
siècle sera nommé: «Deuxième Age d'Or de l'humanité». »
Revoici la LA PROPHÉTIE DE DON BOSCO concernant le venue de l’Iris de paix avant le mois de mai des deux lunes :
La copie de cette prophétie a été envoyée à Rome le 12 février 1870,
comme en témoigne la Civiltá Cattolica , Vol. VI, Série 8, 1872, pp.
299 et 303, par le Père Joachim Berto (secrétaire particulier de Don
Bosco).
Il a copié cette prophétie à la demande de Don Bosco quelques semaines après l'Épiphanie.
« … Il y aura toujours un violent ouragan. L'iniquité est consommée; le
péché prendra fin et avant que deux pleines lunes du mois des fleurs ne
passent, l'iris de la paix apparaîtra sur la terre.
Le Grand Ministre verra l'épouse de son roi habillée pour la fête.
Sur le monde entier, un soleil apparaîtra si brillant qu'il ne l'a
jamais été depuis les flammes du Cénacle jusqu'à aujourd'hui, et il ne
sera pas revu jusqu'au dernier jour. »
L’iris de paix est la
fleur de lys, figure du Christ Roi, que nous retrouvons évidement dans
les prophéties de l’Église de Jean XXIII.
« Ouvrez votre cœur au lis. La voix sera puissante, annoncée par les
trompettes. (Retour du Christ, l’ultime soleil, le premier Soleil.)
Lumière de l'Occident, dernière lumière avant l'éternelle, inconnue. La
vérité sera plus simple que tous l'ont dit, que tous l'ont écrit. »
(Prophétie de l’Église #12 « L’arrivée de la Lumière »)
La voix est annoncée par les 7 trompettes de l’Apocalypse.
Le P. Berto écrit dans son interprétation de la prophétie qu’en l’an
1874, le mois de mai a deux pleines lunes (Lune Bleue), l'une le 1er et
l'autre le 31.
« Cependant, aucun événement extraordinaire profane ou surnaturel ne
s'est produit ce mois-là. En effet suivant la séquence du texte, cet
événement devrait suivre «l'ouragan» de «l'iniquité» et du «péché» qui
suivrait lui-même le traité du Latran de 1929. En mars 1988 et 1999, il
y a deux pleines lunes. Dans le premier, il n'y avait pas de cessation
notable du péché dans le monde. Ce dernier n'est pas encore venu. » (franciscan-archive.org)
Observons le ciel et la guerre de la nature.
Ces signes sont des avertissements.
07 octobre
« Grand Éclair à l’Orient »?
Pas vraiment mais un séisme de 4.6 a été détecté en Iran et tout
indique qu’il y a eu un essai nucléaire souterrain dans le désert
iranien.
Alors qu’Israël prépare sa riposte à l’attaque de missiles de la
semaine dernière, l'Iran tient à démontrer qu'elle possède la bombe
atomique.
La comète du 13 octobre est sur le point de contourner le soleil et de
devenir un objet céleste observable de soir autour du 9 octobre, et
peut-être de jour.
Voici un photographie prise le matin avec la tour Eiffel (non visible à l’œil nu encore).
Retour sur l’importance du 7 octobre et du 13 octobre via le site du Grand Réveil du regretté Louis D’Alencourt.
« Les 7 octobre et 13 octobre
Le 7 octobre est la date d’une des plus grandes victoires
militaires catholiques face aux musulmans : le 7 octobre 1571 la
coalition formée par le pape bat la flotte ottomane lors de la bataille
navale de Lépante. Cette victoire est due explicitement aux
innombrables chapelets récités par toute la chrétienté dans ce but.
C’est pourquoi, en action de grâce d’un succès qui protègera pour
longtemps la chrétienté de la menace islamique, le pape instituera au 7
octobre la fête de Notre-Dame du Rosaire, afin de faire le lien avec la
prière privilégiée qui nous a obtenu cette grâce du Ciel.
Le
13 octobre est la date du miracle du soleil à Fatima. Les célèbres
apparitions de la Vierge Marie à Fatima au Portugal se sont déroulées
du 13 mai au 13 octobre 1917, sur 6 apparitions, la dernière du 13
octobre constituant une preuve incontestable de leur origine divine
puisque les 70 000 personnes présentes assistèrent en direct au
« miracle du soleil ».
Le
lien entre les deux dates a été effectué par la Vierge Marie en
personne. En effet, au cours des apparitions de Fatima, la Vierge dit à
plusieurs reprises aux voyants : « le dernier jour, je vous
dirai qui je suis et ce que je veux. » Et le dernier jour, le 13
octobre, elle révèle effectivement son nom : « Je suis
Notre-Dame du Rosaire ». Cette information de toute première
importance, donnée par le Ciel faut-il le rappeler, relie le 7 octobre
au 13 octobre, et Lépante à Fatima. Ca devra donc servir un jour. »
En résumé : La guerre est déclenchée par le Hamas le 7 octobre et l’ultimatum d’Israël le 13 octobre.
Rappelons l’analyse du 18 septembre sur ce sujet en relation avec le 24 mai :
« Auxilium Christianorum » « Notre-Dame Auxiliatrice » est fêtée le 24 du mois de mai.
Ce titre fut donné à la Sainte Vierge Marie et officiellement introduit
dans l’Église par Pie V, après la célèbre victoire de Lépante en 1571,
lorsque qu'il ordonna d'inscrire dans la litanie Lorétienne
l'invocation "Maria Auxilium Christianorum, ora pro nobis".
Saint Pie V ne cacha point qu'il attribuait à l'intercession de
la sainte Vierge le succès de Lépante. Il ajouta aux litanies de
Lorette, c'est-à-dire de la sainte Vierge, l'invocation "Secours des
chrétiens, priez pour nous", et fixa au 7 octobre une fête en l'honneur
de Notre-Dame de la Victoire.
Il y a donc un lien direct entre les mois d’octobre et de mai.
Sachant que Don Bosco a prophétisé aussi la venue du Lys de Paix avant
le mois des deux lunes, et que le seul possible maintenant est mai
2026, on ne peut qu’anticiper que le mois d’octobre 2024 est crucial.
L’Antichrist
personnifié fera ses dernières nominations de cardinaux en décembre, et
à la surprise de tous, Timothy Radcliffe (oui, oui, celui qui fait les
méditations pré-synode et ses positions hétérodoxes, surtout pour son
activisme en faveur de la reconnaissance de l’homosexualité dans
l’Église, dont on a fait mention dernièrement), à 79 ans.
C’est une récompense pour son travail de sape de l’église puisqu’il ne
sera pas éligible à voter à un conclave ( on ne peut voter à 80 ans et
plus).
Les nominations selon la liste sont partisanes et surtout, des évêques
très jeunes seront promus, afin de perpétuer la destruction de l’église
pour encore de nombreux conclaves : le testament de Bergoglio
(analyse du 17 septembre dernier).
Voir Effets collatéraux dans l’Église et autres articles sur benoit-et-moi.fr
Prions Notre-Dame du Rosaire en cette journée si cruciale.
Prière de Notre-Dame du Saint Rosaire :
« Ô Bienheureuse Vierge Marie, Reine des Cieux et Mère de la
Miséricorde, nous nous tournons vers toi avec des cœurs humbles et
reconnaissants en ce moment sacré où nous invoquons les mystères de ton
Saint Rosaire. Toi qui es notre étoile du matin, guide-nous à travers
les méandres de nos vies, éclairant notre chemin de la lumière de ton
Fils bien-aimé, Jésus-Christ.
Au
commencement de chaque Ave Maria, nous méditons sur l'Annonciation, ce
moment divin où l'Archange Gabriel t'a saluée comme pleine de grâce, et
où tu as, avec une humble soumission, accepté la volonté de Dieu en
devenant la Mère du Sauveur. Que cette méditation nous enseigne
l'obéissance confiante face aux desseins mystérieux de Dieu, et qu'elle
fortifie notre foi en sa providence divine.
Pendant
chaque dizaine, nous contemplons les mystères joyeux, lumineux,
douloureux et glorieux de la vie de ton Fils, Jésus. Que ces moments de
prière approfondissent notre compréhension de l'amour infini de Dieu
manifesté en Jésus-Christ, et que nous soyons inspirés à suivre ses
enseignements et à imiter son exemple.
Au
cours des mystères joyeux, nous réfléchissons à la naissance du Christ,
à son enfance à Nazareth et à la présentation au Temple. Sainte Marie,
Mère de Dieu, intercède pour nous, afin que, comme toi, nous puissions
accueillir Jésus dans nos vies avec une joie ineffable.
Dans
les mystères lumineux, nous contemplons le baptême de Jésus, ses
miracles et l'institution de l'Eucharistie. Sainte Marie, Reine des
Apôtres, accorde-nous la grâce de vivre nos vies à la lumière de la
vérité éternelle de ton Fils.
Les
mystères douloureux nous conduisent au jardin de Gethsémani, au chemin
de croix, à la crucifixion et à la mort de Jésus sur la croix.
Mère
compatissante, sois notre réconfort dans les moments de souffrance, et
guide-nous à travers les épreuves de la vie avec la foi inébranlable
que tu as démontrée au pied de la croix.
Les
mystères glorieux célèbrent la résurrection, l'Ascension, la Pentecôte
et ton couronnement comme Reine du Ciel. Sainte Marie, notre Reine et
notre Mère, aide-nous à aspirer à la gloire éternelle du Royaume de
Dieu et à cheminer avec espérance vers notre patrie céleste.
Pendant
chaque Ave Maria, nous te prions pour notre église, pour tous les
fidèles, pour les âmes du purgatoire, et pour le monde entier. Ô
Notre-Dame du Saint Rosaire, prie pour nous, maintenant et à l'heure de
notre mort.
Amen. »
05 octobre
L'ancien
Premier ministre Ehud Barak estime qu'Israël pourrait attaquer
l'industrie pétrolière iranienne, tout comme le président Biden l’a
confirmé cette semaine.
Plus nous approchons du 13 octobre plus la situation devient tendue.
Retour sur l’analyse du 153, le chiffre des rachetés :
1871 ajouté de 150 ans donne exactement le début du synode des synodes de Bergoglio en 2021.
Ajouté du chiffre de la Sainte Trinité, nous atteignons comme spécifié octobre 2024.
Signe
des temps : Considérant que Bergoglio était supposé clore le
synode en 2023, il n’y a pas de hasard quant au fait qu’il a du
prolongé cette conclusion en 2024.
Dans
l’analyse de la prophétie politique #32 « Le temps est proche » qui est
liée au « Grand Éclair à l’Orient », nous avions potentiellement
identifiée la fille de Caïn comme étant Greta Thunberg qui ouvrait
ainsi la voie pour la nouvelle religion anxio-climatique, supporté par
le Laudato Si de Bergoglio.
C’était en août 2018.
« La fille de Caïn est montée au Nord, pour prêcher. Luxure dans la nouvelle Babylone, pour sept ans.
La septième année tombe le
septième voile de Salomé, mais il n'existe pas d'empereur, il n'existe
pas qui saura lever l'épée et couper le cou de Jean.
Le temps est proche. »
La septième année est donc 2025, l’année du jubilé.
Le
septième voile reliée à la danse de Salomé est donc le signe de
l’ouverture du septième sceau, la prophétie de l’église #11 de Jean
XXIII, et puisqu’il n’y a pas d’empereur, cela indique que le chaos
mondial est à nos portes.
La prophétie concernant François spécifie bien que :
« Le grand frère d'Orient fera trembler le monde par la croix renversée sans les lis. »
C’est exactement ce que fait le chef chiite en Iran, à la botte de Satan, croyant faire venir son messie au dépend des juifs.
Sur
une notre plus positive en ces temps si critiques, Camaron, sur le blog
le Grand Réveil de Louis D’Alencourt avait l’habitude de rappeler
l’importance de l’acte de réparation à la Vierge Immaculée demandée par cette dernière à Fatima, à tous les premiers samedis du mois :
«
Pour rappel important, comme tous les premiers samedi du mois,
n’oublions pas de prier à l’attention de notre Mère du ciel ce
magnifique acte de réparation à la Vierge Immaculée, pour tous les
outrages dont elle fait l’objet en cette période des derniers temps.
Acte de réparation à la Vierge Immaculée
A réciter le premier samedi du mois…
Très
Sainte et Immaculée Vierge Marie, Mère de Dieu, qui êtes aussi notre
Mère : nous nous agenouillons respectueusement devant vous, afin de
réparer par ce témoignage d’honneur et d’amour toute la souffrance que
vous ont causée à vous et à votre Divin Fils, la négligence,
l’ingratitude, le reniement et les blasphèmes.
Ô
Marie, chef-d’œuvre incomparable de la Très Sainte Trinité, objet des
complaisances éternelles de Dieu ! Le Fils Eternel de Dieu est votre
Fils selon la nature humaine, le sang de votre sang. Votre dignité
touche ainsi à l’infini ; vous êtes, ô Marie, l’Immaculée Conception,
pleine de grâces et de mérites, la Vierge-Mère, la Reine du Ciel et de
la Terre. Vous êtes notre Co-Rédemptrice, notre Médiatrice et notre
réconciliatrice. Vous êtes la Mère de la Sainte Eglise et
l’exterminatrice de toutes les hérésies, la Trésorière du Cœur de
Jésus, la Dispensatrice de toutes les faveurs célestes, la
Toute-Puissance suppliante, la Mère de miséricorde, notre Consolatrice
et notre Refuge.
Votre bonté et votre miséricorde égalent votre force et votre dignité.
Et cependant, il y a des malheureux qui, comme de vrais suppôts de
l’enfer, vous dédaignent et vous insultent, vous et votre Divin Fils.
Il en est qui méconnaissent votre dignité incomparable et vos bontés
maternelles. D’autres qui sapent l’œuvre de la Rédemption dans les âmes
rachetées par le sang de Jésus et qui cherchent à déchristianiser le
monde.
Et
combien, même parmi les chrétiens, qui aiment trop peu leur Mère et
montrent par leur manière d’agir qu’ils n’ont pas assez de confiance en
Vous, Mère de miséricorde, consolatrice des affligés, et refuge des
pécheurs. Combien qui se flattent, ô Mère, de vous aimer de tout cœur
et continuent étourdiment de renouveler par le péché les souffrances de
Jésus et de transpercer votre Cœur maternel. Et moi-même que j’estime
peu ce que vous êtes pour nous ! Que de fois je me suis joint aux
bourreaux du Calvaire ! Et, au lieu d’être pour vous un fils aimant,
j’ai trop souvent attristé votre tendre cœur de Mère par ma négligence
et mon indifférence.
Ô Cœur maternel de Marie, ayez pitié de nous ! Miséricorde et
conversion pour ceux qui cherchent à déraciner dans les âmes des
pauvres et des enfants l’amour pour Jésus et pour vous. Miséricorde et
conversion pour tous les pécheurs ! Miséricorde et pardon pour moi
aussi, pour toutes mes fautes et mes négligences !
A
titre de réparation, ô la meilleure des Mères, je vous offre la louange
et tout l’honneur qui vous ont jamais été rendus par le ciel et la
terre, en particulier par le Divin Cœur de Jésus. Je vous présente tout
l’hommage qu’on vous rend aujourd’hui sur toute la terre, en public et
au foyer. Je m’offre aussi moi-même avec mon amour d’enfant et ma
piété, avec toutes les adversités et les bonnes actions de ce jour. Je
vous promets d’être désormais tout vôtre, d’animer et de répandre votre
culte, tant que je le pourrai.
Ô
bonne Mère, répandez en nous et sur le monde entier, le surplus de
votre miséricorde maternelle, en même temps qu’une vive piété pour
Jésus et votre Saint Cœur ! Exterminez les hérésies, et écrasez pour
toujours la tête du serpent infernal ! Obtenez la paix pour la terre,
et la victoire pour notre Mère la Sainte Eglise ! Régnez sur nous et
sur le monde entier, et que, par votre règne, nous arrive le règne du
Divin Cœur de Jésus ! Ô bon Jésus, je vous en conjure par l’amour que
vous portez à votre Mère : accordez-moi de l’aimer vraiment comme vous
l’aimez et comme vous désirez qu’elle soit aimée. Ainsi-soit-il !
Indulgence plénière pour tous ceux qui, le premier samedi du mois vont
à la communion et font acte de Réparation pour les blasphèmes contre la
Vierge Immaculée.
04 octobre
Saint-Augustin, Léon XIII, Pie IX, et le 13
Nous ramenons sur la table l’analyse du 24 mars 2018 clarifiant les
explications de Saint-Augustin sur la signification du chiffre 153,
tout en liant ces dernières aux analyses récentes sur Léon XIII et le
chiffre 13.
Pourquoi?
Parce
que ce mardi 1er octobre, à l’occasion de la retraite du Synode, le
père dominicain Timothy Radcliffe, ancien maître de l'Ordre des
prêcheurs, a proposé dans sa troisième méditation une réflexion sur le
thème de «La pêche miraculeuse», s’appuyant sur l’Évangile de saint
Jean.
Il n’y a pas mais pas de hasard ici.
Pas du tout avec la signification hautement eschatologique de cette pêche miraculeuse en cette fin des temps.
Surtout dans le contexte actuel géopolitique et synodal.
On
rappelle brièvement qui est Timothy Radcliffe, choisi en 2023 et 2024
pour guider les méditations à caractère humaniste du synode des synodes
(via benoit-et-moi.fr).
« Le frère dominicain, qui fut supérieur de l’Ordre de 1992 à 2001,
mais dont la réputation mondiale est surtout due à la quantité
d’écrits, traduits dans de nombreuses langues, en claire
opposition à la doctrine catholique (notamment sur le thème de
l’homosexualité mais aussi sur d’autres sujets chauds, comme la
communion aux divorcés remariés, le rôle des femmes, etc.), doit, à la
demande du pape, diriger la retraite de prière en préparation à
l’assemblée du Synode des évêques qui se tiendra au Vatican du 1er au 3
octobre 2023. »
Ce qu’il a dit :
« Nous voici arrivés à la grande énigme: 153 poissons gras. Je pourrais
vous ennuyer pendant des heures avec toutes les explications
merveilleuses et souvent absurdes de ce nombre.
Pourquoi 153? Certains disent qu’il devait y en avoir 153. Mais
imaginez les compter en bondissant partout. D’autres font référence aux
153 églises qui existaient peut-être à l’époque. D’autres aux 153
nations qui étaient alors connues. Cela signifie clairement
l’abondance. La providence abondante de Dieu est à l’œuvre. Saint John
Henry Newman a décrit la providence comme «l’œuvre silencieuse de
Dieu». L’Instrumentum Laboris s’ouvre par une citation d’Isaïe: «Sur
cette montagne, le Seigneur de l’univers fera pour tous les peuples un
festin de mets succulents, un festin de vins bien affinés, de mets
succulents remplis de moelle, de vins bien affinés et filtrés» (25,6).
» (vaticannews.va)
Cette intervention est à l’image de tout le pontificat de Bergoglio en
quelques phrases : des paroles frivoles, aucune idée, aucune
direction, de l’ambiguïté, aucune théologie.
C’est l’ignorance complète de la Tradition et des pères de l’Église, dont dans ce cas-ci, Saint-Augustin.
Pourtant, Saint-Augustin détient la clé de la signification du chiffre 153.
Pourquoi le 153?
Dans le Nouveau Testament, il y a deux pêches miraculeuses, une avant
la résurrection du Christ, et la seconde, relatée par Saint-Jean, liée
à une manifestation de Jésus ressuscité au même groupe de pêcheurs.
Retenez bien :
Jésus confirme alors aux apôtres l'aspect physique de sa résurrection
ET le caractère universel de la mission qui leur est confiée (153
miraculeuse dans les filets).
Matthieu (13, 47-50) nous précise aussi que la pêche représente aussi
le Jugement, le tri, la séparation du bon grain de l'ivraie.
«… le royaume des cieux est encore semblable à un filet qu'on a jeté
dans la mer et qui ramasse des poissons de toutes sortes. Lorsqu'il est
plein, les pêcheurs le retirent, et, s'asseyant sur le rivage, ils
choisissent les bons pour les mettre dans des vases, et jettent les
mauvais. Il en sera de même à la fin du monde : les anges viendront et
sépareront les méchants d'avec les justes, et ils les jetteront dans la
fournaise ardente : c'est là qu'il y aura des pleurs et des grincements
de dents.»
Mais le sujet est complet avec le « Traité sur l'Évangile de Jean de Saint Augustin » sur les 153 poissons :
« Quant à la pêche qui suivit la résurrection, elle désigne l’Église du
ciel; car les poissons viennent tous de la droite, comme les élus;
comme les élus ils sont comptés, et s’ils sont au nombre précis de 153,
c’est que ce nombre encore désigne les élus. »
« Ce nombre ne représente pas uniquement les élus qui ressusciteront
pour la vie éternelle, et ne veut pas dire qu’ils seront seulement cent
cinquante-trois : il représente aussi les milliers de saints qui
vivent sous l’empire de la grâce de l’Esprit : cette grâce
s’accorde avec la loi de Dieu comme avec un adversaire ; ainsi,
l’Esprit vivifie et la lettre ne tue pas ; ce que la lettre
commande s’accomplit avec le secours de l’Esprit, et si on ne l’observe
point parfaitement, cette omission est pardonnée. Tous ceux qui se
trouvent soumis à l’influence de cette grâce, ce nombre les figure
donc, c’est-à-dire qu’il les représente figurativement il est composé
de trois fois cinquante, plus trois, qui représentent le mystère de la
Trinité : le nombre cinquante est formé par le résultat de sept
multiplié par sept, auquel on ajoute un ; car sept fois sept font
quarante-neuf. On y ajoute un, pour signifier que celui qui est
symbolisé par sept à cause de ces sept opérations, est un : nous
le savons, le Saint-Esprit a été envoyé le cinquantième jour après la
résurrection du Sauveur, il avait été promis aux disciples, et ils
avaient reçu l’ordre de l’attendre. » (fr.wikisource)
Un jubilé dans l’Ancien Testament est l’année suivant 7 cycles de 7 années où sont remis les dettes.
Pour être du nombre des élus, il faut avoir accompli la loi de Dieu, ou
les 10 commandements, avec le secours des 7 dons de l’Esprit-Saint. Le
nombre 17 est ainsi le chiffre des élus. Additionnez tous les nombres
inférieurs jusqu’à celui-là, vous obtiendrez cent cinquante-trois.
« Jamais le Seigneur n’aurait donné cet ordre, s’il n’avait eu dessein
de nous tracer un enseignement qui nous fût salutaire. Qu’importait à
Jésus-Christ qu’on prît des poissons ou qu’on n’en prît pas ?
Rappelons-nous que les disciples firent deux pêches sur l’ordre de
Notre-Seigneur Jésus-Christ, l’une avant sa passion, l’autre après sa
résurrection.
Ces deux pêches figurent donc l’Église; l’Église telle qu’elle est
aujourd’hui, et l’Église telle qu’elle sera à la résurrection des
morts. Aujourd’hui, en effet, les bons et les méchants sont
innombrables dans son sein, tandis qu’après la résurrection elle ne
renfermera que les bons, dont le nombre sera fixé. »
« 153 représente Le nombre caractéristique de la mission du Christ dans
le nouveau testament qui symbolise l’ensemble des rachetés. Les pères
de l’Église s’accordent à voir dans le nombre 153 le symbole
d’universalité de l’Église. Saint Augustin va dans le même sens en
affirmant qu’il symbolise la totalité des élus.
Saint Augustin déclare : « Dans le nombre dix-sept comme dans ses multiples on trouve un sacrement admirable ».
Sont ainsi réunis dans le filet à la fois les Juifs (pour la loi) et les païens (pour l’Esprit Saint).
Saint Augustin explique encore que c’est 50, le nombre du Jubilé,
doublement placé sous le nombre 3 le chiffre de la Divinité, il l’est
par la multiplication (3 x 50 = 150) et par l’addition (150 + 3 = 153)
; ce Nombre 153 signifie en quelque sorte le Jubilé des jubilés ; il
pourrait être le Nombre de l’Église de l’Agape, celle du grand Jubilé
messianique...» (H. Kruse : vd 1960, p. 129-148, cité par : Bible
chrétienne Évangiles, no 371.)
Du 13 mai 1917 au 13 octobre 1917, Marie est apparue aux 3 bergers sur une période de 153 jours.
153, c'est aussi le nombre du Rosaire, soit 3 chapelets d'Ave Maria.
L’apparition forcée du 19 août 1917 renvoie à Saint-Joseph dont on la fête est le 19 mars, date d’intronisation de Bergoglio.
Nombre de jours entre le 19 mars et le 19 août : 153.
Donc, 153 signifie le Jubilé des jubilés.
Le pape Léon XIII a eu sa vision du Christ et de Satan le 13 octobre 1884.
Nous avons analysé dernièrement que nous atteignons en 2024 les 100 ans
de destruction de Satan ajoutés aux 40 ans d’attente dans le désert à
l’image du Christ, notre carême, depuis la vision de Léon XIII du 13
octobre 1884.
Le 13 est le chiffre de la purification (facilement confirmé par la Vierge Marie à Fatima entres autres).
Le chiffre de Marie est le 13 : la lettre M demandée rue du Bac au dos
de la médaille miraculeuse est la 13ème lettre de l’alphabet, et la
série des apparitions tous les 13 du mois à Fatima vient confirmer ce
choix (la Sainte Vierge étant aussi la 13ème après les 12 apôtres).
Alors, que nous indique cette méditation pré-synode du père Radcliffe avec sa pêche miraculeuse de 153 poissons?
Déduisons simplement 153 années de 2024 et nous avons 1871.
Or,
1871 est le début d’un cycle de destruction de l’Église, soit la perte
des États pontificaux en 1870 qui fait surgir la « question romaine ».
La loi
des Garanties, de son intitulé complet loi des Garanties sur les
prérogatives du Souverain pontife et du Saint-Siège et sur les
relations de l'État avec l'Église est une
loi italienne promulguée le cherchant à résoudre
la « question romaine », née de la disparition des États
pontificaux survenue un an auparavant..
Après
la prise de Rome en 1870, pape Pie IX, dernier souverain des États
pontificaux, se déclare alors « prisonnier du Vatican ».
La question romaine ne sera résolue qu’avec les accords du Latran en 1929.
Alors
le Vatican devient royaume temporel où selon l’Apocalypse ne régneront
que 8 rois avant la fin des temps (voir l’analyse du 13 septembre
2024 : « Le 8ème roi : l’oméga »), soit 8 papes depuis 1929.
C’est
confirmé encore une fois dans l’ouvrage « Le diable au XIXè
siècle » en 1894 : il s’agit d’une séance de questions à Lucifer
lors d’une réunion privée de hauts responsables maçonniques.
À la question « combien de papes après Léon XIII » [le pape régnant de l’époque] le démon répond :
« Neuf, et après eux je règnerai ». (grand reveil wordpress, Louis D’Alencourt)
Pie IX, est un grand pape qui a condamné toute forme de modernisme dans l’Église.
Il proclama le dogme de l'Immaculée Conception.
Il convoqua le premier concile œcuménique du Vatican, qui définit notamment l'infaillibilité pontificale.
Le
8 décembre 1870, Pie IX déclare officiellement et « pour
perpétuelle mémoire » saint Joseph « Patron de
l’Église universelle ».
Le
7 juillet 1871, est reconnu à saint Joseph le droit à un culte
supérieur à celui des autres saints; à saint Joseph furent accordées
par Dieu des grâces spéciales.
Nous
arrivons à la fin du cycle, la fin des temps, et Bergoglio commencera
le jubilé de la victoire synodale (s’il se rend jusque là) le 8
décembre, jour évidemment important de l’Immaculée Conception.
Quatre jours plus tard, ce sera la fin de la neuvaine de Notre-Dame de Guadelupe, ou Notre-Dame de l’Apocalypse.
Tout est finalement relié.
Saint-Joseph, Marie, Fatima, le 13 et le 153.
1871 à 2024.
Le début de la destruction physique de l’Église, et son achèvement par le synode des synodes en 2024.
La résurrection suivra.
03 octobre
« La terre frisera le massacre. Un seul mourra pour tous et il était le meilleur.
Ce n'est pas le temps d'un roi,
ce ne l'a jamais été. Depuis la mort de Frédéric, chaque roi est
usurpateur. Que le roi s'en aille, reste le peuple. L'Europe a soif,
elle aura du sang dans les rues.
Mais aussi de grandes
processions et la Vierge Heureuse descendra sur terre. Vous ne la
verrez pas dans la grotte, mais dans un cœur qui revivra. Depuis les
ténèbres, elle apportera la parole que tous comprendront.
C'est le temps des lettres. »
Quelques pensées sur la fin de la prophétie « Grand Éclair à l’Orient » qui se dessine à l’horizon avec l’Iran et Israël.
La terre sera en péril: c'est bien ce qui se dessine.
Un
seul mourra pour tous et il était le meilleur : On peut penser au
successeur de Bergoglio (pas nécessairement pape, comme le cardinal
secrétaire d’État Pietro Parolin par exemple; puisque on ne sait pas
s’il y aura le temps d’un autre conclave) de la prophétie le concernant
qui mourra assassiné.
Ce qui voudrait dire que le décès de Bergoglio est imminent.
C’est le temps des lettres : l’Alpha et l’Oméga, le début et la fin d’un cycle.
Le début du cycle : Vatican II.
La fin du cycle : le synode des synodes.
À l’image de Jean XXIII qui a ouvert Vatican II mais qui est décédé avant sa fin, en sera-t-il de même pour Bergoglio?
La Sainte Vierge descendra sur terre.
C’est
l’image de la femme de l’Apocalypse, les deux pieds sur la lune et qui
voile le soleil, l’image de Notre-Dame de la Guadelupe, où on voit les
constellations sur sa tilma.
D’une manière ou d’une autre, on sait grâce à Fatima, que le soleil est concerné en cette fin des temps.
Et, Malachi Martin affirmait que le signe dans le ciel nous montrerait que Dieu existe.
Et,
avec l’ajout d’une tache solaire gigantesque hier, on peut affirmer que
la terre fait face à des possibilités de tempêtes solaires assez
vigoureuses pour l’instant.
Tempête solaire de classe X9.1, la plus grosse du cycle 25 vient d'avoir lieu.
À suivre pour l'éjection de masse coronale s'il y a lieu.
Il y aura des aurores possibles à partir de cette nuit.
Revue des actualités d’hier :
- Ouverture du Synode: le Pape invite à prier et jeûner pour la paix le 7 octobre… (vaticannews.va)
Mais, ne fait aucune mention de la fête de Notre-Dame du Rosaire.
- Bennett : « Le moment est venu pour Israël de détruire le programme nucléaire iranien »
Selon l'ex-Premier ministre, "nous avons la justification. Nous avons
les outils. Maintenant que le Hezbollah et le Hamas sont paralysés,
l'Iran se tient à découvert" (timesofisrael)
- Israël, qui promet de répondre avec force à l’attaque de missiles
lancée mardi contre son territoire par l’Iran, pourrait profiter de
l’occasion pour viser les installations nucléaires du pays, préviennent
des experts. (lapresse.ca)
« J’emprunte ce titre très réussi à Samuel Martin qui, sur Boulevard
Voltaire a trempé sa plume dans le vitriol pour présenter la grotesque
cérémonie pénitentielle qui a ouvert avant-hier la seconde partie du
Synode.
(A propos, la parenthèse belge, qui a fait espérer, ou redouter à
certains, que le pape soit devenu conservateur, s’est très vite
refermée).
.
Luisella Scrosati reprend une récente interview du cardinal Müller, qui
passe au crible les nouveaux péchés sans oublier d’envoyer quelques
piques bien senties à ses adversaires (« certains anti-intellectuels de
l’épiscopat, qui aiment se référer à leurs talents pastoraux en raison
de leur manque de formation théologique« ) , qui laissent mal augurer
de l’ambiance dans la salle du Synode auquel lui-même participe.
Parfois, il nous vient, peu charitablement, le regret que le ridicule
ne tue pas – disons plus sobrement: ne fasse pas disparaître sous
terre. Si les noms des cardinaux qui se sont prêtés toute honte bue à
cette mascarade sont souvent inconnus (celui de Tucho ne pouvait
manquer, et il ne surprendra personne) comment un intellectuel présumé
comme le cardinal Schönborn, qui ose par surcroît se présenter comme un
disciple de Benoît XVI a-t-il pu proférer ces idioties sans être
paralysé par le fou-rire… ou par la honte? » (benoit-et-moi.fr)
02 octobre
Comme prévu, tout va très vite en ce mois d’octobre.
Sans surprise, l’Iran a lancé des missiles sur Israël plongeant ce
monde dans l’inquiétude quant à la riposte que cette dernière emploiera.
Les experts en politique pensent qu’une attaque contre les installations nucléaires iraniennes est en préparation.
« Netanyahu : « l’Iran a commis une grave erreur ce soir et en paiera le prix » (timesofisrael)
« Washington renforce sa présence au Moyen-Orient avec « quelques milliers » d’effectifs supplémentaires (timesofisrael)
Et, « Khamenei menace Israël d’une attaque « plus forte et plus douloureuse »
Après avoir tiré 180 missiles balistiques sur Israël, le guide suprême
iranien Ali Khamenei publie sur Twitter une illustration d’une vaste
cache d’armes souterraine, avertissant que la victoire de Téhéran est
proche. » (timesofisrael)
Remarquez l’image dans ce lien qui reflète facilement les intentions du chef religieux.
Digne de l’enfer.
Les suppôts de Satan sont libérés.
Une éjection solaire de classe X7.1 a eu lieu durant ces événements. C’est la deuxième plus grande tempête du cycle solaire 25.
Rien de grave à l’horizon car l’éjection de masse coronale associée n’est pas énorme.
Mais les taches solaires augmentent rapidement en ce début de mois, élevant le risque de tempêtes plus intenses.
01 octobre
Voilà.
C’est commencé.
Le synode des synodes ouvre sur la retraite des participants et
aujourd’hui c’est le moment de la confession universelle sur les péchés
qui n’existent pas.
« CITÉ DU VATICAN ( LifeSiteNews )
— L'évêque Athanasius Schneider a accusé un événement du Synode du
Vatican sur la synodalité d'être « un outil pour promouvoir un nouvel
agenda au sein du synode pour établir de nouvelles doctrines qui sont
contraires à la révélation divine, ou qui sapent la révélation divine ».
….
Mais Schneider a rejeté l’idée, affirmant qu’en ce qui concerne les «
péchés contre la synodalité », il n’y a « pas de tels péchés dans la
révélation divine ».
La liste des péchés proposés inclut le « péché d’utiliser la doctrine
comme des pierres à lancer ». Schneider a cependant soutenu que « ces
nouvelles doctrines inventées dans cette soi-disant synodalité, ce sont
les vraies pierres qu’elles jettent aux fidèles, parce qu’elles sont
des distorsions et qu’elles nuisent aux fidèles et mettent en danger
leur salut éternel ».
Il a déclaré que la charité authentique comprend l’itération de la doctrine catholique :
Une
vraie doctrine n’est pas contre la charité : transmettre la doctrine
est une des plus hautes expressions de la charité envers le prochain,
l’amener au droit de la vérité et à la lumière de la vérité ne nous
donne que le vrai bonheur.
Ces
nouvelles doctrines et méthodes synodales confuses nous apportent
ambiguïté, incertitude, et personne ne donnera sa vie pour quelque
chose d'ambigu. Nous donnerons seulement notre vie pour ce qui est
vrai, pour ce qui est solide comme un roc, c'est-à-dire le Christ – Il
est le roc, Il est la vérité et seulement pour Lui. Avec la grâce de
Dieu, chaque chrétien doit être prêt à donner sa vie.
Pendant cet acte d’hypocrisie humaniste qui attire l’attention de tous
au Vatican, Bergoglio agît en cachette, encore une fois contre un
organisme relié à la Tradition, car c’est contraire au synode en
cours :
« ( LifeSiteNews ) — La Fraternité Sacerdotale Saint-Pierre (FSSP) a été informée qu'elle recevra une visite apostolique du Vatican.
La FSSP est une communauté internationale de prêtres sous l'autorité du
Saint-Siège qui célèbre la messe traditionnelle latine dans les églises
du monde entier. »
« CITÉ DU VATICAN ( LifeSiteNews )
— L’évêque Athanasius Schneider a déclaré que le pape François a
contredit « l’Évangile tout entier » en affirmant que toutes les
religions sont un chemin vers Dieu. »…
Une telle affirmation du pape François est clairement contraire à la
révélation divine, elle contredit directement le premier commandement
de Dieu qui soit toujours valable – « Tu n’auras pas d’autres dieux que
moi » – c’est tellement clair, et une telle déclaration contredit
l’Évangile tout entier.
Schneider a ensuite rappelé aux téléspectateurs que « Jésus-Christ a dit : « Nul ne vient au Père que par moi. » »
Suite
à la conclusion de l’enquête du Vatican sur les apparitions de la
Vierge Marie à Medjugore publié la semaine passée, il semble que l’on
visait également sinon ultimement les apparitions et les miracles à
Fatima en 1917…
Ce qui est très révélateur à l’approche de ce 13 octobre 2024.
«
En marge de la note récemment émanée, dont on a pu croire qu’elle
concernait essentiellement sinon uniquement Medjugorje
(cf. Merjugorge: ce n’était pas assez clair), une interview du
père Stefano Cecchin, président de l’Académie pontificale mariale,
franciscain.. et néo-franciscain. Il semblerait que Medjugorje était,
au moins en partie, un prétexte, et que ce sont d’autres apparitions
qui inquiètent le Vatican…
Par ailleurs, c’est le père Cecchin qui, reprenant la ligne
officielle de Sainte Marthe, a déclaré « absolument faux » tous les
messages qui parlent de « châtiments ». Or, c’est exactement ce que
fait le message de Fatima, et pas seulement lui. »
À lire sur benoit-et-moi.fr
La guerre au Moyen-Orient s’intensifie.
Israël
a fait son entrée dans le sud du Liban juste après le discours du
premier ministre aux Nations-Unies, où il « exhorte le monde à préférer
la « bénédiction » de la paix à la « malédiction »
de l’Iran » (timesofisrael)
...
«
« J’ai un message pour les tyrans de Téhéran : si vous nous
frappez, nous vous frapperons. Il n’y a pas d’endroit en Iran que le
bras long d’Israël ne puisse atteindre, et c’est vrai pour tout le
Moyen-Orient », a poursuivi le chef du gouvernement israélien.
« Nous gagnons, nous gagnons, nous gagnons, nous gagnons, nous
gagnons, nous gagnons, nous gagnons, nous sommes en train de
gagner », s’est exclamé Netanyahu. »
On sait bien de quelle paix l’élite judéo-maçonnique veut nous imposer.
Néanmoins,
cela confirme nos analyses depuis le début, c’est l’Iran qui est
concerné par la prophétie politique « Grand Éclair à l’Orient », du
moins, elle en est la cause.
Et la Chine qui donne son soutien à l’Iran (timesofisrael).
Liban : la Turquie presse Israël de retirer ses soldats « au plus vite »
Preuve que les événements sont bien enclenchés pour la bataille finale de la fin des temps.
Les deux Babylone ont amorcé leurs chutes.
Septembre 2024
30 septembre
LUMIERE DANS LE CIEL
Nous avons analysé l’importance du pape Léon XIII dans les dernières analyses.
« Lumière dans le ciel » est la devise attribuée à Léon XIII dans la prophétie des papes de Saint-Malachie.
Et la « lumière dans le ciel » est bien présente en cette fin de cycle,
en ce mois de la conclusion de Vatican II par le synode des synodes.
C’est la comète de l’espoir pour les chrétiens catholiques.
Nous y sommes.
C’est le début du synode dans deux jours.
Et, la comète qui l’accompagne, et que nous verrons à l’œil nu autour
du 12 octobre prochain, si tout continue ainsi, a triplé sa luminosité
en une seule journée, signe qu’elle sera probablement visible en plein
jour à cette date.
Il est estimé que cette comète a déjà visité la terre il y a plus de 80000 ans.
La comète n’est visible qu’au lever du soleil à l’est près de l’horizon
en cette fin de mois. Mais elle deviendra de plus en plus visible entre
le 12 et le 20 octobre lorsqu’elle prendre de l’altitude tout en se
distançant du soleil.
Lien de spaceweathergallery pour les images de la comète.
Ci-joint l’image simulée donnée par Stellarium le 12 octobre prochain.
Voici la vue de la comète depuis la station spatiale.
Mais, aujourd’hui, juste avant le début du synode, la découverte d’une autre comète excite la communauté astronomique :
Une nouvelle comète rasante du soleil.
« Elle est déjà de magnitude 11 avec une chevelure verte de 2 degrés et une courte queue. »
L'orbite de la nouvelle comète rappelle à de nombreux experts celle de
la grande comète Ikeya-Seki (C/1965 S1). En 1965, Ikeya-Seki est
devenue si brillante lorsqu'elle est passée près du Soleil qu'elle
était visible en plein jour à une magnitude de -10. Les observateurs
japonais l'ont vue en plein midi.
« A11bP7I est au moins 4 à 5 magnitudes plus faible qu'Ikeya-Seki à la
même distance », note Qicheng Zhang de l'observatoire Lowell. «
Néanmoins, elle pourrait encore produire un spectacle visuel important
début novembre si elle survit à sa rencontre rapprochée avec le Soleil.
»
Comme Ikeya-Seki, la nouvelle comète rasante du Soleil de Kruetz. Les
comètes Kreutz rasantes sont des fragments issus de la désintégration
d'une comète géante il y a environ 2000 ans. Chaque jour, plusieurs
fragments passent près du soleil et se désintègrent ; en effet, les
coronographes SOHO en ont découvert des milliers. En règle générale,
ils sont très petits, mais A11bP7I pourrait être une exception : un
gros fragment qui survit à la chaleur et devient visible à l'œil nu.
Karl Battams, expert en comètes rasantes au Naval Research Lab,
aimerait voir une belle démonstration, mais il est également plein de
prudence : « Les comètes Kreutz présentent souvent des comportements «
explosifs ». Ainsi, même si j'espère de tout mon cœur une Ikeya-Seki
2.0, il semble qu'il pourrait également s'agir d'un fragment Kreutz
beaucoup plus petit qui aurait simplement éclaté un peu plus tôt que
prévu [nous faisant penser qu'il est plus gros et plus brillant qu'il
ne l'est en réalité] ». » (spaceweather.com)
Et voilà.
Quelle coïncidence.
Une comète visible dans le ciel du jour en plein synode et pour la date
historique du 13 octobre, et une autre pour clore le synode à la fin du
mois d’octobre.
Cette dernière est une fragment d’une comète plus grande éclatée il y a environ 2000 ans.
L’étoile du berger?
Et cette comète se dirige droit dans le soleil (elle ne fera pas le tour; c’est une rasante du soleil).
Quelle sera l'impact possible?
Ce
genre de comètes peuvent provoquer des éjections de masses coronales
(tempêtes solaires) et donc perturber la Terre, si dirigées vers cette
dernière.
On la compare à la grande comète de 1965, la dernière de ce type vue en plein jour.
« Les comètes peuvent défier de telles prédictions, mais Ikeya-Seki a
agi comme prévu. Alors qu'elle s'approchait du périhélie, les
observateurs ont signalé qu'elle était clairement visible dans le ciel
diurne à côté du Soleil. Au Japon, où elle a atteint le périhélie à
midi heure locale, elle a été vue briller à une magnitude de -10. Elle
s'est avérée être l'une des comètes les plus brillantes observées au
cours du dernier millénaire, et est parfois appelée la Grande Comète de
1965. » (Wikipedia)
Une magnitude de -10, c’est énorme.
La
comète du 13 octobre atteindra peut-être une magnitude de -4 (plus le
chiffre est négatif plus la magnitude (brillance) est grande; la Lune a
une magnitude de - 2.5 à - 12.75 lorsqu'elle est pleine).
Le synode des synodes, on le sait, conclura avec l’intention d’une
messe œcuménique et un dialogue interreligieux pour que l’église
catholique soit complètement adaptée à la nouvelle religion humaniste
pour la venue du messie judéo-maçonnique.
Or, en 1965, lors de la grande comète, pratiquement à la même date où
elle était visible par la majorité des humains, Paul VI publiait Nostra
Aetate, la déclaration du concile Vatican II sur
les relations de l'Église catholique avec les religions non
chrétiennes (judaïsme, islam, bouddhisme, hindouisme et
autres religions).
Nostra aetate est un des fondements du dialogue
interreligieux catholique contemporain, renouvelant les
relations que l'Église établit avec les autres religions non
chrétiennes.
ET, le concile Vatican II s’est conclu le 8 décembre 1965.
Bergoglio début son jubilé 2025 le 8 décembre prochain.
La boucle est bouclée.
Nous avons bien là des signes que Dieu veille.
À nous de veiller aussi.
À
suivre... surtout qu'Israël entreprend son attaque au sol au Liban
présentement et que l'Iran se demande encore comment réagir à
l'assassinat du chef du Hezbollah.
Un chef est donc mort en Orient.
Est-ce celui de la prophétie « Grand Éclair à l'Orient » ?
Si
c'est le cas, surveillons l'autre chef qui sera assassiné au dans le
sud ou au sud de Luther, les États-Unis, selon la prophétie.
27 septembre
LE MESSIE
Le fond de l’histoire est religieux.
Au travers les âges, le Père a choisi un peuple, les juifs, pour
devenir le peuple élu afin d’éliminer le paganisme petit à petit et de
créer une seule religion monothéiste.
Le
peuple hébreu a été forcé d’abandonner ses cultes (on pense au veau
d’or par exemple) et sacrifices sanglants pour préparer le sacrifice
non sanglant, celui de l’Agneau de Dieu, qui est perpétué
éternellement via la Sainte Messe.
Afin de mener l’humain vers le Royaume des Cieux qui n’est pas de ce
monde, et donc d’avoir intérieurement le mode de pensée nécessaire,
Dieu a pris ce dernier par la main en établissant des lois (les dix
commandements) pour ensuite compléter la Loi avec les enseignements du
Christ.
Il n’y a qu’un seul Dieu a été remplacé par « aimer Dieu de toutes tes
forces et ton esprit » et le système de valeurs des dix commandements a
été remplacé par « tu aimeras ton prochain comme toi même ».
Ce monde fait face à deux visions distantes de la notion de Messie.
La première est spirituelle. C’est celle que nous connaissons via l’Évangile.
C’est le Christ.
Et, son retour à la fin des temps est strictement spirituel.
C’est la récolte du bon grain et de l’ivraie.
C’est le Royaume spirituel du Christ qui descend sur terre, la nouvelle Jérusalem : « que ton règne vienne,
que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel. »
C’est la purification par le feu.
La deuxième vision du Messie n'est que matérielle, temporelle.
C’est celle des talmudistes judéo-maçonniques.
Ce Messie est le peuple juif sans son entier (l’élite de la kabbale).
Hélas, elle a toujours ses relents du paganisme, des sacrifices
sanglants, de l’holocauste nécessaire pour l’expiation des péchés.
Ces élites attendent la réalisation de la promesse faite au peuple juif par Dieu, celui de la terre promise.
Or, pour eux, la terre promise, c’est le monde entier.
Ils croient qu’ils sont destinés à le dominer financièrement,
matériellement, afin d’être le seul peuple prêtre entre Dieu et les
esclaves que nous sommes à leurs yeux.
Que ce soit la vision du clan des Loubavitch appuyant les russes, ou le
clan des Rothschild avec la vision anglo-saxonne de la venue du Messie
par la force (d’où les guerres expiatoires), la finale planifiée est un
système supra-national à la sauce 1984, l’un étant multipolaire (voulu
par les russes), l’autre étant unipolaire (les anglo-saxons).
Israël veut entraîner l'axe anglo-saxon dans cette guerre autour de Meddigo.
Elle provoque l'Iran pour la forcer à s'impliquer.
Mais en finale, le plan va échouer.
Les divisions entre les clans conduira à la chute de Babylone.
Le sacrifice sanglant mener par Israël ne réussira pas.
Car le Christ est venu compléter la Loi et a promis que c’est son Église qui triomphera à la fin.
Dernièrement, tout s’accélère et les indices augmentent à chaque jour
qui passe pour confirmer cette chute éminente des deux Babylone.
Trump vient d'affirmer que l’Iran veut l’éliminer et que s’il était en
poste et qu’un pays essaie de s’en prendre à un candidat à l’élection
américaine, alors il n’hésiterait pas à bombarder les villes
importantes du dit pays.
« « Si j’étais président, j’informerais le pays proférant des
menaces, en l’occurrence l’Iran, que si vous faites quoi que ce soit
pour nuire à cette personne, nous ferons détruire vos plus grandes
villes et le pays lui-même », a déclaré le candidat républicain
lors d’un meeting de campagne. » (lapresse.ca)
Cela va dans le sens de la prophétie politique #22 « Grand Éclair à
l’Orient » que nous analysons depuis le tout début de l’ouverture du
site, en ciblant l’Iran.
Du côté russe, Poutine affirme qu’il abaisse la ligne rouge concernant la politique nucléaire du pays :
« Le président russe Vladimir Poutine a prévenu mercredi que son pays
pourrait utiliser l’arme nucléaire en cas de « lancement
massif » d’attaques aériennes et que tout assaut mené par un pays
non nucléaire, mais soutenu par une puissance disposant de l’arme
atomique pourrait être considéré comme une agression
« conjointe ». » (lapresse.ca)
Israël, dans sa guerre contre l’islam chiite, a frappé le port de Tartous en Syrie. (timesofisrael.com)
Pour ceux qui ne le savent pas, le port de Tartous est le port d’attache au Moyen-Orient pour la marine russe.
Bref, tous les indices pointent vers un conflit majeur autour de la plaine de Meddigo, comme c’est annoncé dans l’Apocalypse.
Le fond de l’histoire est religieux : dans ce monde laïcisé ou
paganisé, les aveugles ne voient plus que tout est orienté en fonction
du Messie temporel.
Bergoglio en est un participant très actif, quoiqu’il en pense.
Mais Dieu a d’autres plans...
26 Septembre
TIKOUN OLAM
La rédemption par le péché ou le sacrifice de masse pour obtenir quelque chose de supérieure.
Plus la rédemption par le péché est élevée plus la récompense est grandiose.
C’est la philosophie du sacrifice qui caractérise les esprits tordus
judéo-maçonniques et qui est très bien expliquée dans les écrits de
Pierre Hillard.
« Le basculement d’un monde dans une étape supérieure passe par un
sacrifice expiatoire égal à l’obtention d’un « bien » défini selon les
critères des thuriféraires du système pharisaïque. S’agissant de
l’établissement d’une gouvernance mondiale, ce « bien » ne peut être
adoubé que d’une manière holocaustique. » (Pierre Hillard, Des origines
du mondialisme à la grande réinitialisation, p.251)
Nous y avons fait référence dans l’analyse du 29 juillet 2021.
« … En référence à Pierre Hillard (vidéo du 18 juillet avec Civitas), la kabbale juive tient ses principes de la gnose.
Pour eux, Dieu n’a pas créé un monde parfait pour laisser le soin à ses créatures de le rendre parfait.
C’est… et oui, la « grande réinitialisation ».
Serge Monast l’a toujours affirmé, le religieux est au-dessus du
politique, il faut penser comme l’ennemi pour comprendre le plan, et le
plan de l’ennemi n’est que strictement religieux.
La « réparation » de la société ou « grande réinitialisation », c’est « Tikoun Olam ».
Et c’est ce que vous avez sous les yeux en 2021, ce spectacle grandiose de l’ennemi à la 7ème période de l’Apocalypse.
« Tikoun Olam : Dans la tradition toranique, cela signifie toute action
qui vise à améliorer le monde, en le rapprochant de l’état de
complétude conformément au but pour lequel il a été créé. Tikoun olam
engage lʼhumanité entière à penser « la réparation » de la société.
Bien que la nature du monde soit intrinsèquement bonne, elle est
soumise à des lacunes métaphysiques; son Créateur a délibérément laissé
une place aux créatures afin de compléter son œuvre… »
Pourquoi Tikoun Olam maintenant, en 2021?
Parce que le temps est venu: « … tikkoun olam déclencherait ou
accomplirait les prophéties concernant la venue du Messie ou celles du
monde à venir… » (wikipedia.org)
N’oublions pas que Christine Lagarde avait déjà bien avertit en janvier 2014… + 7 ans, donc 2021.
L’engrenage est engagé et ils ne peuvent plus reculer. Il ne peut plus
y avoir d’extension imprévue parce qu’un Trump émerge par exemple. Il
faut un contrôle total de la population, politiciens inclus, soit les
10 rois de l’Apocalypse.
C’est ce qu’affirme Bergoglio: aucune marche arrière. Donc, lui aussi n’a plus le choix.
Il doit aller de l’avant et vite. Il doit procéder à l’élimination de
la présence réelle, CAR le Verbe Incarné est l’obstacle qui doit sauter
pour avoir « Tikoun Olam », soit la venue de leur Messie. »
On peut affirmer que la pression exercée par les dirigeants obscurs a bien augmentée depuis 2021.
Cette grande réinitialisation a son objectif final : l’Agenda 2030
où « vous ne posséderez rien mais vous serez heureux » affirment-ils.
Le sacrifice de masse en cours a pour but le nouvel ordre mondial avec
des organismes supranationaux, dont les acteurs majeurs sont non élus,
et qui décideront des lois sans que les dirigeants des pays n’aient
leurs mots à dire.
C’est le rêve de Davos avec la clique judéo-maçonnique qui contrôle
tout : finance, lois, biens matériels, etc. via les 18 objectifs
énoncés dans l’Agenda 2030.
Les indices en 2024 de cette réalisation :
- endettement à l’extrême des pays pour mener à un krach afin de pousser la monnaie numérique qui permettra le contrôle total.
- immigration de masse dans tous les pays afin de détruire l’identité nationale.
- destruction de l’église catholique qui fait toujours obstacle à leurs plans.
- mise en place de dirigeants politiques à titre de marionnettes qui
exécutent le plan, presque tous issus des écoles « young leaders » de
Davos.
- la jeunesse est soumise à l’abrutissement mental par l’électronique afin d’en faire des citoyens esclaves de l’Agenda 2030.
Le but est de « désincarner » le peuple de sa nationalité et du reste
de spiritualité et de valeurs morales qui lui restent, pour le rendre
esclave d’une poignée d’élites au service de Satan, avec une nouvelle
religion humaniste.
D’ailleurs, en voici un qui voit clair et qui sonne l’alarme :
« Le président argentin dénonce avec virulence « l’agenda idéologique » de l’ONU
L’ONU, a déclaré Javier Milei dans son premier discours à l’Assemblée
générale depuis son élection fin 2023, est devenue « un
modèle de gouvernement supranational de bureaucrates internationaux qui
prétendent imposer aux citoyens du monde un mode de vie
déterminé », d’où sa « perte de crédibilité ».
…
Une
organisation « née pour défendre les droits de la personne a été
l’un des principaux promoteurs de violations systématiques des
libertés, comme les quarantaines mondiales de 2020, qui devraient être
considérées un crime contre l’Humanité », a asséné M. Milei,
en référence aux confinements imposés lors de la pandémie de la
COVID-19.
« Quoique
bien intentionné », l’Agenda 2030 de l’ONU « n’est rien
d’autre qu’un programme gouvernemental socialiste supranational visant
à résoudre les problèmes de la modernité avec des solutions qui
menacent la souveraineté des États-nations », a martelé le
dirigeant qui se décrit comme « anarcho-capitaliste ».
Pour Javier Milei, « l’Agenda 2030 a échoué » et adhérer
au « Pacte pour l’Avenir » serait « persister dans
l’erreur en redoublant d’efforts sur un programme qui a échoué ».
« Fin de cycle »
« Nous
sommes dans une fin de cycle », a-t-il lancé. « Le
collectivisme et la posture morale woke se sont heurtés à la réalité,
et n’ont plus de solutions crédibles ».
… » (lapresse.ca)
Alors que Macron soutient la cause:
« Le président français Emmanuel Macron a appelé à une réforme de
l’ordre mondial « injuste » actuel afin que les humains puissent
coexister plus pacifiquement dans le « Nouvel Ordre Mondial ».
Ce
que le dirigeant n'a pas dit, c'est que les esclaves seraient toujours
des esclaves et que les gouvernements continueraient à les gouverner,
c'est seulement cette illusion qui va disparaître.
S'exprimant
devant la communauté catholique de Sant'Egidio, Macron a déclaré :
« Nous devons avoir suffisamment d'imagination pour penser à la paix de
demain, une paix en Europe sous une forme nouvelle. »
Si
le continent européen veut devenir plus stable, chacun devrait
reconnaître qu’il n’est « ni tout à fait l’Union
européenne, ni résolument l’OTAN », a-t-il affirmé.
«
Nous devrons réfléchir à une nouvelle forme d'organisation de l'Europe
et repenser notre relation avec la Russie » une fois le conflit
ukrainien terminé, a ajouté le président.
Macron
a également affirmé que le système mondial créé au lendemain de la
Seconde Guerre mondiale était « incomplet et injuste », car de
nombreuses nations modernes n’existaient même pas à cette époque et
n’avaient pas « leur place à la table des négociations ».
Il
a déclaré que les organismes internationaux, tels que les Nations
Unies, la Banque mondiale et le Fonds monétaire international,
devraient être réformés en conséquence.
… » (zerohedge.com)
Voilà qui confirme le plan.
Les guerres actuelles sont des guerres pour créer un monde nouveau,
soit dominé par l’axe anglo-saxon ou soit multipolaire comme le veut
Poutine et ses alliés.
Que ce soit un ou l’autre, c’est une dominance judéo-maçonnique qui mène le bal.
C’est pourquoi nous assistons à cette boucherie au Moyen-Orient, car le
sacrifice expiatoire est obligatoire pour avoir un « monde meilleur,
réparé.
Et cela se nomme pour la fin des temps : Armegedon.
Il y a guerre aussi dans l’église également comme le confirme la prophétie de l’église #11 de Jean XXIII.
L’utilisation du sacrifice planétaire pour Tikoun Olam est une
nécessité pour faire renaître le phœnix des ses cendres via le chaos
provoqué.
C’est le même constat dans l’église.
C’est la finale d’un plan satanique qui a cours depuis longtemps.
Dans son court ouvrage de 1974 sur la crise de l'Église Saint
Athanase et de l'Église de notre temps, Mgr Rudolf Graber a cité
les paroles prophétiques du chanoine Roca (1830-1893), un prêtre qui,
il y a plus de cent ans, parlait des secrets des conspirations
corporatives contre la papauté :
« Il y a un sacrifice en vue qui représente un acte solennel
d'expiation… La papauté tombera ; il mourra sous le couteau consacré
que forgeront les pères du dernier concile. Le César papal est une
hostie couronnée pour le sacrifice » (p. 35).
23 septembre
Une comète visible de jour est un événement très rare.
La dernière fut la la comète McNaught (image ici) le 13 janvier 2007.
Elle fut six fois plus brillante que Hale-Bopp en 1997, et 100 fois
plus brillante que la comète de Halley lorsqu'elle est apparue en 1986.
C’est donc dire que la comète du 13 octobre prochain pourrait être prophétique, comme analysée précédemment.
Le 13 octobre, jour du miracle du soleil à Fatima, est intimement relié
à la date du 7 octobre car, comme nous le savons maintenant, c’est « la
date d’une des plus grandes victoires militaires catholiques face aux
musulmans : le 7 octobre 1571 la coalition formée par le pape bat la
flotte ottomane lors de la bataille navale de Lépante.
Cette victoire est due explicitement aux innombrables chapelets récités
par toute la chrétienté dans ce but. C’est pourquoi, en action de grâce
d’un succès qui protégera pour longtemps la chrétienté de la menace
islamique, le pape instituera au 7 octobre la fête de Notre-Dame du
Rosaire, afin de faire le lien avec la prière privilégiée qui nous a
obtenu cette grâce du Ciel.
Le 13 octobre est la date du miracle du soleil à Fatima. Les célèbres
apparitions de la Vierge Marie à Fatima au Portugal se sont déroulées
du 13 mai au 13 octobre 1917, sur 6 apparitions, la dernière du 13
octobre constituant une preuve incontestable de leur origine divine
puisque les 70 000 personnes présentes assistèrent en direct au «
miracle du soleil ».
Le lien entre les deux dates a été effectué par la Vierge Marie en
personne. En effet, au cours des apparitions de Fatima, la Vierge dit à
plusieurs reprises aux voyants : « le dernier jour, je vous dirai qui
je suis et ce que je veux. » Et le dernier jour, le 13 octobre, elle
révèle effectivement son nom : « Je suis Notre-Dame du Rosaire ». Cette
information de toute première importance, donnée par le Ciel faut-il le
rappeler, relie le 7 octobre au 13 octobre, et Lépante à Fatima. Çà
devra donc servir un jour. » (Louis D’Alencourt, grandreveil.wordpress.com)
Rappelons qu’il y a eu trois phases dans le miracle du soleil du 13 octobre 1917 :
– Apparition des couleurs lors de la « danse du soleil »
– Une pause où « le soleil s’arrêta »
– Puis la chute du soleil à la toute fin.
On peut y associer facilement les phases suivantes en relation avec la ligne rouge du synode des synodes d’octobre 2024 :
– Avertissement ou action de grâces de la Sainte Vierge (les aurores du 13 mai dernier par exemple)
– Pause de réflexion, temps de conversion (la demi-heure où tout s’arrête dans l’Apocalypse?)
– Suivi de la purification par le feu.
Car, « le retour du Christ nécessite préalablement une purification
totale de la terre et l’éradication du mal et de tous ceux qui font le
mal, événement décrit dans l’Apocalypse comme la chute de Babylone et
par nos contemporains par l’expression fin du monde, et qui est
précédé, selon les Saintes Écritures, d’un signe dans le ciel.
Or ce signe dans le Ciel est double : l’Apocalypse nous parle de la
Femme dans le ciel et l’évangile du signe du Fils de l’homme dans le
ciel (donc la croix – Matthieu 24:30). » (Louis D’Alencourt,
grandreveil.wordpress.com, lien ci-haut)
Le 7 octobre étant la date du Saint-Rosaire, quoique de plus normal
pour le diable d’attaquer à cette date précise, afin de matérialiser la
bataille d’Armagedon tel que prophétisé dans l’Apocalypse.
Car c’est bien le 7 octobre 2023 que les démons ont poussé le Hamas vers Israël, afin de déclencher cette guerre ultime.
En date d’aujour’hui, il est clair que cette escalade qui dure depuis
maintenant presque un an, terrorise le monde, et que le Moyen-Orient
est sur le point de s’enflammer.
L’ultimatum d’Israël fut donné le 13 octobre 2023.
« Qu’est-ce que cela veut dire du point de vue eschatologique, c’est-à-dire du point de vue du Ciel ?
a) Que le Hamas et par extension le monde musulman sont condamnés ; le
7 octobre est la date d’une victoire majeure de la chrétienté sur les
musulmans, et il en sera de même aujourd’hui.
b) L’ultimatum du 13 octobre est l’ultime manifestation de la
miséricorde de Dieu : l’unique chance de salut offerte aux musulmans
pour les sauver de la damnation éternelle, et probablement la dernière,
est de se tourner vers la Vierge Marie afin de se convertir au Christ,
seul vrai et unique Dieu dans le mystère de la Sainte Trinité. Voilà
pourquoi le Ciel a choisi un prénom musulman (Fatima) comme lieu de son
ultime message. Il faut que les musulmans sachent qu’un miracle est
possible -leur conversion en masse- comme le fut le miracle du soleil
du 13 octobre. » (Louis D’Alencourt, grandreveil.wordpress.com)
Mais, c’est voulu.
La kabbale juive se réjouit d’avance de la venue de son messie et de
l’élimination de l’obstacle majeur « Jésus Christ » et de sa présence
réelle grâce à la magie de Bergoglio.
Car n’oublions pas, encore une fois, que "Netanyahou est sous
l'influence de certains ministres messianiques et racistes qui le
forcent à déclencher une escalade pour accélérer la venue du Messie et
ce n'est pas une manière saine pour un État comme Israël dans un
environnement hostile et complexe" (Ehud Barak, ancien Premier
ministre israélien) (voir analyses précédentes).
L’autre fait inquiétant :
Les faucons israéliens demande une attaque immédiate contre l’Iran.
Car, ils estiment qu’Israël n’a pas la puissance et le personnel
militaire pour riposter à une attaque venant de 5 fronts différents.
Pour eux, la survie du pays en dépend étant donné l’avancement rapide vers l’arme nucléaire en Iran. Le temps est compté.
Voir ici un article (en anglais) sur le Jerusalem Post comme exemple.
Israël a plus que besoin de l’axe anglo-sioniste pour triompher.
D’ailleurs, l’attaque d’hier dans le sud du Liban suggère selon les
témoins de l’utilisation de bombes de plus en plus puissantes de la
part d’Israël (voir ici).
Nous assistons rapidement à la réalisation de la prophétie politique #22 de Jean XXIII « Grand éclair à l’Orient ».
Car, le seul moyen qu’a Israël pour survivre, est de lancer une attaque
nucléaire sur les deux villes importantes d’Iran, avant qu’il ne soit
trop tard.
Le 7 octobre 2024 est donc à surveiller.
Selon Jean XXIII, Dieu déclenchera la guerre de la nature pour empêcher la destruction de la planète.
Nous n’en sommes pas loin.
Le soleil est au maximum du cycle 25.
La probabilité des tempêtes solaires atteignant la Terre augmentent considérablement à cette époque de l'année.
Pourquoi ?
Parce que pendant les semaines autour des équinoxes, le champ
magnétique de la Terre est exceptionnellement bien connecté à celui du
Soleil. C'est ce qu'on appelle « l' effet Russell-McPherron ».
20 septembre
Retour sur la dernière tempête solaire de cette semaine.
Après les rares aurores jaunes et oranges (voir analyse du 26 août),
voici donc que nous avons été témoins de très rares aurores « bleues »,
signe que le cycle solaire s’intensifie :
« Les aurores boréales sont généralement vertes et rouges. Le bleu est
très inhabituel. Il faut une forte tempête géomagnétique pour les
produire, plus un ingrédient supplémentaire.
« La lumière du soleil à haute altitude frappait les rayons bleus », …
Ce processus est appelé « diffusion résonnante ». Au sommet de la zone
d’aurore, les molécules d'azote ionisées (N2+) produisent naturellement
de la lumière bleue. La lueur bleue est généralement trop faible pour
être visible. Cependant, lorsque ces ions sont frappés par la lumière
du soleil du matin, ils capturent et réémettent des photons du soleil,
amplifiant la couleur bleue. » Alan Dyer (photo ici)
La comète d’octobre prochain vient d’émerger de derrière le soleil, et la première photographie (ici)
démontre que sa structure est toujours forte et qu’elle pourra être
observée à l’œil nu très bientôt, peut-être même durant le jour.
Comme par hasard…
Cette comète est visible dans la constellation de la Vierge.
Voici le premier volet d’un article qui confirme nos analyses des dernières années :
« Père Heimerl : Le pape François célèbre l'accomplissement de la
prophétie de la bienheureuse Anne Catherine Emmerich sur « l'Église
obscure »
Selon la mystique allemande Anne Catherine Emmerich, l'« après-Église »
ne sera pas une contre-Église ou une Église schismatique, mais l'Église
catholique elle-même, car elle s'éloigne de plus en plus du Christ.
( LifeSiteNews ) — Il y a deux cents ans, la mystique
allemande Anne Catherine Emmerich mourait à Dülmen, en Westphalie. La
religieuse stigmatisée a vu dans ses visions non seulement la vie de
Jésus, mais aussi l’avenir de l’Église. Peu avant sa mort, elle a
déclaré : « Il y aura une église après l’Église. »
A
l'époque d'Emmerich, une telle chose était difficilement imaginable, et
que serait une « église après » ? Je l'avoue : je me suis moi-même posé
cette question, du moins jusqu'à l'apparition de l'« église synodale »
avec le pape François et, avec elle, son déclin rapide.
Mais une chose à la fois : qu’ont à voir François, « l’Église synodale » et la bienheureuse Anne-Catherine ?
La
clé réside dans un amendement apporté par Emmerich, dans lequel elle
parle d’une « église obscure ». Elle entend par là une église dans
laquelle la lumière du Christ est éteinte. Par conséquent, l’«
après-église » ne sera pas une contre-église ou une église
schismatique, ni une « église » protestante comme l’« église » des
anglicans ou des luthériens. Au contraire, l’Église catholique
elle-même sera cette « post-église » parce qu’elle s’éloigne de plus en
plus du Christ.
C'est
ici qu'entre en jeu François, qui a ouvertement contredit ses
prédécesseurs et – au moins en partie – le Christ lui-même. Le cardinal
George Pell a donc à juste titre qualifié le pontificat de François de
« désastre », on pourrait aussi dire : un pontificat qui ne correspond
pas à la volonté du Christ.
Ou
bien pourrait-on imaginer que le Christ aurait « béni » les adultères
et les couples homosexuels ? Qu’il aurait toléré les rites païens dans
son Église et restreint le mandat missionnaire confié à ses disciples ?
Et encore moins qu’il aurait soumis ses enseignements divins à la
volonté de l’homme et même les aurait relativisés par rapport aux
autres religions ? Certainement pas !
Mais
dans l’Église que François a déclarée « synodale », tout cela et,
malheureusement, bien plus encore se produit. Il est évident que cette
Église ne se préoccupe plus de la volonté du Christ, mais de la volonté
des hommes, à laquelle François se conforme volontiers ; tout ce qu’il
appelle « humain » ou « pastoral » n’est en réalité que ce qui
obscurcit la lumière du Christ.
L’Église
obscure de ce pape semble être faite uniquement d’hommes. C’est
pourquoi elle n’est plus orientée vers Dieu mais seulement vers les
hommes dans une coopération « synodale ».
Celui
qui suit les discours du pape, par exemple récemment en Asie, ne peut
que s'étonner de voir à quel point il a peu à dire sur Dieu et sur la
foi ; en fin de compte, sa prédication est un mélange de politique,
d'écologie et d'action sociale agrémenté d'ingrédients religieux ;
parfois même, ceux-ci sont désormais totalement absents.
Si
Emmerich était encore en vie aujourd’hui, elle ne parlerait pas d’une «
après-église » mais de « l’église synodale » de notre pape. Ici, « tout
le monde, tout le monde » est invité, comme le dit constamment
François, mais chacun se demande : « Invité à quoi ? »
Nous
ne savons pas pourquoi Dieu permet que cette situation désastreuse se
produise, et Emmerich n'a pas non plus répondu à cette question.
Cependant, elle a explicitement souligné que l'« église
post-confessionnelle » serait « conçue par des voyous allemands », et
elle avait raison sur ce point également.
Ce
qu’elle avait prophétisé il y a 200 ans s’est réalisé avec la « Voie
synodale » allemande, et François lui-même a adopté officieusement leur
programme hérétique dans l’actuel « Synode mondial ».
Non,
le « Synode mondial » n’a pas pour but de mettre un terme à l’hérésie
allemande, mais de l’aider à triompher. François s’en est déjà occupé.
Ou alors pourquoi pensez-vous qu’il a rempli tous les postes clés avec
des sympathisants des « canailles » allemandes, sans parler de la
prépondérance des participants ?
C'est
tellement évident qu'on peut le sentir avec les mains : ce pape veut
une nouvelle Église, et c'est à cette « Église franciscaine » que
pensait la visionnaire de Dülmen lorsqu'elle parlait de la sombre «
après-Église ».
Mais
elle a aussi dit à propos de l’introduction de cette « Église » : «
Seul le Seigneur a voulu qu’il en soit autrement. » En fin de compte,
l’Église du Christ n’est pas entre les mains des hérétiques allemands,
ni entre les mains de François. C’est peut-être un signe d’espoir ! »
Tout est fait pour convertir l’église conciliaire à la nouvelle religion humaniste mondiale.
Ce n’est pas une surprise pour personne.
Nos analyses confirment cette situation depuis longtemps.
Et on sait qu’à la fin il ne restaura que l’autel selon Anne Catherine Emmerich : la Sainte Messe traditionnelle.
C’est
exactement tel que l’avait prédit le regretté Serge Monast qui était
bien informé, c’est à dire qu’il y a un plan en cours sur le long
terme, et dont Bergoglio mettra la touche finale:
« …L’Église, sous le pouvoir de l’Anti-Pape, sera absolument identique
à l’Église de Jérusalem au temps de Jésus-Christ. Elle partagera
l’idéologie des Nations-Unies de la même manière que les Prêtres du
Temple partageaient l’Idéologie et le Pouvoir avec les Romains. Elle
conservera les croyances en Jésus-Christ comme façade afin de
dissimuler ses réels intérêts qui seront, en réalité, la richesse, le
Pouvoir Politique et Religieux, et l’opportunisme sur tous les fronts
tel que cela était le cas de l’Église de Jérusalem au temps de l’Empire
Romain. Elle établira de nouveaux »Concepts Religieux », tous
basés sur la divinité de l’Homme où celui-ci sera considéré comme étant
le »Centre »… … En accord avec l’Agenda International à remplir,
la première initiative de l’Anti-Pape en sera une de réconciliation
truquée avec l’ensemble des Églises Chrétiennes du monde… L’élection
d’un Anti-Pape aura eu pour effet de provoquer un »Schisme »
majeur, supposé être le dernier devant survenir dans le Monde Chrétien…
Voici donc le «Mensonge des Mensonges»! Voici «l’Abomination des
Abominations»! Les faux chrétiens étant à la tête de la nouvelle église
mondiale; et prétendant être les seuls et uniques représentants de
Jésus-Christ d’un côté; de l’autre, les vrais et réels disciples de
Jésus-Christ sur la route du Calvaire considérés comme étant les
ennemies de l’État Mondial tel que cela était le cas, il y a deux
milles ans, en face des prêtres de Jérusalem, et en face de l’empereur
romain à Rome. »
Mais si c’est aussi évident, pourquoi n’y a-t-il pas plus de cardinaux et d’évêques qui s’élèvent contre cette nouvelle église?
Tout
simplement parce qu’ils sont corrompus comme les Pharisiens et les
Scribes au temps du Christ : ils ne veulent pas perdre leurs
privilèges, leurs conforts, et leur sentiment de supériorité face au
petit peuple.
Les aveugles qui conduisent les aveugles.
Pourquoi le Père laisse-t-il faire?
Parce que c’est le temps de la séparation du bon grain de l’ivraie.
Il faut bien qu’il y ait une épreuve afin de pouvoir choisir.
Mais
le Christ interviendra avec sa Mère pour sauver le petit reste fidèle,
celui qui s’éloignera de Babylone en pensée et en action.
18 septembre
À L'AUBE DU SALUT
Rien ne s’améliore du côté des guerres en Europe et au
Moyen-Orient, et, additionnées à la crise au sein même de l’église
catholique, nous avons en mains toutes les indications que le mois
d’octobre 2024 risque d’être le mois pivot où tout bascule.
À la lumière des dernières analyses, nous rappelons le calendrier de la fin des temps donné par l’Apocalypse :
La mort de l’Antichrist débute la dernière et 7ème période, soudaine et
très rapide, à l’image de Sodome et Gomorrhe, et du temps de Noé.
Selon l’ordre chronologique donné dans l’Apocalypse, nous avons :
1) Mort des témoins (3,5 jours)
2) Résurrection des témoins
Fin de la sixième période.
Entrée dans la 7ème période :
« Et quand l'Agneau eut ouvert le septième sceau, il se fit dans le
ciel un silence d'environ une demi-heure. » (Apocalypse, 8-1)
3) Mort de l’Antéchrist
4) Chute de Babylone (3ème malheur, Ap. 11, 14)
5) Retour du Christ
6) Jugement dernier
7) Règne définitif et sans partage du Christ (Ap. 21-22)
Notez qu’avant l’ouverture du 7ème sceau dans les prophéties de
l’Église de Jean XXIII (prophétie #11 juste avant celle de François),
que la situation est critique au niveau de la guerre, surtout au
Moyen-Orient, et de l’église, alors que le pape actuel « est décédé »
ET qu’il y a guerre dans l’église.
Ce temps critique à la fin de la sixième période nous est indiqué par
NSJC en Matthieu 23-24, puisque c’est vers l’Église qu’il faut jeter
notre regard, car tout est en fonction de la Rédemption via l’Église en
ce bas monde, quoiqu’en pense Bergoglio.
Les cardinaux et les évêques d’aujourd’hui sont bien les Scribes et les
Pharisiens qui sont assis dans la chaire de Moïse du temps de Jésus.
« Faites donc et observez tout ce qu'ils vous disent ; mais n'imitez pas leurs œuvres, car ils disent et ne font pas. »
«
Et, lorsque en présence de l'abomination de la désolation, annoncée par
le prophète Daniel, établie en lieu saint, — que celui qui lit,
entende ! — alors que ceux qui sont dans la Judée s'enfuient
dans les montagnes. »
Heureusement, NSJC nous a promis que ces jours seraient abrégés, à cause des élus, car nul n’y échapperait.
C’est ce que mgr Strickland nous explique quant à la prière:
(À propos de Jésus)
« … Il s’éloigne souvent pour prier. Certes, le Christ avait besoin de
communier avec son Père en esprit, dans le grand mystère de la Trinité.
Mais il enseigne aussi toujours. Il nous donne un exemple de ce que
nous devons faire : nous éloigner et prier ».
… Strickland a également noté que notre Seigneur allait souvent
prier avant de faire des déclarations importantes, et nous voyons dans
ce passage de l’Évangile qu’il a nommé ses apôtres, un moment important
de son ministère public.
L’évêque a ensuite souligné que ce passage parle ensuite d’une « grande
foule de ses disciples » – une distinction est ainsi faite
entre les 12 apôtres et les autres disciples.
«
Je pense que nous devons être très clairs sur cette distinction dans
l’Église d’aujourd’hui. Nous savons que les évêques sont les
successeurs des apôtres, les successeurs de ces 12 que le Christ a
choisis. Bien sûr, malheureusement, Judas Iscariote, l’un d’eux, est un
traître, une note et un rappel qui donne à réfléchir que cet élément de
trahison demeure dans l’Église, cet élément d’infidélité au Christ.
Mais heureusement, 11 des 12 étaient profondément engagés – pas
parfaits, et ils ont parfois trébuché en cours de route avec des
reniements et de la confusion, tout comme nous, mais ces 12 ont été
choisis pour être apôtres. »
...
« Je pense qu’il est vraiment important de se concentrer sur la réalité
: l’humanité est la même [aujourd’hui] qu’elle l’était alors. Beaucoup
résistent, mais beaucoup veulent toucher Jésus-Christ. Et je pense que
nous, en particulier dans notre foi catholique, devons nous rappeler
qu’il ne s’agit pas seulement d’un souhait ou d’un espoir, mais qu’il
est possible pour nous de toucher Jésus-Christ, sa présence
eucharistique, d’être réellement nourris par son Corps et son Sang, son
Âme et sa Divinité », a-t-il déclaré.
...
Strickland a ajouté que si de nombreux fidèles ont besoin d'entendre la
voix de leurs bergers, même Notre Seigneur s'est retiré pour prier à de
nombreuses reprises, comme dans cet Évangile de Luc et pendant sa
grande agonie dans le jardin... Strickland … a souligné que nous devons
prier pour notre pays, et en particulier pour le Saint Rosaire.
Rappelant aux auditeurs que l'histoire a été changée par la prière du
Rosaire à Lépante , « croyons que ce même pouvoir est à notre
disposition si seulement nous l'acceptons », a déclaré Son Excellence.
» (lifesitenews.com)
On peut facilement faire le lien entre Judas et Bergoglio dans ses
propos, ainsi qu’à la situation décrite quand aux Pharisiens et aux
Scribes au temps de Jésus.
Et, il est plus que temps de se retirer et prier.
Se retirer veut dire aussi de se couper mentalement de la corruption de
l’esprit initiée par Babylone et ses valeurs morales de plus en plus
dégradantes.
Être dans un état de prière, de grâce constante, connecté par le
Saint-Esprit dans ses tâches quotidiennes est une séparation de
Babylone.
Et, l’arme ultime dans ce moment critique nous le connaissons, c’est le Rosaire.
À l’aube du synode, et donc de notre Salut qui suivra, car la chute de
Babylone représente l’Espérance du Salut pour les fidèles au Christ et
à Marie, il est important de se retirer avec le Rosaire, si puissant,
qu’il a fait tomber les ottomans à Lépante, pour contrer les forces
maléfiques qui agiront pendant ce mois du Rosaire.
Car octobre, et spécialement le 7 octobre, est dédié au Rosaire.
Mgr Strickland sur le Rosaire :
« Soulignant que le Rosaire est un voyage à travers la vie du Christ,
Son Excellence a réfléchi sur le premier mystère du Rosaire,
l’Annonciation, qui montre le début de la vie de Notre Seigneur. «
Lorsque
l’ange Gabriel vient annoncer à la Sainte Vierge Marie qu’elle a été
choisie par Dieu pour porter Jésus, le Fils de Dieu dans son sein,
Marie dit « oui ». Et les Écritures nous disent, et nous chantons à
Noël « Joie au monde », que le chant de Dieu est conçu dans le sein de
Marie. » Mgr Strickland a ensuite noté que c’est ici que commence
l’histoire de Jésus et que c’est également là que commence notre
cheminement en priant le Rosaire.
L'évêque
a ensuite souligné que les piliers de la foi catholique sont
l'Eucharistie et le rosaire, faisant référence à une vision de
saint Jean Bosco dans laquelle l'Église est un navire dans une
terrible tempête, ancrée au pilier de Marie et de Notre Seigneur
eucharistique. « Nous avons besoin de ces piliers en cette période de
défi et de folie où trop de gens disent : "Nous n'avons pas besoin de
Dieu ; nous pouvons réparer ce monde nous-mêmes". Nous faisons un
excellent travail dans ce domaine, n'est-ce pas ? » (lifesitenews.com)
Les piliers de la fin des temps sont le Rosaire et l’Eucharistie.
C’est la raison des attaques contre l’Eucharistie depuis Vatican II, et cette attaque finale du synode 2024.
Les pharisiens modernes en profiterons en plus pour célébrer Vatican II le 11 octobre prochain.
C’est pourquoi Anne Catherine Emmerich a vu qu’il ne resterait que l’autel à la fin des temps.
La
vision de Saint Jean Bosco énoncé par mgr Strickland est bien connue, et
présente dans plusieurs de nos analyses (voir 20 avril 2020).
Car,
les deux colonnes, dont l’une supporte l’Hostie « Salus credentium » («
Salut des croyants ») et l’autre surmontée de la statue de la
Vierge Immaculée, aux pieds de laquelle on peut lire : « Auxilium
Christianorum » (« Secours des chrétiens »), sont un signe de la fin
des temps.
« Auxilium Christianorum » « Notre-Dame Auxiliatrice » est fêtée le 24 du mois de mai.
Ce titre fut donné à la Sainte Vierge Marie et officiellement introduit
dans l’Église par Pie V, après la célèbre victoire de Lépante en 1571,
lorsque qu'il ordonna d'inscrire dans la litanie Lorétienne
l'invocation "Maria Auxilium Christianorum, ora pro nobis".
Saint Pie V ne cacha point qu'il attribuait à l'intercession de
la sainte Vierge le succès de Lépante. Il ajouta aux litanies de
Lorette, c'est-à-dire de la sainte Vierge, l'invocation "Secours des
chrétiens, priez pour nous", et fixa au 7 octobre une fête en l'honneur
de Notre-Dame de la Victoire.
Il y a donc un lien direct entre les mois d’octobre et de mai.
Sachant que Don Bosco a prophétisé aussi la venue du Lys de Paix avant
le mois des deux lunes, et que le seul possible maintenant est mai
2026, on ne peut qu’anticiper que le mois d’octobre 2024 est crucial.
Spécialement parce qu’aussi le 13 octobre est lié à 1884 et la
libération des démons pour détruire l’Église, ainsi qu’au miracle du
soleil en 1917.
Cette date ne nous a pas été présentée par la Sainte-Vierge sans raison.
Nul ne connaît le jour ni l’heure sauf le Père mais les signes du figuier sont là afin de nous dire :
« Soyez prêt et retirez vous de Babylone. »
17 septembre
LE TESTAMENT DE BERGOGLIO
Alors que le cardinal Burke se demande si on est à la fin des
temps, ceux qui observent attentivement et comprennent, savent que la
fin du calendrier initié en 1962 par Jean XXIII arrive, et en
conséquence, prouve que nous sommes bel et bien à la fin des temps
depuis plusieurs décennies.
On n’attend pas l’Antichrist.
Nous sommes en présence de l’Antichrist système depuis très longtemps, et de l'Antéchrist personnifiée depuis le 13 mars 2013.
C’est ce que nous avons essayé de démontrer à l’aide des prophéties de
Jean XXIII, surtout consacrées à l’Église puisque énumérées dans
l’ordre des papes successifs, ainsi que les actualités, et ce depuis
2011.
C’est ce que nous avons identifié dans les dernières analyses de septembre.
Vatican II a été le dernier coup de canon de Satan pour saper l’Église,
et les papes qui se sont succédés n’ont fait pencher l’Église qu’un peu
plus vers l’œcuménisme, la fraternité, le dialogue interreligieux,
ainsi que le démantèlement de la Sainte Messe en une parodie qui
atteint son paroxysme avec les célébrations amazoniennes en cours
d’essais.
La conclusion du synode des synodes d’octobre 2024 est le dernier acte de Bergoglio.
Son testament.
Pour les chrétiens allumés, ce fut 3 années de ténèbres.
Comme le signe de Jonas.
Lorsque Jonas sort finalement du ventre du poisson, il part à Ninive
délivrer son message : « Encore 40 jours et Ninive sera détruite ».
Nous avons analysé dernièrement que nous atteignons les 100 ans de
destruction de Satan ajoutés aux 40 ans d’attente dans le désert à
l’image du Christ, notre carême, depuis la vision de Léon XIII du 13
octobre 1884.
C’est la même date que le miracle du soleil de 1917.
C’est en plein au milieu du synode d’octobre 2024.
Bergoglio et ses sbires ont publié hier, lendemain de la fête de
Notre-Dame des Douleurs, les dernières modalités sur le déroulement de
ce dernier.
Voici l’essentiel du résumé publié par LifesiteNews.com, ajoutés de nos commentaires entre parenthèses :
« Voici ce qui se passera au Synode sur la synodalité en octobre
CITÉ DU VATICAN ( LifeSiteNews ) — Le bureau de presse du
Vatican a publié les détails du prochain Synode sur la synodalité qui
débutera plus tard ce mois-ci...
Cet événement marque le point culminant d’un processus pluriannuel
entamé en 2021. Les rencontres devraient aboutir à un document final
émanant du pape François ou approuvé par lui.
...
La
retraite, qui se déroulera principalement en privé (seules certaines
sections seront diffusées en direct par les portails d'information du
Vatican), sera à nouveau principalement dirigée par le père Timothy
Radcliffe, OP, un dominicain anglais de 79 ans, connu pour sa
promotion de l'idéologie LGBT et sa contradiction avec
l'enseignement de l'Église sur le sujet.
Comme
l’année dernière, Radcliffe sera rejoint par l’abbesse bénédictine
italienne Mère Maria Ignazia Angelini, et les deux continueront d’agir
pendant tout le mois comme « assistantes spirituelles » du Synode.
Une
nouveauté cette année est la veillée pénitentielle qui se tiendra le
soir du 1er octobre dans la basilique Saint-Pierre. Sous la conduite du
pape François, trois personnes « qui ont souffert du péché : le péché
d’abus ; le péché de guerre ; le péché d’indifférence face au drame
présent dans le phénomène croissant des migrations dans le monde entier
» seront entendues.
Après
cela, « aura lieu la confession d’un certain nombre de péchés », a
annoncé le Vatican, sans donner de détails précis sur le déroulement de
l’événement : pourrait-il donc s’agir d’une forme de confession
générale ?
«
Le but n’est pas de dénoncer le péché des autres, mais de se
reconnaître comme l’un de ceux qui, par omission ou par action,
deviennent cause de souffrance et responsables du mal infligé aux
innocents et aux sans défense », écrit le Vatican.
« Celui qui exprime la demande de pardon le fera au nom de tous les baptisés. »
(Cela
ressemble drôlement à une confession humaniste à la mode woke pour
remettre les pendules à zéro. Du moins on ne spécifie pas ici si la
demande de pardon sera faite au Père, ou à l’humanité entière; pour
preuve la liste qui suit.)
Les péchés particulièrement « confessés » incluent :
• Péché contre la paix
• Péché contre la création, contre les populations autochtones, contre les migrants
• Péché d'abus
• Péché contre les femmes, la famille, la jeunesse
• Le péché d'utiliser la doctrine comme des pierres à lancer
• Péché contre la pauvreté
• Péché contre la synodalité/manque d’écoute, de communion et de participation de tous
(Péché contre la création, contre les migrants : Bergoglio
manipule comme les politiciens. Cela nous en avons la preuve depuis
2013. Voyez ici la contradiction : les pays qui ont reçus le
tsunami en immigration se retrouvent avec une pénurie de logements,
dont les prix augmentent à vue d’œil, et se trouvent dans l’obligation
d’augmenter le rythme de création de nouveaux logements, détruisant
ainsi la terre et la nature si chère à Bergoglio, tout en augmentant
conséquemment les émissions polluantes.
Péché d’utiliser la doctrine : on veut éliminer la doctrine et
empêcher les faiseurs de troubles tels que les cardinaux Burke, Sarah,
et autres, ainsi que les évêques qui défendent la vraie Foi.
Bref, c’est le SIGNE DE LA MORT DES DEUX TÉMOINS à venir. Sur le court terme.
Péché contre la synodalité : Voilà. La ligne rouge est tracée.
Pour ou contre la synodalité. Mêmes valeurs que le système woke. Ceux
contre le principe de la synodalité seront ostracisés.
Rappelons ceci (voir 9 juillet) : « Le terme même de « synodalité
» a été vivement critiqué par d’éminents prélats, tels que le cardinal
Raymond Burke et le cardinal Joseph Zen, comme étant imprécis et sans
fondement historique. Mais l'IL précise que depuis le début du synode
en 2021, « les termes synodalité et synodal ,
dérivent de l'ancienne et constante pratique ecclésiale de
rassemblement au synode ces dernières années ».
La mission synodale est effectivement un concept moderne inventé par Bergoglio et ses fidèles collaborateurs.
« Ce document sera différent de celui utilisé pour la première session.
«Si, lors de la première session, il était important de mettre en
évidence les thèmes à aborder de manière ample, le document de travail
de la session d'octobre entend plutôt souligner certains nœuds à
défaire pour répondre à la question Comment être une Église
synodale en mission, en tenant compte du chemin parcouru jusqu'à
présent et en proposant des arguments théologiquement fondés ainsi que
des propositions concrètes pour aider au discernement confié aux
membres de l'assemblée», a déclaré Mgr Riccardo Battocchio, secrétaire
spécial de la XVIe Assemblée. » (vaticannews.va))
Après la « confession », le pape François adressera une demande de
pardon à « Dieu et aux sœurs et frères de toute
l’humanité … au nom de tous les fidèles ».
(Voilà qui confirme le volet humaniste, puisque selon Bergoglio, tous les chemins mènent à Dieu.)
… )
Donc, Bergoglio veut léguer une église synodale en mission.
Mais, puisque tous les chemins mènent à Dieu selon lui, alors, comment peut-on parler de mission de l’Église?
La notion tombe d’elle même puisque l'église concilaire catholique n'a alors plus de mission.
C’est un paravent pour une « fraternité universelle », une église convertie à l’humanisme, la conclusion de Vatican II.
La preuve :
« Pape François: la synodalité crée la fraternité en dehors de l’Église » (vaticannews.va) (analyse du 27 juin dernier)
« ... Le «profond renouvellement» que le Pape appelle de ses vœux trouve sa source dans le Concile Vatican II.
Le Pape qui l’a initié, ... Jean XXIII parlait d’un «aggiornamento»
(«une mise à jour») quand celui qui l’a clos, ... Paul VI, évoquait un
«renouveau florissant de l’Église». Toujours sur la nécessité de
réforme, François a cité son prédécesseur, le Pape Benoit XVI, qui
souhaitait une réforme afin de parvenir à une communauté dans laquelle
le Divin peut opérer, «une communauté dans laquelle un 'je' n'est plus
contre un autre 'je'»... »
Donc, Bergoglio indique bien qui va clore l'« aggiormamento » initié par Jean XXIII avec la fin du synode en octobre prochain.
Élimination de la messe traditionnelle suivi de la conversion TOTALE de l'église conciliaire à l'humanisme.
Les valeurs sont finalement inversées (on ne parle plus au futur): C'est l'église qui s'est convertie et non le monde qui
s'est converti au Christ, comme le voulait NSJC en créant son épouse,
l'Église, établie sur le roc qu'est Saint-Pierre.
Rappelons les 5 perspectives tirés de synod.va (le lien ne fonctionne plus, évidemment) dans l’analyse du 27 juin dernier :
«La perspective #4 doit retenir l’attention sur « La méthode synodale » pour 2024:
« Enfin, la liturgie étant à la fois miroir et nourriture de la vie de
l’Église, le travail portera également sur la dimension liturgique : «
Si l’Eucharistie façonne la synodalité, le premier pas est d’honorer sa
grâce avec un style de célébration qui soit à la hauteur de ce don et
avec une fraternité authentique » (RdS3k).
Le groupe de travail, qui assumera la perspective transversale de la méthode synodale, explorera
des points tels que :
a) la relation féconde entre l’enracinement liturgique et sacramentel de la vie synodale de
l’Église (écoute de la Parole et célébration de l’Eucharistie) et la pratique du discernement
ecclésial ;
b) une meilleure clarification de la configuration de la « conversation dans l’Esprit », en tenant
compte de la pluralité des déclinaisons qu’elle connaît grâce à l’expérience de multiples
spiritualités ecclésiales et de différents contextes culturels (cf. RdS 2i-j) ;
…
f) la promotion d’un style de célébration adapté à une Église synodale, qui permette de vivre et
de témoigner de la participation commune de tous, tout en respectant et en promouvant la
spécificité des rôles, des charismes et des ministères de chacun…. »
Et plus loin:
« Il faut privilégier ce qui est le plus efficace pour l’annonce de l’Évangile, en ayant le courage
d’abandonner ce qui s’avère moins utile ou même un obstacle. C’est cet élan vers la mission qui fait
que le processus synodal n’est pas un exercice où l’Église se regarde dans le miroir et se préoccupe de
ses propres équilibres, mais qu’elle est projetée vers le monde et l’humanité tout entière, en demandant
à chaque membre du Peuple de Dieu d’offrir sa contribution irremplaçable.
L’œcuménisme du sang (cf.RdS 7d) nous rappelle avec force que le
témoignage de l’Évangile jusqu’au don de la vie concerne tous les
baptisés, sans distinction d’appartenance confessionnelle : c’est donc
la mission commune qui constitue le vecteur du chemin vers l’unité des
chrétiens, à partir de formes concrètes de collaboration, qu’il faut
continuer à promouvoir et à expérimenter. »
Bref, tout cela confirme que le processus synodale n'est qu'une
illusion: seul la volonté de Bergoglio compte, et les décisions
donneront l'apparence d'être prises par des comités.
Quant aux 5 perspectives: c'est exactement le synode amazonien qui revient sur la table.
La « célébration liturgique » (on ne dit pas la MESSE dans ce document) sera laissé à la discrétion des « locaux ».
C'est un démantèlement de la messe pour en effacer l'essentiel: la présence réelle du Christ. » écrivions nous.
Voilà.
Tout est dit.
Ou presque…
Veillée de prière œcuménique (tiré du lien LifesiteNews ci-haut, inclu dans le processus du synode) :
« Alors que le Synode de 2023 a commencé par un événement de prière œcuménique, cette année verra un rassemblement similaire le 11 octobre. La
date est délibérée, étant le 62e anniversaire de l'ouverture du Concile
Vatican II et près de 60 ans depuis la publication du Décret sur
l'œcuménisme Unitatis Redintegratio .
La cérémonie se déroulera sur la Place des Protomartyrs, où, comme le
précise le communiqué de presse du Vatican, saint Pierre a été
martyrisé selon le témoignage de la tradition. »
(Rappelons que l'église est veuve après 60 ans.)
VOILÀ.
LE TESTAMENT DE BERGOGLIO.
On
connaît tous la signification du 11 pour la kabbale (voir analyses
précédentes), et en ce jour d’octobre, Bergoglio confirme qu’il sera
celui qui CONCLUERA Vatican II.
Fusion totale dans un œcuménisme humaniste et fraternel prêt pour l’Agenda 2030.
Il veut être reconnu comme l’illustre pape qui a sauvé l’église alors qu’il sera vomit de la bouche de Dieu (Apocalypse 3, 16).
Le temps est proche.
16 septembre
Sans surprise, l’État profond fera tout pour que les démocrates remportent la présidence américaine.
Ils ne peuvent se permettre de perdre encore quatre années.
Une deuxième tentative d’attentat contre l’ex-président n’est pas anodin.
Leurs plans sont trop avancés, et surtout, la dette des États ne peut croître indéfiniment. Une crise est à l’horizon.
Comme les analyses le confirment depuis longtemps, la prophétie « Grand
Éclair à l’Orient » est encore plus proche de semaines en semaines.
« et en Occident, sera tué un chef. Au sud de Luther »
Notez pour ceux que ne le savent pas que « Luther » dans les prophéties
est le nom prophétique pour la terre des protestants, les États-Unis.
Cela confirme aussi en quelque sorte les écrits de Louis D’Alencourt (le projet 47; sont dernier article avant de nous quitter).
Commentaire de mgr Vigano sur les dernières paroles de Bergoglio avant son retour à Rome :
« Je suis le chemin, la vérité et la vie. Nul ne vient au Père que par moi. » (Jean 14:6)
Bergoglio, avec ses déclarations impies adressées aux jeunes de
Singapour selon lesquelles « toutes les religions sont un chemin vers
Dieu », offense la Majesté de Dieu, trahit la Révélation divine,
piétine les principaux Mystères de notre Foi et annule le Sacrifice
rédempteur du Fils de Dieu, Notre Seigneur Jésus-Christ.
Ses
paroles mensongères sont particulièrement insidieuses parce qu’elles
s’adressent aux nouvelles générations, que Bergoglio trompe en leur
faisant croire qu’il est possible d’être sauvé sans reconnaître que
Jésus-Christ est le Fils de Dieu, l’unique Sauveur, et que son Église
est l’unique arche du salut. Je suis la porte (Jn 10, 9) a dit Notre
Seigneur de lui-même.
Nier cette vérité, c’est apostasier la foi et fouler aux pieds la Croix.
Le
faire du plus haut des Seuils est un scandale d’une gravité sans
précédent, surpassé seulement par le silence craintif ou complice de la
majorité de l’épiscopat.
La « passio Ecclesiæ » s’accomplit dans la trahison d’une autorité usurpée, d’un nouveau Sanhédrin également apostat. »
Finalement un cardinal, non le moindre, le cardinal Burke affirme que nous somme probablement à la fin des temps :
« ( LifeSiteNews ) — Le cardinal Raymond Burke estime que nous vivons peut-être les « derniers temps ».
« Est-ce que ce sont les derniers temps ? Je ne sais pas. Notre
Seigneur lui-même a dit que c'est au Père de prendre ces décisions.
Mais il semble bien que ce soit le cas, et nous avons donc besoin d'une
intervention forte de Notre Seigneur », a écrit Burke dans un post
publié sur X jeudi, alors qu'il appelait les gens à se joindre à
sa neuvaine de Notre-Dame de Guadelupe.
Dans un autre article publié lundi sur X, Burke a appelé son auditoire
à invoquer l’intercession de la Vierge Marie pour obtenir la grâce
d’être « des compagnons de travail fidèles et courageux dans la vérité
» avec le Christ. Il a raconté comment Notre Seigneur avait envoyé la
Sainte Mère par des apparitions pour nous ramener à Dieu au cours des
siècles, comme en 1531, lorsque le « sacrifice humain » ravageait le
Mexique et que la révolte protestante attaquait l’Église catholique en
Europe. Puis, Dieu a envoyé Notre-Dame de Guadalupe pour « amener
d’innombrables cœurs à son Cœur Immaculé afin qu’ils puissent se
reposer dans son Cœur glorieux et transpercé, y trouvant le bon ordre
de la Loi et de l’Amour divins. »
...
Le
13 juillet, Burke a reconsacré l'Amérique au Cœur Immaculé de
Marie lors d'un événement mensuel commémorant les anniversaires des
apparitions de Fatima, rejoint par environ 3 000 fidèles catholiques.
Lors de son homélie, Burke a appelé les catholiques à se
préparer à la possibilité du martyre pour être restés fidèles au
Christ.
« Nous devons nous tourner quotidiennement vers le Christ et embrasser
le martyre blanc de l’indifférence, du ridicule et de la persécution »,
a-t-il déclaré, avertissant que « certains d’entre nous pourraient même
être appelés à donner le témoignage ultime du martyre rouge, de la mort
en restant fidèles au Christ et à son plan pour notre salut et le salut
du monde. »
«
Chacun de nous est appelé, avec Marie Immaculée, à faire sa part dans
l'œuvre salvifique du Christ, selon sa vocation de vie et ses dons
distincts », a-t-il expliqué.
«
Chacun de nous est appelé à prier et à faire pénitence pour la
conversion de la Russie, à célébrer les premiers samedis de réparation
et à prier le Rosaire, en gardant dans notre cœur, un avec le Cœur
Immaculé de Marie, tout ce que Notre Seigneur a dit et fait pour notre
salut éternel. »
«
Puissions-nous, unis de cœur avec le Cœur Immaculé de Marie, garder
toujours dans nos cœurs le Mystère de la Foi, afin qu'avec Marie, nous
puissions apporter au monde le Christ et son œuvre salvifique », a prié
le prélat.
15 septembre
En route vers le synode
La Sainte Vierge Marie est apparue aux enfants le 13 octobre 1917
en Notre-Dame du Rosaire, le rosaire, seule arme pour la fin des temps,
en Notre-Dame des Douleurs, et en Notre-Dame du Carmel.
Nous fêtons aujourd’hui Notre-Dame des Douleurs.
Et des douleurs, nous lui en donnons par tous nos péchés.
Bergoglio en tête avec ce synode à l’odeur putride dont, nous nous en
doutions depuis le début, est arrangé à la sauce Bergoglio comme tous
ses autres synodes auparavant.
( LifeSiteNews )Mar
20 août 2024 — L'évêque suisse Marian Eleganti a déclaré que le
Synode du Vatican sur la synodalité était déterminé par des « agendas
tout faits » et a critiqué le pape François pour son hypocrisie.
Dans une interview accordée au média suisse kath.ch, il a
affirmé que « les agendas tout faits détermineront le processus synodal
et le contrôleront dès le début ».
Il
a déclaré que le processus synodal du pape François n'est pas
réellement un processus « d'écoute » déterminé par les opinions des
laïcs, comme le prétendent souvent les partisans de la « synodalité ».
«
Je crois que dans de tels processus, les éditeurs qui formulent les
documents finaux sont le facteur décisif – pas nécessairement le
Saint-Esprit », a déclaré Eleganti. « On ne peut pas impliquer 1,2
milliard de catholiques dans un tel processus. »
« Cela est aussi immédiatement instrumentalisé pour la politique de l’Église », a-t-il ajouté.
«Aujourd'hui,
la soi-disant 'réalité vécue' est utilisée comme une autre 'source de
révélation'», a déclaré l'évêque suisse à propos des perspectives du
synode.
Citant
le philosophe colombien Nicolás Gómez Dávila, Eleganti a déclaré : «
N’ayant pas réussi à amener les gens à mettre en pratique ce qu’elle
enseigne, l’Église contemporaine a décidé d’enseigner ce qu’elle
pratique. »
Le
prélat a averti que le synode pourrait conduire au schisme « si la
frustration d'avoir encore une fois échoué dans son propre programme
devient suffisamment grande ».
Il a ensuite critiqué l'hypocrisie de François qui promeut la « synodalité » tout en agissant lui-même de manière autoritaire.
«
Bien que le pape François ait écrit Synodalité sur sa bannière, il a un
style de leadership très autoritaire », a déclaré Eleganti. "Il
intervient dans le processus synodal et le dirige, par exemple en
retirant les questions importantes de l'assemblée plénière et en les
déléguant à des commissions qui travaillent de manière autonome."
«Il
a également remis à l'ordre du jour du deuxième synode sur la famille
un vote rejeté par la majorité de l'assemblée plénière. Le document
final du Synode amazonien a déçu Mgr Kräutler pour des raisons
similaires.»
"Je
ne refuse pas au pape François l'autorité et l'autorisation de le
faire", a précisé Eleganti. "Il est le Pape et doit agir selon sa
conscience devant Dieu."
Cependant, « certains se demanderont ce que signifie exactement pour lui la synodalité ».
« Apparemment, la synodalité a des limites. Beaucoup voient une contradiction dans les actions du pape », a-t-il conclu.
« … L'autorité du Pontife romain est le dérivé de l'autorité
du Christ et tire sa légitimité de sa conformité à cette réalité
ontologique. En revanche, l'autorité de Bergoglio est ouvertement
proclamée indépendante et autoréférentielle : il pense qu'il peut
utiliser et abuser de son propre pouvoir et de l'autorité (et de la
direction) de l'Église catholique simplement parce qu'il sait que le
clergé et le peuple chrétiens ont habitué, dans le soixante dernières
années, à accepter tout changement que l'Autorité leur imposait. Au nom
d'une "démocratisation" de l'Église conciliaire - aujourd'hui
rebaptisée "synodalité" - le lien entre l'autorité du Christ et celle
de son vicaire sur terre a été rompu, créant ainsi les prémisses d'un
exercice tyrannique du pouvoir. Bergoglio veut être reconnu comme pape
légitime car ce n’est qu’à partir de cette position qu’il pourra exiger
l’obéissance des catholiques et achever la transformation du
catholicisme romain en religion maçonnique de l’humanité…
Cette servilité de l'Église envers le monde est souhaitée et préméditée
: elle inclut le soutien à la fraude climatique et au culte idolâtre de
la Terre Mère, après avoir été explicitée par la fraude criminelle
psycho-pandémique et la « vaccination » massive avec des produits
prouvés nocifs, voire mortels. , sérums et presque toujours
stérilisants, produits avec des fœtus avortés avec
le placet du Vatican . Il est donc évident que le rôle de
Bergoglio dans la mise en œuvre de l'enfer mondialiste a été décisif et
nous montre comment le jésuite argentin - comme les dirigeants des
principaux pays occidentaux tels que Biden, Macron, Trudeau, Starmer et
d'autres - a été placé sur le trône. de Pierre en tant qu'émissaire du
Forum économique mondial.
Une
telle trahison dans le gouvernement de l’Église catholique confirme
un vice d’intention dans la prise en charge de la Papauté,
tel qu’elle invalide la légitimité même de celui qui a usurpé le
pouvoir et en abuse pour détruire l’institution qu’il préside. C’est là
le nœud de la question : un Pape peut-il contredire la doctrine que
Notre Seigneur lui a ordonné de défendre, de garder et de transmettre,
allant jusqu’à prêcher l’hérésie ?
Un
pape peut-il se considérer à ce point déconnecté du Christ Roi et
Pontife, au point d’utiliser la papauté contre la volonté du Christ,
transformant son Église en une organisation antichrétienne, au service
de l’élite mondialiste ? De quelle « Église » Bergoglio est-il le «
Pape » ? » (mgr vigano- 10 sept - aldomariavalli)
Et Bergoglio de conclure son voyage en Asie :
«
Toutes les religions sont un chemin vers Dieu. Elles sont – je fais une
comparaison – comme des langues différentes, des idiomes différents,
pour y parvenir. Mais Dieu est Dieu pour tous. Et parce que Dieu
est Dieu pour tous, nous sommes tous ses enfants.
« Mais mon Dieu est plus important que le tien ! Est-ce vrai ? »
Il
n’y a qu’un seul Dieu et nous, nos religions sont des langues, des
chemins vers Dieu. Certains sont sikhs, d’autres musulmans, d’autres
hindous, d’autres chrétiens, mais ce sont des chemins
différents. Compris? » (benoit-et-moi.fr)
Cette affirmation a causé un tollé général dans la communauté catholique.
Évidemment.
« Des mots qui sonneraient comme une platitude désarmante sur les
lèvres de n’importe qui, mais qui laissent perplexe lorsqu’ils sont
prononcés par le successeur de l’apôtre Pierre, dont le ministère
consiste à confirmer ses frères dans la foi, et non à les désorienter.
François,
en revanche, le réinterprète à sa manière, comme si saint Pierre avait
entamé un dialogue avec les juifs et les païens, leur disant que la
mort et la résurrection du Christ n’ont rien apporté de
substantiellement décisif à l’histoire de l’humanité, si ce n’est une
nouvelle voie alternative vers Dieu, mais toujours facultative et sans
la prétention d’être la seule vraie. Comme la variante d’une autoroute.
Peut-être
le Pape croit-il que l’affirmation qui est sortie de la bouche même de
Jésus-Christ – « Je suis le chemin, la vérité et la vie » (Jn 14,6) –
était une coquille de quelque copiste, ou une réinterprétation des
disciples du Seigneur, qui n’avaient encore rien compris au dialogue
interreligieux, ou même un délire de toute-puissance d’un certain
Jésus-Christ, qui s’était monté la tête en se prenant pour Dieu.
«
Personne ne vient au Père si ce n’est par moi. Si vous me connaissez,
vous connaîtrez aussi le Père » (Jn 14,6-7) : une “perspective”
résolument opposée à celle du Pape. » (lien benoit-et-moi.fr ci-haut)
« … La doctrine catholique sur le Christ unique sauveur est, comme on
le voit, liquidée. Et de la manière la plus claire possible. Quel sens
l’évangélisation a-t-elle à ce stade ? Et l'esprit missionnaire ?
Pourquoi des légions de catholiques ont-elles tout sacrifié, même la
vie elle-même, pour prêcher l’Évangile si chaque foi est la même que
les autres et qu’elles mènent toutes également à Dieu ?
Bien
sûr, ce n’est pas la première fois que Bergoglio s’exprime en ces
termes, mais il ne l’a jamais fait avec autant de brutalité.
À ce stade, on se demande : qu’en est-il de la papauté elle-même ? À quoi ça sert ?.. » (aldomariavalli)
« Le seul chemin vers Dieu le Père est par son Fils Jésus-Christ. Le
nier, c'est nier la foi catholique, c'est une hérésie », a écrit
l'évêque Strickland en réponse au pape François. » (lifesitenews.com)
Voilà.
Cela nous donne une idée claire et finale du personnage actuellement sur le trône de Saint-Pierre.
Il n'y a plus aucun doute.
Si les tièdes n'ouvrent pas les yeux avec ses dernières paroles, alors ils ne les ouvriront jamais.
Bergoglio
a renié la fonction du pape dès le premier jour en se déguisant en
agneau, prêchant la pauvreté avec ses vieux souliers, refusant les
appartements normalement occupés par le pape pour aller habiter à
Sainte-Marthe, et continue depuis de s’affirmer comme le destructeur,
comme simple évêque de Rome, et qui affirme maintenant que tous les
chemins mènent au Père.
Il ne pouvait pas agir ainsi tant et aussi longtemps que le katéchon était vivant, car Benoît XVI était un expert en théologie.
Mais maintenant, il peut tout faire.
Mise à jour concernant les signes du Ciel :
La comète d’octobre continue sa progression. Elle n’est pas visible pour l’instant car elle est trop près du soleil.
Soleil, qui comme prévu, continue d'élever son activité et ses taches en plein maximum solaire, avec une éruption de classe X4.5 hier suivi d’une éjection de masse coronale qui est en partie dirigée vers la terre.
Conséquemment, il y aura des aurores assez spectaculaires dans la nuit
du 16 au 17 septembre, car la force est de trois sur une échelle de
cinq (la force de la tempête du 13 mai dernier était de cinq).
Les signes sont de plus en plus nombreux.
En route vers le synode.
13 septembre
Le 8ème roi : l’oméga
« Et la bête qui était et qui n'est plus, en est elle-même un huitième
et elle est des sept, et elle s'en va à la perdition. » (Apocalypse 17,
9-11)
Évidemment, il s’agît de Bergoglio (voir analyses précédentes).
La damnation l’attend fort probablement, sa perdition, mais le physique
est le reflet de l’âme, et il est en train d’accélérer sa mort
terrestre par ses agissements tout en entraînant plusieurs âmes avec
lui.
« Au cours de ces 11 années de « pontificat », les attaques contre la
doctrine, la liturgie et la morale ont été systématiques et ont
conduit à une perte généralisée de la foi que nous pouvons maintenant
constater dans tous les domaines du tissu ecclésial : dans les
diocèses, les paroisses et les communautés religieuses. » (benoit-et-moi.fr)
Le 13, rappelons le, est le chiffre symbolique qui indique un passage à
venir, le début et la fin d’un cycle, l’alpha et l’oméga.
« Je suis venue vous demander de venir ici pendant six mois de suite,
le 13, à cette même heure. Ensuite je vous dirai qui je suis et ce que
je veux. Après, je reviendrai encore ici une septième fois. » déclare
la Sainte Vierge lors de sa première apparition à Fatima.
Fatima et Bergoglio sont liés, car le troisième secret concerne
l’apostasie générale, même au sommet de l’église, confirmant La Salette
avec l’antichrist sur le trône.
Lors des apparitions à Fatima, le petit François voit la Sainte
Vierge mais ne l’entend pas, comparativement à sa sœur et sa cousine.
Nous pointant Bergoglio de la fin des temps.
L’actuel occupant du siège de Pierre est le premier pape à porter le nom de François.
La contre-église de Bergoglio est tellement éloignée de celle qui a
grandi et perduré durant presque deux mille ans qu’on peut considérer
qu’elle n’entend pas les messages de la Très Sainte Vierge.
Remarquez aussi la dernière phrase de Marie ci-haut: Elle confirme qu’elle reviendra une septième fois.
Pour la fin des temps.
Du 13 mai au 13 octobre il y a pile 5 mois, soit 153 jours. Cinq mois
ce n’est pas six mois. Cependant la Sainte Vierge dit bien qu’elle
viendra six mois de suite et que cela correspondra à six apparitions
puisqu’elle en prévoit d’ores et déjà une septième.
Cela veut dire qu’elle compte le mois de mai, c’est à dire le mois en
cours ainsi que la première apparition. De mai à octobre il y a 5 mois
qui s’étalent sur 6 mois. Pour décompter, le Ciel dit : 6 mois, ce qui
correspond au mode de calcul biblique qui raisonne en mois ou en années
commencés.
Ainsi, selon le mode de calcul biblique, Bergoglio atteindra 13 ans de pontificat le 13 mars 2025.
Sa limite?
L’apparition d’août à Fatima en 1917 a été reportée du 13 au 19 car les
autorités avaient empêché les enfants de se rendre au lieu des
apparitions.
Le 19 renvoie à Saint-Joseph dont on la fête est le 19 mars, date d’intronisation de Bergoglio.
Nombre de jours entre le 19 mars et le 19 août : 153.
Le 153 est le chiffre relié au Christ, le chiffre de la pêche
miraculeuse dans le Nouveau Testament qui symbolise l’ensemble des
rachetés : la deuxième Pâques dans la Bible, la mort et la
résurrection du Christ (voir analyses précédentes).
Lors du miracle du soleil le 13 octobre 1917, la Sainte Famille est
apparue aux enfants, nous montrant l’importance de ce qui est Vérité,
et ce qui est à venir, à la fin des temps.
Car les trois membres de la Sainte Famille sont liés à l’Église dans sa Passion.
Le 13 octobre 1917, pendant que les voyants voyaient la Sainte Famille,
les autres qui s’étaient déplacés apercevaient le soleil dansant.
La première Pâques a d’ailleurs eu lieu suivant un 13 : dans la nuit du 14 au 15 Nisan nous indique la Bible.
Nous nous apprêtons donc à vivre la troisième Pâque et la seconde
rédemption de l’humanité, la dernière, avant le Jugement dernier.
Or cette fois, ce sera vraiment la fin du grand cycle, la fin des temps, le Jugement suivi de la nouvelle Jérusalem.
Et Bergoglio en est le signe visible : l’antichrist personnifié
qui s’en va à sa perte, et qui est lié comme nous l’avons vu dans les
dernières analyses, au chiffre 13.
La vie temporelle et la vie spirituelle sont liés.
Le physique ne peut se passer du spirituel, et vice-versa.
Nous sommes corps et âme.
Quand l’Église va, le monde terrestre va, les structures et les
institutions tiennent la route et recherchent le bien commun, à savoir
le salut des âmes en Jésus-Christ, malgré les innombrables difficultés.
Quand l’Église flanche, la société civile se dégrade moralement, mais
aussi culturellement et socialement, et s’enfonce dans la débauche, la
cupidité, l’envie, la bêtise et la méchanceté.
C’est le cas depuis le concile Vatican II (1965) et Mai 68, dont les fruits pourris se sont étendus au monde entier.
D’ailleurs, le point Alpha ou point zéro de Léon XIII avec sa
vision du diable, a son pendant « monde civil » car c’est le 13 octobre
1884 qu’était défini le méridien de Greenwich comme point zéro pour le
monde entier.
Le départ d’un nouveau cycle.
Les comètes sont des signes particuliers du Ciel.
Pour nous avertir.
Comme le 13 octobre prochain.
Tout comme les aurores boréales.
Comme cette tempête céleste du 13 mai dernier.
Or, le synode des synodes est l’apothéose de la grande apostasie.
Le testament de Bergoglio.
La conclusion du synode est inévitable dans le calendrier
eschatologique pour confirmer la mort des deux témoins de l’Apocalypse.
Suivi très très rapidement par la chute de Babylone liée à la chute du Vatican.
Dieu a un plan.
La 7è église de l’Apocalypse a commencé avec l’avènement de Bergoglio, l’Antéchrist-personne, le 13 mars 2013.
Vont s’enclencher à partir du 13 octobre prochain, ou pas très
longtemps après, les trois autres 7 (d’où le 777), à savoir 7è sceau,
7è trompette et 7è coupe.
« Fidèle à cette tâche, Bergoglio s’apprête maintenant à porter un coup
décisif qui dévastera profondément la nature même de l’Église
catholique.
Il s’agit d’une opération d’une gravité sans précédent puisqu’il
prétend précisément changer définitivement les connotations de
l’Église, connotations voulues et établies par son divin Fondateur
lui-même.
Quel est le projet de Bergoglio ? Et quelle nouvelle physionomie entend-il donner à la structure ecclésiale ?
Ceux qui connaissent l’histoire et la théologie de l’Église n’auront
certainement pas besoin de faire de grands efforts spéculatifs
: il s’agit simplement d’imposer à l’Église une version actualisée
de la Réforme protestante.
Il est évident que la nouvelle approche sert le système car moins la
structure ecclésiale est compacte, plus elle sera malléable aux
influences du grand projet mondialiste (cf. Agenda 2030 – Forum
économique mondial…)…
Aurait-il été excessif de rappeler à l’Argentin que la Cène protestante
n’est pas le Sacrifice eucharistique et qu’il n’y a pas en elle de
présence réelle capable de transformer la substance du pain et du vin
en la réalité du Corps et du Sang du Christ ? La Cène ne peut être
comprise que comme une présence de Grâce qui peut être reçue par ceux
qui s’en approchent avec les dispositions appropriées…
Tiré du portail canadien francophone Radio-Canada.ca, l’évêque de
Rouyn-Noranda « rapporte en ces termes la réponse que lui a faite le
pape François à une préoccupation qu’il avait concernant le manque de
prêtres dans les petites communautés :
“Écoutez, vous oubliez deux choses : l’avenir de l’Église se joue
davantage autour de la parole de Dieu qu’autour de l’eucharistie” » (benoit-et-moi.fr)
Vous l’aurez compris depuis nombres d’analyses ici: Bergoglio, le
8ème roi de l’Apocalypse éliminera la présence réelle en
protestantisant l’église.
Plus besoin d’Eucharistie.
L’Oméga, le point de non retour (c’est ce qu’affirme continuellement
Bergoglio d’ailleurs : il n’y aura pas de retour en arrière), va
être atteint à la fin octobre.
À partir de là, c’est l’inconnu.
C’est entre les mains du Père.
On peut fort parier que le Jubilé 2025 ne sera pas celui prévu dans les plans au Vatican, l’élite mondiale et Bergoglio.
« La souffrance de l’Église précède la parousie [Second avènement du Christ, ndt]
Cela
semble en effet inéluctable. Si l’Église est le Corps mystique du
Christ, et qu’elle ne peut avoir d’autre existence que la vie de son
Époux mystique : de même que le Christ a été livré aux mains de ses
ennemis, de même l’Église subira nécessairement le même sort.
Cependant, si nous partageons aujourd’hui les souffrances du Corps
mystique, nous partagerons bientôt aussi le mystère de sa résurrection
et de son exaltation.
La lutte a atteint son point culminant et, dans le champ de l’Église, le bon grain est sur le point d’être séparé de l’ivraie.
À l’horizon se profile déjà l’effondrement des potentats de ce monde
qui se sont enrichis en spéculant sur la peau des peuples et qui ont
profané les institutions du Siège apostolique.
Le Seigneur, juste juge, rendra bientôt à chacun ce qui lui appartient.
Mais
qu’adviendra-t-il de celui pour qui le martyre de l’Épouse du Christ se
consomme aujourd’hui ? Ne pourrions-nous pas partager les dures paroles
de l’Évangile : « Il vaudrait mieux pour cet homme qu’il ne soit jamais
né » (Mt 26, 24) ? » (benoit-et-moi.fr)
On confirme.
Même
le pape Pie XII qui a suivi de près la question des apparitions de
Fatima a affirmé avoir été le témoin, à trois reprises, à Rome, les 30
et 31 octobre et le 1er novembre 1950, jour de la proclamation du dogme
de l'Assomption de la Vierge Marie, du même phénomène solaire qu'à
Fatima.
On a vu dans une analyse précédente qu’entre le 13 octobre 1884 et le
13 octobre 1917, il y a exactement 33 ans, l’âge du Christ à sa mort.
Entre le 13 octobre 1917 et le 1 novembre 1950 : 33 ans et quelques jours.
La Sainte Vierge nous reviendra à la fin des temps, à l’Apocalypse, la
Révélation, une 7ème fois comme affirmé en 1917, sous la forme d’une
femme voilant le soleil.
Par trois fois Pie XII a vu le miracle du soleil à la fin octobre 1950.
Est-ce que cela annonce les trois jours de ténèbres de la fin des temps prophétisés par plusieurs?
Le signe de Jonas (voir analyses de juillet 2024)?
Le synode des synodes se termine le 29 octobre.
Pourrait-il y avoir un lien?
Car le soleil est bien entré dans le maximum solaire qui s’intensifie.
Ainsi
que le risque de guerre Russie-OTAN aujourd'hui après l'approbation du
Canada et de la Grande-Bretagne pour l'emploi de missiles longues
portées par l'Ukraine.
12 septembre
Quand on affirme que le Vatican avec en tête Bergoglio entraînent la jeunesse vers l'Agenda 2030.
La « grande réinitialisation » religieuse est en court depuis longtemps.
La preuve.
Remarquez que Bergoglio est actif avec les jésuites depuis qu'il est
évêque pour former les esprits à la nouvelle religion humaniste!
Remarquez aussi qu'à chaque voyage de Bergoglio, que plusieurs
rencontres avec les satellites jésuites des pays concernés sont prévues
à l'horaire, empiétant même sur le but dudit voyage.
« Ce fut le cas, en Indonésie, de la rencontre avec le mouvement «
Scholas occurrentes », dans son nouveau siège au centre de Jakarta, le
premier en Asie du Sud-Est.
Ce mouvement, fondé par Bergoglio en Argentine lorsqu’il était
archevêque de Buenos Aires, est aujourd’hui un réseau d’un demi-million
d’écoles sur les cinq continents, élevé en 2015 au rang de Fondation
pieuse de droit pontifical ayant son siège dans la Cité du Vatican.
Toutefois, on n’y trouve pas grand-chose de « pieux », voire rien du tout.
Dans les nombreux discours de François aux « Scholas », le silence sur le Dieu chrétien, Jésus et l’Évangile est presque total.
La formule dominante est celle du « nouvel humanisme », avec son
cortège de « maison commune », de « solidarité universelle », de «
fraternité », de « convergence », d’« accueil ».
Les religions sont également mises dans le même sac et neutralisées dans un dialogue indistinct.
Les invités à ces événements sont des stars du show-business et du sport, de George Clooney à Lionel Messi.
Le nom donné par François à une nouvelle université qu’il a créée en
2023 et confiée à des « Scholas occurrentes » l’illustre bien : «
Universidad del sentido », l’université du sens, où « ce qui est
enseigné n’est pas une chose mais la vie elle-même ».
À Jakarta, pour symboliser ce sentiment de fraternité, les étudiants
avaient mis en place un « polyèdre du cœur », avec l’assemblage de
centaines d’objets personnels apportés par chacun, auxquels le pape lui
aussi a ajouté le sien : une reproduction de l’héroïne de la bande
dessinée argentine Mafalda.
Bien sûr, il n’est pas surprenant qu’un pape comme Jorge Mario
Bergoglio se préoccupe autant des écoles et de la formation des
nouvelles générations, lui qui fait partie de la Compagnie de Jésus,
qui a été pendant des siècles le grand éducateur des classes
dirigeantes.
Mais ce qui frappe, c’est l’absence de toute spécificité chrétienne dans son ambitieux projet éducatif. » (benoit-et-moi.fr)
L'escalade
entre la Russie et l'OTAN se poursuit: possibilité par les britanniques
et les américains d'autoriser les missiles à longue portée pour
l'Ukraine si l'Iran fournit des missiles du même type à la Russie.
Poutine confirme que si c'est le cas, alors l'OTAN sera considéré en guerre contre la Russie.
«
La terre frisera le massacre. Un seul mourra pour tous et il était le
meilleur. » se rapproche. (prophétie « Grand Éclair à l'Orient »)
08 septembre
LA SEMAINE DE DANIEL
À la lumière de la dernière analyse sur l’importance du 13
et du 84, et sur la signification du chiffre 40 comme temps d’attente,
de carême, avant la Pâques et la résurrection :
Jésus nous indique que le prophète Daniel a son importance à la fin des
temps, en Matthieu 24, confirmé en décembre 2023 par mgr Vigano :
(LifeSiteNews) — L'archevêque Carlo Maria Viganò a répondu à la
question « Le pape est-il catholique ? à la conférence du week-end
dernier affirmant avec force que Jorge Maria Bergoglio est un « faux
prophète » qui correspond à la description de celui dont parle le
prophète Daniel au moment de la « persécution finale » de l'Église, à
qui aucun catholique ne doit en « rien » obéissance ou collaboration
mais plutôt résistance inébranlable.
« Nous sommes… bien au-delà de l'hérésie », a déclaré Son Excellence.
"[St. Robert] Bellarmin n'aurait jamais pu imaginer qu'un émissaire de
la franc-maçonnerie puisse aller jusqu'à être élu pape dans le but de
démolir l'Église de l'intérieur, en usurpant et en abusant du pouvoir
même de la papauté contre la papauté elle-même. Il n’aurait pas non
plus pu imaginer qu’un hypothétique pape dépasserait la simple hérésie
et embrasserait l’apostasie totale. »
…
Viganò a réitéré une fois de plus que "nous n'avons pas affaire à une
situation dans laquelle un pape adhère à une hérésie spécifique (ce que
Bergoglio a d'ailleurs fait à plusieurs reprises)". Au contraire, «
aucun Docteur de l’Église n’a jamais envisagé la possibilité d’un pape
apostat ou d’une élection falsifiée et manipulée par des puissances
ouvertement hostiles au Christ, car une telle énormité ne pouvait se
produire que dans un contexte unique et extraordinaire comme celui de
la persécution finale annoncée par le prophète Daniel et décrite par
saint Paul. L'avertissement de Notre Seigneur videritis abominationem
desolationis – lorsque vous verrez l'abomination de la désolation (Mt
24, 15) – doit être compris comme tel précisément en raison de son un
caractère unique absolu. »
Dernières preuves confirmant ces affirmations:
- Le voyage en Indonésie de Bergoglio :
« JAKARTA, Indonésie ( LifeSiteNews
) — En conclusion d'une rencontre avec des jeunes de différentes
confessions à Jakarta, le pape François a donné une bénédiction sans
invoquer la Trinité, ce qui, selon lui, est « valable pour toutes les
religions ».
...
Après avoir échangé avec certains des jeunes concernés, le pape a
annoncé qu'il donnerait une bénédiction finale. Le groupe étant composé
de membres de différentes religions (Scholas n'est pas une organisation
catholique), la bénédiction de François revêtait un caractère
multiconfessionnel.
« Je voudrais donner une bénédiction. Une bénédiction signifie dire du
bien, souhaiter du bien à quelque chose », a-t-il commencé. Poursuivant
sa prière de bénédiction à la foule rassemblée, qui comprenait des
catholiques et des musulmans, François a ajouté :
Ici, vous êtes de religions diverses, mais nous n'avons qu'un seul Dieu, il est unique.
Et en union, en silence, nous prierons le Seigneur et je donnerai une
bénédiction pour tous, une bénédiction valable pour toutes les
religions.
Que Dieu bénisse chacun d’entre vous.
Qu'il bénisse tous vos désirs.
Qu'il bénisse vos familles.
Qu'il vous bénisse présent (ici).
Qu'il bénisse votre avenir. Amen.
En conclusion, François n'a pas fait le signe de croix comme le fait
habituellement un clerc catholique lorsqu'il donne une bénédiction, et
n'a pas invoqué le nom de la Sainte Trinité. »
« Cette bénédiction sans la croix est une absurdité, mais c’est surtout
une trahison et une apostasie. On pourrait déjà se demander si
Bergoglio n'était que M. Bergoglio, mais comme il se présente et va
visiter les pays comme Pape de l'Église catholique, et que la
bénédiction catholique a lieu en invoquant le nom du Père, du Fils et
du Saint-Esprit et traçant un signe de croix, Bergoglio s'est comporté
en infidèle et trompeur. Et dans ces quelques mots prononcés pour
expliquer sa décision, il a parlé de véritables hérésies, car il n'est
pas vrai que « nous n'avons qu'un seul Dieu », et le Vicaire du Christ,
dont la tâche première est de confirmer ses frères dans la foi, ne peut
pas le faire « une bénédiction valable pour toutes les religions »…
Maintenant la question se pose : pourquoi Bergoglio est-il allé là-bas,
en Indonésie ? Ces voyages sont appelés voyages apostoliques, mais qu’y
a-t-il d’apostolique dans une bénédiction absurde qui n’est pas une
bénédiction ? Bergoglio le dit clairement, s'il en a le courage : le
but de ces visites est toujours et uniquement le dialogue, véritable
dogme de l'Église néo-moderniste. En effet, non seulement le dialogue,
mais le syncrétisme, le mélange arbitraire d'éléments religieux
incompatibles entre eux. Afin de proclamer une religion universelle
unique… » (aldomariavalli.com).
Le but est toujours le même : la nouvelle religion humaniste œcuménique
de l’Agenda 2030, qui n’en est pas une (puisque aucun objectif
spirituel n’est mentionné dans l’Agenda 2030), mais un culte rendu à
Satan.
- Sur la miséricorde universelle, thème cher à Bergoglio, qui élimine ainsi la notion de péché:
« Le salut universel ? En tant que professeur de mathématiques, je vous
le dis : faites le calcul, ça ne peut pas être comme ça !
...
nous vivons à une époque où, même dans l'Église, la question de la
destinée éternelle de l'âme semble totalement hors de propos, et le
message est souvent transmis qu'après la mort, nous irons tous au ciel.
Ces derniers jours, un prêtre qui prêche sur YouTube (j'évite de citer
son nom) a répondu mot pour mot à une de mes questions que "les péchés
vont en enfer parce que Dieu sauve les pécheurs". Ainsi, tout le monde
est en sécurité. Mais cette idée d’un salut automatique, pour tous, est
fausse et même hérétique car elle contredit l’enseignement de l’Église
et les paroles mêmes de Jésus.
Affirmer que le paradis est réservé à tous les hommes après la mort
équivaut à dire qu'aucune âme créée ne court le risque d'être damnée et
donc que personne n'est jamais allé en enfer jusqu'à présent et que
personne n'y ira dans le futur. Il n'y aurait que Satan avec les anges
rebelles (à moins qu'il ne soit dit qu'à la fin il y aura aussi une
amnistie pour eux : après tout, Dieu est miséricordieux, n'est-ce pas
?).
Or, Dieu est certes miséricordieux, mais il est aussi juste, et pour
être acceptée, la miséricorde doit trouver une âme qui reconnaît
qu'elle a péché et qui a besoin de pardon. La miséricorde de Dieu est
reçue, par le sacrement de la confession, avec une repentance et une
supplication sincères.
...
Partons donc des points fixes, certains et établis : l'Évangile, le catéchisme et la tradition.
Le Catéchisme de l'Église catholique (n. 1033) explique :
Mourir dans un péché mortel sans se repentir et sans accueillir l'amour
miséricordieux de Dieu signifie rester séparé de Lui pour toujours par
notre libre choix.
Sauf le cas de Judas Iscariote, car Jésus le dit très clairement, nous
ne pourrons jamais savoir avec certitude si une âme est damnée ou non.
En fait, nous ne savons pas si cette âme a fait, peut-être un instant
avant sa mort, un acte de contrition sincère et a demandé pardon à Dieu
comme le bon larron sur la croix. Cependant, il semble clair que cette
terrible issue est possible pour tout être humain. Dieu nous laisse
libre de l’accueillir comme Seigneur et Sauveur ou de le rejeter.
Dans l'Évangile, nous lisons :
Un homme lui demanda : « Seigneur, ceux qui sont sauvés sont-ils peu
nombreux ? Il répondit : « Efforcez-vous d'entrer par la porte étroite,
car beaucoup, je vous le dis, tenteront d'entrer et n'y parviendront
pas » (Luc 13,23-24).
« Beaucoup » dit Jésus. Eh bien, à propos de ce passage, j'ai toujours
entendu des commentaires dans lesquels il est dit que Jésus ne répond
pas à la question, mais ce n'est pas vrai !
Examinons la réponse et connectons-la à d'autres passages qui parlent de la même question.
Nous voyons le passage similaire dans Matthieu 7 : 13-14.
Entrez par la porte étroite, car la porte est large et le chemin est
large qui mène à la perdition, et nombreux sont ceux qui entrent par là
; combien étroite est au contraire la porte et le chemin qui mène à la
vie, et combien rares sont ceux qui les trouvent ! (Matthieu 7;13-14).
Nous constatons que le pronom « beaucoup » contraste plus clairement avec « quelques-uns » qui sont sauvés.
Et encore :
Parce que beaucoup sont appelés mais peu sont élus (Matthieu 22,14).
Les paroles de Jésus semblent dramatiques lorsqu'il précise que même
parmi ceux qui avaient une relation de prédilection avec le Seigneur,
il y en aura qui iront dans le feu éternel :
Beaucoup me diront en ce jour-là : Seigneur, Seigneur, n'avons-nous pas
prophétisé en ton nom, chassé les démons en ton nom et accompli de
nombreux miracles en ton nom ? Mais je leur dirai : je ne vous ai
jamais connu ; éloignez-vous de moi, ouvriers d'iniquité » (Matthieu 7,
22-23).
Encore ce pronom : « beaucoup ».
Mais dans les paroles de Notre Seigneur (jamais dites au hasard, car la
plénitude de la lumière et de la vérité habite dans le Fils de Dieu) il
y a aussi des valeurs numériques.
Dans la parabole des dix vierges, nous avons cinq folles et cinq sages.
Jésus aurait pu dire, par exemple, que huit étaient sages et deux
étaient insensés ou utiliser d'autres paires de nombres dont la somme
fait dix, mais il dit que la moitié d'entre eux sont damnés.
Dans la parabole des serviteurs et des talents, cela se passe un peu
mieux : une personne sur trois va en enfer, mais si telle était
l'estimation des âmes perdues, ce serait encore un nombre élevé.
Nous ne pouvons rapporter ici tous les apports des mystiques, saints et
bienheureux qui ont eu des visions d'un enfer décrit comme plein de
damnés. Souvenons-nous seulement des apparitions de Fatima (reconnue
par l'Église) et de ce que la Sainte Vierge disait sur la nécessité de
prier pour les pauvres pécheurs puisque déjà à cette époque (année
1917, une époque où le sens religieux, la foi et les coutumes étaient
certainement meilleurs que nos temps malheureux) tant d'âmes ont été
perdues.
D’un autre côté, s’il n’y avait aucune possibilité de damnation, comme
cela est souvent prêché ou sous-entendu aujourd’hui, pourquoi la Mère
de Dieu aurait-elle enseigné la prière qui est encore récitée
aujourd’hui dans le chapelet :
Mon Jésus, pardonne nos péchés, préserve-nous des feux de l'enfer et
amène toutes les âmes au ciel, en particulier celles qui ont le plus
besoin de ta miséricorde ?
Nous ne pouvons certainement pas établir avec une certitude
mathématique le pourcentage d'âmes damnées par rapport à la totalité
des âmes créées, ni dire combien ont été damnés en moyenne au cours des
différents siècles de l'histoire chrétienne. Cependant, nous ne pouvons
pas non plus falsifier l'Évangile et le clair paroles de Notre Seigneur
Jésus-Christ qui a versé son sang précieux pour nous offrir le salut et
détruire nos péchés.
Nous restons ancrés dans le magistère authentique de l’Église, certains
que quiconque meurt dans la grâce de Dieu, en se repentant de ses
péchés et en invoquant de tout cœur la miséricorde du Seigneur Jésus,
ne sera pas damné.
Souvenons-nous de la grande et merveilleuse promesse faite par Jésus à l'humanité à travers sainte Marguerite-Marie Alacoque :
Je vous promets, dans l'excès de miséricorde de mon cœur, que mon amour
tout-puissant accordera la grâce de la pénitence finale à tous ceux qui
communieront le premier vendredi du mois, pendant neuf mois
consécutifs. Ils ne mourront pas dans ma disgrâce, ni sans avoir reçu
les saints sacrements, et dans ces derniers instants mon cœur leur
donnera un asile sûr.
Fais, Seigneur, par l'intercession de la Vierge Marie et de Saint
Michel, qu'en vainquant l'ennemi de notre salut, chacun de nous puisse
accepter cette invitation du Cœur de Jésus et décider de vivre, au
moins une fois dans sa vie, cette belle pratiquer avec amour, avec foi
et profonde humilité, protégeant ainsi le salut de son âme.
Sacré-Cœur de Jésus, j'ai confiance et j'espère en Toi. » (aldomariavalli.com)
- Sur le prochain synode :
Comme nous l’affirmons depuis le longtemps, le synode des synodes est
la dernière chance pour faire passer l’impensable, pour une conversion
de l’église conciliaire à l’église universelle humaniste de l’Agenda
2030.
« Le cardinal Müller suggère que des « forces anti-catholiques »
promeuvent l'Agenda 2030 en faveur de l'avortement au sein du Synode
CITÉ DU VATICAN ( LifeSitenews
) — Le cardinal Gerhard Müller a averti que le synode actuel sur la
synodalité pourrait être utilisé par les « progressistes » et les «
forces anticatholiques » pour mettre en œuvre l’Agenda 2030 dans
l’Église.
« Il existe toujours le danger que des progressistes autoproclamés, en
collusion avec les forces anticatholiques de la politique et des
médias, introduisent dans l’Église un Agenda 2030 dont le cœur est une
vision wokiste de l’humanité diamétralement opposée à la dignité divine
de chaque personne humaine », a déclaré le cardinal allemand dans une
interview à InfoVaticana.
…
Le cardinal a critiqué ouvertement le Synode, et son inclusion aux
réunions du Vatican a été contestée par les progressistes : « Des
groupes hérétiques déguisés en progressistes ont, pour leur part,
critiqué cette décision [son inclusion] comme une simple manœuvre
tactique du pape, qui voulait envoyer un signal aux catholiques
orthodoxes, décriés comme conservateurs ou même traditionalistes, que
les participants étaient équilibrés. »… »
« CITÉ DU VATICAN ( LifeSiteNews
) — Le rite de la messe amazonienne, très attendu et controversé,
entrera dans une « phase expérimentale » de trois ans plus tard cette
année, a attesté un théologien clé.
Dans un nouveau rapport numérique de Vida Nueva, des détails
révolutionnaires ont été révélés sur le rite de messe proposé en
Amazonie – fruit du synode amazonien de 2019 qui s'est tenu au Vatican.
Sans citer mot pour mot les propos de Vida Nueva, elle a déclaré que «
le rite amazonien entrera dans la phase expérimentale – qui durera
trois ans jusqu’en 2028 – à la fin de 2024. » »
« Le préfet de la CDF a té reçu deux fois dans un bref laps de temps
par « El Papa », et ces audiences ont été (inhabituellement) rapportées
par le bureau de presse, leur conférant un caractère officiel qui
laisse présager qu’un document non négligeable (je n’ose dire «
important ») est en cours d’élaboration. Occasion de se rappeler d’une
curieuse note du même Tucho dans un « rescriptum ex audentia » du 23
octobre dernier. » (benoit-et-moi.fr)
Le prophète Daniel par l’indication de la « semaine » de la fin des
temps, en un temps, deux temps et la moitié d’un temps, que plusieurs
interprètent par une semaine de 3.5 années, ou remis au double, 7
années, est difficile à cerner dans la réalité, mais c’est un fait que
nous devons considérer à titre d’analyses.
Mais Saint-Jean dans l’Apocalypse nous indique que la bête et les deux témoins ont la même durée de vie.
Normal, puisque les témoins font front contre la bête.
La durée de vie de la bête étant de 1260 jours ou 42 mois, plusieurs
eschatologues en concluent qu’une division par 3.5 est de mise pour
leurs recherches sur la chute de Babylone.
Nous venons de voir dans l’analyse précédente que les démons sont
relâchés en 1884 et que la période accordée au démon pour la
destruction de l’église est de 100 années, et nous avons suggéré un
temps d’attente additionné de 40 années nous amenant en 2024.
Plus précisément le 13 octobre 2024.
En plein synode.
En pleine relation avec Fatima en 1917.
Avec comme signe une comète au plus près de la terre pour cette date exacte.
Le 13 octobre 2024 et le 13 octobre 1884 sont séparés de 140 années.
140 est divisible par 3.5 et nous donne 40.
Exactement le temps d’attente.
Et, le soleil est de la partie.
Voici ce que nous révèle spaceweather.com sur l’activité solaire du
mois d’août dernier, et du progrès dans le cycle solaire 25, qui nous
plonge peut-être dans une période mouvementée pour octobre 2024 si on
suit la logique des dernières analyses (déjà, le début septembre a été
très actif mais les trois éjections de masse coronales des derniers
jour ont eu lieu sur la face cachée du soleil et donc dirigées hors de
la trajectoire de la terre.) :
« L'activité solaire continue de s'intensifier. En août 2024, le nombre
mensuel moyen de taches solaires a dépassé 200 pour la première fois en
23 ans, doublant presque les prévisions officielles :
On ne s'attendait pas à ce que le cycle solaire actuel (cycle solaire
25) soit aussi fort. Lorsqu'il a commencé en décembre 2019, les experts
ont prédit qu'il serait faible comme son prédécesseur immédiat, le
cycle solaire 24. Au lieu de cela, le cycle solaire 25 peut être sur le
point de rivaliser avec certains des cycles les plus forts du 20ème
siècle. Déjà en mai 2024, nous avons connu une tempête géomagnétique de
classe centenaire avec des aurores boréales observées dans le Pacifique
Sud, en Amérique centrale et en Afrique du Sud.
La dernière fois que le nombre de taches solaires était aussi élevé,
c’était en septembre-décembre 2001. Le soleil se préparait à lancer les
grandes tempêtes d'Halloween de 2003, qui comprenaient la plus forte
éruption solaire de classe X jamais enregistrée (X45) et une CME si
puissante qu'elle a été ressenti par la sonde Voyager qui quittait
alors notre système solaire. Une répétition n'est pas garantie, mais le
nombre actuel de taches solaires nous dit que c'est possible.
Dans quelques années, nous pourrions regarder en arrière et réaliser
que 2024 était le maximum du cycle solaire 25. Ou pas ; les «
prévisions officielles » initiales prévoyaient que le maximum solaire
se produirait en juillet 2025. Quoi qu'il en soit, nous avons
probablement au moins 2 ans de plus d'activité solaire élevée à venir.
Demeurez à l'écoute. »
Voilà.
Le 13 octobre 2024 pourrait être très significatif.
04 septembre
LÉON XIII
Le 13.
Ce chiffre qui semble avoir toute son importance et qui nous a été
pointé par Notre-Dame de Fatima en 1917 de mai à octobre avec le
miracle du soleil.
Le chiffre 13, c’est le chiffre du passage, de la Pâques, qui est la porte de l’instabilité, vers le renouveau, la résurrection.
Léon treizième du nom, « (1878-1903) est le premier pape du XXe siècle.
Passionné par son époque, il s'efforça de la comprendre et d'ouvrir
l'Église à ses débats. Il avait à cœur la misère des nouvelles classes
ouvrières et s'engagea sur les grandes questions sociales de son temps
» (la-croix.com)
C’est donc lui qui condamne en premier les erreurs du modernisme
commencé en 1858 : par Les origines des espèces de Darwin, La liberté
de Mill, et Une contribution à La critique de l’économie politique de
Karl Marx.
Dans ces trois ouvrages sont résumés les erreurs de l’âge moderne.
L’homme annonçait son INDÉPENDANCE vis-à-vis de Dieu.
C’était le début de la déification de l’homme aboutissant à cette fin des temps.
Léon XIII annonçait la période d’instabilité dominé par le diable vers le renouveau, la fin des temps.
C’est en effet le 20 avril 1884 que Léon XIII publie Humanum genus condamnant la franc-maçonnerie (quatre encycliques de ses 86 publiés condamnent la franc-maçonnerie).
Onze encycliques sur les 86 promeuvent le Rosaire.
Il identifie ainsi le racine du problème de ce monde et son remède.
Le 13 octobre suivant, même date que le miracle du soleil de 1917, mais
en 1884, Léon XIII a sa vision de Satan qui demande 100 ans pour
détruire l’Église à NSJC :
« Après la Messe, j’entendis deux voix, une douce et bonne, l’autre
gutturale et dure ; il semblait qu’elles venaient d’à côté du
tabernacle. Il s’agissait du démon qui s’adressait au Seigneur, comme
dans un dialogue.
Voici ce que j’ai entendu :
– La voix gutturale, la voix de Satan dans son orgueil, criant au Seigneur : “Je peux détruire ton Église.”
– La voix douce du Seigneur : “Tu peux ? Alors, fais le donc.”
– Satan : “Pour cela, j’ai besoin de plus de temps et de pouvoir.”
– Notre Seigneur : “Combien de temps ? Combien de pouvoir ?”
– Satan : “75 à 100 ans et un plus grand pouvoir sur ceux qui se mettent à mon service.”
– Notre Seigneur : “Tu as le temps, tu auras le pouvoir. Fais avec cela ce que tu veux.”
Puis, j’ai eu une terrible vision de l’enfer : j’ai vu la terre comme
enveloppée de ténèbres et, d’un abîme, j’ai vu sortir une légion de
démons qui se répandaient sur le monde pour détruire les œuvres de
l’Église et s’attaquer à l’Église elle-même que je vis réduite à
l’extrémité. Alors, Saint Michel apparut et refoula les mauvais esprits
dans l’abîme. Puis, j’ai vu Saint Michel Archange intervenir non à ce
moment, mais bien plus tard, quand les personnes multiplieraient leurs
prières ferventes envers l’Archange. »
Les démons sont donc relâchés en 1884, pour la naissance du système antichristique de la fin des temps :
« Comme nous l’avons écrit, même si le programme est largement décrit
dans Utopia de Thomas More, il fut réadapté fin XIXe siècle dans le
cadre du monde anglo-saxon par la Société fabienne (Fabian Society) en
1884. L’objectif déclaré de cet institut à l’origine de la création du
parti travailliste anglais (le labour) et de la London School of
Economics (LSE) est de favoriser une gouvernance mondiale reposant sur
la fusion du capitalisme et du socialisme afin d’aboutir à un «
socialisme de marché » dont le modèle rêvé est la Chine. Il est vrai
que de nombreux agents anglo-saxons acquis à cette Société fabienne ont
coopéré avec d’autres instituts mondialistes comme le Canadian
International Council ou CIC (Walter Lockart Gordon, James Endicott,
…), petit frère de la Chatham House (Royaume-Uni) et du Council on
Foreign Relations (CFR, États-Unis). C’est ce fameux CIC qui a joué un
rôle certain en favorisant la création d’un frère jumeau chinois en
1949, le Chinese People’s Institute of Foreign Affairs (CPIFA). »
(Pierre Hillard, Mondialisme : "La Bête de l’événement est là et elle
arrive")
Deux chiffres importants donc : le 13 et le 84.
Entre le 13 octobre 1884 et le 13 octobre 1917, il y a exactement 33 ans, l’âge du Christ à sa mort.
Ce n’est pas un hasard puisque la franc-maçonnerie est intensément
active au Vatican avec le cardinal Rampolla en tête, élu pape en 1903
suite au décès de Léon XIII, mais qui grâce à l’intervention de
l’empereur François-Joseph qui usa de son droit de veto, fut évincé.
1884 additionné de cent années nous donne 1984, la fameuse année identifiée par George Orwell dans son roman.
1984, l’année de la consécration de la Russie par Jean-Paul II qui fut non valable.
(Or, après la consécration du monde accomplie par le pape Jean-Paul II
le 25 mars 1984, sœur Lucie (de Fatima) déclara nettement aux
carmélites de Coïmbre, à ses parents et familiers, à des religieux,
évêques et cardinaux : « Non, la consécration n’a pas été faite comme
le veut Notre-Dame. »)
1984 additionné des 40 années du Christ dans le désert, et en ce qui
nous concerne, la Passion de l’Église de la fin des temps, notre
carême, nous donne 2024, année de séparation du bon grain de l’ivraie.
40 est le nombre de l'attente:
- Jésus a vécu 40 jours au désert après son baptême;
- le peuple juif a erré 40 ans dans le désert avant d'entrer en Terre sainte ;
- Moïse a jeûné 40 jours avant de recevoir les tables de la Loi;
- le Déluge a duré 40 jours, avant que Noé n'ouvre la fenêtre de l'Arche.
Après le carême, nous savons tous que c’est la Pâques, ou mort et
résurrection du Christ, donc la mort de l’Église et sa résurrection
pour la fin des temps, avec comme signe visible la mort et la
résurrection des deux témoins de l’Apocalypse avant la chute de
Babylone.
Pour 2024 fort probablement puisque le retour du Lys de paix, le
Christ, selon la prophétie de Don Bosco est avant le mois des deux
lunes, soit mai 2026.
Et puisque la durée de vie de la bête dans l’apocalypse est de 42 mois, 1984 additionné de 42 ans donne 2026.
1984 suivi du « 27 octobre 1986 : Jean-Paul II invite personnellement
les représentants de toutes les religions les plus répandues du monde à
une réunion de prière œcuménique à Assise, la ville de
Saint François...
Arrêtons-nous un instant et réfléchissons : Notre Seigneur Jésus-Christ
a placé son Vicaire et l'Église sur cette terre pour annoncer la vérité
et dispenser la grâce et le salut à tous les hommes, quelle que soit
leur religion, les appelant à la conversion, au prix du martyre : et
ainsi ce que firent les apôtres, ainsi que tous les saints et martyrs
pendant deux mille ans. Mais voici maintenant un Pape qui convoque les
non-catholiques non pas pour les exhorter à la conversion ou même pour
une simple discussion, mais plutôt pour les pousser à prier selon leurs
fausses et vaines croyances humaines (quand pas
diaboliques ) afin d'obtenir une quelconque monde de paix .
Quelle paix ? Ce ne sera certainement pas la paix du Christ que
l’on obtiendra en désobéissant à celui qui a ordonné à ses apôtres : «
Allez dans le monde entier et prêchez l’Évangile à toute la création.
Celui qui croira et sera baptisé sera sauvé, mais celui qui ne croira
pas sera condamné » (Mc 16, 15)… » (aldomariavalli.com)
Bergoglio est en train d’achever le plan œcuménique.
Les chiffres 13 et 84 identifiés par Léon XIII nous donnent des références.
Le 84 dans la bible, c’est l’âge de la prophétesse Anne le jour de la purification de la Vierge Marie.
« Anne, elle aussi, est «prophète», porte-parole de Dieu. Elle est âgée
de 84 ans, c'est dire qu'elle a 7 fois 12 ans. Dans la symbolique
biblique des nombres, le chiffre 7 suggère la perfection et le 12
l'universalité. Le lecteur devine ainsi qu'Anne représente parfaitement
les croyants de son peuple qui attendent «la délivrance de Jérusalem».»
(croire.la-croix.com)
Or, 84 c’est aussi 2×42 : « il faudra rendre à Babylone au double de ses œuvres » (Apoc. 18, 6)
Le 11 février, date anniversaire de Notre-Dame de Lourdes, est aussi la
date anniversaire des accords de Latran de 1929, où le « royaume
Vatican » fut officialisé.
Ces accords furent la première étape d’une longue route du déclin de
l’Église et de son basculement vers l’Antéchrist système et maintenant
l’Antéchrist personnifié.
Entre 1929 et 2013, année de démission de Benoît XVI, il y a 84 ans.
Benoît XVI a démissionné exactement le 11 février, date anniversaire
des apparitions de Notre-Dame de Lourdes en 1858, à l’âge de 84 ans.
Depuis, il n’y a plus de pape valide.
Le 11 février 2013 était donc le signal de la purification de ce monde (voir l’analyse de la prophétie concernant Benoît XVI).
Suivi par l’élection de Bergoglio le 13 mars 2013, l’abomination de la désolation sur le trône de Saint-Pierre.
Le plan maçonnique peut alors aller de l’avant et achever l’église.
Puisque, comme nous l’indiquions au début, le 13 est symbole de mort et
de résurrection, 13 ans de règne de Bergoglio nous mènent en 2026,
année du mois de mai des deux lunes prophétisée par Don Bosco pour le
retour du Lys de paix.
Ainsi, la fin de 2024, avec surtout cette fin de synode d’octobre,
s’annonce pleines de surprises, pour le bien des chrétiens, pour le
malheur de ceux qui font partie de la synagogue de Satan.
Car, Bergoglio peut-il aller plus loin passé le synode et son année jubilaire de 2025?
Non.
Bergoglio est Pierre II le romain de la prophétie de Saint-Malachie.
Il a choisi le nom de François, non suivi d’un chiffre comme les autres papes, indiquant qu’il n’y aurait pas de suite.
Il a même abandonné le titre de pape pour être le simple évêque de Rome, dans la synodalité totale.
Son dernier acte, le synode des synodes se terminant en octobre 2024,
sera suivi du jubilé 2025 pour célébrer le développement humain
intégral, l’homme déifié dans toute sa splendeur :
« Dans la perspective du Jubilé 2025, nous nous dirigeons vers « une
vie qui devient chant d'amour pour Dieu, pour l'humanité, avec et pour
la création, et qui trouve sa plénitude dans la sainteté » (dicastère
pour le service du développement humain intégral, Jubilé 2025)
(vaticannews.va).
Chaque mot ici est choisi en fonction de la célébration de la nouvelle
religion humaniste qui englobera l'église conciliaire suite à la
conclusion du synode 2024.
Ce sont des mots génériques: qui est le Dieu de la déclaration? Que représente cette « sainteté »?
Alors que nous devrions y lire pour ce Jubilé 2025: « qui trouve sa plénitude dans le Christ ».
Notez bien que les principes de cette rencontre seront partis prenants
du Jubilé 2025, célébrant à la fois la « fraternité maçonnique » et la
victoire de la voie synodale sur toute l'église.
Le logo de ce jubilé est pro LGBT (vaticannews.va) pour inclure tout le
monde dans ce jubilé, pour le cri de victoire de l’œcuménisme, pour la
conclusion de Vatican II. On nous l’a annoncé avec l’année 2023
consacrée aux 60 ans de Vatican II.
Et à partir de 60 ans, l’Église est veuve.
Pour ceux qui n'ont pas encore vu le logo du jubilé 2025 , curieusement révélé plus de 2 ans à l'avance.
Il a été dévoilé en juin, mois de la fierté gay en opposition au Sacré-Coeur.
Sur la mer agitée en termes de corruption morale, d’un monde où
l’identification au Christ est relégué au second plan au Vatican pour
l’inclusion LGBT, suivez la tendance horizontale avec les couleurs des
voiles LGBT, et là, vous avez un choix à faire, « Pèlerins de
l’Espérance », vers le haut avec le Christ, ou vers les abîmes avec
l’ancre.
2025 est l’année du choix.
Effectivement, on le répète, tout doit être conclu avant mai 2026 selon
la prophétie de Don Bosco, c’est à dire le retour du Lys de paix avant
mai 2026.
Or, pour le jubilé 2025, Bergoglio a créé une Commission pour les
témoins de la foi qui fait référence au grand jubilé de Jean-Paul II de
l’an 2000, où il a voulu mettre en lumière ces hommes et ces femmes
qui, bien que non canonisés, ont manifesté avec force leur foi.
« Qui sont les témoins de la foi?
Permettez-moi de donner un exemple: celui qui me vient immédiatement à
l’esprit est Dietrich Bonhoeffer (1906-1945), un théologien et pasteur
d’église luthérien qui a été tué parce qu’il s’opposait au nazisme.
L’Église ne le proclame pas martyr parce qu’il n’était pas catholique. »
«Dans un monde où il semble parfois que le mal l'emporte - conclut
François - je suis certain que l'élaboration de ce catalogue, également
dans le contexte du Jubilé imminent, aidera les croyants à lire notre
époque à la lumière de Pâques, en puisant les raisons de vivre et de
faire du bien dans le trésor de la fidélité généreuse au Christ». (vaticannews.va)
« À la lumière de Pâques ».
Effectivement, comme analysé ci-haut, après les 40 années de carême
menant à 2024, suit la Pâques, la mort et la résurrection des deux
témoins de l’Apocalypse, comme le laisse entendre Bergoglio avec son
Jubilé 2025.
Or, curieusement, la 103ème devise des prophéties des papes de
Saint-Malachie est « Ignis Ardens », ou Feu Ardent, est celle du pape
Saint Pie X, gardien de la tradition, symbole des deux témoins que sont
la loi et les prophètes des derniers temps.
Elle est précédée de la 102ème devise « Lumen in Caelo » (Lumière dans
le Ciel) attribuée à…. Léon XIII qui nous a laissé la prière de
Saint-Michel Archange pour cette occasion spécifique.
« La fête de Notre-Dame du Rosaire, célébrée le 7 octobre, a été
instituée par le Pie V en 1573, pour remercier Marie de cette victoire.
En 1883, le pape Léon XIII décrétait solennellement que le mois
d'octobre de cette année-là serait entièrement consacré à «la Saint
Reine du Rosaire». Depuis, le mois d'octobre, durant lequel comme au
mois de mai, on prie particulièrement la Vierge, est appelé le mois du
Rosaire. »
Et ce mois du Rosaire est bafoué depuis nombres d’années post-Vatican
II avec des rencontres et synodes douteux pour détruire l’Église,
spécialement ce dernier, le synode des synodes d’octobre 2024.
Léon XIII, « Lumière dans le Ciel » ne pouvait pas faire mieux que
d’avertir l’Église avec « Humanum genus », publié le 13 octobre 1884.
Car, pour la fin du synode de cette année, il semble qu'il y aura une comète dans le ciel qui sera au plus près de la Terre le 12 octobre 2024.
Un signe pour le 13 octobre?
La prière de Léon XIII à Saint-Michel Archange, instaurée après sa
vision de l'enfer, lorsque les démons ont été relâchés en 1884.
Elle faisait partie de la Sainte Messe de 1886 jusqu'à Vatican II.
C'est Paul VI, et oui, qui la retira avant le dernier droit contre
l'Église (voir analyse Paul VI dans les prophéties de l'Église)
Saint Michel Archange,
défendez-nous dans le combat
et soyez notre protecteur contre la méchanceté et les embûches du démon.
Que Dieu lui commande, nous vous en supplions;
et vous, Prince de la Milice Céleste,
par le pouvoir divin qui vous a été confié,
précipitez au fond des enfers Satan
et les autres esprits mauvais qui
parcourent le monde pour la perte des âmes.
AMEN.
Août 2024
26 août
Le rouge et le vert habituels des aurores se sont mélangés
le 11 août dernier, signe du Ciel à la clôture des JO de Paris et de sa
prestation diabolique.
En conséquence, des aurores avec du jaune et du orange, comme pour
signifier le Feu purificateur à venir, un événement rare, très rare.
Ici, un exemple spectaculaire du phénomène au-dessus des plaines canadiennes.
Les experts confirment que nous ne sommes que dans le début de la phase maximum solaire du cycle 25.
Le nombre de taches avec un potentiel de tempêtes dépassent le maximum atteint en 2001.
De plus, puisque la purification en sera une par le feu, il ne faut pas négliger l'activité volcanique.
La moyenne des volcans en activité mineure et plus, se situait autour de 45 depuis plusieurs années.
Or, le nombre de volcans en activité a augmenté considérablement avec
l'approche du maximum solaire: il y en a 67 en activité ce matin dans
le monde.
Déjà 2 de plus que vendredi dernier.
En ces temps si critiques, Mgr Strickland lance un cri de ralliement:
« ( LifeSiteNews ) — Ce qui suit est le texte intégral d'une nouvelle
lettre de Mgr Joseph Strickland, évêque émérite de Tyler, Texas,
mettant en garde les fidèles contre le « mal qui s'empare de notre
monde et de l'Église » et les exhortant à « se préparer spirituellement
». quoi qu’il arrive », notamment par une fervente dévotion à
Notre-Dame et à l’Eucharistie.
Mes chers frères et sœurs en Christ,
Je me sens une fois de plus obligé de vous écrire et de vous encourager
à rechercher une vie plus profondément enracinée dans le Sacré-Cœur de
Jésus-Christ.
Au moment où ceci sera publié, cela fera un an depuis que ma première
lettre a été écrite, publiée le 22 août 2023, Reine de Marie. Je crois
sincèrement que cette lettre a été guidée par la Providence divine, et
le point central de cette lettre, un an plus tard, est d'exhorter,
voire de supplier, que nous commencions tous à voir la main de Dieu
dans tout ce qui se déroule dans l'Église et dans le monde.
La lettre d'il y a un an concernait le Synode sur la synodalité en
cours, qui approchait en octobre 2023. Elle a été suivie de sept
lettres amplifiant les préoccupations que j'avais soulevées dans cette
lettre originale. Comme beaucoup d’entre vous le savent, j’ai continué
à écrire ces lettres sous l’impulsion du Saint-Esprit. Laissez-moi être
clair : je ne prétends pas avoir reçu une révélation particulière. J’ai
simplement été poussé par une foi profonde et mon amour pour
Jésus-Christ à ouvrir les yeux sur ce qui se passe autour de nous.
Cet appel à « ouvrir les yeux » est au cœur de la lettre que vous êtes
en train de lire. J'ai fait de mon mieux pour exhorter tous ceux qui
ont lu ces lettres à prendre conscience de la corruption et des
puissantes forces du mal qui nous poussent lentement mais sûrement vers
une calamité dévastatrice. Je n’ai aucun désir d’être un « prophète de
malheur », mais je crois que je dois m’exprimer et pointer du doigt le
mal qui s’empare de notre monde et de l’Église. À ce stade, je dois
dire : nous DEVONS ouvrir les yeux avant qu’il ne soit trop tard !
Notre système politique national, le Vatican et de trop nombreuses
organisations influentes à travers le monde sont engagés dans un
programme qui n’est rien de moins qu’une trahison de Jésus-Christ et de
son Église au XXIe siècle. Tout comme la trahison de Judas Iscariote il
y a près de deux mille ans, cette trahison actuelle émane même de ceux
qui se trouvent au cœur même de l’Église et de l’État. Nous devons
ouvrir les yeux sur ces attaques contre le corps mystique du Christ
afin de demeurer dans le Christ qui est la Vérité incarnée et
d’embrasser le salut qu’il nous a gagné sur la croix. Nous devons
également nous efforcer de conduire autant d’autres âmes que possible à
la plénitude de la vérité trouvée uniquement en Notre Seigneur
Jésus-Christ et sauvegardée par Son Épouse, l’Église catholique. Les
tentatives visant à expliquer cette trahison moderne du Christ ont
perdu tout semblant de crédibilité. Nous devons reconnaître qu’une
seule main maléfique est à l’origine de toutes ces forces disparates –
et qu’elle n’est rien de moins que la main de Satan, le prince des
ténèbres.
Au moment où j'écris ces lignes, peu après le 15 août, solennité de
l'Assomption de la Bienheureuse Vierge Marie, nous lisons des rapports
faisant état du décès de sœur Agnès Sasagawa, la visionnaire des
messages approuvés par l'Église de la Bienheureuse Vierge Marie à
Akita, au Japon en 1973. J'insiste sur le fait que je ne revendique
aucune connaissance particulière de ses messages, mais je ne crois pas
qu'une révélation particulière soit nécessaire pour comprendre le
contenu de ces messages. Si nous regardons simplement les messages
d’Akita avec les yeux de la foi, nous devons conclure que ce que nous
voyons dans le monde aujourd’hui correspond à ce qui a été prédit dans
ces messages.
Les messages d’Akita nous donnent un terrible avertissement sur ce que
nous voyons se dérouler sous nos yeux. Non seulement nous voyons
cardinal contre cardinal et évêque contre évêque, mais nous voyons
évêques contre prêtres et pape contre cardinaux. Nous voyons des
blasphèmes contre Notre Seigneur et Notre Sainte Mère et des attaques
contre la doctrine émanant des bureaux du Vatican, le pape François
restant silencieux ou, par inaction, donnant une approbation tacite.
Les messages d'Akita nous rappellent également les messages de
Notre-Dame à Fatima en 1917. Dans ces messages, Notre-Dame avertissait
que les erreurs de la Russie, qui incluaient la franc-maçonnerie à
partir de laquelle le communisme est né, se répandraient dans le monde
entier à moins et jusqu'à ce que la Russie soit consacrée de la manière
qu'elle a décrite – lors d'une cérémonie publique du Pape, en union
avec tous les évêques du monde, à Son Cœur Immaculé. Cela n'a jamais
été fait en totale conformité avec les instructions de Notre-Dame. De
plus, Notre-Dame a spécifiquement demandé que le Troisième Secret de
Fatima soit révélé en 1960, mais il a été supprimé, et il y a de
nombreuses raisons de douter que l'intégralité du Troisième Secret ait
jamais été révélée.
Le futur pape Pie XII, 31 ans avant le début du Concile Vatican II,
prononçait ces paroles : « Je suis inquiet des messages de la Sainte
Vierge à la petite Lucie de Fatima. Cette insistance de Marie sur les
dangers qui menacent l'Église est un avertissement divin contre le
suicide d'altérer la foi, dans sa liturgie, sa théologie et son âme…
J'entends tout autour de moi des innovateurs qui souhaitent démanteler
la Sainte Chapelle, détruire l'universel. flamme de l’Église, rejeter
ses ornements et lui faire éprouver des remords pour son passé
historique… Un jour viendra où le monde civilisé reniera son Dieu, où
l’Église doutera comme Pierre a douté. Elle sera tentée de croire que
l’homme est devenu Dieu. Dans nos églises, les chrétiens chercheront en
vain la lampe rouge où Dieu les attend. Comme Marie-Madeleine, pleurant
devant le tombeau vide, ils demanderont : « Où l'ont-ils emmené ? »
En effet, il s’agissait de paroles prophétiques puisque, depuis Vatican
II, nous assistons à une tentative de « mettre à jour la foi » en
éloignant l’Église du dépôt de la foi, qui ne peut être ni changé ni
amendé. Il est facile de comprendre pourquoi la révélation du Troisième
Secret de Fatima devait avoir lieu en 1960, et pourquoi elle a été
supprimée par ceux qui avaient l’intention de changer ce qui ne pouvait
l’être. Le cardinal Ratzinger, avant de devenir pape Benoît XVI, a
déclaré que le Troisième Secret faisait référence aux « dangers qui
menacent la foi », et il a fait un parallèle entre le message de Fatima
et celui d'Akita. Le cardinal Mario Luigi Ciappi, qui avait lu le
Troisième Secret, a déclaré que la Vierge avait dit que l'apostasie
commencerait par le haut. Padre Pio a parlé d'une « fausse église » et
d'une « grande apostasie » survenue après 1960 en ce qui concerne le
Troisième Secret. Cependant, lorsque le prétendu Troisième Secret a été
publié en 2000, il ne disait rien de ces choses.
En 2019, le pape François, lorsqu’on lui a demandé pourquoi Dieu «
permet » tant de religions dans le monde, a répondu : « … il existe de
nombreuses religions. Certains sont nés de la culture, mais ils
regardent toujours vers le ciel ; ils se tournent vers Dieu. Il a dit
que « ce que Dieu veut, c'est la fraternité entre nous », et il a
ajouté que « nous ne devons pas avoir peur de la différence. Dieu a
permis cela. Cependant, s’il n’y avait vraiment aucune différence entre
les religions du monde, et si ce que Dieu voulait était simplement « la
fraternité entre nous », alors on pourrait conclure que l’Église
catholique n’est plus la seule vraie religion, et qu’elle n’est en
effet pas la seule véritable religion. l'arche de notre salut.
Cependant, nous savons que ce n’est pas la vérité. Il faut donc
s'inquiéter des paroles rapportées de la Vierge concernant une
apostasie qui commencerait par le haut.
En conclusion, je dois crier qu'ignorer les demandes et les
remontrances de Notre Sainte Mère à Fatima et Akita a mis l'Église et
le monde dans une condition extrêmement périlleuse. Je n'écris pas ces
mots forts sur Fatima et Akita pour ébranler votre foi, mais plutôt
avec le fervent espoir que vous prendrez conscience de la nécessité
pour nous de nous repentir, de confesser nos péchés et de nous
accrocher farouchement aux deux piliers de la foi que saint Paul a
fondés. Jean Bosco a vu de manière si claire et prophétique dans un
rêve en 1862 – les piliers de notre Seigneur eucharistique et de sa
Mère – la Bienheureuse Vierge Marie. Je prie pour que notre réponse à
toutes les perturbations et au mal d’aujourd’hui soit de trouver une
foi et une espérance plus profondes en Notre Seigneur. Nous ne devons
jamais quitter l'Épouse du Christ, mais nous ne pouvons pas non plus
rester silencieux tandis que d'autres tentent de la changer ou d'en
faire une caricature du vase de salut qu'elle est censée être.
Aucun d’entre nous n’a le pouvoir d’éviter une catastrophe, mais nous
pouvons et devons être spirituellement préparés à toute éventualité. Il
est impératif que nous veillions à rester toujours en état de grâce et
que nous acceptions tous les actes de réparation possibles avant qu’il
ne soit trop tard.
Inspirons-nous de Josué 24 :15 : « Quant à moi et à ma maison, nous servirons l’Éternel. »
Que Dieu Tout-Puissant vous bénisse et que notre Reine et Mère la
Bienheureuse Vierge Marie intercède pour vous et vous conduise toujours
vers son Fils.
Mgr Joseph E. Strickland
Évêque émérite, diocèse de Tyler »
14 août
LIBERTÉ, FRATERNITÉ, ÉGALITÉ : LA PSEUDO VICTOIRE DE L’HUMANISME
La boucle est bouclée.
12 ans après la cérémonie de clôture maçonnique des JO de Londres (voir
analyses précédentes : symbolique du phœnix et du virus du Covid : Pierre Hillard),
cette ouverture symbolique de la « grande réinitialisation » dont nous
entendons parlé depuis plusieurs années, devrait atteindre son apogée
tel qu’annoncé par la cérémonie de clôture des JO de Paris.
Le 12, chiffre significatif de la bible, est singé par la franc-maçonnerie, encore une fois.
Rappelons-nous le film catastrophique 2012 suite à la supposée fin du monde du 21 décembre 2012 reliée au calendrier maya.
« 21 décembre : fin du monde
QUI a eu les moyens, la constance et le culot de donner un écho mondial
à ce qui fut considéré comme un des plus gros canulars du siècle ? Je
veux parler de la fin du monde au 21 décembre 2012.
A partir d’un calendrier maya reconstitué pour l’occasion et
complètement bidon -de toute façon invérifiable-, pendant plus de dix
ans (!) l’information a tourné en boucle dans le monde entier,
suscitant articles de presse, ouvrages en tous genres, émissions de
télévision, mouvements survivalistes, et même un film à gros budget.
Franchement, seule cette oligarchie mondiale a les moyens et la
possibilité de donner une telle publicité à ce qui apparaîtra comme un
non-événement. Vraiment ? Quand on sait qu’un jeune obscur banquier,
issu de chez Rothschild (tiens tiens) est bombardé la même année
secrétaire général adjoint de l’Elysée et qu’il propulsé comme par
miracle à la Présidence du pays cinq ans plus tard, et qu’il est né un
21 décembre, n’importe quel observateur avisé fera le lien entre d’une
part cette ascension surprise et la date du 21/12, et d’autre part avec
la fameuse oligarchie capable de financer autant le personnage que le
joli mythe de la fin du monde. Mais on ne fait pas quelque chose pour
rien : les investissements colossaux autour du 21 décembre (le concept
comme le personnage) et les risques pris interdisent toute
improvisation ni hasard.
C’est très curieux, tout le monde s’en fiche, mais pas les initiés, car ils savent eux, que tout ceci est volontaire.
Après avoir beaucoup travaillé sur le sujet, ce n’est qu’en 2015 que
j’ai fini par comprendre le sens réel lié au 21 décembre : cela voulait
dire « fin du monde chrétien » ; et donc le rôle joué par Macron, et
l’ère inaugurée par le 21 déc 2012, avaient pour but de concrétiser cet
objectif, d’où la nomination trois mois après au Vatican de l’homme
chargé de réaliser cette destruction ultime de l’Eglise.
J’en ai eu la confirmation en 2023 dans le livre de mémoires de Mgr
Georg Gänswein, le secrétaire particulier de Benoît XVI. Rien que le
titre du livre annonce la couleur : « Rien d’autre que la vérité« , ce
qui veut dire qu’en réalité il va passer son temps à cacher ou déguiser
cette vérité. Et ça ne loupe pas, à aucun moment il n’explique ou
n’insinue que la démission de Benoît XVI lui aurait été arrachée. Par
contre, il nous livre une information incroyable en faisant semblant de
la considérer presque comme banale. Voilà ce qu’il écrit page 208 de
son livre : « L’idée originale de Benoît XVI était d’annoncer sa
démission à la fin de l’audience à la Curie romaine à l’occasion des
vœux de Noël, fixée cette année-là au 21 décembre, et de déclarer que
le 25 janvier 2013 se conclurait son pontificat. »
Il explique ensuite que ses collaborateurs l’ont dissuadé de ce projet
à cause de la proximité de Noël. Mais évidemment !! Ce 21 décembre,
présenté comme un jour banal par Gänswein, c’était le fameux 21
décembre 2012 !! Vous imaginez ce qui se serait passé si le pape avait
annoncé sa démission ce jour-là ? Tout le monde aurait compris le
message subliminal qui se cachait derrière cette fameuse fin du monde :
la fin de l’Eglise ! Ce qui prouve que Benoît XVI avait bien compris
les projets de nos ennemis, et en choisissant le 21 décembre, il leur
coupait l’herbe sous le pied, il révélait le complot, Bergoglio aurait
été démasqué avant même d’être nommé.
Notons également que le démon, qui pilote tous ces hommes et ces
événements, sait que ces mots cachent une terrible réalité : s’il y a
fin de l’Eglise, et surtout fin de son pouvoir spirituel, alors c’est
aussi la fin du monde car le règne du Christ ne peut avoir de fin. Oui
c’est vrai : détruire l’Eglise c’est provoquer la fin du monde. Voilà
pourquoi, je l’ai déjà expliqué, les derniers souverains personnifient
les deux Bêtes de l’Apocalypse (qui sont aussi des systèmes) : Emmanuel
Macron personnifie la Bête de la terre, le pouvoir politique et
médiatique, et Bergoglio personnifie la Bête de la mer, le pouvoir
spirituel, l’ensemble formant l’Antéchrist (système), la
personnification de l’Antéchrist-personne revenant à la Bête de la mer,
donc Bergoglio.
Ceci je l’explique depuis dix ans, mais je commence enfin à voir des
auteurs traitant sérieusement Macron ou Bergoglio, ou les deux,
d’Antéchrist. Ils auront mis le temps ! » (Louis D'Alencourt, grandreveil.wordpress.com)
Ces jeux olympiques donc, ont été marqués par de multiples références à
la révolution française de 1789 qui a contribué à la naissance du monde
actuel, apostasié, humaniste, où tous sont égaux dans la miséricorde
infinie chère à Bergoglio, et à la gloire du monarque en vue, Macron.
Comme exemple, le parcours du marathon était exactement le chemin
choisi par les femmes et hommes marchant vers Versailles en 1789.
L’homme masqué de la cérémonie d'ouverture, donc sans visage,
égalitaire, avait fait place au cheval pâle mécanique de l’Apocalypse
et à la tragédie de la dernière Cène.
Les nouvelles générations gavées aux jeux vidéos et les « wokes » n’y ont vu que du feu.
Tout comme à la cérémonie de clôture dont le symbole le plus éloquent fut le « golden voyager» ou le voyageur doré en français.
(voir aussi: « Clôture des JO: ce que les journalistes n'ont pas vu » (benoit-et-moi.fr)
Les faits marquants de cette cérémonie :
Alors que les continents stylisés sur le parterre du stade sont
parcourus d’éclairs et de fumée symbolisant la terre en convulsion,
prête à renaître, (quoique pour nous on y voit l’enfer), surgit du ciel
le voyageur doré au travers de jets lumineux qui forment en partant un
pentagramme de Baphomet.
Une fois au sol, il commence une danse macabre, rencontrant Nike, la
déesse de la victoire, avant d’être rejoint par d’innombrables démons
ou formes humaines boueuses, qui vont excaver l’anneau olympique
manquant (il n’y a que quatre anneaux au toit du stade à ce moment là;
il manque une pièce du casse-tête; les anneaux représentant le nouveau
monde issue de la grande réinitialisation, le monde de « paix »
humaniste) pour ensuite le hisser au toit du stade.
Alors le voyageur doré monte au sommet d’une pyramide constituée des démons et célèbre son triomphe au son d’une musique rock.
Cela rappelle drôlement la pyramide avec l'oeil qui voit tout à son sommet, la 33ème marche de l'initiation maçonnique.
Le voyageur doré « atterrit dans un monde désert et mystérieux, prêt à
être exploré » confirme le Comité International Olympique (CIO).
Selon certaines sources, le personnage est un hommage à de nombreuses
références du patrimoine historique français, dont l'Esprit de la
Bastille, faisant encore une fois référence à la révolution de 1789.
Supposément, l'idée derrière la pièce dystopique est que les Jeux disparaissent avant de renaître.
Selon le concepteur artistique, le voyageur doré atterri sur une terre
post-apocalyptique et cherche à reconstituer les vestiges de ce monde
qui n'existe plus afin de comprendre qui habitait ce monde.
Quel est le nom du groupe rock français qui a performé à la cérémonie suite à l'élévation finale du voyageur doré?
Phoenix.
Voilà.
Le lien est clairement établi pour l'initié.
Dans un monde inondé de symboles maçonniques, le voyageur doré est
inévitablement une référence au phœnix (voir les multiples références
dans les analyses précédentes), renaissant des cendres des continents
en convulsions.
Un nouveau monde à l’image des élites mondiales, de Satan.
Outre le lien de Pierre Hillard ci-dessus, rappelons le phœnix du Fonds Monétaire International pour refaire le monde post-covid :
Doré, comme le voyageur doré.
Puisque Satan singe et que nous savons que l’Antichrist est d’abord et
avant tout le système mondial actuel sans Dieu, ce dernier indique la
résurrection d’un nouveau système des cendres de l’ancien (le monde
christocentrique européen).
Devant des milliards de téléspectateurs.
Voilà.
Mais Dieu a un tout autre plan.
Nous avons eu des aurores encore un fois en ces 11 et 12 août.
Nous avons eu les signes depuis la démission de Benoît XVI (dont la a
basilique du Sacré-Cœur de Paris, qui est restée visible comme une
cathédrale faite de lumière alors que tout la ville était noyé dans
l’obscurité après la cérémonie d’ouverture de JO), comme l’éclair sur
le dôme de la basilique Saint-Pierre.
Le dôme qui soudainement dernièrement, est devenu noir.
« Aucun d’entre nous n’oubliera jamais la photographie qui, le 12
février 2013, immédiatement après l’annonce de la démission du pape
Benoît XVI, a capturé le moment où la foudre a frappé le sommet de la
coupole de Saint-Pierre.
Cette image, devenue un symbole iconique de l’un des événements les
plus dramatiques de l’histoire bimillénaire de l’Église, a fait et fait
encore l’objet, de la part de nombreux croyants, de commentaires, de
réflexions, de craintes et de considérations sur la signification
réelle ou présumée de cet événement.
En revanche, du côté des athées-agnostiques, la question a alimenté les
sarcasmes de ceux qui y voient le caractère superstitieux, rétrograde
et fanatique de nombreux aspects de la foi et de la religion.
Il n’y a pas et il n’y aura jamais de moyen de réconcilier ces
positions ; en fait, je dirais que ce serait un exercice stupide et
futile que d’essayer de le faire.
Chacun peut voir dans ce tableau ce que son cœur (entendu comme un
ensemble plus ou moins cohérent de foi, de scepticisme, de conscience
et de convictions) lui suggère. Je pars de là pour donner un sens à ma
contribution, pour proposer mon point de vue personnel sur la façon
dont parfois des événements et des faits – qu’ils soient apparemment
naturels et explicables ou le résultat d’actions humaines conscientes –
peuvent représenter ensemble une image qu’un croyant devrait néanmoins
ressentir le besoin d’analyser et sur laquelle il devrait réfléchir en
profondeur.
Dans ce contexte, c’est précisément la coupole de Michel-Ange, avec la
façade de Maderno [Carlo Maderno, 1556-1629, architecte italien; il a
réalisé la façade de la Basilique] qui en dissimule partiellement la
vue, qui représente une sorte de « théâtre » métaphysique. Un
proscenium d’où, ces dernières années, ont pris forme, aux yeux des
croyants qui veulent voir au-delà du simple sens concret, des messages
inquiétants qui ne sont que trop cohérents avec les phénomènes
climatiques que l’Église catholique temporelle est en train de
traverser.
J’ai déjà parlé de l’éclair qui a suivi l’annonce de Ratzinger, et qui
a précédé d’un mois l’élection de Jorge Mario Bergoglio au trône
pontifical. Je voudrais maintenant m’arrêter sur deux autres événements
qui, d’une manière différente, semblent confirmer à quel point cette
basilique, la plus grande et la plus importante du monde catholique,
est devenue une sorte de « centre de communication » dont la governance
– et c’est un autre aspect inquiétant de la question – ne peut pas, à
mon avis, être clairement identifiée. Mais procédons dans l’ordre.
L’événement dont je vais parler maintenant n’a rien de surnaturel ; il
a malheureusement été accouché par un esprit humain, un pontife qui,
deux ans et demi plus tôt, avait ravi le monde en se présentant avec ce
« bonsoir frères et sœurs » digne du meilleur Mike Bongiorno [sobriquet
d’un célèbre présentateur de télévision]. C’était le 8 décembre 2015,
fête de l’Immaculée Conception. Je me trouvais ce soir-là sur la place
Saint-Pierre. Je ne pouvais pas encore savoir qu’à partir de ce jour,
je ne mettrais plus jamais les pieds sous la colonnade du Bernin.
Le Saint-Siège avait organisé une sorte de spectacle tout en lumières
[cf. benoit-et-moi.fr/2015-II/actualite/fiat-lux], en couleurs et en
images gigantesques et fantasmagoriques projetées sur la façade de la
basilique. On aurait pu s’attendre à une sorte d’allégorie en l’honneur
de Marie Immaculée, sur fond des plus importantes musiques composées en
son honneur au cours des siècles.
A la place, il s’est passé quelque chose de monstrueux : des images de
forêts, d’animaux (certains vraiment horribles), de paysages plus ou
moins sauvages. Un sabbat entièrement dédié à la nature et à la faune
de notre planète. C’était le nouveau fétiche écologiste auquel le
néo-paganisme bergoglien avait consacré sa dernière œuvre littéraire,
ce Laudato sì’ anticipant toutes les obscénités catholico-climatiques
qu’il allait nous déverser dans les années à venir. Marie, Mère de
l’Eglise et notre Avocate, s’est transformée en Mère Terre !
Cette kermesse, qui coïncidait sans vergogne avec la fête de
l’Immaculée Conception, était aussi le salut de l’Église catholique à
la Conférence mondiale sur le climat qui se tenait ces jours-là dans le
« Parigi o cara » de mémoire de Verdi.
Il n’est pas inutile de rappeler qui étaient les concepteurs et les
exécutants matériels de ce spectacle indigne (je ne sais pas s’ils ont
été payés par le Saint-Siège et combien) : un partenariat entre Vulcan
Inc., la LiKa Shing Foundation et Okeanos, en collaboration avec la
Ocean Preservation Society et Obscura Digital. . Pour ceux qui ont le
temps, il sera très instructif d’en savoir plus sur ces entreprises,
organisations et personnalités dont les noms sonnent déjà comme un
programme [un début de réponse ici, peut-être:
benoit-et-moi.fr/2015-II/actualite/son-et-lumiere-sur-la-façade-de-saint-pierre].
Quelque trois ans après le message subliminal de l’éclair frappant le
crucifix de la coupole, revoici la basilique, cette fois par la main de
l’homme (mais guidé par qui ?), protagoniste d’un sombre spectacle de
mort.
De nombreux croyants de l’époque ont exprimé bruyamment leur étonnement
et leur protestation face à cette incroyable imposture. Aucun d’entre
eux ne pouvait cependant se douter que ce qui était proposé n’était
qu’une petite mise en bouche de ce qui allait arriver quelques années
plus tard. En effet, en octobre 2019, le funeste synode d’Amazonie a
officialisé l’entrée du paganisme dans l’Église catholique. L’image de
la pachamama en procession d’adoration dans l’église Traspontina à Rome
a été le symbole iconique de ces jours terribles [dossier ici:
www.benoit-et-moi.fr/2020/tag/pachamama].
Et voici le troisième événement, celui qui depuis quelque temps suscite
la curiosité (pour certains, l’angoisse) de nombreux Romains et de la
multitude de touristes qui affluent chaque jour à Saint-Pierre. Cet
événement est à nouveau attribuable, comme la foudre, à un phénomène
physico-chimique pour lequel, cependant, personne n’a jusqu’à présent
réussi à donner une explication plausible, semble-t-il : la coupole de
Saint-Pierre est devenue noire !
Voici comment le corrierediroma.org décrit la situation :
À la fin des travaux [de restauration, Ndlr], le Dôme est apparu
nettoyé, blanc (même si certaines parties avaient déjà noirci à cause
de la pollution), mais il y a un phénomène qui a frappé (et qui frappe)
les yeux des Romains et des autres : les dalles de plomb. La structure
a pris une couleur tout à fait inhabituelle dans sa partie courbe. Les
dalles sont devenues sombres, comme si elles s’étaient soudainement
oxydées. Cette couleur gris clair, typique des coupoles de la
Renaissance et du Baroque, qui accompagne le panorama de Rome depuis
des siècles, a soudainement disparu de LA coupole par excellence,
prenant une couleur, pour l’œil humain, presque noire. Que s’est-il
passé ? Il serait intéressant de connaître, par le biais d’un
communiqué des services techniques du Vatican, la raison d’un tel «
phénomène » qui a radicalement changé la vision traditionnelle de « der
Cuppolone« .
Un signe des temps qui changent ? Qui sait si quelqu’un peut répondre à
cette question. Il semble que ce soit un processus d’oxydation qui ait
affecté la structure, bien que personne, à l’heure actuelle, n’ait été
en mesure d’expliquer la cause d’un tel phénomène et la raison pour
laquelle il s’est manifesté de la manière et au moment que nous
observons.
La dernière question posée par le journaliste est toutefois
intéressante. On pourrait en ajouter d’autres : quels sont les temps
qui changent ? Dans quelle direction ? Et pourquoi maintenant ? Une
chose est sûre : aucun bureau technique, aucun ingénieur expert en
structures anciennes ne pourra jamais répondre à ces questions. Pour
moi, c’est un message supplémentaire (et inquiétant) que la grande scène
Michelangelesco-Bernin nous offre depuis une douzaine d’années.
Suis-je, moi aussi, un membre de cette armée dispersée, superstitieuse,
fanatique et rétrograde qui se plaint de présences maléfiques et de
messages lugubres venant de la Jérusalem souterraine à la Via della
Conciliazione ?
Qui sait ?
Peut-être, face à tout cela, le Poète n’hésiterait-il pas à proclamer :
Papa Satàn, Papa Satàn aleppe ! [Premier vers du Chant VII de l’Enfer
de Dante]. (benoit-et-moi.fr)
Il ne restera que l'autel prophétisait Anne Catherine Emmerich.
Voilà le message du dôme noir qui confirme le tout.
Il ne restera que la présence réelle malgré la volonté de Bergoglio et son synode.
Cela, nul ne peut y toucher.
Demain, c'est la fête de l'Assomption de Marie.
Un signe puissant en cette fin des temps.
Une tache solaire gigantesque sur le soleil... Une éjection de masse coronale ce matin qui pourrait donner du fil à retordre.
À suivre...
10 août
Cérémonie de clôture en vue demain 11 août, une tache
solaire gigantesque en position parfaite pour une éjection solaire
majeure (le mois d'août est déjà le mois avec le plus de taches
solaires du cycle 25, et il ne fait que commencer), et le silence du
8ème roi de l'Apocalypse toujours de mise.
Quelles abominations nous réservent-ils à Paris?
Quelles seraient les conséquences d'une tempête solaire majeure à ce stade-ci?
Une seule réponse aux multiples conséquences: la perte électrique et électronique.
Aucun véhicule ne fontionnant, aucune lumière possible, aucune
nourriture distribuée, en fait tous les biens matériels nécessaires.
Noirceur donc et retour à l'âge de pierre, pour un certains temps, peut-être des mois.
Avec des satellites déviés de leurs trajectoires pour aller fondre dans l'atmosphère terrestre.
La guerre de la nature prophétisée par Jean XXIII, qui arrête ainsi la guerre en Ukraine et au Moyen-Orient.
Voilà pourquoi nous surveillons le soleil.
Ce qui correspond aussi à l'ouverture du septième sceau, la chute de Babylone, et la fin de la papauté telle qu'on la connaît.
Ce système antichristique achève car son coeur est pourri.
« C'est ici qu'il faut un esprit doué de sagesse. — Les sept têtes sont
sept montagnes, sur lesquelles la femme est assise. Ce sont aussi sept
rois :
Les cinq premiers sont tombés, l'un subsiste, l'autre n'est pas encore
venu, et quand il sera venu, il doit demeurer peu de temps.
Et la bête qui était et qui n'est plus, en est elle-même un huitième et
elle est des sept, et elle s'en va à la perdition. » (Apocalypse 17,
9-11) »
La clé pour démarrer le compte (guidé par « l’esprit de sagesse » et du
fait qu’on ne peut reconnaître les faits qu’en y étant présent) est
celui qui « subsiste », c’est à dire Benoît XVI. Cinq papes avant lui
donc.
Et la bête qui était et qui n'est plus, en est elle-même un huitième et elle est des sept, et elle s'en va à la perdition.
Et Bergoglio, qui représente la bête marxiste socialiste
judéo-maçonnique, est le septième pape, mais il a décidé d’abandonner
son titre de vicaire du Christ, ET, d’abandonner son titre de pape en
décidant qu’il n’était, dans son idée de collégialité, que l’évêque de
Rome (en référence aux sept collines).
Il est devenu le huitième, la bête cachée derrière le titre de pape, et qui s’en va à la perdition.
Il est donc roi du Vatican, vassal de Satan, qui domine le Saint-Siège.
Il résume à lui seul tout Vatican II en ayant pour mission d'achever l'Église.
« En d’autres termes, on assiste à une symbiose quasi parfaite entre
l’Antéchrist-personne et l’Antéchrist-système. Nous avons vu tout à
l’heure que l’âme et le principal moteur de l’Antéchrist (système)
c’était la judéo-maçonnerie. Si Bergoglio est l’Antéchrist-personne,
nécessairement on doit trouver de fortes convergences. Eh bien ils ne
s’en cachent même pas :
– Bergoglio reprend à son compte le même discours sur le grand
remplacement effectué par la judéo-maçonnerie dans les pays chrétiens,
par la promotion d’une immigration massive en provenance de pays tiers
bien évidemment non-chrétiens. Rappelons que le Vatican fut signataire
du pacte de Marrakech.
– Son encyclique sur le climat reprend elle aussi l’ensemble des thèses
maçonniques, à savoir une dégradation des ressources naturelles et une
évolution du climat du fait de l’activité humaine, et surtout le dogme
maçonnique qui consiste à croire que l’homme peut, par sa propre
action, modifier cette évolution du climat. Nous avons encore là
toujours cette même déification de l’homme, censé aujourd’hui influer
sur le climat comme s’il était Dieu. Pour un catholique défenseur de la
Création de l’univers par Dieu, adopter cette position est une double
preuve de son apostasie d’une part, et du partage sans réserve de la
vision maçonnique d’autre part.
– Même chose avec son encyclique sur la Fraternité humaine ; là
Bergoglio n’a pas cherché à se cacher puisqu’il a repris des thèmes
chers à la franc-maçonnerie, jusqu’au titre même de l’encyclique, ainsi
que la même idéologie. On ne pouvait pas être plus aligné. Ce qui
compte c’est la dignité humaine et non la royauté sociale du Christ ;
Bergoglio réussit l’incroyable prodige d’écrire la théologie de la
religion maçonnique, et personne ne s’en aperçoit.
– Même alignement sur la maçonnerie dans la promotion de la religion
universelle dont tout le monde parle au futur sans se rendre compte
qu’elle existe déjà : la religion universelle c’est celle des droit de
l’homme, et celle-ci est reconnue quand toutes les religions lui font
allégeance. Or c’est bien le cas, tous les papes du concile se sont
déplacés à l’ONU pour y déclarer leur soumission.
– Autre signe visible de l’apostasie enclenchée à Vatican II : ses
rapprochements, bien plus précis que ceux de ses prédécesseurs, avec
les protestants (luthériens notamment), les musulmans et les juifs, qui
sont une négation de la doctrine catholique vis à vis des hérétiques,
et, encore plus grave, une négation de la divinité du Christ, non plus
implicite mais explicite. Manifestement Bergoglio ne sait pas qu’il n’y
a qu’un seul Dieu, un seul baptême, une seule foi (Ephésiens 4:5), et
un seul Sauveur, le Christ, en dehors duquel personne ne peut être
sauvé.
– Durant la crise du Covid, Bergoglio s’est parfaitement aligné avec
les recommandations des organisation internationales maçonniques,
oubliant là encore la position traditionnelle de l’Eglise selon
laquelle les épidémies sont des punitions de nos péchés, pour emboiter
le pas au discours sanitaire manipulateur et mensonger des pouvoirs
publics actuels. Là encore il a parfaitement montré dans quel camp il
se trouvait et qui étaient ses amis et inspirateurs.
– Etc, etc… jusqu’à l’Ukraine où il s’aligne lui aussi sur la version occidento-américaine des faits...
Alors quel est le rôle de l’Antéchrist-personne, le 8è roi, de Bergoglio-François ?
De mettre à mort la prostituée, comme c’est écrit, c’est à dire de
détruire ce qui reste de l’Église, celle qu’ils ont déformée et qui a
apostasié, parce que l’autre, la vraie qui perdure dans la Tradition,
est intouchable.
Parallèlement, ses amis maçons détruisent de leur côté tout ce qui
reste de valable dans la société civile, parce que la destination de
tous doit être la perdition, l’enfer pour tous. Le pire c’est que
l’Eglise elle aussi nous y entraîne.
Et puis il reste à Bergoglio une dernière action capitale à faire :
quand on constate le niveau réel et effrayant de l’apostasie dans
l’Eglise conciliaire, on se rend compte qu’il n’y a plus qu’un seul
endroit où elle considère encore le Christ comme Dieu, c’est la messe,
y compris celle de Paul VI. Inacceptable pour ces gens-là.
On sait ce qu’il leur reste à faire. » (Louis D'Alencourt, legrandreveil.wordpress.com)
04 août
Le Saint Siège a finalement émis un communiqué à propos de la cérémonie d'ouverture des JO de Paris.
« Le Saint-Siège a été attristé par certaines scènes de la cérémonie
d’ouverture des Jeux Olympiques de Paris et ne peut que se joindre aux
voix qui se sont élevées ces derniers jours pour déplorer l’offense
faite à de nombreux chrétiens et croyants d’autres religions.
Dans un événement prestigieux où le monde entier se réunit autour de
valeurs communes ne devraient pas se trouver des allusions ridiculisant
les convictions religieuses de nombreuses personnes.
La liberté d’expression, qui, évidemment, n’est pas remise en cause, trouve sa limite dans le respect des autres. » (vatican.va)
Trop peu trop tard.
C'est un communiqué générique prouvant la mollesse du Vatican
contrairement aux cardinaux qui ont condamné fortement le spectacle
satanique par les mots appropriés dans une telle circonstance.
Concernant la situation au Moyen-Orient, les États-Unis ont envoyé un
escadron d'avions de chasse supplémentaire en Israël, tout en
augmentant le nombre de navires présents dans le Golf Persique et en
Méditérannée à douze, dont un porte avions.
Les israéliens et les américains s'attendent à une attaque de l'Iran aussi tôt que lundi le 5 août.
Mais qu'est-ce que l'Iran a à gagner en supportant les groupes terroristes du Hamas et du Hezbollah?
La réponse se trouve dans la religion chiite: leur messie se révélerait
lors d'une guerre mondiale les impliquant avec Israël. Ils ont donc
intérêt à provoquer la guerre. Au dépend de leur population.
« nous sommes à la charnière entre la 6è et la 7è et dernière période de l’Apocalypse. Allons à l’essentiel :
La 6è période c’est celle de l’Antéchrist, qui règne déjà depuis bien
longtemps (plusieurs décennies en tant que système, onze ans en tant
que personne).
La 7è période c’est la chute de l’Antéchrist et de son monde (chute de
Babylone, c’est-à-dire du monde moderne), le nettoyage de la planète de
tous ses éléments hostiles à Dieu (ce que les profanes appellent la fin
du monde, en la confondant avec la fin de la planète terre, ce qui
n’est pas le cas), la victoire du Christ et son retour (Parousie) et
son règne sans fin.
La 7ème période est morcelée en 4 sous-ensembles : 7è église, 7è sceau,
7è trompette, 7è coupe, mais il y a une subtilité : les 7 dernières
coupes ont lieu une fois la 7è période enclenchée.
Les derniers événements de la 6è période se chevauchent avec les premiers de la 7è (les 6 premières coupes).
Et enfin il est vraisemblable de penser que l’ensemble de ces
événements (les derniers de la 6è trompette et les 6 coupes)
constituent une préparation de la grande confrontation finale de la 7è
période.
Donc, enclencher une guerre de grande envergure en Palestine revient à
nous confirmer que se mettent en place les derniers éléments de la 6è
période, et que la grande bataille finale de la 7è est pour bientôt. »
(Louis d'Alencourt, legrandreveil.wordpress.com)
« ... ce sont des esprits de démons qui font des prodiges, et ils vont
vers les rois de toute la terre, afin de les rassembler pour le combat
du grand jour du Dieu tout-puissant. » (Apocalypse, 16-14)
C'est exactement ce qui est en train de se produire.
03 août
C’est quand même stupéfiant que tous les médias font écho
à propos des attaques à la frontière d’Israël, une poudrière pouvant
mener à une guerre mondiale, sans faire référence ou même penser que
cet endroit est exactement en lien avec : « Et ils les
rassemblèrent dans le lieu appelé en hébreu Armaguédon.
Puis le septième répandit sa coupe dans l'air ; et il sortit du
sanctuaire une grande voix venant du trône, qui disait : " C'en est
fait ! " » (Apocalypse, 16-17)
Armaguédon ou Meddigo.
Remarquez selon l'Apocalypse que c'est à ce moment que ce situe la fin
de la sixième période et le début du septième sceau avec sa coupe.
L’Iran jure de venger la mort du chef du Hamas sur son territoire, et
selon les sources d’intelligence, ce serait le 12 août, journée de fête
nationale en Israël, Tisha B’Av, qui commémore la perte du premier et
du deuxième temples.
C’est très symbolique.
Rappelons nous la destruction du temple en 70, destruction annoncée par le Christ.
Destruction reliée à la future chute de Babylone?
Ou du « Grand Éclair à l’Orient » de la prophétie politique de Jean XXIII?
Car, un chef est mort en Orient. Il ne reste qu’un chef à tomber au sud des États-Unis.
La guerre contre l’Église et la célébration de cette victoire du 26
juillet, aura-t-elle ses échos à la cérémonie de clôture du 11 août,
juste avant Tisha B’Av?
« Le show de Paris : un acte de guerre contre la civilisation chrétienne
« Quelle qu’en soit l’inspiration, l’initiative ne remonte pas à un
directeur artistique déjanté, mais exprime un message commandé par les
plus hautes autorités françaises, à commencer par le chef de l’État. »
…
« Macron lui-même, dont la récente débâcle électorale n’a pas égratigné
l’arrogance, a voulu proposer au monde un nouveau message d’ «
inclusivité » antichrétienne. »
Dionysos est le dieu « hybride » des orgies païennes, de la sensualité
débridée et de l’aveuglement de la raison, et l’intention déclarée des
organisateurs était de remplacer le mystère sublime du christianisme
par la bacchanale dionysiaque.
…
La haine du christianisme a toujours eu besoin de représentations
symboliques et la Révolution française s’est nourrie de mythologies
païennes dès ses débuts. Il y a une continuité évidente entre la
parodie blasphématoire de la Cène du 26 juillet et l’intronisation de
la déesse Raison le 10 août 1793 à Paris sous les traits de la déesse
égyptienne Isis.
…
« Macron et ses collaborateurs ont voulu donner raison à la Révolution
française dans ce qu’elle a de plus abject : la mise à mort de la reine
de France, victime innocente, comme le roi Louis XVI, de la haine
révolutionnaire qui, dans les souverains français, voulait frapper le
principe de la Royauté sociale du Christ. »
Cependant, ceux qui identifieraient la France au spectacle
blasphématoire qui a ouvert les Jeux olympiques auraient tort. La
France n’est pas la place de la Guillotine, mais Notre Dame et la
Sainte Chapelle ; la France n’est pas Robespierre ou Macron, mais Saint
Louis et Sainte Jeanne d’Arc. Il serait donc erroné d’identifier le
spectacle de dégénérescence qu’offre Paris ces mois-ci avec la
civilisation occidentale à laquelle la France a tant donné. L’Occident,
c’est l’histoire d’une foi religieuse, d’un mode de vie, d’un art,
d’une littérature, d’une musique, mais aussi de grandes batailles pour
la défense de la civilisation ;
Les ennemis de l’Occident cherchent à se venger. Pour cela, pour gagner
la guerre, ils savent que l’Occident doit cesser d’être chrétien,
revenir aux idées et aux coutumes du paganisme, tomber comme une pomme
mûre, comme ce fut le cas pour l’Empire romain. (benoit-et-moi.fr)
Tout cela arrive comme nous l’écrivions dans les analyses précédentes, au début du maximum solaire du cycle 25.
« On ne s'attendait pas à ce que le cycle solaire 25 soit aussi fort.
Lorsqu'il a commencé en décembre 2019, les experts ont prédit qu'il
s'agirait d'un cycle faible comme son prédécesseur immédiat, le cycle
solaire 24. Si cette prévision s'était fiée, le cycle solaire 25 serait
l'un des cycles solaires les plus faibles depuis un siècle.
Au lieu de cela, le cycle solaire 25 a dépassé le cycle solaire 24 et
pourrait être sur le point de rivaliser avec certains des cycles les
plus forts du 20ème siècle.
Déjà en mai 2024, nous avons connu une tempête géomagnétique de classe
centenaire avec des aurores boréales observées dans le Pacifique Sud,
en Amérique centrale et en Afrique du Sud.
La dernière fois que le nombre de taches solaires était aussi élevé, le
soleil était sur le point de lancer les grandes tempêtes d'Halloween de
2003, qui comprenaient la plus forte éruption solaire à rayons X jamais
enregistrée (X45) et un CME si puissant qu'il a finalement été détecté
par le vaisseau spatial Voyager au bord du système solaire.
Sommes-nous au maximum solaire? Le consensus n'est pas encore là. Le
nombre de taches solaires pourrait continuer à augmenter dans les mois
à venir et, sur la base du comportement des cycles précédents, nous
pouvons nous attendre en toute confiance à une activité solaire élevée
pendant au moins 2 à 3 ans de plus. »
(spaceweather.com)
Deux taches solaires assez importantes font faces à la terre pour les
10 prochains jours, donc incluant le 11 août pour la fin des JO de
Paris.
Une de ces deux taches a provoqué une éjection de classe X14 la semaine
passée lorsqu’elle était située sur la face cachée du soleil.
Elle a ce potentiel d’en produire d’autres et de plus fortes intensités.
Tout s’accélère.
Mais, la masse humaine est ignorante de ce qui s’en vient.
Ce sera tout un choc.
01 août
Nous entrons dans la période du maximum solaire du cycle 25 (voir analyses précédentes sur les conséquences possibles).
Le soleil a augmenté considérablement ses taches solaires, et conséquemment ses éruptions solaires, spécialement depuis hier.
C'est à surveiller pour les prochaines semaines, sinon les prochains jours.
Surtout avec les derniers événements.
NSJC ne peut laisser faire.
L'élite maçonnique adore passer ses symboles durant les cérémonies de
fermeture des jeux olympiques. Spécialement lorsque ces derniers ont
lieu dans une ville conquise à la maçonnerie.
Nous avions été témoins à Londres en 2012 du stade avec ses arches en
forme d'équerre et de compas, de l'apparition d'un virus géant
(éventuellement le Covid) durant la cérémonie, et de la renaissance du
phoenix (éventuellement « grande réinitialisation »).
La cérémonie de clôture à Paris aura lieu le 11 août.
Le 11 est le chiffre préféré de la franc maçonnerie, singeant le Dieu
trinitaire pour donner le sommet de la pyramide maçonnique, le 33.
Pour le chrétien, c'est le 15 qui compte en août car c'est la fête de
l'Assomption de Marie, symbolisée dans l'art avec les deux pieds sur la
lune lors de son élévation, comme la femme dans l'Apocalypse.
Les deux prochaines semaines peuvent réserver des surprises pour le système antichrist.
« La décadence développe des goûts dépravés. Comment peut-on être surpris par un blasphème ?
par Cristina Vai
« Les idéologies du XXe siècle sont l'Antéchrist » (Carl Gustav Jung).
Alors, pourquoi ne sommes-nous pas surpris si la société
libérale-marxiste née de la franc-maçonnerie tolère tout sauf le
christianisme ?
« Tout est toléré sauf les intolérants » disait Karl Popper. Une
société fondée sur le marché, sans valeurs spirituelles, sans
principes, ne peut que considérer comme intolérants ceux qui fondent
leur vie sur le Christ, sur la Vérité. La foi est amour et l'amour est
total ou il ne l'est pas. Celui qui aime un peu n'aime pas.
« La liberté mène au totalitarisme » (Del Noce). Aujourd’hui, la
responsabilité personnelle n’existe plus. Ce n’est pas l’individu qui
agit mal, c’est la société qui le pousse à le faire. Le criminel, la
brute, le dépravé, le déviant est une victime. Au contraire, le Christ
nous a enseigné que le mal n’est pas dans les choses, mais vient du
cœur de l’homme. « L'impureté, le vol, le meurtre, l'avidité, la
méchanceté, la tromperie, la débauche, l'envie, la calomnie, l'orgueil,
la folie : toutes ces mauvaises choses viennent du dedans » (Matthieu 7
: 19).
Au centre de tout, pour le Christ, se trouve le cœur de l’homme. Quel
dialogue, quel respect pourrait-il y avoir entre nous qui aimons le
Christ par-dessus tout et ceux qui le haïssent et l'insultent ?
« La faute la plus grave de l'Église est d'accepter passivement sa
propre liquidation par un pouvoir qui se moque de l'Évangile » (Pier
Paolo Pasolini, athée et communiste). Pourquoi devrions-nous nous
étonner de l'horreur, des blasphèmes, de la laideur, de l'obscénité, du
conformisme de cet Occident moderne où triomphent les Rothschild, les
Soros, les Schwab, les Bill Gates, la chose la plus dégoûtante de
l'histoire du monde ? ? La Sainte Vierge de La Salette ne nous
avait-elle pas prévenu ? "La France a corrompu l'Univers, un jour elle
sera punie."
« La décadence développe des goûts dépravés, pousse les hommes à
rechercher des jouissances nouvelles et étranges. On ressent un désir
aigu de s’avilir, de se dégrader, de se moquer de tout ce qu’on croyait
auparavant grand et beau » (Vilfredo Pareto). La haine des
révolutionnaires pour la noblesse, pour la beauté est telle que
personne, à l'époque, ne fut plus humiliée d'un sadisme infernal que
Marie-Antoinette. Son fils est mort à l'âge de dix ans, dément, de faim
et de misère. Prisonnière à la Conciergerie, Marie-Antoinette n'avait
aucune intimité et devait subir la dérision et l'humiliation
continuelles de ses geôliers. Elle avait développé des maladies de peau
dues au manque d’hygiène, ses cheveux devenaient blancs du jour au
lendemain. On ne lui avait laissé qu'un petit crucifix pour prier et
elle se rendit seule à la potence parce qu'elle refusait d'être
accompagnée par un prêtre qui avait juré par la constitution.
Aujourd'hui encore, après deux siècles, on se souvient d'elle pour une
phrase sur les brioches qu'elle n'a jamais prononcée et aux Jeux
olympiques du Diable, le monde entier se moque de sa douleur. »
(aldomariavalli-it)
Juillet 2024
13 juillet
La suite du signe de Jonas.
Le Catéchisme de l’Église catholique nous enseigne qu’«avant
l’avènement du Christ, l’Église doit passer par une épreuve finale qui
ébranlera la foi de nombreux croyants. La persécution qui accompagne
son pèlerinage sur la terre dévoilera le “mystère d’iniquité” sous la
forme d’une imposture religieuse apportant aux hommes une solution
apparente à leurs problèmes au prix de l’apostasie de la vérité.
L’imposture religieuse suprême est celle de l’Anti-Christ, c’est-à-dire
celle d’un pseudo-messianisme où l’homme se glorifie lui-même à la
place de Dieu et de son Messie venu dans la chair. […] L’Église
n’entrera dans la gloire du Royaume qu’à travers cette ultime Pâque où
elle suivra son Seigneur dans sa mort et sa Résurrection» (§675).
L'Église n'entrera dans la gloire du Royaume qu'à travers cette ultime
Pâque où elle suivra son Seigneur dans sa mort et sa Résurrection (cf.
Ap 19, 1-9). Le Royaume ne s'accomplira donc pas par un triomphe
historique de l'Église (cf. Ap 13, 8) selon un progrès ascendant mais
par une victoire de Dieu sur le déchaînement ultime du mal (cf. Ap 20,
7-10) qui fera descendre du Ciel son Épouse (cf. Ap 21, 2-4). Le
triomphe de Dieu sur la révolte du mal prendra la forme du Jugement
dernier (cf. Ap 20, 12) après l'ultime ébranlement cosmique de ce monde qui passe (cf. 2 P 3, 12-13) (§677).
La vie est SPIRITUELLE.
La guerre actuelle est une guerre de l’esprit.
Le corps non baptisé sans l’Esprit-Saint actif est voué à la mort éternelle.
C’est ce qui est en jeu.
L’Épouse du Christ descendra du Ciel pour la victoire finale.
C’est ce qui est confirmé dans les prophéties de l’Église de Jean XXIII également.
Et cette image de la fin des temps de la Vierge Marie triomphante est
celle de la femme voilant le soleil avec les deux pieds sur la lune
dans l’Apocalypse.
C’est le SIGNE de la Vierge.
C’est ce qu’elle a démontré par la figure de Notre-dame de Guadelupe.
Et elle est enceinte : de la nouvelle Église appelée à renaître.
C’est peint dans plusieurs tableaux également relatant L'Assomption de la Vierge Marie, solennité liturgique fêté le 15 août.
Que pouvons nous espérer suite à l’avertissement du signe de Jonas du 11 mai dernier?
Ce seul signe que le Christ nous accorde en cette fin des temps.
Est-il complet?
Nous nous devons de nous poser la question avec la suite des événements des dernier mois.
Rappelons que l’aurore de janvier 1938 a été suivie d’une autre série d’aurores en août 1939.
Nous pourrions avoir droit au même schéma après la tempête solaire du 11 au 13 mai dernier.
Car...
Le signe de Jonas est beaucoup plus intense selon les prophéties.
C’est physiquement une période de trois jours de noirceur.
Et nous verrions cet événement prochainement, dans un laps de temps
plus court que les 20 mois entre 1938 et 1939, car eschatologiquement,
nous sommes sur le temps court.
Le nombre 24 est associé à un sentiment de complétude. On pense qu'il
représente l'ordre parfait de Dieu et l'achèvement des cycles.
2024 est donc l’annonce de la chute de Babylone, de la fin du cycle de cette génération pécheresse identifiée par le Christ.
24, c’est aussi la fête de Jean le Baptiste, le précurseur avant le 25,
qui appartient au Christ, associé à Marie, via l’Annonciation du 25
mars.
2024 est donc le précurseur de 2025.
C’est en Matthieu 24 que NSJC décrit la fin des temps.
Le soleil s’obscurcira, la lune ne donnera plus sa lumière, et les
étoiles tomberont du ciel (satellites? Un retour de la technologie,
fruit de l’orgueil humaine?)
Ensuite, Jésus indique qu’ « apparaîtra dans le ciel le signe du Fils de l'homme ».
« Car, comme l'éclair part de l'orient et brille jusqu'à l'occident, ainsi en sera-t-il de l'avènement du Fils de l'homme. »
Qu’est-ce que le signe du Fils de l’homme?
Une croix dans le ciel?
Malachi Martin de son côté, qui avait lu le troisième secret de Fatima, nous désigne plutôt le signe de la Vierge.
Il déclara en 1997 que « le grand facteur déclenchant aura lieu dans le ciel. Observez toujours le ciel. Le signe de la Vierge apparaîtra dans le ciel, et c’est pour bientôt. D’ici les 10 ou 20 prochaines années. Ce sera un choc pour tout le monde. Cela montrera que Dieu existe. Lorsqu’un jour de printemps, vous verrez dans le ciel un signe, comme une aurore boréale, tout commencera… »
Tout commencera : donc l’annonce de trois jours de noirceur à venir.
La tempête du 13 mai a-t-elle été un choc pour l’humanité?
Non.
Est-elle précurseur étant donné la relation avec Fatima et la Vierge Marie quant aux dates?
Oui.
Le processus est donc commencé, mais pas terminer.
Alors, qu’est que le signe de la Vierge?
Le signe de la Vierge de l’Apocalypse, revêtue du soleil, la lune sous ses pieds, et une couronne de douze étoiles sur sa tête?
Ou, le miracle du Soleil à Fatima?
Les deux semblent désignés la même chose : un soleil voilé par la Vierge Marie.
« Ce fut alors que l'on put regarder parfaitement le soleil, rapporte
le père de Jacinthe et de François, sans en être incommodé. On aurait
dit qu'il s'éteignait et se rallumait, tantôt d'une manière, tantôt
d'une autre. Il lançait des faisceaux de lumière, de-ci, de-là, et
peignait tout de différentes couleurs : les arbres, les gens, le sol,
l'air. Mais la grande preuve du miracle était que le soleil ne faisait
pas mal aux yeux. »
Réitérons que pendant que tous voyaient le miracle du soleil, sœur
Lucie voyait la Sainte Famille et les trois figures de Marie :
Notre-Dame du Rosaire qui s’éleva au firmament à côté du soleil, joints
par Saint-Joseph et l’Enfant Jésus qui bénissaient le monde, puis Marie
devint Notre-dame des Douleurs, joint par Jésus qui bénissait à son
tour le monde, puis Marie devient Notre-Dame du Carmel.
Trois dates à retenir donc: 16 juillet, 15 septembre, 7 octobre.
Le Carmel, c’est aussi les deux apparitions de la Sainte Vierge en
Notre Dame du Carmel, soient le 13 octobre 1917 à Fatima, et le 16
juillet 1878 pour la 18ème et dernière apparition à Lourdes.
Et comme à Fatima, les choisis de Dieu pourrait avoir l’apparition de
la Vierge, alors que les autres pourraient ne voir qu’un soleil voilé
ou dansant.
Même le pape Pie XII qui a suivi de près la question des apparitions de
Fatima a affirmé avoir été le témoin, à trois reprises, à Rome, les 30
et 31 octobre et le 1er novembre 1950, jour de la proclamation du dogme
de l'Assomption de la Vierge Marie, du même phénomène solaire qu'à
Fatima.
«C'était le 30 octobre 1950, écrit Pie XII au crayon de papier, parfois
raturé mais de façon très lisible, sans aucun doute sur l'authenticité
du document, l'avant-veille du jour de la définition solennelle de
l'Assomption, je faisais ma promenade habituelle dans les jardins du
Vatican en lisant et en étudiant (…) j'ai regardé le ciel et j'ai été
touché par un phénomène que je n'avais jamais vu. Le soleil qui était
encore assez haut, apparu comme un globe opaque jaunâtre, entouré par
un cercle lumineux». Le pape dit alors qu'il pouvait le regarder «sans
se faire aucunement mal aux yeux, un très léger nuage s'était formé
devant». Puis il décrit: «le globe opaque a légèrement bougé vers
l'extérieur, soit en tournant, soit en déplaçant de gauche à droite et
vice et versa. Mais à l'intérieur du globe, on voyait avec une grande
clarté et sans interruption de très forts mouvements» (Pie XII).
Et cela montrera que Dieu existe selon Malachi Martin.
Les chrétiens reconnaîtront le signe parce que cela sera probablement
en forme de Croix, le Signe du Fils de l’homme, ou vraiment comme un
miracle, le signe de la Vierge Marie comme à l’Assomption, voilant le
soleil, qui ne fait pas mal aux yeux.
Les tièdes hésiteront. Les athées et les apostats idolâtreront la
science par ses explications, car comme à Fatima, ils ne verront qu’un
phénomène astronomique (rappelons que les voyants voyaient la Sainte
Famille en octobre 1917).
Quiconque connaît l’Apocalypse et la femme avec les deux pieds sur la
lune entourée d’une couronne de 12 étoiles, sait bien que ce signe
serait un avertissement sérieux!
Une autre piste de réflexion vient de l’apparition aux 3 Fontaines.
Un phénomène dans le ciel, miraculeux, du même genre que celui de
Fatima s’est reproduit localement, reliant les deux apparitions.
Ce fut le 12 avril 1980 en commémoration du 33ème anniversaire de
l’apparition (le 12 avril 1947) aux 3 Fontaine, 33 étant le nombre du
Christ.
Plusieurs milliers de personnes réunies aux Trois Fontaines assistèrent
à un « miracle du soleil ». L’astre se serait mis en mouvement et le
ciel serait devenu bleu, violet puis rose.
La Vierge de la Révélation, comme on l’appelle aux Trois Fontaines,
apparut couronnée d’étoiles, comme au chapitre 12 de l’Apocalypse.
Comme Notre-Dame de Guadelupe dont nous pratiquons la neuvaine du cardinal Burke jusqu’au 12 décembre 2024.
Donc, ce soleil voilé ou miracle du soleil est accompagné de couleurs comme les aurores, comme spécifié par Malachi Martin.
Et, le 13 octobre 1917, le soleil s'obscurcissant 3 fois de suite à
intervalles réguliers à Fatima désignant les 3 jours de ténèbres.
Le père Malachi Martin dans un interview en 1997 confirmait aussi que
ce signe viendrait quand « le dernier pape sera sous le contrôle de
Satan »
Citons aussi le secret de La Salette.
« Voici le roi des rois des ténèbres. Voici la bête avec ses sujets, se
disant le sauveur du monde. Il s’élèvera avec orgueil dans les airs
pour aller jusqu’au Ciel ; il sera étouffé par le souffle de Saint
Michel Archange. Il tombera, et la terre qui, depuis trois jours, sera en de continuelles évolutions, ouvrira son sein plein de feu ; il sera plongé pour jamais avec tous les siens dans les gouffres éternels de l’enfer. »
Lorsque Satan se déclarera roi et sauveur du monde, ce qui est confirmé
par l’époque actuelle, Saint-Michel Archange frappera, et ces
tribulations dureront trois jours.
Le père Malachi Martin encore une fois : Il y aura bien trois jours de
ténèbres au-dessus de notre terre, trois jours pendant lesquels il sera
très dangereux de se trouver dehors. Même chez soi cela pourrait être
dangereux.
« A.B. : Trois jours sans soleil ???
M.M.: Oui, sans la lumière à laquelle nous sommes habitués. Mais quand
cela se passera, comme d’habitude, les scientifiques donneront des
explications géophysiques et astronomiques pour rassurer. (...) Cela n’arrivera pas dans 200 ans... Ni dans 50 ans... Ni dans 30 ans. (...) Toute la terre sera concernée, sans exception, toutes les religions, toutes les races, toutes les régions. Ce sera terrifiant. »
Donc, cela concerne toute l'humanité, mais le point de référence est la religion catholique.
Les phénomènes seront géophysiques et astronomiques.
Le chiffre 13 appartient à Marie comme le prouve les apparitions du 13 du mois en 1917.
C’est le 13 juillet 1917 qu'elle demande la consécration de la Russie.
Le 14 est le chiffre de la prise de la Bastille, symbole de la franc-maçonnerie.
Le 14 juillet 2000, il y a donc 24 ans, une énorme tempête solaire eu lieu.
Mais, les effets (aurores boréales, et problèmes électroniques) se sont
fait sentir le 16 juillet suivant, fête de Notre-Dame du Carmel, une
des trois figures de l’apparition du 13 octobre 1917 à Fatima.
Remarquez dans la prophétie politique de Jean XXIII « Grand Éclair à
l’Orient » que l’humanité n’a aucun préavis sur le phénomène à venir:
« Grand éclair à l'Orient. Vous n'entendrez pas le tonnerre, lui aussi sera imprévu.»
Pas de tonnerre avertissant du cataclysme cosmique.
Cette prophétie est, soit le signe de la Vierge, ou simplement une explosion atomique ou du genre, probablemetn en Iran.
Mais nous savons nous situer dans la fin des temps grâce à cette prophétie, parce:
- Qu’un roi tentera de prendre le contrôle de l’Europe; ce que nous avons expliqué dans une des dernières analyses.
- Que l’esprit trouble, fille de fugitifs de Nuremberg, est l’Ukraine
(expliqué dans la section « analyse », « prophéties politiques »).
- Que c’est la guerre et que la terre frisera le massacre, ce qui est
le cas avec l’Ukraine, Taïwan et Israël contre Hamas-Liban-Iran-Yémen.
- Que cela arrivera quand deux chefs importants mourront; nous sommes en attente sur ce sujet.
- Et que conséquemment, il y aura retour vers Marie dans les cœurs.
- Et que c’est le temps des lettres, l’alpha et l’oméga, le début et la FIN d’un cycle.
Comme nous l’expliquons depuis maintes analyses, une tempête solaire
dans le maximum solaire de ce cycle 25 pourrait être la cause de la
chute de Babylone car notre humanité dépend entièrement de la
technologie et de l’électricité.
Mais, elle ne causerait probablement pas une noirceur durant trois jours.
Alors, une possibilité pour une tel événement serait une superéruption solaire.
On en entend rarement sur le sujet car cela ne se produit pas très souvent.
Les étoiles jeunes en produisent beaucoup, mais une étoile d’âge moyen comme notre soleil en produise très rarement.
C’est un événement solaire de 10 fois à 100 supérieur à l’événement de Carrington de 1859.
Des scientifiques ont prouvé en 2012 que c’est arrivé la dernière fois
en 775 de notre ère (isotopes retrouvés dans les carottes de glace et
dans les lignes de croissance des arbres).
« Les premiers signes d’une ampleur encore plus grande des tempêtes
solaires sont apparus en 2012, avec la découverte d’une méga-tempête 10
à 100 fois plus puissante que l’événement de Carrington, survenu vers
775 après J.-C. « C’était vraiment stupéfiant », déclare Nicolas Brehm
de l’ETH Zurich. « Nous ne pensions pas qu’une chose d’une telle
ampleur pouvait se produire. » (scientificamerican.com)
Une
telle tempête ferait inévitablement gonfler l’atmosphère terrestre sur
son passage, amenant par le fait même les satellites dans l’atmosphère
causant « une pluie d’étoiles », tout en produisant des aurores que
nous ne pouvons imaginer (une tempête solaire fait gonfler l’atmosphère
terrestre à la manière d’une guimauve sur le feu).
Voici une vidéo
de la NASA imaginant
le phénomène (à 1m 35s) avec à gauche la terre et son éjection de
classe X45 et ce qui a été enregistré sur une plus petite étoile par
les scientifiques comme méga tempête solaire (nasa.gov).
Cela ressemble drôlement aux descriptions des différentes prophéties ou signes visibles discutés en début d’article.
Semblable à l’événement de Betelgeuse visible de la terre en 2019, où
l’étoile a éjecté sa matière en direction de notre vue, bloquant son
intensité lumineuse.
Lors des éjections solaires du 10 mai 2024, environ 5000 engins
spatiaux ont dû manœuvrer pour maintenir leur altitude, résistant au
gonflement de l’atmosphère terrestre qui les freinait et les attirait
vers la terre.
L'atmosphère terrestre a déjà été chauffée à ce point, plus récemment lors des tempêtes d'Halloween de 2003.
À cette époque, cependant, le nombre de satellites était relativement
faible (moins de 1000) et la technologie de migration satellitaire en
plus haute altitude n’existait pratiquement pas.
Mais grâce principalement à l'avènement de Starlink en 2019, la terre
compte désormais plus de 10 000 satellites actifs, soit dix fois plus
qu'en 2003!
Depuis le début de l’année 2024, plus de 130 fusées ont été lancées vers l’espace!
Une superéruption solaire auraient des conséquences géophysiques et
astronomiques pour un vrai signe de Jonas tel que décrit par Malachi
Martin et la prophétie de La Salette.
09 juillet
Le document de travail pour le synode 2024 a été publié cette semaine.
« Publié le 9 juillet, le long Instrumentum laboris (IL)
déclare qu'au centre du processus synodal pluriannuel « se trouve un
appel à la joie et au renouveau du peuple de Dieu dans la suite du
Seigneur et dans son engagement à servir sa mission. », ajoutant que
les catholiques « renouvellent aujourd'hui notre engagement dans cette
mission en pratiquant la synodalité, qui est une expression de la nature de l'Église » (lifesitenews.com)
« Une expression de la nature de l’Église »
La nature de l’Église n’a jamais été synodale puisque les bases de la
doctrine ont été mises par le Christ lui-même, et par les apôtres et
les pères de l’Église : c’est la Tradition.
Tradition contre qui l’église conciliaire s’acharne puisque c’est la Vérité.
Et Satan n’aime pas la Vérité.
« Le terme même de « synodalité » a été vivement critiqué par
d’éminents prélats, tels que le cardinal Raymond Burke et le cardinal
Joseph Zen, comme étant imprécis et sans fondement historique. Mais
l'IL précise que depuis le début du synode en 2021, « les
termes synodalité et synodal , dérivent de
l'ancienne et constante pratique ecclésiale de rassemblement
au synode ces dernières années ».
La mission synodale est effectivement un concept moderne inventé par Bergoglio et ses fidèles collaborateurs.
« Ce document sera différent de celui utilisé pour la première session.
«Si, lors de la première session, il était important de mettre en
évidence les thèmes à aborder de manière ample, le document de travail
de la session d'octobre entend plutôt souligner certains nœuds à
défaire pour répondre à la question Comment être une Église synodale en mission,
en tenant compte du chemin parcouru jusqu'à présent et en proposant des
arguments théologiquement fondés ainsi que des propositions concrètes
pour aider au discernement confié aux membres de l'assemblée», a
déclaré Mgr Riccardo Battocchio, secrétaire spécial de la
XVIe Assemblée. » (vaticannews.va)
« une Église synodale en mission ».
Ils en reviennent toujours à cette « mission », qu’ils essaient
toujours de redéfinir hors de la Tradition, dans le seul but d’arriver
à l’œcuménisme et ainsi mettre sur la table une messe sans présence
réelle qui conviendrait à tous.
L’église conciliaire deviendrait alors totalement… protestante puisque
les protestants considèrent la messe comme étant un rassemblement
commémoratif.
N’oublions surtout pas que Bergoglio a toujours affirmé à maintes reprises qu’il n’y aura « jamais de retour en arrière ».
Donc pour eux, la Tradition est du passé, et le triomphe à venir de Vatican II est la voie, la « mission ».
Alors que le Christ a fondé l’Église pour être éternelle.
Examinons les trois éléments essentiels du document de travail pour octobre 2024 :
« Selon l'IL, le synode a mis en évidence la conscience de « la variété
des charismes et des vocations que l'Esprit Saint éveille constamment
dans le Peuple de Dieu ». Il existe ainsi, parmi les instances
participantes au synode, une triple volonté
« d'élargir les possibilités de participation et d'exercice de la
coresponsabilité de tous les baptisés, hommes et femmes, dans la
variété de leurs charismes, vocations et ministères ». .»
Les trois « directions » sont les suivantes :
• Un « besoin de renouveler la proclamation et la transmission de la foi par des voies et moyens adaptés au contexte actuel ».
• Le « renouveau de la vie liturgique et sacramentelle,
à commencer par des célébrations liturgiques belles, dignes,
accessibles, pleinement participatives, inculturées et capables de
nourrir l’élan vers la mission ».
• « Reconnaître
et transformer la douleur suscitée par la non-participation de tant de
membres du Peuple de Dieu à ce chemin de renouveau ecclésial et
à la lutte de l'Église pour bien vivre les relations entre hommes et
femmes, entre générations et entre personnes et groupes d’identités
culturelles et de conditions sociales différentes, en particulier ceux
qui sont pauvres et exclus. »
- Triple volonté : singerie copiée sur la Trinité pour faire aboutir la « mission ».
- Renouveler la foi par des voies et moyens adaptés au « contexte actuel ».
Comme
nous l’affirmons depuis des années, c’est l’église catholique qui s’est
adaptée au mondialisme et à l’humanisme, et on veut pousser le concept
plus loin pour en faire la religion de Satan, dans l’esprit « woke » de
la miséricorde universelle où tous et chacun ont leur place.
Tous.
Plus de péché, plus de jugement, plus de Tradition.
Et quel contexte actuel avons-nous sur cette planète?
Que des troubles et des problèmes, que du chaos. Belle perspective pour l’église.
C'est l'inversion des valeurs prophétisée pour la fin des temps.
L'église n'y échappe pas.
- « renouveau de la vie liturgique et sacramentelle »
C’est clair. Le rapport final fera en sorte de laisser libre cours à
l’imagination quant à la célébration eucharistique : des cultes
païens à la sauce Pachamama célébrés à maintes reprises par Bergoglio,
alors qu’il n’a pas célébré la Sainte Messe depuis 2022.
- « Reconnaître et transformer la douleur suscitée par la
non-participation de tant de membres du Peuple de Dieu à ce chemin de
renouveau ecclésial »
Inclure tout le monde. S’adapter aux nouvelles tendances pour attirer
les tièdes et les athées dans un monde qui favorisera la culture du
péché, ces idées qui germent dans la tête des tarés pour entraîner la
jeunesse catholique dans la voie de l’enfer.
Et quand cette jeunesse, lorsqu'elle trouve son salut dans la Tradition, tels
les pèlerinages à Chartres, et à Oviedo en Espagne comme exemples, et
bien on leur interdit de suivre la voie de la Tradition :
« OVIEDO, Espagne ( LifeSiteNews )
— Un pèlerinage traditionnel florissant en Espagne s'est vu interdire
de célébrer sa messe traditionnelle de fin de pèlerinage dans le
sanctuaire marial de Covadonga.
Dans
une publication du 6 juillet sur les réseaux sociaux, les organisateurs
ont annoncé que le Vatican était intervenu pour restreindre le
pèlerinage à pied traditionnel de Notre-Dame de la Chrétienté, qui
attire de nombreuses jeunes familles bien qu'il n'en soit qu'à sa
quatrième année en Espagne.
Une lettre des
organisateurs du pèlerinage indiquait que « l'archevêché d'Oviedo nous
a informés qu'il avait reçu des instructions du Dicastère pour le culte
divin indiquant que la messe traditionnelle latine ne doit pas être
célébrée à Covadonga ». »
La table est mise.
Tout
est clair: pour le Christ et la Tradition, ou pour l'église conciliaire
qui s'excommunie elle-même en jugeant injustement ses propres prêtres droits:
mgr Strickland, mgr Vigano, le cardinal Burke, etc...
Les
prêtres qui prônent la Vérité sont excluent alors que ceux qui pratiquent
le péché (tous les scandales que nous avons vu au Vatican ces dernières
années) demeurent dans l'église, on les cache, et même ceux qui élèvent
le péché pour justifier que tous doivent être « inclus » recoivent une
tribune pour proclamer la parole « woke » tels que le père James Martin
qui a pour mission de promouvoir l'homosexualité, et Tucho, écrivain
érotique du Vatican, élevé au titre de cardinal et responsable du
dicastère de la foi pour faire appliquer les désirs de Bergoglio, ou
l'élévation des peintures érotiques du jésuite Rupnik (l'agresseur
sexuel présumé sur plusieurs soeurs) un peu partout dans des lieux
religieux dont une mosaïque à la basilique Notre-Dame du Rosaire à
Lourdes, en France.
Les valeurs sont inversées. C'est un fait.
Il y a un schisme dans l'Église. C'est un fait.
Les chrétiens sont devant LE choix, le Christ ou mammon. C'est un fait.
Bref, les prophéties sont pratiquement accomplies.
On
ne connaît ni le jour ni l'heure mais nous savons pertinemment que nous
sommes dans ce temps si important où tout peut basculer en un instant,
et qu'à l'exemple de la parabole des vierges folles, il est fortement
conseillé d'avoir de l'huile en sa possession pour assister aux noces.
06 juillet
La nouvelle est finalement tombée: mgr Vigano a été officiellement excommunié par le Vatican:
«
Un communiqué du Dicastère pour la doctrine de la foi a annoncé le
vendredi 5 juillet 2024 l’excommunication latae sententiae de Mgr Carlo
Maria Viganò, dans un procès extra-judiciaire auquel l’ancien nonce aux
Etats-Unis ne s’était pas présenté. Il a donc été condamné par
contumace.
Le site Vatican News expose que Mgr Viganò a été excommunié « pour
avoir voulu rompre la communion avec l’évêque de Rome et l’Eglise
catholique ».
C’est ce que détaille le communiqué : « Ses déclarations publiques
manifestant son refus de reconnaître et de se soumettre au Souverain
pontife, son rejet de la communion avec les membres de l’Eglise qui lui
sont soumis ainsi que son rejet de la légitimité et de l’autorité
magistérielle du concile Vatican II, sont bien connus. »
Le décret conclut : « Au terme de la procédure pénale, le très révérend
Carlo Maria Viganò a été reconnu coupable du délit réservé de schisme. »
Le 24 juin 2024, sur le site de Religion News Service, l’évêque
auxiliaire d’Astana au Kazakhstan, a conseillé la prudence. Tout en
critiquant les positions sédévacantistes de Mgr Viganò, Mgr Athanasius
Schneider considère que François « augmenterait les divisions » dans
l’Eglise s’il excommuniait l’ancien nonce apostolique.
« Je pense que le Pape serait sage et prudent s’il n’excommuniait pas
l’archevêque Viganò », avait-il déclaré. Et il précisait : « je pense
qu’aujourd’hui l’Eglise a tellement de divisions internes qu’il serait
imprudent, même s’il y a un motif canonique, de juger l’archevêque
Viganò ». Car « même un aveugle perçoit que nous vivons une époque de
grande confusion en ce qui concerne la clarté de la doctrine et de la
morale ». (FSSPX news)
Voilà.
L'Église inversée à son meilleur qui accuse de schisme alors que c'est cette église concilaire qui se sépare de la Tradition.
La ligne est tracée et en tant que chrétiens c'est bien l'Heure du choix.
Juin 2024
28 Juin
LA FOLIE
La
folie s’est emparée des hautes instances au Vatican, la clique
bergoglienne ne pouvant plus supporté le fait que le mouvement
traditionaliste en cours généré par leurs actions contraires à la Loi et
aux Prophètes, au lieu de décapiter la Tradition, a au contraire, fait
renaître l’Église pré-Vatican II.
Ainsi
Satan, dans sa rage de voir qu’il n’aura pas la victoire, veut emporter
avec lui le plus d’âmes possible dans sa grande finale, finale de la
fin des temps, dont le calendrier est accéléré comme jamais auparavant.
Fille
Aînée de l’Église, Rome, guerre en Ukraine, guerre par Israël qui croît
faire venir son messie… bref rien n’est et ne sera épargné.
Satan
va essayer de bloquer la transsubstantiation et Bergoglio est son
atout, atout chancelant, ce qui nous faire dire de nouveau : nous
sommes sur du temps eschatologique court.
Ici un extrait d’une réflexion sur la fin de la folie sur le blog aldomariavalli.it:
« Nous voilà donc au cœur du sujet.
Benoît XVI a fait grand bruit en 2007 ! Au lieu de faciliter la
disparition du saint sacrifice de la messe, de l’Eucharistie, à des
fins œcuménistes et aujourd’hui aussi mondialistes, elle a provoqué,
consciemment ou non, l’effet inverse. Et cela explique aussi la haine
dont il fut de plus en plus entouré, jusqu'à l'acte du Renoncement.
À ce stade, deux besoins deviennent nécessaires aux destructeurs – internes et externes – de la Foi et de l’Église catholique :
l'abolition, le plus rapidement possible, de la messe habituelle à
messe du rite apostolique romain antique (RRaa), qui, en raison de sa
fidélité absolue à la Vérité, en raison de son immuabilité
substantielle objective, doit nécessairement être le premier pas vers
l'élimination définitive de l'Eucharistie du monde ;
cela fait, changer définitivement le canon de la messe montinienne
(toujours mutable en raison de son relativisme anthropocentrique
intrinsèque), de manière, précisément, à éliminer la
Transsubstantiation dans ce rite également.
Ayant atteint ces deux objectifs dans les plus brefs délais, le «
christianisme » sera prêt à être prêt et adaptable aux deux grands
objectifs de la Révolution :
l'union de toutes les confessions chrétiennes dans un «
super-christianisme » avec une idée abstraite et gnostique de Dieu,
sans sacrements et donc sans Eucharistie : l'Être suprême de la mémoire
maçonnique et des Lumières, qui en soi nécessite aussi la disparition
de la Trinité entité, tandis que la Mère de Dieu se transformera en
déesse Gaia, comme Bergoglio nous l'a déjà fait comprendre avec le
culte idolâtre de la pachamama ;
la « dissolution » (si l'on peut dire) ou la « conversion » de ce «
super-christianisme » en la future religion mondiale mondialiste. Une
religion païenne, anti-humaine, car trans-écologique, post- et
trans-humaine, préparant à son tour l'avènement de l'Antéchrist dans le
monde.
Et ici s'explique, pour ceux qui veulent comprendre avec honnêteté
mentale et morale, la haine, autrement inexplicable, envers le RRaa et
la guerre qui en découle, menée non pas par Néron, Elizabeth I
d'Angleterre ou par Robespierre ou Staline, ni même par les mahométans,
mais des hiérarchies de l’Église actuelle Vatican II, une Église qui,
pour la plupart, n’est plus catholique, mais qui est certainement
encline au mondialisme dominant de la Nouvelle Révolution Mondiale en
cours. »
L’erreur
fondamentale de plusieurs vaticanistes est de penser que la venue
l’Antichrist est à mettre au futur, alors que nous l’avons maintes fois
démontré:
C’est un système.
Le système dans lequel nous vivons présentement et qui a des visages personnifiés pour le faire vivre, tel que Bergoglio.
Le calendrier de la fin des temps (voir analyses précédentes) est clair :
La
mort des deux témoins est un événement clé qui fait basculer le monde
pour l’ouverture du 7ème sceau, donc la fin de Babylone avant le
Jugement dernier.
Et
nous vivons présentement cette mort des deux témoins, car nous sommes
passés au crible par Dieu dans cette Passion de l'Église.
C’est la séparation du bon grain et de l’ivraie.
Le Jugement dernier n’est pas le châtiment des chrétiens, car ces derniers vivent présentement leur calvaire!
C'est celui des méchants!
Et si NSJC n’intervenait pas, le petit reste que nous sommes serait condamné à être séduit et damné par ce système Antichrist.
Ainsi notre Foi et notre Espérance nourris par la prière, nous permet de vaincre.
Les
chrétiens reconnaîtront le signe de la résurrection des deux témoins et
se réjouiront, car pour eux ce sera le moment de la récolte, alors que
le monde impie sera consterné de voir le monde qu’il chérie retourner à
la poussière…
Car
la vie est spirituelle, de l’Esprit, et ceux qui décident de nier ce
Royaume de Dieu qui n’est pas de ce monde, perdront le privilège d’y
accéder
À jamais.
La fin de la folie est à nos portes.
Mgr Vigano passe à l’attaque contre le tribunal du Vatican et accuse (extrait d'un long texte):
Fait grave, à la veille des fêtes Saint-Pierre et Saint-Paul.
Le politique et le religieux sont sur le point de basculer dans le chaos.
« Mes accusations contre Jorge Mario Bergoglio (aldomariavalli.it)
Devant mes frères dans l'épiscopat et devant tout le corps ecclésial,
j'accuse Jorge Mario Bergoglio d'hérésie et de schisme, et comme
hérétique et schismatique, je demande qu'il soit jugé et démis du trône
qu'il a indignement occupé pendant plus de onze ans. Cela ne contredit
en rien l'adage Prima Sedes a nemine judicatur , car il est évident
qu'un hérétique, parce qu'il est incapable d'assumer la papauté, n'est
pas au-dessus des prélats qui le jugent.
J'accuse également Jorge Mario Bergoglio d'avoir provoqué - en raison
du prestige et de l'autorité du Siège Apostolique qu'il usurpe - de
graves effets indésirables, la stérilité et la mort chez les millions
de fidèles qui ont suivi son appel insistant à se soumettre à
l'inoculation d'un sérum génétique expérimental. produit auprès de
fœtus avortés, conduisant à la publication d'une note indiquant son
utilisation comme moralement admissible ( ici et ici ). Il devra
répondre devant le Tribunal de Dieu de ce crime contre l'humanité.
Enfin, je dénonce l'accord secret entre le Saint-Siège et la dictature
communiste chinoise, par lequel l'Église est humiliée et contrainte
d'accepter la nomination gouvernementale des évêques, le contrôle des
célébrations et les limitations de sa liberté de prédication, tandis
que les fidèles catholiques le Siège Apostolique sont persécutés en
toute impunité par le gouvernement de Pékin dans le silence complice du
Sanhédrin romain.
Le rejet des erreurs de Vatican II
Je considère comme une question d'honneur d'être "accusé" de rejeter
les erreurs et les déviations impliquées par le soi-disant Concile
œcuménique Vatican II, que je considère comme totalement dépourvu
d'autorité magistrale en raison de son hétérogénéité par rapport à tous
les véritables Conciles. de l'Église, que je reconnais pleinement et
que je salue, comme le font tous les actes magistraux des Pontifes
romains.
Je rejette de manière convaincante les doctrines hétérodoxes contenues
dans les documents de Vatican II et qui ont été condamnées par les
Papes jusqu'à Pie XII, ou qui contredisent de quelque manière que ce
soit le Magistère catholique (voir Annexe I). Je trouve pour le moins
déconcertant que ceux qui me jugent pour schisme soient ceux qui
adhèrent à la doctrine hétérodoxe selon laquelle il existe un lien
d'union « avec ceux qui, étant baptisés, reçoivent le nom de chrétien,
mais ne l'obtiennent pas pleinement ». professent la foi ou ne
maintiennent pas « l'unité de communion sous le successeur de Pierre »
(LG, 15). Je me demande avec quelle facilité on peut reprocher à un
évêque le manque de communion qui existerait également avec les
hérétiques et les schismatiques.
Je condamne, rejette et rejette également les doctrines hétérodoxes
exprimées dans le soi-disant « magistère post-conciliaire » issu de
Vatican II, ainsi que les récentes hérésies relatives à « l'Église
synodale », la reformulation de la Papauté dans une clé œcuménique. ,
l'admission des concubinaires aux sacrements et la promotion de la
sodomie et de l'idéologie du « genre ». Je condamne également
l'adhésion de Bergoglio à la fraude climatique, une folle superstition
néo-malthusienne née de ceux qui, haïssant le Créateur, ne peuvent
s'empêcher de détester aussi la Création, et l'homme avec elle, créé à
l'image et à la ressemblance de Dieu…
Donné à Viterbe, le 28 juin, année du Seigneur 2024, veille des saints Apôtres Pierre et Paul.
+ Carlo Maria Viganò, archevêque »
27 juin
Que dire de plus?
Tout
confirme que la Fille Aînée de l'Église a été plongée dans le chaos
intentionnellement par la franc-maçonnerie dans ce plan à long terme
pour éliminer le centre de la chrétienté européenne en même temps que
Rome.
Le
président français, fils spirituel des Rothschild, attise le feu et
affirme sans gêne que la « guerre civile » est aux portes de la France,
et que même, dans le contexte actuel de la fin des temps, que ce sera
une « guerre de religion » au même titre que la guerre entre les
protestants et les catholiques du temps.
« Laïcité, guerres de Religion, islam : ce qu’Emmanuel Macron en dit dans un podcast » (la-croix.com)
Comme le spécifie Charles Sannat (insolentiae.com):
« Quand le président parle de guerre civile, même si c’était évidemment
un scénario étudié dans mon dossier, ne soyons pas naïfs, avant même
que le président ne l’évoque, lui, en en parlant de la manière la plus
officielle qui soit, il matérialise ce risque.
Il fait prendre corps à ce risque. Quand je l’évoque, on peut toujours
dire que c’est une élucubration d’économiste de grenier normand
pessimiste… pas quand c’est le président qui l’évoque.
En l’évoquant, il prend le risque d’auto-réaliser le risque.
Plus grave.
Il précise ce que serait cette guerre civile. Une guerre de religion.
Nous l’avons tous compris.
Macron est un pyromane, pyromane comme le dit Bauer... »
La
bête de la terre marche réellement main dans la main avec la bête de la
mer (d'ailleurs, les deux, Macron et Bergoglio, étaient assis côte à
côte au sommet du G7 en Italier dernièrement).
«
Dans la perspective du Jubilé 2025, nous nous dirigeons vers « une vie
qui devient chant d'amour pour Dieu, pour l'humanité, avec et pour la
création, et qui trouve sa plénitude dans la sainteté » (dicastère pour
le service du développement humain intégral, Jubilé 2025) (vaticannews.va).
Chaque
mot ici est choisi en fonction de la célébration de la nouvelle
religion humaniste qui englobera l'église conciliaire suite à la
conclusion du synode 2024.
Ce sont des mots génériques: qui est le Dieu de la déclaration? Que représente cette « sainteté »?
Nous devrions y lire pour ce Jubilé 2025: « qui trouve sa plénitude dans le Christ ».
Depuis
2013, la chrétienté est confronté à ce maître de l'ambiguïté qui fait
tout pour plaire à tous, et, REJETER tout ce qui est conforme à
la Doctrine et à la Tradition.
« Pape François: la synodalité crée la fraternité en dehors de l’Église » (vaticannews.va)
« ... Le «profond renouvellement» que le Pape appelle de ses vœux trouve sa source dans le Concile Vatican II.
Le
Pape qui l’a initié, ... Jean XXIII parlait d’un «aggiornamento» («une
mise à jour») quand celui qui l’a clos, ... Paul VI, évoquait un
«renouveau florissant de l’Église». Toujours sur la nécessité de
réforme, François a cité son prédécesseur, le Pape Benoit XVI, qui
souhaitait une réforme afin de parvenir à une communauté dans laquelle
le Divin peut opérer, «une communauté dans laquelle un 'je' n'est plus
contre un autre 'je'»... »
Donc, Bergoglio indique bien qui va clore l'« aggiormamento » initié par Jean XXIII avec la fin du synode en octobre prochain.
Élimination de la messe traditionnelle suivi de la conversion TOTALE de l'église conciliaire à l'hunanisme.
Les
valeurs sont finalement inversées (on ne parle plus au futur à partir
de 2024): C'est l'église qui s'est convertie et non le monde qui s'est
converti au Christ, comme le voulait NSJC en créant son épouse,
l'Église, établie sur le roc qu'est Saint-Pierre.
Justement,
c'est sur un roc solide qu'elle est établie, et tout renaîtrà à partir
de la Tradition, grâce au zèle de Mgr Lefebvre qui a conservé la petite
flamme.
Le blog Caminante Wanderer
argentin, qui n'est pas du tout pour Bergoglio, ne mâche pas ses mots,
et énonce un fait établi: « Le schisme se situe entre catholiques et
non-catholiques. »
Il y a schisme et le choix doit être fait: pour ou contre le Christ.
Il n'y a plus d'entres les deux. Les tièdes seront vômis confirme l'Apocalypse.
«
Un long article de Diane Montagne paru mardi dernier laisse entendre
que la rumeur lancée par Rorate Coeli sur l'apparition d'un nouveau
document restreignant encore davantage la célébration de la messe
traditionnelle est fondée. Montagne est une journaliste sérieux avec de
très bonnes sources au Vatican.
Le document aurait été personnellement commandé par le pape François à
Mgr Viola, du Dicastère du Culte, et aurait le soutien des cardinaux
Parolin et Gurgerotti, et de Mgr Migliore, nonce à Paris. En substance,
cela consisterait à restreindre la célébration de la messe
traditionnelle exclusivement aux prêtres appartenant aux ex-instituts
Ecclesia Dei , qui sont principalement au nombre de trois : Fraternidad
San Pedro, Instituto Cristo Rey et Instituto del Buen Pastor. Aucun
prêtre diocésain, aucun prêtre religieux et aucun évêque ne pouvait
célébrer la Sainte Messe ou le reste des sacrements selon le rite
traditionnel. L'article peut être lu en anglais et en italien .
Faisons quelques observations :
1. Un tel document laisserait l'Église dans une situation bien pire que
celle qu'elle avait après Summorum pontificum , mais bien meilleure que
celle qu'elle avait avec Jean-Paul II, même après Ecclesia Dei . En ces
temps terribles, célébrer la messe traditionnelle était quelque chose
de plus sérieux que d'assister à un rite satanique ou de participer aux
orgies du cardinal Coccopalmiero. Et il était préférable de devenir
mormon plutôt que de devenir « lefebvriste ».
2. Mais depuis lors, la situation a changé, et elle a beaucoup changé.
Peut-être qu’en Amérique Latine nous ne réalisons pas pleinement le
changement, car dans nos pays, malheureusement, le document ne
changerait pratiquement rien. Mais en Europe ou aux États-Unis, c’est
différent. Prêtres et fidèles se sont vite « habitués » à la messe
traditionnelle, ce qui est logique, et il ne me semble pas qu'ils se
résigneront facilement à monter dans les trains qui les mèneront au
nouvel Auschwitz ou à Birkenau où les vieux progressistes du Vatican
veulent leur appliquer la solution finale.
3. Dans le post précédent, un lecteur, pour une raison que je ne
connais pas, m'a demandé avec colère pourquoi j'avais utilisé
l'expression « solution finale ». Et j'ai répondu parce que c'était
celui que Rorate Coeli avait utilisé, et pas seulement eux, pour faire
référence à la situation. Si le nouveau document était finalement signé
par le Pape, il s'agirait effectivement d'une « solution finale »,
cette fois préparée non pas par Reinhard Heydrich mais par Vittorio
Viola. Et cela pour plusieurs raisons.
4. Les traditionalistes ne pourront plus circuler librement dans une
réserve délimitée par les hauts grillages érigés par Traditiones
custodes, non pas tant pour qu'ils ne puissent pas s'échapper mais pour
que d'autres ne puissent pas entrer dans cet espace. Les progressistes
constatent qu'il y a de plus en plus de monde à l'intérieur : 18 000
jeunes cette année au pèlerinage de Chartres, c'est un nombre non
négligeable et très significatif pour ce qui se passe. Ils ont alors
choisi d'enfermer les tradis infectés dans des cages : celles des
anciens instituts Eclessia Dei et de la FSSPX qui, n'en déplaise aux
intéressés, est, du point de vue pratique francisciste, l'égale des
autres.
5. La « solution finale » de Viola consisterait donc à n'accorder la
célébration de la messe traditionnelle qu'aux fidèles qui veulent ou
peuvent se mettre en cage. Les autres sont soit aryens, soit se
douchent dans les chambres à gaz. La solution est bien pensée – on dit
que le chef du jésuite Ghirlanda est derrière elle – mais elle me
semble être une solution de bureau. Malheureusement pour le pape
François, il n’a ni les SS ni la Gestapo. Une bonne partie de l'Église
s'est déjà rebellée contre lui avec les absurdités de Fiducia et, dans
ce cas aussi, il pourrait y avoir une rébellion peut-être moins massive
mais avec des effets beaucoup plus graves.
6. Fiducia supplicans était une fantaisie de Tucho Fernández qui a peu
d'effet pratique, concret et immédiat pour les fervents fidèles
catholiques. En revanche, une restriction de la liturgie traditionnelle
comme celle qu’ils envisagent affectera de près la vie de dizaines de
milliers d’entre eux. Il ne me semble pas que les 18 000 pèlerins
acceptent tranquillement la nouvelle que la messe traditionnelle en la
cathédrale de Chartres est définitivement terminée. Et il ne me semble
pas non plus que les Américains, les Français ou les Allemands le
fassent. Et encore moins les prêtres, surtout les plus jeunes, qui ont
connu et apprécié la messe traditionnelle. Et encore moins me
semble-t-il que tous les évêques sont aussi lâches que l'ont été les
évêques argentins d'accepter passivement un ordre aussi pervers que
celui qu'ils veulent leur imposer : que même eux, successeurs des
apôtres, ne peuvent pas célébrer la messe traditionnelle. Où est donc
l’autorité de l’évêque ? Bergoglio et Ghirlanda revendiqueront-ils
l’obédience jésuite ? Par ailleurs, je crois que la situation risque de
provoquer la colère de plusieurs d'entre eux. Je ne peux pas imaginer
le cardinal Müller accepter humblement les ordres du Vatican.
7. Comme l'a récemment déclaré Aldo Maria Valli et comme beaucoup
d'entre nous le constatent depuis des années, nous sommes confrontés à
un schisme de fait qui, jusqu'à présent, ne s'est pas manifesté
ouvertement. Et le schisme ne se situe pas entre traditionalistes et «
catholiques obéissants ». Le schisme se situe entre catholiques et
non-catholiques. Les auteurs du document doivent veiller à ce qu'il ne
se transforme pas en un meurtre de l'archiduc François Ferdinand et ne
génère pas une situation impossible à arrêter. Ils jouent avec le feu.
Les catholiques de tous bords – ils portent des cravates, des
mantilles, des soutanes noires, violettes ou rouges – en ont assez du
pontificat de François, qui a laissé l'Église en ruines...
Conclusion : Les nouvelles concernant le document restrictif sont
crédibles. Il faudra voir ce que François décidera finalement, qui peut
tout décider comme nous l'avons vu tout au long de ces années. La
vérité est que les hiérarques de l’Église, malgré les preuves ou à
cause de celles-ci, sont déterminés à exterminer la liturgie
traditionnelle, même si cela implique des dommages énormes et
irréparables pour l’Église. Ils nous détestent ; nous sommes pourris. »
26 juin
EN ROUTE VERS LE 16 JUILLET
Il semble bien que le temps s'accélère, ce qui confirme nous sommes sur un temps eschatologiquement court.
Si
l'abolissement de la messe traditionnelle est décrété par le Vatican le
16 juillet prochain comme la rumeur le veut, si cet événement
représente bel et bien la mort des deux témoins annoncés dans
l'Apocalypse, alors ce monde babylonien aura toute une surprise.
Car c'est de sa chute finale qu'il s'agît.
La fin de la 6ème période.
Et vous savez tous ce qui arrive à l'ouverture du 7ème sceau.
Notez que le cardinal Parolin soutient entièrement la position de Bergoglio contre la messe traditionnelle.
Nous
proclamons qu'il pourrait être Pierre II le romain de la prophétie de
Saint-Malachi, et que l'Église sous sa tutelle vivra ses dernières
tribulations sur du court terme.
Car Bergoglio sait qu'il ne lui reste plus beaucoup de temps.
Et il a une mission à accomplir.
«
CITÉ DU VATICAN, 25 juin 2024 — Après avoir effectué plusieurs
recherches sur des rapports récents , j'ai été informé par des sources
fiables qu'un nouveau document du Vatican plus restrictif que
Traditionis Custodes existe bel et bien, qu'il est soutenu par le
cardinal secrétaire d'État du Vatican, le cardinal Pietro Parolin, et
qu'il a été présenté au pape François.
Des sources bien informées ont confirmé que le nouveau document, s'il
était publié, interdirait à tous les prêtres autres que ceux
appartenant à des instituts ex- Ecclesia Dei approuvés d'offrir le
Saint Sacrifice de la Messe dans le Vetus Ordo, ou ancien rite comme on
l'appelle communément.
Elle interdirait également aux évêques de célébrer eux-mêmes ou
d'autoriser la célébration du Vetus Ordo dans leurs diocèses, et
suspendrait les autorisations existantes accordées par le Dicastère
pour le culte divin et la discipline des sacrements après Traditionis
Custodes.
Des sources indiquent que les paroisses personnelles gérées par
d'anciens instituts Ecclesia Dei (par exemple, la Fraternité
sacerdotale Saint-Pierre ou l'Institut du Christ Roi Souverain Prêtre)
seraient autorisées à continuer. Cependant, on ne sait pas si et dans
quelle mesure les prêtres de ces instituts seraient autorisés à
administrer des sacrements tels que le baptême, la confirmation et le
mariage aux fidèles sous la forme traditionnelle.
Bien que cela semble « sauver et protéger » les anciens instituts
d’Ecclesia Dei, il n’est pas clair non plus si les ordinations
diaconales et sacerdotales dans le Vetus Ordo continueraient à être
autorisées.
Genèse du nouveau document
En février 2023, quelques semaines seulement après la mort de Benoît
XVI, on a appris qu'un projet de document était en cours d'examen par
le pape François, qui élargirait et renforcerait son motu proprio
Traditionis Custodes de 2021. Il affirmerait également que la seule
liturgie officielle du rite latin est le Novus Ordo, et réglementerait
strictement les anciennes communautés d'Ecclesia Dei.
Des sources vaticanes avaient alors indiqué que le document, une
constitution apostolique, avait déjà été présenté au pape François fin
janvier 2023 par les supérieurs du Dicastère pour le culte divin et la
discipline des sacrements, dirigé par le cardinal Arthur Roche.
Le document aurait été rédigé principalement par le secrétaire du dicastère, l'archevêque Vittorio Francesco Viola, OFM.
Cependant, selon ce rapport, le cardinal italien Gianfranco Ghirlanda,
SJ, largement considéré à Rome comme le canoniste préféré du pape,
cherchait à persuader François de promulguer une constitution
apostolique alternative qui, à première vue, pouvait sembler plus douce
mais qui s'est finalement avérée pire en cherchant une fois pour toutes
à enterrer la liturgie latine traditionnelle.
Roche et Ghirlanda se disputant l'imprimatur du pape, le document a été
bloqué et, un an plus tard, il se trouvait toujours dans une impasse.
Le pape François a donc confié cette année à l'archevêque Viola la
supervision du document.
Si le document décrit ci-dessus devait être publié, il serait toujours
conforme aux assurances données par le pape François aux anciens
instituts d'Ecclesia Dei approuvés. Et même si l'on nous dit qu'aucune
date de publication n'a été fixée, le risque d'un nouveau document,
selon nos sources, est sérieux, réel et potentiellement imminent.
Soutien du cardinal Pietro Parolin
Selon certaines sources, l'archevêque Viola s'est mis à travailler
discrètement sur un nouveau document, en consultant, entre autres, le
cardinal Victor Fernández, préfet du Dicastère pour la doctrine de la
foi.
Lors de la rédaction du document, l'archevêque Viola aurait également
bénéficié du soutien et de l'approbation de trois personnalités clés de
l'Église : le secrétaire d'État du Vatican et architecte de l'accord
secret Vatican-Chine, le cardinal Pietro Parolin; le préfet du
Dicastère pour les Églises orientales, le cardinal Claudio Gugerotti;
et le nonce apostolique du pape à Paris, l'archevêque italien Celestino
Migliore.
Les lecteurs se souviendront peut-être que le cardinal Parolin,
consulteur du Dicastère pour le culte divin et du Dicastère pour la
doctrine de la foi, aurait soutenu Traditionis Custodes. En fait, lors
d’une réunion en janvier 2020 à l’époque de la Congrégation pour la
doctrine de la foi, le cardinal Parolin a affirmé que les instituts
sacerdotaux traditionnels refusent d’accepter le changement et ne sont
pas disposés à concélébrer. Parolin a également déclaré qu’il
partageait l’inquiétude des autres prélats réunis quant au fait que ces
groupes soient populaires auprès des jeunes. (Plus tôt au cours de la
réunion, le préfet de la Congrégation pour l’éducation catholique de
l’époque, le cardinal Giuseppe Versaldi, avait insisté sur le fait
qu’il fallait comprendre pourquoi la messe traditionnelle en latin
attirait les jeunes, et avait affirmé que beaucoup des jeunes
participant au pèlerinage Paris-Chartres souffraient de « toutes sortes
de problèmes psychologiques et sociologiques ».) Le cardinal Parolin a
donc recommandé à la CDF d’exiger des groupes sacerdotaux traditionnels
qu’ils fournissent un signe concret de communion qui reconnaîtrait la
validité du Novus Ordo et démontrerait clairement qu’ils sont « dans
l’Église ».
Le cardinal Parolin, tout comme le cardinal Gugerotti, est également un
protégé du défunt diplomate du Vatican, le cardinal Achille Silvestrini
(1923-2019), membre éminent du groupe de Saint-Gall qui a fait campagne
pour empêcher l'élection de Benoît XVI en 2005.
Les liens étroits entre Parolin et Silvestrini remontent à 1986,
lorsqu'il a rejoint le corps diplomatique du Vatican à l'âge de 31 ans
et que Silvestrini était secrétaire aux relations avec les États. De
plus, un an seulement après la mort de Silvestrini, le cardinal Parolin
a été nommé président de la Villa Nazareth, un centre éducatif qui,
grâce aux efforts de Silvestrini , est devenu un centre du pouvoir
ecclésiastique progressiste à Rome. La Villa Nazareth a également été
considérée comme le siège italien du groupe de Saint-Gall et comme
ayant des liens douteux avec la Chine .
Le cardinal Gugerotti, pour sa part, a été pendant cinq ans (1997-2001)
sous-secrétaire de la Congrégation pour les Églises orientales pendant
le mandat de neuf ans de Silvestrini comme préfet.
Mais malgré leur lien, les deux cardinaux seraient concurrents sur un
autre point important : ils ont tous deux en vue la papauté.
Mgr Migliore, 71 ans, allié du cardinal Parolin et diplomate chevronné,
a occupé plusieurs postes importants, notamment celui d'observateur
permanent du Saint-Siège auprès des Nations unies et du Conseil de
l'Europe, de sous-secrétaire aux relations avec les États et de nonce
apostolique en Russie. Le pape François l'a nommé nonce apostolique à
Paris en janvier 2020.
Plus tôt ce mois-ci, le site français Pax Liturgique rapportait que Mgr
Migliore « fait tout son possible pour que Traditionis
custodes soit pleinement appliqué » et « attise les flammes de la
liturgie anti-traditionnelle des évêques français, insistant notamment
sur le fait que la messe traditionnelle doit être tolérée le moins
possible et que les autres sacrements, notamment les baptêmes, les
mariages et les confirmations, ne doivent jamais être donnés sous la
forme traditionnelle ».
Si le document décrit ci-dessus devait être publié, il serait toujours
conforme aux assurances données par le pape François aux anciens
instituts d'Ecclesia Dei approuvés . Et même si l'on nous dit qu'aucune
date de publication n'a été fixée, le risque d'un nouveau document,
selon nos sources, est sérieux, réel et potentiellement imminent. »
(The Remnant)
« beaucoup
des jeunes participant au pèlerinage Paris-Chartres souffraient de «
toutes sortes de problèmes psychologiques et sociologiques ». »
C'est bien l'église inversée.
Les
deux témoins, laïcs et le clergé fidèles à la Loi et aux Prophètes, à
la Tradition, sont ceux qui ont des problèmes entre les deux oreilles.
C'est
bien ce qu'affirmait le regretté Serge Monast dans ses écrits (voir
analyses précédentes) où les chrétiens de la Tratidion deviennent les
terroristes, les menaces au nouveau système humaniste.
Et
maintenant préparons-nous pour la finale tant annoncé par les
eschatologues qui suivent l'actualité vaticane : l’abolition de la
transsubstantiation.
Ce sera introduit dans la nécessaire mise à jour de la liturgie du
novus ordo, lorsque débarrassée du vetus ordo, la messe traditionnelle.
C'est l'acte le plus important depuis la venue du Christ.
Et
NSJC ne laissera pas une telle manoeuvre sans conséquence, car il est
avec nous jusqu'à la fin des temps, via la transsubstantiation.
Notez
que Benoît XVI avait rétabli la légitimité de la messe tridentine, par
une tour de passe passe, la qualifiant de « rite extraordinaire » via
le motu proprio Summorum Pontificum de 2007. Il avait écrit que la
messe tridentine n'avait jamais été abolie et que des fidèles,
assemblés en groupe stable, pouvaient légitimement demander qu'elle
soit dite dans leur diocèse.
Traditionis Custodes du 16 juillet 2021 a aboli ce motu proprio.
22 juin
LE POINT DE NON RETOUR
Le
tremblement de terre causé par la convocation de Mgr Viganò au Vatican,
démontre à la face du monde, ce qui était caché pour certains, qu’il y
a guerre au sein de l’église.
Ce
qui est conforme avec la prophétie de l’église #11 de Jean XXIII « le
7ème sceau », point important s’il n’en faut dans le calendrier de la
fin des temps.
« Il y aura la guerre dans la Mère, et les troupeaux se disperseront. »
C’est l’aboutissement d’un projet de longue haleine comme on a pu le constater dans les multiples analyses des dernières années.
Une
guerre accentuée par les faux prophètes du Vatican suite à Vatican II
contre la Tradition, l'Écriture, le Magistère et maintenant plus
ouvertement, contre la Doctrine.
Tenter
de museler Mgr Viganò, est le signal envoyé par les apostats qui
confirme la mort des deux témoins à venir, une dernière attaque
définitive systématique et généralisée contre l’Église, la vraie, celle
qui ne s’est pas prostituée pour emprunter les termes apocalyptiques,
l’Église traditionnelle catholique.
Il
est donc vraiment raisonnable de croire que la date du 16 juillet
pourrait être celle de l'annonce de la suppression définitive et sans
exception du vetus ordo de la liturgie tridentine suite à l’accusation
de Mgr Viganò.
C’est un point de non-retour pour ce monde, cette génération condamnée par le Christ dans l’Évangile.
Mgr Viganò ne s’est par présenté pour son procès, considérant la
malhonnêteté de la procédure tout en confirmant que l’acte d’accusation
est déjà déclaré, amenant même la preuve que la clique bergoglienne
avait laissé filtrer les accusations à la revue américaine jésuite «
America », puisqu’un article sur le sujet semble avoir été écrit avant
même que qu’il ne rende public le document du Vatican.
(sa réponse sur aldomaria valli.it, en italien)
Les jésuites d'Amérique ont déjà confirmé les conclusions sur le sort
de son procès, l’excommunication, sort qui attend tous les chrétiens se
considérant de la tradition, les deux témoins, les laïcs et le clergé
fidèles à la Loi et aux prophètes.
L’église conciliaire en est finalement arrivé à la conclusion, confirmant bientôt la fin de la sixième période de l’Apocalypse.
L’Église
est inversée, sa partie conciliaire accusant de schisme sa partie
traditionnelle, alors que c’est cette partie conciliaire qui s’est
séparée de l’Église.
Voilà.
Le mystère d’iniquité est de plus en plus clair et confirmé.
Le point de non-retour est atteint.
Le
choc, le silence d’une demi-heure suite à la mort des deux témoins
probablement décrété le 16 juillet prochain en la fête de Notre-Dame du
Carmel, confirmera la fin de la 6ème période et l’ouverture par le fait
même du 7ème sceau :
« Et quand l'Agneau eut ouvert le septième sceau, il se fit dans le ciel un silence d'environ une demi-heure. » (Apocalypse, 8-1)
21 juin
Nous nous en allons tranquillement vers la mort des deux témoins, comme prévu.
«
Le Dicastère pour la Doctrine de la Foi m’a informé, par un simple
mail, de l’ouverture d’un processus pénal extrajudiciaire à mon
encontre, m’accusant d’avoir commis le crime de schisme et m’accusant
d’avoir nié la légitimité du « Pape François », d’avoir rompu la
communion « avec Lui » et d’avoir rejeté le Concile Vatican II. Je suis
convoqué au Palais du Saint-Office le 20 juin, en personne ou
représenté par un avocat. Je suppose que la condamnation est également
prête, compte tenu de la procédure extrajudiciaire.
Je considère les accusations portées contre moi comme un honneur. Je
pense que le libellé même des accusations confirme les thèses que j’ai
défendues à maintes reprises dans mes discours. Ce n’est pas un hasard
si l’accusation portée contre moi concerne la remise en cause de la
légitimité de Jorge Mario Bergoglio et le rejet de Vatican II : le
Concile représente le cancer idéologique, théologique, moral et
liturgique dont l' »Église synodale » bergoglienne est une métastase
nécessaire.
L’épiscopat, le clergé et le peuple de Dieu doivent sérieusement se
demander s’il est conforme à la profession de foi catholique d’assister
passivement à la destruction systématique de l’Église par ses
dirigeants, tout comme d’autres dirigeants détruisent la société civile.
> Le mondialisme appelle au remplacement ethnique : Bergoglio
encourage l’immigration incontrôlée et appelle à l’intégration des
cultures et des religions.
> Le mondialisme soutient l’idéologie LGBTQ+ : Bergoglio autorise la
bénédiction des couples de même sexe et impose l’acceptation de
l’homosexualité aux fidèles, tout en couvrant les scandales de ses
protégés et en les promouvant aux plus hauts postes de responsabilité.
> Le mondialisme impose l’agenda vert : Bergoglio vénère l’idole
Pachamama, écrit des encycliques délirantes sur l’environnement,
soutient l’Agenda 2030 et attaque ceux qui remettent en cause la
théorie du réchauffement climatique anthropique.
Il sort de son rôle en matière strictement scientifique, mais toujours
dans une seule direction, diamétralement opposée à ce que l’Église a
toujours enseigné.
> Il a imposé l’utilisation de sérums géniques expérimentaux, qui
ont causé de très graves dommages, la mort et la stérilité, en les
qualifiant d’ « acte d’amour », en échange de financements des
industries pharmaceutiques et des fondations philanthropiques.
Ce consensus total avec la religion de Davos est scandaleux.
> Partout où les gouvernements au service du Word Economic Forum ont
introduit ou étendu l’avortement, promu le vice, légitimé les unions
homosexuelles ou la transition de genre, encouragé l’euthanasie et
toléré la persécution des catholiques, pas un mot n’a été consacré à la
défense de la Foi ou de la Morale menacée, au soutien des batailles
civiles de nombreux catholiques abandonnés par le Vatican et les
évêques.
> Pas un mot pour les catholiques persécutés en Chine, avec la
complicité du Saint-Siège qui considère les milliards de Pékin plus
importants que la vie et la liberté de milliers de Chinois fidèles à
l’Église romaine.
> Pas de schisme, dans l’ « Église synodale » présidée par
Bergoglio, ni de la part de l’épiscopat allemand, ni de la part des
évêques nommés par le gouvernement et consacrés en Chine sans mandat de
Rome. Parce que leur action va dans le sens de la destruction de
l’Église, elle doit être cachée, minimisée, tolérée et enfin encouragée.
Au cours de ces onze années de « pontificat », l’Église catholique a
été humiliée et discréditée principalement à cause des scandales et de
la corruption des échelons supérieurs de la hiérarchie, totalement
ignorés alors que l’autoritarisme le plus impitoyable du Vatican
faisait rage contre les prêtres et les religieux fidèles, les petites
communautés de religieuses traditionnelles, les communautés liées à la
messe en latin.
Ce zèle unilatéral rappelle le fanatisme de Cromwell, typique de ceux
qui défient la Providence dans la présomption de se savoir enfin au
sommet de la pyramide hiérarchique, libres de faire et défaire à leur
guise sans que personne ne s’y oppose.
Et cette œuvre de destruction, cette volonté de renoncer au salut des
âmes au nom d’une paix humaine qui nie Dieu, n’est pas une invention de
Bergoglio, mais le but principal (et inavouable) de ceux qui ont
utilisé un Concile pour contredire le Magistère catholique et commencer
à démolir l’Église de l’intérieur, à petits pas, mais toujours dans une
seule direction, toujours avec la tolérance indulgente ou l’inaction
coupable, sinon l’approbation explicite des Autorités romaines.
L’Église catholique a été occupée lentement mais sûrement, et Bergoglio
a été chargé de la transformer en une agence philanthropique, l’ «
Église de l’humanité, de l’inclusion, de l’environnement » au service
du Nouvel Ordre Mondial. Mais ce n’est pas l’Église catholique, c’est
sa contrefaçon.
La renonciation de Benoît XVI et la désignation par la mafia de
Saint-Gall d’un successeur conforme aux diktats de l’Agenda 2030
devaient permettre – et ont permis – que le coup d’État mondial soit
géré avec la complicité et l’autorité de l’Église de Rome.
Bergoglio est à l’Église ce que les autres dirigeants mondiaux sont à
leurs nations : des traîtres, des destructeurs, des liquidateurs
définitifs de la société traditionnelle avec une certitude d’impunité.
Le vice de consentement (vitium consensus) de la part de Bergoglio, en
acceptant l’élection, se fonde précisément sur l’éloignement évident de
ses actions de gouvernement et de magistère par rapport à ce que tout
catholique de tout temps attend du Vicaire du Christ et du Successeur
du Prince des Apôtres. Tout ce que fait Bergoglio constitue une offense
et une provocation à l’Église catholique tout entière, à ses saints de
tous les temps, aux martyrs qui ont été tués dans l’odium Fidei, aux
papes de tous les temps jusqu’au Concile Vatican II.
Il s’agit aussi et surtout d’une offense au divin Chef de l’Église,
Notre Seigneur Jésus-Christ, dont Bergoglio exerce l’autorité sacrée au
détriment du Corps mystique, avec une action trop systématique et
cohérente pour apparaître comme le résultat d’une simple incompétence.
Dans l’action de Bergoglio et de son entourage, se réalise
l’avertissement du Seigneur : Méfiez-vous des faux prophètes, qui
viennent à vous sous l’apparence d’agneaux, mais qui, au fond, sont des
loups ravisseurs (Mt 7,15). Avec eux, je m’honore de n’avoir ni ne
vouloir aucune communion ecclésiale : leur lobby est un lobby qui
déguise sa complicité avec les maîtres du monde pour tromper tant
d’âmes et empêcher toute résistance à l’établissement du Royaume de
l’Antéchrist.
Face aux accusations du Dicastère, j’affirme, en tant que Successeur
des Apôtres, être en pleine communion avec l’Église catholique
apostolique romaine, avec le Magistère des Pontifes romains et avec la
Tradition doctrinale, morale et liturgique ininterrompue qu’ils ont
fidèlement conservée.
Je répudie les erreurs néo-modernistes inhérentes au Concile Vatican II
et au soi-disant « Magistère post-conciliaire », en particulier en
matière de collégialité, d’œcuménisme, de liberté religieuse, de
laïcité de l’État et de liturgie.
Je répudie, rejette et condamne les scandales, les erreurs et les
hérésies de Jorge Mario Bergoglio, qui manifeste une gestion absolument
tyrannique du pouvoir, exercé à l’encontre de la finalité qui légitime
l’Autorité dans l’Église : une autorité vicaire de celle du Christ et
qui, en tant que telle, ne doit obéir qu’à Lui. Cette séparation de la
papauté de son principe légitimant qu’est le Christ pontife transforme
le ministerium en une tyrannie autoréférentielle.
Aucun catholique digne de ce nom ne peut être en communion avec cette «
Église bergoglienne », car elle agit en discontinuité et en rupture
flagrantes avec tous les papes de l’histoire et avec l’Église du Christ.
Il y a cinquante ans, dans ce même palais du Saint-Office, l’archevêque
Marcel Lefebvre a été convoqué et accusé de schisme pour avoir rejeté
Vatican II. Sa défense est la mienne, ses paroles sont les miennes, ses
arguments sont les miens, avant lesquels les autorités romaines ne
pouvaient pas le condamner pour hérésie, devant attendre qu’il consacre
des évêques pour avoir le prétexte de le déclarer schismatique et de
révoquer son excommunication alors qu’il était déjà mort. Le schéma se
répète même après que dix lustres ont prouvé le choix prophétique de
Mgr Lefebvre.
En ces temps d’apostasie, les catholiques trouveront dans les pasteurs
fidèles au mandat reçu de Notre Seigneur un exemple et un encouragement
à demeurer dans la vérité du Christ.
Depositum custodi, selon l’exhortation de l’Apôtre : à l’approche du
moment où je devrai rendre compte au Fils de Dieu de toutes mes
actions, j’entends persévérer dans le bonum certamen et ne pas manquer
au témoignage de foi qui est exigé de celui qui, en tant qu’évêque, est
doté de la plénitude du sacerdoce et a été constitué successeur des
Apôtres.
J’invite tous les catholiques à prier pour que le Seigneur vienne au
secours de son Église et donne du courage à ceux qui sont persécutés à
cause de la foi.
+ Carlo Maria Viganò, archevêque
20 juin 2024 »
20 juin
On
a vu dans les dernières analyses que le temporel rejoint le spirituel
aux niveaux des bêtes de la terre et de la mer de l'Apocalypse, que la
Fille Aînée de l'Église rejoint Rome à la fin des temps, donc que le
chao part des deux entités.
Comme
preuve supplémentaire, voici ce qui se passe en France conjointement
avec le Vatican concernant la messe tridentine et Traditionis Custodes.
De
plus, ceux qui lisent ces analyses depuis quelques années savent qu'il
y a un flou à propos de la succession des papes selon le prophétie de
St-Malachie, et que selon les prophéties concernant l'Église de Jean
XXIII, il y a la possibilité d'un remplaçant du pape élevé par les
circonstances extrêmes de la situation, c'est à dire du Secrétaire
d'État Pietro Parolin en position sur le siège de Saint Pierre sans
conclave (voir analyses précédentes sur le cardinal Pietro Parolin
comme étant probablement Pierre II le romain de la prophétie de
Saint-Malachie, celui qui serait assassiné selon la prophétie de Jean
XXIII).
«
... Du point de vue français, nous pouvons confirmer qu'un haut
fonctionnaire aussi représentatif que le Nonce Apostolique en France
fait tout pour obtenir une application maximale de la Traditionis
Custodes . Mgr Celestino Migliore attise toujours l'ardeur liturgique
anti-traditionnelle des évêques de France, insistant pour que la messe
traditionnelle soit tolérée le moins possible et que les autres
sacrements, notamment les baptêmes, les mariages et les confirmations,
ne soient jamais administrés de manière traditionnelle. .
Un nonce apostolique est par mission un organe de la Secrétairerie
d'État. Cela confirmerait que le cardinal Pietro Parolin, fils
spirituel du cardinal Silvestrini, leader de la Rome libérale pendant
des décennies, est un pur « progressiste », admirateur de l'Ostpolitik
du cardinal Casaroli, qu'il a imité et même dépassé dans ses accords
avec la Chine, qui se cache sous la surface d'un homme sensé (il ne se
souciait qu'à moitié d'approuver que Fiducia Supplicans permettait la
bénédiction des couples homosexuels. Son nom apparaît constamment
aujourd'hui parmi les papabilis, celui d'un homme de la lignée de
Bergoglio, mais sérieux, réfléchi trempant dans les dossiers).
Sans avoir de cabinet fantôme, ce Secrétaire d'État/candidat au titre
de Pape a des hommes sur lesquels il peut compter le moment venu... si
le moment vient... Et l'un d'eux est le Nonce Migliore, de l'écurie du
Cardinal Becciu et une des personnalités les plus importantes du corps
diplomatique du Saint-Siège. Il a été envoyé en France en 2020 pour «
bergogiser » l'épiscopat français. En ce sens, l'abandon de Michel
Aupetit de l'archevêché de Paris, suivi de la nomination de Laurent
Ulrich à ce siège, est l'une de ses plus brillantes réussites.
On raconte qu'une promesse tacite aurait été faite à l'efficace
Celestino Migliore : il serait le secrétaire d'État du pape Parolin,
mais à condition qu'il parvienne à éradiquer le traditionalisme en
France. D'où ses efforts disproportionnés auprès de la Conférence
épiscopale française et des évêques, qui éviteraient à un Parolin
devenu pape d'avoir à gérer cet épineux dossier.
C'est ce zèle tout à fait carriériste qui suscite une grande
consternation parmi les évêques de France, même parmi ceux convaincus
du bien-fondé de la Traditionis Custodes mais qui se rendent compte
qu'une telle entreprise est impossible en France à moins de se lancer
dans une croisade bien étrangère à l'époque où nous vivons, et dont le
succès serait très incertain en ces temps de dialogue et d'Église
synodale.
Mais entre-temps, le nonce Migliore continue d'insister, même à huis
clos, en affirmant qu'il ne faut pas prendre au sérieux les fidèles
traditionnels. » (caminante-wanderer.blogspot.com)
Nous approchons du 40 jours après la date du signe de Jonas du 13 mai dernier.
Et
la tache solaire qui a causé cette tempête est toujours active après un
passage face à la terre en début juin, et qui est maintenant sur le
point de réapparaître face à la terre autour de la Saint-Jean Baptiste.
Il est rare qu'une tache solaire conserve son énergie pour durer aussi longtemps.
Pour l'instant, c'est toujours le cas.
19 juin
Voilà que cela se confirme exactement comme prévu selon les dernières analyses:
« Des sources ont déclaré à Rorate Caeli que les responsables du
Vatican souhaitent interdire la messe latine de la manière « aussi
large, définitive et irréversible que possible », et une source a
informé LifeSiteNews que cette interdiction sera probablement émise à
l’occasion du troisième anniversaire de Traditionis Custodes.
( LifeSiteNews
) — Plusieurs sources « crédibles » ont informé un média catholique
traditionnel que le Vatican prévoyait de publier un document «
interdisant » la messe traditionnelle latine, et une source a informé
LifeSiteNews que cela se produirait probablement le 16 juillet.
« On tente de mettre en œuvre, le plus vite possible, un document du
Vatican contenant une solution stricte, radicale et définitive
interdisant la messe traditionnelle en latin », a rapporté lundi Rorate
Caeli , qui attribue la nouvelle aux « sources les plus crédibles, dans
différents continents », y compris aux « cercles proches » du cardinal
Arthur Roche, préfet du Dicastère pour le culte divin.
Ces sources seraient « les mêmes… qui ont été les premiers à révéler
qu’un document comme Traditionis Custodes viendrait » et qui ont
également « révélé à Rorate que le Vatican avait envoyé une enquête aux
évêques » sur leur mise en œuvre du TLM à la suite du motu de 2007 du
pape Benoît XVI. proprio Summorum Pontificum , qui a permis une large
utilisation de la messe latine.
Selon Rorate , ceux qui planifient cette suppression « définitive » du
TLM sont « frustrés » par les « résultats apparemment lents » du
document du pape François restreignant la messe en latin, Traditionis
Custodes , en particulier aux États-Unis et en France, et « veulent
l’interdire et le fermer partout et immédiatement »… »
15 juin
LE QUATRIÈME COUP DE CANON
« … Les assassins sont en Europe. Ils veulent la Méditerranée…
Ce
n'est pas le temps d'un roi, ce ne l'a jamais été. Depuis la mort de
Frédéric, chaque roi est usurpateur. Que le roi s'en aille, reste le
peuple. L'Europe a soif, elle aura du sang dans les rues. » (prophétie politique « Grand Éclair à l’Orient » de Jean XXIII)
Nous
assistons au dernier acte avant la chute définitive de Babylone la
grande : la guerre sur le territoire israélien pour l’embrasement
autour de la Méditerranée.
La synagogue de Satan établie en Europe mène le bal.
Elle a sa marionnette, fils spirituel des Rothschild, Emmanuel Macron.
Suite à l’article du signe de Jonas, on se doutait que le chaos guettait la fille aînée de l’Église pour juillet 2024.
Force est de constater que tout semble se mettre en place avec les
élections législatives du 30 juin : le lendemain de la fête des
saints Pierre et Paul.
Le spirituel rejoint le temporel.
La bête de la mer rejoint la bête de la terre pour une grande finale.
Pour
l’importance du Vatican et de la France en ce moment critique, voici un
résumé du regretté Louis D’Alencourt du Grand Réveil: « 1958, le tournant : l’Église est veuve »
« Rome détient le pouvoir spirituel ; c'est la nouvelle Jérusalem et le Vatican le nouveau temple de Dieu.
L’Église est fondée à Rome, et c'est là qu'y meurent ses deux
fondateurs : saints Pierre et Paul. Cette fondation sera prolongée
jusqu'à aujourd'hui par la continuité apostolique des souverains
pontifes.
La
France détient le pouvoir temporel ; le peuple de Dieu est désigné dans
l'Ancien Testament par un mot qui désigne à la fois une entité
collective (le peuple) son fondateur (Jacob) et même son territoire. Ce
mot c'est Israël.
Le
Nouveau Testament a changé la donne : le peuple de Dieu n'est plus le
peuple hébreu, il est constitué désormais de tous les hommes qui
croient en la divinité de Jésus-Christ et qui affirment publiquement
cette foi par le baptême, condition obligatoire pour devenir
officiellement enfant de Dieu.
Le
royaume de Dieu créé par Jésus lors du triduum pascal est donc
constitué d'un nouveau peuple, rassemblé dans un nouveau temple
(l’Église) et disposant d'un nouveau territoire : le monde entier.
Mais
de même qu'il faut un siège pour la nouvelle église (ce sera Rome) il
faut un pays et un peuple pour continuer à symboliser à la fois la
terre promise et le peuple de Dieu…
C’est la France, terre choisie de toute éternité par la Sainte Vierge...
À la fin des temps, les deux endroits sur lesquels le monde aura les yeux fixés sont Rome et la France.
Emmanuel Macron est né un 21 décembre. A ce niveau-là, le hasard
n'existe pas. Surtout quand on sait que le prénom Emmanuel veut dire
"Dieu avec nous" en hébreu. On comprend mieux pourquoi la presse aux
ordres le compare à Jupiter.
Personnellement,
je pense que dans leur esprit Emmanuel Macron est une sorte de nouveau
roi David ; il n'est pas le Messie, car le Messie est Dieu (les juifs
sont les premiers à le savoir) mais il leur faut un grand roi (le plus
grand puisque le Messie est appelé fils de David) qui saura épauler le
Messie le moment venu… »
Nous ne sommes plus eschatologiquement sur du temps long, mais court.
Car Satan est sur le point de proclamer sa victoire.
L’Antichrist est présent.
C’est un système.
Le système politique et spirituel dans lequel nous vivons et qui est sur le point d’atteindre son apogée.
La prophétie de Jean XXIII au début de cet article est très claire.
Emmanuel Macron veut s’imposer comme roi.
Emmanuel Jean-Michel Frédéric
Macron, de son nom complet, a mis la France dans le trouble
financièrement, et provoque sans équivoque la Russie en envoyant
des troupes au sol en Ukraine, de même que des armes plus sophistiquées.
Du chaos à venir l’ordre doit surgir.
La bête de la mer (Vatican) rejoint la bête de la terre (politique, Macron en tête) en ce mois de juin.
Comme
preuve ultime, nous avons Bergoglio qui participe à la réunion du G7
cette semaine, confirmant ainsi la fusion de l’église conciliaire à la
religion humaniste franc-maçonnique.
« Ce
sera pendant ce temps que naîtra l’antéchrist, d’une religieuse
hébraïque, d’une fausse vierge qui aura communication avec le vieux
serpent, le maître de l’impureté ; son père sera évêque » (La Salette)
La
religion catholique conciliaire (fausse vierge) et son père évêque
(c’est bien ce qu’affirme être Bergoglio) couche avec la synagogue de
Satan (religieuse hébraïque).
Alors
que le mois de juin est le mois consacré au Sacré-Cœur dans l’Église
catholique, il est devenu le mois de la fierté gay, même pour Bergoglio.
Satan
ayant donc transmuté tout ce qui était sacré dans la société chrétienne
pour des considérations humanistes, s’apprête à donner le quatrième
coup de canon.
Cette
stratégie de Satan, expliquée dans l’article de Louis D’Alencourt dans
la référence ci-dessus, est le long cheminement pris par les
franc-maçons pour éliminer la présence du Christ sur cette terre.
Albert Pike, chef luciférien bien connu a en résumé le plan.
Les trois premiers ont été donné (extraits de l’article du Grand Réveil):
« 1) Premier coup de canon : l’œuvre et l’action de Luther
Date retenue par Pike : 10 décembre 1520 (Luther brûle la bulle papale et le droit canonique)
2) Deuxième coup de canon : destruction de la monarchie catholique par la décapitation d’un roi chrétien.
Date : 21 janvier 1793 (mort de Louis XVI)
3) Troisième coup de canon : abolition du pouvoir temporel des papes.
Date : 20 septembre 1870 (chute des États Pontificaux)
4) Quatrième
coup de canon : abolition définitive de la papauté ; plus
exactement « abolition du pouvoir spirituel de la papauté
chrétienne, après l’abolition du pouvoir temporel.
Date : à déterminer ; fait ou à venir ?
Puisque
le quatrième coup de canon semble similaire au troisième (la papauté
est concernée dans les deux cas) et que les enjeux se suivent (perte du
pouvoir temporel d’abord, du pouvoir spirituel ensuite), on peut tenter
d’établir un parallèle entre les deux périodes historiques afin
d’essayer de savoir quand réellement le quatrième coup de canon a été
tiré.
C’est
là que la France intervient, et effectivement les faits sont
suffisamment troublants pour être signalés : à chaque fois, les
événements de Rome sont précédés d’un changement majeur de régime en
France. Comme s’il fallait d’abord neutraliser la France, protectrice
de l’Église catholique, avant de pouvoir s’attaquer à la papauté... »
À CHAQUE FOIS, LES ÉVÉNEMENTS DE ROME SONT PRÉCÉDÉS D’UN CHANGEMENT MAJEUR DE RÉGIME EN FRANCE.
Et, en ce mois de juin, nous avons bien les signes de la parabole du figuier, autant politique que spirituel.
Surtout suite au possible signe de Jonas du 11 au 13 mai dernier.
Quels sont les signes de « feuilles tendres du figuier » auxquels nous avons droit?
Le premier, évidement, est la guerre qui s’intensifie, et la France qui en est le moteur principal de montée en tension.
De
même, l’OTAN pousse la provocation encore plus loin en permettant que
les armes américaines puissent être utilisées en territoire russe, tout
en confirmant que les chasseurs F16s danois et hollandais sont sur le
point d’être livrés à l’Ukraine.
La
Russie répond que chaque pays accueillant les armes utilisées contre
son territoire sera susceptible d’être une cible, tout en envoyant une
flotte navale pour un «exercice» dans les eaux des caraïbes, accostant
même à Cuba avec 4 navires et un sous-marin.
Çà
commence drôlement à ressembler à la crise d’octobre 1962… et à la
prophétie de Jean XXIII « Grand Éclair à l’Orient » où la terre frisera
le massacre.
Jean XXIII avait cru bon justement de publier « Pacem in Terris » le 11 avril 1963 pour calmer le jeu.
Au
niveau spirituel, Bergoglio est sur le point de fusionner l’église
conciliaire définitivement avec la pensée maçonnique par son humanisme
débridé, en interdisant simplement la tradition.
Nous savons de toute façon ce qui arrivera puisque l’Apocalypse nous avertit : il y aura mort des deux témoins.
Mais le signe le plus évident de la fin des temps est le décès éventuel de Bergoglio.
Car c’est Dieu et la chrétienté qui importent, et c’est là qu’il faut regarder.
Bergoglio vieillit. Il a de la difficulté à respirer, à marcher,… Bref sa santé décline à vue d’œil.
LE TEMPS PRESSE.
La fin de la papauté est l’objet de plusieurs prophéties qui concordent toutes sur ce point.
Toutes.
- Jean XXIII avec la prophétie de l’Église #11 « Le Septième Sceau ».
- La prophétie de Saint-Malachie sur les 111 papes successifs.
-
La prédiction de Satan cité dans le « Diable au XIXème
siècle », publié en (1893, le docteur Bataille explique comment
des questions sont posées à Lucifer via Sophia Walder lors de séances
occultes bien particulières :
« A la dernière de ces séances, du moins à la dernière à laquelle
j’assistai en cette année-ci, la question posée à la pythonisse
luciférienne fut :
– Combien de papes succéderont à Léon XIII ?
Et la réponse, en lettres rouges, qui parut sur la chair blanche, fut :
– Neuf, et après je règnerai. »
Il y a bien eu 9 papes après Léon XIII avant de voir le destructeur Bergoglio monter sur le trône de Saint-Pierre.
C’est avec lui qu’il règne.
Effectivement.
-
La suite de Garabandal cité dans l’analyse générale : trois papes
après Jean XXIII, dont un ne compte pas (Jean-Paul I), avant le
destructeur.
-
Diana Vaughan était une grande prêtresse luciférienne de la fin du
XIXème siècle, miraculeusement convertie, et qui eut le temps de faire
quelques révélations avant d’être enlevée par les francs-maçons. Dans
un de ses livres, elle explique certains versets du
livre Apadno (prophéties sataniques dictées par Lucifer à
Albert Pike), et notamment les versets 18 et 19 :
« Le
verset 18 explique que le dernier pape des catholiques sera un
juif converti à la religion du Christ ; pendant son
pontificat, il n’y aura plus un seul juif qui ne soit luciférien.
Lui-même, lorsque l’Antichrist se sera révélé au monde, il
abandonnera son catholicisme romain, non pas pour retourner au
mosaïsme, mais pour adopter le culte de Lucifer ; il déposera
la tiare et son zèle sera grand pour l’œuvre du palladisme triomphant.
Dans l’Apadno, ce franc-maçon qui occupera le souverain pontificat
luciférien, au temps de la mission publique de l’Antichrist, est aussi
appelé le Rempart de Dieu.
- Dans l’Apocalypse :
«
C'est ici qu'il faut un esprit doué de sagesse. — Les sept têtes sont
sept montagnes, sur lesquelles la femme est assise. Ce sont aussi sept
rois :
Les
cinq premiers sont tombés, l'un subsiste, l'autre n'est pas encore
venu, et quand il sera venu, il doit demeurer peu de temps.
Et
la bête qui était et qui n'est plus, en est elle-même un huitième et
elle est des sept, et elle s'en va à la perdition. » (Apocalypse 17,
9-11) »
La clé pour démarrer le compte (guidé par « l’esprit de sagesse » et du
fait qu’on ne peut reconnaître les faits qu’en y étant présent) est
celui qui « subsiste », c’est à dire Benoît XVI. Cinq papes avant lui
donc.
Et la bête qui était et qui n'est plus, en est elle-même un huitième et elle est des sept, et elle s'en va à la perdition.
Et Bergoglio, qui représente la bête marxiste socialiste
judéo-maçonnique, est le septième pape, mais il a décidé d’abandonner
son titre de vicaire du Christ, ET, d’abandonner son titre de pape en
décidant qu’il n’était, dans son idée de collégialité, que l’évêque de
Rome (en référence aux sept collines).
Il est devenu le huitième, la bête cachée derrière le titre de pape, et qui s’en va à la perdition.
Il est donc roi du Vatican, vassal de Satan, qui domine le Saint-Siège.
C’est
pourquoi il faut avoir à l’œil la date du 29 juin prochain quant aux
intentions de Bergoglio concernant la messe traditionnelle.
Car Rome a perdu la foi et est devenu le siège de l’Antichrist conformément à l’annonce à la Salette.
Et,
comme la Chrétienté a pris ses ailes à Rome, les persécutions partent
aussi de Rome parce qu'aux derniers Temps, l'Église est inversée par
rapport à elle-même.
Il en est de même pour le politique.
Les persécutions partiront du chaos dans la fille aînée de l’Église.
Conformément aux prédictions de la Salette, l’Église a été éclipsée, le Monde catholique est dans la consternation.
Les
deux témoins, les fidèles à la Loi et aux prophètes du clergé et les
laïcs, avec comme tête la tradition, prêchent avec la force de Dieu et
condamnent les erreurs diaboliques de l’Antéchrist.
Le calendrier de l’Apocalypse s’accélère, car nous sommes maintenant sur du temps court.
Le temporel rejoint le spirituel.
Et juste quand nous écrivions cette analyse clé...
BERGOGLIO LANCE LE QUATRIÈME COUP DE CANON!
Le 13 juin dernier, un mois jour pour jour après le signe de Jonas.
107
années après l'apparition du 13 juin 1917 à Fatima où la Sainte Vierge
demande la dévotion à son COEUR IMMACULÉ, qui est le refuge, NOTRE
refuge pour la fin des temps.
ET, c'est le 13 juillet 1917 qu'elle demande la CONSÉCRATION DE LA RUSSIE.
Les 100 ans accordés à Satan pour détruire l'Église sont terminés (vision de Léon XIII).
Nous avons eu 7 ans de grâce supplémentaire.
Bergoglio a publié le document qui fera basculé la papauté! (voir ici en français)
ET LA MESSE.
L’œcuménisme dans toute sa gloire.
Et signé (remarquez la page couverture) par…
L’évêque de Rome.
Évidement.
Ce qu’en dit Mgr Vigano :
«
Le document d'étude du Dicastère pour la promotion de l'unité des
chrétiens « L'évêque de Rome. Primauté et synodalité dans les dialogues
œcuméniques et dans les réponses à l'encyclique Ut unum sint" est
l'application cohérente des prémisses subversives posées par Vatican II
et les "papes conciliaires" :
– La messe a été frelatée sur le modèle de la Cène protestante ;
– le prêtre est devenu le « président » d'une assemblée ;
–
l'autorité a été retirée aux évêques par les conférences épiscopales et
le synode, qui se l'ont appropriée au nom de la collégialité ;
–
maintenant le Pape doit devenir le « primus inter pares » des sectes
chrétiennes, il doit trahir le mandat confié par le Christ à Pierre et
à ses successeurs et abdiquer le rôle de Vicaire du Christ.
La
secte bergoglienne s'apprête à rejoindre les autres communautés
schismatiques et hérétiques, après avoir embrassé leurs erreurs. Bref,
le futur chef de la nouvelle Religion de l’Humanité souhaité par
l’élite maçonnique du Nouvel Ordre Mondial se dessine déjà.
Ce
plan a nécessité des décennies de préparation et a utilisé la démission
de Benoît XVI comme un élément supplémentaire pour détruire la papauté,
compte tenu de l'action destructrice du jésuite argentin.
La
trahison commence au sommet de l'institution, et elle n'a pas commencé
avec Bergoglio : ce document d'étude n'est rien d'autre que la
reproposition de ce que Jean-Paul II espérait dans l'encyclique Ut unum
sint, qui à son tour fait référence au Vatican. Concile II.
La
trahison était déjà inhérente à l’œcuménisme, proposée à nouveau dans
la période post-conciliaire dans les mêmes termes avec lesquels elle
avait été condamnée auparavant.
L'usurpateur
Bergoglio utilise le pouvoir de la Papauté pour la discréditer,
l'humilier et déformer définitivement son essence immuable voulue par
le Christ lui-même. Et sans changer officiellement (doctrinalement)
l'institution monarchique de l'Église, en fait (pastoralement)
Bergoglio la renverse, en faisant une institution synodale seulement
apparemment démocratique dans laquelle l'Église profonde est une alliée
de l'État profond dans l'établissement de l'anti- Dictature du Christ
du Nouvel Ordre Mondial.
Bergoglio
a usurpé la papauté avec l’intention perverse de détruire ce qui
restait de l’Église catholique : muter génétiquement la papauté afin de
la soumettre totalement à l’idéologie mondialiste.
Bergoglio
abuse du pouvoir suprême dans l’Église pour démolir l’Église,
exactement comme dans la sphère civile d’autres subversifs abusent de
leur autorité pour effacer la souveraineté et l’identité même des
peuples.
La révolution conciliaire suit le même schéma subversif que l’on a vu appliqué dans la sphère civile depuis la
Révolution française et qui nous est à nouveau proposé aujourd’hui avec le coup d’État de l’Agenda 2030.
Bergoglio est le syndic de faillite d'un plan diabolique planifié il y a plus de soixante ans. »
On l'avait annoncé et analysé abondamment.
Et
toujours affirmé qu'il ne s'agissait que de l'annoncer car nous savons
en tant que chrétiens éveillés que la présence réelle ne sera jamais
écarter.
C'est la promesse de NSJC: « Je serai avec vous jusquà la fin du monde »
Cette génération est condamnée.
La messe oecuménique abolissant la présence réelle est à nos portes!
C'est confirmé par le Vatican.
La suite appartient au Christ.
Dieu vous bénisse.
01 juin
En hommage au regretté Louis D’Alencourt (grandreveil.wordpress.org), qui a inspiré en partie cette analyse.
La disparition de Louis pour ses lecteurs a été un choc monumental, puisque rien le laissait présager un tel dénouement.
Paix à son âme.
Sa mission est donc terminée dans ce monde temporel.
Il méritait grandement de partir sans être témoin du courroux qui s’en vient.
Le Père, en venant le chercher si tôt nous donnerait-il un signe?
Cela signifierait-il qu’il ne reste que peu de temps pour se convertir?
Car,
à partir de la fin de la 6ème période de l'Apocalypse (c'est à dire
maintenant), lorsque la chute de Babylone est enclenchée, il sera trop
tard, car le 7ème sceau ouvre la porte du Jugement.
La parabole du figuier (Matthieu 24, 32-35) est très appropriée.
Maintenant!
« Écoutez
une comparaison prise du figuier. Dès que ses rameaux deviennent
tendres, et qu'il pousse ses feuilles, vous savez que l'été est proche.
Ainsi, lorsque vous verrez toutes ces choses, sachez que le Fils
de l'homme est proche, qu'il est à la porte. Je vous le
dis en vérité, cette génération ne passera point que toutes ces choses
n'arrivent.Le ciel et la terre passeront, mais mes paroles ne passeront point. »
LE SIGNE DE JONAS? (partie II)
Avez-vous remarqué que Bergoglio n’a pas été le célébrant principal de la messe depuis le milieu de l’année 2022?
La
messe tridentine est au cœur du sujet car elle fait obstacle à la
futur cérémonie œcuménique poussée par Bergoglio dans les derniers
mois.
D’où ses attaques :
- « CITÉ DU VATICAN, 30 juin 2021 ( LifeSiteNews
) — Le Vatican a décidé d’interdire le latin, la langue traditionnelle
de l’Église catholique, de la célébration de la plupart des messes dans
la basilique Saint-Pierre.
- Traditionis Custodes du 16 juillet 2021 interdisant la messe tridentine.
-
Bergoglio renforce son Motu Proprio Traditionis Custodes lors de la
fête des Saints Pierre et Paul en juin 2022, pour le dernier droit vers
la messe œcuménique. (vaticannews.va)
- « C’est pourquoi j’ai écrit Traditionis custodes , afin que l’Église
élève, dans la variété de tant de langues, une seule et même prière
capable d’exprimer son unité.
« Comme je l’ai déjà écrit, j’entends que cette unité soit rétablie dans toute l’Église de rite romain », a déclaré François…
«
Bergoglio a l’intention de mettre fin à la messe traditionnelle en
latin en imposant le Novus Ordo à tout le rite romain sous prétexte
d’unité », a averti le clerc, affirmant plus tard que l’exhortation du
pape à « abandonner nos polémiques pour écouter ensemble ce que
l’Esprit dit à l’Église » est une manière voilée de dire « nous devons
abandonner la Tradition et nous soumettre à sa volonté [de François] ».
La
journaliste vaticane Bree Dail a écrit que, « selon plusieurs sources,
le pape François » ne croit plus au débat en cours « sur »
l’herméneutique de la continuité « , mais « a clairement exprimé sa
position personnelle, en rupture avec son prédécesseur, Benoît XVI »… »
(lifesitenews.com)
-
Dans son homélie pour la fête des saints Pierre et Paul, le pape a
semblé comparer les catholiques « rigides » à la persécution de
l’Église par saint Paul.
…
Le pape François s’est alors lancé dans ce qui est devenu une attaque
régulière contre les catholiques « rigides », semblant suggérer que les
catholiques « rigides » sont comme saint Paul dans son zèle
anti-catholique.
« Le pape appelle à la fin de la « défense intransigeante de la tradition »
Comme on le voit, les attaques ont lieu à la fête de Saint-Pierre et Saint-Paul, le 29 juin.
On se rappelle que c’est en cette journée aussi que…
«
devant la situation de l’Église d’aujourd’hui, nous avons le sentiment
que par quelque fissure la fumée de Satan est entrée dans le peuple de
Dieu… » Paul VI, 29 juin 1972.
C’est le contexte actuel.
Le
synode des synodes est supposé achever le plan dont la victoire sera
ensuite célébrée par un temps de fraternité universelle, le Jubilé 2025.
Le temps presse.
Voyons nous un mouvement de masse de conversion à la vraie Foi?
La réponse est évidente.
Le signe de Jonas est proche…
Ou, a eu lieu!
En quoi consiste le signe de Jonas?
Rappelons
en quelques mots l’histoire de Jonas : celui-ci est chargé par
Dieu d’aller porter un message à la ville de Ninive, en Assyrie.
Jonas
refuse sa mission et s’embarque sur un bateau vers une destination
opposée. Dieu provoque une tempête qui aboutit à la conclusion que la
présence de Jonas est la cause de cette tempête, et celui-ci est jeté à
l’eau.
Il est avalé alors par un grand poisson dans le ventre duquel il reste 3 jours et 3 nuits.
Le
poisson le rejette sur le bon rivage et Jonas part à Ninive délivrer
son message : « Encore 40 jours et Ninive sera
détruite ».
Les
gens de Ninive crurent en Dieu, décrétèrent un jeûne et se couvrirent
de sacs, du roi jusqu’aux bêtes, et se repentirent de leurs mauvaises
actions.
Finalement, devant l’attitude de pénitence des ninivites, Dieu épargnera la ville.
Le signe de Jonas que Jésus indique, ce sont les 3 jours que passe ce dernier dans l’obscurité dans le ventre du poisson.
Ce signe est indissociable de la mission de Jonas qui consiste à annoncer que dans 40 jours Ninive sera détruite.
Alors, quelle est la nature de ces 3 jours?
Le livre de Jonas parle d’une grande tempête.
Après
ses 3 jours et 3 nuits, Jonas prend immédiatement le chemin de Ninive
car cette dernière n’a que 40 jours pour se convertir avant d’être
détruite.
Le même sort nous attend.
Mais contrairement à Ninive, l’Apocalypse nous indique qu’il n’y aura pas de conversion en cette fin des temps :
Il est expliqué que malgré les signes, « les autres hommes, ne se repentirent ni de leurs meurtres, ni de leurs enchantements, ni de leur impudicité, ni de leurs vols.» (Apoc. 9, 21).
Une attitude confirmée dans le livre de Daniel : « il
y en aura beaucoup qui seront purifiés, blanchis et éprouvés ; et les
méchants feront le mal, et aucun méchant ne comprendra ; mais les
intelligents comprendront. » (Daniel 12, 10)
Le Christ nous l’a indiqué.
Le seul signe qui sera donné avant son retour sera celui de Jonas.
Et,
Babylone n’aura que 40 jours avant le début des châtiments et des deux
derniers grands malheurs (6è et 7è trompettes) de l’Apocalypse.
Que représente le chiffre 40?
«
La durée de quarante jours, ... recouvre une valeur symbolique. Est-ce
à dire qu’historiquement, quarante jours, soit quarante journées et
quarante nuits, ont séparé la Résurrection du Christ de son
Ascension ?
Pas nécessairement.
Ces
quarante jours désignent en fait un temps d’attente et rappellent à la
fois les quarante jours du Déluge qui s’abat sur la Terre, les quarante
ans du peuple hébreu dans le désert, les quarante jours du jeûne de
Moïse au Mont Sinaï avant de recevoir la loi, les quarante jours
d’errance du prophète Élie et les quarante jours que le Christ passe au
désert.
Tous traduisent une durée, une durée longue et mystérieuse.
Quarante,
dans la tradition de l’Église, c’est aussi le nombre de jours
du Carême : c’est le temps de l’attente, le temps du silence
et de la prière, un temps nécessaire d’épreuve, de cheminement et de
maturation pour se préparer à retrouver Dieu. Une période nécessaire,
aussi, pour que les disciples s’approprient la vérité ahurissante de la
résurrection, pour ensuite en témoigner à leur tour. Quarante jours
pour se rappeler que la foi est un chemin, toujours un chemin, et que
l’épreuve, l’ajustement et le doute précèdent l’heureuse union avec
Celui qui nous aime tant.(fr.aleteia.org)
Notons également, que le nom de Jésus (Ieshoua) a pour valeur numérique 47 en hébreu.
Le nombre du Christ en gloire est donc le 47.
Le
mois de mai est le mois de Marie ; rien ne nous interdit de penser
qu’en l’honneur de la Vierge Marie, les armées célestes ont commencé la
grande épuration.
Puisque les apparitions de Fatima ont commencé le 13 mai 1917.
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