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LAS PROFECÍAS DEL PAPA JUAN XXIII/LE PROFEZIE DI PAPA GIOVANNI XXIII

Fin des temps


Cette section fait référence aux sections des prophéties sous l'onglet ''Analyse''.

Les prophéties de la semaine sainte

Le Grand Réveil Louis D'Alencourt

Prière du premier samedi du mois

Prière du Saint Rosaire

2024

Février 2025

01 février

LE PACTE DES CATACOMBES

Peu après avoir convoqué le Concile, le pape Jean XXIII prononce un discours remarqué dans lequel il plaide en faveur d’une Église servante et pauvre, dépouillée des symboles de la puissance et de la richesse. Cet appel trouve un écho favorable auprès d’un certain nombre de pères conciliaires, particulièrement auprès d’évêques sud-américains comme le Brésilien Hélder Câmara et le Chilien Manuel Larraín, bien au fait des réflexions tiers-mondistes et décoloniales émergentes sur la pauvreté et le sous-développement du continent. Le Belge Charles-Marie Himmer, le Palestinien Maxime V. Hakim et le Québécois Gérard-Marie Coderre se joignent bientôt à eux, constituant, avec d’autres, le groupe « Jésus, l’Église et les pauvres ».

« Il voudra connaître le monde et le faire connaître avec ses yeux aux simples. Le scandale arrivera mais tous comprendront. » (prophétie concernant Jean XXIII)

Pie XII avait eu l’idée d’un concile sur la doctrine mais dans sa grande sagesse l’avait abandonné afin de ne pas créer de schisme.

« C’est le 25 janvier 1959, lors d’un consistoire tenu à Saint-Paul-Hors-les-Murs après la cérémonie de clôture de la semaine de l’Unité, qu’il fait connaître sa détermination de convoquer un concile œcuménique. Sur le moment même, les cardinaux n’ont aucune réaction, ce qui laisse Jean XXIII quelque peu dépité. Montini est le premier surpris; il écrit à l’un de ses amis : « Ce vieux saint coquin ne paraît pas réaliser dans quel guêpier il se fourre ».

Plus tard, en 1962, Jean XXIII présentera cette décision comme une inspiration du Ciel. Elle lui serait venue soudainement pendant une discussion avec Mgr Tardini, le 20 janvier 1959 : « Soudain une grande idée surgit en Nous et illumina notre âme. Nous l’accueillîmes avec une indicible confiance dans le divin Maître, une parole monta à Nos lèvres, solennelle, impérative. Notre voix l’exprima pour la première fois : un Concile ! »

Dans son journal, qu’il savait devoir être publié après sa mort, il écrit, le 15 septembre 1962, trois semaines donc avant l’ouverture du Concile : « Sans y avoir pensé auparavant, j’ai prononcé dans une première conversation avec mon secrétaire d’État, le 20 janvier 1959, les mots de Concile œcuménique, de synode diocésain et de refonte du Code de Droit canon, et ceci sans que j’aie fait là-dessus une hypothèse ou un projet quelconque. Le premier à être surpris de cette suggestion que je faisais, ce fut moi-même, alors que personne ne m’en avait jamais donné la moindre idée ! »

« Tout de même honnête, Peter Hebbletwhaite rappelle que c’est Mgr Ruffini qui en a eu l’idée en 1939, avant même d’être cardinal, mais Pie XII ne s’y arrêta pas. Devenu archevêque de Palerme, il revint à la charge en 1948, avec le soutien du cardinal Ottaviani, dans le but d’obtenir la condamnation des erreurs modernes ; cette fois, le Pape en ordonna la préparation secrète. Mais Pie XII abandonna quelques mois plus tard, lorsque les réactions des prélats consultés laissèrent entrevoir de grandes divisions au sein de l’épiscopat. Finalement, au dernier conclave, les deux cardinaux s’adressèrent à celui vers qui le vote s’orientait.

Le 30 octobre 1958, donc deux jours après son élection, Jean XXIII en parla à son secrétaire et se fit apporter les archives de la préparation de 1948. Après en avoir pris connaissance, il résolut que son concile se ferait dans un tout autre esprit : son objectif principal serait pastoral et non pas doctrinal, il fallait répondre aux besoins nouveaux de l’Église et du monde. Sa décision est définitivement arrêtée le 28 novembre. »  (crc-resurrection.org)


« Qu’est-ce que le Pacte des catacombes ? » (vaticannews.va)

C’est un pacte concernant la richesse, les pompes et les cérémonies dans l’Église catholique.

François assume à présent l’héritage (livre sur le pacte des catacombes).

L’Alpha, sous Jean XXIII, avec l’ouverture de Vatican II, rejoint toujours l’Oméga, Bergoglio et la clôture de Vatican II.

« L’histoire de la rédaction du Pacte des catacombes s’inscrit sur une période longue, au moins antérieure au Concile, lorsque la vision d’une Église pauvre germait déjà dans l’esprit du Pape Jean XXIII. Ainsi, le 11 septembre 1962, le Souverain Pontife italien affirmait: «en face des pays sous-développés, l’Église se présente telle qu’elle est et veut être : l’Église de tous et particulièrement l’Église des pauvres» (Message-radio à tous les fidèles chrétiens à un mois du Concile œcuménique Vatican II).

L’impulsion semble toutefois être donnée par Dom Helder Camara. C’est d’ailleurs lui qui présente à la presse le manifeste spirituel, avant qu’il ne soit publié en janvier 1966 par les “Informations catholiques internationales”. » (vaticannews.va ci-haut)

Hélder Câmara fut un défenseur des droits de l'homme au Brésil.

Le 27 décembre 2017, le Parlement brésilien, sur proposition du gouvernement, attribue à Hélder Câmara le titre de patron des Droits de l'Homme.

Peu le savent, mais Mgr. Hélder Câmara, archevêque d'Olinda et de Recife au Brésil, a rencontré le jeune Klaus Schwab dans ses jeunes années et a profondément influencé ce denier.

Une fois que Schwab a reconnu Câmara pour son opposition à l'Église traditionnelle et ses théories révolutionnaires et paupéristes, il l'a invité au Forum de Davos, considérant sa participation à cet événement comme extrêmement importante au regard du projet de du nouvel ordre mondial.

Klaus Swab fonda ensuite en 1971 le Forum Économique Mondial pour promulguer ensuite sa Grande Réinitialisation en même temps que la pandémie faisait rage en 2020.

Coïncidence?

Hélder Câmara fut parmi les organisateurs du « Pacte des Catacombes », signé par quarante deux évêques ultra-progressistes, en majorité latino-américains, le 16 novembre 1965, quelques jours avant la clôture du Concile.

Le but du pacte des catacombes, vous l’aurez compris, est de transformer l’Église catholique à jamais en voulant la convertir en une église pour les pauvres; ce que Bergoglio a fait avec l’église conciliaire aussitôt élu.

Bergoglio lui-même a déclaré dès le début de son pontificat qu'il était d'accord avec les exigences du Pacte des Catacombes.

Le pacte des catacombes est le serment de Bergoglio établi sous les 13 schémas  préparatoires des grands textes de Vatican II. (Encore le 13, pour un pape élu un 13 en 2013; alors que le 13 appartient à Marie) (le texte du Pacte des Catabombes)

C’est malhonnête et diabolique.

Car le concept est une excuse pour dissocier l’Église de la doctrine pour l’intégrer avec les autres religions mondiales, pour abandonner la liturgie traditionnelle, dans l’esprit œcuménique où tous les chemins, toutes les religions mènent à Dieu.

Quel mensonge de la part de cette secte des catacombes avec Bergoglio en tête.

L’Église a TOUJOURS été là pour les pauvres et les oubliés!

Depuis la venue du Christ.

Les hôpitaux, orphelinats, écoles, les soupes populaires, … ont été inventés par l’Église, pour les oubliés de la société.

C’est dans les catacombes que les premiers chrétiens à Rome se réunissaient pour célébrer l’Eucharistie vivante où Dieu s’incarne à nouveau par la présence réelle dans l’Ostie consacré.

Quel contraste, alors qu’en ce lieu en 1965 se signait un pacte qui sert de serment à Bergoglio, menant à éliminer la messe Tridentine et la présence réelle sous prétexte que cela nuit à « l’unité de l’église ».

Quel hypocrisie.

C’est son action qui nuit à l’unité de l’Église, car ce qu’il veut c’est une « unité » selon la fraternité universelle.

La Tradition est contraire à son plan.

Et lorsque l’abomination de la désolation a paradé dans la basilique Saint-Pierre le 20 octobre 2019, ils ont renouvelé le pacte, sonnant le coup de grâce.

Lors du Synode sur l'Amazonie, la célébration du pacte entre les conjurés s'est répétée dans les Catacombes de Santa Domitilla, confirmant que le plan commencé au Concile avait trouvé sa réalisation précisément en Jorge Mario Bergoglio.

« Des pères synodaux renouvellent le «Pacte des Catacombes»…  Pacte des Catacombes pour la Maison Commune» (vaticannews.va)

La maison commune… thème si cher à Bergoglio.

«La signature du Pacte version 2.0 représente l’accomplissement du Concile, prévu depuis longtemps…  Il ne s’agit pas d’un événement purement commémoratif, mais de l’acte final d’un processus qui commence avec le Concile Vatican II et culmine avec la montée au trône pontifical de Jorge Mario Bergoglio. » (benoît-et-moi.fr)

« Le voici donc, là où on ne l’attendait pas forcément, le moment crucial, le point névralgique du synode sur l’Amazonie, en un événement qui a certainement été préparé bien avant l’arrivée des pères synodaux à Rome… L’importance symbolique de cet événement est immense… «Avec le Pape François, le « Pacte des Catacombes » revit 50 ans après» … «Dans le pacte des catacombes, la semence de l’Eglise de François»… la semence de la véritable Église, celle évangélique, celle qui est «pauvres pour les pauvres», n’est pas dans le Concile, mais dans le « Pacte des Catacombes »… ce n’est pas l’évangile; c’est seulement une interprétation idéologique de l’évangile. Ce qui n’est pas la même chose… L’influence du marxisme, tellement à la mode dans ces années, est très évidente… »
(benoît-et-moi.fr)

C’est en effet à cette époque que Vatican et Nations-Unies, les deux Babylone des prophéties de Jean XXIII, main dans la main, écrasait le monde pour la grande réinitialisation via une « pandémie » avec conséquence des églises fermées, un arrêt des célébrations eucharistiques, ajoutant à la grande apostasie de la fin des temps…

Sauf pour la Tradition, dont les prêtres et les fidèles sont en croissance exponentielle.

À la conclusion du pacte des catacombes en 1965, chaque évêque présent est monté à l’autel pour signer le manifeste, jurant d’abandonner toute marques et titres les reliant à la tradition de l’église : croix, vêtements, titres d’évêque, de monseigneur, etc.

«nous renonçons pour toujours à l'apparence et à la réalité de richesse spécialement dans les habits (étoffes riches et couleurs voyantes), les insignes en matière précieuse: ces insignes doivent être en effet évangéliques».

« nous susciterons des collaborateurs pour être davantage des animateurs selon l'Esprit, que des chefs selon le monde ».

« nous chercherons à être plus humainement présents, accueillants; - nous nous montrerons ouverts à tous, quelle que soit leur religion ».

Çà nous rappelle bien Bergoglio avec sa religion universelle et ses innombrables synodes où tout est décidé selon lui par « le Saint Esprit ».

«' Comme vous le savez, la tâche du conclave est de donner un évêque à Rome. Il semble que mes confrères cardinaux soient allés presque au bout du monde '' (Premières paroles du Pape François lors de l'intronisation). Le Pape François... Pour la pauvreté et la paix: «Comme je voudrais une Église pauvre, pour les pauvres...François est le nom de la paix, et c'est ainsi que ce nom est venu dans mon cœur » (premiers mots suite à l’élection).

Ensuite, nous avons vu son abandon pour les appartements pontificaux, son refus des vêtements, croix, etc. liés aux papes, et les abandons des titres de « sa sainteté », de pape, pour n’être que le simple évêque de Rome.

Il fait retirer le titre historique et essentiel « Vicaire du Christ » de l’Annuaire pontifical 2020, l’annuaire annuel du Saint-Siège, reléguant le titre à une note de bas de page, le qualifiant de  "titre historique", en ne signant que « Francesco ».

Si certains y ont vu un geste d’humilité, le cardinal Gerhard Ludwig Müller, ancien préfet de la Congrégation pour la doctrine de la foi, dénonce, une «barbarie théologique». Le titre de «Vicaire de Jésus-Christ» a clairement une signification dogmatique. Il découle directement des évangiles, dans lesquels Jésus a donné à Pierre l’autorité dans l’Église. «Ce n’est qu’avec beaucoup d’humour et d’ironie que l’on peut supporter le dilettantisme théologique des statisticiens, même si ce changement devrait à nouveau être salué par les intéressés pleins d’hypocrisie comme un signe de grande humilité».

Le pacte des catacombes, comme nous pouvons le constater, est une inversion des valeurs si chère à Satan. Une autre singerie.

Bergoglio a le mandat d’établir un nouvel ordre social tel que spécifié au paragraphe 10 du pacte des catacombes, une nouvelle fraternité universelle basée sur les valeurs sociales du nouvel ordre mondial tel que défini AVEC Davos.

Paragraphe 10 :

« Nous mettrons tout en œuvre pour que les responsables de notre gouvernement et de nos services publics décident et mettent en application les lois, les structures et les institutions sociales nécessaires à la justice, à l'égalité et au développement harmonisé et total de tout l'homme chez tous les hommes et par là l'avènement d'un autre ordre social, nouveau, digne des fils de l'homme et des fils de Dieu. »

Un projet humaniste où règne la religion du changement climatique, la fraternité franc-maçonnique, l’œcuménisme…

Voilà l’humain qui se divinise à la place Dieu.

Sous l’autorité pontificale de Bergoglio.

Pourquoi ramener à la surface le pacte des catacombes?

Parce que nous vivons le point Oméga de ce pacte et donc de Vatican II.

Bergoglio résume à lui seul tout Vatican II.

On se rappelle : « la bête qui était et qui n'est plus, en est elle-même un huitième et elle est des sept, et elle s'en va à la perdition. » (Apocalypse 17, 9-11)

C’est la finalité. Le chiffre 8.

C’est la parabole du figuier en Matthieu 24, 32-33.
«  Écoutez une comparaison prise du figuier. Dès que ses rameaux deviennent tendres, et qu'il pousse ses feuilles, vous savez que l'été est proche. Ainsi, lorsque vous verrez toutes ces choses, sachez que le Fils de l'homme est proche, qu'il est à la porte. »

La période de Jean XXIII à Bergoglio est le signe du figuier.

De la finalité.

L’Oméga.

2025-1965 : 60 ans

L’Église est veuve selon Saint-Paul.

Janvier 2025

28 janvier

LE DESTRUCTEUR DE L’ÉGLISE (2)

« Il y aura très peu de chrétiens qui obéiront au véritable Souverain Pontife et à l’Église catholique romaine avec un cœur loyal et une parfaite charité. Au moment de cette tribulation, un homme, non élu canoniquement, sera élevé à la papauté, lequel, par ruse, s’efforcera d’entraîner beaucoup de monde dans l’erreur et dans la mort… en ces jours-là, Notre Seigneur Jésus-Christ leur enverra non pas un vrai Pasteur, mais un destructeur. » (Saint-François D’Assise)

Qu'elle est la limite à atteindre avec la destruction de l'Église avant que NSJC n'intervienne?

On sait que le destructeur de l'Église est un « outil » placé en ces temps pour épurer, pour séparer le bon grain de l'ivraie.

Chaque journée nouvelle est une occasion de polir son âme afin de faire parti des « vierges folles » qui ont toujours de l'huile en réserve, car l'époux n'est plus très loin.

Le destructeur vise la messe Tridentine, c'est évident.

Extrait d’un discours de Mgr Joseph Strickland du 31 octobre 2023 au Rome Life Forum où il expose une lettre d’un ami concernant son inquiétude face à celui qui occupe le siège de Saint-Pierre.

Il décrit son ami comme « un croyant profond, un amoureux de notre Seigneur Jésus-Christ, un vrai disciple, un amoureux de l’Église, un amoureux de l’office pétrinien dans tous les aspects de notre foi catholique ». Et il a dit qu'il avait reçu cette lettre comme « un message profondément stimulant pour moi », ajoutant : « ça ne s'adresse pas seulement à moi, mais à nous tous. Ça dit des choses fortes. Mais je veux vous assurer que cet ami a un amour profond pour le Christ et son Église, pour le pape François :

« François est un expert pour produire des lâches en prêchant le dialogue et l'ouverture dans un esprit accueillant et en mettant toujours de l'avant sa propre autorité. Il fait croire que celui qui s'oppose à lui et à ce qu'il propose est un ennemi de l'Église. Et pourtant, ce n’est pas le sang des lâches qui est la semence de l’Église. C'est le sang des martyrs…

« Voudriez-vous maintenant permettre à celui qui a écarté le vrai Pape et a tenté de s'asseoir sur une chaise qui n'est pas la sienne de définir ce que doit être l'Église. « Quant à la bête, elle l'était et elle n'est pas. C'est un huitième, mais il fait partie du septième, et il va à la destruction.'»... (lifesitenews.com)

Les brumes plus épaisses ont envahi le Vatican en ce fameux 13 mars 2013 et il faut être très branché pour voir et comprendre l'action du destructeur depuis.

« C'est ici qu'il faut un esprit doué de sagesse. — Les sept têtes sont sept montagnes, sur lesquelles la femme est assise. Ce sont aussi sept rois :

Les cinq premiers sont tombés, l'un subsiste, l'autre n'est pas encore venu, et quand il sera venu, il doit demeurer peu de temps.

Et la bête qui était et qui n'est plus, en est elle-même un huitième et elle est des sept, et elle s'en va à la perdition. » (Apocalypse 17, 9-11) »

La clé pour démarrer le compte (guidé par « l’esprit de sagesse » et du fait qu’on ne peut reconnaître les faits qu’en y étant présent) est celui qui « subsiste », c’est à dire Benoît XVI.

Cinq papes avant lui donc.

Et la bête qui était et qui n'est plus, en est elle-même un huitième et elle est des sept, et elle s'en va à la perdition.

Et Bergoglio, qui représente la bête marxiste socialiste judéo-maçonnique, est le septième pape, mais il a décidé d’abandonner son titre de vicaire du Christ, ET, d’abandonner son titre de pape en décidant qu’il n’était, dans son idée de collégialité, que l’évêque de Rome (en référence aux sept collines).

Il est devenu le huitième, la bête cachée derrière le titre de pape, et qui s’en va à la perdition.

Il est donc roi du Vatican, vassal de Satan, qui domine le Saint-Siège.

Il résume à lui seul tout Vatican II en ayant pour mission d'achever l'Église.

Clore Vatican II.

Et cette mission finale est d’interdire la messe Tridentine, ce qui sera la mort des deux témoins.

Inévitablement.

Cardinal Sarah :

« MILAN ( LifeSiteNews ) — Toute tentative d'« abolir » la messe traditionnelle serait un « projet diabolique » qui « cherche à rompre avec l'Église du Christ », a déclaré cette semaine le cardinal Robert Sarah.

« Dans l'histoire de la liturgie, il y a une croissance et un progrès, mais pas une rupture », a noté Sarah lors d'un événement lundi.

S'inspirant de la remarque désormais célèbre du pape Benoît XVI, Sarah l'a fait sienne en affirmant que « ce qui était saint pour les générations précédentes reste saint et grand pour nous, et ne peut pas être soudainement interdit ni même jugé nuisible. Il est bon pour nous tous de préserver les richesses qui ont grandi dans la foi et la prière de l’Église et de leur donner la place qui leur revient.

Sarah – qui a été préfète de la Congrégation pour le Culte Divin et la Discipline des Sacrements (CDW) de 2014 à 2021 – a étendu ses critiques sévères à l'égard de toute tentative d'abolition de la messe traditionnelle (messe latine) en avertissant que ce serait un rejet.

Il a dit :

D'où le projet d'abolir définitivement la messe tridentine traditionnelle, un rite qui remonte à saint Grégoire le Grand, une liturgie vieille de 1 600 ans, une messe célébrée par tant de saints : saint Padre Pio, saint Philippe Néri, saint. Jean-Marie Vianney : le curé d'Ars, Saint François. de Sales, saint Josémaria Escriva, etc. Et jusqu'au pape Grégoire le Grand (590-604) et même au pape Damase (366-384).

Ce projet, s'il est vrai, me semble être une insulte à l'histoire de l'Église et à la Sainte Tradition, un projet diabolique qui cherche à rompre avec l'Église du Christ, des apôtres et des saints…

S'appuyant une fois de plus sur Benoît XVI, Sarah a cité le regretté pape allemand : « Le Concile Vatican I n'a pas défini le Pape comme un monarque absolu, mais plutôt comme le garant de l'obéissance à la parole transmise : son autorité est liée à la tradition de la foi : cela est également vrai dans le domaine de la liturgie.

« Même le Pape », a déclaré Sarah, « ne peut être qu'un humble serviteur de son propre développement et de son intégrité et de son identité constantes… L'autorité du Pape n'est pas illimitée ; elle est au service de la Tradition Sacrée…. »

Mgr Stickland :

« Je pense donc que nous devons être très clairs sur le fait que les tentatives visant à éliminer, à dénigrer ou à enfoncer dans la poussière de l'histoire la messe latine traditionnelle n'appartiennent pas à l'Église que Jésus-Christ a établie . Appelons à la correction toute voix qui tente de le faire avec amour et charité », a déclaré Strickland.

Son Excellence a ensuite examiné les commentaires du pape sur la messe latine dans ses mémoires Espoir, dans lesquels le Pontife accusait le clergé et les laïcs dévoués à l'ancienne liturgie d'avoir un « déséquilibre mental ».  

« Qualifier ceux qui ont la foi catholique traditionnelle et qui aiment la messe latine de « mentalement instables » est vraiment erroné et nuisible », a déclaré l'évêque.

« Face au Christ, en me concentrant sur l'autel sacré du sacrifice qu'est la messe, j'apprends de plus en plus combien cette liturgie est essentielle. Je n'ai pas l'intention d'abandonner le Novus Ordo avec lequel j'ai grandi, mais je cherche à le rendre plus respectueux et à continuer à le purifier dans cette réalité fondamentale qu'est la messe latine », a-t-il a ajouté… » (lifesitenews.com)

Louis D’Alencourt (grandreveilwordpress.com - l'enjeu c'est la messe (2)) sur la sainte messe :

« « La réussite de la guerre spirituelle menée par Satan à l’Église de Dieu est liée à un enjeu majeur : le saint sacrifice de la messe.

Si vous contrôlez la messe, vous contrôlez le cœur de la vie spirituelle de l’Église…

Le Saint Sacrifice de la messe perpétue les deux mystères insondables de l’amour et de la miséricorde divine : l’institution du royaume spirituel (Eucharistie) et le rachat des péchés du monde (Rédemption). Chaque messe réunit le Jeudi Saint et le Vendredi Saint, c’est la raison pour laquelle la consécration est en deux temps :

– Le Corps du Christ, livré pour vous, est le moyen donné par le Christ pour obtenir ses grâces et conserver le Saint-Esprit dans nos cœurs (la vie spirituelle) ; il est réservé au peuple de Dieu, c’est-à-dire les baptisés, d’où l’exclusif pour vous. Et d’où la communion des fidèles uniquement au Corps du Christ. Les hosties consacrées sont conservées ensuite dans le tabernacle où la Présence du Seigneur est Réelle mais invisible.

– Le Sang du Christ, signe de la Nouvelle Alliance par le rachat des péchés du monde a été versé une seule fois. Par ce geste, nous offrons le Fils au Père en offrande car c’est désormais le seul sacrifice qui lui agrée. Ce Sang béni a été versé pour le peuple de Dieu (pour vous) ainsi que pour tous ceux qui accepteront d’être sauvés par Lui (pour la multitude) ; ce n’est donc pas tout le monde. Puisque ce rachat n’a eu lieu qu’une fois et de façon définitive, le Sang du Christ n’est pas conservé dans le tabernacle.
Ainsi, à chaque messe, le Corps et le Sang perpétuent les mystères du Jeudi et du Vendredi Saint : Eucharistie et Rédemption…

La messe actuelle, dite de Paul VI, est une abomination car elle fait perdre le sens du sacré, réduit le Saint Sacrifice à un simple repas, supprime ou limite les instants de recueillement, vide de leur sens l’adoration et la contemplation, saccage les chants et la beauté liturgique, massacre les textes sacrés, autorise toutes les déviations et tous les excès, bref fragilise considérablement la vie spirituelle. Et puis finalement elle mène l’homme à confondre le matériel avec le spirituel.

Jésus reproche aux juifs de l’époque les mêmes travers que ceux de son peuple aujourd’hui, en citant Isaïe : « Ce peuple m’honore des lèvres, mais leur cœur est loin de moi. Vain est le culte qu’ils me rendent, donnant des enseignements (qui sont) des préceptes d’hommes. » (Matthieu 15, 8)

D’une vision théocentrique (centrée sur Dieu), et même Christo-centrique (centrée sur l’unique vrai Dieu, le Christ, qui par son Incarnation rend visible la Sainte Trinité), l’Eglise est passé à une vision anthropocentrique (centrée sur l’homme).

Cette doctrine faisant de l’homme son pivot et non plus Dieu est apparue dès le concile Vatican II et fut perpétuée, proclamée et défendue par tous les papes depuis.

Elle rejoint presque inconsciemment la même vision païenne de l’homme divinisé qui lui aussi, considère qu’il peut se passer de Dieu, et même qu’il est son égal.

L’humanisme met l’homme au centre.

Le christianisme met le Christ au centre.

Eh bien aujourd’hui, les chrétiens sont avant tout des humanistes et ce, principalement grâce à la nouvelle messe et au nouvel enseignement de l’Église. Car celui-ci n’a pu prendre racine que grâce à la défaillance spirituelle rendue possible par la nouvelle messe.

– Prêtre et fidèles tournés ensemble vers le tabernacle, lui-même situé au centre du chœur sur le maître-autel (messe normale) = démarche christo-centrique ;

– Prêtre tourné vers les fidèles, tabernacle absent de l’autel, lui-même souvent réduit à une simple table (nouvelle messe) = démarche anthropocentrique.

Mais qui est le plus important ? Dieu ou l’homme ?

De qui doit-on se préoccuper en premier, à commencer par le prêtre ? Des fidèles ou de Dieu ?

Que vient-on faire ? Écouter des lectures et ânonner quelques prières ou vivre spirituellement le renouvellement non sanglant de la Passion ?

Comment une telle inversion a-t-elle pu être rendue possible, à un tel point que plus personne ne s’en aperçoit ?
… »

« Depuis le pape François, Rome n’est plus catholique, c’est à dire que le Vatican n’est plus la religion de Jésus-Christ, Dieu fait homme. Le Vatican est mondialiste, humaniste, écologiste, œcuménique, vaccinaliste même, mais il n’a plus Jésus-Christ comme clé de voûte.

Sa clé de voûte, sa pierre d’angle, c’est la dignité de la personne humaine, la fraternité humaine entre tous les hommes du monde, sans Jésus-Christ pour guide, pour moteur et pour maître.

Il suffit de lire les encycliques ou les exhortations apostoliques du pape François pour découvrir qu’il ignore totalement Jésus-Christ, pour lui préférer un humanisme maçonnique dont il écrit la théologie…

Bergoglio (le pape François) est sans chiffre parce qu’il est unique, il est à la fois le dernier et le premier. Le dernier pape de l’ex-catholicisme et le premier chef de la nouvelle religion de l’humanité. Il est chargé d’accomplir la dernière mutation de l’Église, on pourrait même dire sa mue ; il ne s’agit pas d’une disparition en tant que telle, mais d’une transformation. Elle n’aura même pas besoin de changer de nom, parce que sa requalification en religion de l’humanité constituera de facto la disparition de l’original… »

( Louis D'Alencourt, legrandreveilwordpress.com - La réforme de la messe, plan secret du Vatican )

La conclusion du synode des synodes d’octobre 2024 est le point déterminant où tout est permis pour les évêques concernant la pastorale et la célébration eucharistique.

L’église conciliaire n’est plus catholique.

Les dix points non résolus du synode à l’étude ne sont que d’autres « brumes » pour aveugler alors que la véritable révolution morale a cours dans l’Église.

Un des points non résolus est la place des « diaconesses » dans l’église, et Bergoglio, fidèle à sa méthode, n’a pas attendu la conclusion du rapport, car il va décider seul, comme par le passé, comme avec le résultat du synode des synodes, qu’il a guidé vers ce qu’il voulait lui en tant que réformateur et destructeur.

Bergoglio a déjà nommé deux sœurs à des postes clés au Vatican depuis le début janvier, tout en continuant sa réforme pour infiltrer des laïcs dans la célébration eucharistique :

- « Le pape François institue 23 femmes comme lectrices, décrit comme un « changement tectonique » dans la tradition catholique
À la suite des modifications apportées au droit canonique en 2021, le pape François a institué à quatre reprises des hommes et des femmes comme lecteurs, citant ainsi le « sacerdoce commun ». Les spécialistes de la liturgie ont averti que de telles actions contredisent des siècles de tradition catholique.
...

Depuis le texte de Paul VI, les actions liturgiques traditionnellement accomplies par les séminaristes titulaires des « ordres mineurs » respectifs ont été accomplies par des laïcs, hommes et femmes, dans la liturgie du Novus Ordo.

En vertu de son texte Spiritus Domini de 2021 , François a codifié ce qui était devenu une pratique répandue dans la liturgie du Novus Ordo et l'a élevé au rang d'un ministère formel.

S'appuyant sur le Synode amazonien dans Spiritus Domini , François a insisté sur « la nécessité de réfléchir à de « nouvelles voies pour le ministère ecclésial ». Non seulement pour l'Église amazonienne, mais pour toute l'Église, dans la diversité des situations.

Centrant son attention sur l'institution des femmes ministres, François a cité à nouveau le Synode d'Amazonie, disant « il est urgent que les ministères soient promus et conférés à des hommes et à des femmes[.]… C'est l' Église des hommes et des femmes baptisés que nous devons consolider… » (lifesitenews.com)

- « Dans un geste historique, le pape François a nommé une religieuse, sœur Simona Brambilla, préfète du Dicastère pour les Instituts de vie consacrée, soulignant ainsi ses efforts continus pour accroître le leadership féminin au Vatican. » (lifesitenews.com)

- « À l’occasion d’une interview sur une chaîne privée de la télévision italienne pour l'émission «Che tempo che fa» (Quel temps! ndlr), François a anticipé une nouvelle nomination: en mars, la religieuse Raffaella Petrini dirigera le Gouvernorat de la Cité du Vatican » (vaticannews.va)

« Marie se tenait debout sur l'Église du côté du Nord et étendait son manteau pour la protéger. C'était seulement le pavé (les fondations) et la partie postérieure de l'Église (le chœur et l'autel), tout le reste avait été démoli par la secte et par les serviteurs de l'Église eux-mêmes…  Quand même il ne resterait qu'un seul chrétien catholique, l'Église pourrait triompher de nouveau, car elle n'a pas son fondement dans l'intelligence et les conseils des hommes. » (Anne Catherine Emmerich)

« L’œuvre la plus importante en 2025 est de voir ce que Mgr Lefebvre a vu en 1988 » (The Remnant)

La préface de 1989 de « Pierre, tu m'aimes ? (Jean-Paul II) » est stupéfiant à lire en 2025 car on pourrait appliquer essentiellement le même message à l’état de l’Église catholique et du monde aujourd’hui :

« Une lecture de « Pierre, tu m'aimes ? » » suffit à désespérer un fidèle catholique, si nous n'avions pas la promesse de Notre Seigneur qu'il n'abandonnera jamais son Église. Il sera vraiment avec nous tous les jours, mais quelles épreuves nous devons endurer.

Lui seul, dans Sa miséricorde, le sait.

On peut voir le monde devenir de plus en plus mauvais de jour en jour, et on peut voir les princes de l'Église ne rien faire pour le défendre. On voit plus clairement les avertissements donnés par Notre-Dame à La Salette, à Lourdes, à Fatima. À La Salette, elle nous a dit que « Rome perdra la vérité et deviendra le siège de l'Antéchrist ». Notre-Dame a donné à Sœur Lucie une troisième partie de son message à Fatima, qui devait être publié en 1960. Le monde attend encore, mais il parle presque certainement d'une apostasie générale. N'est-ce pas ce à quoi on assiste aujourd'hui ?..

 Si les choses allaient vraiment si mal en 1989, comment pouvons-nous imaginer que la crise actuelle de l’Église concerne avant tout François ?.. »

Extrait de la postface de Mgr Lefebvre de « Pierre, tu m'aimes ? » :

« Le Pape c’est la « Pierre » placée par Dieu à la base de Son Église, c’est celui dont la foi ne doit pas défaillir, qui confirme ses frères, qui paît les brebis et les agneaux, qui, assisté par l’Esprit-Saint, a dirigé l’Église pendant près de vingt siècles, conférant ainsi à la Papauté un crédit moral unique au monde.

Est-il concevable que depuis les années 1960 le Siège apostolique soit occupé par des Papes qui sont la cause de l”« autodestruction de l’Église » et y répandent « la fumée de Satan ». Évitant même de nous poser la question sur ce qu’ils sont, nous sommes bien obligés de nous poser des questions sur ce qu’ils font et de constater avec stupeur que ces Papes introduisent la Révolution de 89 dans l’Église(1) avec sa devise, sa charte, directement opposées aux principes fondamentaux de la foi catholique…

La Rome moderniste poursuivant son œuvre de démolition de la foi et de la chrétienté, c’est un devoir de la répudier en nous attachant à la Rome de toujours, proclamant plus que jamais la nécessité du Règne universel de Notre-Seigneur Jésus-Christ et de Sa Sainte Mère, Marie Reine… » (laportelatine.org)

Dans sa lettre aux amis et bienfaiteurs à l'occasion de la fête de Saint-Joseph en 1978, Mgr Marcel Lefebvre a écrit à propos de la « passion » de l'Église catholique :

« La Providence a permis cette crise douloureuse de l'Église pour notre sanctification et afin de donner plus d'éclat à l'or pur de sa doctrine et de ses moyens de rédemption. Cette passion de l'Église est un grand mystère, car elle atteint principalement sa hiérarchie, ses savants, qui semblent ne plus savoir qui ils sont et les raisons de leur nomination. Satan, le père du mensonge, comme l'appelle Notre Seigneur Jésus, a le talent extraordinaire de découvrir certains mots, auxquels il attribue un sens nouveau pour que de leur ambiguïté, il fasse accepter le mensonge destructeur qui renverse les sociétés les mieux établies. . Il l'a trouvé dans cet « œcuménisme » du Concile qui a créé une liturgie œcuménique, une Bible œcuménique et un catéchisme œcuménique, unissant la vérité et le mensonge, mariant le vrai et le faux.

Il faut absolument rester attaché à la vérité sans se mêler. Le pape Pie IX a vigoureusement dénoncé ces catholiques libéraux qui croient pouvoir unir le mensonge et la vérité, le bien et le mal, afin de plaire à leurs semblables contemporains. Que cet œcuménisme empoisonné nous parvienne ou non par la hiérarchie, le canal n'a pas d'importance : c'est le poison qu'il faut refuser d'avaler. Il s’agit d’une stricte obéissance à notre Seigneur Jésus-Christ, à l’Église de tous les temps, à tous les successeurs de Pierre. Nous conserverons donc la liturgie catholique, la Bible catholique et le catéchisme. Et c'est pour cette raison que nous devons avoir des prêtres catholiques et des séminaristes catholiques, des moines [et] religieuses catholiques, actifs et contemplatifs. L'Église catholique ne périra pas ! »

Il ne restera plus bientôt que les deux témoins, le petit reste fidèle à la Loi et aux Prophètes, ceux qui ont épuré leurs coeurs et qui savent que l'Église que NSJC a instaurée ne périra point, malgré toutes les oeuvres du destructeur de l'Église, ne serait-ce qu'il reste un seul catholique comme l'affirmait Anne Catherine Emmerich.

24 janvier

LES BRUMES

Pier Carpi dans son livre fait référence aux brumes comme étant la région d’où venait Paul VI, soit Milan ou dans les environs.

À la lumière de Vatican II et de sa conclusion imminente, que pouvons nous dire des « brumes »?

Les brumes, c’est ce qui aveugle, ce sont les ténèbres de l’âme, la grande apostasie.

Elles débutent dans les prophéties sous Jean XXIII, et se terminent par la venue de la lumière dans les deux dernières prophéties de l’Église.

Jean XXIII n’a-t-il pas la devise dans la prophétie de la succession des papes de Saint-Malachie « Le pasteur et nautonier »?

Le nautonier conduit la barque dans « les brumes », en tant que pasteur, et franc-maçon, puisque le nautonier est aussi un grade de la franc-maçonnerie.

« Mais le jour où le Père qui viendra après lui des brumes sera frappé, même sa voix sera entendue dans la tombe. Le Père mort ouvrira le septième sceau. Pour lui je demande pardon » (prophétie de Jean XXIII le concernant).

« Des brumes sera frappé » concerne Paul VI, franc-maçon notoire, mais aussi Bergoglio, car il n’y a pas de pape plus concerné par les brumes de l’apostasie que lui, le Judas de la fin des temps.

Satan a réussi à mettre son valet sur le trône de Saint-Pierre tel qu’annoncé à la Salette.

Rappelons le livre de « Paul VI bienheureux? » De l’abbé Luigi Villa, éditions St-Rémi : Selon ses observations, Paul VI ne parlait que par allusions, sous-entendus. Il était ambivalent entre traditions et nouveautés.

Que fait Bergoglio, le maître de l’ambiguïté?

« François, la « doublepensée » orwellienne et le triomphe du relativisme » (benoit-et-moi.fr)

Montini appartenait à la loge maçonnique Rampolla de l'Ordo Templi Orientis.

La création de la nouvelle messe rite Paul VI est une tromperie venue de Mgr Bugnini, connu comme rose-croix.

Voici en effet la lettre qu'il écrivait à son grand maître en 1967 et qu’a publiée un prêtre ami de confiance de Padre Pio, Dom Villa dans son journal Chiesa Viva (recommandé par Maxence Hecquard) :

Lettre du 2 juillet 1967

Grand Maître Incomparable Illustres conseillers, les degrés de désacralisation procèdent rapidement. En fait, une autre instruction a été publiée dont la mise en œuvre a commencé le 29 juin dernier - Désormais nous pouvons chanter victoire parce que 1. la langue vernaculaire est souveraine dans toute la liturgie, même dans ses parties essentielles. 2. les vêtements sacrés sont de plus en plus réduits ... 3. liberté maximale de choix des différents formulaires jusqu’à la créativité personnelle et ... au chaos! 4. Génuflexions, baisers, révérences, cérémonies, prescriptions rituelles abolies ... En bref, par ce document, je crois avoir semé le principe du libertinage maximum, selon vos dispositions. Je me suis battu et j’ai dû recourir à toutes les astuces pour le faire approuver par le pape, contre mes ennemis de la Congrégation des Rites. Heureusement pour nous, nous avons immédiatement trouvé un soutien chez les amis et frères de l’Université Laus qui sont fidèles. Je vous remercie de la somme envoyée et j’espère vous voir dès que possible, je Vous embrasse. Votre Frère (signé: “Buan”) AU GRAND MAÎTRE Palais Giustiniani (en main propre).

"Buan" est le nom de maçon de Mgr Bugnini, auteur de la nouvelle messe de rite Paul VI qui a ordinairement et principalement cours depuis 1969 dans l’Église catholique.

« Toi qui viens des brumes tu seras frappé… Tu auras un jour de paix, un seul. Puis tu devras t'en remettre au pacte. Les brumes. » (prophétie concernant Paul VI)

Toi qui viens, tu seras frappé par les brumes, la franc-maçonnerie (Paul VI a survécu aussi à un attentat), et il a du s’en remettre au pacte du Panthéon, en référence à Vatican II débuté sous Jean XXIII, initié de la loge française.

Les brumes étaient bien installées, ce que Paul VI confirma en affirmant que la présence de la fumée de Satan était entrée au Vatican le 29 juin 1972.

« La fumée de Satan

Il fallut vite déchanter ! Le printemps annoncé d’une nouvelle Pentecôte n’eut pas lieu. Moins de dix ans après l’ouverture de Vatican II, le pape Paul VI faisait part de son désarroi. Le 29 juin 1972, il déclarait dans son homélie pour la fête des saints Pierre et Paul : « Devant la situation de l’Église d’aujourd’hui, nous avons le sentiment que par quelque fissure la fumée de Satan est entrée dans le temple de Dieu. Nous voyons le doute, l’incertitude, la problématique, l’inquiétude, l’insatisfaction, l’affrontement. (…) Le doute est entré dans nos consciences, et il est entré par des fenêtres qui devraient être ouvertes à la lumière. On croyait qu’après le Concile le soleil aurait brillé sur l’histoire de l’Église. Mais au lieu de soleil, nous avons eu les nuages, la tempête, les ténèbres, la recherche, l’incertitude. Nous prêchons l’œcuménisme, et nous nous séparons toujours davantage les uns des autres. Nous cherchons à creuser des abîmes au lieu de les colmater. Comment cela a‑t-il pu se produire ? Une puissance adverse est intervenue dont le nom est le diable… ». Cependant, Paul VI ne voulait pas voir dans cette situation dramatique la conséquence des réformes et des nouveautés destructrices de la vie catholique introduites par Vatican II, bien au contraire : « Nous croyons à l’action de Satan qui s’exerce aujourd’hui dans le monde précisément pour troubler, pour étouffer les fruits du Concile œcuménique, et pour empêcher l’Église de chanter sa joie d’avoir repris pleinement conscience d’elle-même. » On continua donc d’appliquer le Concile, malgré la crise sans précédent qui secouait tous les pans de l’Église : chute des vocations, révolution liturgique, crise des ordres religieux… »

Jean XXIII nous confirme dans la prophétie de Jean-Paul II que « les brumes », la franc-maçonnerie, amenaient les chrétiens vers la mort de l’âme, vers leurs sépulcres.

« Vierge Marie proche. Vierge Marie qui fus sacrifiée. Dans ses paroles tu trouveras le chemin, béni, béni, béni. Tu seras père de tous. Le début du chemin sera difficile, marcher pour Rome en des jours de sang. Éclaircir les brumes et leurs sépulcres. » (prophétie de Jean XXIII concernant Jean-Paul II).

Bergoglio a pour mission de clore Vatican II.

C’est l’Oméga.

L’Alpha, la date de la montée de la bête au Vatican est le 28 octobre 1958 avec l’élection de Jean XXIII, pape rosicrucien, donc des brumes.

C’est la date à retenir: 28 octobre.

Jean XXIII ouvre le concile Vatican II le 11 octobre (chiffre hautement maçonnique représentant les deux colonnes) en 1962 en osant « l’inosé » selon la prophétie.

De 1962 à 2025, la durée des destructions de Vatican II, nous avons 63 ans.

Ce chiffre est divisible par le 3,5 ce qui donne 18 ou 666.

« Et dans les papiers du Père mort il trouvera le projet pour rassembler les bergers et parler au troupeau. Il osera l'inosé. Il se trompera, mais ce sera un bien… »

Du 28 octobre 1958, date de l’élection de Jean XXIII au 27 avril 2014, date de sa canonisation, il y a pile 666 mois.

Le nombre d’années entre l’élection de Jean XXIII et le 27 avril 2025 est de 66 ans et 6 mois, ce qui confirme le summum de la divinisation de l’humain dans toute sa trinité, le 666.

Le 27 avril, cela fera donc 11 ans depuis l’élévation de Jean XXIII au titre de « saint ».

Le 11, les deux colonnes franc-maçonniques.

Si ce ne sont pas des signes...

La phase diocésaine du synode des synodes, le début des vrais travaux, est lancée le 28 octobre 2021.

« Chers frères et sœurs, que ce Synode soit un véritable temps de l'Esprit ! . . . Le Père Congar, de mémoire bénie, a dit un jour : « Il n'est pas nécessaire de créer une autre Église, mais de créer une Église différente » ( Vraie et fausse réforme dans l'Église ). C'est le défi. » (François, 9 octobre 2021, Discours d'ouverture du Synode)

Voilà la preuve du vrai but du synode : La fausse église prophétisée par Anne Catherine Emmerich et autres prophètes.

Retenant que le 28 octobre est la date clé, la durée de vie de la bête sur le temps court, soit 42 mois ou 3,5 années, partant de cette date du début du synode, est le 27 avril 2025.

C’est le dimanche de Quasimodo 2025 où Thomas, représentant les incrédules de notre temps, demande à voir les preuves de la résurrection.

On se rapporte au 27 octobre 2024, à la clôture du processus synodal :

« Enraciné dans la tradition de l'Église, tout le chemin synodal s'est déroulé à la lumière du magistère conciliaire. Le Concile Vatican II a été comme une graine jetée sur le terrain du monde et de l'Église . . . . Le chemin synodal met effectivement en pratique ce que le Concile a enseigné sur l'Église comme mystère et l'Église comme peuple de Dieu, appelé à la sainteté par une conversion continue qui naît de l'écoute de l'Évangile. En ce sens, le chemin synodal constitue un acte authentique supplémentaire de réception du Concile, approfondissant ainsi son inspiration et redynamisant sa force prophétique pour le monde d'aujourd'hui .» (Paragraphe 5 du rapport)

Cet exemple démontre qu’à l’image de Bergoglio, tout est ambiguïté, utilisant la même technique que Paul VI, et continuera de l’être :

Ce sont les brumes…

Jusqu’à la lumière revienne avec le retour de NSJC.

Rappelons que Bergoglio attends toujours les rapports de ses comités sur les questions non résolues d’ici juin 2025, et qu’il a dans le viseur d’interdire la Tradition.

« Les prêtres liés à la liturgie traditionnelle présentent des « déséquilibres mentaux, des déviations émotionnelles » estime Bergoglio dans sa nouvelle biographie.

« Mais le parvis extérieur du temple, laisse-le en dehors et ne le mesure pas, car il a été abandonné aux Nations, et elles fouleront aux pieds la ville sainte pendant quarante deux mois. Et je donnerai à mes deux témoins de prophétiser, revêtus de sacs, pendant mille deux cent soixante jours. » (Apocalypse 11, 2-3)

C’est bien ce que le Seigneur demande. Laisser le parvis extérieur, la fausse église, aux Nations, et pour les justes, Il envoie ses deux témoins.

Les deux témoins personnalisés sur le temps court pourraient bien être Mgr Strickland et Mgr Vigano, les deux évêques qui se lèvent depuis le début du synode des synodes, et qui n’ont pas peur de servir le Christ au péril de leur vie, pour défendre la Tradition et la Doctrine.

L’église synodale est effective depuis le 27 octobre dernier.

Les évêques ont la voie libre. Tout se décide à la base de la pyramide maintenant.

C’est le mécanisme franc-maçonnique, la pyramide, pour que les « brumes » demeurent à jamais.

Ce n’est plus l’Église catholique.

« Mais le jour où le Père qui viendra après lui des brumes sera frappé, même sa voix sera entendue dans la tombe. Le Père mort ouvrira le septième sceau. Pour lui je demande pardon » (prophétie de Jean XXIII le concernant).

Mais le jour où viendra un pape, entièrement aveuglé, frappé par « les brumes », l’esprit de la franc-maçonnerie, de Satan, et qui conclura le plan initié par Jean XXIII, nous serons témoins du septième sceau.

Ou, ce pape, Bergoglio, sera frappé d'une manière inconnue mais imminente.

Nous avons aussi la possibilité, comme expliqué dans l’analyse générale, d’une fin de la papauté subite, sous contrainte, avec en action le Secrétaire d’État, le #2, le cardinal Pietro Parolin (voir analyse générale).

Ce dernier serait le dernier « père » qui sera assassiné.

La mort de Bergoglio, ou de Parolin, sera le signe le signe de l’ouverture du septième sceau.

« Et quand l'Agneau eut ouvert le septième sceau, il se fit dans le ciel un silence d'environ une demi-heure. »

Parce que la stupéfaction frappera le monde. La papauté sera aboli. Les goys se réjouiront. Les deux témoins seront effectivement mort, confirmé par la prophétie #11 du 7ème sceau :

« Où croyez-vous fuir, maintenant que vous avez détruit les Églises et tué le dernier Père ? »

Mais la célébration sera de courte, très courte durée.

22 janvier

L’ÂGE D'OR

Et bien voilà.

Nous attendions le messie judéo-maçonnique décrit dans le « Projet 47 » du regretté Louis D’Alencourt, et le 47ème président américain l’a confirmé.

Rappelons que le messie judéo-maçonnique est une entité, un système pour dominer le monde, et ce système est mené par les États-Unis sous contrôle total de l’élite de la synagogue de Satan.

Les mots clés du président dans le discours d'investiture:

« L’âge d’or de l’Amérique commence maintenant »

« Ma récente élection m’a donné le mandat de renverser complètement et totalement une horrible trahison, toutes les trahisons qui ont eu lieu, et de rendre au peuple sa foi, sa richesse, sa démocratie et, en fait, sa liberté. À partir de maintenant, le déclin de l’Amérique est terminé. »

« J’ai senti à l’époque, et je le crois encore plus aujourd’hui, que ma vie a été sauvée pour une raison. J’ai été sauvé par Dieu pour rendre sa grandeur à l’Amérique. »

« À partir d'aujourd'hui, la politique officielle du gouvernement des États-Unis sera désormais qu'il n'y ait que deux genres : masculin et féminin . »

« ... tous les efforts visant à « intégrer socialement la race et le genre dans tous les aspects de la vie publique et privée » seront stoppés net. »


« Président de droit divin cherche nouveaux territoires » cite lapresse.ca.

Même la planète Mars…

Nous allons « planter les étoiles et les rayures sur la planète Mars ».

Il n’y a pas de limite à l’orgueil et au narcissisme.

Trump veut qu’on se souvienne de lui dans le futur comme étant celui qui a redonné ses lettres de noblesse aux États-Unis.

Mais, Dieu a probablement sauvé la vie du président pour exécuter les tribulations de la fin des temps servant à ramener les âmes dans le droit chemin.

La guerre entre les partisans du mondialisme et les pays qui penchent vers l’extrême droite est ouverte.

Car, il y a toujours un retour du balancier. La période « woke » semble terminée.

Satan, sachant son temps compté, va provoquer des sacrifices de masses pour damner les âmes.

C’est la chute de Babylone, étape nécessaire du calendrier de la fin des temps (voir analyses précédentes), la chute des deux Babylone des prophéties de Jean XXIII.

L’empereur de la prophétie politique #32 « Le Temps est Proche » est de retour.

Et cette prophétie est étroitement liée au « Grand Éclair à l’Orient » et « La Foudre en Plein Jour ».

Elles ont toutes comme point commun l’ouverture du 7ème sceau de l’Apocalypse où il se fait un silence d’une demi-heure.

Le monde sera surpris, « on n’entendra pas le tonnerre », et s’ensuivra la guerre de la nature pour empêcher la guerre des hommes, car malgré les désirs de paix en surface affichés par Trump, le Moyen Orient s’enflammera.

La plus grande tache solaire du cycle 25 est apparue en une seule journée, lundi, lors de l’investiture, comme un avant-goût du grand éclair à venir.

Et le nombre de volcans en activités qui étaient de 69 en novembre (la moyenne des dernières années étaient autour de 42), s’établit maintenant à 76.

Car après l’ouverture du 7ème sceau, suite au « Grand Éclair à l’Orient », c’est la purification.

Louis D’Alencourt (legrandreveil.wordpress.com - le grand pardon) :

«…  après cette demi-heure de suspension, le signe de la Femme dans le ciel ouvrira définitivement la 7ème période, le fameux 777, car les 3 descriptions de l’Apocalypse concernent en réalité un événement similaire parce que c’est le même :

a) seconde phase du 7ème sceau :  » Et l’ange pris l’encensoir remplit du feu de l’autel, et le jeta sur la terre, et il se fit des tonnerres, et des voix et des éclairs, et un grand tremblement de terre. »

b) sonnerie de la 7ème trompette : « Et le temple de Dieu fut ouvert dans le ciel, et on vit l’arche de son alliance dans son temple ; et il se fit des éclairs, des voix, un tremblement de terre, et une grande grêle. »

c) 7è coupe : « Et il se fit des éclairs, des bruits et des tonnerres, et un grand tremblement de terre, tel qu’il n’y en eut jamais depuis que les hommes sont sur la terre. »

Nous avons bien ici le même événement, prophétisé trois fois avec des précisions à chaque étape : le sceau nous donne le nom de l’ange, la trompette fait le lien avec la Femme dans le ciel comme signe initial (la nouvelle arche d’alliance c’est la Sainte Vierge), la coupe précise l’exceptionnelle gravité de ce tremblement de terre.

Une fois de plus, il est inutile à ce stade d’essayer de savoir à quoi ces descriptions correspondront dans la réalité, s’il faut les prendre dans un sens littéral ou figuré, ou les deux.

Par contre, nous connaissons le nom de l’ange du 7è sceau : c’est saint Michel.

Car nous savons, grâce à la liturgie, que saint Michel se tient à la droite de l’autel de l’encens ; et d’ailleurs l’Église ne s’y trompe pas, car elle a retenu ce verset de l’Apocalypse (Apoc. 8:3) pour le chant d’offertoire de la messe du 29 septembre.

Je continue à penser cependant que cette période de suspension d’une demi-heure à l’ouverture du 7ème sceau (et que j’estime à 15 jours) servira d’ultime période pour un grand pardon des âmes qui le méritent….

Ce sera le grand pardon pour ceux qui sincèrement regretteront leurs péchés et feront pénitence.

Je souhaite vraiment au plus grand nombre de saisir l’occasion qui se présentera ; ce sera la dernière, après il n’y aura plus de rémission.

Surtout qu’une première moisson aura alors lieu, l’ouverture du 7ème sceau étant pour moi le passage de l’ange exterminateur ; seront concernées à priori des personnes dont le cœur était déjà trop endurci. »

La Terre détruira le ciment nous spécifie la prophétie concernant Benoît XVI.

Le dernier pape de la prophétie de la succession des papes de Saint-Malachie achève son règne.

« Où croyez-vous fuir, maintenant que vous avez détruit les Églises et tué le dernier Père ? » nous spécifie la prophétie #11 « le 7ème sceau ».

Tout est relié à l’Église.

« Le pouvoir religieux est au-dessus du politique. » nous indiquait le regretté Serge Monast ( Le Complot des Nations-Unies contre la Chrétienté.)

Le décès de Bergoglio provoquera donc l’ouverture du 7ème sceau.

14 janvier

À quelques jours de l'assermentation du président américain, nous pouvons confirmer que l'esprit du messie judéo-maçonnique est bel et bien imprégné dans la tête de l'élu qui menace l'Europe, le Canada, le Groënland et le Panama pour contrôler toutes les ressources (car c'est le but visé) sous prétexte de la sécurité nationale des États-Unis.

Rappelons une partie du texte « Projet 47 » du regretté Louis D'Alencourt: (legrandreveil.wordpress.com)

« LE PROJET MESSIANIQUE

Seuls les imbéciles, les naïfs et les ignorants, soit la majorité de nos concitoyens, ne savent pas que depuis deux mille ans la communauté juive caresse un projet messianique basé sur les promesses de Dieu faites à son peuple via les prophètes de l’Ancien Testament -à commencer par Isaïe-, à savoir la domination du monde, l’accaparement et la jouissance de ses richesses.

C’est une promesse divine, or Dieu ne peut pas mentir ni se tromper, donc… dans leur esprit c’est autant inéluctable que légitime et nécessaire.

Or le peuple de Dieu à qui la promesse a été faite, c’étaient les hébreux bibliques, que l’on appelle juifs aujourd’hui, et qui se considèrent comme exclusifs : les non-juifs ne font pas partie du peuple de Dieu d’où selon eux, leur rôle particulier de peuple-prêtre, c’est à dire d’intermédiaire entre Dieu et les hommes. D’où aussi la nécessité de justifier d’une ascendance par les liens du sang et/ou, au moins, par l’appartenance à la communauté judaïque, car le judaïsme, c’est-à-dire la religion, y joue un rôle essentiel d’osmose, de justification et de continuité de l’ensemble.

Cette domination sans partage sur tous les peuples et nations de la terre doit se faire par le Messie et à son avènement. Voilà, très schématiquement, le fondement de leur doctrine même si, évidemment, officiellement elle n’est jamais présentée ainsi, surtout aux goyims (les non-juifs)...

Qu’est-ce que le sionisme en réalité ? C’est la prise de conscience par une partie de l’élite, que les promesses liées au Messie commençaient à s’accomplir concrètement ; les Protocoles des sages de Sion, qui sont en réalité le compte-rendu des actes des groupes de travail du congrès sioniste de Bâle, montrent bien que dans leur esprit la domination mondiale est à leur portée.

L’objectif s’est transformé en certitude.

En fait, cette élite de la synagogue a cru comprendre que les promesses faites à leur peuple s’accomplissaient par eux et qu’en conséquence c’était eux qui faisaient le travail du Messie, d’où l’état d’esprit devenu majoritaire dans leurs rangs et que Bernard Baruch a résumé dans cette formule lapidaire mais oh combien éclairante : « le Messie c’est le peuple juif dans son ensemble ».

Je crois que c’est là le secret du judaïsme et du sionisme : en accomplissant lui-même les promesses du Messie, en se faisant Messie lui-même, il se divinise et devient Dieu lui-même puisque le Messie est Dieu.

Donc on adore une idée de l’homme devenu un dieu, et cet homme c’est le juif, c’est le monde judaïsé, dont la mentalité matérialiste a remplacé l’idéal chrétien, et qui a permis à la Synagogue de prendre la direction du monde, par le biais de l’argent (monopolisation effective des richesses, même s’il leur faut en partager un peu) et des idées : on disait tout à l’heure que déjà au début du XXè siècle, les peuples n’avaient que deux choix principaux, capitalisme ou socialo-communisme, et que ces deux choix sont d’essence et d’inspiration juive. Il y a indéniablement dès cette époque une domination juive effective sur le monde (un auteur juif, Yuri Slezkine, a appelé le XXè siècle « Le siècle juif » et l’a démontré dans son livre), qui n’a fait que s’accentuer par le progrès économique et scientifique, qui ne sont que la concrétisation dans les faits de la conception matérialiste économique du monde de la Synagogue.

Et donc le sionisme avait pour objet, après avoir entériné la progression et l’accomplissement à terme des deux premiers volets (domination du monde et accaparement des richesses), de mettre en œuvre le troisième volet des œuvres à accomplir par le Messie : le retour du peuple juif en Terre promise. C’est fait depuis 1948 la boucle est bouclée et on doit en conclure que le Messie est bien parmi nous, non pas en tant qu’homme mais en tant que peuple.»

Il ne restait qu'à conclure Vatican II, c'est à dire confirmer la victoire de l'église conciliaire, la grande prostituée, sur la Tradition, et Bergoglio a accompli la mission.

Il ne reste qu'à provoquer la mort des deux témoins.

Voilà qui résume toutes les analyses des dernières années:

« Nous devons rester catholiques, même si les francs-maçons essaient de détruire l'Église

( LifeSiteNews ) — Athanasius and the Church of Our Time de l'évêque Rudolf Graber a été publié pour la première fois en anglais en 1974 et, plus de cinquante ans plus tard, nous offre encore certains des aperçus les plus précieux sur la crise actuelle de l'Église catholique. Bien qu'une grande partie du petit livre de Mgr Graber se rapporte aux assauts diaboliques contre l'Église, il termine sa description des complots anti-catholiques par une note d'optimisme :

Nous savons à quoi nous sommes confrontés. Le plan de Lucifer est exposé clairement et ouvertement devant nous. (p. 72)

Pour ceux qui veulent combattre les maux qui affligent l'Église, le plan de bataille de l'ennemi est d'une valeur inestimable. Lorsque nous associons la connaissance du plan de l'ennemi à la réalité que Dieu finira par prévaloir, nous sommes mieux préparés à rester fidèles à la foi catholique immuable, tandis que Satan et ses serviteurs font tout ce qu'ils peuvent pour nous inciter à fuir dans le désespoir.

Dans cette optique, nous pouvons considérer l’un des passages les plus sobres du livre de Mgr Graber, à propos d’une évaluation franc-maçonnique de l’état de l’Église en 1968 :

Dans cette veine, le journal parisien du Grand Orient de France, « L'Humanisme », écrivait très ouvertement en 1968 : « Parmi les piliers qui s'effondrent le plus facilement, on note le Magistère ; l'infaillibilité, considérée comme solidement établie par le Concile Vatican I et qui vient d'être prise d'assaut par les gens mariés à l'occasion de la publication de l'encyclique Humanae vitae ; la présence eucharistique réelle, que l'Église a su imposer aux masses médiévales et qui disparaîtra avec l'intercommunion et l'intercélébration croissantes des prêtres catholiques et des pasteurs protestants ; le caractère sacré du prêtre, qui découle de l'institution du sacrement d'ordination et qui sera remplacé par une décision d'accès au sacerdoce pour une période d'essai ; la différenciation entre l'Église qui donne la direction et le clergé (inférieur) vêtu de noir, alors que désormais les directions procéderont de la base de la pyramide vers le haut, comme dans toute démocratie ; la disparition progressive du caractère ontologique et métaphysique des sacrements, puis la mort ultérieure de la confession, maintenant que le péché est devenu de nos jours un concept complètement anachronique transmis par la rigoureuse philosophie médiévale qui était à son tour l'héritage du pessimisme biblique. ' (p. 70)

Tous les objectifs ultimes prévus et défendus par la revue franc-maçonnique ont été au moins partiellement atteints, même si les détails spécifiques pour obtenir ces victoires diffèrent de ce dont nous avons été témoins jusqu'à présent. Nous pouvons brièvement considérer ces victoires franc-maçonniques ci-dessous.

Effondrement apparent du Magistère.
Avec Vatican II, l'autorité enseignante officielle de l'Église a semblé contredire ce qu'elle avait enseigné auparavant. Yves Congar a bien exprimé la réalité dans son Défi à l'Église : le cas de Mgr Lefebvre :

Par la Déclaration sur la liberté religieuse, par la Constitution pastorale Gaudium et spes , Sur l'Église dans le monde moderne , — un titre significatif, celui-là ! — l'Église de Vatican II s'est ouvertement inscrite dans le monde pluraliste d'aujourd'hui; et, sans rien renier de ce qu'il pouvait y avoir de grand, a coupé les cordages qui l'amarraient aux rives du Moyen Âge. On ne peut pas rester pris à un moment précis de l’histoire. (p. 46)

La véritable Église catholique ne pourra jamais changer de cette manière, mais la majorité des catholiques ont été trompés en croyant que la Foi immuable peut muter pour contredire ce qu’elle était autrefois, signalant un effondrement fonctionnel du Magistère.

Attaque contre l'infaillibilité. Il était clair avant que Paul VI ne publie son encyclique de 1968 sur la « régulation des naissances », Humanae Vitae , qu’une partie importante du clergé et des laïcs se rebellerait contre toute affirmation de l’enseignement catholique sur le contrôle des naissances. Cette réalité n'aurait certainement pas dû pousser Paul VI à nier ce que l'Église avait toujours enseigné. Cependant, il aurait dû être évident à l'époque qu'il devait non seulement guider les catholiques sur la pilule contraceptive, mais aussi protéger l'Église de la rébellion prévisible contre l'autorité papale. Malheureusement, le rejet généralisé de Humanae Vitae a normalisé le rejet ouvert de l’enseignement catholique établi et a contribué à faire du « catholicisme de cafétéria » une force dominante et malveillante.

Déni de la présence réelle. Si nous pouvons nous fier à des enquêtes de premier plan et à des preuves anecdotiques, nous savons qu’un pourcentage important de catholiques de nom rejettent la présence réelle de Jésus dans la Sainte Eucharistie. Alors que cette évolution tragique a été exacerbée par la communion dans la main, les ministres eucharistiques laïcs et le retrait des rampes d'autel, l'intervention dite d'Ottaviani de 1969 a identifié la manière dont le Novus Ordo Missae lui-même a répudié le dogme de la Présence réelle, avant chacun de ces abus a été popularisé :

La suppression de l'invocation à la Troisième Personne de la Très Sainte Trinité ( Veni Sanctificato r) pour qu'elle descende sur les oblations, comme autrefois dans le sein de la Très Sainte Vierge pour accomplir le miracle de la Présence divine, est encore un autre exemple de négation systématique et tacite de la Présence Réelle. Notons aussi les éliminations : des génuflexions (il n'en reste plus que trois au prêtre, et une, sauf certaines exceptions, au peuple, à la Consécration); de la purification des doigts du prêtre dans le calice ; de la préservation de tout contact profane des doigts du prêtre après la Consécration; de la purification des vaisseaux, qui n'a pas besoin d'être immédiate, ni faite sur le corporal; du tissu protégeant le calice; de la dorure intérieure des vases sacrés; de la consécration des autels mobiles; de la pierre sacrée et des reliques sur l'autel mobile ou sur la mensa – lorsque la célébration n'a pas lieu dans l'enceinte sacrée (cette distinction mène directement aux « soupers eucharistiques » dans les maisons privées); des trois nappes d'autel, réduites à une seule; d'action de grâces à genoux (remplacée par une action de grâces, assis, de la part du prêtre et du peuple, complément assez logique à la communion debout); de toutes les anciennes prescriptions en cas de chute de l'Hostie consacrée, qui sont maintenant réduites à une seule direction fortuite : « reverenter accipiatur » (n° 239) ; tout cela ne fait que souligner à quel point la foi dans le dogme de la Présence réelle est implicitement répudiée.

Comme pour tant d’autres maux auxquels nous avons été témoins depuis le Concile, de tels avertissements ont été ignorés par la hiérarchie. La seule explication rationnelle est que les torts dont nous avons été témoins étaient effectivement intentionnels.

Diminution du caractère sacré du sacerdoce. Nous n'avons pas vu la « période d'essai » pour l'ordination prévue par le journal franc-maçonnique, mais nous pouvons tous reconnaître de nombreuses façons dont la dignité du sacerdoce a été diminuée après le Concile. De nombreux prêtres (peut-être la plupart) ne s'habillent plus ou n'agissent plus comme des prêtres; leurs rôles dans la liturgie et dans la direction paroissiale ont été largement supplantés par les laïcs; et il semble que beaucoup d'entre eux n'ont plus aucun intérêt à suivre ou à enseigner la foi catholique. Tout ça était intentionnel.

Inversion de la structure hiérarchique de l'Église. L'exemple le plus évident de l'inversion de la structure hiérarchique de l'Église a été le Synode sur la synodalité, dans lequel « l'Église synodale » découvre ses croyances religieuses à travers un processus d'écoute des laïcs et des prêtres . Comme discuté dans un article précédent, l'étude de la Commission théologique internationale de 2017 intitulée « La synodalité dans la vie et la mission de l'Église » affirmait que le processus synodal consiste en une inversion de la structure hiérarchique actuelle de l'Église:

Reprenant la perspective ecclésiologique de Vatican II, le pape François dessine l'image d'une Église synodale comme « une pyramide inversée » qui comprend le peuple de Dieu et le Collège des évêques, dont l'un des membres, le Successeur de Pierre, a un ministère spécifique. Ici, le sommet est en dessous de la base. « La synodalité, en tant qu'élément constitutif de l'Église, nous offre le cadre interprétatif le plus approprié pour comprendre le ministère hiérarchique lui-même. . . Jésus a fondé l'Église en mettant à sa tête le Collège des Apôtres, dont l'apôtre Pierre est le « rocher » (cf. Matthieu 16,18), celui qui doit « confirmer » ses frères dans la foi (cf. Luc 22). ,32). Mais dans cette Église, comme dans une pyramide inversée, le sommet est situé en dessous de la base. C'est pourquoi ceux qui exercent l'autorité sont appelés « ministres », parce que, dans le sens original du mot, ils sont les moindres de tous.

Cela peut nous surprendre aujourd'hui, mais avec le recul, nous pouvons constater que de nombreux changements ont contribué à cette inversion, notamment le rôle accru des laïcs et les attaques contre l'immuabilité de la vérité catholique.

Agressions contre les sacrements. Le bilan franc-maçonnique de L'Humanisme parlait de « la disparition graduelle du caractère ontologique et métaphysique des sacrements puis de la mort ultérieure de la confession ». Plusieurs des développements tragiques décrits ci-dessus y ont contribué, mais l'accent mis sur le faux œcuménisme a également joué un rôle dominant dans l'affaiblissement des sacrements. Si, comme nous le disent les faux bergers de Rome depuis des décennies, les religions protestantes plaisent à Dieu et conduisent les âmes au Ciel, alors les sacrements catholiques ne peuvent pas être aussi importants que l’Église l’a toujours enseigné.

Rien de tout cela n'est une cause de désespoir, mais cela souligne la nécessité réelle pour les catholiques sincères de reconnaître toute l'ampleur de la crise qui afflige le Corps mystique du Christ. Si les francs-maçons célébraient ces maux en 1968, on ne peut pas les ignorer aujourd'hui sans donner aux ennemis de l'Église une raison de plus de se réjouir. On peut se moquer du plan de bataille d'un ennemi avant le début des combats ; mais une fois qu'on reconnaît que l'ennemi atteint ses objectifs de combat, on doit s'efforcer de bien comprendre ce qui se passe.

Nous voulons donc naturellement savoir ce que nous pouvons faire pour lutter contre ces maux. Heureusement, nous pouvons consulter un document rédigé à peu près au moment où Mgr Graber publiait son livre : la célèbre Déclaration de 1974 de Mgr Marcel Lefebvre, que Mgr Joseph Strickland a récemment citée dans son intégralité. Que nous soyons d'accord ou non avec la décision de Mgr Lefebvre de consacrer des évêques en 1988 sans l'approbation de Rome, nous devrions tous être en mesure de reconnaître la sainte sagesse si évidente dans la Déclaration de 1974 :

Nous tenons fermement, de tout notre cœur et de toute notre âme, à la Rome catholique, Gardienne de la foi catholique et des traditions nécessaires à la préservation de cette foi, à la Rome éternelle, Maîtresse de la sagesse et de la vérité. Nous refusons en revanche et avons toujours refusé de suivre la Rome des tendances néo-modernistes et néo-protestantes qui se sont clairement manifestées dans le Concile Vatican II et, après le Concile, dans toutes les réformes qui en ont découlé. Toutes ces réformes, en effet, ont contribué et contribuent encore à la destruction de l'Église, à la ruine du sacerdoce, à l'abolition du sacrifice de la messe et des sacrements, à la disparition de la vie religieuse, à une politique naturaliste et l'enseignement teilhardien dans les universités, les séminaires et la catéchétique; un enseignement dérivé du libéralisme et du protestantisme, maintes fois condamné par le Magistère solennel de l'Église. Aucune autorité, pas même la plus haute de la hiérarchie, ne peut nous contraindre à abandonner ou à diminuer notre foi catholique, si clairement exprimée et professée par le Magistère de l'Église depuis dix-neuf siècles…

Ceux qui partagent les convictions exprimées par Mgr Lefebvre en 1974 ne céderont pas facilement à Satan ou aux tyrans mondialistes, c'est pourquoi les ennemis de l'Église ont dû attaquer cette foi inébranlable. Chacun d'entre nous peut aujourd'hui s'approprier l'appel au combat de Mgr Lefebvre, même s'il n'a aucune allégeance à la Fraternité Saint-Pie X qu'il a fondée. Si nous « tenons fermement, de tout notre cœur et de toute notre âme, à la Rome catholique, gardienne de la foi catholique et des traditions nécessaires à la préservation de cette foi, à la Rome éternelle, maîtresse de sagesse et de vérité », alors nous sauverons. Dieu prévaudra – la question la plus importante pour nous est de savoir si nous participerons à la victoire. Cœur Immaculé de Marie, priez pour nous ! »

« L'« Église bergoglienne » est-elle (encore) l'Église catholique ?

Par P. Joachim Heimerl von Heimthal

Il y a des phrases qui vous collent et auxquelles vous réfléchissez longtemps. La plupart du temps, ce sont des phrases auxquelles vous ne vous attendiez pas, et souvent ce sont celles qui vous expliquent le monde. Très souvent, ces phrases ne semblent rien de spécial à l'extérieur et parfois elles proviennent de quelqu'un à qui on ne s'attendrait pas à prononcer une telle phrase.

 
Ces dernières semaines, j'ai pensé à une phrase de Mgr Viganò, qui a déclaré peu avant Noël que « l'Église bergoglienne » n'était plus l'Église catholique.

J'avoue : cette phrase est formidable et fascinante, et ce qu'elle a de choquant, c'est qu'elle est profondément vraie, car ce que nous vivons sous le pape François n'est rien d'autre que l' établissement d'une néo-Église qui sape les fondements de l'Église catholique.

Il y a des dizaines d'exemples et c'est fastidieux de les répéter encore et encore. Le principe de base de tout est toujours le même : François est le premier pape qui croit qu'il se tient à la place de Dieu et qu'il peut donc donner une nouvelle forme à l'Église du Christ.

Avec la nomination d’une religieuse comme « préfète » d’un dicastère du Vatican, cela s’est produit une fois de plus, et de manière significative, sous les applaudissements (surtout) des ennemis (internes) de l’Église. – Nous nous souvenons : cela fait partie du dépôt – immuable (!) – de foi que Jésus-Christ a donné à son Église une structure hiérarchique sur les épaules des apôtres.

Cela signifie que toute fonction de direction de l’Église est liée à la réception du sacrement de l’ordre sacré et non, comme le prétend François, à une banale « commission » du Pape. Même le Pape ne peut pas remplacer les sacrements ni abolir la constitution sacramentelle de l’Église. Au contraire : il leur est et reste lié, et pour cette raison il ne peut pas faire des laïcs des « préfets ». S'il fait ça, comme François, il remet en question l'Église dans son ensemble. – Non, le catholique n’est pas ce à quoi un seul pape pense, mais le catholique est seulement ce que tous les papes ont enseigné d’un commun accord. Mais Francis en est maintenant très loin, et ce n'est pas la première fois.

Il n'est pas du tout facile pour moi d'être d'accord avec Mgr Viganò, et je pense que lui-même ne s'est pas facilité la tâche avec sa déclaration. Cependant, une question cruciale demeure ici : si « l’Église bergoglienne » n’est plus l’Église catholique, alors où est passée l’Église catholique ? Ou, pour le dire autrement : l'esprit catholique a-t-il complètement disparu entre-temps ?

J'ai trouvé la réponse surprenante à cette question il y a quelques jours lorsque j'ai vu une vidéo prise lors de l'incendie catastrophique de Los Angeles. Dans ce film, une famille chantait « Regina Coeli » sur les cendres de leur maison incendiée, et je me disais : « Oui, c'est ça et rien d'autre qui est la vraie Église, c'est l'Église catholique, et c'est exactement ce que leur inébranlable, à quoi ressemble leur foi immuable.

Alors que le Pape lui-même ébranle les fondements de l'Église, l'Église du Christ existe partout où les sacrements sont (encore) valablement célébrés et où ce que l'Église a enseigné de tout temps est cru et témoigné sans faille. - Certes, c'est douloureux de vivre ce paradoxe, mais c'est sans conteste un des signes que le Christ lui-même nous a annoncés avant sa venue. Et c’est seulement à cet égard que l’apostasie générale sous François est un signe prophétique – et l’une des dernières épreuves pour l’Église.

Mais qu'arrivera-t-il après François ? Y a-t-il un espoir que le prochain pape inversera les aberrations du pape actuel et restaurera l'Église dévastée ? – Je ne crois pas que ce sera le cas. François a constamment nommé des hérétiques et des apostats comme évêques et cardinaux, assurant ainsi sa voie destructrice. En même temps, tout a été dit sur son fatidique pontificat. – En vérité : « catholique » n’est certainement pas « franciscain » et ne le sera jamais. Au contraire : tôt ou tard, nous chanterons le « Regina Coeli » d'un nouveau départ sur les cendres de « l'Église bergoglienne ». - Pourquoi? Parce que Jésus-Christ est le Seigneur de son Église, et non Jorge Mario Bergoglio. » (marcotosatti.com)

13 janvier

LA SECONDE PENTECÔTE

« Or Pierre, se présentant avec les Onze, éleva la voix et leur déclara:  « Juifs, et (vous) tous qui séjournez à Jérusalem, sachez bien ceci, et prêtez l’oreille à mes paroles.

Ces hommes en effet ne sont point ivres, comme vous le supposez, car c’est la troisième heure du jour (9 heures du matin), mais c’est ce qui a été dit par le prophète Joël :

Il arrivera dans les derniers jours, dit Dieu, que je répandrai de mon Esprit sur toute chair, et vos fils et vos filles prophétiseront, et vos jeunes gens auront des visions, et vos vieillards auront des songes.

Oui, en ces jours-là, je répandrai de mon Esprit sur mes serviteurs et sur mes servantes, et ils prophétiseront.

Et je ferai paraître des prodiges en haut dans le ciel, et des signes en bas sur la terre: du sang, du feu, de la fumée en éruption;
le soleil se changera en ténèbres, et la lune en sang, avant que vienne le jour du Seigneur, le (jour) grand et éclatant.

Alors quiconque invoquera le nom du Seigneur sera sauvé. » (Actes 2, 14-21)

« Mais aussi de grandes processions et la Vierge Heureuse descendra sur terre. Vous ne la verrez pas dans la grotte, mais dans un cœur qui revivra. Depuis les ténèbres, elle apportera la parole que tous comprendront.» nous spécifie la prophétie de Jean XXIII « Grand Éclair à l’Orient ».

C’est la seconde pentecôte.

Cette lueur d’espoir du Jugement pour les justes.

C’est la résurrection des « deux témoins » de l’Apocalypse, ce silence d’une demi-heure pour convaincre les tièdes.

L’élection de Trump et le signe eschatologique des feux de Los Angeles en Californie nous indiquent clairement que la sixième période de l’Apocalypse achève, que la chute de Babylone commence et que la mort des deux témoins est à nos portes.

Louis d’Alencourt (legrandreveil.wordpress.com) à propos du messie judéo-maçonnique dans l’article « «Projet 47 » (et nous pouvons confirmer maintenant que nous sommes bien en présence d’un des deux empereurs de la prophétie de Jean XXIII) :

« Par contre, ce personnage peut représenter le messianisme vainqueur et symboliser, par ses œuvres, ses décisions et ses prises de position, la domination de la synagogue sur le monde, sans être lui-même ni le Messie (pour les juifs), ni l’Antéchrist (pour les autres). »

Les feux dans la cité des « anges perdus » en Californie...

Un signe de la chute de Babylone à l’approche de l’assermentation du président américain?

Les vents chauds et secs qui attisent qui purifient le tout sont nommés : les vents de « Sainte Anne ».

Louis D’Alencourt :

« Quel est le lien entre sainte Anne et l’eschatologie?

Le Ciel respecte la hiérarchie humaine dont il est lui-même le concepteur : la grand-mère annonce la mère qui annonce le Fils.

N’oublions pas que sainte Anne nous aura donné la Vierge Marie, qui elle-même donnera à l’humanité son Sauveur, son Rédempteur et son Dieu : Jésus-Christ…. »

« C’est que la stérilité d’Anne était pleine de raisons mystérieuses, nous disent les Pères de l’Église. Anne était la figure du monde, jusque-là stérilisé, et qui allait enfin produire son fruit, suivant l’expression du prophète. » (laportelatine.org)

Les vents de Sainte Anne annoncent la purification par le feu de la fin des temps, le feu du Dieu Trin, par le Père, le Fils et l’Esprit, via la Vierge Marie, la femme de l’Apocalypse, Notre-Dame de Guadelupe.

Los Angeles représente le lieu par excellence de la domination de l’image par la télévision et internet qui propulse les âmes en enfer.

« Et il lui fut donné d'animer l'image de la bête, de façon à la faire parler et à faire tuer tous ceux qui n'adoreraient pas l'image de la bête. » (Apo 13, 15)

Ce monde et l’église par la grande apostasie sont stériles à l’image de Saint-Anne…

Mais comme le miracle de l’Immaculée Conception pour donner ensuite au monde son Sauveur, Marie fera renaître l’Église pour le Salut du monde.

« Marie Très Sainte, fille et mère de Dieu, maîtresse du temps futur, bats le rappel de tes fils dans les campagnes, pour qu'ils abattent les deux Babylone.

Et que la Mère soit Une, comme toi tu es unique.

La terre détruira le ciment et de terre sera, Reine, ta nouvelle Église. Et sur la terre de blé, pour la faim de tes peuples, fleur sur son nouvel autel. Amen. » (prophétie de Jean XXIII concernant Benoit XVI).

Ainsi, le temps approche où le Père fera venir à Lui ses deux témoins.

Mais ils auront auparavant la tâche de convertir les tièdes durant la demi-heure de silence, que le regretté eschatologue Louis D’Alencourt évaluait à environ 15 jours :

« Une fois la 7è église enclenchée, quel est le déroulement des opérations ?

… La sixième période se termine par la résurrection des témoins ; à ce moment-là, il se fait un grand tremblement de terre où 7000 hommes périssent, et où la dixième partie de la ville tombe.
On ne peut savoir pour le moment à quoi correspondent ces événements, il faut attendre qu’ils se réalisent...

la résurrection des témoins est similaire à l’ouverture du 7ème sceau, car le septième sceau se fait en deux temps :

– à l’ouverture, il se fait un silence dans le ciel d’environ une demi-heure ;

– puis, à l’expiration de ce délai, l’ange prend l’encensoir plein de feu et le jette sur la terre...

Il s’agit donc d’un événement en deux temps, dont la première partie est probablement secrète… les témoins sont ceux restés fidèles à la vraie foi, principalement ceux restés dans la Tradition, et ceux qui sont dans les mêmes dispositions du cœur et de l’âme. Il s’agit de la résurrection de la véritable Église en réalité, celle donc de la Tradition, et dont le chef de file est la Fraternité saint Pie X.

Cette résurrection est figurée dans l’Évangile dans au moins deux passages : la Transfiguration et la résurrection de la fille de Jaïre.

La Transfiguration est l’annonce anticipée du retour en gloire du Christ, annoncée par les deux témoins (Moïse et Élie, la loi et les prophètes). Y assistent seulement Pierre, Jacques et Jean.

La fille de Jaïre est une figure de la résurrection de l’Église, c’est pourquoi Jésus dit « elle n’est pas morte, elle dort » ; car en réalité, la véritable église n’est jamais morte, mais elle a été mise comme en sommeil, éclipsée par la fausse église, la moderniste à Rome. Or les apôtres présents sont à nouveau Pierre, Jacques et Jean.

Enfin, pour ces deux événements, Jésus leur demande de conserver le secret, de n’en parler à personne jusqu’à ce que le Fils de l’homme soit ressuscité.

Il en va de même pour notre Église : il y a un délai entre sa résurrection et sa visibilité effective aux yeux des hommes.

Normal, car le délai en question, c’est la fameuse demi-heure du 7è sceau.

Enfin, dernier rapprochement, l’Église du Christ vient de vivre ce qu’il convient de nommer sa Passion ; c’est pourquoi ce sont toujours les 3 mêmes apôtres qui seront les témoins de l’agonie de Notre-Seigneur : car il y a un lien entre les 3 faits : agonie puis Passion de l’Église, annonce de sa résurrection par les témoins au moment du retour glorieux du Christ (Transfiguration), puis résurrection effective (fille de Jaïre), MAIS, comme pour l’épisode de saint Thomas, les incrédules n’en auront connaissance que dans un second temps : quand la 7ème période sera définitivement enclenchée, à la seconde phase du 7ème sceau.

… Donc, après cette demi-heure de suspension, le signe de la Femme dans le ciel ouvrira définitivement la 7ème période, le fameux 777, car les 3 descriptions de l’Apocalypse concernent en réalité un événement similaire parce que c’est le même… » (legrandreveil.wordpress.com - le grand pardon)

C’est le « Grand Éclair à l’Orient » de Jean XXIII.

08 janvier

LE TEMPS DE MISÉRICORDE

La justice divine suit la miséricorde.

Ce temps de miséricorde est accordé jusqu’à l’ouverture du 7ème sceau dans l’Apocalypse qui débute la Justice divine.

Plus que 12 jours avant l’assermentation du président américain et donc de la consécration du messie judéo-maçonnique, c’est à dire la domination totale de l’élite sur les ressources mondiales, la Terre Promise (voir les analyses antérieures du Projet 47).

«  Le diable, de nouveau, le transporta sur une montagne très élevée, et lui montrant tous les royaumes du monde, avec leur gloire, il lui dit : " Je vous donnerai tout cela, si, tombant à mes pieds, vous m'adorez ".

Alors Jésus lui dit : " Retire-toi, Satan ; car il est écrit : Tu adoreras le Seigneur, ton Dieu, et tu ne serviras que lui seul. » (Matthieu 4, 8-10)

Lorsque Lucifer fut évincé du Ciel après sa rébellion, il fut projeté sur Terre où il est devenu le Satan, l’ennemi.

C’est son royaume, le temporel, la Terre.

Il n’est donc pas surprenant que quelques 2000 ans après le Christ, il présente son messie, car son temps est maintenant compté, et il le sait.

C’est la fin de la sixième période, celle de l’humain divinisé, représenté par le 666, la 6ème sceau, la sixième coupe, la sixième trompette.

Pour les chrétiens, c’est la séparation du bon grain de l’ivraie; le compte.

Les 144000 justes de l’Apocalypse: soient les 12 tribus d’Israël purifiées par le sang du Christ, devenues les 12 apôtres et de la multiplication au figuré des disciples, 12000.

Le système Antichrist atteint son apogée.

Ses rois mages se sont inclinés (dernière analyse) devant l’empereur de la terre de Luther; terme désignant les États-Unis dans les prophéties de Jean XXIII, terre du protestantisme issue de la City de Londres, donc dominé par l’élite judéo-maçonnique.

C’est probablement la dernière personnification antichristique à laquelle nous assistons.

Après les César, Napoléon, Hitler, pour n’en nommer quelques uns.

Ils ont tous les mêmes caractéristiques que leur père spirituel, Satan.

Dominés par l’orgueil, le mensonge, l’ambiguïté et la manipulation, montrer son bon côté en public en utilisant des paroles mielleuses pour séduire, alors qu’ils sont des dictateurs en cachette, qui dirigent par décrets, puisqu’ils sont les seuls à avoir raison.

Ils sont montés au pouvoir parce qu’ils suscitaient l’espoir, alors que leurs fruits sont le chaos et les pires cauchemars que l’on peut imaginer.

Ainsi en est-il de Bergoglio, le pape des pauvres, qui rappelez-vous, avec ses premiers gestes, donnait l’illusion qu’un pape près du peuple pour le peuple nous avait été donné, et qui se révèle être un dictateur redoutable qui a détruit l’église le temps de le dire.

« Nous sommes au-delà de l'hérésie. Nous en sommes à la réduction du christianisme à l'anthropologie, voire à l'écologie. Nous en sommes donc à l'apostasie. Et tout cela non pas à cause d'une déchirure soudaine, mais en étroite relation avec ce qu'on entrevoyait déjà dans Evangelii gaudium et Amoris laetitia….

Naturellement, l'opération est conduite selon le système habituel: non pas en niant, mais en se taisant, non pas en contredisant, mais en diluant. De manière que le lecteur puisse être impressionné, et même favorablement, par toutes les réflexions intéressantes, d'ordre écologique, ethnologique, hygiénico-sanitaire, sociologique, etc. qui y sont contenues, et dont beaucoup sont en elles-mêmes justes. Mais au milieu de ces analyses empiriques foisonnantes et redondantes, qui ne disent rien de nouveau et qu'un spécialiste pourrait formuler mieux, la personne du Christ et son Évangile disparaissent, littéralement engloutis par la luxuriante forêt tropicale….

… (à propro du synode amazonien) certains, mais ce n'est pas un document chrétien. Que cela soit dit clairement. Quelques citations bibliques placées comme titre de certains paragraphes ou l'emploi de mots tels que «Église», «conversion» et «pastorale» ne suffisent pas à garantir le caractère évangélique d'un texte. Elles ressemblent à des écrans rassurants, mais la Parole du Dieu vivant ne constitue pas la texture et l'inspiration sur lesquelles le document est construit. (benoît-et-moi.fr)

Alors que le temps du repentir achève, Bergoglio prône encore le mensonge de la miséricorde infinie, sans mentionner que Dieu est Justice, et que tous n’entrent pas au Royaume des Cieux.

Tic tac, tic tac…

Plus que quelques temps avant le feu de la purification.

L’ouverture du 7ème sceau.

Selon Mgr Gaume, « onze multiplié par sept (77) marque la totalité de la transgression et la dernière limite du péché. »

Et de citer saint Augustin :

« Un nouveau trait de lumière nous révèle la signification du nombre 77, en faisant briller dans toute sa splendeur l’adorable sagesse qui a tout disposé avec nombre. Saint Luc, traçant la généalogie du Rédempteur, compte en tout 77 générations. Ainsi, dans les conseils éternels, la descente du Fils de Dieu sur terre a eu lieu au moment précis où 77 générations de pécheurs s’étant écoulées, afin de montrer, par ce nombre mystérieux, qu’il était venu pour effacer l’universalité des péchés commis par le genre humain. »

2025-77 donne 1948, soit l’année de la création d’Israël par l’élite judéo-maçonnique suite à la déclaration de Balfour, le futur royaume de Satan (la Terre) avec Jérusalem comme capitale à la place de Rome.

Le plan est toujours sur le long terme pour les talmudistes qui agissent depuis les années 600s, ayant pour but d’éliminer le seul obstacle à la venue du messie judéo-maçonnique, le Christ par la Présence Réelle, via son épouse l’Église et la Sainte Messe.

77 est bien une donnée divisible par 3,5 en référence aux 42 mois de la bête (un temps, deux temps et un demi-temps), et cela donne 22.

Un temps : 1948+22=1970 :

Première année de la messe conciliaire, l’arrêt du sacrifice perpétuel selon le prophète Daniel.

Deux temps : 2014 :

Première année suivant l’élection de Bergoglio, le destructeur de l’église, celui qui élimine la messe Tridentine et qui modifie la messe conciliaire pour en faire une messe païenne, pire que le repas commémoratif des protestants.

Un demi-temps : 2025 :

La fin de la sixième période, du temps de miséricorde, la mort et la résurrection des deux témoins si on suit le calendrier de l’Apocalypse.

Rappelons ce dernier dans l’ordre chronologique:

1) Mort des témoins (3,5 jours)
2) Résurrection des témoins

Fin de la sixième période, le temps de miséricorde.

Entrée dans la 7ème période, la Justice :

« Et quand l'Agneau eut ouvert le septième sceau, il se fit dans le ciel un silence d'environ une demi-heure. » (Apocalypse, 8-1)

3) Mort de l’Antéchrist
4) Chute de Babylone (3ème malheur, Ap. 11, 14)
5) Retour du Christ
6) Jugement dernier

C'est lorsque Satan criera victoire que la Justice de Dieu s'abattra sur le monde.

06 janvier

« La manifestation de Dieu aux humains ».

Tel est le sens de l’Épiphanie que nous fêtons aujourd'hui.

L’étoile qui a guidé les rois mages était visible par tous, mais seuls ceux qui avaient la connaissance des écritures, ou la sagesse des mages qui y voyaient un signe extraordinaire, signe d’une royauté descendant du ciel, ont vu et compris le signe.

Pour cela il faut lever les yeux au ciel.

Comme au temps de Jésus, combien d’entre-nous « lèvent les yeux au ciel »?

Combien d’entre-nous ont encore la Foi et attendent un signe du « Ciel »?

« Quand le sage désigne la Lune, l’idiot regarde le doigt. »

L’Épiphanie est un signe du Ciel et non la fête de l’apothéose d’un président américain plein d’orgueil, signe du messie judéo-maçonnique prenant le pouvoir (voir l’analyse précédente et la référence au Projet 47 du regretté Louis d’Alencourt), avec les trois « rois mages » du système antichristique s’inclinant à ses pieds.

« Comment Trump réécrit le 6-Janvier

Décrite par le Wall Street Journal, cette scène s’est déroulée fin novembre. Elle a coïncidé avec une période au cours de laquelle les titans de la Silicon Valley et d’ailleurs ont convergé vers Palm Beach pour « embrasser l’anneau » du président désigné ou « plier le genou » devant lui, pour reprendre les métaphores préférées des médias. Certains d’entre eux, dont Jeff Bezos (Amazon), Tim Cook (Apple) et Sundar Pichai (Google), ont également promis de verser 1 million de dollars au fonds d’investiture de Trump, par l’entremise de leurs entreprises respectives ou de leur fortune personnelle… » (lapresse.ca)

L’Épiphanie est le signe de l’abandon des religions païennes pour adorer un seul et unique Dieu en NSJC.

C’est le signe singé par le diable en ce 6 janvier 2025, mais à la gloire de l’Antichrist et son messie.

D’ailleurs, tout comme la foudre a frappé la basilique Saint-Pierre le 11 février 2013 lors de la démission de Benoît XVI, la foudre a frappé en ce 1 janvier 2025, le Capitole et le Monument à Washington, ainsi que le World Trade Center à New York. Le même soir.

Dieu est à l’œuvre et il a annoncé la chute de Babylone à sa manière.

D’ailleurs, le soleil est très actif cette semaine.

Une tache solaire a déjà émit trois éjections de classe X depuis le 3 janvier et les probabilités pour en avoir d’autres de cette tache selon la NOAA est de 25%.

C’est ce maximum solaire qui a amené toute cette activité en 2024 et qui continue.

Les signes, les aurores de 2024, sont toutes ici résumées en images (spaceweather.com)

Les signes, c’est aussi Notre-Dame de Gualelupe.

On y revient souvent.

Parce que c’est la femme de l’Apocalypse, et qu’elle nous a laissé un message pour notre époque via la Tilma, confirmant encore une fois de plus que le chiffre 13 lui appartient (preuve founie dans la vidéo ci-dessous), et non à Bergoglio.

Voici l'excellente interview concernant le film Notre-Dame de Guadelupe qui est sorti dernièrement. (RITV)

Qui sait?

Juste avant le signe de Jonas, nous aurons peut-être la chance d’apercevoir dans le ciel le signe de la Vierge Marie annoncé par le père Malachi Martin (voir analyses précédentes), lui qui a lu le 3ème secret de Fatima.

Le « Grand Éclair à l’Orient » de la prophétie de Jean XXIII.

Peut-être verrons nous de notre vivant l’étoile Betelgeuse exploser et devenir une supernova (photo de ce que nous verrions dans le ciel; troisième avant dernière image de l’article)

Ou, tout comme les rois mages, observerons ceci (la-croix.com).

04 janvier

Nous voici donc en 2025.

Comme les avertissements des 13 mai et 13 octobre derniers, l’année a commencé avec une tempête magnétique majeure le premier janvier générant de magnifiques aurores partout sur la planète.

2025 est l’année du Jubilé mais aussi l’année du veuvage de l’église, le veuvage (60 ans) de l’église conciliaire suite à Vatican II (dont Nostra Aetate voté à la dernière session le 28 octobre 1965 (puisque Jean XXIII a été élu un 28 octobre).

Rappelons que Pâques 2025 sera le 20 avril.

Ainsi, le dimanche de Quasimodo où Thomas représentant les incrédules de notre temps, demandent à avoir les preuves de la résurrection, sera le 27 avril.

Le nombre d’années entre l’élection de Jean XXIII et le 27 avril 2025 sera de 66 ans et 6 mois, ce qui confirme le summum de la divinisation de l’humain dans toute sa trinité, le 666.

2025 est aussi la limite du diable dans le décompte long démontrée dans l’analyse du 29 novembre 2021 avec le calendrier de la fin des temps.

Depuis l’apparition de l’ordinateur Apple I le 11 avril 1976 vendu 666,66 dollars, qui  accéléra l’établissement du système Antichrist, et la suspension de Mgr Lefebvre par Paul VI à l’été 1976 (préservant la Tradition si indispensable en ce moment), il y a bien 49 années en 2025.

Don Jean de Monléon dans son livre Le prophète Daniel:

« Malgré les efforts des bourreaux, la flamme ne montait qu’à 49 coudées, elle n’arrivait pas à cinquante… Pourquoi cela ? Parce que 50 est le chiffre de la Pentecôte, le symbole de la transformation totale que, seule, la grâce du Saint-Esprit est capable d’opérer dans l’homme. »

Par conséquent, « le démon ne peut dépasser 49 coudées, parce qu’il est incapable d’agir efficacement sur le fond de l’âme, sur la volonté, si celle-ci est résolue à tenir bon. »

Le diable n’a donc pas le droit d’aller jusqu’à 50, le chiffre en jours qui sépare la Résurrection de la Pentecôte.

Or, on sait en 2025 grâce à la prophétie de Jean XXIII « Le Temps est Proche »  que c’est le temps des deux empereurs. On peut affirmer facilement maintenant qu’il s’agît de Donald Trump et du président chinois, puisque Poutine est très affaibli avec la guerre ukrainienne :

« Le premier empereur meurt de faim, enfermé dans la tour de son rêve.
Le second empereur dans le désert, attaqué par les animaux de la peste, inconnus.
La fille de Caïn est montée au Nord, pour prêcher. Luxure dans la nouvelle Babylone, pour sept ans.
La septième année tombe le septième voile de Salomé, mais il n'existe pas d'empereur, il n'existe pas qui saura lever l'épée et couper le cou de Jean. Le temps est proche.»

Nous savons que la fille de Caïn, Greta Thunberg est montée prêcher le nouvelle religion climatique si chère à Bergoglio en août 2018 (voir analyses précédentes).

La fin des 7 années de la prophétie est en 2025.

Il n’y a plus d’empereur à cette date (à la limite du 49 ans : comme pour la chute des murs de Jéricho, nous avons ici 7 voiles X 7 ans).

C’est donc dire que Babylone est tombée.

ET il est spécifié que lorsque le septième voile est tombé, qu’il n’y a personne pour couper le cou de Jean.

Jean-Baptiste, c’est l’avant Jésus.

Son rôle d’alors est typiquement apocalyptique : la fin est très proche et les châtiments vont suivre.

Les méchants vont être punis et les justes récompensés, d’où l’urgence de se convertir, car au jour du Jugement, il sera trop tard.

On ne soupçonne pas assez l’importance de ce qui s’est passé en Syrie le 8 décembre dernier lorsque le pays est tombé aux mains des rebelles islamiques, le jour de l’Immaculée Conception.

C’est en lien avec Fatima.

Le 13 juillet 1917, lors de la 3ème apparitions, les enfants ont droit à la vision de l’enfer, et la révélation du grand secret où Notre-Dame demande la consécration de la Russie et dont :

« À la fin mon Cœur Immaculé triomphera. Le Saint-Père me consacrera la Russie qui se convertira, et il sera donné au monde un certain temps de paix. »

Louis D’Alencourt :

« Que nous dit-elle ?

Qu’on sera « à la fin ».

Que son Cœur Immaculé triomphera.

Que le pape consacrera la Russie.

Qu’elle se convertira.

Qu’il sera donné au monde un « certain » temps de paix, qui comprend deux notions : on peut estimer que la Russie en sera l’acteur principal, puisqu’elle vient d’être citée, et qu’il y a (a priori) corrélation entre sa conversion et le temps de paix obtenu, et que ce temps de paix ne sera pas éternel : un certain veut dire qu’il aura une fin et qu’après… on ne sait pas. Ou plus exactement, à charge pour les spécialistes, les eschatologues, de faire le lien avec d’autres textes, comme l’Apocalypse, pour compléter le tableau. » (Louis D’Alencourt, - Ukraine ou Syrie ? - grandreveilwordpress.com)

Revenons en arrière.

En 2013.

Les États-Unis et la France, prépare une attaque début septembre pour renverser le régime syrien qui a « utilisé » l’arme chimique contre ses citoyens (attaque fausse bannière par les services secrets au gaz sarin : 21 août 2013) , et déstabiliser la Russie présente en Syrie.

C’est le 3 septembre que des navires américains « testent » le dispositif de défense syrio-russe en lançant plusieurs missiles vers la Syrie ; c’est à la fois un test et le déclenchement du conflit.

C’était, semble-t-il, le début de la 3ème guerre mondiale.

Et c’est justement la Russie qui empêche cette attaque en neutralisant les missiles.

La consécration de la Russie par Jean-Paul II en 1984 a été incomplète, mais néanmoins le pays s’est converti par la suite à la foi orthodoxe, et les liens sont devenus plus fort avec l'église orthodoxe russe suite à la seconde élection de Poutine en 2012.

L'alliance avec l’église est très importante pour le président russe car l’église prône les valeurs traditionnelles, qui dénonce "la décadence morale" de l'Occident en cette ère de wokisme.

Sous Poutine, il s'est créé un système dans lequel les intérêts de l’église et de l'État sont liés.

Nous avons eu notre « certain » temps de paix depuis septembre 2013 selon Fatima, puisque des guerres ont lieu en Ukraine et autour d’Israël respectivement depuis 2022 et 2023.

On connaît la suite.

Le monde se dirige vers une troisième guerre mondiale, conflit nécessaire pour la grande réinitialisation et la venue du messie judéo-maçonnique.

La Russie avec ses ressources consacrées à la guerre en Ukraine n’a pu défendre le régime syrien cette fois.

« Tout ceci s’inscrit dans un contexte eschatologique majeur, celui annoncé par Fatima, où la Russie jouera un grand rôle, autant dans la diffusion du mal via le communisme (ce qui s’est historiquement passé, et ce de façon mondiale), que dans la concession d’un temps de paix, là encore mondial, et là encore avéré depuis 12 ans. Mais tout a une fin, y compris ce certain temps de paix : y serions-nous arrivés ? Dans l’esprit de l’oligarchie mondialiste, c’est probable. Auront-ils l’autorisation du Ciel ? Nous verrons bien, mais il est permis de croire que le temps de Babylone (le monde moderne) est compté. Compté, pesé, divisé. Place à la justice divine : la chute de Babylone. » (Louis D’Alencourt, - Ukraine ou Syrie ? - grandreveilwordpress.com)

2024

Décembre 2024

31 décembre

Paroles de Bergoglio en ce 31 décembre avec le projet du Jubilé 2025, l'année de la fraternité universelle:

« ... «L’espérance de la fraternité»

Le Pape a rendu grâce à Dieu pour tout le travail effectué «avec ce large horizon qu'est l'espérance de la fraternité». Promulguée le 9 mai 2024, la bulle d’indiction Spes non confundit a donné «Pèlerins d’espérance» comme devise au Jubilé 2025. Parmi tous les chemins d’espérance, François a voulu s’arrêter sur celui de la fraternité. «L'espérance du monde réside dans la fraternité», a-t-il assuré.

Mais, pour l’évêque de Rome, cette fraternité n’est pas qu’un «slogan rhétorique». L’assise stable et durable de cette fraternité humaine n’est ni une idéologie, ni un système économique, ni un progrès technologique. Au contraire, comme le montre Marie Mère de Dieu, il s’agit de Jésus, «le Fils incarné, envoyé par le Père pour que nous devenions tous ce que nous sommes, c'est-à-dire des enfants du Père qui est aux cieux, et donc des frères et des sœurs entre nous». » (vaticannews.va)

Mais on ne convertit pas: on s'adapte au nouvel ordre mondial.

Alors qu'on instaure au Vatican le QR code pour avoir le droit de passer la porte sainte et ainsi récolter son indulgence.(benoit-et-moi.fr)

Magnifique abaissement au système Antichrist.

Et ce, en ce jour commémoratif du décès du katéchon, Benoît XVI, il y a maintenant 3 ans.

La fin du séjour au tombeau?

Un signe?

2025 risque d'être l'année Oméga, la fin de Vatican II.

D'ailleurs, avez-vous remarquez que Bergoglio ressemble de plus en plus au pape Jean XXIII en fin de règne?

Voir cette photo récente dans l'article suivant (lapresse.ca).

Bonne et heureuse année marquée par la Paix et l'Espérance à tous!

Gardons la Foi.

23 décembre

LE SOLEIL OU « GRAND ÉCLAIR À L’ORIENT »?

Demain s’ouvre l’année du triomphe satanique, l’année du Jubilé 2025, l’année du testament de Bergoglio (voir analyse du 17 septembre, LE TESTAMENT DE BERGOGLIO).

Ceux qui visitent régulièrement la section analyse du site savent que nous portons une attention particulière à l’astre du jour parce que c’est le signe qui nous a été donné à Fatima le 13 octobre 1917.

Ce signe qui a effrayé la foule mais pour sœur Lucie qui était la vision de la Sainte Famille suivi des trois personnifications de la Sainte Vierge Marie, se terminant par Notre-Dame du Carmel.

Puisque le monde ne s’est pas converti, ils est alors évident que nous sommes dû pour cette « tempête solaire ».

L’année 2024 est sur le point de se terminer et dans moins d’un mois la fin des 3,5 années depuis Traditionis Custodes du 16 juillet 2021 interdisant la messe Tridentine approche.

« Grand Éclair à l’Orient » ou la « Foudre en Plein Jour » ou  « Le Temps est Proche » sont les trois prophéties que nous pouvons reliées à une intervention humaine comme une bombe puissante dans ce contexte de guerre, mais aussi, ce vers quoi nous penchons, soit une intervention divine, et ce venant du soleil car « Vous n'entendrez pas le tonnerre, lui aussi sera imprévu. » nous confirme la prophétie.

Puisque tout notre civilisation actuelle ne repose que sur la technologie et l’électricité, une tempête d’une rare intensité, inconnue depuis notre époque « moderniste » spirituelle où tout a été abandonné à Satan, représenterait bien « Dieu a déchaîné la guerre de la nature pour empêcher la guerre des hommes. » de la prophétie de Jean XXIII.

Alors, qu’en est-il du soleil ces dernières semaines alors que nous sommes en plein dans le maximum solaire en 2025?

L’activité solaire a été particulièrement tranquille en ce mois de décembre.

Rappelons pour ceux qui ont oublié, qu’on mesure l’activité solaire par le nombre de taches apparentes et par l’étendue qui est reliée à la complexité magnétique de ces dernières.

Nous pouvons surveiller l’activité solaire depuis le début des années 2000 grâce à des satellites d’observation solaire reliés aux ordinateurs sur terre.

Plus la complexité magnétique est élevée plus la chance de voir une éruption solaire de classe X, la plus grande sur l’échelle de mesure, est élevée.

Si l’éruption solaire est accompagnée d'une éjection de masse coronale (CME) (une bulle magnétique se déplaçant dans l’espace) se dirigeant vers la Terre, alors nous risquons de tout perdre : électricité, électronique, et tout ce qui s’en suit.

Par un « malheureux hasard », le 26 novembre dernier, un tuyau d'eau servant à refroidir la salle des serveurs du Centre commun des opérations scientifiques (JSOC) de l'Observatoire de la dynamique solaire (SDO) s'est cassé. Cela a causé d'importantes inondations dans le bâtiment et d'importants dégâts d'eau dans le laboratoire qui abrite les machines qui traitent et distribuent les données des instruments de l'imageur héliosismique et magnétique (HMI) et du réseau d'imagerie atmosphérique ( AIA) ainsi que du vaisseau spatial IRIS.

Indice? Signe?

Nous devons donc présentement avoir recours aux observations astronomiques des institutions et des particuliers pour suivre l’évolution du soleil.

Le satellite SOHO de la NASA nous permet toujours d’être témoin des éruptions solaires et des CME.

Donc, tout n’est pas perdu.

Autre fait intéressant par rapport au « Grand Éclair à l’Orient », une nouvelle étude scientifique publiée dans la revue Science conclue que nous devrions être à l’affût des « super-éruptions »  solaires.

L’étude conclue que les étoiles semblables à notre soleil dans notre Voie lactée produisent des super-éruptions environ tous les 100 ans.

Les super-éruptions sont des éruptions solaires environs 50 fois plus puissante que l’événement Carrington en 1859, événement qui à lui seul représenterait un réel danger pour notre monde gavé de technologie.

Les 10 astronomes de l’étude ont observé 56,450 étoiles comparables au soleil grâce au télescope Kepler entre 2009 et 2018.

Ils ont identifiés 2889 super-éruptions sur 2527 étoiles avec cette énergie 50 fois plus élevée que l’événement Carrington.

Selon leurs mesures, la Terre n’a pas été frappé par une super-éruption dans le dernier siècle.

En conclusion, nous sommes dû pour une super-éruption solaire, ou simplement, notre soleil est moins actif que les autres étoiles comparables au soleil dans notre Voie lactée.

Mais, nous, nous connaissons l’avertissement de Fatima.

Nous pouvons reliés les prophéties de Jean XXIII au soleil.

D’ailleurs, la prophétie de l’Église #11 du 7ème sceau se termine par : « Attendez le signe de Jean. L'agneau est prêt. Signez-vous sept fois avec une main fatiguée et attendez. La lumière vient encore de l'Occident. »

La lumière vient encore de l’Occident (donc de l’ouest) peut signifier deux choses :

- Il s’est passé physiquement un signe à l’est (Grand Éclair à l’Orient)

- ou, comme les égyptiens attendaient impatiemment de voir si le dieu solaire allait réapparaître le matin après son périple de la nuit, nous sommes en présence du signe de Jonas, les trois jours de noirceur, et nous attendons plein d’espoir, ce retour de la lumière.

La force d’une super-éruption aurait évidemment des impacts probables au niveau de la structure terrestre, qui est une immense boule magnétique.

Et la dernière prophétie #12 concernant l’église est « L’arrivée de la lumière ».

Et c’est relié à l’établissement du Royaume de Dieu sur terre.

« Avant l'ultime lumière, les pasteurs auront reconnu le signe. », soit le Grand Éclair à l’Orient.

« Le premier soleil illumine la balance de l'univers. »

Soit qu’il s’est passé de quoi avec le soleil, soit que c’est une représentation mystique du retour du Christ.

« Lumière de l'Occident, dernière lumière avant l'éternelle, inconnue. »

Le père Malachi Martin qui avait lu le 3ème secret de Fatima nous a bien averti de surveiller le ciel à l’est, à l’orient, pour LE SIGNE.

Il semble qu'il s’est juste tromper sur son estimé dans le temps.

Si 2024 est l’année où tout bascule, 2025 est l’année de la chute des deux Babylone si la prophétie de Don Bosco du retour du Lys de Paix avant mai 2026 est véridique.

Est-ce que Bergoglio se rendra à sa 13ème année de pontificat, chiffre appartenant à la Sainte Vierge?

Bergoglio, avec l'ajout des nouveaux cardinaux, a créé 111 des 140 électeurs admissibles pour le prochain conclave papal.

Les franc-maçons aiment bien le chiffre 11.

Pâques en 2025 sera le 20 avril.

Ainsi, le dimanche de Quasimodo où Thomas représentant les incrédules de notre temps, demandent à avoir les preuves de la résurrection, sera le 27 avril.

Le nombre d’années entre l’élection de Jean XXIII et le 27 avril 2025 sera de 66 ans et 6 mois, ce qui confirme le summum de la divinisation de l’humain dans toute sa trinité, le 666.

Aussi, la canonisation de Jean XXIII a eu lieu le 27 avril 2014.

Donc, 11 ans en 2025.

Le chiffre franc-maçonnique par excellence.

22 décembre

« Mgr Carlo Maria Viganò : « L'Église aujourd'hui est en plein délire »

Entretien d'Andrea Caldart avec l'Arzobispo Carlo Maria Viganò

Andrea Caldart : L'Église de Bergoglio semble en émoi : de nombreux fidèles continuent de voir ce pape excommunier des prêtres et d'autres, parce qu'ils présentent la preuve que le pape Benoît XVI n'a jamais vraiment renoncé au « munus » pétrinien. Monseigneur Viganò, dans quelle Église vivons-nous ?

Carlo Maria Viganò : « L'église » de Bergoglio n'est pas seulement en effervescence : elle est en plein délire. Si cela peut arriver, c'est précisément parce qu'il ne s'agit plus de l'Église catholique, mais de sa scandaleuse contrefaçon, et parce qu'à la place du pape sur le trône de Pierre siège un tyran hérétique et usurpateur . La décomposition entre munus et ministériel est un artifice produit par la pensée hégélienne de Joseph Ratzinger-Benoît XVI : je l’ai longuement expliqué dans mon discours sur le sujet, en parlant d’une « Papauté décomposée ». J'aimerais profiter de cette occasion pour réitérer ici un concept que je considère comme fondamental : toute attaque contre l'institution divine de la Papauté (et, avec elle, de l'Église) a pour objectif ultime la transformation du pouvoir sacré du Pontife Romain . C'est ce que souligne en revanche la doctrine hérétique de la synodalité : elle porte atteinte à la constitution divine et à la nature monarchique de l'Église, voulue par son divin Fondateur, Notre Seigneur Jésus-Christ, qui est Roi non seulement des sociétés temporelles, mais aussi - et surtout - de la société religieuse, c'est-à-dire de l'Église catholique, corps mystique dont il est la tête.

Si Bergoglio était pape, la promesse d'une assistance spéciale faite par le Seigneur au Prince des Apôtres et à ses successeurs serait infondée et fausse, ce qui est totalement inconcevable et contraire à la foi. Par conséquent, si Bergoglio peut exercer sa propre action dévastatrice sur l’Église et propager ses erreurs, c’est parce que son autorité a été usurpée avec préméditation et méchanceté et, en tant que telle, est nulle. Ceux qui pensent que la crise a commencé avec ce « pontificat » se trompent : la volonté de manipuler la papauté romaine remonte au Concile Vatican II, poursuivie avec l'encyclique Ut unum snot sint de  Jean-Paul II, confirmée par l'anomalie de la démission de Benoît XVI et que Bergoglio a fait sienne - en parfaite cohérence avec ses prédécesseurs - avec le document d'étude L'Évêque de Rome du Dicastère pour la Promotion de l'Unité des Chrétiens. Redéfinir la papauté « dans une clé œcuménique et synodale » est le modus operandi typique des hérétiques pour dissimuler derrière de vagues formules une action délibérément subversive, contraire à la foi et à la pratique constante de l’Église catholique romaine.

Il faut prendre acte du coup d'État fomenté par l' Église profonde et qui a porté au pouvoir, au sommet de la Hiérarchie catholique, les cinquièmes colonnes de l'ennemi, c'est-à-dire de l'anti-Église maçonnique, de la synagogue de Satan.

Andrea Caldart : Au fil des ans, vous avez émis plusieurs critiques sur la question de la transparence et de la gestion des problèmes internes de l'Église. Quelles étapes vous semblent essentielles pour restaurer la confiance des fidèles ?

Carlo Maria Viganò : Ce que vous appelez « transparence » dans le langage bureaucratique trouve sa contrepartie religieuse dans le fait de savoir que nous sommes toujours sous le regard de Dieu. Rien n'échappe à Notre-Seigneur : ni ce qu'on fait, ni ce qu'on va faire, ni les intentions qui nous animent. Si ceux qui soutiennent Bergoglio et ratifient sa fraude avaient agi avec cette conscience, ils ne l'auraient même pas admis au Conclave. Pour que le coup d'État réussisse, il fallait pouvoir compter sur une Hiérarchie corrompue et susceptible de chantage : la corruption de la volonté dans la violation des principes moraux s'accompagnait de la corruption de l'intellect dans la falsification progressive de l'esprit.

La Révolution, dans sa matrice ontologiquement antichrétienne et anti-Christ , a nié l'origine divine de l'autorité terrestre, déconnectant les dirigeants de leur obligation d'exercer le pouvoir dans les limites du Bien en tant qu'expression de la Seigneurie suprême du Christ. Cela a rendu l’autorité – civile et ecclésiastique – autoréférentielle et essentiellement tyrannique, pervertissant l’obéissance chrétienne en complicité servile. Citoyens et fidèles se sont retrouvés à obéir au pouvoir temporel et spirituel même lorsqu'il trahissait sa propre fin; et désobéir au véritable et unique détenteur de l'Autorité, Notre Seigneur, confiné par la laïcité libérale et conciliaire à la sphère privée des individus. Si le lien entre le Christ Roi et le Pontife et ses représentants sur terre n'avait pas été rompu, rien de ce que nous avons vu se produire n'aurait été possible.

À ceux qui soutiennent que l'action subversive de la Hiérarchie moderniste bénéficie du soutien et de la reconnaissance pacifique et universelle du peuple chrétien, il faut rappeler que soixante ans d'endoctrinement moderniste par le clergé conciliaire - et cinquante ans d'anarchie hérétique et sacrilège dans le domaine liturgique - les erreurs philosophiques, doctrinales et morales que la Sainte Église avait toujours condamnées et combattues ont été lentement normalisées. Les quelques personnes qui veulent rester fidèles à la Tradition doivent comprendre que nous sommes à une époque de persécution et d'apostasie et doivent s'organiser pour résister aux loups déguisés en brebis et aux faux bergers. Dans une magnifique parabole, le Seigneur nous parle des faux bergers et des mercenaires, qui ne se soucient pas des brebis, et nous rappelle que les brebis reconnaissent la voix du Berger (Jn 10) : c'est le sensus Ecclesiæ qui permet à l'Église de survivre.

Andrea Caldart : Comment évaluez-vous l'état actuel de l'Église catholique par rapport aux valeurs traditionnelles et à la modernité ?

Carlo Maria Viganò : L'Église catholique n'a rien à voir avec l'Église bergoglienne, qui est conciliaire, synodale et œcuménique, mais elle n'est certainement pas catholique. Il ne se pose comme tel que pour obtenir l'obéissance de ses fidèles, sachant très bien que c'est justement sur ce mensonge que sa hiérarchie peut exercer son pouvoir. D'un autre côté, la fiction d'une autorité subversive qui agit contre l'institution qu'elle préside est également reproduite par les dirigeants civils, qui sont à la fois des traîtres et des usurpateurs. Ce qui est déconcertant, c'est de voir le niveau d'obscurcissement des consciences que la société a atteint, pour ne pas savoir comment réagir à la violation des principes les plus sacrés et même pour coopérer passivement à sa propre extermination physique et morale.

Andrea Caldart : À quoi faut-il attribuer cette attitude de renoncement, d'aplatissement total des positions idéologiques du monde moderne, de la part de l'Église de Bergoglio ?

Carlo Maria Viganò : Le désir de plaire à la mentalité du monde a commencé au moment où la Hiérarchie, à ses sommets, a cessé d'être une pierre d'achoppement et est devenue complice et coresponsable de la diffusion des principes libéraux et laïques. Cela s'est produit dans l'Église catholique à travers la révolution permanente inaugurée par le Concile Vatican II, qui a complètement bouleversé toute la « hiérarchie des valeurs » en déplaçant arbitrairement et illégitimement le centre de gravité du corps ecclésial de Dieu vers le monde , du Christ. Cette révolution, en affirmant vouloir restaurer la centralité de l'homme, ses droits et sa « dignité infinie », nie par conséquent la centralité de Dieu et le confine à la sphère privée de la conscience de l'individu, déplaçant ainsi Notre-Seigneur de sa seigneurie universelle. Au moment où l'exercice de l'autorité du pape et des évêques trouve sa légitimité dans le consentement des fidèles, ils n'agissent plus comme vicaires du Christ (qui  d'en haut leur confère le pouvoir sacré de paître son troupeau), mais qui deviennent plutôt de simples représentants d'un mandat « collégial » ou « synodal » (qui vient donc d'en bas ). Il est évident qu'une telle autorité devient autoréférentielle et sans limites, par conséquent essentiellement tyrannique.

Prétendre que l'Église doit être démocratique et que les laïcs peuvent ou doivent participer à son gouvernement est évidemment un mensonge colossal : non seulement parce que cela contredit la structure monarchique que Notre Seigneur lui a donnée en la fondant sur Pierre, mais aussi parce que derrière l'aspect subversif l'action de ses promoteurs cache l'indicible détermination à le détruire, en le frappant en son cœur, c'est-à-dire en la Papauté.

Dans la folle illusion de pouvoir détruire l'Église catholique, ses ennemis savent bien que le moyen le plus efficace n'est pas de confier à une multitude ce qu'on sait faire de mieux, mais au contraire de pouvoir compter sur une autorité corrompue et pervertie.

Le premier pas vers cette autodestruction de l'Église a été accompli précisément en inculquant aux fidèles un sentiment d'infériorité à l'égard de ceux qui ne professent pas la Foi, et en les convainquant que la Foi est en opposition et en contradiction avec la Science, comme si le Seigneur n'était pas l'auteur des deux. Les fidèles seraient donc des crédules, des rêveurs, des trompés qui croient aux miracles, à la chute de la manne dans le désert, à la guérison des aveugles de naissance ou des infirmes, à la multiplication des pains et des poissons, dans la Résurrection du Christ et dans tous ces dogmes que l'Église catholique enseigne mais qu'un esprit moderne non obscurci par la « superstition papiste » sait bien qu'ils ne sont que des métaphores et des élaborations de la « communauté primitive ». Une communauté d'imposteurs, dans laquelle la nécessité de donner corps à une institution organisée capable de rivaliser avec les autres religions a inventé une série de mythes, en premier lieu celui de la divinité de Notre-Seigneur. C'est, en résumé, la pensée du modernisme apparue au XIXe siècle, condamnée au début du XXe siècle et qui a progressivement pénétré l'Église jusqu'à s'imposer avec le Concile Vatican II. La vision scientifique – et non scientifique – de la religion a convaincu le clergé et les fidèles qu’ils doivent se considérer inférieurs et méritant, tout au plus, une tolérance mal dissimulée, mais certainement pas autorisés à défendre une Vérité considérée comme relative et non universelle. Essentiellement, le diable a d’abord réussi à donner aux citoyens le droit à l’erreur, puis à nier ce droit à la Vérité, le réservant uniquement à l’erreur. L'alibi initial de la liberté pour toutes les religions a été démontré pour ce qu'il est : une guerre totale contre la Vérité unique de Dieu pour le triomphe des nombreux mensonges de Satan, prince du mensonge.

Jorge Bergoglio, dans la continuité de ses prédécesseurs immédiats - bien que certainement de manière plus décousue et plus agressive - a usurpé l'autorité papale pour l'utiliser à son encontre, car ce n'est qu'en se faisant passer pour Pape qu' il pouvait obtenir l'obéissance immédiate du clergé et des laïcs dans son pays. Et ce sont précisément ceux qui aujourd'hui reconnaissent Bergoglio comme pape légitime, mais se réservent le droit de lui résister et de lui désobéir dans ce qu'ils considèrent comme étant en contradiction avec la papauté et la doctrine catholique, qui rendent cette situation humainement irréversible, dans laquelle celui qui devrait être le Vicaire du Christ est le principal architecte de l’action dissolvante de la Papauté et de l’Église catholique. (Je pense à mes frères Burke, Sarah, Mueller, Schneider... qui rendent un terrible service à la Vérité).

Andrea Caldart : Une question se pose spontanément : où « subsiste » l’Église catholique aujourd’hui ? Comment l'Église catholique peut-elle exister sans tête visible ?

Carlo Maria Viganò : L'Église catholique ne subsiste certainement pas dans l'Église bergoglienne : certainement pas dans le conventicule des cardinaux et des évêques qui soutiennent et accompagnent le tyran par peur, timidité, intérêt, chantage ou acquiescement. Cela suffirait pour comprendre, dans la perspective eschatologique de la fin des temps et de la persécution finale annoncée par les Saintes Écritures, le caractère singulier et extraordinaire de tout ce qui se passe dans l’Église du Christ. C'est pour cette raison qu'il n'est pas possible d'évaluer cette crise à la lumière des catégories et des normes que l'Église s'est données pour des temps de relative normalité. En ce sens, si l’on ne peut pas physiquement séparer l’ivraie du bon blé, on peut au moins distinguer la mauvaise plante en attendant que les moissonneurs viennent la jeter au feu.

Andrea Caldart : De nombreuses personnes dans le monde ont déclaré avoir été sauvées des vaccinations forcées grâce à vos nombreuses interventions et dénonciations des choses mauvaises et mauvaises que les gouvernements ont faites et continuent de faire pour la mise en œuvre de la Grande Réinitialisation et du Nouvel Ordre.

Carlo Maria Viganò : La farce de la pandémie, dont les crimes et les horreurs apparaissent lentement même dans les grands médias, a ouvert les yeux de nombreuses personnes intellectuellement honnêtes, y compris des athées et des non-catholiques. Cet éveil des consciences constitue certainement une occasion de s'approcher du Seigneur, au moment où elles comprennent l'unité du plan satanique et anti-humain de la Grande Réinitialisation et y reconnaissent l'action d'un esprit diabolique qui cherche dans la destruction de l'homme pour annuler la Création de Dieu et la Rédemption opérée par Notre Seigneur.

Ce qu'on peut faire, c'est suivre l'exhortation de saint Pierre : Résistez fermement dans la foi, sachant que vos frères et sœurs du monde entier souffrent les mêmes choses que vous (1 Pierre 5, 9).

Nous ne devons pas perdre la paix du cœur ni l'amitié avec Dieu face aux événements dont nous sommes témoins. Plus l'ennemi semble puissant et proche du triomphe, plus sa défaite inexorable face à l'archange Michel se rapproche. On nous demande de rester fidèles, et de le faire avec les moyens matériels et spirituels que le Seigneur nous assure dans les moments d'épreuve. Organisons-nous en petites communautés, où la messe de tous les temps est le cœur battant de notre action personnelle, familiale et sociale. Préservons les enfants et les jeunes, en les éduquant avant tout dans l'amour de Dieu et de la Sainte Vierge. Encourageons ceux qui se sentent seuls et abandonnés, car la solitude est l'une des armes que l'adversaire utilise pour nous prosterner et nous faire tomber. Prions assidûment le Saint Rosaire. Vivons dans la charité fraternelle, sous le regard de Dieu.

Andrea Caldart : En regardant vers l'avenir, quelles sont les priorités de votre mission pastorale et quel message jugez-vous essentiel de transmettre aux fidèles en ce moment historique ?

Carlo Maria Viganò : La tâche d'un évêque, c'est-à-dire d'un successeur des apôtres, est résumée par saint Paul (2Tm 4, 1-5) : Je vous adjure devant Dieu et devant Jésus-Christ, qui jugera les vivants et les morts avec leur apparence et leur royaume : prêchez la Parole, insistez sur toutes les occasions favorables et défavorables, convainquez, réprimandez, exhortez avec toute sorte d'enseignement et de patience. Car le temps viendra où ils ne supporteront plus la saine doctrine, mais, désireux d'entendre, ils chercheront en grand nombre des docteurs selon leurs propres désirs, et ils détourneront leurs oreilles de la vérité et se tourneront vers les fables. Mais tu restes vigilant en toutes choses, endures les souffrances, accomplis la tâche d'évangéliste, accomplis fidèlement ton ministère. C'est ce que j'essaie de faire. C'est ce que je ferai jusqu'à mon dernier souffle. Et je prie ardemment pour que les autres évêques et prêtres fassent de même, devant Dieu et le Christ Jésus, qui doit juger les vivants et les morts, par son apparence et son royaume.

Dans ce combat spirituel, il est essentiel de penser aussi à l’avenir de notre société et de l’Église. Ainsi, tout comme dans les affaires mondiales, beaucoup s'organisent en communautés pour subvenir à leurs besoins matériels - par exemple, pour fournir une alimentation saine ou pour donner une éducation non idéologique à leurs enfants - de même, dans les choses spirituelles, il est nécessaire d'organiser une résistance qui assure de bons et saints prêtres qui continuent à célébrer la messe et les sacrements dans la fidélité à la Tradition.

La Fondation Exsurge Domine a précisément pour objectif principal de promouvoir et de soutenir la formation de nouvelles vocations sacerdotales, dans la fidélité à la Tradition et à la Liturgie de tous les temps, dans l'amour de l'Église catholique romaine et de la Papauté. » (aldomariavalli.com)

21 décembre

ORDO AB CHAO

« En temps de persécution religieuse, l’intervention divine attend ordinairement deux choses avant de se produire :

– D’abord que la purification des bons soit suffisamment accomplie ;

– Ensuite, que le triomphe des méchants soit sur le point de s’achever. » (abbé Augustin Lémann, 1886)

Ce temps des persécutions religieuses, est ce temps où Pierre le Romain dans la prophétie des papes de Saint-Malachie conduit son peuple parmi les tribulations, la dernière étape de la purification par Vatican II.

L’ère bergoglioènne.

L’ère du chaos.

Chaos utiliser par l’Antichrist pour la venue du « messie guerrier » judéo-maçonnique, pour établir l’ordre.

Le politique nous donne des signes évidents de chaos en cette fin d’année 2024, où tout bascule : instabilité politique au Canada, en France, en Grande-Bretagne, en Allemagne, aux États-Unis, …

Domenico Margiotta, franc-maçon du 33ème degré converti au catholicisme à la fin du XIXème siècle, et qui dénoncera dans ses livres les pratiques occultes de la franc-maçonnerie :

« Le nombre 77 est sacré parce qu’il est le produit de la multiplication de 7, nombre sacré, par 11, nombre sacré. Le nombre 7 est sacré parce qu’il est le total du nom ineffable du Grand Architecte de l’Univers, qui est en sept lettres (Lucifer, nom révélé seulement dans les triangles). Le nombre 11 est également nombre sacré luciférien, parce que cabalistiquement il représente l’En-Soph et les dix Séphiroth, dont les incarnations maçonniques sur terre sont le souverain pontife de la franc-maçonnerie universelle et les dix patriarches composant le sérénissime grand collège des maçons émérites. Enfin le nombre 77 est trois fois sacré, parce qu’il est le nombre de la hiérarchie céleste selon le Livre Apadno. C’est en l’honneur de ce nombre que la juridiction suprême de la haute-maçonnerie est divisée en 77 provinces triangulaires. »

Selon le « Projet 47 » de Louis d’Alencourt (voir analyses précédentes) le messie judéo-maçonnique se découvre à la vue de tous le 20 janvier prochain, c’est à dire 77 ans après la création d’Israël en 1948.

Le religieux domine le politique, quoiqu’on en dise.

Et le chaos est très présent au Vatican.

Dénoncé par quelques braves, toujours peu nombreux :

« … Les erreurs manifestées par François découlent de son aversion pour la Tradition, qui le mène à maltraiter les traditionalistes, à persécuter les évêques et les prêtres et à en annuler certains. Sa procédure habituelle consiste à intervenir indirectement dans les diocèses en nommant des « coadjuteurs » progressistes des évêques respectifs. Dans bien des cas, il critique les prêtres, qu'il semble mépriser, les qualifiant d'« arriérés » [« indiétistes »] parce qu'ils aiment et suivent la Tradition. Ce mépris contraste avec l’amour pour les prêtres manifesté par les papes ... Jean-Paul II et Benoît XVI.

La mariologie de François est déficiente : lorsqu'on lui a demandé de proclamer la Co-Rédemptrice, il a refusé, avec un mauvais argument affirmant qu'elle ne pouvait pas être appelée Co-Rédemptrice « parce qu'elle n'est pas divine ». Il est clair qu'il ne comprend pas le mystère de la participation de Marie à l'œuvre de rédemption. Le style de François est populiste, ce qui lui vient de sa sympathie politique pour le phénomène argentin du péronisme, mouvement auquel il adhère depuis sa jeunesse, au sein du groupe connu sous le nom de « Garde de fer ».

La question de l'infaillibilité ne se pose pas. En fait, il exerce son activité en utilisant l'autorité papale de manière très naturelle. Il est bien conscient d'être pape et est considéré comme tel par les fidèles, sauf que beaucoup n'approuvent pas ses choix politiques et reconnaissent clairement que cette dimension politique est étrangère à la fonction de Successeur de Pierre.

Le pontificat actuel est axé sur l’agenda mondialiste et le dialogue interreligieux ; il ne peut pas remplir son mandat de répandre la connaissance et l'amour de Jésus-Christ. Mais le mandat apostolique demeure : « Allez partout dans le monde et prêchez l'Évangile à toutes les nations ; Celui qui croira et sera baptisé sera sauvé, celui qui ne croira pas sera condamné » (Mc 16, 16). Cela vaut pour ce monde, qui attend le rétablissement du Successeur de Pierre.

+ Héctor Aguer

Archevêque émérite de La Plata ». (lifesitenews.com)

« CITÉ DU VATICAN ( LifeSiteNews ) — Un employé frustré du Vatican a affirmé que le pape François donnait la préférence au « lobby gai » lorsqu'il s'agissait de prendre des décisions.

Dans une entrevue anonyme accordée au média italien Panorama , un membre du syndicat du Vatican s'est plaint que non seulement ses collègues étaient mécontents de la prétendue gestion financière de François, mais qu'il accordait une forte préférence à ceux qui sont en faveur de l'agenda homosexuel.

« On ne peut progresser que si on est ami d'un des deux lobbys qui comptent : soit le « lobby gai », qui est vaste et très puissant, soit le « Club Santa Marta » autour du Pape », dit-il. qui portait les initiales «GF», a déclaré au média.

La personne a en outre fait remarquer que si « vous voulez adhérer, vous ne pouvez pas lire les journaux de centre-droit et vous devez parler espagnol ». Il faut être vert, pro-migrants et, surtout, pro-palestinien. Pour eux, Nicolas Maduro est un saint et Donald Trump est un diable.»

L'influence du lobby homosexuel dans l'Église n'est pas une simple spéculation. LifeSite présente depuis des années une documentation détaillée sur les efforts du groupe. Son pouvoir sur François est indiqué, entre autres, par ses nominations papales, le traitement réservé aux groupes homosexuels et d'autres signes de favoritisme évident.

Ce mois-ci, François a nommé 21 nouveaux cardinaux, dont le prêtre dominicain pro-LGBT, le père Timothy Radcliffe. François a également rehaussé le profil public du prêtre jésuite pro-LGBT James Martin en louant à plusieurs reprises son travail et son groupe hérétique Outreach. De plus, François a récemment accueilli au Vatican un ermite transgenre basé aux États-Unis et a souvent accueilli au Vatican d'autres groupes de personnes confuses en matière de genre… »

« Lors de son audience du 16 décembre 2024 avec une délégation du Conseil méthodiste mondial, François a faussement suggéré que les catholiques professent la même foi que les méthodistes :

« L'an prochain, les chrétiens du monde entier célébreront le 1700e anniversaire du premier concile œcuménique : Nicée. Cette occasion nous rappelle que nous professons la même foi et avons donc la même responsabilité d'offrir des signes d'espérance qui témoignent de la présence de Dieu dans le monde. »

Bien qu'il soit vrai que les méthodistes et les autres protestants acceptent le Symbole de Nicée, il est évidemment incorrect de suggérer que les catholiques et les méthodistes « professent la même foi ». Le pape Léon XIII a réfuté en profondeur la fausse affirmation de François dans son encyclique de 1896 sur l'unité des chrétiens, Satis Cognitum :

« Mais celui qui s'écarte ne serait-ce que sur un point de la vérité divinement révélée rejette absolument toute foi, puisqu'il refuse ainsi d'honorer Dieu comme la vérité suprême et le motif formel de la foi. « Dans bien des choses, ils sont avec moi, dans quelques affaires pas avec moi ; mais dans le peu de choses où ils ne sont pas avec moi, les nombreuses choses dans lesquelles ils sont ne leur serviront à rien » (S. Augustinus dans Psal. liv., n. 19). Et c'est à juste titre ; car eux, qui prennent de la doctrine chrétienne ce qu'ils veulent, s'appuient sur leurs propres jugements, pas sur la foi ; et n'amenant pas toute intelligence en captivité à l'obéissance du Christ (2 Cor. X., 5), ils s'obéissent plus vraiment à eux-mêmes qu'à Dieu. »

Ainsi, quiconque rejette ne serait-ce qu’un seul point de la vérité divinement révélée rejette la Foi dans son ensemble. Parce que les méthodistes (comme les autres protestants) rejettent de multiples points de vérité divinement révélés, ils rejettent la vraie foi, s'appuyant plutôt sur leurs propres jugements. En tant que tels, les méthodistes ne « professent évidemment pas la même foi » que les catholiques… » (theremnant.com)

La Tradition est l’ennemi de l’œcuménisme.

Voilà pourquoi Bergoglio s’acharne tant sur la Tradition, car elle empêche la conversion complète de l’église au protestantisme sous couverture d’œcuménisme.

« … Evelyn Waugh à l'archevêque John Heenan du 25 novembre 1962 (moins de deux mois après l'ouverture du Concile), la « protestantisation » était évidente dès le début pour ceux qui avaient des yeux pour voir :

« La vraie difficulté (je pense) est que les Continentaux se déforment pour nous faire ressembler le plus possible aux protestants. Comme j'aimerais qu'on puisse les persuader (une grande majorité, je le crains) qu'être à l'aise avec notre messe et nos cérémonies est bien plus important que d'avoir raison selon les livres des antiquités liturgiques.

Waugh avait tout à fait raison, et Michael Davies a confirmé l'existence de ce processus de « protestantisation » lors de son conseil du pape Jean :

« L'histoire du dialogue œcuménique initié par le Concile a été celle de concessions continuelles de la part de l'Église catholique au protestantisme – sans aucune réciprocité. . . . [L]'exemple le plus grave en a été la modification de la messe romaine pour la rendre aussi acceptable que possible à ceux qui rejettent l'enseignement catholique sur le sacrifice et la transsubstantiation. (p. 154)

Mais qu'est-ce qu'être « protestantisé » ? Il n’y a aucun sens réel dans lequel l’Église catholique actuelle pourrait être « protestantisée » parce qu’elle ne peut pas changer de cette façon. Tout ce qui ressemble à l’Église catholique et qui pourrait être « protestantisé » serait nécessairement une église contrefaite. L'Église synodale de François nous a aidés à mieux comprendre ce qui a été protestantisé. Comme de plus en plus de catholiques le réalisent, cette Église synodale est essentiellement une version plus avancée et officielle de la soi-disant « Église conciliaire », qui, à bien des égards, représentait une contrefaçon de l’Église catholique. Alors que les bons catholiques auraient pu être en désaccord sur le sens ou la légitimité du terme « Église conciliaire », François et ses collaborateurs soulignent régulièrement les réalités selon lesquelles leur Église (a) est maintenant appelée « Église synodale » et (b) a peu de chevauchement avec l'Église catholique sur le plan doctrinal.

Dans cette optique, François avait généralement raison de dire que son Église a la même foi que l'Église méthodiste. Cependant, lors de cette audience particulière avec les méthodistes, il a fait référence à tort à son église en l'appelant l'Église catholique plutôt que l'Église synodale. Que ce soit par ignorance ou par malveillance, c'est le genre d'erreur que les vrais catholiques devraient veiller à corriger. Si François n'a pas la compréhension ou la décence nécessaire pour identifier correctement son église contrefaite, nous avons une réelle obligation de le corriger afin de minimiser les chances que d'autres croient à tort qu'il parle de l'Église catholique dans de de tels cas.

Cette obligation de défendre la véritable Église catholique s'étend à la nécessité pour nous de coopérer avec la grâce de Dieu pour vaincre le faux œcuménisme qui tourmente le Corps mystique du Christ depuis des décennies. Même si le faux œcuménisme est étranger à l'Église parce qu'hérétique, cette notion erronée de l'unité des chrétiens nuit aux catholiques d'innombrables manières. Dieu a permis que ces préjudices deviennent de plus en plus clairs en 2024, avec le document de l'évêque de Rome et le Synode sur la synodalité . Pour ceux qui aiment l'Église catholique, cela nous appelle à faire plus que jamais en 2025 pour lutter charitablement contre le fléau du faux œcuménisme. Cœur Immaculé de Marie, priez pour nous ! » (theremnant.com ci-haut)

La fausse église prophétisée par Anne Catherine Emmerich.

« Parce qu'ils tiennent pour certain qu'il est très rare de trouver des hommes dépourvus de tout sens religieux, ils semblent avoir fondé sur cette croyance l'espoir que les nations, bien qu'elles diffèrent entre elles sur certaines questions religieuses , sauront sans trop de difficultés, parvenons à nous mettre d'accord en tant que frères sur la profession de certaines doctrines, qui forment pour ainsi dire une base commune de la vie spirituelle.

C'est pourquoi ces personnes organisent fréquemment des congrès, des réunions et des discours, auxquels assistent un grand nombre d'auditeurs et où tous, sans distinction, sont invités à se joindre à la discussion, aussi bien les infidèles de toute espèce que les chrétiens, même ceux qui se sont malheureusement éloignés du Christ ou qui, avec obstination et obstination, nient sa nature divine et sa mission. Certes, de telles tentatives ne peuvent en aucun cas être approuvées par les catholiques, fondées comme elles le sont sur cette fausse opinion qui considère toutes les religions comme plus ou moins bonnes et louables, puisqu'elles manifestent et signifient toutes de différentes manières ce sens qui est inné en nous tous, et par lequel nous sommes conduits à Dieu et à la reconnaissance obéissante de son règne.

Non seulement ceux qui soutiennent cette opinion se trompent et se trompent, mais encore, en déformant l'idée de la vraie religion, ils la rejettent et se détournent peu à peu vers le naturalisme et l'athéisme, comme on l'appelle ; d'où il s'ensuit clairement que celui qui soutient ceux qui soutiennent ces théories et tente de les réaliser abandonne complètement la religion divinement révélée. » (le Pape Pie XI, Mortalium Animos, encyclique de 1928 sur l'unité religieuse)

« ( LifeSiteNews ) — Le deuxième dimanche de l'Avent, les chaînes de télévision du monde entier ont diffusé deux services catholiques : la messe de réouverture de Notre-Dame de Paris et la messe papale de fin du consistoire.

Ce qui unissait les deux messes, cependant, n'était nullement l'unité de la célébration de la messe selon le nouveau missel de Paul VI ; au lieu de cela, il était visible que les deux messes s'écartaient des prescriptions de son missel d'une manière idiosyncrasique, démontrant ainsi au monde entier qu'il n'existe pas de « nouvelle messe ».

Ce qui est encore plus frappant, c'est que les deux messes se caractérisent par un rejet évident de la tradition : les vêtements, les gestes, les rites centraux et même certaines parties de la prière eucharistique ne donnent plus aucune indication sur la manière dont la messe a été célébrée pendant 1 600 ans. Au lieu de cela, le lien avec la tradition semblait avoir été coupé au couteau, et les deux messes semblaient flotter dans un espace liturgique vide.

Cependant, la tradition dans l'Église est une chose délicate. Quiconque y voit simplement une « coutume » qui peut être maintenue ou abolie ne comprend pas la signification de la tradition de l’Église. Pour l’Église, la tradition est toujours synonyme de légitimité, et personne  ne peut revendiquer une légitimité contraire à la tradition, ni pour lui-même ni pour ses actions. Cela s'applique bien sûr à la doctrine de la foi ainsi qu'à la célébration de la Sainte Messe, et cela lie le pape ainsi que tout évêque.

Dans ce contexte, ce qui suit me semble significatif : nous, catholiques, on nous prescrit une façon de penser autoritaire et orientée vers le pape. Cela a fonctionné aussi longtemps que les papes représentaient les enseignements de l’Église. Mais le pape actuel ne le fait pas, et ça vaut aussi pour la célébration de la messe traditionnelle. Ses actions ne sont pas légitimes parce qu'elles contredisent la tradition, mais lui et ses partisans s'en moquent.

Mais en même temps, il met dans un dilemme les catholiques qui s'accrochent à la messe traditionnelle. Ils sont contraints à « l’illégitimité » par le pape et croient devoir justifier leur légitimité. Mais ce n'est précisément pas le cas ! La messe traditionnelle fait pleinement partie de la tradition de l'Église et toute la tradition s'y reflète. Personne ne peut ébranler sa légitimité, pas même un pape ennemi de la tradition et de la messe traditionnelle.

À l'inverse, les tenants de la « nouvelle » messe doivent se demander quelle est leur légitimité liturgique. D'autant plus s'ils ne respectent pas les règles en vigueur et évitent délibérément tout lien avec la tradition. Ces messes reflètent-elles encore la foi catholique, ou ne sont-elles pas simplement le reflet d’un faux néo-catholicisme, moitié protestant et moitié ce qu’on appelle désormais « synodal » ?

J'aimerais encourager tous ceux qui sont attachés à la messe traditionnelle : ne vous laissez pas intimider et ne vous laissez pas prendre au jeu d'être poussés vers l'illégitimité, imposés par des interdictions ou autrement harcelés.

Rassurez-vous plutôt : seule la messe traditionnelle est dans la pleine tradition de l'Église, et pour cette seule raison tout prêtre a le droit de la célébrer, et tout croyant a le droit d'y assister. François ne peut pas changer ça et personne d'autre ne le peut ! Alors ayez confiance en vous et soyez catholique avec confiance !

Les néo-catholiques synodaux, en revanche, n’ont aucun lien avec la tradition, et même s’ils – comme les ariens d’autrefois – sont aujourd’hui majoritaires, ils ne sont pas catholiques, ou du moins pas vraiment catholiques.

La messe du pape et la messe à Notre-Dame l'ont démontré de manière éclatante. Et ils ont illustré la rupture dramatique dans l'Église survenue avec la « nouvelle messe », quelque chose que François a renforcé.

Tout cela ressemblait un peu à la Révolution française : à cette époque, un peuple de plébéiens avait dévasté Notre-Dame et y avait installé une nouvelle foi et une nouvelle « déesse ». Ils ont littéralement piétiné la foi traditionnelle, et quiconque suit la messe traditionnelle agit dans l’esprit révolutionnaire de ces gens. Avec l'orgueil des plébéiens, ils adoptèrent de nouveaux rites qui leur étaient propres et devinrent maîtres de la liturgie ; finalement un geste diabolique.

La célébration de la Sainte Messe, par contre, requiert autre chose : une humble entrée dans le courant de la tradition et une immersion dans la forme traditionnelle de la Messe. Merci de rester fidèle à la foi catholique et à la messe traditionnelle. (Le P. Heimerl)

Le mot d’Espérance de Mgr Strickland en cette fin d’année :

« ( LifeSiteNews ) — Chers frères et sœurs en Christ,

En cette période de l'année, alors que nous attendons Notre-Seigneur, je voudrais attirer un instant notre attention sur saint Joseph, un personnage plutôt silencieux mais très important dans l'Avènement de Notre-Seigneur. Nous connaissons Saint Joseph comme charpentier parce que Saint Matthieu et Saint Marc utilisaient le terme grec  tekton  pour décrire son travail, terme courant désignant un ouvrier du bois, un constructeur, un « menuisier » – dont les compétences en menuiserie incluent « assembler des morceaux de bois ensemble. Les pères latins interprétaient ce mot comme « charpentier ».

Le mot « menuisier » est un mot approprié pour saint Joseph car, à bien des égards, il a été appelé à être un constructeur d'escaliers qui fournissaient des marches permettant au ciel de « rejoindre » la terre et à la terre de « rejoindre » » le ciel. La Sainte Vierge Marie a été appelée à être la Mère de Dieu et saint Joseph a construit un escalier en lui offrant le mariage et une maison où l'Enfant Jésus pourrait vivre sur terre. Jésus-Christ a habité dans la maison fournie par saint Joseph, et bien qu'une maison et toutes les marches construites par saint Joseph auraient été faites de matériaux terrestres, le ciel a marché dessus, on pourrait donc dire qu'il a construit un escalier qui reliait le ciel à la terre.

Lorsque nous pensons aux escaliers et aux choses qui « joignent » le ciel et la terre, nous pensons naturellement à l'Église du Christ, car en tant que catholiques, nous nous tenons sur un escalier, ou un pont, construit par le Christ qui relie la Terre au ciel. Les marches de cet escalier sont les sacrements qui comblent l'abîme qui sépare le Créateur du créé, et le Dépôt de la Foi en est la charpente. Tant que nous nous tenons fermement sur cet escalier, nous pouvons, comme Marie tenant l’enfant Christ, regarder le visage de Dieu. Car dans son Église, le Christ nous rencontre véritablement sur terre, comme dans Son Église il est véritablement présent. Les sacrements sont des signes efficaces car ils apportent véritablement sur terre (et rejoignent) ce qu'ils symbolisent. Pour que cela se produise, comme nous le savons, il doit être correctement « symbolisé » (l’escalier doit être construit avec les bons matériaux) à la fois dans la « forme » et dans la « matière ». Si l'un ou l'autre est modifié, la forme (les paroles prononcées) ou la matière (la partie physique du sacrement), alors la validité est détruite. Chaque planche de cet escalier fait donc partie intégrante de l’ensemble.

Cet escalier, ou pont, qui relie la terre au ciel, a toujours tenu bon, malgré les attaques constantes de l'extérieur tout au long de l'histoire de l'Église. Cependant, nous voyons maintenant des attaques provenir de l'Église elle-même et de ceux qui prétendent avoir l'autorité pour mener cette guerre. Ce qui se passe maintenant est le point culminant de ce que les déchus ont systématiquement, avec une intention diabolique, planifié et de ce qui a été prophétisé par de nombreux saints tout au long de l’histoire de l’Église. Cependant, les planches de cet escalier ont été données par le Christ lui-même, et tout matériau de substitution mis à leur place ne supportera pas le poids de ce qui nous a été donné. C'est pourquoi il me tient à cœur, en tant qu'évêque, que les fidèles ne perdent pas de vue le véritable escalier et ne se retrouvent ensuite debout sur un escalier construit avec des matériaux de substitution, se demandant pourquoi leur église semble si vide. Le Christ sera toujours présent dans son Église, debout sur l'escalier qu'il a construit, mais nous devons être certains que c'est là qu'on est aussi, et qu'on n'a pas été attaqués par le « singe de l'Église » prophétisé par l'archevêque Fulton Sheen.

En tant qu'évêque, j'ai promis – quel qu'en soit le prix – de rester ferme sur le véritable escalier qui a été donné par le Christ et qui repose en Lui, et dont la charpente est le Dépôt de la Foi, et bien sûr de le protéger de tous ceux qui essaieraient de le faire. Je suis appelé à me rappeler que le précieux sang du Christ marque cet escalier, qu'il est aussi taché par le sang des martyrs, et que je dois aussi être prêt à verser mon sang pour le protéger. Pour que Christ meure pour nous, il a dû devenir homme et s'abandonner à l'atrocité de la mort tout en détenant la clé même de la vie. Cela a nécessité une volonté sans précédent – ​​il a fallu la Volonté de Dieu. Et c'est là qu'Il appelle chacun de nous : à marcher complètement dans la Volonté de Dieu.

Quand a commencé la tentative de destruction de cet escalier ? Plusieurs considèrent Vatican II comme le coupable. Je suis né en octobre 1958, la même année et le même mois où le pape Jean XXIII a été élu à la chaire de Saint-Pierre en tant que Pontifex Maximus (Pontife suprême), ce qui signifie grand bâtisseur de ponts. Je mentionne cela parce que très souvent cette année est soulignée comme le début de la tourmente dans l’Église que nous voyons actuellement déborder d’innombrables façons. Il est vrai que son pontificat et sa décision de convoquer le Concile Vatican II ont été un moment charnière dans l’histoire de l’Église. Le 11 octobre 1962, le pape Jean XXIII ouvrait le Concile Vatican II ; cependant, il est décédé en juin 1963 et Paul VI, son successeur, a pris sa place. La quatrième et dernière session du Conseil s'est terminée en décembre 1965.

Était-ce le début ? Il semble bien qu'il y ait eu une tentative systématique de démolition de ce qui était considéré comme « irréformable » avant Vatican II. Et pourtant, comment les responsables ont-ils essayé de détruire ce qui est éternel ? Ils y sont parvenus en essayant de limiter ce qui relevait du ciel à une définition terrestre, et cela s'est fait de manière plus efficace en tentant de substituer des matériaux fabriqués par l'homme à ce qui a été donné du ciel. Cependant, lorsqu'une extrémité repose sur la terre et qu'une autre extrémité repose au ciel, comme le fait l'Église, alors l'homme ne peut pas la détruire. Ce qu'il peut faire, cependant, c'est obscurcir la Vérité en proposant le « singe de l'Église » à sa place.

Il ne fait aucun doute que bien des choses ont changé après Vatican II. L'accent a été mis sur l'Église marchant avec le « monde », ce qui a définitivement ouvert la porte à des conceptions théologiques qui compromettaient l'identité unique de l'Église. Des idées comme l'œcuménisme ont porté un coup dur à l'escalier, car le Christ n'a jamais dit que son Église devait faire partie du monde ; en fait, il a dit le contraire.

Avec Vatican II, un mouvement ciblé a commencé à encourager l'Église à engager un « dialogue » avec d'autres confessions. Pourtant, je dois demander : « De quoi y avait-il lieu de dialoguer ? » Le Christ nous a donné son Église. Il est clair maintenant que c'est la progression logique de ce qui est issu de Vatican II que nous en sommes maintenant au point où le Saint-Père peut faire une déclaration comme : « Toutes les religions sont des chemins qui mènent à Dieu », et la majorité des évêques et des cardinaux se contentent de hocher la tête, sans jamais dire un mot.

Et pourtant, ils savent – ​​ils ne peuvent pas s'empêcher de le savoir – qu'ils abandonnent l'escalier qu'ils ont promis de protéger. Ce que le pape Boniface VIII enseignait infailliblement dans sa Bulle  Unam Sanctam  (1302) se trouve sur cet escalier : « Nous sommes contraints en vertu de notre foi de croire et de soutenir qu'il n'y a qu'une seule Église catholique, et qu'elle est apostolique. Nous le croyons fermement et le professons sans réserve. En dehors de cette Église, il n’y a ni salut ni rémission des péchés. Ainsi, l'époux proclame dans le Cantique : « Une est ma colombe : ma parfaite n'est qu'une. Elle est la seule de sa mère, l'élue de celle qui l'a enfantée » (Cant. 6 : 8). Or, cet élu représente le seul corps mystique dont la tête est le Christ, et la tête du Christ est Dieu. En elle il y a « un seul Seigneur, une seule foi, un seul baptême » (Eph. 4 : 5). Car au moment du déluge, il n’existait qu’une seule arche, figure d’une seule Église.

Il y a de nombreuses paroles divinement inspirées dans l’escalier qui nous amèneraient à conclure sans exception que « Non, toutes les religions ne sont PAS des chemins vers Dieu ». Car, comme l'a déclaré le pape Benoît XV dans son encyclique papale  Ad Beatissimi  (1914), paroles qui se trouvent également sur cet escalier : « Telle est la nature du catholicisme qu'il n'admet pas plus ou moins, mais doit être considéré comme un tout ou dans son ensemble rejeté : « C'est la foi catholique, selon laquelle, à moins qu'un homme ne croit fidèlement et fermement, il ne peut être sauvé » (Symbole d'Athanase). Il n'est pas nécessaire d'ajouter des termes qualificatifs à la profession de catholicisme : il suffit à chacun de proclamer : « Mon nom est chrétien et mon nom de famille est catholique », mais qu'il s'efforce d'être réellement ce qu'il appelle lui-même.

L'Église catholique a TOUJOURS condamné la fausse croyance selon laquelle toutes les religions sont bonnes et « de Dieu ». C'est la fausse doctrine de l'indifférentisme religieux, et c'est une planche qu'il ne faut jamais placer sur cet escalier sacré. Il y a eu beaucoup d'autres planches que les hommes ont essayé de placer depuis Vatican II et qui sont faites de matériaux fabriqués par l'homme. Ils ont essayé de remplacer les matériaux célestes par des matériaux fabriqués par l'homme parce qu'ils croyaient que les matériaux d'origine étaient « périmés ». Cependant, ce que le ciel a bâti ne devient jamais démodé.

Une grande partie de ce qui est ressorti du Deuxième Concile représentait un mouvement de l’Église catholique vers l’Église conciliaire. Ce qui est particulièrement tragique, c'est qu'il est probable qu'à ce stade, nous ayons perdu l'objectif d'amener le monde à Christ.

Cependant, rien n'a été aussi dommageable pour l'escalier que les changements survenus dans le Saint Sacrifice de la Messe. tombeau vide : « Où l'ont-ils déposé ? » Les changements dont l'Église a été témoin dans le Saint Sacrifice de la Messe depuis Vatican II ont laissé beaucoup de gens ignorants de l'endroit où Il se trouve et de Son sacrifice d'amour pour toute l'humanité, car la croyance en la présence réelle a considérablement chuté.

L'ancienne messe a été supprimée en 1970 et de nombreux catholiques ont quitté l'Église, le pape Paul VI accusant en fait tous ceux qui observaient l'ancienne messe de rebelles contre le concile. Alors que je réfléchis aux changements survenus dans la messe à la suite de Vatican II, l’archevêque Marcel Lefebvre me vient à l’esprit. Mgr Lefebvre, fondateur de la Fraternité Saint-Pie X (FSSPX), une société sacerdotale traditionaliste, a été qualifié de désobéissant, de rebelle et même de schismatique dans les années 1970 et 1980 pour avoir refusé de célébrer la nouvelle messe. estimait que l'Église était en proie à une profonde « crise de la foi » due à l'infiltration du modernisme et du libéralisme. Il sentait qu'il y avait une tentative active d'arracher les planches de l'escalier et de les remplacer par des planches du monde. Il a consacré quatre évêques « soucieux de la tradition » sans l'approbation papale (bien qu'il ait demandé à plusieurs reprises l'approbation pendant des années après avoir été informé que l'approbation serait accordée) parce qu'il estimait que sans des évêques qui soutenaient les enseignements traditionnels et la messe latine tridentine, la continuité de la Tradition de l'Église serait en danger. Et ainsi, il s'est assuré que l'escalier soit préservé intact.

En 1976, alors que Lefebvre était sur le point d'ordonner 13 prêtres dans la Fraternité, Mgr Giovanni Benelli, du Secrétariat d'État du Vatican, lui a écrit pour lui demander de rester fidèle à l'Église conciliaire, et Mgr Lefebvre a a répondu : « Quelle est cette église ? Je ne connais pas d'église conciliaire. Je suis catholique!

Moi-même, ayant été au séminaire à une époque où le latin n'était même pas enseigné, et ayant toujours célébré le Novus Ordo (nouvelle messe) en tant que prêtre et évêque, j'ai entrepris un voyage pour comprendre cette question. Je voudrais nous exhorter tous à reconnaître, comme je suis parvenu à le reconnaître, que les problèmes liés à la Sainte Messe ont commencé à cause d'une tentative de détourner l'attention de Jésus-Christ et de son sacrifice qui EST la Sainte Messe .

Je crois que nous devrions chacun nous efforcer d'être des chrétiens du premier siècle au XXIe siècle, et c'est particulièrement significatif dans le domaine de la Sainte Messe. Cène, rendant présent Le sacrifice une fois pour toutes du Christ. Des récits comme celui de saint Justin martyr nous offrent des descriptions très anciennes de ce qui s'est passé lors de la Sainte Messe, et la beauté de ces récits est qu'ils sont si proches dans le temps du sacrifice que la messe commémore. Nous devons garder notre concentration sur Jésus-Christ comme le faisaient les premiers chrétiens, de sorte que la distance temporelle par rapport à son sacrifice devienne insignifiante parce que nous sommes concentrés sur le même Seigneur crucifié et ressuscité comme les premiers chrétiens.

Il ne fait aucun doute qu'avec la nouvelle messe, l'attention portée à Jésus-Christ a diminué. Cela a souvent été observé de manière subtile, mais nous avons également été témoins d’une négligence drastique de la Présence réelle de Jésus-Christ, qui s’élève dans bien des cas au niveau du blasphème depuis Vatican II. Lorsque la liturgie s'est tournée vers le peuple et s'est éloignée de Jésus-Christ, elle a ouvert la porte à une négligence extrême de sa présence sacrée.

Il est intéressant de noter que même si le Novus Ordo est généralement célébré dans la langue vernaculaire, la langue commune du pays où il est célébré, tandis que la messe traditionnelle est célébrée en latin, la langue normative du Novus Ordo est également le latin. Bien que des dispositions aient été prises pour que la messe soit célébrée dans la langue vernaculaire locale pour des raisons pastorales, il a toujours été supposé que la messe continuerait à être célébrée en latin, et le pape Benoît XVI a exhorté à la réintroduction du latin dans le Novus Ordo.

Lors de l'introduction du Novus Ordo, de nombreuses rampes d'autel ont été supprimées. Cependant, la rampe d'autel nous a aidés à maintenir la distinction entre le sanctuaire (où se trouve l'autel et qui représente le ciel, où mène notre escalier) et le reste de l'Église (qui représente la terre et où commence notre escalier). Dans la messe latine traditionnelle, les communiants s'agenouillent devant la rampe de l'autel (la porte du ciel) et reçoivent l'Eucharistie sur la langue du prêtre.

Bien qu'il existe de nombreuses messes sacrées et belles du Novus Ordo célébrées de manière constante, il est un fait que la Nouvelle Messe a représenté une rupture dans des siècles de continuité liturgique. Et cela s'est accompagné d'un déclin massif de la fréquentation de la messe, des vocations et de la croyance dans les enseignements catholiques fondamentaux. Le pape Benoît XVI a répondu à ces préoccupations avec son motu proprio  Summorum Pontificum de 2007  dans lequel il a élargi l'accès à la messe latine traditionnelle  . l'accès à la messe latine traditionnelle. Mais lisons ces paroles du pape Pie V dans sa Constitution apostolique  Quo Primum  de 1570 à propos de la messe traditionnelle latine :

De plus, par les présentes [cette loi], en vertu de Notre autorité apostolique, Nous accordons et concédons à perpétuité que, pour le chant ou la lecture de la messe dans n'importe quelle église, ce Missel devra désormais être suivi absolument, sans aucun scrupule de conscience ou de crainte d’encourir une pénalité, un jugement ou une censure, et peuvent être utilisés librement et licitement. Les supérieurs, administrateurs, chanoines, aumôniers et autres prêtres séculiers ou religieux, quel que soit le titre désigné, ne sont pas non plus tenus de célébrer la messe autrement que comme nous l'avons enjoint. Nous déclarons et ordonnons également que personne, quel qu'il soit, ne soit contraint ou contraint de modifier ce Missel, et que ce présent document ne puisse être révoqué ou modifié, mais demeure toujours valable et conserve toute sa force malgré les constitutions et décrets antérieurs du Saint-Siège, comme ainsi que toutes constitutions générales ou spéciales ou édits des conseils provinciaux ou synodaux, et nonobstant la pratique et la coutume des églises susmentionnées, établies par une prescription longue et immémoriale…

Les paroles prononcées par Mgr Lefebvre lors de l'ordination de 13 prêtres en 1976 sont des paroles qui doivent nous tenir à cœur. Il a dit : « Car si la très sainte Église a voulu garder à travers les siècles ce précieux trésor qu'elle nous a donné du rite de la Sainte Messe canonisée par saint Pie V, cela n'a pas été sans but. C'est parce que cette messe contient toute notre Foi, toute la Foi catholique : Foi en la Très Sainte Trinité, Foi en la Divinité de Notre Seigneur Jésus-Christ, Foi en la Rédemption de Notre Seigneur Jésus-Christ, Foi au Sang de Notre Seigneur Jésus Christ. C'est ce que nous croyons. C'est ce que nous croyons en célébrant le Saint Sacrifice de la Messe de tous les temps. C'est une leçon de foi et en même temps une source de notre foi, indispensable pour nous en cette époque où notre foi est attaquée de toutes parts. Nous avons besoin de cette vraie messe, de cette messe de tous les temps, de ce sacrifice de Notre Seigneur Jésus-Christ pour remplir réellement nos âmes du Saint-Esprit et de la force de Notre Seigneur Jésus-Christ.

Le pape Benoît XVI a déclaré : « Ce que les générations précédentes considéraient comme sacré reste sacré et grand pour nous aussi, et cela ne peut pas être tout d’un coup totalement interdit ou même considéré comme nuisible. Il nous incombe à tous de préserver les richesses qui se sont développées dans la foi et la prière de l'Église.»

Je pense qu'il est également important de préciser ici que la FSSPX n'est pas en dehors de l'Église catholique et que, bien qu'elle soit canoniquement irrégulière, elle n'est pas schismatique. Mgr Athanasius Schneider a mené une étude approfondie sur la FSSPX et, par conséquent, a donné une défense claire et cohérente de la Fraternité. Il a dit que les catholiques peuvent assister aux messes de la FSSPX et recevoir les sacrements de son clergé sans souci. Bien qu'il reconnaisse la « situation canonique irrégulière » de la FSSPX, il déclare que cela n'équivaut pas à être en dehors de l'Église, et il a félicité la FSSPX pour avoir défendu la foi et la liturgie catholiques traditionnelles. Mgr Schneider a également appelé à leur pleine reconnaissance canonique par le Vatican, affirmant que la FSSPX adhère aux enseignements et aux sacrements catholiques traditionnels tels qu'ils étaient pratiqués pendant des siècles avant Vatican II.

En conclusion, j'aimerais citer une déclaration célèbre de Mgr Lefebvre en 1974. Il est clair que Mgr Lefebvre a suivi un chemin d'apôtre et a été amené à établir un lieu sûr, un refuge, où se tiendrait la messe des siècles en sa forme pure, un lieu où le dépôt de la foi serait protégé et l'escalier conservé intact, même pendant que le singe de l'Église arracherait les planches et jetterait tout ce qu'il y a de plus précieux. Voici la déclaration de Mgr Lefebvre :

Nous tenons fermement, de tout notre cœur et de toute notre âme, à la Rome catholique, Gardienne de la foi catholique et des traditions nécessaires à la préservation de cette foi, à la Rome éternelle, Maîtresse de la sagesse et de la vérité.

Nous refusons en revanche et avons toujours refusé de suivre la Rome des tendances néo-modernistes et néo-protestantes qui se sont clairement manifestées dans le Concile Vatican II et, après le Concile, dans toutes les réformes qui en ont découlé.

Toutes ces réformes, en effet, ont contribué et contribuent encore à la destruction de l'Église, à la ruine du sacerdoce, à l'abolition du sacrifice de la messe et des sacrements, à la disparition de la vie religieuse, à une politique naturaliste et l'enseignement teilhardien dans les universités, les séminaires et la catéchétique ; un enseignement dérivé du libéralisme et du protestantisme, maintes fois condamné par le Magistère solennel de l'Église.

Aucune autorité, pas même la plus haute de la hiérarchie, ne peut nous forcer à abandonner ou à diminuer notre foi catholique, si clairement exprimée et professée par le Magistère de l'Église depuis dix-neuf siècles.

« Mais si nous, dit saint Paul, ou un ange du ciel vous prêchons un évangile en plus de celui que nous vous avons prêché, qu'il soit anathème » (Galates 1 : 8).

N'est-ce pas ce que le Saint-Père nous répète aujourd'hui ? Et si l’on peut discerner une certaine contradiction dans ses paroles et dans ses actes, ainsi que dans ceux des dicastères, eh bien, nous choisissons ce qui a toujours été enseigné et nous faisons la sourde oreille aux nouveautés qui détruisent l’Église.

Il est impossible de modifier profondément la  lex orandi  sans modifier la  lex credendi . Au Novus Ordo  Missae  correspondent un nouveau catéchisme, un nouveau sacerdoce, de nouveaux séminaires, une Église pentecôtiste charismatique, tout ce qui s'oppose à l'orthodoxie et à l'enseignement éternel de l'Église.

Cette Réforme, née du libéralisme et du modernisme, est empoisonnée de part en part ; elle découle de l'hérésie et aboutit à l'hérésie, même si tous ses actes ne sont pas formellement hérétiques. Il est donc impossible à tout catholique consciencieux et fidèle d’épouser cette Réforme ou de s’y soumettre de quelque manière que ce soit.

La seule attitude de fidélité à l’Église et à la doctrine catholique, en vue de notre salut, est un refus catégorique d’accepter cette Réforme.

C'est pourquoi, sans aucun esprit de rébellion, d'amertume ou de ressentiment, nous poursuivons notre œuvre de formation des prêtres, avec pour guide l'intemporel Magistère. Nous sommes convaincus que nous ne pouvons pas rendre un plus grand service à la Sainte Église catholique, au Souverain Pontife et à la postérité.

C'est pourquoi nous nous attachons à tout ce qui a été cru et pratiqué dans la foi, la morale, la liturgie, l'enseignement du catéchisme, la formation du prêtre et l'institution de l'Église, par l'Église de tout le temps ; à toutes ces choses telles que codifiées dans ces livres qui ont vu le jour avant l'influence moderniste du Concile. Nous le ferons jusqu'à ce que la véritable lumière de la Tradition dissipe les ténèbres qui obscurcissent le ciel de la Rome éternelle.

En faisant cela, avec la grâce de Dieu et l'aide de la Bienheureuse Vierge Marie, ainsi que celle de saint Joseph et de saint Pie X, nous sommes assurés de rester fidèles à l'Église catholique romaine et à tous les successeurs de Pierre , et d'être les  fidèles dispensateurs mysteriorum Domini Nostri Jesu Christi in Spiritu Sancto.  Amen.

L'archevêque n'a pas écrit cela dans un esprit de rébellion, mais plutôt comme un cri de ralliement pour tous ceux qui veulent se battre pour le Christ Roi. J'offre cette même déclaration ainsi que mon cri de bataille pour combattre pour Lui.

En terminant cette lettre, je le fais en renouvelant notre concentration sur Jésus-Christ. L'Église est à Lui, la Messe est à Lui, Il s'est offert au Père une fois pour toutes pour le salut de nos âmes. Résistons à toute nouvelle tentative visant à diminuer notre concentration sur Lui et attirons plutôt toute l’Église – ordonnés, religieux et laïcs – à Le connaître plus profondément « dans la fraction du pain ». Et proclamez au monde que Jésus-Christ est le Sauveur et le Seigneur de tous.

Et à mes confrères évêques, je cite les paroles du pape Jean-Paul II : « Nous devons défendre la vérité à tout prix, même si nous sommes à nouveau réduits à douze ».

Que Dieu Tout-Puissant vous bénisse et que notre Sainte et Immaculée Mère vous protège et vous guide toujours vers son Divin Fils, Notre Seigneur Jésus-Christ.

Mgr Joseph E. Strickland

Évêque émérite »

17 décembre

LE CORPS MYSTIQUE DE L’ANTÉCHRIST

« Il est inspiré non par l’Esprit du Christ, mais par l’esprit du serpent. C’est le nouvel élu, le corps mystique de l’Antéchrist. » Mgr Fulton Sheen

Le corps mystique de l’Antéchrist, c’est le système Antéchrist avec ses valeurs inversées, basées sur le socialisme/communisme.

On explique depuis 2011 que Satan échouant dans ses tentatives d’éliminer l’Église, a choisi la voie de la conversion de l’Église en église conciliaire, pour en faire son corps mystique à l’image du corps mystique du Christ.

C’est Vatican II qui a accéléré le processus d’une telle « transfiguration ».

Et l’élément clé est le concept du « Peuple de Dieu ».

Ce concept est abondamment abordé dans plusieurs de nos analyses en ce qui a trait à la religion noachide que l’élite judéo-maçonnique veut imposer : seul peuple prêtre ayant accès à Dieu.

Dans le noachisme, la Sainte Trinité doit disparaître et Jésus doit être considéré comme un simple prophète.

Le Christ n’ayant pas été reconnu comme Messie par le judaïsme, les pharisiens ont écrit le Talmud pour contrer la chrétienté naissante, et la Kabbale, espérant donner au peuple juif éventuellement son « Messie guerrier ».

Ainsi, certains textes de l'Ancien Testament ont été modifiés pour favoriser la conquête du monde et conséquemment détruire le christianisme.

Le « messie guerrier » arrive. Nous l’avons expliqué avec le « projet 47 » de Louis d’Alencourt.

Trump, comparé à Cyrus le Grand (voir analyse du 28 octobre) par Netanyahu, semble bien celui qui donnera le coup de pouce en ce sens selon ses intentions annoncées depuis l’élection du 5 novembre.

Louis D’Alencourt :

La troisième guerre mondiale commencée démontrera « … une fois de plus l’animosité entre les trois grandes religions monothéistes (chrétiens, juifs et musulmans), les promoteurs du nouvel ordre mondial proposeront la religion mondiale du noachisme via le faux prophète.

La religion noachide sera présentée comme celle de la « nouvelle civilisation de l’amour », celle de l’Antéchrist et de son bras droit, le faux prophète.

« Le Dieu unique est actuellement adoré sous des formes multiples, au sein de cultes bien différents, mais à l’époque messianique, le monde spirituel verra se réaliser l’unité d’adoration » explique un promoteur de la religion noachide.

En somme, une religion universelle et cosmopolite, réunissant tous les hommes devenus enfin frères. Albert Pike est un peu plus clair : ce sera « la manifestation universelle de la pure doctrine de Lucifer, enfin révélée aux yeux de tous ». » (grandreveilwordpress.com)

Cette religion noachide est la révélation du messie guerrier via le corps mystique de l’Antéchrist, puisque Satan singe Dieu.

C’est pourquoi l’église conciliaire doit renoncer au Christ pour s’y conformer, pour abaisser Jésus à un simple prophète.

Le concept clé du corps mystique du Christ et de l’Antéchrist est le « peuple de Dieu ».

Louis D’Alencourt sur le Peuple de Dieu :

« tout membre du peuple de Dieu est appelé Fils de la promesse, et cette promesse divine c’est la domination du monde, et la possession de toutes ses richesses.

En théorie, ce peuple est supérieur à tous les autres parce qu’il a été choisi par Dieu, qu’il en possède l’exclusivité (par le sang et par la foi), exclusivité qui ne s’étend pas aux Gentils (les autres peuples non-juifs), et qu’à ce titre, il est le seul à rendre un culte à l’unique et vrai Dieu, culte qui lui a été donné et transmis par Dieu en personne.

Je rappelle que le premier des dix commandements est d’affirmer qu’il n’y a qu’un seul Dieu et qu’un seul culte à lui rendre ; or les juifs prétendent, encore aujourd’hui, en tant que Peuple élu, avoir l’exclusivité de cette foi et de ce culte, et donc d’être eux seuls les Fils de la promesse….

Voilà pourquoi le Messie révèle un nouveau statut du Peuple de Dieu qui ne pouvait pas être connu auparavant ; et voilà pourquoi, du coup, la possibilité d’être membre du peuple de Dieu s’élargit à tous les hommes, juifs de naissance comme Gentils.

Je rappelle que les descendants d’Abraham, Isaac et Jacob, avaient droit au titre de Fils de la Promesse, de Fils de Dieu. Or le Christ étend ce statut à tous ceux qui croient en lui, nous rappelle saint Jean dans le prologue de son évangile : « Mais à tous ceux qui l’ont reçu, il a donné le pouvoir de devenir enfants de Dieu, à ceux-là qui croient en Lui. » (Jean 1:12)

Et le nouveau peuple de Dieu, élargi de cette façon, puisque sa pierre d’achoppement c’est le Christ, porte désormais un nouveau nom, dérivé de son fondateur : le christianisme, les chrétiens.

Il faut donc bien comprendre cette distinction essentielle :

Le mot juif pris dans son sens spirituel c’est à dire désignant le peuple de Dieu, est remplacé par le mot chrétien à partir de Jésus-Christ, parce qu’il désigne les mêmes personnes.

Cela veut dire que lorsqu’on transpose un texte de l’Ancien Testament dans le monde après Jésus-Christ, les termes Israël, juif ou peuple de Dieu doivent être appliqués aux chrétiens et non pas aux juifs, puisque les juifs après Jésus ne désignent plus les enfants de Dieu.

Il est là le drame du sens spirituel du mot juif : il ne désigne plus depuis Jésus le Peuple de Dieu.

Et Jésus ne l’a pas caché : « C’est pourquoi je vous le dis : le royaume de Dieu vous sera ôté pour être donné à un peuple qui en produira les fruits. » (Matthieu 21:43).

C’est très clair : Jésus leur dit que le royaume spirituel n’est plus entre les mains des juifs mais d’un autre peuple, celui qui sera appelé les chrétiens, un mot au singulier (peuple) pour montrer que le principal c’est la foi qui les unit.

Voilà pourquoi en réaction, les juifs qui ne se convertirent pas vont créer le judaïsme, rabbinique au départ, talmudique par la suite, qui continue à se considérer comme le peuple élu.

C’est un mensonge, au même titre que la mystification ethnique dont on parlait plus haut : le judaïsme n’est pas la religion de Dieu.

La religion de Dieu c’est le christianisme, c’est à dire le mosaïsme initial corrigé, enrichi et sanctifié par le Messie.

Sans la mise à jour effectuée par le Messie, le judaïsme perd son statut de religion de Dieu, même s’il fait référence au mosaïsme de l’Ancien Testament et le perpétue en partie.

D’ailleurs les chrétiens se réfèrent tout autant à l’Ancien Testament que les juifs et sont les seuls à disputer aux juifs le statut de Peuple de Dieu. À raison. (grandreveilwordpress.com)

Benoît XVI, dans son dernier discours au clergé de Rome le 14 février 2013, a condamné le « Conseil des médias »pour la promotion des idées de ceux qui cherchaient à « décentraliser l'Église » :

« C’était une herméneutique politique : pour les médias, le Concile était une lutte politique, une lutte de pouvoir entre différentes tendances au sein de l’Église. Il était évident que les médias prendraient le parti de ceux qui leur semblaient plus proches de leur monde. Il y avait ceux qui recherchaient la décentralisation de l'Église, le pouvoir pour les évêques et ensuite, à travers l'expression « Peuple de Dieu », le pouvoir pour le peuple, les laïcs. Il y avait cette triple question : le pouvoir du Pape, qui était ensuite transféré au pouvoir des évêques et au pouvoir de tous – la souveraineté populaire.»

C’est bien là que Bergoglio a mené la barque de Saint-Pierre avec son synode des synodes selon les mots de Benoît XVI :
  
• Décentralisation de l'Église

• Pouvoir accru des évêques par rapport au pape

• Pouvoir pour les laïcs, à travers l’expression « Peuple de Dieu »

• Transférer le pouvoir du pape au peuple – souveraineté populaire

La vérité maintenant se discerne à travers le processus d'écoute du « Peuple de Dieu ». Le processus synodal est la décentralisation ultime possible de l’autorité.

Dans la note qui accompagne le Document final, signée le 24 novembre en la solennité du Christ Roi de l'Univers et publiée lundi 25 novembre, Bergoglio décrit à quoi ressemble ce processus de décentralisation dans la pratique :

« Le Document final contient également des indications qui, à la lumière de ses orientations fondamentales, peuvent déjà être mises en œuvre dans les Églises locales et les regroupements d'Églises, en tenant compte des différents contextes, de ce qui a déjà été fait et de ce qui reste à faire pour apprendre et développer toujours mieux le style propre à l'Église synodale missionnaire… »

Tout est maintenant entre les mains des laïcs, des prêtres et des évêques locaux.

La discussion de Bergoglio sur l'aspect « magistral » du Document final ajoute un autre élément au processus de décentralisation dans l'Église synodale :

« Le Document final fera partie du Magistère ordinaire du Successeur de Pierre (cf. CE 18 § 1 ; CCC 892), et à ce titre je demande qu'il soit accepté. Il s'agit d'une forme d'exercice de l'enseignement authentique de l'évêque de Rome, avec quelques caractéristiques inédites mais qui correspond en fait à ce que j'ai eu l'occasion de souligner le 17 octobre 2015, lorsque j'affirmais que la synodalité était le cadre interprétatif approprié pour comprendre le ministère hiérarchique. »

C'est la nouvelle norme de l'église synodale.

Ce n’est plus l’Église catholique.

Bergoglio offre ses opinions et ses idées et laisse le processus décisionnel lui-même se dérouler jusqu'au Peuple de Dieu.

Le concept du « Peuple de Dieu » est central à la construction de la nouvelle Église synodale, basé sur le processus synodale allemand, cette fausse église prophétisée par Anne Catherine Emmerich :

« Je vis tout ce qui tient au protestantisme prendre de plus en plus le dessus, et la religion tomber en décadence complète. II y avait à Rome, même parmi les prélats, bien des personnes de sentiments peu catholiques qui travaillaient au succès de cette affaire. Je vis aussi en Allemagne des ecclésiastiques mondains et des protestants éclairés manifester des désirs et former un plan pour la fusion des confessions religieuses et pour la suppression de l’autorité papale. Et ce plan avait, à Rome même, des fauteurs parmi les prélats.

Ils bâtissaient une grande église étrange et extravagante ; tout le monde devait y entrer pour s’y unir et y posséder les mêmes droits ; évangéliques, catholiques, sectes de toute espèce : ce devait être une vraie communion des profanes où il n’y aurait qu’un pasteur et un troupeau. Il devait aussi y avoir un Pape mais qui ne posséderait rien et serait salarié. Tout était préparé d’avance et bien des choses étaient déjà faites ; mais à l’endroit de l’autel, il n’y avait que désolation et abomination.»

En sommes-nous effectivement rendus là?

Évidemment.

Bergoglio dans son message à l’ouverture de Notre-Dame de Paris a bien salué que tous étaient bienvenus.

Ainsi, TOUS les baptisés sont membres du « Peuple de Dieu », qui est « l’Église synodale ».

Benoît XVI, dont la force était la doctrine et la théologie, dans son discours final au clergé de Rome, au courant des tendances progressistes au sein du Vatican, a rappelé le concept clé du « Peuple de Dieu » indispensable à l’Église catholique :

« Voilà, disons, les deux éléments de base – et entre-temps, dans la recherche d'une vision théologique complète de l'ecclésiologie, une certaine critique est apparue après les années 1940, dans les années 1950, à propos du concept de Corps du Christ : le mot « mystique » a été jugé trop spirituel, trop exclusif ; le concept de « Peuple de Dieu » a alors commencé à entrer en jeu .

Le Concile a accepté à juste titre cet élément qui, chez les Pères, est considéré comme une expression de la continuité entre l'Ancien et le Nouveau Testament.

Dans le texte du Nouveau Testament, l'expression Laos tou Theou , qui correspond aux textes de l'Ancien Testament, désigne – à deux exceptions près, je crois – l'ancien Peuple de Dieu, les Juifs, qui parmi les peuples du monde , goim, sont « le Peuple de Dieu. Les autres, nous, païens, ne sommes pas en soi le Peuple de Dieu : nous devenons fils d'Abraham et donc Peuple de Dieu en entrant en communion avec le Christ, l'unique semence d'Abraham.

En communiquant avec lui, en étant un avec lui, nous devenons nous aussi le Peuple de Dieu.

En un mot : le concept de « Peuple de Dieu » implique la continuité des Testaments, la continuité de l'histoire de Dieu avec le monde, avec l'humanité, mais il implique aussi l'élément christologique.

Ce n'est que par la christologie que nous devenons le Peuple de Dieu, et ainsi les deux concepts se combinent.

Le Concile a choisi d’élaborer une ecclésiologie trinitaire : Peuple de Dieu le Père, Corps du Christ, Temple du Saint-Esprit. »

En éliminant l’Église christocentrique par une église synodale dans sa note du 25 novembre 2024, Bergoglio a coupé le petit lien qui demeurait avec le corps mystique du Christ.

L’église conciliaire est morte puisque détachée de la vigne nourricière.

Elle fait partie maintenant du corps mystique de l’Antéchrist, qui selon l’Apocalypse, est condamné à mort.

La branche saine de la Tradition, les deux témoins, ressusciterons l’Église.

10 décembre

« Pape François: Mission accomplie

Le 9 mai 2019, j'ai soutenu que la meilleure façon de détruire l'Église catholique institutionnelle serait d'utiliser ses propres armes contre elle-même, en particulier le pouvoir et la primauté du pape.

L'Église catholique, bien sûr, est indéfectible ; mais je soutiens maintenant que François a accompli la mission de ruiner la manifestation temporelle de l'Église. Comme l'archevêque Fulton Sheen l'avait prévu, nous avons maintenant le « singe de l'Église… vidé de son contenu divin ».

«C'est un peu dramatique», pensez-vous. « François a-t-il interdit la messe traditionnelle latine alors qu'on ne regardait pas ? Ce à quoi je réponds qu’il a fait pire : il a interdit le motif de la messe traditionnelle latine, ou de toute autre messe d’ailleurs.

Il n’y a pas eu d’annonce majeure, pas même un autre motu proprio . Le coup final n'a pas eu lieu à Rome. Ça s'est passé à Singapour. Vous en avez entendu parler, mais vous n'y avez probablement pas beaucoup réfléchi.

Le 13 septembre 2024, dans des remarques apparemment spontanées devant un groupe diversifié de jeunes d'un collège catholique, François a déclaré : « Toutes les religions sont un chemin pour arriver à Dieu… Il n'y a qu'un seul Dieu et chacun de nous a un langage pour arriver à Dieu. Certains sont sikhs, musulmans, hindous, chrétiens et suivent des chemins différents.

Ces remarques ont été sévèrement critiquées par d'importants catholiques parce que François semblait dire qu'une religion en vaut une autre. Cela s'appuierait sur le Document sur la fraternité humaine, que le pape a signé à Abou Dhabi le 4 février 2019, déclarant que « le but premier et le plus important des religions est de croire en Dieu… ».

Nous avons ici le chef de 1,390 milliard de catholiques dans le monde, le pape infaillible, le successeur de saint Pierre, lançant dans une conversation informelle, devant le monde entier, l'idée que l'Église catholique n'est pas nécessaire « pour arriver à Dieu ».

Techniquement, c'est vrai. En fait, vous n'avez besoin d'aucune église pour « arriver à Dieu ». Saint Thomas d'Aquin a développé cinq arguments par lesquels la raison humaine seule pouvait « arriver à Dieu ».

Mais François s'adressait à un groupe interconfessionnel dans un établissement d'enseignement catholique. Il est donc peu probable que le terme ambigu « arriver à Dieu » (terme qui, je crois, a été soigneusement inventé) signifie simplement « arriver à l’existence de Dieu ». Parce qu’il a mentionné quatre religions spécifiques comme exemples de « chemins » pour « arriver à Dieu », François devait vouloir dire quelque chose de plus, comme « connaître Dieu » ou « croire en Dieu ». Cela serait conforme à la Déclaration d'Abu Dhabi concernant l'objectif le plus important de toutes les « religions ». (Notez le pluriel.)

Je soutiens que l'histoire ne réside pas dans ce que François a dit, mais dans ce qu'il n'a pas dit, alors qu'il avait le devoir de le dire, en tant qu'évêque consacré de l'Église catholique . La ruine finale de l'Église catholique institutionnelle a été accomplie lorsque François a dit à ces jeunes : « Il n'y a qu'un seul Dieu », sans donner de détails.

Quoi? Ça semble tellement familier. Donc catholique. Nous le disons à chaque messe : « Je crois en un seul Dieu, le Père tout-puissant… ».

Le monde ne connaît pas – ou ne s'en soucie pas beaucoup – les conditions nécessaires à des déclarations papales infaillibles. Le monde n'analyse pas les déclarations papales comme je le fais ici. Le monde a une impression de la gravité du pape et perçoit le message voulu par le pape , quelle que soit l'ambiguïté des mots utilisés et quel que soit le contexte théologique dans lequel le message est délivré.

Le message était le suivant : Dieu, le Père Tout-Puissant, est le même pour toutes les religions. Mais comme François n'a pas mentionné Jésus-Christ et le Saint-Esprit, les autres Personnes divines du Dieu trinitaire, comme le fait le Credo catholique, le message était également que Jésus-Christ et le Saint-Esprit ne sont pas pertinents dans une discussion sur « l'arrivée à Dieu ». .»

L’essentiel du message est que la divinité de Jésus-Christ n’a pas d’importance. Par conséquent, sa passion, sa mort et sa résurrection n’ont aucune importance. La Sainte Eucharistie n'a pas d'importance. Le sacerdoce (masculin ou féminin) n'a pas d'importance. Les sacrements n'ont pas d'importance. Aucune messe, traditionnelle latine ou autre, n’a d’importance. L'Église catholique institutionnelle n'a pas d'importance ; il a été vidé de son contenu divin.

En 2013, le cardinal Cormac Murphy-O'Connor a dit : « Quatre années de Bergoglio suffiraient pour changer les choses. » En 2017, l'ancien cardinal Theodore McCarrick a admis qu'il existait un plan pré-conclave pour élire Jorge Bergoglio comme celui qui pourrait « réformer l'Église… [et dans] cinq ans, il pourrait nous remettre sur la bonne voie » .

Le cardinal Donald Wuerl a expliqué qu'après le Concile Vatican II, les papes Jean-Paul II et Benoît XVI s'étaient égarés ; mais François avait remis l'Église sur le chemin tracé par le concile. L'évaluation de Wuerl était que « [la papauté] ne ressemblera plus jamais à ce qu'elle était il y a 25 ans ou plus ».

Cette évaluation était trop étroite. Comme Ross Douthat l'a montré dans son livre To Change the Church , François ne change pas seulement la papauté, mais aussi le catholicisme lui-même. Ça a pris plus de onze ans, mais finalement la pierre angulaire a aussi été rejetée. La mission de François est accomplie.

Épilogue
L'archevêque Sheen n'a pas tardé à souligner que nous étions à la fin de la chrétienté, mais pas à la fin du christianisme. De même, en 1958, le père Joseph Ratzinger observait que la taille de l'Église était devenue une sorte d'obstacle à son activité missionnaire. « Tôt ou tard, dit-il, avec ou contre la volonté de l’Église… elle deviendra extérieurement un petit troupeau ».

Notre tâche est donc de prier pour la restauration de l’Église institutionnelle, tout en demeurant une partie du petit troupeau, où seule compte la divinité de Jésus-Christ et tout ce qui en découle. » (onepeterfive.com)

08 décembre

NOTRE-DAME SE RELÈVE

Ou, l’imminence de la résurrection de l’Église.

C’est sous une météo exécrable (la tempête Darragh) que s’est déroulé la cérémonie de réouverture de Notre-Dame de Paris.

Le discours du président français, qui devait se faire sur le parvis de la cathédrale ( puisque les présidents ne sont pas autorisés à exprimer de discours politique au sein d'un lieu religieux ), a eu lieu dans l’antre de Notre-Dame, comme un signe donné par Dieu à toute la planète que l’humanisme a atteint son apogée, à l’intérieur même de l’Église.

Le président français a vanté les mérites des artisans pour avoir rebâti la cathédrale en 5 ans, comme promis, élevant devant les dirigeants mondiaux, les rois et les reines, le savoir faire humain dans toute sa splendeur.

L'orgueil.

Satan singe Dieu.

Selon la Kabbale, le chiffre 5 est le chiffre de l'humain parfait – débarrassé du côté animal. 

Le président français a vanté la fraternité universelle, si chère au franc-maçons, et à Bergoglio, évidemment.

« … Et pour rendre cela possible, une fraternité inédite.

Fraternité de ceux qui ont donné sur tous les continents, de toutes les religions, de toutes les fortunes.

Unis par l’espérance, et réunis dans ces murs.

Fraternité des compagnons, apprentis, et de tous les métiers, ici réunis…

Fraternité des échafaudeurs, des grutiers, ...

Cette cathédrale fut ainsi la métaphore heureuse de ce qu’est une Nation, et ce que devrait être le monde.

Fraternité d’un peuple déterminé à faire de grands choix ; fraternité universelle et entraide.
 » (président Macron)

Au sein de Notre-Dame de Paris, par la volonté de Dieu, nous avons vu la bête de la terre, réuni sous le même toit avec le représentant de la bête de la mer (puisque Bergoglio ne s’est pas présenté).

Les deux Babylone des prophéties de Jean XXIII réunis.

Emmanuel Macron à la première rangée au côté de Donald Trump, Brigitte Macron et Jill Biden.

Cela ne rappelle-t-il pas le lien avec le « projet 47 » du Grand Réveil?

« La France c’est avec les États-Unis, le pays emblématique de Babylone, la fameuse ville de l’Apocalypse, qui représente la société moderne, laïque et athée, fruit de l’œuvre de Satan. » (Louis D’Alencourt – grandreveilwordpress.com)

Merci à Mgr Ulrich qui a louangé Dieu...

Et à la manière bergoglienne, spécifié que tous sont bienvenus, catholiques comme visiteurs non croyants à l’intérieur de Notre-Dame de Paris.

Après avoir auparavant symboliquement fait ouvrir les portes sur lesquelles il a donné neuf coups de crosse, officialisant la renaissance de ce chef-d’œuvre gothique du XIIe siècle.

Est-ce une indication de la 9ème heure de la Passion de l’Église, comme la Passion du Christ?

Le grand orgue, restauré et nettoyé suite à l’incendie de 2019, a retenu son souffle pour cet instant,  avant d’être «réveillé» par l’archevêque.

Cela ne fait-il pas le lien avec les trompettes de Jéricho ou celles de l’Apocalypse?

Quant à Bergoglio, sa seule citation après avoir fait l’éloge de l’entrée gratuite à Notre-Dame :

« Puisse la renaissance de cette admirable église constituer un signe prophétique du renouveau de l’Église en France ».

C’est beaucoup plus que cela…

Car la réouverture de Notre-Dame, la dimension spirituelle, annonce la résurrection de l’Église de la Tradition.

Ce qui est la prophétie #9 de Jean XXIII non achevée concernant Benoît XVI:

« Marie Très Sainte, fille et mère de Dieu, maîtresse du temps futur, bats le rappel de tes fils dans les campagnes, pour qu'ils abattent les deux Babylone.

Et que la Mère soit Une, comme toi tu es unique.

La terre détruira le ciment et de terre sera, Reine, ta nouvelle Église.

Et sur la terre de blé, pour la faim de tes peuples, fleur sur son nouvel autel. Amen. »

En 2024, année où tout bascule, c’est la France qui est au centre du monde.

Pourquoi la France est-elle un signe plus grand et plus fort qu’ailleurs ?

« Parce que dans la symbolique divine, la France figure le peuple de Dieu.

Dans la mystique biblique, la cité sainte, Jérusalem puis Rome, villes aux sept collines, figure l’institution, l’Église, c’est à dire là où se trouve Dieu. La papauté peut s’installer provisoirement dans une autre ville, pour diverses raisons, à Viterbe ou Avignon par exemple, mais les textes saints continueront à dire « Rome » pour symboliser l’institution créée par le Dieu vivant pour le relier aux hommes.

Il en est de même pour le peuple ; depuis Jésus-Christ, le peuple de Dieu est constitué de tous ceux, peuples, nations et langues, qui croient en la divinité de Jésus-Christ, le baptême étant le signe visible de l’entrée de chacun au sein du peuple de Dieu.

Mais, de même qu’autrefois Israël désignait à la fois le pays et le peuple, une nation choisie par Dieu figure toujours ce peuple dans la mystique divine. Ce sera la France, d’où les deux privilèges qui lui sont exclusifs : celui de posséder un roi de « droit divin », le seul à être considéré comme « lieutenant du Christ » et celui d’être appelée « la fille aînée de l’Église ».

Ceci ne veut pas dire que les enfants de Dieu doivent forcément être français mais que cette nation figure le peuple de Dieu. C’est la raison pour laquelle les textes prophétiques indiquent que Dieu veut régner sur la France et par la France sur le monde.

Il ne s’agit pas là d’une domination temporelle sur les autres nations mais d’une référence au rôle mystique de la France, dans son sens religieux, car la chrétienté doit effectivement régner sur le monde.

Notons tout de même que la France est probablement le pays qui ait donné à la chrétienté le plus de saints et de missionnaires.
Par conséquent, on peut et on doit s’attendre à ce que la France et Rome soient liées dans les signes divins eschatologiques déterminants. Nous allons d’ailleurs le démontrer quelques lignes plus loin…  »(Louis D’Alencourt – grandreveilwordpress.com)

L’Église flambe.

Tel était le titre de l’analyse du regretté Louis D’Alencourt suite à l’incendie de Notre-Dame de Paris. (lien précédent)

« Or l’Église qui flambe, c’est la Rome conciliaire, c’est celle qui s’est muée en « grande prostituée » de l’Apocalypse, l’Église adultère qui trompe son divin maître en réclamant la liberté religieuse et en affirmant que nous partageons le même Dieu avec des religions qui ne reconnaissent pas la divinité du Christ. C’est l’Église tâchée du sang du Christ qu’elle crucifie quotidiennement par son encouragement au péché, son refus de la vertu, ses accointances avec le monde.

L’Église qui flambe n’est donc pas l’Église une, sainte et apostolique qui perdure dans la FSSPX car cette dernière, même si elle est indirectement associée aux turpitudes de Rome, n’en partage ni les péchés, ni les erreurs,  ni l’infamie.

L’Église qui flambe, c’est celle qui va recevoir le paiement de son salaire, le prix du sang, le salaire des traîtres et des apostats… et avec elle la chrétienté entière, ou du moins ce qu’il en reste puisque, en abandonnant les principes du règne social de Jésus-Christ, elle est devenue la grande Babylone, la cité de toutes les infamies, retournée au paganisme, elle aussi appelée à flamber telle Sodome dont elle reproduit les péchés à l’identique.

Babylone c’est donc le monde entier, et son destin est indissociable de celui de l’Église.

Quand Notre-Dame flambe, c’est le signe que l’Église ET le monde flambent et se consument déjà mystiquement (quoique… l’apostasie soit visible et flagrante), avant de basculer dans l’embrasement au sens propre et… visible.



Il reste un dernier point à aborder : définir où nous placer dans la chronologie de l’Apocalypse.

L’incendie de Notre-Dame de Paris est un signe universel : le monde entier en a pris connaissance, et tout le monde a compris que ce n’était pas un événement de plus, mais un signe majeur.

Peu importe ensuite les interprétations : nul ne peut nier qu’il fut un grand signe à la fois majeur, universel et visible. Or ceci est nécessaire au préalable pour susciter une prise de conscience des populations.
… »

Si l’incendie de Notre-Dame de Paris fut un signe universel parce que le monde entier a vu, tel était aussi le signe de la réouverture de la cathédrale avec la présence des « rois » du monde et la couverture mondiale en direct.

L’Église achève sa Passion et vivra sa résurrection.

Puisque la cathédrale avait brûlé au dimanche des rameaux, ainsi a-t-on substitué la lecture du jour lors de la cérémonie religieuse de réouverture par le rituel des Rameaux.

« Portes, levez vos frontons, levez-les, portes éternelles : qu’il entre, le roi de gloire ! Qui est ce roi de gloire ? C’est le Seigneur, Dieu de l’Univers ; c’est lui, le roi de gloire… »

L’entrée triomphale de l’Église à l’image du Christ à Jérusalem une semaine avant sa Passion.

« Qu’est ce que le dimanche des Rameaux ?

C’est l’entrée triomphale du Christ à Jérusalem une semaine avant sa Passion.

Tout Jérusalem et même beaucoup plus, car de nombreux juifs d’autres contrées étaient montés à Jérusalem pour la Pâque, accueille l’entrée du Christ dans la ville sainte comme un roi, comme le Messie.

Mais attention, à la fin de la semaine, donc très rapidement après, ce fut la Passion, la mort de Jésus et sa mise au tombeau.

...

Parce qu’il s’agit de la « passion » du monde satanique, concrétisée par la chute de Babylone, de la prostituée et des bêtes. » (Louis D’Alencourt – grandreveilwordpress.com)

Signe?

Si la réouverture de Notre-Dame le 7 décembre constitue le dimanche des rameaux, alors 5 jours plus tard, c’est le Vendredi Saint, la mort du Christ.

Dieu annonce-t-il la mort de l’Église pour le 12 décembre?

Jour de Notre-Dame de Guadelupe ou la dame de l’Apocalypse.

Alors que le 13 décembre consacrera le retour de la couronne d’épines qu’aurait porté le Christ lors de sa crucifixion.

« Souvenez-vous... quand ces moments viendront : les commandements de Dieu, les prières du matin et du soir, le Saint Rosaire, les sacrements, le catéchisme, les saints et faites tout dans la foi de nos pères, dans la foi de nos pères !.. . dans la foi de nos pères !!… et n'écoutez plus personne." (Padre Pio)

06 décembre

On ne peut passer sous silence le chaos qui s’installe en Syrie avec l’avancée rapide des troupes rebelles islamiques.

Ce chaos est voulu.

D’un côté, le président Assad (les forces armées arabes syriennes) avec ses alliées (l'armée de l'air russe, le Hezbollah, l'Iran et sa milice irakienne).

Et de l’autre, la Turquie (armée nationale syrienne, les États-Unis, et Israël) supportant « HTS » (Hay'at Tarir al-Sham) – les anciens « rebelles » d'Al-Qaïda, de l'EI et d'al-Nosra.

En bref, les États-Unis, la Turquie et Israël soutiennent les terroristes islamiques pour renverser Assad, tout comme ils ont armé et utilisé des terroristes comme Al-Qaïda et ISIS dans le passé pour faire avancer leurs programmes politiques.

Le président syrien aimerait bien que l’Iran vienne à son secours.

Mais, l’Iran sait bien qu’Israël garde l’œil sur eux.

Car, les derniers rapports de l’Agence internationale de l'énergie atomique indique que l’enrichissement de l’uranium iranien a augmenté considérablement.

Si l'Iran poursuit ses projets d'enrichissement d'uranium à ce rythme, il sera en mesure de produire 12 bombes nucléaires prochainement.

On voit que ce conflit oppose chiites (le gouvernement et ses alliés), et sunnites (les rebelles supportés par l’occident).

C’est bien selon la prophétie politique # No 27: La foudre en plein jour de Jean XXIII.

C’est bien ce qui se dessine à l’horizon pour l’ouverture du septième sceau dans cette région où « S'affronteront croissant de lune, étoile et croix. » selon la prophétie #11 de l’Église « le 7ème Sceau ».

« Mgr Strickland et le diacre Fournier : les chrétiens doivent rester forts dans l’Église alors que le monde s’effondre

LifeSiteNews ) — Dans le septième chapitre de l'Évangile de saint Matthieu, nous lisons ces paroles de Jésus à ses disciples concernant la manière dont ils devraient vivre leur vie :

« Quiconque écoute mes paroles et les met en pratique sera comme un homme sage qui a bâti sa maison sur le roc. La pluie tombait, les inondations arrivaient et les vents soufflaient et brassaient la maison. Mais il ne s'est pas écroulé ; il était solidement fixé sur le roc. Et quiconque écoute ces paroles mais ne les met pas en pratique sera comme un fou qui a bâti sa maison sur le sable. La pluie tombait, les inondations arrivaient et les vents soufflaient et brassaient la maison. Et il s'est écroulé et a été complètement détruit. (Matthieu 7)

Il est temps de faire une évaluation honnête. Nous devrions nous poser cette question : « Sur quelles fondations bâtissons-nous ? »

On vit une époque de plus en plus turbulente. Le tumulte de la violence dans nos rues semble se produire si souvent qu'on n'en est même plus surpris. Partout où l'on regarde, on constate un ébranlement des fondements moraux sur lesquels on s'appuyait autrefois. Il y a des fractures dans le tissu de notre ordre civil et des blessures profondes qui doivent être guéries.

Et oui, l'Église aussi est ébranlée. Toutefois, les chrétiens ne doivent pas avoir peur. Notre vie ensemble dans le Seigneur, notre connexion dans le Corps mystique du Christ, est toujours en mesure de fournir un lieu d'abri, non seulement pour nous, mais aussi pour d'autres qui recherchent la stabilité alors que les secousses continuent tout autour . Les fausses fondations, dont certaines ont endormi même certains croyants et les ont amenées à la complaisance, pourraient bientôt tomber sous la pression provoquée par les troubles et le déclin croissants. Mais comme l'apôtre Pierre l'a rappelé aux premiers chrétiens persécutés, « le jugement commence dans la maison de la foi ». (1 Pierre 4:17)

Tous ceux qui portent le nom de chrétien, même si nous sommes divisés, sont néanmoins appelés à cette Église fondée sur Jésus-Christ. C'est le seul endroit de véritable sécurité – l'endroit où nous pouvons rester forts et en sécurité, et d'où nous devons tendre la main à ceux qui succombent à la peur qui se déchaîne dans le cœur des hommes, des femmes et des nations. C'est parce que l'Église a un fondement inébranlable, Jésus-Christ, qui est le même « hier, aujourd'hui et éternellement ». (Hébreux 13 : 8) Et c'est en Lui.

C'est là qu'on doit se tenir - et rester ensemble - en Jésus-Christ. On ne peut pas s'éloigner des turbulences qui nous entourent. Mais, en nous basant sur la base solide à partir de laquelle nous pouvons apporter stabilité et liberté à ceux qui commencent à craindre ce qui nous attend, nous devons à partir de là mener « le bon combat de la foi ». (1 Tim. 6:12)

L'Église militante

De ce lieu de sécurité, on peut faire la guerre ensemble contre le monde, la chair et le diable. De là, nous pouvons atteindre tous les hommes et toutes les femmes avec l'amour de Dieu, pleinement manifesté en Jésus-Christ. Et à partir de là, on peut reconstruire les fondements d'une liberté authentique et guider les autres sur le chemin de la seule paix durable.

Le lundi 21 mai 2012, le pape Benoît XVI a organisé un déjeuner avec les membres du Collège des Cardinaux pour les remercier de leur gentillesse en lui souhaitant un joyeux 85e anniversaire le 16 avril 2012. Il a également tenu à remercier ses amis pour lui souhaitant un joyeux septième anniversaire de son élection à la Chaire de Pierre le 19 avril 2012. Des sources de Vatican News rapportent que Benoît XVI a rappelé aux frères sur lesquels il comptait pour ses conseils et conseils que « l'Église, le Corps mystique, existe sur cette terre ». , et est appelée l’Église militante, parce que ses membres luttent contre le monde, la chair et le diable.

Il a partagé plusieurs de ses moments de joie pendant son ministère apostolique en tant que successeur de Pierre, ainsi que ses aperçus des luttes, en disant aux cardinaux :

«(Je) remercie particulièrement le Seigneur pour les nombreuses années qu'il m'a données, des années avec de nombreux jours de joie, des moments merveilleux, mais aussi des nuits sombres. Mais rétrospectivement, on comprend que les nuits étaient nécessaires et bonnes. On voit que le mal veut gouverner le monde et qu'il faut se battre contre le mal. Nous (voyons) cela le fait de bien des manières, sanglantes, avec diverses formes de violence, mais aussi déguisées en bien et détruisant ainsi les fondements moraux de la société. Nous sommes dans ce combat et (dans) ce combat, c'est très important d'avoir des amis. Je suis entouré d'amis du Collège des Cardinaux : ce sont mes amis et je me sens chez moi, je me sens en sécurité en compagnie de grands amis qui sont avec moi, ensemble.

Nous croyons que les sentiments exprimés ce jour-là pointaient vers une action historique qu'il a entreprise le 28 février 2013. Avec l'humilité qui caractérisait son extraordinaire papauté, Benoît a démissionné de sa charge apostolique. L'annonce était simple et directe. Il a été présenté à un consistoire de ses frères dans l'épiscopat, cardinaux réunis à Rome où il a approuvé plus de 800 causes de canonisation. Il est devenu le premier pape depuis 1294 à démissionner de cette manière.

L'utilisation de l'expression « Église militante » pour décrire la mission de l'Église sur Terre était autrefois très courante. Cependant, pour de nombreuses raisons, y compris une possible mauvaise compréhension du terme à une époque de plus en plus violente, il est tombé en désuétude. Il faut le raviver et le replacer dans son propre contexte, un contexte spirituel. En 1953, le pape Pie XII, qui avait dirigé l'Église à travers deux décennies d'obscurité dans un monde assiégé par la guerre, déclarait sans équivoque : « Nous appartenons à l'Église militante ; et elle est militante parce que sur terre, les puissances des ténèbres sont toujours impatientes d’envisager sa destruction.

Alors que nous faisons face à une hostilité croissante simplement parce que nous professons notre foi chrétienne dans notre vie quotidienne, il est important d'entendre à nouveau les paroles que l'apôtre Paul a adressées aux chrétiens d'Éphèse : « Nous ne luttons pas contre la chair et le sang ; mais contre les principautés, contre les puissances, contre les princes des ténèbres de ce siècle, contre les armées spirituelles de méchanceté dans les lieux célestes. (Éph. 6:11,12)

La foi et l'avenir

En 1969, le cardinal Joseph Ratzinger, devenu plus tard le pape Benoît XVI, a écrit un petit livre intitulé La foi et l'avenir . Il y parlait de ce qui pourrait arriver à l’Église. Il ne se doutait pas alors qu'il occuperait la chaire de Pierre. Voici quelques extraits qui méritent une réflexion sérieuse :

« L'Église deviendra petite et devra recommencer plus ou moins depuis le début. Elle ne pourra plus habiter bon nombre des édifices qu’elle a construits dans la prospérité. À mesure que le nombre de ses adhérents diminue, elle perdra bon nombre de ses privilèges sociaux. En tant que petite société, [l'Église] exigera beaucoup plus de l'initiative de ses membres individuels.

« Ce sera une tâche difficile pour l'Église, car le processus de cristallisation et de clarification lui coûtera une énergie précieuse. Cela la rendra pauvre et la fera devenir l'Église des doux. Le processus sera long et fastidieux, comme l'était le chemin qui mène au faux progressisme à la veille de la Révolution française – lorsqu'un évêque pouvait passer pour intelligent s'il se moquait des dogmes et insinuait même que l'existence de Dieu n'était en aucun cas certaine. Mais lorsque l'épreuve de ce criblage sera passée, une grande puissance jaillira d'une Église plus spiritualisée et simplifiée.

« Dans un monde totalement planifié, les hommes se retrouveront indiciblement seuls. S'ils ont complètement perdu de vue Dieu, ils ressentiront toute l'horreur de leur pauvreté. Alors ils découvriront le petit troupeau de croyants comme quelque chose de complètement nouveau. Ils le découvriront comme un espoir qui leur est destiné, une réponse qu’ils ont toujours cherchée en secret.

« Il me semble donc certain que l’Église traverse des temps très difficiles. La vraie crise vient tout juste de commencer. Il faudra compter sur de formidables bouleversements. Mais je suis aussi sûr de ce qui restera à la fin : non pas l'Église du culte politique, déjà morte, mais l'Église de la foi. Il se pourrait bien qu'elle ne soit plus le pouvoir social dominant dans la mesure où elle l'était jusqu'à récemment ; mais elle connaîtra un nouvel épanouissement et sera considérée comme la maison de l'homme, où il trouvera la vie et l'espoir au-delà de la mort.

« Mais dans tous les changements que l'on pourrait deviner, l'Église retrouvera son essence à nouveau et avec une pleine conviction dans ce qui a toujours été au centre : la foi au Dieu trinitaire, en Jésus-Christ, le Fils de Dieu fait homme, la présence de l’Esprit jusqu’à la fin du monde.

Notre foi et notre vie ensemble

On a tous un besoin d'appartenance, précisément parce qu'on est pas solitaires par nature. Nous avons été façonnés et créés pour la relation. Le cœur de la Révélation chrétienne est que Dieu n'est pas non plus solitaire. Dieu est une Trinité de Personnes Divines, Père, Fils et Saint-Esprit, qui, dans l'amour parfait, sont parfaitement Un. Jésus a prié pour qu'on fasse l'expérience de ce genre d'unité, tout de suite - et qui se terminerait dans la vie à venir. Cette belle prière de Jésus est consignée dans son intégralité dans le chapitre 17 de l’Évangile de saint Jean. Voici un extrait :

« Je prie non seulement pour eux, mais aussi pour ceux qui croiront en moi par leur parole, afin qu'ils soient tous un, comme toi, Père, tu es en moi et moi en toi, afin qu'eux aussi soient en nous , afin que le monde croie que Tu m'as envoyé. Et je leur ai donné la gloire que tu m'as donnée, afin qu'ils soient un, comme nous sommes un, moi en eux et toi en moi, afin qu'ils soient amenés à la perfection comme un, afin que le monde sache que tu m'as envoyé. (Jean 17 : 20-23)

Par l'Incarnation salvatrice – la conception, la nativité, la vie, la mort, la Résurrection et l'Ascension de Jésus-Christ, la Deuxième Personne de la Trinité et le Verbe incarné – nous sommes rendus capables de participer à la communion trinitaire , par la grâce de Dieu.

Cette participation commence maintenant et s'ouvre sur l'éternité. Ce n'est pas un concept ésotérique ou mystique réservé à quelques-uns seulement - c'est une vie chrétienne normale. Nous sommes, selon les mots de l’apôtre Pierre, « participants de la nature divine ». (2 Pierre 1 : 4) Nous sommes appelés à avoir une relation en Lui et les uns avec les autres pour le bien du monde.

C'est dans le don de soi à Dieu, puis par la grâce les uns envers les autres, qu'on se retrouve vraiment et qu'on découvre notre véritable mission dans ce monde. L'affirmation chrétienne est que nous avons été faits pour Dieu, et comme le dit si bien saint Augustin, « nos cœurs sont agités jusqu'à ce qu'ils reposent en Toi ». C'est là qu'on trouve aussi notre vraie maison. Cette maison est dans l'Église, d'où nous nous tournons maintenant vers le monde. Dieu aime toujours tellement le monde qu'il envoie son Fils (Jean 3 : 16). Son Fils est toujours en vie. Il a été élevé. Il marche maintenant à travers son Corps, l'Église, dont nous sommes véritablement membres. (1 Cor. 12 : 12-26)

L'Église est fondamentalement une réalité relationnelle, une rencontre permanente avec Jésus Ressuscité, une participation à la communion trinitaire en et par Jésus-Christ. C'est la tête du corps. L'Église n'est pas quelque chose mais Quelqu'un . C'est une partie essentielle d'être chrétien. Il y a une barre verticale et une barre horizontale à cette croix sur la colline du Calvaire. L’une des paroles les plus souvent citées des premiers pères chrétiens est peut-être celle de saint Cyprien de Carthage, qui écrivait : « Celui qui n’a pas l’Église pour mère ne peut pas avoir Dieu pour père.

Ce genre de langage familial souligne le fait irréfutable que les premiers chrétiens croyaient qu’appartenir à Jésus, c’était appartenir à son Église. Ils croyaient que, tout comme nous sommes tous nés du sein de notre mère, de même nous sommes invités par Dieu, en et par Jésus-Christ, à « naître de nouveau » dans l'Église, la nouvelle humanité étant recréée en Lui.

Le processus de rédemption commence lorsque nous traversons les eaux sacramentelles des fonts du Saint Baptême. Cela continue à mesure que nous coopérons avec la grâce qui nous est donnée dans notre vie au sein de l’Église. Il ne sera pleinement achevé que lorsque le Seigneur reviendra et que nous serons ressuscités dans des corps ressuscités – et que nous vivrons dans un nouveau ciel et une nouvelle terre ! Cette compréhension de l’Église comme participation à Jésus-Christ et entrée dans la communion trinitaire se retrouve dans les écrits des premiers Pères de l’Église. Nous vous proposons quelques exemples dans ce qui suit.

Les premiers Pères de l'Église

Tout d'abord, quelques paroles d'Origène (185-254 de notre ère) : « Le Christ a inondé l'univers de vagues divines et sanctifiantes. Pour ceux qui ont soif, il fait jaillir une source d'eau vive de la blessure que la lance a ouverte de son côté. De la blessure du côté du Christ est sortie l'Église, et il en a fait son épouse. Ensuite, de l'évêque Irénée de Lyon (120-203 de notre ère), disciple de Polycarpe et lui-même disciple de l'apôtre Jean : « Nous avons besoin de nous réfugier auprès de l'Église, de boire du lait à son sein, d'être nourris des Écritures du Seigneur. Car l'Église a été implantée dans le monde comme un paradis.

On pourrait continuer, mais on l'a fait valoir. Les premiers chrétiens ne considéraient pas l’Église comme quelque chose , mais comme Quelqu’un . L'adhésion à l'Église n'était ni coûteuse ni facultative. Ils y voyaient une norme pour chaque chrétien – et une source de vie pour tous. Nous résumerons une partie de ce que vous trouverez dans leurs beaux écrits en quelques-unes de nos propres phrases en utilisant l'imagerie déployée dans les écrits des premiers pères chrétiens.

L'Église est une semence du Royaume à venir. L'Église est la vigne sur laquelle nous sommes greffés. L'Église est Jésus ressuscité, rendu véritablement présent dans le monde. L'Église est la nouvelle famille commencée sur la Croix. L'Église est l'endroit où nous apprenons à aimer en entrant dans la communion même de l'Amour de la Divinité révélé dans le don total du Fils de Dieu sur le deuxième arbre de la Croix. Née du côté blessé du Sauveur, qui est le « nouvel Adam », sur l'autel de la Croix, l'Église est son corps mystique poursuivant sa mission rédemptrice sur la terre.

Nous ne faisons pas l'Église à notre image, l'Église nous refait à l'image du Christ par la grâce. Concluons avec quelques paroles inspirantes de l'un de nos théologiens contemporains préférés, un laïc orthodoxe nommé Olivier Clément. Il écrit à propos de l'Église :

« Dans le Christ ressuscité, dans son corps glorifié, à l'ouverture même de ses plaies, ce n'est plus la mort qui règne mais l'Esprit, le Souffle de Vie. Et la croix de victoire et de lumière, qui est le modèle de notre baptême, peut désormais transformer la situation la plus désespérée en une mort et une résurrection, une « Pâque », un point de passage sur le chemin de l'éternité. Et voilà ce qu’est l’Église, cette institution profondément sainte : elle est le sein baptismal, le calice eucharistique, la brèche faite pour l’éternité par la Résurrection dans le couvercle infernal du monde déchu. »

Construisez sur le rocher, combattez

Choisissons de bâtir notre vie sur le Rocher du Seigneur Jésus-Christ et de son Église – et ouvrons grandes nos portes aux hommes et aux femmes de notre époque qui recherchent stabilité et refuge alors que le monde est ébranlé. Soyons forts et accueillons les autres dans le seul lieu de véritable sécurité, l’Église qui porte son nom. Elle est peut-être divisée, mais elle reste sa demeure et révèle son plan pour toute la race humaine. Alors que nous prions, marchons et travaillons ensemble, il guérira les blessures de nos divisions et rétablira notre pleine communion. En tant que chrétiens, nous sommes appelés à nous aimer les uns les autres, en Lui. (Jean 13:34, 35.) Nous avons aussi la grâce de faire exactement cela.

Il est temps de se préparer pour la bataille à venir et de devenir l’Église militante de ce moment de l’Histoire . Souvenez-vous des paroles de l'apôtre Paul :

« Soyez forts dans le Seigneur et dans la force de sa puissance. Revêtez toutes les armes de Dieu, afin de pouvoir résister aux ruses du diable. Car nous ne luttons pas contre la chair et le sang, mais contre les principautés, contre les puissances, contre les dirigeants du monde de ces ténèbres présentes, contre les armées spirituelles de la méchanceté dans les lieux célestes. Prenez donc toutes les armes de Dieu, afin que vous puissiez résister au mauvais jour et, après avoir tout surmonté, tenir debout.

« Tenez donc debout, après avoir ceint vos reins de la vérité, et ayant revêtu la cuirasse de la justice, et ayant chaussé vos pieds de l'équipement de l'évangile de paix ; prenez surtout le bouclier de la foi, avec lequel vous pourrez éteindre tous les traits enflammés du malin. Et prenez le casque du salut et l'épée de l'Esprit, qui est la parole de Dieu. Priez en tout temps dans l’Esprit, avec toutes sortes de prières et de supplications. (Éph 6 : 10-18) »

05 décembre

En voilà un qui confirme encore une fois que l'église, la grande prostituée de l'Apocalypse, est condamnée.

Il confirme que l'Antéchrist est au pouvoir, mais n'ose pas, comme les autres « Élie » potentiels, affirmer que nous sommes à la fin des temps.

C'est quand même incroyable puisqu'ils connaissent très bien les écritures, et surtout, le catéchisme, qui ne peut être plus limpide que cela:

Le Catéchisme de l’Église catholique nous enseigne qu’«avant l’avènement du Christ, l’Église doit passer par une épreuve finale qui ébranlera la foi de nombreux croyants. La persécution qui accompagne son pèlerinage sur la terre dévoilera le “mystère d’iniquité” sous la forme d’une imposture religieuse apportant aux hommes une solution apparente à leurs problèmes au prix de l’apostasie de la vérité. L’imposture religieuse suprême est celle de l’Anti-Christ, c’est-à-dire celle d’un pseudo-messianisme où l’homme se glorifie lui-même à la place de Dieu et de son Messie venu dans la chair. […] L’Église n’entrera dans la gloire du Royaume qu’à travers cette ultime Pâque où elle suivra son Seigneur dans sa mort et sa Résurrection» (§675).

L'Église n'entrera dans la gloire du Royaume qu'à travers cette ultime Pâque où elle suivra son Seigneur dans sa mort et sa Résurrection (cf. Ap 19, 1-9). Le Royaume ne s'accomplira donc pas par un triomphe historique de l'Église (cf. Ap 13, 8) selon un progrès ascendant mais par une victoire de Dieu sur le déchaînement ultime du mal (cf. Ap 20, 7-10) qui fera descendre du Ciel son Épouse (cf. Ap 21, 2-4). Le triomphe de Dieu sur la révolte du mal prendra la forme du Jugement dernier (cf. Ap 20, 12) après l'ultime ébranlement cosmique de ce monde qui passe (cf. 2 P 3, 12-13) (§677).

« Une année de « Fiducia supplicans » : le pape, l'apostasie « synodale » et « l'hérésie gaie ».

par P. Joachim Heimerl von Heimthal

 Il y a des hommes qui ressemblent à un cri solitaire dans le désert, et nous savons par la Bible que c'est généralement l'Esprit de Dieu qui repose sur de tels hommes.

Joseph Strickland, évêque de Tyler, au Texas, qui a été déposé à tort par François, est un tel homme.

Il partage le même sort que les prophètes de la Bible, à savoir que personne ne l'écoute.

Des millions de personnes écoutent maintenant Mgr Strickland, mais pas ses confrères évêques.

Lorsque Strickland leur a récemment demandé de prendre enfin position sur le fait que François n'enseigne plus la foi catholique, ses paroles sont tombées dans le silence. Personne n’a osé soutenir le Texan qui disait si hardiment la vérité, aucun évêque aux États-Unis et certainement personne ailleurs.

Néanmoins, ce que Strickland a dit reste vrai : François défend une nouvelle Église « synodale » et avec elle une nouvelle foi qui n’est plus catholique et qui doit être résolument rejetée ! Personne n’est obligé de croire en une Église « synodale ». Au contraire : la foi traditionnelle de l’Église l’interdit.

Alors que les évêques gardaient le silence sur tout cela, le supérieur du district allemand de la Fraternité Pie a clairement appelé un chat un chat. Il a qualifié « l’Église synodale » du pape de « diabolique », de « trahison de la mission du Christ » et d’« anti-évangile ».

Mais ça dérange personne non plus. Les rangs des évêques écoutent encore moins la voix de la Fraternité Pie que celle du Texas. Au lieu de cela, le silence des évêques orchestre une apostasie à plusieurs voix : celle du Pape et d'une grande partie du monde catholique, et il semble presque qu'il s'agisse d'une nouvelle « normalité ».

Mais d'où vient l'indifférence de ceux qui sont désignés gardiens de la vérité et qui, par leur silence, ne servent pas Dieu, mais plutôt Satan, le « père du mensonge » (cf. 1 Jean 3, 8) ?

Leur apostasie pourrait-elle surgir de rien ? - À peine. Au contraire, elle est probablement latente depuis longtemps, et il a suffi d’un pape comme François pour qu’elle devienne enfin visible.

Le document controversé « Fiducia supplicans », publié il y a un an, le montre peut-être le plus clairement : le pape lui-même a autorisé la « bénédiction » des couples irréguliers, c'est-à-dire la bénédiction des homosexuels et des adultères.

Aux yeux des Écritures, une telle « bénédiction » est une abomination et un blasphème. Néanmoins, le document est resté en vigueur jusqu'à ce jour, et la - légère - résistance des évêques a été étouffée dès le début.

La signification de « Fiducia supplicans » est donc double : le document est la Magna Carta, qui documente de la manière la plus évidente l’apostasie générale des évêques. Et cela rend visibles les forces qui ont travaillé en secret au sein de l’Église pendant trop longtemps, à savoir les nombreux homosexuels parmi les évêques et les cardinaux.

Ce n'est certainement pas un secret que le clergé est traditionnellement infiltré par des homosexuels, même si les gens n'aiment pas en parler ouvertement. Ça vaut aussi pour le haut clergé. Des estimations fiables (en l'absence de données fiables) évaluent ce chiffre à environ les deux tiers, et même s'il était inférieur (ce que je ne crois pas), l'Église détient un record sans précédent.

Il y a de nombreuses raisons à cela, notamment sociologiques, et parmi les membres du clergé les plus âgés, jusqu'à la génération du pape, un nombre supérieur à la moyenne a échappé aux représailles sociales en choisissant le célibat.

Aujourd'hui, les choses sont différentes, du moins dans les sociétés occidentales, et les homosexuels coincés dans le sacerdoce et surtout dans l'épiscopat font maintenant pression avec véhémence dans les coulisses du Vatican pour que l'Église s'ouvre à la nouvelle voie. Soyons clairs : l’Église est tombée aux mains d’hommes gais plus âgés.

Ce n'est que dans ce contexte qu'on peut comprendre que le pape a rendu le monstrueux possible avec la « Fiducia supplicans » et qu'en même temps il a rencontré si peu de vents contraires : très peu de gens se souciaient de la « bénédiction » du péché et de l'apostasie de Dieu ; La plupart des gens s'y sont manifestement identifiés depuis longtemps et ont spécifiquement élaboré ce document sous la direction du cardinal Fernandez.

Depuis lors, rien n'est plus pareil : ce qu'on appelle communément « l'hérésie gaie » a pris l'Église en otage avec l'approbation du Pape, et de plus en plus d'évêques et de cardinaux prétendent hypocritement qu'ils ont été impliqués dans un « processus synodal en écoutant » ont soudainement « compris ». Ils ont compris – miraculeusement – ​​que l’homosexualité était « voulue » par Dieu et n’était en aucun cas un péché, contrairement à la révélation et à l’enseignement vieux de 2 000 ans de l’Église.

Un changement étonnant, ne trouvez-vous pas ? Ou n'est-il pas plus probable que tous ces prélats aient simplement saisi l'occasion pour finalement justifier leur disposition et « l'approuver » avec l'aide du pape ? Qui d'autre pourrait promouvoir « l'hérésie gaie » si ce n'est ces messieurs les plus révérends qui sont eux-mêmes « gais » et qui sont uniquement motivés par elle et non par le « Saint-Esprit » ?

C'est aussi incroyable que vrai : l'Église est en captivité babylonienne d'un haut clergé homosexuel qui, en commençant par « l'hérésie gaie », installe progressivement une nouvelle pseudo-église, exactement celle devant laquelle Mgr Strickland nous met en garde.

Le navire de l'église vit ainsi quelque chose comme la mutinerie du Bounty, mais avec une différence cruciale : le capitaine lui-même est ici avec les mutins, et les hommes qui, comme Strickland, rejettent la mutinerie des « gais », sont presque le dos au mur.

Pendant ce temps, l'Antéchrist règne dans la maison du Seigneur, et le Pape lui-même lui a érigé un autel d'idoles appelé « Fiducia supplicans ». Ce ne sera pas la dernière si François reste longtemps au pouvoir.

J'aimerais contredire tous ceux qui objectent aujourd'hui que François n'est de toute façon pas le pape légitime et que c'est la seule raison pour laquelle ces circonstances effrayantes sont possibles. Il n’y a pas d’autre pape que François. Mais il a probablement fallu un pape comme lui pour dénoncer l’œuvre de Satan dans l’Église et la pousser à l’extrême. – Oui, François est le pape légitime, et il ne l’est pas à la gloire de Dieu, mais à la honte éternelle du Siège apostolique, qu’il a profané avec la « Fiducia supplicans ».

Et pourtant : Peut-être Dieu a-t-il seulement voulu rendre visible la défiguration de son Église par François pour la restaurer par un successeur plus digne de Pierre ? Qui sait ?

Entre-temps, il est important d’écouter la voix des hommes justes, c’est-à-dire ceux qui ne représentent pas « l’hérésie gaie » et donc leur propre tempérament, mais qui, comme Mgr Strickland, sont la voix de Dieu. – « Celui qui a des oreilles pour entendre, qu’il entende ! » (Mt 11, 14). » (marcotosatti.com)

Une année de « Fiducia supplicans »... Effectivement.

2024, l'année où tout bascule.

Qu' « Élie » de la fin des temps se lève!

À la Gloire de Dieu!

04 décembre

LE SIGNE DE JONAS III – LES 40 JOURS

Le signe de Jonas mentionné par le Christ en Matthieu 24, le seul signe que nous aurons, les trois jours au tombeau, les trois jours de noirceur.

Jonas, qui ne voulait pas délivrer le message de Dieu aux habitants de Ninive, a eu le « privilège » d’expérimenter les trois jours de noirceur dans le ventre du poisson.

Cela l’a définitivement convaincu et à sa sortie, il part à Ninive délivrer son message : « Encore 40 jours et Ninive sera détruite ».

Au compte long, nous avons vu dans les analyses précédentes que nous avons atteint les 100 ans de destruction de Satan ajoutés aux 40 ans d’attente dans le désert à l’image du Christ, notre carême, depuis la vision de Léon XIII du 13 octobre 1884.

Nous savons que le 40 est le nombre de l'attente:

- Jésus a vécu 40 jours au désert après son baptême;

- Le peuple juif a erré 40 ans dans le désert avant d'entrer en Terre sainte ;

- Moïse a jeûné 40 jours avant de recevoir les tables de la Loi;

- le Déluge a duré 40 jours, avant que Noé n'ouvre la fenêtre de l'Arche;

- les 40 jours d’errance du prophète Élie pour aller du mont Carmel à l’Horeb, la montagne de Dieu;

- Et c’est aussi le signe du carême, 40 jours avant Pâques.

Tel est le scénario des trois jours de ténèbres : après les 40 jours, Dieu nettoie et purifie la terre par le feu avant de se manifester aux élus.

Car le Seigneur ne se manifeste pas aux autres : tout le monde verra son signe mais seuls les élus jouiront de sa vision.

Comme sœur Lucie a vu la Sainte Famille le 13 octobre 1917 et les trois métamorphoses de la Sainte Vierge Marie, alors que les autres voyaient le miracle du soleil fonçant sur eux.

Les habitants de Ninive se sont convertis.

Mais contrairement à Ninive, l’Apocalypse nous indique qu’il n’y aura pas de conversion en cette fin des temps :

Il est expliqué que malgré les signes,  « les autres hommes, ne se repentirent ni de leurs meurtres, ni de leurs enchantements, ni de leur impudicité, ni de leurs vols.» (Apoc. 9, 21).

Une attitude confirmée dans le livre de Daniel : « il y en aura beaucoup qui seront purifiés, blanchis et éprouvés ; et les méchants feront le mal, et aucun méchant ne comprendra ; mais les intelligents comprendront. » (Daniel 12, 10)

Babylone n’a que 40 jours avant le début des châtiments et des deux derniers grands malheurs (6è et 7è trompettes) de l’Apocalypse.

Le signe de Jonas est relié à l’Apocalypse, la résurrection des deux témoins.

Nous avons vu dans la dernière analyse que les 40 jours précédant les 3 jours de noirceur sont reliés au témoignage d’Élie ou Jean, et que ces 40 jours (avant le 16 janvier, les 42 mois depuis Traditionis Custodes) commencerait selon notre hypothèse le 7 décembre.

La cathédrale Notre-Dame de Paris ré-ouvre le 7 décembre décembre.

Et la Fille Aînée de l'Église est aussi importante que Rome.

Est-ce qu’on occultera l’Immaculée Conception à Notre-Dame de Paris par une discours à caractère maçonnique?

En tout cas, les « rois » de la terre y seront réunis pour la réouverture et ce n’est probablement pas pour la Sainte Vierge.

« Le président américain élu Donald Trump a annoncé lundi qu’il se rendrait samedi en France afin d’assister à la réouverture de la cathédrale Notre-Dame de Paris, où une cinquantaine de chefs d’État et de gouvernement sont attendus. »

Bergoglio a refusé d'y assister, car il dit qu’il est trop occupé par la nomination de 21 nouveaux cardinaux (jeunes pour conserver les valeurs bergogliennes, progressistes, et sans culture théologique) lors du consistoire du 7 et 8 décembre.

« Il y a un manque de grandes figures, avec une lumière propre, des pasteurs, bien sûr, mais aussi des intellectuels puissants, avec un arrière-plan philosophique, théologique et canonique convaincant et reconnaissable.

À ce jour, la quasi-totalité des cardinaux créés par le pape François (163 au 8 décembre) sont des personnes qui se comportent comme des clones du pontife, ou plutôt, comme on l’a écrit ces derniers jours, « ce sont des cardinaux copié-collé ». » (benoit-et-moi.fr)

N’oublions pas que le 7 décembre est un premier samedi du mois, en relation avec la demande de la Sainte Vierge à Fatima. (Lien de la prière du premier samedi du mois ci-haut)

Voyant l’urgence de la situation, Lifesitenews.com démarre une neuvaine du 8 au 17 décembre, consacrée à la conversion du pape François et à la restauration de l'Église catholique.

Comme on le voit, les deux témoins sont constitués des laïques (Énoch) et des clercs (Élie) qui se lèvent vu la situation.

Nous savons que Satan singe Dieu.

Et, grâce à l’analyse « Projet 47 de Louis D’Alencourt » nous savons que l’élite judéo-maçonnique espère son messie pour le 20 janvier.

Or, le 12 décembre, c’est la fête de Notre-Dame de Guadelupe.

Mgr Burke termine sa neuvaine de 9 mois, et Notre-Dame de Guadelupe, c’est la femme de l’Apocalypse au septième sceau.

Si on additionne 40 jours on arrive au 21 janvier, le lendemain de l’assermentation du président américain.

C’est un sérieux avertissement du Ciel.

Louis D’Alencourt :

« Quelqu’un de bien plus savant et érudit que moi m’a révélé un jour qu’à la fin des temps, il ne fallait plus compter en années mais en jours.

Je crois que le Seigneur Dieu, dans sa très grande miséricorde, va effectivement accorder aux hommes une ultime chance avant le déchaînement de sa colère.

Sauf que le message cette fois-ci sera : dans 40 jours Babylone sera détruite.

Par conséquent, « Sortez de Babylone mon peuple, de peur que vous n’ayez part à ses péchés » et repentez-vous

« Elle est tombée, la grande Babylone, elle est tombée ! » (Apoc. 18, 2) et avec elle, la grande Prostituée tombe aussi.

Si vous lisez bien l’Apocalypse, à ce moment-là la bête n’est pas morte, d’une part, et cela se réalise devant les rois de la terre, qui se lamentent « hélas, hélas, Babylone, grande ville, ville si puissante, ta condamnation est venue en ce moment ».

Pourtant les rois de la terre ne sont pas mieux que Babylone, puisqu’ils font partie de l’équipe de la bête. » (note : ils seront à Notre-Dame de Paris le 8 décembre) (grandreveilwordpress.com)

Mais, nous devons aussi considérer qu’il y a eu un autre 40 jours, les 40 jours après la Résurrection du Christ!

« Les Actes des apôtres nous apprennent que durant les 40 jours entre la Résurrection et l’Ascension, le Christ leur parlait du Royaume de Dieu, sans plus de précisions.

Il y a deux notions importantes à retenir :

– Après la Résurrection, le Christ n’apparaît qu’à ses apôtres et disciples, c’est-à-dire que seuls des justes le voient, et non plus la multitude du peuple.

Un des volets de la prédication d’Élie sera d’annoncer le Royaume de Dieu ; mais ce discours ne sera compris et entendu que par les justes et la foule des rachetés ; les autres seront imperméables à de tels propos.

– L’Ascension symbolise à la fois le départ et le retour du Christ. Qu’il y ait 40 jours d’écart entre l’annonce du royaume et le retour effectif du Christ est là aussi significatif. Il renforce l’idée que le délai ultime est bien de 40 jours avant de voir la terre promise. » (Louis D’Alencourt – grandreveilwordpress.com)

Les écritures nous mentionnent qu’à la fin des temps, le tiers des humains seront éliminés.

La traduction exacte est plutôt : la troisième partie.

Il s’agît des incroyants, de ceux qu’on ne peut espérer la conversion avec les événements à venir.

Cela se passe à la sixième trompette (c’est tout le chapitre 10 et 11 de l’Apocalypse).

L’autre tiers, ce sont les justes, et l’autre, ce sont les « tièdes », ceux dont la chance de sauver leur âme est encore possible.

Les 40 jours avant « l’Ascension » pourrait bien servir cette cause.

Nous avons identifié dans notre hypothèse le 16 janvier 2025, soit la fin des 42 mois depuis l’interdiction de la messe Tridentine.

Si on y ajoute les trois jours de noirceur comme le Christ au tombeau, nous arrivons au 19 janvier 2025.

Si on y ajoute les 40 jours après la résurrection avant l’Ascension, nous arrivons au 28 février 2025.

C’est la date effective de la démission de Benoît XVI en 2013.

Donc 12 ans entres les deux dates, 12 comme les douze apôtres.

Quant à Bergoglio, NSJC lui laissera-t-il atteindre son 12 ans le 13 mars prochain?

Ce chiffre appartient à Marie (exemple les apparitions du 13 du mois en 1917), et non au faux prophète.

Nul ne connaît le jour ni l’heure mais plus nous avançons plus les pièces du casse-tête se mettent en place.

Nous pourrions avoir des signes « d’Élie » en fin de semaine.

2 décembre

LA MORT DES DEUX TÉMOINS

« … lorsque l’Apocalypse se révèle, elle doit être comprise par tous, c’est-à-dire qu’à partir de ce moment, le sens littéral l’emporte sur le sens mystique. » (Louis D’Alencourt -  grandreveilwordpress.com)

La mort des deux témoins est un événement important car il indique la fin de la sixième période, tout juste précédé par l’ouverture du sixième sceau : le grand tremblement de terre et ce qui s’en suit, et la sixième trompette, soit les 4 anges liés au grand fleuve de l’Euphrate : Armageddon.

(À ce titre, un avant goût du « tremblement » terrestre pourraient être le signe de la guerre, et comme signe de la sixième trompette à venir, nous avons assisté la semaine dernière à la prise de la ville d’Alep en Syrie, sur le bord de l’Euphrate, par l’armée islamique (les 4 anges étant relâchés).)

Alors quelle partie de l’évangile doivent prophétiser les deux témoins de l’Apocalypse?

Eh bien tout simplement celui qui a trait au retour du Christ, en commençant par le début, c’est à dire l’épisode de Jonas cité par Jésus lui-même, soit;

1) le retour du Christ est maintenant très proche.

2) le seul signe qui sera donné avant son retour sera celui de Jonas, et justement celui-ci venant d’avoir lieu, Babylone sera détruite dans 40 jours et cette destruction sera le début des châtiments et des deux derniers grands malheurs (6è et 7è trompettes).

 3) Par conséquent, « Sortez de Babylone mon peuple, de peur que vous n’ayez part à ses péchés » et repentez-vous.

Il est difficile d’imaginer la manière dont seront « exécutés » les « deux témoins » de l’Apocalypse.

Nous savons qu’ils sont la référence aux  laïcs et membres du clergé qui sont demeurés fidèles à la Loi et aux Prophètes.

On les nomme symboliquement Énoch et Élie.

« Énoch préfigure tous les autres qui, n’appartenant pas à la catégorie des « justes » n’en sont pas moins des « hommes de bonne volonté » et qui, quelle que soit leur religion et leurs sensibilités, comprendront eux aussi la teneur des événements et se lèveront pour le dire. » (Louis D’Alencourt, grandreveilwordpress.com)

« … on peut aussi faire un parallèle avec le livre d’Hénoch car celui-ci est en lien direct avec la fin des temps.

Voici ce qu’en dit l’abbé Arminjon dans son livre Fin du monde présent et mystères de la vie future :

« Le livre d’Hénoch, bien qu’apocryphe, semble contenir les principales croyances qui avaient cours en Judée au temps de Jésus-Christ. Quand les hommes, est-il dit, auront comblé la mesure de leurs iniquités envers Dieu et envers Israël, alors viendra le grand cataclysme dont le déluge n’a été que le prélude et comme l’avertissement. Cette fois-ci, la justice divine ira jusqu’au bout ; le mal sera vaincu à jamais ; la terre sera purifiée par le feu, non plus par l’eau. Sous des cieux nouveaux, une terre nouvelle, commencera le règne sans fin de l’Elu, règne de justice, de fidélité et de paix, véritable règne de Dieu, dans lequel Israël sera le peuple roi. »

Il est là le lien entre Hénoch et le premier témoin...

Le chapitre 11 de l’Apocalypse semble se référer plutôt à Élie, même s’il parle des deux témoins dans leur ensemble, car la caractéristique de « fermer le ciel et d’empêcher la pluie » se rapporte directement à la vie d’Élie, puisqu’il en a usé au début de sa vie publique face au roi Achab.» (Louis D'Alencourt, grandreveilwordpress.com)

« Mikail et Jean descendront sur terre. » nous confirme la prophétie de l’Église concernant François.

Juste après son décès.

Ce Jean, est probablement le précurseur : Élie.

Élie accomplie le rôle du second témoin de l’Apocalypse et celui de l’annonciateur du retour du Christ comme Jean-Baptiste.

Élie est le prêtre qui est monté sur le Carmel pour convertir les adorateurs de Baal.

Nous pouvons affirmer aujourd'hui que les adorateurs de Baal sont en grand nombre :

À toutes les religions qui ne sont pas de la tradition, on y ajoute le paganisme à manière du synode amazonien, le protestantisme, et tout ce qui relève des valeurs inversées qui sont sacrifiées sur l’autel de l’humanisme depuis que le faux prophète est sur le trône de Saint-Pierre.

Nous avons deux indices important pour mieux cerner le « quand » et « l’événement » symbolisant la mort des deux témoins :

- Ils prophétisent pendant 1260 jours ou 42 mois.

- Les habitants de la terre se réjouiront parce qu’ils ont fait le TOURMENT des habitants de la terre.

Par contre, identifier le moment du début de la prêche des deux témoins, et de la durée de la bête parallèlement pour 42 mois est difficile en soi.

Nous avons émis l’hypothèse du 16 juillet 2021, soi la date de Traditionis Custodes interdisant la messe Tridentine, et surtout, fête de Notre-Dame du Carmel, reliée donc à Élie (voir analyses précédentes).

Parce que c’est là que la multitude d’ « Élie » ont élevé la voix au Vatican.

Est-ce qu’un cardinal ou un évêque plus influent sortira du lot plus nous approchons de la fin de l’hypothèse des 42 mois (voir
20 novembre - L’ANGE EXTERMINATEUR) le 16 janvier prochain?

Cela reste à voir.

Car pour avoir un « Élie »à la manière de Jean-Baptiste, il faut que ce dernier proclame :

- La fin des temps

- Le repentir

Pour l’instant, seul le cardinal Burke a mentionné du bout des lèvres que nous sommes « peut-être » à la fin des temps.

Mgr Vigano attend toujours l’Antichrist alors qu’il est déjà là comme système.

Mgr Strickland affirme que nous sommes au bord du précipice.

C’est tout.

Il n’y a personne d’autre du clergé qui se démarque comme un « Élie ».

Mais, la mort des deux témoins est étroitement relié au signe de Jonas, les trois jours au tombeau qui suivent leurs morts.

Et, le signe de Jonas est indissociable des 40 jours donné à Ninive pour se convertir, pour éviter la destruction.

Si on recule de 40 jours à partir du 16 janvier, alors nous devrions avoir un « Élie » qui se manifeste le 7 décembre, juste avant la fête de l’Immaculée Conception, fête dont Bergoglio bafoue depuis son intronisation.

Bergoglio prépare-t-il une annonce qui provoquera définitivement le schisme ( la  guerre dans la mère de la prophétie du Jean XXIII du 7ème sceau)?

Pourquoi les habitants de la terre se réjouissent-ils à la mort des deux témoins?

À cause de la disparition de la messe Tridentine?

Pas vraiment.

Mais, cette étape est nécessaire au triomphe de Satan pour y substituer le messie judéo-maçonnique à venir.

En fait, les habitants de la terre se réjouissent de la conversion de l’église conciliaire à l’humanisme depuis la libération des mœurs en 1968, parce que cette dernière a imposé des valeurs morales strictes depuis l’Ascension de NSJC, ce code moral important pour passer le chas de l’aiguille qui mène à la vie éternelle puisque le peuple n’est pas assez mature pour aimer Dieu de toute ses forces et son prochain comme lui-même.

Et cette libération des mœurs, cette réjouissance, connaît son apogée avec le wokisme, qui a dominé la scène médiatique ces dernières années.

Ceux qui restent et espèrent à se réjouir sont du clergé.

Les autres se réjouissent déjà puisque c’est la grande apostasie et que Bergoglio a éliminé le péché.

C’est pourquoi nous voyons la montée en puissance de la reconnaissance de l’homosexualité au sein des prêtres de l’église conciliaire.

C’est pourquoi que le nouveau prédicateur de Sainte-Marthe aime bien trouvé des perles d’homosexualité dans la Bible pour ses sermons :

« Le nouveau prédicateur homophile du pape François

Le père Roberto Pasolini, nouveau prédicateur attitré du pape, invente une Bible homo

… La tendance, très marquée dans les milieux homosexuels, à découvrir toujours et partout l’homosexualité, même au prix de devoir réécrire toute l’histoire, est bien connue… » (benoit-et-moi.fr)

Que reste-t-il à faire pour que le document final du synode des synodes devienne la base de la « nouvelle église », où « tous seront inclus » pour citer Bergoglio, et qu’ainsi tous les « habitants de la terre » se réjouissent, prêtres inclus?

Pour l’instant, c’est un mystère, mais il est évident que l’humanité est de retour à Sodome et Gomorrhe, et au temps de Noé au déluge lorsque la méchanceté des hommes était grande sur la terre, et que toutes les pensées de leur cœur se portaient chaque jour uniquement vers le mal.

« Car, sachez-le bien, aucun impudique, aucun impur, aucun homme cupide (lequel est un idolâtre), n'a d'héritage dans le royaume du Christ et de Dieu. » (Eph. 5, 5)

« Dehors les chiens, les magiciens, les impudiques, les meurtriers, les idolâtres, et quiconque aime le mensonge et s'y adonne ! » (Apoc. 22, 15)

Novembre 2024

30 novembre

Voici un aperçu de la philosophie russe sur la guerre en cours, alors que 39% des russes dans un dernier sondage se disent favorables à l'utilisation de l'arme nucléaire.

N'oublions que le patriarche Cyrille et le président russe sont d'anciens membres du KGB.

« Malgré les discussions en cours du 25e Congrès du Conseil populaire mondial russe concernant la  doctrine du « monde russe » et ses implications, le 26e Conseil a encore renforcé les relations étroites entre le Patriarcat de Moscou et le Kremlin . La réunion a également souligné le soutien de l'Église aux aspirations des dirigeants politiques.

Le 28 novembre, le patriarche Cyrille de Moscou a présidé la réunion du 26e Conseil populaire mondial de Russie, intitulée « Le monde russe : défis externes et internes ».

Dans son discours , le patriarche Cyrille a souligné le « modèle unique d'interaction entre l'Église et l'État », soulignant son rôle central dans la préservation des valeurs culturelles et spirituelles.

« Lorsque nous parlons de l'Orthodoxie comme d'une foi traditionnelle, nous soulignons le rôle de l'Église en tant que gardienne vitale, transmettant ces valeurs de génération en génération à travers sa doctrine, ses prières et la formation des pensées et des croyances des gens. Cela fait de l’Église un porteur indispensable de ces valeurs », a-t-il déclaré.

« Aujourd’hui, notre pays bénéficie d’un modèle sans précédent d’interaction entre l’Église et l’État. Ce modèle garantit pleinement la capacité de l'Église à sauvegarder et à transmettre ses valeurs aux générations futures.

La forme actuelle de coopération est un rêve dont les générations précédentes ne pouvaient que rêver. L'Église vit librement, sans ingérence extérieure, tandis que l'État respecte sa mission.

Cette collaboration harmonieuse s'étend à l'éducation des enfants et des jeunes, ainsi qu'à la promotion du climat spirituel et culturel de la nation. Ensemble, nous visons à renforcer les valeurs essentielles à la préservation de l’identité et de l’authenticité de nos citoyens. Perdre ces valeurs signifierait perdre notre capacité à nous défendre et à défendre notre patrie », a ajouté le patriarche Cyrille.

Dans ses remarques précédentes , le patriarche Cyrille a mis en contraste sa focalisation antérieure sur les défis auxquels est confronté le « monde russe »avec l'accent qu'il met actuellement sur ses menaces les plus critiques.

« Parmi les menaces extérieures qui pèsent sur le monde russe, la plus urgente aujourd’hui est l’opération militaire en cours. L'escalade tragique du conflit fraternel entre la Russie et l'Ukraine est constamment alimentée par des forces extérieures bien connues, qui ont recours à la stratégie séculaire du diviser pour régner », a-t-il déclaré.

Kirill a notamment évité d'aborder le fait que le conflit a commencé avec l'intervention militaire russe en Ukraine en 2014 , en commençant par l' annexion de la Crimée .

Le patriarche Cyrille a attribué la guerre aux actions de « forces extérieures » et l'a présentée comme un affrontement culturel et spirituel plus large. « La Russie, l’Ukraine et la Biélorussie sont perçues comme une épine dans le pied du monde occidental en raison des valeurs que nous défendons, qui constituent le fondement de notre identité spirituelle et culturelle », a-t-il affirmé.

Kirill est allé -encore une fois- encore plus loin, en proposant une justification du conflit , le présentant comme une défense de ces valeurs. « Ces valeurs sont désormais héroïquement défendues par nos soldats combattant dans la zone d’opérations militaires spéciales », a-t-il déclaré, bénissant ainsi la guerre qui ravage la région depuis près de trois ans.

Le patriarche a également imputé la responsabilité du conflit au monde occidental, l'accusant de ne pas vouloir « reconnaître le droit des autres cultures à leur identité et à leur indépendance ». Il a ajouté : « C'est évident dans l'escalade incessante, qui menace d'évoluer vers une collision directe entre deux mondes. »

Le patriarche Cyrille s'est empressé d'exprimer sa gratitude à Dieu pour la réponse mesurée du président russe Vladimir Poutine aux provocations, louant son attitude calme. Dieu merci, le président Poutine, conscient de sa responsabilité, fait preuve de prudence et de sang-froid face aux provocations cyniques, tout en continuant à progresser vers les objectifs fixés : protéger les intérêts légitimes et justifiables de la Russie et du monde russe ", a-t-il déclaré. .

Abordant le sujet des menaces nucléaires – souvent évoqué par le président russe – Kirill a fait remarquer qu'alimenter la peur avec des scénarios apocalyptiques ou spéculer sur des questions nucléaires manque de mérite spirituel. Il a exhorté les chrétiens à ne pas craindre la soi-disant « fin du monde », mettant l'accent sur une vocation plus élevée : « Nous attendons le Seigneur Jésus, qui viendra dans une grande gloire pour détruire le mal et juger toutes les nations. Toutefois, ça veut pas dire qu'on doit laisser le mal triompher. Notre mission terrestre est d'être des guerriers du Seigneur, luttant contre les forces du mal. C'est l'objectif de la Russie.»

Le patriarche a également évoqué les défis sociétaux, notamment la question de l'alcoolisme , qu'il a qualifié de stéréotype néfaste . « Pendant des siècles, de faux récits sur la prétendue propension des Russes à boire ont été perpétués et ancrés dans la conscience publique. C'est faux ! Le peuple russe a toujours été travaillant et responsable. Sans ces qualités, il aurait été impossible de bâtir une nation comme la Russie », a-t-il déclaré.

Kirill a en outre exprimé sa gratitude au président Poutine pour avoir favorisé une relation de coopération entre l'État et l'Église . « Je tiens à exprimer mes sincères remerciements à notre président pour la direction prise par nos dirigeants politiques vers la collaboration avec l'Église orthodoxe russe, pour le développement d'un véritable dialogue et d'un partenariat significatif. Puisse ce parcours continuer à jeter les bases du progrès futur de notre pays et de relations encore plus dynamiques et fructueuses entre l'Église et l'État », a-t-il conclu. » (orthodoxtimes.com)

Le président russe a fait l'apologie de son dernier missile en spécifiant dernièrement qu'en groupant ces dits missiles dans une attaque, que cela aurait le même effet qu'une bombe nucléaire, avec des températures atteignant la température du soleil.

« La terre frisera le massacre » de la prophétie de Jean XXIII ne concerne plus uniquement l'arme nucléaire semble-t-il.

29 Novembre

L’ÉGLISE HUMANISTE

Bergoglio a affirmé (voir dernière analyse) que l'Église a été « éclairée par le Saint-Esprit » pendant le processus du synode des synodes et qu’il « souhaitait »  que le document final du Synode soit accepté comme faisant partie du Magistère de l'Église.

Mais le cardinal Müller ne l’entend pas ainsi :

« Les partisans de la soi-disant « Église synodale » sont coupables de « péchés contre le Saint-Esprit » en essayant de renverser l'enseignement catholique avec une « idéologie éveillée » et de « subordonner l'Église du Dieu Trinité » à des programmes mondialistes comme l'Agenda 2030, a dit le cardinal.

( LifeSiteNews ) — Le cardinal Gerhard Müller a déclaré que les partisans de la soi-disant « Église synodale » sont coupables de « péchés contre le Saint-Esprit ».

Dans un essai publié dans First Things , le cardinal Müller a critiqué le concept moderne de « synodalité » du pape François, énumérant sept façons dont « l'Église synodale » pèche contre le Saint-Esprit.

« Des factions ayant des arrière-pensées ont détourné le principe traditionnel de synodalité, c'est-à-dire la collaboration entre les évêques (collégialité) et entre tous les croyants et les bergers de l'Église (basée sur le sacerdoce commun de tous les baptisés dans la foi), pour faire avancer leur programme progressiste.

« En effectuant un virage à 180 degrés, la doctrine, la liturgie et la moralité de l’Église catholique doivent être rendues compatibles avec une idéologie néo-gnostique éveillée », a-t-il déclaré.

Dans une tentative de changer l'enseignement de l'Église sur le mariage ou l'ordination des femmes, les partisans du Synode invoquent une prétendue « communication directe entre le Saint-Esprit et les participants au Synode », a poursuivi le cardinal Müller.

« Mais quiconque, en faisant appel à l'inspiration personnelle et collective du Saint-Esprit, cherche à concilier l'enseignement de l'Église avec une idéologie hostile à la révélation et avec la tyrannie du relativisme se rend coupable à divers titres d' un « péché contre le Saint-Esprit ». " (Matt. 12 :31 ; Marc 3 :29 ; Luc 12 :10) », a ajouté le cardinal allemand.

« Le péché le plus courant » des sept péchés contre le Saint-Esprit « est celui où l'origine et le caractère surnaturels du christianisme sont niés afin de subordonner l'Église du Dieu Trinité aux buts et aux objectifs d'un projet de salut mondain, qu'il soit écologique.

Le cardinal Müller a averti que c'est un péché contre le Saint-Esprit de réinterpréter « l'histoire du dogme chrétien comme une évolution de la révélation, reflétée dans l'avancement des niveaux de conscience dans l'Église collective, au lieu de confesser la plénitude insurpassable de grâce et de vérité en Jésus-Christ.

Il a expliqué que le pape et sa fonction d'enseignant « ne sont pas au-dessus de la parole de Dieu, mais la servent, en enseignant uniquement ce qui a été transmis ( Dei Verbum , 10). »

Le pape ne peut donc pas changer le dépôt de la foi, tel qu'il a été pleinement révélé en Jésus-Christ.

De plus, le cardinal Müller a déclaré que c'est un péché contre l'Esprit Saint « lorsque l'unité de l'Église dans l'enseignement de la foi est livrée à l'arbitraire et à l'ignorance des conférences épiscopales locales (qui se développent doctrinalement à des rythmes différents) sous prétexte d’une soi-disant décentralisation.

Citent l'œuvre de saint Irénée de Lyon contre les Gnostiques, le cardinal écrit : « Bien que dispersée dans le monde entier, jusqu'aux extrémités de la terre… l'Église catholique possède une seule et même foi dans le monde entier (Irénée de Lyon, Contre Hérésies , livre I, 10, 1-3).

Les remarques du cardinal Müller font probablement référence à la conférence des évêques allemands, dont la majorité a approuvé des textes hérétiques pro-LGBT et d'autres textes lors de la « Voie synodale » des évêques allemands.

Dans une référence probable aux « annulations » injustes par le pape François, telles que la destitution de Mgr Joseph Strickland de son diocèse de Tyler, au Texas, et de Mgr Daniel Fernández Torres de son diocèse d'Arecibo, à Porto Rico, le cardinal Müller a dit :

C'est un péché contre le Saint-Esprit, qui, par le sacrement de l'Ordre, a nommé des évêques et des prêtres comme pasteurs de l'Église de Dieu (Actes 20 :28), de les déposer, ou même de les séculariser, à sa seule discrétion.

Le cardinal a aussi critiqué la politisation de l'Église selon la « philosophie révolutionnaire » et les idées de la Révolution française comme un péché contre le Saint-Esprit :

C'est un péché contre le Saint-Esprit lorsque la division politique et idéologique de la société depuis les Lumières européennes et la Révolution française est incorporée dans une philosophie réparatrice ou révolutionnaire de l'histoire et lorsque l'Église une, sainte, catholique et apostolique est ainsi paralysée par opposant en interne les factions « progressistes » aux factions « conservatrices ».

L'ancien chef du CDF a conclu son essai en rappelant aux fidèles de mettre leur confiance uniquement en Jésus-Christ et non dans les idéologies modernistes « éveillées ».

« Quiconque veut vraiment entendre ce que l'Esprit dit à l'Église ne s'appuiera pas sur des inspirations spiritualistes et des platitudes idéologiques éveillées, mais placera toute sa confiance, dans la vie et la mort, uniquement en Jésus, le Fils du Père et le Oint du Saint-Esprit », a déclaré le cardinal Müller.

Il a conclu en citant l'Évangile de saint Jean : « Ceux qui m'aiment garderont ma parole, et mon Père les aimera, et nous viendrons vers eux et ferons notre demeure avec eux… Mais l'Avocat, l'Esprit Saint, qui le Père enverra mon nom, vous enseignera tout et vous rappellera tout ce que je vous ai dit. (Jean 14 :23-26)
 »

Nous mettons l’article du blog d’Aldo Maria Valli, même si en italien, pour montrer la photo de la nouvelle église de Berlin (et l’autel païenne ) et traduisant les paroles de l’archevêque de Berlin lors de l’inauguration :

« Aucun dieu sombre n'est pas à l'œuvre ici et menaçant. L'esprit d'hospitalité règne ici. L'Église doit être un lieu d'ouverture pour les croyants, y compris ceux des autres religions, ainsi que pour les non-croyants. Et aussi pour tous ceux qui veulent juste relaxer ».

C’est bien l’église humaniste.

Où tous sont inclus selon Bergoglio.

Le péché n’existant plus, et où les valeurs inversées sont la norme.

Le Saint-Esprit est invoqué lorsqu’ils en ont besoin pour modifier la doctrine.

La Tradition devient hors norme.

Elle est la menace à la nouvelle église.

C’est l’église inversée.

27 novembre

La prophétie #11 de l’église, le septième sceau, confirme le début de la guerre : « S'affronteront croissant de lune, étoile et croix. »

Alors qu’il y a guerre aussi au sein de l’Église.

Pourquoi la guerre?

Parce que l’élite judéo-maçonnique a comme principe de faire naître l’ordre par le chaos, la peur, et aussi parce la guerre représente un sacrifice de masse.

« L'élite judéo-maçonnique ne peut attendre trop longtemps. Leur messie doit venir par un sacrifice sanglant, le sacrifice de l'humanité pour la survie de l'élite et sa progéniture. » écrivions nous le 6 novembre dernier.

« Le basculement d’un monde dans une étape supérieure passe par un sacrifice expiatoire égal à l’obtention d’un « bien » défini selon les critères des thuriféraires du système pharisaïque. S’agissant de l’établissement d’une gouvernance mondiale, ce « bien » ne peut être adoubé que d’une manière holocaustique. » (Pierre Hillard, Des origines du mondialisme à la grande réinitialisation, p.251)

Aujourd’hui, le monde retient son souffle avec la nouvelle du cessez-le-feu au Liban.

Or, Israël confirme que c’est pour mieux se concentrer sur la menace iranienne.

Du côté de l’Ukraine, l’État profond fait tout ce qui est en son pouvoir pour augmenter la tension avec la Russie, malgré l’avertissement donnée par cette dernière avec le lancement de missiles balistiques supersoniques (sans charge nucléaire) sur l’Ukraine, une première dans toute l’humanité.

« Pour la 1ère fois de l’histoire, la Russie tire un missile nucléaire ICBM sur l’Ukraine sans charge ! ». (insolentiae.com)

« Guerre. Point de situation. A 2 doigts de la catastrophe majeure ! ». (insolentiae.com)

Face à cette escalade, au lieu de prendre la voie diplomatique, la France décide d’envoyer des missiles SCALP à « longue portée » à l’Ukraine tout en précisant que l’envoi de troupes au sol n’est pas exclu.

« L'Europe a soif, elle aura du sang dans les rues .» (prophétie politique #22 « Grand Éclair à l’Orient »).

« Selon le  New York Times , les responsables américains et européens ont  discuté  d'une série d'options qui, selon eux, dissuaderaient la Russie de s'emparer davantage de territoire ukrainien, notamment en dotant Kiev d'armes nucléaires. »  (zerohedge.com)

Signes qu’on prépare le pire de la guerre, la Suède, la Finlande, et la Norvège ont envoyé un livret à leurs populations concernant la manière de survivre à la guerre.

L’Allemagne recense ses bunkers et demande à la population de préparer leurs propres abris à la maison.

« L’Allemagne recense ses bunkers… j’espère que vous avez une bonne cave ! » (insolentiae.com)

« Finlande et Suède encouragent la population à se préparer à la guerre !  » (insolentiae.com)

« L'OTAN relance les discussions sur l'envoi de troupes européennes en Ukraine et avertit les dirigeants du monde des affaires de se préparer à un « scénario de guerre » »
(zerohedge.com)

Et on avertit les entreprises européennes d’être prêtes à entrer dans une économie de guerre.

C’est le cas des gouvernements allemands et néerlandais.

«Chef de l’Otan ” les entreprises doivent être prêtes à la guerre”  » (insolentiae.com)

« L’armée allemande prépare les entreprises à la guerre ! » (insolentiae.com)

L’élite judéo-maçonnique veut son messie.

Avant l’entrée en scène de Trump.

«... si contre toute attente Trump est élu, la situation sera insupportable pour le comité des 300, tous leurs projets annoncés tombant à l’eau, donc ils sont capables de tout envoyer en l’air » (Louis D’Alencourt – grandreveilwordpress.com – projet 47)

C’est la raison de tous ces avertissements de la dernière semaine.

Tout s’accélère.

Même avec Bergoglio, qui veut le chaos le plus rapidement possible.

Les deux Babylone agissent bien de pair, comme dans les prophéties de Jean XXIII.

« ( LifeSiteNews ) – Le pape François souhaite que le document final du Synode soit accepté comme faisant partie du Magistère de l'Église.

Ce matin, le pape François a publié une « note » officielle pour accompagner son « Document final de la 16e Assemblée générale ordinaire du Synode des évêques », c'est-à-dire le document final du Synode sur la synodalité, qui comprenait un nombre important de non-évêques.

Dans sa « Note », le Pape a demandé que le contenu de ce « Document final » soit accepté comme faisant partie de son Magistère, c'est-à-dire de son enseignement faisant autorité en tant que Successeur de Pierre, chef terrestre de l'Église chrétienne – ou, en tant que pape François s'est décrit comme « l'évêque de Rome ».

Dans l' original italien , le pape François a salué les années de rencontres qui ont eu lieu avant le Synode, affirmant qu'elles comprenaient « l'écoute du peuple de Dieu et le discernement des pasteurs ». Il a aussi dit que l'Église a été « éclairée par le Saint-Esprit » pendant le processus.

Reconnaissant la valeur du chemin synodal accompli, je remets maintenant à toute l'Église les orientations contenues dans le  Document final , comme retour de ce qui a mûri au cours de ces années, à travers l'écoute et le discernement, et comme orientation faisant autorité pour sa vie et sa mission », a-t-il ajouté.

« Le  Document final  participe au Magistère ordinaire du Successeur de Pierre (cf. CE 18 § 1 ; CCC 892) et à ce titre je demande qu'il soit accepté. Il s'agit d'une forme d'exercice de l'enseignement authentique de l'évêque de Rome qui présente des caractéristiques nouvelles, mais qui correspond en fait à ce que j'ai eu l'occasion de souligner le 17 octobre 2015, lorsque j'affirmais que la synodalité est le cadre interprétatif approprié pour comprendre le ministère hiérarchique .»

Tout en affirmant que le document nécessiterait « plusieurs médiations », François a précisé que « [l]es Églises locales et les groupements d'Églises sont désormais appelés à mettre en œuvre, dans leurs différents contextes, les instructions faisant autorité contenues dans le  Document , à travers les processus de discernement et la prise de décision prévues par la loi et par le  document  lui-même.

Cette histoire se développe…. »

20 novembre

L’ANGE EXTERMINATEUR

« Il y en aura beaucoup qui seront purifiés, blanchis et éprouvés ; et les méchants feront le mal, et aucun méchant ne comprendra ; mais les intelligents comprendront. » (Daniel, 12,10)

La lettre de mgr Strickland dans la dernière analyse confirme que nous arrivons à la fin de la sixième période de l’Apocalypse.

« Vous êtes réunis ici aujourd'hui, apôtres d'aujourd'hui, alors que l'Église et, par conséquent, le monde sont perchés au bord d'une falaise. » (Mgr Strickland)

Rappelons à ce stade le calendrier de la fin des temps dans l’ordre chronologique dans l’Apocalypse:

1) Mort des témoins (3,5 jours)
2) Résurrection des témoins

Fin de la sixième période.

Entrée dans la 7ème période :

« Et quand l'Agneau eut ouvert le septième sceau, il se fit dans le ciel un silence d'environ une demi-heure. » (Apocalypse, 8-1)

3) Mort de l’Antéchrist
4) Chute de Babylone (3ème malheur, Ap. 11, 14)
5) Retour du Christ
6) Jugement dernier

La sixième période de l’Apocalypse, celle de l’Antéchrist, se termine donc par une résurrection, celle des témoins, avant l’enclenchement du 777 (7ème sceau, trompette et coupe) où le mystère divin s’accomplit : mort des bêtes et du dragon, chute de Babylone et Jugement dernier.

La fin de sixième période est caractérisée par la sixième trompette, qui à l’évidence, est la grande guerre au Moyen-Orient.

La confirmation de la mort de l’Église/deux témoins est donc imminente.

Les conséquences du synode amazonien permettant n’importe quoi à la messe est en marche en Amérique du Sud, et au Mexique.

« Le Vatican approuve le rite maya avec danse rituelle, encenseurs féminins et direction laïque des parties de messe. » (lifesitenews.com)

Et les États-Unis autorisent l’utilisation des missiles longues portées en Ukraine.

Poutine a toujours affirmé que cette autorisation constitue un acte de guerre directe de l’OTAN, puisque ces armes sophistiquées ne peuvent être manipulées que par les pays les fournissant.

L’Ukraine a utilisé ces armes pour la première fois hier, et Poutine a signé un décret qui modifie la doctrine militaire nucléaire, même si la Russie n’est pas attaqué par de telles armes.

Stratégiquement, drainer les ressources russes, et maintenant, nord coréennes en Ukraine, diminue la capacité d’une intervention russe autour d’Israël.

On se rapproche de la « terre frisera le massacre » de Jean XXIII, forçant la guerre de la nature par le Père.

On ne connaît ni le jour ni l’heure, mais on peut affirmer que plus nous avançons dans le calendrier de la fin des temps, plus les signes du figuier donné par NSJC sont évidents, rapprochant ainsi de plus en plus l’ouverture du 7ème sceau.

Ce n’est plus une question d’années, mais de mois (peut-être de jours puisque l’élite judéo-maçonnique veut en finir avant l’arrivée de Trump au pouvoir; c’est un sacrifice de masse), au plus, 15 mois avant le mois de mai des deux lunes de 2026 prophétisé par Don Bosco pour le retour du Lys de Paix (voir analyses précédentes).

La septième trompette, c’est la moisson finale, le châtiment et les trois jours de noirceur prophétisés.

De la mort et de la résurrection des deux témoins, passant par la chute de Babylone et la mort de l’Antéchrist, menant au Jugement suite au 7ème sceau, ce sera très court.

N’oublions pas que NSJC nous a spécifié que nous n’aurons comme signe que le signe de Jonas (voir analyses précédentes), c’est à dire trois jours dans le ventre du poisson (ou au tombeau concernant la Passion de l’Église à l’image de la Passion du Christ).

Pourquoi?

Parce que nous revivons l’époque moderne des pharisiens qui ne voulaient par accepter Jésus le Messie.

Nous ne le méritons pas.

Même le Vatican n’est même pas capable de reconnaître les signes des temps et guider efficacement les brebis.

Seuls quelques « deux témoins » du clergé traditionnel avertissent que c’est la fin des temps.

C’est la Pâque de l’humanité à l’image de la Pâques du Christ et du peuple hébreu en Égypte.

Louis D’Alencourt (grandreveil.wordpress.com) :

« Le Seigneur Dieu choisit de mourir au moment de la Pâque juive, très exactement la veille de la Pâque, c’est dans tous les évangiles. La date de la Rédemption du monde, par cette mort sur la croix aussi providentielle que mystérieuse, se situe au 14 Nizan. C’est un fait indéniable que personne ne nie ou remet en cause.

Rappelons que la Pâque juive est la commémoration de la sortie d’Égypte sous la direction de Moïse. Dans la nuit du 14 au 15 Nizan, la dixième plaie s’abat sur l’Égypte : le passage de l’ange exterminateur qui met à mort tous les premiers nés d’Égypte, des hommes au bétail. Ce sera la dernière plaie, qui décide le Pharaon à laisser partir les Hébreux la nuit même.

Voilà donc le secret de la Semaine Sainte, et dont nous devons tenir compte si nous effectuons un parallèle avec notre temps : entre la mort du Christ et sa Résurrection, il y a le passage de l’ange exterminateur, la dixième plaie d’Egypte – et c’est cet événement qui va provoquer la libération du peuple de Dieu.

Or, les théologiens nous expliquent que le jour de la Présentation au Temple..., « Siméon prophétise que le Seigneur sera, comme l’ange exterminateur, un signe de contradiction : délivrance pour ceux qui l’accueillent, châtiment pour les autres. »

Il se trouve que c’est exactement ce que nous dit aussi l’Apocalypse car en réalité, sortir de Babylone, cri de l’ange avant la chute de la ville, équivaut à sortir d’Égypte. C’est la même signification.

C’est à dire que les enfants de Dieu, après la mort de l’Église mais avant sa Résurrection, qui correspond en réalité à la Résurrection des témoins, seront invités à sortir de Babylone -appelée d’ailleurs Égypte et Sodome au chapitre 11- au moment du passage de l’ange exterminateur. »

Les trois jours de ténèbres sont à l’image de la 9ème plaie d’Égypte avant le passage de l’ange exterminateur.

L’ange exterminateur interviendra à l’ouverture du 7ème sceau, pour purifier la terre.

La rapidité des derniers événements du calendrier de la fin des temps est « le temps d’un éclair » : « Car, comme l'éclair part de l'orient et brille jusqu'à l'occident, ainsi en sera-t-il de l'avènement du Fils de l'homme. » (Matthieu 24, 27)

Parce que sinon les élus ne survivraient pas à la mort de l’âme (les morts envierons les vivants nous affirme-t-on).

Pour identifier le signe de Jonas à venir, selon NSJC, nous n’avons que le signe du figuier : l’abomination de la désolation sur le trône (c’est accompli), la guerre finale (elle est entamée), et la prêche des deux témoins au même titre que la durée de la bête : 42 mois (1260 jours).

Pouvons-nous relier la prêche et la mort des deux témoins à un événement récent?

Effectivement.

Traditionis Custodes (publié le 16 juillet 2021 en la fête de ND du Carmel, figure de la dernière apparition de Fatima) interdisant la messe tridentine.

C’est bien à ce moment précis que plusieurs (même s’ils sont peu nombreux) se sont élevés pour défendre la Tradition (dont Mgr Strickland qui a perdu la charge de son diocèse parce qu’il célébrait la messe traditionnelle).

Or, si on y ajoute 42 mois nous nous retrouvons au 16 janvier 2025 selon l’échéancier de l’Apocalypse.

Et, 4 jours plus tard, aura lieu l’assermentation du président américain.

Nous l’avons vu dans l’analyse «Projet 47 », le 20 janvier 2025, c’est l’échéance du plan judéo-maçonnique : la venue du messie juif.

« Parce que les élites juives, civiles et rabbiniques, ont demandé à l’ensemble des juifs du monde de réciter une prière mondiale pour demander le Messie le 21 février 2021 : ce jour-là, tous les juifs du monde devaient réciter la même prière à la même heure, 18h heure de Jérusalem.

Or le 21 février 2021 est distant de 47 mois, au jour près, du 20 janvier 2025. » (Louis D’Alencourt – Grand Réveil)

Le 47 est le chiffre du Saint Nom de Jésus.

Les deux témoins ont eu la chance de défendre la messe tridentine et l’Église catholique durant ces 42 mois.

Quels sont les quelques autres événements en 2021 pour démontrer que la bête est « sortie des eaux (Apocalypse) » et qu’elle règne à la vue de tous?

-Le drame du 6 janvier 2021 au Capitole.

-Le cardinal Sarah qui a été écarté comme préfet de la Congrégation pour le culte divin et la discipline des sacrements en 2021.

Il était probablement un obstacle à la nouvelle messe en préparation.

Il fut punit pour la sortie de son livre dont la préface avait été signée par Benoît XVI tout juste avant le rapport amazonien qui voulait redéfinir le sacerdoce.

-Le signe visible de « La bête » est le « Gardien de la paix aux Nations-Unies » le 9 novembre 2021.

-Interdiction de la messe en latin dans la basilique Saint-Pierre :

« CITÉ DU VATICAN, 30 juin 2021 ( LifeSiteNews ) — Le Vatican a décidé d’interdire le latin, la langue traditionnelle de l’Église catholique, de la célébration de la plupart des messes dans la basilique Saint-Pierre. »

-L’ouverture du synode des synodes :

« Chers frères et sœurs, que ce Synode soit un véritable temps de l'Esprit ! . . . Le Père Congar, de mémoire bénie, a dit un jour : « Il n'est pas nécessaire de créer une autre Église, mais de créer une Église différente » ( Vraie et fausse réforme dans l'Église ). C'est le défi. » (François, 9 octobre 2021, Discours d'ouverture du Synode)

LES TROIS JOURS DE NOIRCEUR

Où trouve-t-on les signes de la chute de Babylone/ les trois jours de noirceur?

-Jean XXIII : « bats le rappel de tes fils dans les campagnes, pour qu'ils abattent les deux Babylone. Et que la Mère soit Une, comme toi tu es unique. La terre détruira le ciment et de terre sera, Reine, ta nouvelle Église. »

- La Salette : « Voici la bête avec ses sujets se disant le sauveur du monde. Il s’élèvera avec orgueil dans les airs pour aller jusqu’au Ciel ; il sera étouffé par le souffle de saint Michel archange. Il tombera, et la terre qui, depuis trois jours sera en de continuelles évolutions, ouvrira son sein plein de feu ; il sera plongé pour jamais avec tous les siens dans les gouffres éternels de l’enfer. »

- Jean-Paul II (AVANT la publication du faux troisième secret de Fatima en 2000) : Une interview de Jean-Paul II donnée en Allemagne en
novembre 1980, publiée dans la revue Stimme des Glaubins, dans laquelle on va retrouver des détails précis du texte de sœur Lucie :

Question : Et le troisième secret de Fatima, il aurait dû être révélé en 1960 ?

Jean-Paul II : Vu le sérieux de son contenu, mes prédécesseurs ont diplomatiquement choisi de reporter sa publication pour ne pas encourager les puissances communistes à faire certains mouvements. D'un autre côté, la suite devrait suffire à tous les chrétiens : s'il y a un message dans lequel il est écrit que les océans inonderont des zones entières de la terre, et qu'à un moment des millions de gens mourront, il va de soi que publier un tel texte n'est pas souhaitable.

- Padre Pio et tous les prophètes sur les trois jours de noirceur (voir le lien dans l’analyse du 14 novembre 2024)

- Notre Seigneur Jésus à Lucie (1917) (Du livret « Abba, Père » : extrait du message page 31) :

« Voici l’heure de l’agonie. Voici l’heure de l’abandon, du reniement…Voici l’heure des trois jours de ténèbres, des trois jours de la mise au tombeau. Vis ce temps de détresse dans l’attente de la résurrection ».

La Terre entrera en convulsions.

Le phénomène des trois jours de ténèbres est un renouveau terrestre pour la naissance de la Jérusalem Céleste, pour les âmes pures qui resteront.

Très rapide.

On l’a vu ci-haut.

L’ange exterminateur passe avant la résurrection, avant la fin des trois jours de noirceur, et le pharaon a libéré le peuple hébreu la nuit même du passage de l’ange exterminateur.

C’est donc dire qu’il y aurait juste AVANT la résurrection des deux témoins (qui confirme la fin de la sixième période du calendrier de la fin des temps) : l’entrée dans la 7ème période, la mort de l’Antéchrist et la chute de Babylone.

Tout cela en TROIS JOURS!

Nous avons eu comme avertissements des aurores boréales intenses le 13 mai et le 13 octobre 2024 reliées aux dates de début et fin des apparitions de la Vierge Marie à Fatima.

Réitérons qu’en 1917 où tous voyaient le miracle du soleil, sœur Lucie voyait la Sainte Famille et les trois figures de Marie : Notre-Dame du Rosaire qui s’éleva au firmament à côté du soleil, joints par Saint-Joseph et l’Enfant Jésus qui bénissaient le monde, puis Marie devint Notre-dame des Douleurs, joint par Jésus qui bénissait à son tour le monde, puis Marie devient Notre-Dame du Carmel.

C'est à l'image que les élus verront la délivrance dans les châtiments alors que les non croyants verront leurs fins atroces.

La dernière apparition se termine par ND du Carmel.

Or le Carmel, c’est aussi le 16 juillet 1878 pour la 18ème et dernière apparition à Lourdes.

Cela fera 147 ans en 2025.

Et 147 divisé par 3,5 donne 42 pile.

N’oublions pas que la fête du Carmel du 16 juillet est liée au prophète Élie (Élie, le précurseur, voir analyse du 8 avril 2022).

Dans le livre des rois, Élie a le pouvoir de faire pleuvoir, ou bien de retenir la pluie, tout comme les 2 témoins de l’Apocalypse, c’est à dire d’ouvrir le passage pour recevoir les grâces sanctifiantes en cette fin des temps.

Énoch et Élie représentent les deux témoins de l’Apocalypse, les deux colonnes dans le songe de Don Bosco sur la fin des temps.

Ce qui est confirmé à la Salette :

« L’Église sera éclipsée, le Monde sera dans la consternation. Mais voilà Énoch et Élie remplis de l’Esprit de Dieu ; ils prêcheront avec la force de Dieu et les hommes de bonne volonté croiront en Dieu et beaucoup d’âmes seront consolées ; ils feront de grands progrès par la vertu du Saint-Esprit et condamneront les erreurs diaboliques de l’Antéchrist. »

Le chiffre 16 est un chiffre important.

Il représente la Résurrection.

Nous avons vu ci-haut que Jésus est crucifié le jour de la préparation de la Pâque, c’est à dire, dans le calendrier mosaïque, le 14 Nizan, puisque la Pâque a lieu dans la nuit du 14 au 15 Nizan.

C’était un vendredi puisque le lendemain, jour de la Pâque, tombait cette année là sur un jour de sabbat, donc un samedi.

Nous savons, toujours par les évangiles, que Jésus meurt à la 9ème heure (15h) le 14 Nizan puis est mis au tombeau avant la nuit pour ressusciter le troisième jour, à savoir le 16 Nizan au petit matin.

La résurrection à l’aube du 16 nous donne la preuve de la divinité de NSJC.

Nous avons vu que le 16 juillet, c’est aussi la date de publication de Traditionis Custodes en 2021, tentative vaine pour essayer de faire taire ce qui reste des deux témoins.

Notre-Dame du Carmel est fêtée le 16 juillet.

Le prophète Élie est fêté le 20 juillet.

Il y a trois jours et demi entre les deux fêtes…

DEUX dates importantes donc.

Récapitulons :

Le signe du figuier en Matthieu 24 se précise.

Nous entrons dans un temps très critique.

Que nous indiquent les 16 juillet et 20 juillet 2021?

Le début possible de la prêche de 42 mois des deux témoins nous menant jusqu’à leur mort/mort de l’Église?

Ce qui serait le 16 janvier 2025.

Les deux témoins étant liés à Élie, ressusciteront-ils 3 jours après la mise au tombeau, comme le Christ?

Le 20 janvier 2025… ou juste avant la venue du messie judéo-maçonnique?

Nul ne le sait.

Mais…

« Par une froide nuit d’hiver » (Padre Pio, le début des trois jours de noirceur).

16 novembre

Lettre de Mgr Strickland aux évêques réunis à Baltimore dernièrement, confirmant les propos des dernières analyses et l’urgence de la situation :
La mort de l’Église à venir.

LifeSiteNews ) — Chers évêques,

Vous êtes réunis ici aujourd'hui, apôtres d'aujourd'hui, alors que l'Église et, par conséquent, le monde sont perchés au bord d'une falaise.

Et pourtant, vous qui êtes chargés de la garde des âmes, choisissez de ne pas dire un mot du danger spirituel qui abonde. Aujourd'hui, nous sommes à l'aube de tout ce qui a été prophétisé sur l'Église et les abominations qui surgiraient en ces temps, une époque où tout l'enfer attaquerait l'Église de Jésus-Christ, et une époque où les anges déchus de l'enfer ne cherchent pas à entrer dans ses salles sacrées, mais restez à l'intérieur, regardant par les fenêtres et déverrouillant les portes pour accueillir une destruction plus diabolique.

Je pense que saint Jude pensait à des hommes comme beaucoup d'entre vous lorsqu'il décrivait des hommes qui se régalaient « ensemble sans crainte, se nourrissant eux-mêmes, nuages ​​​​​​​sans eau, emportés par les vents, arbres d 'automne infructueux, deux fois morts, arrachés par les racines, vagues déchaînées de la mer, écumant leur propre confusion ; étoiles errantes… » (Jude 1 : 12-13).

Beaucoup de gens se demandent ce qu’il faudra pour que plusieurs évêques s’élèvent enfin contre les faux messages qui circulent constamment du Vatican sous la direction du pape François, et je me pose sans cesse la même question :

QU'EST-CE QU'IL FAUT FAIRE ?

Ne savez-vous pas que Notre-Seigneur enverra ses anges vengeurs pour accumuler des charbons ardents sur la tête de ceux qui ont été appelés à être ses apôtres et qui n'ont pas gardé ce qu'il leur a donné ?

Et pourtant, presque tous, mes frères, avez assisté silencieusement au déroulement du Synode sur la Synodalité, une abomination construite non pas pour garder le dépôt de la foi mais pour le démanteler, et pourtant peu de cris ont été entendus de votre part , hommes qui devraient être prêts à mourir pour le Christ et son Église.

Le document final du Synode a été publié, mais avec le tour de passe-passe si caractéristique du Vatican contrôlé par François. En attirant l'attention sur des questions qui préoccupaient beaucoup, ils ont glissé dans ce qui a toujours été leur véritable objectif, sans que personne ne s'en aperçoive. Ce qu'ils recherchaient en premier lieu, c'était le démantèlement de l'Église du Christ en remplaçant la structure de l'Église telle que Notre Seigneur l'a instituée par une nouvelle structure de « synodalité » d'inspiration diabolique qui est en réalité une nouvelle église qui n'est en aucun cas catholique.

Nous voyons maintenant se dérouler sous nos yeux les paroles prophétiques du vénérable archevêque Fulton Sheen : « Parce que sa religion sera la fraternité des hommes sans la paternité de Dieu, il établira une contre-Église qui sera le singe de l'Église, parce que lui, le Diable, est le singe de Dieu. Elle aura toutes les notes et caractéristiques de l’Église, mais à l’envers et vidée de son contenu divin, elle sera un corps mystique de l’Antéchrist qui ressemblera en tous points au corps mystique du Christ… » (Radiodiffusion ; 26 janvier , 1947).
Avec la pression en faveur de la « synodalité », nous voyons que les ennemis du Christ nous proposent, comme le dit l'archevêque Sheen : « une nouvelle religion sans croix, une liturgie sans monde à venir, une religion pour détruire une religion, ou une la politique qui est une religion – une religion qui rend à César même les choses qui appartiennent à Dieu.

QU'EST-CE QU'IL FAUT FAIRE ?

Une compréhension rudimentaire de la papauté nous laisse avec la réalité que le pape François a abdiqué sa responsabilité de servir de gardien principal du dépôt de la foi. Chaque évêque fait cette promesse solennelle de garder le dépôt de la foi, mais l'office pétrinien existe avant tout pour être le gardien des gardiens et le serviteur des serviteurs. Saint Pierre a reçu la charge qui porte son nom lorsque, après la Résurrection, le Christ lui a demandé trois fois : « M'aimes-tu ? et saint Pierre répondit : « Tu sais que je t'aime », guérissant ainsi sa trahison alors que le Christ endurait sa Passion. Et qui est ce Jésus que Pierre prétend aimer ? Il est bien sûr la Vérité Incarnée ; ainsi saint Pierre déclare qu'il aime la Vérité. Cela nous laisse avec cette question : « Le pape François aime-t-il la Vérité incarnée par Jésus-Christ ? Malheureusement, ses actions et sa politique qui promeuvent une version relativisée de la vérité qui n'est pas du tout la vérité nous amènent à une conclusion dévastatrice : l'homme qui occupe la Chaire de Saint-Pierre n'aime pas la vérité et cherche à la remodeler à l'image de la vérité.

Il ne peut y avoir aucun évêque qui ignore les déclarations du pape François qui constituent des dénégations sans ambiguïté de la foi catholique. Par exemple, François a déclaré publiquement que Dieu veut l'existence de toutes les religions et que toutes les religions sont un chemin vers Dieu. Dans cette déclaration, le pape François a nié faire partie intégrante de la foi catholique. Combien d'âmes seront perdues si elles acceptent sa déclaration erronée selon laquelle toutes les religions mèneront au salut ? Ce que je trouve si difficile à comprendre, c'est que les apôtres des temps modernes, des hommes ordonnés pour être les gardiens de la foi, refusent de reconnaître cela et ignorent ou même promeuvent ce mensonge mortel. Chaque évêque et cardinal devrait déclarer publiquement et sans équivoque que François n'enseigne plus la foi catholique. Des âmes sont en jeu !

Par conséquent, je demande encore :

QU'EST-CE QU'IL FAUT FAIRE ?

En tant que successeurs des Apôtres, cette situation doit obliger les évêques de l’Église du Christ à répondre nous-mêmes à la question centrale : « Aimons-nous vraiment Jésus-Christ, la Vérité incarnée ? Avec un pape qui s'oppose activement aux vérités divines de notre foi catholique, la responsabilité incombe aux évêques du monde de professer leur propre amour pour Notre Seigneur, de garder le dépôt sacré de la foi et de s'opposer à toute tentative de démanteler la Vérité.

Revenons à la conversation fatidique entre notre Seigneur ressuscité et saint Pierre. Lorsque Pierre répond : « Seigneur, tu sais que je t’aime », Jésus répond : « Pais mes agneaux » et encore « Pais mes brebis ». Comment Pierre doit-il nourrir les agneaux du Christ ? Avec la Vérité bien sûr – avec Jésus-Christ Lui-même qui EST la Vérité.

Et pourtant, où sont ces hommes que le Seigneur a appelés pour faire paître ses brebis ? Où sont les successeurs des Apôtres qui ont promis de défendre les brebis au prix de leur vie ? Ils sont assis à quelques mètres de là, se tapotant le dos, écoutant des paroles dont ils savent sans aucun doute qu'ils ne sont pas la Vérité, gambadant dans les ténèbres et blasphémant la Vérité même pour laquelle les premiers apôtres sont morts.

QU'EST-CE QU'IL FAUT FAIRE ?

Vous avez des paroles de ceux qui ont parlé dans la Sainte Écriture, de la sagesse de la Sainte Tradition de l'Église et des conseils d'anciens papes et d'une grande multitude de saints selon lesquels de faux enseignants viendraient et que la sainte la foi serait attaquée, et pourtant la plupart d'entre vous sont partis au combat sans armure, et ont ensuite réagi comme quelqu'un de perplexe que sa peau ait été transpercée par des flèches empoisonnées. Vous avez reçu tout ce qui était nécessaire pour vous assurer que vos têtes ne soient pas tournées par les mensonges de Satan. Pourquoi donc êtes-vous sortis sans l'armure de Dieu ? Il est de VOTRE responsabilité, lorsque vous voyez des flèches empoisonnées du mensonge tomber sur les hommes, de les appeler et de leur dire : « Revêtez l'armure de Notre Seigneur qui est la Vérité, et vous ne serez pas blessé. »

Et aux fidèles, je pose la même question :

QU'EST-CE QU'IL FAUT FAIRE ?

Et si vos bergers ne se mobilisent pas ? Et s'ils avaient tous accepté trente pièces d'argent, et qu'ils restaient silencieux face au mensonge qui transperce encore davantage les mains et les pieds de Notre-Seigneur ? Alors, qu'est-ce qu'il faudra pour que vous parliez ?
Beaucoup pourraient dire que ce n’est pas votre responsabilité ; vous pouvez vivre la Vérité tranquillement dans votre cœur. Cependant, dire la Vérité ne peut jamais relever simplement de la responsabilité de quelqu'un d'autre, car Dieu a gravé la Vérité dans le cœur de chaque personne. La Vérité est donc la propriété de chacun en tant que don sacré de Dieu. Et personne ne pourra jamais dire qu'il n'y a pas de Vérité en eux – et jamais un homme ne pourra prétendre à juste titre que pour trouver la Vérité, il a dû la recueillir du vent, ou qu'il ne pouvait la recueillir que des paroles d'un autre. L'âme reconnaît la Vérité et s'en nourrit, et ceux qui dépérissent par manque de Vérité ne dépérissent pas parce qu'aucune part de Vérité ne leur a été donnée dans leur propre âme.

En fait, la Vérité a été réprimée encore et encore par une telle personne – et on lui a si souvent dit de « se retirer » – jusqu’à ce qu’elle n’ose plus relever la tête. Et c'est pourquoi un homme se trouve dans un état si triste et pourquoi lorsqu'il s'écrie : « Ce n'est pas ma faute si je n'avais pas de Vérité ou si je ne la connaissais pas quand je l' j'ai rencontré », il parle dans l'erreur.

Notre Seigneur Jésus-Christ, accordant le libre arbitre à ceux qu'il aime, c'est-à-dire à chaque personne sans exception, a donné le don de la Vérité à chacun d'entre nous, de sorte que s'il il y a une prédisposition dans le cœur d'un homme, alors il est la propension de l'âme à vibrer vers Sa Vérité. Par conséquent, l'âme, lorsqu'elle est privée de la Vérité, reste en sommeil jusqu'à ce qu'elle se transforme en quelque chose de froid et de dur. N'avez-vous pas vu comment même les anges des ténèbres reconnaissent la Vérité et ne peuvent faire autre chose que ce que Notre Seigneur leur commande – et pourtant ils s'efforcent de cacher la Vérité à chaque homme, jusqu'à la damnation éternelle de chacun ?

Alors je demande encore : QU'EST-CE QU'IL FAUT FAIRE ? VOULEZ-VOUS MOURIR POUR LUI ?

Mgr Joseph E. Strickland

Évêque émérite
»

Le cardinal Zen confirme que la mascarade du synode n'avait comme but de détruire l'Église et que cette dernière est maintenant « synodale »:

« I. Le Synode qui vient de s’achever ne peut être appelé « Synode des évêques ».

Sous le nom de Synode des évêques, le pape François a institué une nouvelle assemblée hybride….

Si tous les problèmes particuliers ont été écartés de la discussion et ne sont pas résolus par le Synode, à quoi aboutira le Synode de 2024 ? La victoire de la synodalité ! L’Église synodale ! Une Église inconditionnellement inclusive ! C’est-à-dire une communauté démocratique de baptisés marchant ensemble….

L’Instrumentum Laboris de la session synodale de 2024 contient la proposition de codifier l’autonomie des conférences épiscopales nationales en matière de doctrine.( !)

Allons-nous devenir comme l’Église anglicane ? Nous ne serons plus l’Église « une, catholique et apostolique » ! Nous ne serons plus l’Église ‘sainte’, parce que sans principes moraux fiables pour discerner entre la sainteté et le péché. Si cette autonomie avait été approuvée, notre Église se serait effondrée. Le Seigneur ne l’a pas permis. De nombreux fidèles, avertis du danger, ont prié. Et ils ont été exaucés. Deo gratias.

... le Pape a déclaré qu’il reconnaissait en bloc le document de conclusion du Synode et qu’il n’écrirait pas d’exhortation post-synodale.

Non. Le Saint-Père croit aux « processus » (le temps est plus important que l’espace). Commencer un processus plutôt que d’obtenir immédiatement certains résultats.

Le Synode est terminé, mais le processus a commencé ! Avec ce document final, l’Église synodale commence ; en elle, nous devons vivre !
Prions l’Esprit Saint et confions-nous à la Sainte Vierge. » (benoit-et-moi.fr) »

Mgr Vigano sur l'attitude de Bergoglio:

« ( LifeSiteNews ) — Notre Seigneur s'est associé aux pécheurs pour les convertir : pensez à Madeleine, qui était adultère, ou à Zachée, qui était percepteur d'impôts pour le compte de l'Empire romain. L'effet seul de la présence du Seigneur convertit ces âmes, qui abandonnent le chemin du péché et se convertissent à Lui. « Va et ne pèche plus. »

Le Sauveur ne cache pas la culpabilité, mais au contraire la signale comme un obstacle au salut et à la sainteté et offre sa grâce pour changer sa vie et le suivre. Parce que c'est le salut de l'âme que veut le Seigneur, et non la normalisation du péché. La bataille contre le monde, la chair et le diable se mène et se gagne d'abord en reconnaissant l'ennemi et en s'armant pour pouvoir le renverser.

Les connaissances de Bergoglio sont tout le contraire. Il ne s'intéresse pas au salut des âmes, qu'il encourage en réalité au péché et au scandale public. Sa « sympathie » pour les ouvriers d’iniquité est affichée, tout comme son aversion pour ceux qui servent fidèlement Notre Seigneur.

Bergoglio s'approprie l'enseignement et l'exemple de Notre-Seigneur, s'attribuant l'autorité de déclarer ce qui est bien et ce qui est mal – prérogative exclusive de Dieu.

Il ne dit pas « Va et ne pèche plus », mais « Dieu t'aime tel que tu es ». Mais il ne dit pas ça à tout l'monde ! Il existe des catégories de « pécheurs » qui doivent changer : les rigides, les arriérés, les catholiques qui s’opposent à l’apostasie.

Pour Bergoglio, le péché n'est pas contre Dieu, mais contre l'anti-décalogue de « l'Église conciliaire et synodale » et contre l'agenda mondialiste. C'est donc impardonnable. Dieu peut être nié, offensé, blasphémé et contredit, mais pas Bergoglio. Ce mensonge, raconté par celui qui prétend être le Pape, trahit le mandat du Christ et la confiance des fidèles, montrant cet usurpateur tel qu'il est réellement.

C'est ce qui rend l'action de Bergoglio non seulement frauduleuse, mais fondamentalement « antichristique ». »

On ne peut nier à la lecture de ces derniers articles que le temps presse et qu'il y a un décompte sur le court terme pour l'ultime période de conversion.

La mort de l'Église nous sera donc confirmée très bientôt avec les décrets de Bergoglio liés à la synodalité installée et, on le répète, à «  la constitution apostolique Episcopalis communio du 18 septembre 2018, François a introduit la possibilité d’attribuer un caractère magistériel aux documents finaux du synode. (voir analyse du 31 octobre) ».

Quand on gouverne par décrets, c'est signe qu'on est dans une dictature.

14 novembre

LA FIN DE LA PAPAUTÉ

Le rapport final du synode des synodes ne peut être compris qu’en le comparant au plan judéo-maçonnique, puisque Bergoglio n’est qu’un valet mis en place pour le dernier acte, le quatrième coup de canon de Pike.

Le rapport confirme la fin de l’autorité de la papauté par le simple évêque de Rome, et l’annonce de la mort de l’église.

C’est le calendrier de l’ennemi qui dicte la fin des temps.

C’est de l’intérieur, par l’orgueil, l’égoïsme, et la haine que chutera Babylone.

NSJC attends le moment opportun afin de sauver le plus d’âmes possibles.

« P. Joachim Heimerl von Heimthal

Vous avez peut-être aussi été surpris lorsque le pape François a déclaré pour la première fois que la « synodalité » faisait partie de la nature de l’Église. Après tout, à ce jour, personne ne sait ce qu’il associe à ce terme, et il n’apparaît nulle part dans l’histoire de l’Église.

Lorsque François a ensuite convoqué le « Synode biennal sur la synodalité », vous avez été peut-être encore plus surpris, et probablement aussi par ses résultats, qui sont maintenant disponibles dans le document final.

Mais qu'est-ce qui se cache derrière tout ça ou qu'est-ce qui, selon Goethe, est « le nœud du problème » ?

En termes simples, ce que François appelle « synodalité » n'est qu'un système complexe de mensonges, et le « synode sur la synodalité » était lui-même un mensonge : ce n'était pas un « synode des évêques » car un le quart des participants n'étaient pas des évêques, mais des laïcs.

D'ailleurs, aucun « synode des évêques » n'a d'autorité, qu'on veuille l'attribuer au « Saint-Esprit » ou au « sens de la foi des fidèles ». C'est d'autant moins vrai que François a occupé stratégiquement le synode ; les résultats étaient clairs dès le départ.

Un tel « synode » n'est qu'une chose : c'est une étiquette frauduleuse de la part du pape, et il montre de manière choquante à quel point François utilise naturellement le mensonge.

En fin de compte, ce « synode des évêques » était en quelque sorte un super mensonge, c'est pourquoi, dans notre contexte, on l'appelle « mensonge papal numéro 1 ».

Le « mensonge papal numéro 2 », par contre, était que François avait toujours souligné que la « synodalité » n’était pas un processus politique mais véritablement « spirituel ».

Qu'un pape puisse prescrire des « épreuves spirituelles » est évidemment douteux, car même un concile ne se considérerait pas comme une « épreuve spirituelle ».

Cependant, son document final démontre que le « Synode mondial » n’est pas un processus « spirituel », mais purement politique : les résultats des votes individuels sont énumérés point par point et les décisions sont prises à la majorité.

Il va sans dire qu'il s'agit d'une méthode purement politique et non spirituelle, et cela s'applique également au fait qu'on ne peut pas voter sur l'Église et sur la foi. Ce n'est certainement pas le cas si l'on considère que dans l'histoire de l'Église, il n'était pas rare que des minorités s'accrochent à la foi révélée, par exemple à l'époque de l'arianisme .

Le « mensonge papal numéro 3 » est cependant plus difficile à comprendre car il concerne ce que François appelle habituellement le « discernement ».

Selon lui, cette « distinction » est constitutive des processus « synodaux ». Ce que le Pape entend par « distinction » n’est pas, comme toujours, clair. Ce qui est clair, cependant, c'est qu'à la fin du « Synode », il a lui-même renoncé à toute forme compréhensible de distinction et, en bref, a déclaré que les résultats majoritaires du Synode faisaient partie du magistère pontifical.

Mais ce faisant, il a donné au « Synode » une autorité qu’il n’a pas et qu’aucun pape ne pourra jamais lui attribuer. Car même s'il s'agissait d'un véritable « synode des évêques », il aurait eu au mieux un caractère consultatif (!), et même le pape lui-même n'aurait pas pu y changer. Il ne peut pas céder ou simplement partager avec des tiers l'autorité qu'il a reçue du Christ.

En d'autres mots : François a remplacé le magistère papal par un nouveau magistère qui n'existe pas vraiment et qui se reflète dans les résultats des votes d'un pseudo-synode des évêques. À cet égard, la conclusion du « Synode » a été une étape historique, et le « mensonge papal numéro 3 » s’est avéré être un acte d’arbitraire papal et une trahison de sa propre fonction.

Cependant, en raison du caractère systématique du mensonge, le pape s'est placé dans une situation précaire : de nombreuses déclarations contenues dans le document final du « Synode » sont incompatibles avec la foi catholique.

Ils témoignent de la rapidité avec laquelle le catholicisme s'est évaporé et du soutien que François y apporte. Pour le dire un peu plus grossièrement, on pourrait aussi parler d’un « synode » hérétique et d’un « pape hérétique », ce que font désormais ouvertement de plus en plus de catholiques.

Cette dimension hérétique devient plus claire là où le Synode parle de lui-même dans le document final et crée ainsi une compréhension de l'Église qui reste purement horizontale, intra-mondaine et communautaire.

Alors qu'en revanche, selon l'enseignement catholique, l'Église est le sacrement universel du salut, l'union « synodale » se rapproche ici du « sacramentel » et trouve un parallèle sérieux avec la « célébration de l'Eucharistie » ( voir No. .27). On avance même que l'Esprit de Dieu agit dans le « Synode » de la même manière que dans la Sainte Messe, qui, au contraire, s'adresse uniquement à une communauté protestante. Le péché et la grâce ne jouent plus aucun rôle ici, le sacrifice de la croix et la rédemption ne sont même pas évoqués.

Soyons clairs : il n'y a aucune trace de la foi catholique ici, et si la « synodalité » est quelque chose, alors c'est le triomphe ultime de Luther sur l'Église.

Seul François est responsable de tout cela en établissant un « magistère » de mensonges et d'hérésies, et ce n'est pas la première fois.

L'objectif de ce « magistère » est clair : François et ses disciples veulent fonder une nouvelle Église qui ne soit plus l'Église du Christ et qui ne soit plus dans la succession des apôtres.

Cela devient plus évident dans le problème de la soi-disant « consécration de la femme ».

Dans le document final, le « Synode » et François déclarent que l'ordination des « diacres » est une question « ouverte ».

Mais comme bien des choses, c'est aussi un mensonge, car les apôtres n'ont mis la main que sur les hommes, et l'Église s'est à juste titre vue engagée au fil des siècles dans cette tradition apostolique.

C'est pour cette raison qu'il n'y a jamais eu de « diaconesses » valablement ordonnées et il aurait été du devoir du Pape de clarifier définitivement ce point, au plus tard à la fin du synode.

Mais c'est exactement ce que François a choisi de ne pas faire et a plutôt approuvé le mensonge flagrant de son « Synode ».

La question apparemment « ouverte » devrait maintenant être clarifiée plus tard par les experts, mais cette démarche cache aussi un autre mensonge : la foi de l'Église n'est jamais ce que pensent les experts individuels, mais seulement ce que croit l'Église dans son ensemble, ce que croit l'Église dans son ensemble. Cela signifie que selon la pratique apostolique, seuls les hommes peuvent être ordonnés.

François et son « Synode » sont loin d'être des vérités de foi aussi claires. Le mensonge ne mène jamais à la vérité et jamais à Jésus-Christ, qui a dit clairement devant Pilate : « Quiconque est de la vérité entend ma voix » (Jean 18 :37). –

En revanche, on préfère ne pas écouter la voix de François et de son synode. Les mensonges synodaux nous éloignent du Christ et de son

Église. Rappelons-nous : peu avant le « Synode », François lui-même a nié le seul salut par le Christ, et avec cela TOUT a été dit sur lui et sur son « Synode ». (stilumcuriae.com)

« les résultats majoritaires du Synode faisaient partie du magistère pontifical … On avance même que l'Esprit de Dieu agit dans le « Synode » de la même manière que dans la Sainte Messe, qui, au contraire, s'adresse uniquement à une communauté protestante. Le péché et la grâce ne jouent plus aucun rôle ici, le sacrifice de la croix et la rédemption ne sont même pas évoqués.

Soyons clairs : il n'y a aucune trace de la foi catholique ici, et si la « synodalité » est quelque chose, alors c'est le triomphe ultime de Luther sur l'Église. »

Le processus synodal cache un coup d’État.

«  la constitution apostolique Episcopalis communio du 18 septembre 2018, François a introduit la possibilité d’attribuer un caractère magistériel aux documents finaux du synode. (voir analyse du 31 octobre) »

Ce n’est pas une possibilité.

Il l’a fait avec le rapport du synode des synodes.

Donc, tout confirme de plus en plus, dont le P. Joachim Heimerl von Heimthal ci-dessus, que l’église catholique en est à son dernier souffle puisque le rapport a un caractère magistériel.

Il s’applique.

Point.

Selon le regretté Louis D’Alencourt du Grand Réveil et les écrits d’Albert Pike, le grand pontife luciférien (voir l’article du Grand Réveil sur les coups de canons), « la lutte terrestre durera encore un an avant le quatrième coup de canon. »

Le quatrième coup de canon est l’abolition définitive de la papauté.

D’après le texte de Pike, le dernier pape « se convertira à la religion de Lucifer et fera cause commune avec l’Antéchrist. »

« Albert Pike et le livre Apadno nous donnent une clé :

« Jérusalem tressaillira de joie, car celui de ses fils qui pour commander aux adorateurs d’Adonaï avait fermé les yeux à la lumière, recouvrera la vue, déposera le triple diadème maudit et mettra son honneur à travailler à l’œuvre du rempart de Dieu, du Dieu le meilleur et le plus grand. »

Explication : Jérusalem, dans le langage biblique, c’est l’Église.
Adonaï c’est le nom que donnent les palladistes au Bon Dieu, et celui qu’ils appellent Dieu c’est Lucifer et la lumière c’est la sienne.

Toute la difficulté avec l’adversaire, c’est qu’il garde les mêmes termes, mais en leur donnant un sens inversé. On retrouve donc les mots de catholique, lumière, miséricorde, Dieu etc… mais ils n’ont pas le même sens dans leur bouche que dans la nôtre. C’est très subtil et très déstabilisant car ils usent des mêmes descriptions.

Diana Vaughan explique qu’il s’agit « du dernier pape des catholiques » et que « Par le rempart de Dieu, on désigne le frère [maçon] qui occupera le souverain pontificat luciférien, au temps de la mission publique de l’Antéchrist ».

Voilà.

Benoît XVI a eu à déposer la tiare de force pour faire monter le frère maçon sur le trône.

Bergoglio est le destructeur.

Plus besoin de preuves.

Il court à sa perte et décédera bientôt car nous sommes dans le temps de la moisson.

Car on sait avec les dernières analyses que, et la clique judéo-maçonnique, et les chiites provoquent la guerre pour faire venir leurs messies respectifs.

Or,  « la justice divine s’abattra sur le monde au moment où l’Antéchrist (le Messie des juifs) apparaîtra, selon la Salette :

« Voici la bête avec ses sujets se disant le sauveur du monde. Il s’élèvera avec orgueil dans les airs pour aller jusqu’au Ciel ; il sera étouffé par le souffle de saint Michel archange. Il tombera, et la terre qui, depuis trois jours sera en de continuelles évolutions, ouvrira son sein plein de feu ; il sera plongé pour jamais avec tous les siens dans les gouffres éternels de l’enfer. »

La bête qui se dit le sauveur du monde et qui s’élève avec orgueil dans le ciel : n’est-ce pas là l’exacte description de la synagogue de Satan obtenant le pouvoir spirituel des mains du pape lui-même, comme si elle accédait enfin à l’échelle de Jacob? »

Remarquez : la terre sera en de continuelles évolutions pour la purification par le feu.

Trois jours.

Comme prophétisé par le Padre Pio.

C'est donc dire que nous approchons rapidement da la mort de l'Église et des deux témoins de l'Apocalypse.

À la neuvième heure, comme le Christ au vendredi Saint, l'Église, avec toute l'humanité ira au tombeau pour trois jours.

On compte maintenant en termes de mois, semaines et puis jours.

Ce qui est confirmé dans les prophéties de Jean XXIII :

- la terre détruira le ciment (prophétie concernant Benoît XVI)
- L’Asie en flammes (prophétie La Foudre en Plein Jour)
- Dieu a déchaîné la guerre de la nature pour empêcher la guerre des hommes. (prophétie Grand Éclair à l’Orient)

Il est clair que la terre entrera en convulsions.

D’ailleurs, il y a 69 volcans actifs présentement, beaucoup plus que la moyenne de 45 des dernières années.

Louis D’Alencourt :

« Sur le calendrier de l’Antéchrist

Le livre Apadno continue :

« Mais il y aura encore des millions d’aveugles, le rameau d’olivier se changera en épée, et la lutte terrestre durera un an, jusqu’au quatrième coup de canon, qui sera tiré dans l’île de la vengeance. »

Là c’est intéressant car nous apprenons qu’il leur faudra encore un an avant de se déclarer vainqueurs.

Diana Vaughan explique :

– « Le quatrième coup de canon, c’est l’abolition définitive du pouvoir spirituel de la papauté chrétienne » ;

– « L’île de la vengeance, c’est l’île de Malte » . Pourquoi Malte ? Parce que les palladistes estiment que les chevaliers de l’ordre de Malte, rivaux des Templiers, ont obtenu après leur disgrâce la plus grande partie de leurs richesses. » (legrandreveil.com – le plan de satan)

Un an.

C’est le délai nécessaire pour faire accepter l’abolition de la papauté à la petite cuillère, sans provoquer trop de remous, par l’application des rapports des dix comités du synode à venir.

« Le rameau d’olivier se changera en épée » et il y aura lutte terrestre; pour faire adhérer les « millions d'aveugles ».

C’est bien une référence à la guerre.

Pour les prochains mois, semaines, sinon jours?

Netanyahou a avertit l’Iran qu’au prochain missile tiré vers Israël, ces derniers attaqueront les sites nucléaires et pétroliers iraniens.

Le futur président américain a donné son aval.

Les bombes nucléaires israéliennes sont dissimulées dans des sous-marins afin de les soustraire à l’intelligence militaire ennemie :

« Selon des sources étrangères, Israël possède entre 80 et 200 armes nucléaires, y compris la capacité de tirer depuis des sous-marins, ce qui rend presque impossible la destruction de toutes les armes nucléaires signalées par Israël lors d'une première frappe sur son territoire . (jesuralempost.com)

Quels sont les liens avec les prophéties de Jean XXIII?

Plusieurs.

N’oublions pas que les prophéties « Grand Éclair à l’Orient », « Le Temps est Proche « et la « Foudre en plein jour » sont toutes reliées à un éclair, de la foudre.

La foudre en plein jour, de l’Orient, lorsque l’Islam sera divisé, avec le premier jour de malheur d’Europe, lorsque l’ennemi partira de la « petite île de la Méditerranée ».

Le grand éclair à l’Orient où la terre frisera le massacre, où les véritables assassins sont en Europe et veulent la Méditerranée.

Le temps est proche ou la chute de Babylone où « Dieu a déchaîné la guerre de la nature pour empêcher la guerre des hommes.»

Les prophéties de l’Église :

Concernant François où « Le grand frère d'Orient fera trembler le monde par la croix renversée sans les lis. »,  donc la guerre et où la mère est devenu orpheline.

Concernant la prophétie #11 « Le 7ème sceau » : il y a guerre entre les peuples et dans l’église.

Le grand éclair à l’Orient représente probablement le signe des trois jours de noirceur : le signe de Jonas, le seul signe que nous aurons.

Ou selon Malachi Martin qui avait prédit un signe dans le ciel, à l’est, selon ce qu’il avait lu du troisième secret de Fatima.
Il affirmait que le signe dans le ciel nous montrerait que Dieu existe quant il déclara en 1997 que « le grand facteur déclenchant aura lieu dans le ciel. Observez toujours le ciel. Le signe de la Vierge apparaîtra dans le ciel, et c’est pour bientôt. D’ici les 10 ou 20 prochaines années. Ce sera un choc pour tout le monde. Cela montrera que Dieu existe. Lorsqu’un jour de printemps, vous verrez dans le ciel un signe, comme une aurore boréale, tout commencera… »

C’est un signe de la Vierge donc de la dame de l’Apocalypse avec les deux pieds sur la lune : « Puis il parut dans le ciel un grand signe : une femme revêtue du soleil, la lune sous ses pieds, et une couronne de douze étoiles sur sa tête ».

Jean XXIII utilise les termes suivant dans la prophétie du 7ème sceau : « Attendez le signe de Jean. L'agneau est prêt. Signez-vous sept fois avec une main fatiguée et attendez. La lumière vient encore de l'Occident. »

Le signe de Jean : la dame de l’Apocalypse ou l’image de Notre-Dame de Guadelupe.

La Vierge Marie voile le soleil de son manteau et la lune des ses pieds.

Padre Pio dans la prophétie des trois jours de noirceur confirme que le soleil sera voilé par un matin froid d’hiver.

Malachi Martin parle d’un jour de printemps.

Puisque cela confirmera l'existence de Dieu, ce ne peut qu'être qu'un phénomène divin.

Le Jubilé 2025 est la dernière chance de conversion.

Une grâce de Dieu quoiqu’en fasse les faux prophètes au Vatican.

« Car, comme l'éclair part de l'orient et brille jusqu'à l'occident, ainsi en sera-t-il de l'avènement du Fils de l'homme. » (Matthieu 24, 27)

11 novembre

« Je tiens à vous dire que le peuple juif a une longue mémoire ; nous nous souvenons donc de la proclamation du grand roi Cyrus le Grand, le roi perse, il y a 2 500 ans. Il a proclamé que les exilés juifs à Babylone pouvaient revenir et reconstruire notre Temple à Jérusalem.

Nous nous souvenons qu'il y a cent ans, Lord Balfour a publié la proclamation Balfour qui reconnaissait les droits du peuple juif sur sa terre ancestrale.

Nous nous souvenons qu'il y a soixante-dix ans, le président Harry S. Truman a été le premier dirigeant à reconnaître l'État juif.

Et nous nous souvenons qu'il y a quelques semaines, le président Donald J. Trump a reconnu Jérusalem comme capitale d'Israël. Monsieur le Président, notre peuple s'en souviendra à travers les âges. » (Benjamin Nétanyahou - voir analyse du 28 octobre)

Effectivement, le futur président Trump a déjà eu plusieurs conversations depuis son élection avec le premier ministre israélien concernant la Palestine et l’Iran.

Il a clairement confirmé qu’il ressaiera l’étau sur l’Iran par des mesures économiques encore plus drastiques, tout en affirmant qu’il est hors de question que l’Iran accède à la bombe nucléaire.

« Ces derniers jours, Nétanyahou a eu trois conversations téléphoniques avec Trump. De quoi ont-ils discuté? Entre autres d’attaques contre les installations nucléaires iraniennes.

«Nous sommes d’accord sur la menace iranienne dans tous ses aspects et sur le danger qu’elle pose», a déclaré hier le premier ministre israélien.

Nétanyahou vient aussi de nommer un nouveau ministre de la Défense, Israël Katz. Ce dernier a déclaré que la destruction des infrastructures nucléaires iraniennes était sa priorité… » (journaldemontreal.com)

Ainsi, « Les responsables de la Défense craignent que l'Iran n'agisse contre Israël avant le retour de Trump à la Maison Blanche

Les services de renseignement ont commencé à intensifier le partage de renseignements et les évaluations de la situation avec l’armée américaine pour éviter de négliger des développements critiques.

Des inquiétudes ont été exprimées au sein de l’establishment de la défense israélienne quant au fait que l’Iran pourrait tenter d’exploiter la période précédant le retour au pouvoir de l’ancien président américain Donald Trump pour agir contre Israël.

Les services de renseignement ont commencé à intensifier le partage de renseignements et les évaluations de la situation avec l’armée américaine pour éviter de négliger des développements critiques.

Les responsables soulignent que les dirigeants politiques israéliens doivent comprendre la politique iranienne proposée par Trump pour façonner leur propre stratégie militaire et diplomatique. Plusieurs membres de la communauté de la défense estiment que les efforts diplomatiques visant à freiner les ambitions nucléaires de l'Iran « ont atteint leur terme ».

Certains responsables de la défense rappellent la déclaration de Trump lors d'une récente convention : « L'Iran n'aura pas d'armes nucléaires », tout en ajoutant que s'il était élu, il viserait à mettre fin aux guerres plutôt qu'à à en déclencher de nouvelles. Des questions demeurent quant à ses méthodes envisagées.

Lors de discussions privées, des sources ont déclaré que Trump avait confié à ses associés que s'il avait eu quelques mois de plus au cours de son premier mandat, il aurait imposé des sanctions supplémentaires pour déstabiliser l'économie iranienne. Maintenant, la question pour Israël est de savoir si le gouvernement du premier ministre Netanyahu s'alignera sur Trump sur une nouvelle série de sanctions contre l'Iran ou s'il fera pression en faveur d'une initiative militaire plus large ciblant les installations nucléaires iraniennes.

Jusqu'à présent, Trump n'a pas fourni de politique détaillée sur le programme nucléaire iranien... » (jerusalempost.com)

Il ne reste pas beaucoup de temps pour se convertir au Christ.

Le 24 décembre prochain, s’ouvrira le Jubilé 2025.

Ce jubilé, c’est l’occasion de faire pénitence en se remémorant les 2025 années depuis la naissance du Christ.

Le symbole approprié d’un jubilé est l’ouverture des portes saintes, et non un logo aux origines douteuses, ni à une mascotte issue des pires valeurs inversées du système antichrist pour justement, séduire la jeunesse selon le Vatican.

La porte est l’image temporelle de l’ouverture de la porte spirituelle qu’est le Christ, qui mène au Salut.

Le pénitent durant le Jubilé confirme son baptême en reconnaissant la seule porte valable, le Christ.

En 2024, année où tout bascule, c’est une donc une porte spirituelle qui s’ouvre.

Une étape cruciale de la fin des temps menée par la Sainte Vierge pour le retour de son Fils.

Mais le Vatican ne l’entends pas ainsi.

Le Jubilé 2025 sera l’occasion de célébrer le synode des synodes, avec le dépôt des rapports des dix comités sur les questions brûlantes du synode pour la fin juin, en plus des surprises que nous réservent Bergoglio, tel l’interdiction de la messe tridentine et l’annonce d’une nouvelle messe œcuménique.

2025 est donc l’année du choix.

Pour ou contre le Christ.

Effectivement, on le répète, tout doit être conclu avant mai 2026 si la prophétie de Don Bosco est véridique, c’est à dire le retour du Lys de paix avant mai 2026.

Rappelons que pour le jubilé 2025, Bergoglio a créé une Commission pour les témoins de la foi qui fait référence au grand jubilé de Jean-Paul II de l’an 2000, où il a voulu mettre en lumière ces hommes et ces femmes qui, bien que non canonisés, ont manifesté avec force leur foi.

« Qui sont les témoins de la foi?

Permettez-moi de donner un exemple: celui qui me vient immédiatement à l’esprit est Dietrich Bonhoeffer (1906-1945), un théologien et pasteur d’église luthérien qui a été tué parce qu’il s’opposait au nazisme. L’Église ne le proclame pas martyr parce qu’il n’était pas catholique. »

«Dans un monde où il semble parfois que le mal l'emporte - conclut François - je suis certain que l'élaboration de ce catalogue, également dans le contexte du Jubilé imminent, aidera les croyants à lire notre époque à la lumière de Pâques, en puisant les raisons de vivre et de faire du bien dans le trésor de la fidélité généreuse au Christ». (vaticannews.va)

C'est encore l'utilisation du double sens, de l'ambiguïté bergoglienne.

Il utilise  « à la lumière de Pâques » et saisit l'occasion en 2025 pour inviter à progresser « vers l’unité visible », en s’accordant sur la date de Pâques, que catholiques et orthodoxes célébreront le 20 avril en 2025, pour promouvoir l'oecuménisme.

On célèbre donc tout autant le protestantisme lors du Jubilé, en fait, l’humanisme.

Car le thème principal du Jubilé 2025 « pélerins de l'espérance » est l'oecuménisme.

C’est ce qu’on constate en examinant le calendrier des célébrations du Jubilé (holyart.fr).

C'est ce qu'on constate avec l’itinéraire européen, un des trois itinéraires de pèlerinage proposés à Rome. qui aura un caractère œcuménique, le Jubilé coïncidant avec les 1700 ans du Concile de Nicée (325), premier concile christologique.

Les pères conciliaires de Nicée n'auraient sûrement pas été d’accord avec cette récupération œcuménique.

Ainsi les 28 églises et basiliques de cet itinéraire comptent des églises non-catholiques, comme l’église San Teodoro du patriarcat orthodoxe grec, ou encore l’église luthérienne allemande.

Ce n’est que la suite du synode de la miséricorde infinie de 2016 pour l'humanisme, où tous doivent être inclus, Bergoglio éliminant à cette occasion la notion de péché.

Le Jubilé 2025 n’est pas représentatif des Jubilés passés.

Il n’est pas représentatif de l’Église catholique.

Tout comme le synode des synodes.

Mgr Joseph Stickland :

« ( LifeSiteNews ) — L'évêque Joseph Strickland a adressé une réprimande cinglante au Synode sur la synodalité tout en appelant les catholiques à s'opposer à ceux qui suivent les traces de Judas Iscariote.

« Il y a des menaces à l’horizon. Ce Synode sur la Synodalité, je le rejette, parce qu'il n'est pas catholique. De nombreuses voix ont déjà dit que ce n'était pas l'Église catholique », a fait remarquer Son Excellence lors de la couverture de la soirée électorale de LifeSite, mardi soir. "Nous sommes à une époque où Judas Iscariote lève sa vilaine tête."

Tout en exhortant les catholiques à travers les États-Unis à « être forts et joyeux dans la vérité », Stickland a en outre déclaré à l'animateur John-Henry Westen qu'il s'agissait d'un « moment critique pour cette nation et… pour l'Église universelle » car il y a « des menaces pour cette universalité ». qui viennent malheureusement de Rome même, du Vatican.

« Nous sommes en territoire dangereux pour cette nation, mais plus important encore, et de manière plus critique, je crois, pour la foi catholique », a-t-il poursuivi. « La foi catholique, l'Église catholique, ne s'effondrera pas. Le Christ a promis qu'il prévaudrait contre les portes de l'enfer jusqu'à la fin des temps. Mais « s’il s’agit de nous opposer à un prêtre, à un évêque ou à quelqu’un du Vatican qui proclame un faux message, nous devons être des disciples suffisamment forts de Jésus-Christ pour dire : « Non. On vit la vérité qui est Christ. Il est la vérité incarnée.

Strickland a maintenu un profil public actif depuis qu'il a été démis sans cérémonie par le pape François de son poste d'évêque de Tyler, au Texas, pour son soutien à la messe latine, entre autres choses. Il a pris la parole au Forum sur la vie de Rome cette année et a continué à fournir des conseils pastoraux aux catholiques à la recherche de conseils fiables sur un large éventail de questions. En août, il a publié une déclaration énergique rappelant les prétendues paroles de Notre-Dame de Fatima selon lesquelles il y aurait « une apostasie qui commencerait au sommet » de l’Église.

Strickland a aussi dit à Westen que Judas Iscariot voulait « une fraternité mondiale des hommes », mais qu'un tel « royaume sur terre » était « contraire à ce que Jésus-Christ a proclamé ».

« Nous avons l’occasion de combattre les ténèbres, le mal et les faux messages qui affectent et infectent même l’Église », a-t-il expliqué.

« On doit devenir forts. On doit être clairs. Nous devons prendre la parole et ne permettre à personne en poste ou en chaire de dire quelque chose qui n'est pas fidèle au Christ et laisser tomber cela.

Strickland a en outre appelé les catholiques à prier devant le Christ dans le Saint-Sacrement et à « arrêter de faire des compromis » avec ceux qui sèment l’erreur et à « proclamer clairement quelle est cette vérité parce que trop de gens se trompent » .

6 novembre

L’EMPEREUR EST DE RETOUR

Difficile d’imaginer ce dénouement il y a quelques années lors de la défaite de 2020 qui changeait la donne quant à la prophétie politique « Le temps est proche » où deux empereurs qui occupent le pavé géopolitique vont à leurs déchéances en même temps...

Que la guerre interne au Vatican.

Cette victoire de Trump ramène donc l’empereur et signifie donc une chose : nous entrons dans une ère de chaos et de vengeance.

La dominance mondiale des États-Unis va s’effriter rapidement pour mener à la chute de Babylone.

Ce sera très rapide, comme l’affirmait le regretté Louis D’Alencourt du Grand Réveil dans ses analyses.

Pourquoi?

L'explication de Louis:

«  Que ce soit une sorte de sauveur remplaçant Biden au pied levé avant ou après son élection, je pense que cette nouvelle ère sera mort-née et que l’Amérique est déjà condamnée, car si contre toute attente Trump est élu, la situation sera insupportable pour le comité des 300, tous leurs projets annoncés tombant à l’eau, donc ils sont capables de tout envoyer en l’air, et si Trump n’est pas élu, le pays basculera dans la guerre civile, les Républicains refusant certainement la triche pour une seconde fois. » (grandreveilwordpress.com - Projet 47)

L'élite judéo-maçonnique ne peut attendre trop longtemps.

Leur messie doit venir par un sacrifice sanglant, le sacrifice de l'humanité pour la survie de l'élite et sa progéniture.

Les faucons israéliens montent déjà aux barricades et demandent l'attaque immédiate avant la date du 20 janvier 2025, date de passation des pouvoirs entre présidents. (clin d'oeil au Projet 47: Satan singe Dieu et il y 77 jours entre la date du 5 novembre et le 20 janvier 2025)

Ils veulent profiter du fait que Biden a les mains liées.

Comme signe potentiel allumant le chaos:  la prophétie « Grand Éclair à l’Orient » a comme particularité d’être précédée par l'assassinat d’un « chef » au sud ou dans le sud des États-Unis.

« Grand Éclair à l’Orient » ne signifie pas nécessairement que c’est l’issue d’une explosion créée par l’humain.

Dieu agit et dans un monde où le surnaturel a été chassé, quoi de mieux que d’avoir une intervention divine pour montrer qu'Il existe, et pour une purification par le feu comme c’est annoncé.

On penche depuis longtemps pour une tempête majeure du soleil dans nos analyses mais qui sait ce que notre système cosmique peut encore nous réserver?

D’ailleurs, en cette confirmation électorale américaine, la complexité des taches solaires faisant face à la Terre a tellement augmentée rapidement, que la NOAA a augmenté la probabilité d’une tempête majeure de classe X à 35%.

Du jamais vu depuis belle lurette.

Normalement, cela tourne autour de 10%.

Cette tache n'a pas mis de temps à produire.

Une éjection de classe X2 a eu lieu quelques heures après le lancement de l'alerte.

Tout cela juste après le synode des synodes qui comme on l’a laissé entendre signifierait la mort de l’Église, Une, Catholique et Apostolique.

Mgr Eleganti concernant le rapport du synode :

« ( LifeSiteNews ) — L'évêque suisse Marian Eleganti a averti que la décentralisation espérée du Synode du Vatican sur la synodalité de « l'enseignement et de la discipline » catholiques « serait la fin de la catholicité de l'Église ».

Dans un article récent publié sur le site Web d'Eleganti, il a souligné le fait que, comme le pape François et les principaux religieux du synode l'ont signalé à plusieurs reprises, l'un des résultats souhaités du synode est une « régionalisation culturelle de l'enseignement et de la discipline » de l'Église en contradiction avec sa pratique éternelle.

« Une condition préalable à cela est une amélioration de l'autorité doctrinale des conférences épiscopales (Dieu nous en préserve !) », a écrit Eleganti. "Ce serait alors la fin de la catholicité de l'Église si les choses étaient différentes en Pologne qu'en Allemagne ou en Afrique."

Le mot « catholique » signifie universel – ainsi, la « régionalisation de l’enseignement et de la discipline » porterait effectivement atteinte à la catholicité, ou à l’universalité, de l’Église… »

Et comme on le sait depuis longtemps, la messe est en jeu.

Le cardinal Gadecki confirme qu’on discute ardemment d’une nouvelle liturgie au Vatican, avec une « nouvelle vision » de l’Eucharistie. (vidéo sur ce sujet ici).

Une célébration plus synodale et moins centrée sur le prêtre.

Centrée sur l’humain avec une expérience plus participative.

C’est exactement la conclusion du synode amazonien, qui est entré dans une phase expérimentale de trois ans juste avant le synode 2024.

Et c’est exactement ce que permet le rapport du synode 2024 confirmant les soupçons que les évêques ont maintenant le pouvoir de faire la liturgie comme ils l’entendent, pour plaire à la base, au bon peuple.

L’église s’est convertie.

Protestantisée.

Humanisée.

« … il ne fait aucun doute que la transformation de l’Église catholique est presque achevée, et qu’elle doit finir soit par une réforme du sacerdoce, soit par une réforme de la messe supprimant la Présence Réelle, soit les deux.

Je soupçonne Rome de préparer ce projet de réforme de la messe en cachette afin de bénéficier de l’effet de surprise pour l’imposer d’un coup et autoritairement.

La mutation de l’Église catholique sera terminée, elle sera réellement morte, accomplissant doublement les prophéties, à savoir le lynchage de la grande Prostituée (l’Eglise conciliaire) et la mort des Témoins (la Tradition).

Ainsi l’Église aura achevé en totalité sa Passion, mort incluse.

Qu’on se rassure, la durée au tombeau est courte et on en connaît l’issue : la Résurrection.

Pour quand toutes ces choses-là ? Très vite après la mort de Benoît XVI, celui qui les retient. Celle-ci
ne saurait tarder.

Louis d’Alencourt, le 8 juillet 2022, en la fête de sainte Elisabeth du Portugal » ( La réforme de la messe, plan secret du Vatican
- grandreveilwordpress.com)

C’est cette période de chaos annoncée pour tenter de mettre en place le messie judéo-maçonnique.

Ainsi, Armageddon et la modification liturgique pour tenter d’éliminer la présence réelle vont de pair.

Aucune surprise ici.

Le temps est définitivement proche.

4 novembre

PROJET 47 : LE JOUR D’AVANT

Les juifs attendent toujours un messie temporel qui viendra les délivrer pour leur donner la terre promise, c’est à dire le pouvoir sur le monde, et les délivrer de la Rome moderne, alors que les chiites, Iran en tête, attendent le mahdi qui les délivrera d’Israël et du monde occidental, États-Unis en tête.

Le fonds de l’histoire est religieux.

La situation au Moyen-Orient est critique et chacun des deux belligérants pensent en sortir vainqueur parce que justement c’est une question de religion, quitte à tout détruire pour repartir à neuf.

C’est l’histoire du phœnix, la « grande réinitialisation », Tikoun Olam (voir analyses précédentes) qui guident la clique judéo-maçonnique, pour un monde unipolaire, ou multi polaire, selon les clans anglo-saxon ou russe respectivement.

Pour arriver à cette fin, il leur faut organiser un grand chaos mondial pour faire accepter le messie « humaniste » à tous, qui n’est pas un être physique en soi, mais un système car le peuple juif (lire ici la clique judéo-maçonnique) dans leur conception, est le messie, seul peuple prêtre entre les goys et Dieu.

Une journée avant les élections américaines et la finalité du projet 47 si cher au regretté Louis D’Alencourt du Grand Réveil, où en sommes nous?

L’Iran constatant que les dommages de la dernière attaque israélienne sont plus importants qu’estimés en partant, a décidé qu’elle lancera une nouvelle attaque, peut-être à partir de l’Irak.

« Le guide suprême iranien, l'ayatollah Ali Khamenei, a menacé Israël, promettant une « réponse écrasante » aux représailles d'octobre.

L'Iran prévoit une attaque complexe contre Israël, qui pourrait inclure des missiles dotés d'ogives de grande puissance, selon un article du Wall Street Journal publié lundi , citant des responsables arabes et iraniens.

Le rapport note que l’armée iranienne serait également impliquée dans cette série potentielle d’attaques.

« Nos militaires ont perdu des gens, ils doivent donc réagir », a affirmé un responsable iranien.

Il aurait ajouté que l'attaque, probablement axée sur des cibles militaires israéliennes, serait plus agressive.

Le responsable iranien a en outre ajouté que la réponse de la République islamique viendrait après les élections américaines, mais avant l'investiture en janvier d'un nouveau président. » (jerusalempost.com)

Et vendredi, les États-Unis ont annoncé de nouveaux déploiements d’avions de combats et de bombardiers, incluant des moyens de défense contre les missiles balistiques.

Tout en avertissant désormais Téhéran « qu’ils « ne seront pas en mesure de retenir Israël » si la République islamique riposte, ont déclaré samedi à Axios des responsables américains et israéliens.

« Nous avons dit aux Iraniens : nous ne pourrons pas retenir Israël, et nous ne pourrons pas garantir que la prochaine attaque sera calibrée et ciblée comme la précédente », a déclaré le responsable américain. » (zerohedge.com)

Il est donc clair que les américains avaient demandé à Israël d’y aller avec une riposte modérée le 26 octobre dernier.

Les indices sont donc évidents que la porte du chaos ouvrira pleinement suite à l’élection américaine demain.

Pour les prophéties de Jean XXIII, c’est le « Grand Éclair à l’Orient » où une frappe arrivera par surprise (Israël attaquera-t-elle avant, sachant que l’Iran a confirmé la semaine passée qu’il se lance dans l’armement nucléaire?) et que la terre frisera le massacre, tout en enflammant l’Europe au passage.

Lorsque L’Europe demande  à tous 72 heures de stocks d’autosuffisances, c’est qu’il y a anguille sous roche (insolentiae.com)

C’est la chute prévue de Babylone dans le calendrier de la fin des temps de l’Apocalypse, et des deux Babylone de Jean XXIII dans la prophétie de Benoît XVI : « La terre détruira le ciment »

Ce sera aussi la « guerre de la nature » de la prophétie politique #32 « Le temps est proche » où deux empereurs règnent, et qui vont à leurs déchéances.

Pour nous chrétiens catholiques qui font partis des « deux témoins » fidèles à la Loi et aux Prophètes, la chute de Babylone est le signe d’une grande épuration avant la seconde venue de NSJC.

C’est le châtiment des méchants, la délivrance de ce monde pourri.

C’est la séparation du bon grain de l’ivraie.

C’est l'important d'avoir conservé la Foi comme demandé dans la parabole des vierges folles.

Notre seule arme est le Rosaire.

La seule attitude à avoir est de se retirer de Babylone par la prière comme l’a indiqué le Christ en Matthieu 24.

Le signe de Jonas, le seul que nous aurons, approche.

Gardons la Foi et l’Espérance.

Nous rajoutons des liens de la prière du premier samedi du mois et du Saint Rosaire en début de page ci-haut.

2 novembre

Réaction du cardinal Burke sur le rapport final du synode des synodes :

« CITÉ DU VATICAN ( LifeSiteNews ) — Le cardinal Raymond Burke a déclaré que les propositions du Synode sur le document final de la synodalité sont « extrêmement gênantes et dangereuses »…

Le document, adopté par le pape François plutôt que d'être utilisé pour rédiger une exhortation apostolique, contient des plans pour une gouvernance laïque accrue, une liturgie synodale, et soutient que le diaconat féminin est une question qui « reste ouverte ».

Mais Burke a critiqué l'événement et le texte, réitérant son argument de longue date selon lequel le synode a un objectif indéfini : « Personne n'a été capable de définir ce qu'est la synodalité – c'est devenu une sorte de lieu réservé pour avancer.

François ayant adopté le document final du synode dans le magistère papal, cela signifie que l'organe consultatif – composé de clercs et de laïcs – est en fait devenu un organe d'enseignement. Burke a rejeté l'idée selon laquelle le synode est une « marque essentielle de l'Église », tout en admettant qu'il reste une place appropriée pour la consultation au sein de la sphère ecclésiale :..

Le document final du synode a lancé un appel fort à la mise en œuvre d'un rôle accru des laïcs à travers l'Église, notamment en ce qui concerne la gouvernance. Certaines limites supplémentaires seraient également imposées au pouvoir papal, le document affirmant qu'un pape ne peut pas « ignorer une direction qui émerge d'un discernement approprié au sein d'un processus consultatif, surtout si cela est fait par des organismes participatifs ».

Interrogé par Arroyo sur ces commentaires, Burke a déclaré que « les gens qui font ce genre de propositions devraient être capables d'exprimer de manière articulée, claire et compréhensible pour les fidèles catholiques ce que cela signifie, sinon c'est un discours très dangereux "… »
Bref, ce rapport confirme que c’est bien la mort de l’église, la structure de décision se laïcisant est un démantèlement annoncé, à la sauce du synode amazonien.

« Une liturgie synodale » confirme le cardinal Burke.

La liturgie est bien en jeu contrairement à ce qu’affirmait le cardinal Hollerich à la fin du synode: « Interrogé sur ce point lors du briefing synodal de samedi soir, Hollerich a déclaré qu’il n’y avait aucun projet de « révolution » liturgique. »

Pour ceux qui se demande ce qui est arrivé avec la comète de la fin du synode, et bien, à l’image de la fausse église qui disparaîtra avec la venue de la Lumière , elle s’est évaporée à l’approche du soleil.

01 novembre

Il semble finalement que l’Iran frapperait Israël prochainement, peut-être avant les élections américaines.

« Les renseignements israéliens suggèrent que l'Iran se prépare à attaquer Israël depuis le territoire irakien dans les prochains jours, peut-être avant l' élection présidentielle américaine du 5 novembre, a rapporté jeudi Axios, citant deux sources israéliennes non identifiées.

L'attaque devrait être menée depuis l'Irak en utilisant un grand nombre de drones et de missiles balistiques , ajoute le rapport Axios.
Le rapport indique que mener cette attaque par l'intermédiaire de milices pro-iraniennes en Irak pourrait être une tentative de Téhéran d'éviter une nouvelle attaque israélienne contre des cibles stratégiques en Iran.

Plus tard jeudi, un article du New York Times , citant trois sources iraniennes, a déclaré que l'ayatollah Ali Khamenei avait déjà ordonné lundi au Conseil suprême de sécurité nationale iranien de se préparer à frapper Israël… » (jerusalempost.com)

C’est donc dire qu’Israël répondrait par une attaque sur les sites les plus importants d’Iran, c’est à dire les industries pétrolières et nucléaires, comme l'avait annoncé le chef de l'IDF.

C’est bien le scénario du « Grand Éclair à l’Orient » de Jean XXIII qui se dessine à l’horizon.

Du côté de l’Église, les derniers articles sur le synode confirme que Jésus n’est plus au centre de l’Église.

L’Église semble morte.

C’est ce qu’atteste le document final du synode des synodes.

Puisque la conclusion du synode n’est que du vent, alors pourquoi avoir prolongé le synode jusqu’en 2024?

Pour célébrer via le Jubilé 2025.

Il n’y aura pas d’exhortation apostolique.

Pourquoi?

Cette manière de faire permet d’éliminer la dimension verticale des prises de décisions (via le pape, les cardinaux, les évêques,…) et laisse le libre choix aux paroisses de faire la liturgie et leur pastorale en pigeant dans les principes du rapport final pour s’adapter à la réalité de l’ « esprit missionnaire » woke qui fait l’affaire des fidèles.

Notez qu’il y a eu plus de 1200 amendements entre la première mouture du rapport et la version finale.

Ces amendements n’ont pas été inclus mais pourraient l’être selon le désir de Bergoglio et les conclusions des comités d’ici juin 2025.

Est-ce la 9ème heure qui vient de sonner?

L’Église est-elle au tombeau pour 3 jours?

Qu’est-ce que cela représente en terme de temps?

Voici d’autres réflexions sur la conclusion du synode, c’est à dire la mise en œuvre de l’agenda woke via la base :

« Père Gilles Routhier, quelle est la signification de cette annonce de François de ne pas faire suivre le synode d’une exhortation apostolique?

L'exhortation apostolique risquait de clore le synode, alors que le document final fait un pont entre ce que nous avons vécu pendant trois ans et la prochaine étape qui est l'étape de mise en œuvre. Il ne s'agit pas de clore. Il s'agit de dire, maintenant, que nous passons à une autre phase toute aussi importante. Sinon ça resterait une exhortation apostolique de plus. Ça aurait fait un beau livre sur les étagères d'une bibliothèque.

Quelle lecture faites-vous de cette décision du Pape François, de cet exercice de l'autorité, en décidant précisément de ne pas recourir à ce qui était l'habitude, après un synode, une exhortation post-synodale?

Le Pape souhaite donner aux Églises locales la responsabilité qui est la leur de mettre en œuvre les conclusions du synode. On demande, on suggère aux conférences épiscopales de faire quelque chose de ce document final, pour qu’il soit, en quelque sorte, une carte pour la route à suivre. On est toujours en route, on ne s'arrête pas.

Est-ce que cette décision du Pape François a une dimension œcuménique?

En un sens, oui. Et les observateurs ou les délégués fraternels ont aimé participer à cet exercice parce qu'ils voient eux aussi qu'il y a quelque chose qui est en train de bouger dans l'Église catholique. Je pense que ce qui est en train d'advenir est quelque chose d'irréversible. On ne pourra pas retourner en arrière. (vaticannews.va)

On croirait entendre Bergoglio : aucun retour en arrière.

Évidement puisqu'il y a contrainte de temps pour rencontrer les exigences de l’Agenda 2030.

Le religieux et le politique doivent fusionner.

«… Avec la dernière session du faux Synode des évêques sur la synodalité, l'évêque de Rome a franchi une nouvelle étape dans son objectif d'éradiquer de l'Église catholique son fondateur, chef suprême de l'institution qu'il a fondée sur la base de son sang et de celui dans lequel le jésuite argentin se croit le chef suprême, au-delà des paroles pieuses et des gestes « d'humilité » qu'il exerce publiquement, pour déguiser la poigne de fer avec des gants de velours qui accompagnent son gouvernement despotique, démasculinateur et pro-homosexuel.

Le spectacle du Synode sur la Synodalité 2024 est terminé, dont les conclusions ont été présentées dans un  Document final qui, pour la première fois dans l'histoire des synodes des évêques, a remplacé l'Exhortation apostolique publiée par les Pontifes régnants afin de   recueillir et tenir compte des conclusions de chaque Synode.

Mais dans ce cas, JMB a décidé que le Document remplace l'Exhortation qu'il devait rédiger, car il contient « des indications très concrètes qui peuvent guider la mission des Églises, dans les différents continents, dans les différents contextes », ce qui c'est pourquoi qui a décidé de « le rendre désormais accessible à tous », comme l'enseigne l'enseignement ecclésial.

Mais en agissant ainsi, de manière très sibylline, l’évêque de Rome a transformé l’un des trois axes de la Révélation, en introduisant comme magistère ecclésial les conclusions d’une assemblée « synodale », en elle-même hétérogène et insignifiante. C'est-à-dire qu'il a été constitué par le jésuite argentin dans « l'enseignement ecclésial », dans le cadre de la Révélation, ce qu'un petit groupe de personnes éclairées « par l'Esprit » a erré pendant près d'un mois comme expériences de vie, encouragées par un compagnon qui les faisait réfléchir, à la manière des  Exercices Spirituels  Ignatiens . À la différence que ces Exercices s'appliquent à l'origine à l'individu qui réfléchit et médite sur les Mystères divins, tandis que la méthodologie utilisée dans le Synode a été appliquée collectivement aux sentiments, pensées et croyances personnels, comme matière à écouter , à dialoguer.

Il faut tenir compte du fait que cet événement « synodal » :

1) constituait en réalité une parodie d'un synode des évêques, comme un faux synode, car en plus de celui-ci participaient des religieux et des religieuses, des laïcs, etc. ;

2°) au total, 368 personnes (272 évêques et 96 non-évêques) ont participé à cet événement « synodal », que le pape Bergoglio a manipulé comme une Assemblée générale ou un mini Conseil universel, avec la majorité de ses membres arbitrairement choisis par lui et en grande partie certains sont partisans du progressisme qui a caractérisé le pontificat actuel ;

3º) réitérant le contenu de la première session synodale tenue l'année dernière et à d'autres occasions antérieures,  le grand absent de cet événement n'a été nul autre que Jésus-Christ, ignoré et laissé de côté , pour lui donner  la primauté fondamentale du « dialogue dans l'Esprit », pas au Seigneur ressuscité .

Le salut final de JMB le montre très clairement : il n'y a pas une seule mention de Jésus-Christ ou du Christ, complètement absent, il y a seulement deux mentions en passant au Seigneur et au Seigneur ressuscité, mais pas aussi centrales dans le discours. Et il n’y a plus l’Église bimillénaire du Christ,  une, sainte, catholique et apostolique  (mention zéro), mais plutôt l’Église « synodale », horizontale, d’écoute et d’harmonie « dans l’Esprit » .

Et que cette absence du Seigneur ressuscité n'est pas accidentelle est démontrée par le  Document final lui-même , dans lequel bien que Jésus/Jésus-Christ soit mentionné 31 fois, le noyau central du texte est la synodalité  ,  mentionnée 77 fois comme axe au cœur des réflexions. En d’autres termes :  Jésus-Christ n’est pas le centre de l’Église « synodale », mais de la synodalité , comme « un chemin de renouveau spirituel et de réforme structurelle pour rendre l’Église plus participative et missionnaire, pour la rendre plus capable de marcher avec chaque homme. Cette « nouvelle » voie de l'Église synodale n'a plus pour but ni pour mission « d'établir toutes choses dans le Christ » (saint Pie X), ni d'annoncer « le nom, la doctrine, la vie, les promesses, le royaume, le mystère de Jésus de Nazareth, Fils de Dieu » (Paul VI), ni réaffirmer Jésus-Christ comme « centre du cosmos et de l'histoire » et « marcher en Lui » (Jean-Paul II), encore moins « offrir le monde à Jésus-Christ ». et son message de salut » (Benoît XVI). Rien de tout cela, pour l'« Église » synodale bergoglienne, la mission de l'Église est « de marcher avec chaque homme et chaque femme  en rayonnant la lumière du Christ ». Il ne s’agit plus de rendre Jésus-Christ présent dans le monde par la prédication et l’évangélisation des cultures, mais plutôt de  faire rayonner sa lumière , mais pas vers Lui.

Et si Jésus-Christ n'est plus le centre et le fondement, alors l'« Église » synodale le devient, qui cesse d'être le Corps du Christ institué et fortifié au cours de 2000 ans de mission évangélisatrice, pour devenir une assemblée constituée à travers « la conversion des sentiments, des images et des pensées qui vivent dans nos cœurs, ainsi que la conversion de l'action pastorale et missionnaire »[4]. C'est-à-dire que ce n'est plus le Christ et sa présence ecclésiale dans le monde qui sont le fondement de la vie et de la mission de l'Église, mais plutôt  les sentiments, les images et les pensées qui résident dans le cœur , pour faire naître le « l'échange de dons et l'entrelacement des liens qui  nous  unissent dans l'Église ».

Comme on peut le constater tout au long de la lecture du  Document , la Révélation dans son ensemble - Écriture Sainte, Tradition et Magistère - n'est plus le centre et le fondement de la réflexion synodale et de la pastorale, mais plutôt « l' écoute, le dialogue et la réconciliation ».

Et Jésus-Christ ? Eh bien, merci, qu'il reste calme au Ciel et ne dérange pas les synodaux démasculinisés et homosexualisés, afin qu'ils puissent faire entrer « tout le monde, tout le monde, tout le monde », même si le Seigneur lui-même a clairement dit que plusieurs sont appelés au salut et d'autres à la damnation, et que « celui qui me dit Seigneur, Seigneur n'entrera pas dans le Royaume des Cieux, sauf celui qui fait la volonté de mon Père céleste » (Mt 7, 21). Volonté du Père totalement absente des réflexions et des conclusions du faux Synode des évêques récemment conclu.

Le fait est que la synodalité bergoglienne  n'a qu'une signification ou une orientation horizontale - les membres actuels de l'Église -, mais  elle manque totalement d'orientation verticale et historique : il n'y a pas d'écoute ni de dialogue avec le Dieu vivant, Un et Trine, ni avec le sanctifiante - les saints qui vivent aujourd'hui au Ciel - ni avec la doctrine impérissable des Pères, Maîtres et Docteurs de l'Église ni avec le Magistère Pontifical presque bimillénaire. C'est la raison pour laquelle le  Document final  conclut en affirmant que l'Église bergoglienne est synodale, parce qu'elle est « un peuple de disciples missionnaires qui marchent ensemble », c'est-à-dire qu'elle n'est plus le peuple de Dieu, ni le Corps du Christ, ni le Temple du Saint-Esprit, simplement une « ville de marcheurs ». Et sibyllin et astucieux, le texte se tourne vers la Vierge dans son personnage d'  Hodiguitria , terme grec qui signifie « celle qui montre le chemin » [du grec οδός (chemin). Ηγήτρια (guide), c'est-à-dire la Femme qui, dans l'iconographie gréco-catholique orientale, désigne l'Enfant Jésus comme la voie à suivre, mais que le néo-magistère de Bergoglio fait référence au chemin synodal, sans aucune référence au Seigneur ressuscité.

En bref,  l'« Église » synodale conçue par Don Jorge Mario Bergoglio est l'Église du Christ, mais sans le Christ .

Une véritable schizophrénie diabolique. » (stilumcuriae.com)

Aujourd’hui premier novembre, la Toussaint.

Pensons à nos proches décédés demain pour qu’ils reçoivent les grâces de nos prières.

Octobre 2024

31 octobre

Décidément, il n’est vraiment rien sorti du synode des synodes.

Les vaticanistes le confirmant.

Ce que confirme benoit-et-moi.fr.

« Je m’attendais à avoir des choses à commenter et des articles à traduire, bref, un peu de travail à la conclusion (est-ce vraiment la conclusion?) de cet interminable synode. Et puis… rien. No comment. Les « synodaux » ont passé trois semaines à brasser du vent et ce qui est éventuellement sorti baigne dans la confusion. Je m’en suis finalement totalement désintéressée, et j’avoue que j’ai tout simplement cessé de suivre.

Juste après, on apprend la sortie d’un encyclique. Celle-là aussi, je doute qu’elle laisse un souvenir impérissable dans le magistère bergoglien… et dans la mémoire des catholiques.

Le problème de ce pape, c’est qu’à force de parler à tort et à travers dans des improvisations hasardeuses, plus personne ne le prend au sérieux, et à moins qu’il ne profère de vraies énormités, totalement contraires au depositum fidei (ce qu’il n’ose pas encore tout à fait faire), même les médias progressistes l’ignorent. L’inflation de la parole a tué la parole.

Voici un formidable résumé du sentiment des fidèles, publié sur le portail espagnol Info Vaticana. »

L’encyclique sur le sacré-cœur de Bergoglio est interprété comme un acte pour dirigé l’attention ailleurs que sur le rapport synodal (elle fut publiée en presque en même temps).

« Chaque fois que sa popularité auprès des catholiques les plus fidèles commence à s’effriter, François sort un atout de sa manche, quelque chose qui sent l’encens traditionnel.

Nous approchons de la fin du Synode de la synodalité, ce grand projet qui était censé révolutionner l’Église, mais qui, à ce stade, en a laissé plus d’un sans voix .

Que reste-t-il de tout ce fracas médiatique ? Beaucoup de bruit pour rien. Personne n’écoute, personne ne s’intéresse. Et il semble que, de plus en plus, les vrais catholiques – ceux qui vont à la messe et s’engagent réellement dans leur foi – se sentent étrangers à ce qui vient de Rome.

Alors, maintenant, quoi ?

Ah, mais François n’est pas un imbécile. Il sait que le noeud est serré et que la déconnexion avec une partie importante de son troupeau est évidente. Alors, quel meilleur moyen de regagner la faveur des fidèles que d’utiliser une vieille formule ? Rien de moins qu’une encyclique traditionnelle. Car bien sûr, quand les choses vont mal, il y a toujours la possibilité d’éblouir les catholiques qui respectent encore ce qui sonne pieux, ce qui a une saveur traditionnelle, ce qui leur rappelle que l’Église n’a pas commencé avec François.

La nouvelle encyclique, Dilexit Nos, ressemble à un mouvement stratégique pour redonner une lueur d’espoir aux méfiants, et quelle coïncidence qu’elle arrive juste après ce Synode désastreux ! Comme pour dire : « Allons, détendez-vous, regardez, je suis aussi un pape comme les anciens »… »

Or, ce n’est pas le cas.

Plusieurs papes pré-Vatican II ont sonné l’alarme contre de tels manœuvres :

« Certains critiques de François ont loué ce qui semble bon dans son encyclique Dilexit Nos. Mais l'Église ne nous oblige pas à passer au crible les œuvres de ses ennemis pour trouver ce qui pourrait être bon : en fait, plusieurs papes enseignent le contraire. » (lifesitesnews.com – long article en anglais malheureusement )

Ainsi, le maître de l’ambiguïté a encore frappé.

Le mystère d’iniquité n’est pas facile à comprendre.

C’est troublant.

Nous sommes dans cette période trouble de la Passion de l’Église comme à la Passion de NSJC.

« Depuis la sixième heure jusqu'à la neuvième, il y eut des ténèbres sur toute la terre. »

Autre article sur benoit-et-moi.fr qui confirme notre dernière analyse.

Le processus synodal cache un coup d’État.

« Passionnante analyse. Les conclusions posées par le pape ouvrent peut-être à des développements inattendus que Giuseppe Nardi n’hésite pas à assimiler à un coup d’état dans l’Église. Enfin, c’est une hypothèse, mais bien étayée. Pour comprendre la démarche un tantinet tordue du locataire de Sainte Marthe, il faut remonter à un document vieux de 6 ans, qui n’avait à l’époque guère retenu l’attention, hormis celle des spécialistes en droit canon: par la constitution apostolique Episcopalis communio du 18 septembre 2018, François a introduit la possibilité d’attribuer un caractère magistériel aux documents finaux du synode.

Le pape François tire-t-il finalement le frein à main ? Ou réalise-t-il un coup d’état ? Nous ne serions pas sous le pontificat de François s’il n’y avait pas d’ambiguïté à ce sujet.

Dans un premier temps, il a prolongé la durée du synode des évêques, qui en réalité n’est nullement un synode des évêques, jusqu’en juin 2025. Au terme de la deuxième session, François annonce maintenant qu’il renonce à la publication d’une exhortation post-synodale, comme c’était l’usage jusqu’à présent. Y a-t-il des objections juridiques ? Ou François veut-il tenter pour la première fois un putsch « synodal » en insérant ses interventions dans la constitution de l’Église de 2018 ?

Les particularités du synode sur la synodalité ont déjà été maintes fois soulignées. Le synode des évêques institutionnalisé était une invention de la phase finale du Concile Vatican II, introduite par le pape Paul VI. François a introduit le terme de « synodalité », qui n’a aucune signification canonique, c’est-à-dire en termes de droit canonique. On pourrait parler d’un mot-clé, voire d’un slogan à la mode. Le secteur des relations publiques invente de nouveaux termes pour des choses anciennes afin de relancer les affaires.

2024 François déclare à la clôture du synode que, pour la première fois, il ne publiera pas d’exhortation post-synodale, mais qu’il mettra à disposition le document final du synode comme « guide pour la mission des Églises sur les différents continents et dans les différents contextes (…) », reconnaissant ainsi « le chemin synodal » et « remettant » son document au peuple de Dieu.

2025 Reconnaissance du caractère magistériel du document final du synode (modifié ?)?

François n’a toutefois pas fait son annonce de samedi sans raison. En d’autres termes, il a une intention, mais comme toujours, il ne se laisse pas dévoiler.

Plusieurs scénarios s’offrent à lui.

Il pourrait faire réviser le document final du synode, ce pour quoi il dispose de suffisamment de temps jusqu’en juin 2025, et transmettre ce document révisé à l’Église avec un caractère non contraignant en tant que document du synode;
ou bien le faire entrer en vigueur avec un caractère contraignant à différents niveaux en tant que magistère du synode (pas le sien). »

Bergoglio a un plan caché.

Le Jubilé 2025 sera son moment de célébration.

Du jamais vu, ils ont décidé d’avoir une mascotte du Jubilé.

Quelle farce.

« Mgr Fisichella (préfet du Dicastère pour l’Évangélisation depuis 2010) a présenté hier en conférence de presse la « mascotte » du jubilé 2025 (jubilé qui est censé célébrer le 2025-ème anniversaire de la naissance de Jésus, nous rappelle Yves Daoudal). Pas vraiment catholique, avec la figure de Greta Thunberg comme emblème. Et on se demande bien pourquoi le jubilé a besoin d’une mascotte, comme n’importe quel évènement « festif » planétaire mondain (cela nous rappelle tristement Paris 2024).

Mais le scandale ne s’arrête pas là. Le designer chargé de la conception de l’objet s’est signalé par des créations… douteuses, comme des gadgets pour les gay-prides et des vibromasseurs.
Seule consolation: beaucoup de ces hideux objets finiront probablement très vite dans une poubelle (jaune, ou grise? that is the question…) » (benoit-et-moi.fr)

On ne parle plus du Christ dans ce Jubilé.

C’est la suite du Jubilé de la Miséricorde infinie.

Babylone est vraiment en train de chuter.

Ci-dessous suit une brève réflexion de Mgr Carlo Maria Viganò à la suite de la clôture du Synode pluriannuel du pape François sur la synodalité.

« Le « Synode sur la synodalité » qui vient de s’achever est une icône de la duplicité et de la nature frauduleuse de l’Église conciliaire et synodale.

La promotion de l’agenda mondialiste n’est que trop évidente.

La subversion hiérarchique de la parité de genre est à l’origine de la discussion surréaliste sur l’ordination des femmes, permettant d’entamer une expérience pastorale qui puisse dans un avenir proche servir d’alibi au changement officiel de doctrine sur le sacrement de l’ordre. Tout comme l’acceptation de l’idéologie LGBTQ+, servilement transposée au Synode selon les prémisses de Fiducia supplicans, est un objectif mondialiste.

La Deep Church agit en rupture totale avec le corps ecclésial, exactement comme le Deep State légifère à l’encontre des citoyens. Indépendamment des articles de foi spécifiques auxquels le Synode apporte des modifications par des moyens pastoraux, il est également évident que le but ultime de Bergoglio est de détruire l’Église catholique en déformant la nature de la papauté telle qu’elle a été instituée par Notre-Seigneur.

L’Église de Jorge Mario Bergoglio est une « Église synodale », c’est-à-dire qu’elle n’est ni monarchique ni divine, mais démocratique et humaine. Son autorité n’est pas vicaire du Pouvoir sacré du Christ, mais l’expression fausse et trompeuse d’une prétendue volonté populaire, ou pire encore, un signe de l’Esprit, derrière lequel se cache une organisation subversive. Les fidèles sont trompés par de faux pasteurs et par des mercenaires.

Tout dans les paroles et les actes de l’Église synodale est mensonge. Car son but est d’imposer d’autorité, sous couvert d’une demande populaire, ce qu’aucun fidèle catholique n’a jamais demandé parce que cela contredit l’enseignement de Notre Seigneur. Cette autorité, usurpée dans un but opposé à celui que Jésus-Christ lui a donné, est totalement illégitime et il devrait être du devoir de chaque Successeur des Apôtres de dénoncer cette farce synodale, ultime étape de la révolution conciliaire, par laquelle l’Épouse de l’Agneau est remplacée par la Prostituée de Babylone, asservie au Nouvel Ordre Mondial.

Certains pensent que les inquiétudes sur les intentions subversives de Bergoglio sont excessives et infondées, citant la dernière « encyclique » sur la dévotion au Très Sacré Cœur de Jésus comme un exemple de son orthodoxie en dents de scie. Ce document est une diversion pour tromper les fidèles, selon la stratégie de tromperie bien rodée propre au jésuite et péroniste Bergoglio, confirmant sa duplicité et sa malhonnêteté intellectuelle.

Le thème de Dilexit nos – traité dans une tonalité résolument antimoderne – constitue une tentative maladroite de réappropriation frauduleuse par la Compagnie de Jésus du culte du Sacré-Cœur, dont elle est la gardienne historique. Cette dévotion, née pour contrer l’hérésie janséniste, doit inévitablement être détournée pour donner l’apparence de la rigueur théologique à l’hérésie opposée, c’est-à-dire à une forme de laxisme doctrinal et moral qui admet tout comme déjà guéri et pardonné par l’infinie Miséricorde de Dieu.

Ce qui est parfaitement cohérent avec l’intention du Synode.

+ Carlo Maria Viganò, archevêque

Notre Seigneur Jésus Christ Roi

27 octobre 2024 » (benoit-et-moi.fr)

Une confirmation rassurante ici : le pape ne peut en rien modifier la messe en contradiction avec la loi divine, ce qui est la vérité postulée par NSJC où les portes de l’enfer ne prévaudront jamais sur l’Église.

« ( LifeSiteNews ) — Le célèbre exorciste et théologien Chad Ripperger a précisé que le pape ne peut pas modifier la messe en contradiction avec la loi divine positive, par exemple en modifiant la consécration d'une manière « qui l'invaliderait ».

Alors que l'on craignait que le Vatican puisse promulguer ou permettre de nouvelles modifications de la messe après le Synode sur la synodalité, Ripperger a récemment discuté de son livre The Limits of Papal Authority Over the Liturgy avec le Dr Robert Moynihan et Matt Gaspers de À l'intérieur du Vatican.

L'exorciste a d'abord fait la distinction importante entre le pouvoir et l'autorité, le pouvoir étant la « capacité d'effectuer un changement », tandis que l'autorité donne à une personne le droit de déterminer quelque chose ou d'adopter un changement . « Le seul qui a une autorité absolue, c'est Dieu », a-t-il souligné.

Dans son livre, Ripperger a partagé une citation du cardinal Joseph Ratzinger (pape Benoît XVI) qui exprime les limites de l'autorité du pape sur la liturgie, lue à haute voix par Gaspers lors de l'entrevue de septembre :

« Le pape n’est pas un monarque absolu dont la volonté fait loi ; il est plutôt le gardien de la Tradition authentique et, par le fait même, le premier garant de l'obéissance. Il ne peut pas faire ce qu'il veut… Sa règle n'est pas celle du pouvoir arbitraire, mais celle de l'obéissance dans la foi. C'est pourquoi, en ce qui concerne la liturgie, il a la tâche d'un jardinier et non celle d'un technicien qui construit de nouvelles machines et jette les anciennes aux ordures.

Le rôle du pape est limité plus spécifiquement par la loi divine positive – celle qui est expressément révélée par Dieu – et par la loi naturelle, a expliqué Ripperger.

Un exemple clé de la façon dont le pape ne peut pas changer la liturgie est de changer les « paroles de la consécration » d'une manière « qui l'invaliderait », a déclaré Ripperger, car cela violerait la loi divine positive ordonnée par Dieu lorsque le Christ a dit pendant la Dernière Cène : « Faites ceci en mémoire de moi ». 

Cela signifie également que la consécration – par laquelle le Corps, le Sang, l'Âme et la Divinité du Christ Jésus sont rendus présents dans l'Eucharistie – ne peut être omise, ce qui, selon les spéculations, pourrait se produire dans le cadre expérimental, appelé « rite amazonien » du Messe, selon Anthony Stine de Return to Tradition.

Le pape ne peut pas non plus « insérer quelque chose dans la liturgie… qui soit contraire à la loi naturelle », comme le « culte des idoles païennes », a ajouté l’exorciste.

« C'est précisément son obéissance à ces choses qui est précisément l'objectif de son bureau », a déclaré Ripperger à propos du pape.

Gaspers a souligné le point du prêtre théologien selon lequel, parce que la foi catholique est immuable et que la liturgie est basée sur la foi, des changements dans la messe concernant ses principes fondamentaux sont impensables.

« Étant donné que le dépôt de la foi ne change pas et constitue la loi ou la loi autour de laquelle s'articule le développement liturgique, seul un développement organique peut légitimement être envisagé », a cité Gaspers dans le livre de Ripperger.

L'exorciste a déclaré avoir souligné dans son livre que « ce n'est pas à nous de déterminer comment nous adorons Dieu », en citant l'Ancien Testament comme preuve de cela, puisque Dieu était « très exact » en dictant comment la liturgie est censée se dérouler.

« Même le Christ a dit : 'Faites ceci en mémoire de moi.' Il est donc très précis sur certaines choses qui doivent être faites » dans la liturgie, a déclaré Ripperger. "Et c'est à Dieu de prendre ces décisions."

 a noté que le pape a « un peu de latitude » concernant les parties « accidentelles » de la messe – c'est-à-dire ses aspects extérieurs, qui se sont en fait « développés au fil du temps » – mais que ceux-ci ne peuvent pas tenter de modifier les fondamentaux : la foi elle-même, la loi divine positive et la loi naturelle.

« En fin de compte », nous devons reconnaître que Dieu a déterminé la manière dont nous devons l'adorer, a déclaré Ripperger, c'est pourquoi « la tradition est si essentielle », et il approfondit l'importance de cela dans son livre .

« Parce que c'est précisément à travers la tradition que ce que Dieu nous a enseigné sur ces questions nous parvient », a déclaré l'exorciste, soulignant que l'Écriture est également considérée comme faisant partie de la tradition.

Le fait est que c'est précisément à travers ces choses qui nous ont été transmises depuis le tout début, depuis l'époque des apôtres jusqu'à aujourd'hui, que nous savons réellement que c'est ce que nous sommes censés faire , a-t-il poursuivi.

En d'autres termes, « plus quelque chose reste longtemps dans la liturgie, plus on sait que c'est la volonté de Dieu qu'il y soit utilisé », a déclaré Ripperger.

Son analyse semble suggérer des problèmes avec le Novus Ordo Missae, ainsi que mettre en garde contre des changements potentiels à venir dans cette messe, ou même contre une nouvelle messe (« Messe » ?). En effet, Ripperger, Gaspers et Moynihan ont fait allusion aux dommages que le Novus Ordo a infligés à la foi des gens en raison de l'apparition soudaine de nombreux changements radicaux dans la liturgie.

"Quand il y a autant de changements" dans la messe, "en fin de compte... ce qui se passe c'est... ça leur donne l'impression que la foi elle-même pourrait changer, ou que le contenu de la foi pourrait changer », a déclaré le Père. Ripperger, ajoutant qu'il n'est "pas la seule personne à avoir attiré l'attention sur ce problème particulier".

En fait, selon Ripperger, saint Thomas d’Aquin lui-même a déclaré que si la loi est modifiée trop fréquemment, sa force finit par s’éroder. »

Rappelons suite à notre dernière analyse que les élections américaines 2024 sont un pivot, un point de bascule.

D’ailleurs les prophéties de Jean XXIII font état d’une guerre civile aux États-Unis, mais les prophéties politiques sont plus difficiles à interpréter.

Tout comme la prophétie « Grand Éclair à l’Orient ».

Le Jerusalem Post a publié une analyse qui confirme qu'Israël a mis la pédale douce dans la dernière attaque contre l’Iran à la demande des États-Unis pour qu’il n’y ait pas d’influence sur le résultat des élections.

Le chef de la Force de Défence Israélienne a confirmé que si l’Iran réplique, les cibles seraient les points stratégiques majeurs.

Bref, ils ont testé la défense iranienne et ils savent à quoi s’en tenir.

Israël devrait frapper après les élections.

Préparez-vous car une attaque majeure contre l’Iran (ces derniers bloqueront le détroit d’Ormuz, voie navigable du pétrole) ou de la Chine contre Taïwan (ce qui se dessine à l’horizon après les élections; il y aura un blocus des pays occidentaux contre la Chine en représailles), vont avoir une incidence majeure sur le coût des biens et services.

Une inflation de guerre n’est jamais négligeable.

28 octobre

LE PROJET 47 : LA SUITE

À une semaine des élections américaines, effectuons un retour sur le dernier article du regretté Louis D’Alencourt du Grand Réveil qui anticipait avec impatience cette date du 5 novembre et sa vision du Projet 47 pour le venue du « messie » le 20 janvier 2025, jour d’assermentation du président, et date invoquée en 2021 :

« Parce que les élites juives, civiles et rabbiniques, ont demandé à l’ensemble des juifs du monde de réciter une prière mondiale pour demander le Messie le 21 février 2021 : ce jour-là, tous les juifs du monde devaient réciter la même prière à la même heure, 18h heure de Jérusalem.

Or le 21 février 2021 est distant de 47 mois, au jour près, du 20 janvier 2025. »

« Seuls les imbéciles, les naïfs et les ignorants, soit la majorité de nos concitoyens, ne savent pas que depuis deux mille ans la communauté juive caresse un projet messianique basé sur les promesses de Dieu faites à son peuple via les prophètes de l’Ancien Testament -à commencer par Isaïe-, à savoir la domination du monde, l’accaparement et la jouissance de ses richesses. »
(projet 47 - grandreveilwordpress.com)

Telle est la théorie développée dans l’article « Projet 47 » : la venue du messie judéo-maçonnique.

Cinq mois se dont écoulés depuis la publication de l’article.

Où en sommes-nous? Que s’est-il passé depuis le mois de mai?

Albert Pike (dernière analyse) :

« La Troisième Guerre mondiale doit être fomentée en utilisant les divergences que les agents des Illuminatis attiseront entre les Sionistes Politiques et les dirigeants du monde musulman. La guerre doit être menée de telle manière que l’Islam (le monde Arabe y compris la religion de Mahomet) et le Sionisme Politique (y compris l’État d’Israël) se détruisent mutuellement. Dans le même temps, les autres nations une fois de plus divisées entre elles à ce propos, seront forcées de se combattre jusqu’à un état d’épuisement complet, physique, moral, spirituel et économique. »

Tel est le plan pour en arriver au messie judéo-maçonnique.

Or, nous constatons en cette fin d’octobre 2024 que :

- La guerre entre l’Islam chiite et Israël s’est étendue et amplifiée.

- La guerre en Ukraine persiste et la Corée du Nord fournie de l’armement et des combattants (plus de 12000) en abondance à la Russie. Idem pour la Chine.

- L’Iran resserre ses liens avec ces derniers.

- La Chine menace Taïwan.

- Bref, il existe deux axes maintenant confirmés, que nous connaissons depuis longtemps pour les avoir analysés : l’axe anglo-saxon qui veut un messie avec domination unipolaire, et l’axe des Loubavitch, Russie en tête, qui veut un messie avec un monde multipolaire.

« M. Poutine présente l’invasion de l’Ukraine comme « le fer de lance de la destruction de l’ancien ordre mondial et de la construction d’un nouvel ordre », a déclaré Alexander Gabuev, directeur du Centre Carnegie Russie-Eurasie à Berlin. « Le BRICS est la structure la plus puissante et la plus représentative de ce nouvel ordre mondial. » (lapresse.ca)

Les pays associés aux BRICS (axe russo-chinois) ont décidé de faire tomber le dollar américain la semaine dernière et publié leur projet d’une nouvelle monnaie commune.

- Tous les pays dominants ont augmenté de façon drastique l’immigration avec comme conséquence des prix des loyers et des habitations augmentant en flèche. Le but : diluer le christianisme et l’identification culturelle pour pouvoir imposer la nouvelle religion humaniste.

- Tous les pays ont augmenté leurs dépenses fiscales conséquemment, plongeant ces derniers dans une dette qui ne sera pas remboursée. Les deux guerres ont parallèlement la même fonction : augmenter la dette tout en épuisant les ressources militaires des autres nations y participant : matérielles et humaines.
 
« Dans le même temps, les autres nations une fois de plus divisées entre elles à ce propos, seront forcées de se combattre jusqu’à un état d’épuisement complet, physique, moral, spirituel et économique. » (Albert Pike ci-haut)

Voilà l'état de notre monde à l'aube des élections américaines.

Les brebis sont menées à abattoir par l’anxiété et l’épuisement.

Le « Projet 47 » est étroitement lié aux élections américaines selon Louis D’Alencourt.

Pour la venue du messie judéo-maçonnique.

Depuis la parution de l’article, il s’est passé une série d’évènements proprement extraordinaires dans le contexte d’une campagne électorale.

Un débat où le président sortant, le plus vieux de l’histoire en exercice, a démontré que l’âge avait affecté ses facultés cognitives.

Ce qui a mené à son retrait de la course présidentielle un mois plus tard.

L’ex-président Trump a échappé à deux attentats contre sa personne.

Les deux camps sont au coude à coude et les mensonges pleuvent dans les médias pour influencer la masse quant au vote.

Louis D’Alencourt :

« Par conséquent la stratégie paraît claire : le candidat qui doit gagner le 5 novembre est très certainement le Démocrate, quitte à tricher encore une fois, comme ils l’ont fait en 2020 pour reprendre la main et évincer Trump. Ceci me paraît être leur projet avec certitude.
Ensuite, l’inconnue réside dans le fait qu’on ne sait pas encore si celui ou celle choisi pour être le 47è Président, qui doit être selon moi forcément juif, ce qui n’est pas le cas de Biden, sera révélé peu de temps avant l’élection, remplaçant le candidat Biden à la dernière minute, dans un contexte et une situation arrangés pour la circonstance (l’actualité internationale est suffisamment riche pour « organiser » de grands changements), ...

Conclusion

Le Projet 47, c’est l’entrée dans l’ère de l’hégémonie et de la domination des élites juives, du judaïsme et de l’esprit juif sur le monde (le tout formant leur « Messie »), et cette ère, nous disent-ils avec leurs signes ésotériques, commencerait à l’investiture du 47è Président américain, le 20 janvier 2025.

Mais puisque le 47 est aussi le chiffre du Christ en gloire, il n’est pas interdit de penser que l’inverse peut se passer et qu’en réalité, ce sera la victoire du Christ sur le monde, le démon et la synagogue. Et le signe de la conversion en masse des juifs à la fin du monde comme le pressent la tradition chrétienne. »

Nous savons tous (analyses précédentes) que l’Islam chiite, Iran en tête, espère voir son « mahdi » ou messie apparaître suite à une guerre avec Israel.

Ils ont donc intérêt à continuer l’escalade.

Du côté israélien :

« Netanyahou est sous l'influence de certains ministres messianiques et racistes qui le forcent à déclencher une escalade pour accélérer la venue du Messie et ce n'est pas une manière saine pour un État comme Israël dans un environnement hostile et complexe »  (Ehud Barak, ancien Premier ministre israélien)

Pour les israéliens au pouvoir, le comportement de Trump lors de la dernière élection n'a été que stratégie pré-électorale, voici un rappel des propos tenus par Netanyahu le 5 mars 2018 à Washington DC quant à celui qu'il compare au roi Cyrus.

« Je tiens à vous dire que le peuple juif a une longue mémoire ; nous nous souvenons donc de la proclamation du grand roi Cyrus le Grand, le roi perse, il y a 2 500 ans. Il a proclamé que les exilés juifs à Babylone pouvaient revenir et reconstruire notre Temple à Jérusalem.

Nous nous souvenons qu'il y a cent ans, Lord Balfour a publié la proclamation Balfour qui reconnaissait les droits du peuple juif sur sa terre ancestrale.

Nous nous souvenons qu'il y a soixante-dix ans, le président Harry S. Truman a été le premier dirigeant à reconnaître l'État juif.

Et nous nous souvenons qu'il y a quelques semaines, le président Donald J. Trump a reconnu Jérusalem comme capitale d'Israël. Monsieur le Président, notre peuple s'en souviendra à travers les âges. » (israelnationalnews.com)

Jésuralem, c’est la capitale qui doit être reconnue comme centre du système messianique judéo-maçonnique… à la place de Rome.

« L’idée principale véhiculée par ces pièces est que le président Trump initie un processus prophétique qui facilitera finalement, le moment venu, la reconstruction du Troisième Temple. » (pierre hillard)

Netanyahou, rappelons-le, est celui qui d'après le rabbin Schneerson, « remettra les clés d'Israël au Messie »

Voilà pourquoi on le maintient au pouvoir depuis des années.

« Netanyahou : détenir les clés du Messie

Une division au sein de la coalition dirigée par le premier ministre Benjamin Netanyahu pourrait mener à de nouvelles élections, ce qui susciterait l'inquiétude de certains, tandis que d'autres notent que cette évolution aurait pu être prédite à maintes reprises comme le précurseur d' une époque meilleure et beaucoup plus messianique.

...

Même si les élections pourraient mettre fin au long séjour de Netanyahu au poste de premier ministre, certains pensent qu’elles marqueront le début d’une ère entièrement nouvelle, beaucoup plus messianique.

Le lien le plus fort de Netanyahu avec le Messie était celui du rabbin Menachem Mendel Schneerson , le dirigeant de Loubavitch Habad décédé en 1994. Les deux hommes se sont rencontrés pour la première fois en 1984, lorsque Netanyahu était ambassadeur d'Israël auprès des Nations Unies.

Avant que Netanyahu ne retourne en Israël en 1988 pour rejoindre le Likoud, le Rabbi lui a donné des conseils qui se sont révélés au moins en partie prophétiques.
...

« Ça me fait vraiment mal, en tant qu'ami, en tant que frère, en tant qu'ami proche, de voir comment les gens versent constamment le sang de Netanyahu », a confié le rabbin Schneerson à Nachshon. »

Mais j'ai une surprise pour toi, il va s'en sortir et il va se tenir debout, du côté de Dieu. Il a une promesse du Rabbi, et il va tenir jusqu'au bout. Nous avons vu cela se produire jusqu'à présent, et c'est aussi comme ça que ça va se passer désormais. Il s'en sortira et il continuera, et j'espère qu'il pourra remettre ses clés au Machia'h (le Messie), et nous aurons la Rédemption complète et véritable.

Le rabbin Loubavitch n'était pas le seul tsadik (homme juste) éminent à avoir de grandes attentes à l'égard de Netanyahu. Le rabbin Yitzchak Kaduri, l'un des chefs spirituels sépharades les plus influents du siècle, décédé en 2006 à l'âge de 106 ans, a rencontré Netanyahu en 1997 lors de son premier mandat de premier ministre.

Le rabbin Kaduri a murmuré un long message à l'oreille des politiciens. Le rabbin Shmuel Shmueli, un disciple du rabbin Kaduri, a révélé que Kaduri avait toujours soutenu que Netanyahu servirait très longtemps et qu’après son mandat, le Messie arriverait. Avant sa mort, Kaduri avait dit qu'il attendait l'arrivée prochaine du Messie juif et qu'il l'avait rencontré un an plus tôt.   

En mai, Breaking Israel News a rapporté l'opinion du rabbin Levi Sudri, soulignant les nombreux parallèles entre l'actuel premier ministre et Jonathan, le fils du roi biblique Saül. Sudri a suggéré que Netanyahu remplit la fonction de Moshiach ben Yosef (Messie de la maison de Joseph) dans la première moitié du processus messianique en deux étapes.

Moshiach ben Yosef est un processus pratique et banal qui comprend le rassemblement des exilés et la construction de la Terre d'Israël. La deuxième étape, Moshiach Ben David (Messie de la maison de David) est un processus miraculeux qui comprend le rétablissement de la dynastie davidique et l'achèvement du Troisième Temple .

Le rabbin Sudri a expliqué qu’en tant que réincarnation de Jonathan et manifestation du Machia’h ben Yosef, Netanyahu ouvre la voie au Machia’h ben David, plus transcendant, qui suivra immédiatement.

« Il est très clair que nous voyons chez le premier ministre Benjamin Netanyahu qu’il accomplit son destin de Machia’h ben Yosef , c’est-à-dire la réincarnation de Jonathan », avait alors déclaré le rabbin Sudri à Breaking Israel News . « Le nom « Netanyahu » (נתניהו) est composé des mêmes lettres que le nom « Jonathan (יהונתן). »

Ce sentiment a été repris par le rabbin Moshe Ben Tov , connu pour sa capacité à percevoir le passé et le présent des gens en regardant la mezouza à leur porte. Après avoir accroché une mezouza dans le bureau du premier ministre, le rabbin Ben Tov a fait une déclaration remarquable au premier ministre.

« Il est très important que votre amour pour Israël continue jusqu’à l’arrivée du Machia’h parce que vous allez rester au pouvoir et allez le rencontrer », a déclaré le rabbin Ben Tov à Netanyahu. "Vous allez lui remettre les clés de ce bureau."… » (israel365news.com)

Pour la kabbale, c’est le temps du messie, et tout sera fait pour qu’il arrive, car cette guerre est spirituelle.

Le religieux domine toujours le politique, quoiqu’en pense la masse laïcisée.

27 octobre

LE RAPPORT

L’éléphant a-t-il accouché d’une souris?

Trois longues années de consultations et de tables rondes pour en arriver à un rapport… qui ne conclut sur rien.

Rien.

Que du vent, sauf comme conclusion que le processus synodal est là pour demeurer indéfiniment.

Le futur cardinal Radcliffe avait bien raison de dire dans sa méditation du 21 octobre (analyse précédente) qu’il y aurait beaucoup de déceptions.

Pour ceux qui ne le savent pas encore le rapport a été publié après approbation rapide de Bergoglio samedi le 26 octobre.

« Il n’y aura pas d’exhortation apostolique post-synodale, a annoncé le pape François, à la fin du synode de trois ans, mais il est ordonné que le processus se poursuive.

CITÉ DU VATICAN ( LifeSiteNews ) — Le texte officiel et le document final du Synode pluriannuel sur la synodalité ont été publiés : plus silencieux sur les questions dites « brûlantes » que l'année dernière, mais appelant plutôt à une réforme à l'échelle de l'Église conformément à « synodalité » – un mot décrit comme signifiant une concentration sur l'œcuménisme, l'écoute et le renouveau. »

Alors…

Au premier abord, ce n’est pas la conclusion à laquelle nous nous attendions.

Pas de grande déclaration. Pas d’interdiction de la messe tridentine. Pas de grande manœuvre d’œcuménisme via une nouvelle messe.

En fait, le synode, cela n’existe pas comme l’ont analysé les différents spécialistes théologiques dans les dernières analyses.

On en conclu donc que la base n’a réellement rien à dire dans la destinée de l’église comme l’ont spécifié les intervenants du Vatican depuis 2021.

Voici ce que déclarait Bergoglio à l’ouverture de ce dernier :

« Chers frères et sœurs, que ce Synode soit un véritable temps de l'Esprit ! . . . Le Père Congar, de mémoire bénie, a dit un jour : « Il n'est pas nécessaire de créer une autre Église, mais de créer une Église différente » ( Vraie et fausse réforme dans l'Église ). C'est le défi. » (François, 9 octobre 2021, Discours d'ouverture du Synode)

Voilà.

La fausse église prophétisée par Anne Catherine Emmerich et autres.

Le synode n’a été qu’une grande réinitialisation, et N’EST, qu’un paravent pour adapter l’église au renouveau mondial humaniste, à la nouvelle religion de l’Agenda 2030.

Si notre hiérarchie catholique avait été peuplée d’évêques saints et fidèles, ces paroles auraient suffi à forcer la fin du Synode sur la Synodalité avant qu’il ne commence.

« Enraciné dans la tradition de l'Église, tout le chemin synodal s'est déroulé à la lumière du magistère conciliaire. Le Concile Vatican II a été comme une graine jetée sur le terrain du monde et de l'Église . . . . Le chemin synodal met effectivement en pratique ce que le Concile a enseigné sur l'Église comme mystère et l'Église comme peuple de Dieu, appelé à la sainteté par une conversion continue qui naît de l'écoute de l'Évangile. En ce sens, le chemin synodal constitue un acte authentique supplémentaire de réception du Concile, approfondissant ainsi son inspiration et redynamisant sa force prophétique pour le monde d'aujourd'hui .» (Paragraphe 5 du rapport)

Cet exemple démontre qu’à l’image de Bergoglio, tout est ambiguïté, et continuera de l’être.

Et, ce paragraphe confirme la fin de Vatican II, dont le rejeton, le « processus synodal » est là pour rester, et damner les âmes.

On le répète, l’église synodale implique LE processus démocratique qu'on a vu à travers le Synode, au moins superficiellement. En réalité, cependant, ce sont les ennemis de l'Église (avec Satan à leur tête) qui prennent les décisions, tout en faisant semblant de permettre aux fidèles d'avoir leur mot à dire.

Alors que le Saint-Esprit est celui qui guide toutes les décisions critiques dans l' Église catholique.

Pas ici dans ce processus superficiel.

Alors, que pouvons nous en conclure.

Simplement que l’Église est morte ou le sera bientôt car le processus synodale est un acte d’euthanasie sur cette dernière.

Est-ce la mort des deux témoins?

Il ne semble pas que ce soit encore le cas.

Car, il faut avoir la mémoire longue, Bergoglio attends toujours les rapports de ses comités sur les questions non résolues pour le début 2025.

C’est là que tout se décide.

Dans la tête de Bergoglio.

Et personne d’autre.

Car, selon la Constitution apostolique de Bergoglio de 2018, Episcopalis communio , une fois que le document final d'un synode « est expressément approuvé par le Pontife romain, le document final participe au Magistère ordinaire du Successeur de Pierre ».

Donc, Bergoglio a le mot final sur tout.

Il y aura donc plusieurs surprises à l’horizon dont l’interdiction totale de la messe Tridentine.

Et, comme nous l’avons vu pendant le synode, la mise en pratique pour trois ans du rapport du synode amazonien.

Pas de modification de la Liturgie pour l’instant, mais si on le mentionne dans le rapport final, c’est qu’on y pense et qu’on attend le moment propice pour agir :

« « Approfondir le lien entre liturgie et synodalité aidera toutes les communautés chrétiennes, dans la diversité de leurs cultures et traditions, à adopter des styles de célébration qui rendent visible le visage d'une Église synodale », peut-on lire dans le texte. (26 : 312/43) Interrogé sur ce point lors du briefing synodal de samedi soir, Hollerich a déclaré qu’il n’y avait aucun projet de « révolution » liturgique.

« Il n’est pas prévu de remplacer les prêtres par des laïcs ou des laïcs, juste pour rendre le processus un peu plus participatif », a-t-il déclaré. » (lifesitenews.com ci-haut)

Nous en saurons plus avec les analyses des spécialistes qui sortiront cette semaine.

Pendant la publication du rapport, « Des catholiques du monde entier se rassemblent à Rome pour le pèlerinage international annuel de la messe latine Summorum Pontificum, au cours duquel le cardinal Gerhard Müller a conduit les fidèles en prière à l'intérieur de la basilique Saint-Pierre. » (lifesitesnews.com – en anglais- mais des photos donnent une idée).

Pour terminer, la comète de la fin du synode plonge présentement vers le soleil (image ici du satellite SOHO : la comète vient du sud-est, en bas en droite de l’écran) et nous verrons ce qu’il en advient.

Vive le Christ Roi!

25 octobre

Dernier droit pour le synode des synodes: les participants sont en train d'écrire le rapport final.

Le futur cardinal Radcliffe, toujours responsable des méditations synodales, a eu le privilège de guider les « brebis synodales » en ce 21 octobre, avant la phase de rédaction du document.

Cela se résume à « liberté de parler et d'accepter des décisions même décevantes ».

On prépare donc les esprits à accepter l'inacceptable: la mort de l'Église et des deux témoins.

« Le père Radcliffe a appelé les participants à mettre en pratique la mission de «prêcher et incarner» une double liberté, «la double hélice de l'ADN chrétien»: «la liberté de dire ce que nous croyons et d'écouter sans crainte ce que les autres disent»...

«nous avons la liberté de ceux qui croient que, comme l'écrivait saint Paul aux Romains (Rm 8.28), “Dieu fait tout pour le bien de ceux qui l'aiment”, et qu'en fin de compte “nous pouvons être en paix parce que ”rien ne peut nous séparer de l'amour de Dieu», pas même l'incompétence, pas même l'erreur ». Ce n'est qu'ainsi que nous pouvons passer de la première liberté, celle qui nous fait dire «je», à la liberté plus large qui nous fait «appartenir à l'Église et dire “nous”». » (vaticannews.va)

L'église du « nous », c'est l'église synodale. En permanence. Évoluant au gré des moeurs des fidèles.

Comme preuve, il clôture sa méditation en mettant l'accent sur la façon dont la « liberté » synodale se traduit par le besoin de se libérer avec audace des contraintes de l'orthodoxie.

Lire ici: se libérer de la Tradition, la véritable Église catholique fondée sur Pierre, la pierre angulaire de l'Église.

« Si nous avons seulement la liberté d'argumenter pour nos positions, nous serons tentés par l'arrogance de ceux qui, selon les mots de Lubac, se considèrent comme 'la norme incarnée de l'orthodoxie'. Nous finirons par battre le tambour de l'idéologie, qu'elle soit de gauche ou de droite.

Si nous n'avons que la liberté de ceux qui font confiance à la Providence de Dieu mais n'osent pas entrer dans le débat avec leurs propres convictions, nous serons irresponsables et ne grandirons jamais. » (vaticannews.va ci-haut)

C'est ce type de « liberté » qui permet à un prêtre catholique qui soutient haut et fort l'agenda LGBTQ d'être le guide spirituel du Synode.

Cependant, comme les catholiques le savent, cet état d'esprit exclut la véritable liberté que Dieu offre à ceux qui respectent sa vérité et conduit plutôt ses adhérents à être esclaves du péché, qui est une facette clé du processus synodal.

Ce n’est pas là le vrai sens de la liberté chrétienne.

Dieu nous a créé libre pour faire le choix entre être sauvé par le Christ, ou perdre son âme à jamais.

Ce n'est qu'en vivant selon ce que l'Église enseigne réellement qu'on peut avoir la liberté intérieure dont parle saint Paul.

Ces paroles confirment nombres de prophéties en passant par Anne Catherine Emmerich et l'archevêque Fulton Sheen :

« Il établira une contre-Église qui sera le singe de l'Église, car lui, le Diable, est le singe de Dieu. Elle aura toutes les notes et les caractéristiques de l'Église, mais à l'envers et vidée de son contenu divin. (Mgr Fulton Sheen, Le communisme et la conscience de l'Occident ).

Ainsi, nous aurons la conclusion de Vatican II avec le rapport final qui sera déposé par les participants en ce dimanche 27 octobre 2024.

Octobre 2024 est l'année où tout bascule (voir analyse du 18 septembre: À L'AUBE DU SALUT).

La fausse église montrera à tous les adeptes du mondialisme qu'elle s'est pleinement convertie aux valeurs humanistes de la « théologie de la libération » à la sauce bergoglienne.

Si ce n'est pas une coïncidence, Bergoglio a rendu un grand hommage au père de la théologie de la libération qui est décédé le 22 octobre dernier, alors que Jean-Paul II et Benoît XVI avaient pris les dispositions nécessaires pour s'éloigner de cette idéologie marxisante. (voir benoit-et-moi.fr)

Mais, l'Église ne périra point.

En ce 27 octobre, selon l'Église, c'est la fête de Notre Seigneur Jésus-Christ Roi.

Pas de hasard pour les véritables croyants qui ont la vue pour voir.

Le monde n'a jamais été sous une telle tension qu'en cette fin de mois où s'entrecroisent la fin du synode, Israël qui menace l'Iran d'une attaque foudroyante, ce qui va mettre le feu aux poudres pour l'élargissement du conflit au Moyen-Orient, la guerre ukrainienne, les menaces de la Chine envers Taïwan, et les élections américaines dans deux semaines.

Et le soleil...

Une série de taches solaires sont apparues hier qui élèvent drastiquement le niveau d'alerte des possibilités d'une tempête solaire majeure. (photo ici)

Ces taches au sud-ouest sur l'image se déplaceront vers le sud-est durant les prochains 14 jours.

Elles feront donc face à la terre lorsqu'elles seront en plein centre de l'astre du jour.

C'est à suivre...

22 octobre

LE FAUX PROPHÈTE, LE SYNODE, ET LA MESSE

L’ascension de Bergoglio au trône de Saint-Pierre est la conséquence d’un processus très long engendré par la franc-maçonnerie, directement lié au relâchement des démons pour la fin des temps évoqué par Léon XIII (voir analyses précédentes sur Léon XIII et l’importance du chiffre 13).

La franc-maçonnerie avait réussi à placer son premier pape sur le trône de Saint-Pierre suite au décès de Léon XIII en 1903.

Mais, le cardinal Rampolla nouvellement élu fut évincé grâce à l’intervention de l’empereur François-Joseph d’Autriche qui usa de son droit de veto (privilège réservé à l’Autriche, à la France et à l’Espagne. Évidemment, le droit de veto fut aboli peu de temps après).

Ce qui n’empêcha pas les cardinaux de mettre son buste dans la salle papale en face de la liste des papes décédés avec l’inscription suivante :

« Marianus Rampolla del Tindaro titulaire de Sainte-Cécile (tu Transtevere) étant dévôt du bienheureux Pierre et ayant comme archiprêtre de la basilique offert à cette dernière une splendeur insigne l’Ordre des Chanoines plein de reconnaissance envers ce grand homme perpétue sa mémoire année 1914. »

« Franc-maçon appartenant supérieurs lucifériens (OTO : Ordo Templi Orientis) au service du pape Léon XIII et qui faillit lui succéder en 1903. Par un coup de pouce de la Providence, c’est Saint Pie X qui arriva sur le trône de Saint-Pierre. Son action permit de retarder le développement du modernisme dans l’Église. Cette infiltration, sans oublier les relais au service de Rampolla, on perduré après sa mort… cela a donné Vatican II… » (Pierre Hillard, Archives du Mondialisme, p. 178)

Rampolla fut l’homme d’action dans le domaine spirituel pour détruire l’église et amener l’humanité au nouvel humanisme. Il a échoué à devenir pape pour accélérer le processus, mais son réseau a perduré après sa mort en 1913 pour en venir à l’assimilation de l’Église aux dogmes judéo-maçonniques.

Du côté politique, c’est Josef Hieronim Retinger qui a tenu le rôle pour la construction européenne (organisme maintenant supra-national qui dicte ses lois au pays en faisant partis), prélude nécessaire au nouvel ordre mondial.

Rampolla et Retinger se connaissaient, et s’estimaient.

La tentative Rampolla avait échoué.

Les franc-maçons essayèrent de nouveau en 1958 où le cardinal Siri fut élu pape mais on lui a fait rapidement savoir au conclave, sous menaces, qu’il devait laisser la place au cardinal Roncalli.

« Mes chers amis, le Siège de Pierre et les places d'autorité à Rome étant occupés par des antéchrists, la destruction du Royaume de Notre Seigneur s'effectue rapidement jusque dans Son Corps Mystique ici-bas, notamment par la corruption de la Sainte Messe. qui est à la fois l’expression splendide du triomphe de Notre-Seigneur sur la Croix – Regnavit a Ligno Deus – et la source de l’extension de son royaume sur les âmes et les sociétés. » (MgrLefebvre, un an avant la consécration de quatre évêques pour la Fraternité Saint-Pie X)

Ainsi, la porte était ouverte pour Vatican II et la venue du faux prophète : Bergoglio.

Le faux prophète n’est mentionné qu’à deux occasions dans l’Apocalypse : pour la toute fin des temps, pour la préparation de l’acte final, Armageddon.

« Et je vis sortir de la bouche du dragon, et de la bouche de la bête, et de la bouche du faux prophète, trois esprits impurs, semblables à des grenouilles. Car ce sont des esprits de démons qui font des prodiges, et ils vont vers les rois de toute la terre, afin de les rassembler pour le combat du grand jour du Dieu tout-puissant. Voici que je viens comme un voleur. Heureux celui qui veille et qui garde ses vêtements, pour ne pas aller nu et ne pas laisser voir sa honte !

Et ils les rassemblèrent dans le lieu appelé en hébreu Armaguédon. » (Apocalypse 16, 13-15)

Le dragon, Satan, est accompagné de la bête de la terre (le système antichrist; Nations-Unies, France, Fille Aînée de l'Église converti à la laïcité avec à sa tête Macron) et le faux prophète Bergoglio pour le Vatican, soient les deux Babylone de la prophétie de Jean XXIII.

« Quand les mille ans seront accomplis, Satan sera relâché de sa prison, et il en sortira pour séduire les nations qui sont aux quatre extrémités de la terre, Gog et Magog, afin de les rassembler pour le combat : leur nombre est comme le sable de la mer.

Elles montèrent sur la surface de la terre, et elles cernèrent le camp des saints et la ville bien-aimée ; mais Dieu fit tomber un feu du ciel qui les dévora. Et le diable, leur séducteur, fut jeté dans l'étang de feu et de soufre, où sont la bête et le faux prophète, et ils seront tourmentés jour et nuit aux siècles des siècles. »
(Apocalypse 20, 6-10)

Nous avons eu la preuve depuis 2013, que Bergoglio parle comme un esprit impur, ni oui, ni non, que de l’ambiguïté, ne se fiant aucunement aux dogmes, mais à l’« esprit humaniste », esprit habitant maintenant le synode des synodes, et non, l’Esprit-Saint.

Il est bien celui qui prône l’amalgame de toutes les religions et pour y parvenir prêche l’immigration de masse pour éliminer l’identification culturelle, et surtout l’identification au christianisme catholique.

Il prépare le nouvel ordre mondial avec l’élite judéo-maçonnique dominante, prônant les cessez le feu et la paix mondiale pour arriver à cette fin avec une seule religion humaniste.

«Le pape François a canonisé hier, le 20 octobre, les martyrs de Damas. Dans la nuit du 9 au 10 juillet 1860, dans le cadre de la persécution des chrétiens, des druzes ont pris d’assaut le couvent des franciscains dans la vieille ville de Damas. Ils y ont tué onze chrétiens dont ils se sont emparés : huit franciscains et trois laïcs arabes.

L’Osservatore Romano, le quotidien officiel du pape, a présenté les nouveaux saints sans mentionner pourquoi ils avaient souffert le martyre : Parce qu’ils avaient refusé d’embrasser l’islam. » (benoit-et-moi.fr)

Voilà. On ne froisse pas l'Islam parce qu'elle doit absolument entrer dans le rang (voir analyses précédentes et le pacte d'Abu Dhabi signé par Bergoglio).

Voici ce qu’avait affirmé Albert Pike, le grand prophète luciférien du XIXème siècle :

« La Troisième Guerre mondiale doit être fomentée en utilisant les divergences que les agents des Illuminatis attiseront entre les Sionistes Politiques et les dirigeants du monde musulman. La guerre doit être menée de telle manière que l’Islam (le monde Arabe y compris la religion de Mahomet) et le Sionisme Politique (y compris l’État d’Israël) se détruisent mutuellement. Dans le même temps, les autres nations une fois de plus divisées entre elles à ce propos, seront forcées de se combattre jusqu’à un état d’épuisement complet, physique, moral, spirituel et économique. » (grandreveilwordpress.com)

C’est exactement ce à quoi nous assistons au Moyen-Orient.

Le prince du mensonge étant orgueilleux, ainsi en est-il du fils spirituel, le faux prophète : Bergoglio sortira une troisième autobiographie en deux ans, confirmant sa volonté d’un testament perpétuel de son pontificat (voir analyses précédentes).

Et ce testament est marqué, comme ce fut prophétisé, par la grande apostasie.

« Mgr Viganò : le « faux prophète » Bergoglio est coupable d’« apostasie totale » (analyse 14 décembre 2023)

« Comme il l’a fait en Hongrie devant les jésuites (« le soutien incroyable au restaurationnisme » est une « maladie nostalgique ».), Bergoglio cite encore Saint Vincent de Lérins, et portant fièrement le chapeau de « faux prophète » de l’Apocalypse, il divise au lieu de rassembler, il égare au lieu de ramener la brebis à la bergerie, il manipule les mots avec sa langue fourchue pour empoisonner l’âme, provoquer le schisme en faisant croire qu’il est le chef de la nouvelle église moderniste, et que tous, doivent être inclus au banquet
comme l’a dit Jésus. » (analyse 28 août 2023)

Le faux prophète, c'est aussi celui qui cache la vérité pour atteindre l'objectif du dragon.

Pendant qu'on discute au synode des synodes, Bergoglio a créé dix comités qui ont pour mandat de conclure les dix questions non résolues d'octobre 2023. Le rapport lui sera remis en 2025, soit hors synode!

Et le 5ème comité... Obscur...

« Le champ d’action de ce groupe comprend « les questions théologiques et canoniques concernant les formes ministérielles spécifiques » et, en particulier, « la recherche théologique et pastorale sur l’accès des femmes au diaconat ».

Au cours de sa présentation, le cardinal a indiqué aux membres du synode que la possibilité de restaurer le diaconat féminin reste une question ouverte.

Le cardinal a toutefois mis en garde contre une décision « précipitée » qui court-circuiterait le discernement nécessaire sur cette question, ainsi que sur les questions plus générales concernant les ministères féminins dans l’Église catholique.

Dès le départ, cependant, le groupe d’étude n° 5 a été entouré de mystère.

Contrairement aux neuf autres groupes, sa composition n’a toujours pas été révélée. Lors de présentations vidéo spéciales le jour de l’ouverture du synode, des photos ont été montrées des membres de chaque groupe d’étude, à l’exception du groupe n°5.

Au cours des réunions spéciales du 18 octobre, qui avaient été ajoutées au calendrier du synode pour permettre aux délégués de dialoguer avec les responsables de chaque groupe d’étude, la session du groupe d’étude n°5 a été animée par deux jeunes fonctionnaires du Dicastère pour la Doctrine de la Foi du Vatican.

Selon de nombreux participants, ceux-ci ont distribué aux délégués synodaux des feuilles indiquant comment ils pouvaient soumettre leurs commentaires pour le groupe d’étude n°5.... » (benoit-et-moi.fr)

Louis D'Alencourt a toujours affirmé que la mort de l'Église ou des deux témoins arriveraient par l'abolition de la Présence Réelle ou la dilution du sacerdoce:

« les questions théologiques et canoniques concernant les formes ministérielles spécifiques » est exactement un mandat pour diluer le sacerdoce.

Le faux prophète est partie intégrante du 3ème secret de Fatima :

« Voici ce qu’on soupçonne d’être le 3ème secret, reconstitué par Frère Michel de la Trinité au terme d’une étude publiée il y a plus de trente ans (en 1985) !

Tandis qu’au Portugal se conservera toujours le dogme de la foi, dans bien des nations peut-être dans le monde presque entier, la foi se perdra. Les pasteurs de l’Église manqueront gravement aux devoirs de leurs charges. Par leur faute, les âmes consacrées et les fidèles en grand nombre se laisseront séduire par des erreurs pernicieuses partout répandues. Ce sera le temps du combat décisif entre la Vierge et le Démon.  Une vague de désorientation diabolique déferlera sur le monde. Satan s’introduira jusqu’au plus haut sommet de L’Église. Il aveuglera les esprits, il endurcira le cœur des pasteurs. Car Dieu les aura livrés à eux-mêmes en châtiment de leur refus d’obéir aux demandes du Cœur Immaculé de Marie. Ce sera la grande apostasie annoncée pour les derniers temps, le faux agneau, faux prophète trahissant l’Église au profit de la Bête, selon la prophétie de l’Apocalypse. »

Le regretté Louis D’Alencourt du Grand Réveil nous révélait que :

« Bergoglio (le pape François) est sans chiffre parce qu’il est unique, il est à la fois le dernier et le premier. Le dernier pape de l’ex-catholicisme et le premier chef de la nouvelle religion de l’humanité.

Il est chargé d’accomplir la dernière mutation de l’Église, on pourrait même dire sa mue ; il ne s’agit pas d’une disparition en tant que telle, mais d’une transformation. Elle n’aura même pas besoin de changer de nom, parce que sa requalification en religion de l’humanité constituera de facto la disparition de l’original.
Cependant il subsiste un problème de taille : la messe.

La messe fait tâche d’encre, elle ne colle pas avec ce discours ni son esprit, ni même l’ambiance. Car la messe, même sous sa forme ordinaire (la messe de Paul VI), même dénaturée, est peut-être le dernier lieu, le dernier office, à vénérer ostensiblement Jésus-Christ comme Dieu, malgré leurs efforts pour le diluer dans l’humanisme ambiant. En tous cas, la messe telle qu’elle existe encore -et je rappelle qu’elle constitue l’office principal des catholiques- n’est pas compatible avec cette nouvelle théologie, qui voit Dieu partout, dans toutes les religions, justement parce qu’elle ne lui donne pas son vrai nom : Jésus-Christ. Sauf à la messe.

C’est une incongruité. Une incompatibilité avec la nouvelle théologie du Vatican. En toute logique, elle aurait déjà dû être réformée, adaptée au goût du jour, assaisonnée d’œcuménisme comme tout le reste, pour qu’elle soit compatible avec leur nouveau Dieu, universel et non Trinitaire.

Mais ce n’est pas si simple.

Il faut rappeler que la messe catholique ou orthodoxe est le seul office religieux qui prétende faire venir Dieu en personne sur l’autel à chaque office. Aucune autre religion n’a une telle prétention, personne n’ose prétendre faire venir Dieu sur place et encore moins physiquement (car c’est bien l’objet du miracle de la Transsubstantiation : l’hostie et le vin dans le calice sont les signes visibles d’une Présence divine réelle, par définition invisible puisque Dieu est un pur esprit. D’où leur changement de substance : la Présence Réelle est physique !)

Personne ne le fait parce que cette idée ne peut pas et ne pouvait pas être humaine : seul Dieu pouvait en avoir l’idée et l’instaurer parmi les hommes. Parce que si Dieu ne se rendait pas présent à ce moment-là, la supercherie serait découverte et la religion en question ferait long feu.

Voilà pourquoi aucune religion, en dehors de nous, ne prend le risque de déclarer faire venir Dieu durant ses célébrations. Si c’était facile à faire, et s’il suffisait de l’affirmer sans preuve, tout le monde le ferait.

Or personne ne le fait. Même pas les Protestants, parce que le fondateur des protestants, Luther, savait très bien au fond de lui-même, qu’il était un hérétique coupé de la grâce et du soutien divin.

Pour tromper son monde, il a donc institué à la place de la messe une célébration commémorant la Sainte Cène mais sans Consécration ni miracle de la Transsubstantiation. La messe de Luther n’est qu’une cérémonie où l’on prie Dieu comme dans toutes les autres religions, sans le signe distinctif qui fait le privilège de la seule vraie religion, de la seule agréée par Dieu parce que fondée par Lui, un signe exceptionnel inégalable et inimitable : la Présence Réelle.

Et la garantie de la Présence Réelle est donnée d’une part par l’expérience unique de la vie divine en soi (la véritable spiritualité) et par les innombrables miracles accomplis chez les catholiques seuls.

Rappelons que le principe des Ex-voto et de la canonisation n’existe que dans le catholicisme et l’orthodoxie. Aucune religion ne nous imite sur ce plan et pour cause : parce qu’aucune ne peut prétendre aux miracles qui prouvent la présence de Dieu. Les plaques de remerciements (Ex-voto) témoignent de ces miracles au quotidien et n’existent que dans nos églises, de même pour les saints, une canonisation ne peut être prononcée qu’après constat avéré d’un ou plusieurs miracles liés au saint.

Voilà pourquoi les protestants ont abandonné le culte des saints : là aussi, Luther savait très bien que dans sa contrefaçon du christianisme il n’y aurait pas de miracles et donc pas de saints ; pour le masquer, l’astuce a consisté à supprimer le culte des saints.

D’autre part, l’Eucharistie catholique est le principal sacrement qui unit l’homme à Dieu, appliquant à l’homme le mystère de l’union hypostatique effectuée par le divin Maître. Par les sacrements, mais principalement par l’Eucharistie car celui-ci a l’éminente qualité d’être répétitif, Dieu insuffle à l’homme la grâce sanctifiante, et le divinise en s’unissant à la nature humaine, c’est à dire non par le corps mais par l’esprit (c’est le véritable sens du mot spirituel, la vie spirituelle ne peut s’appliquer en réalité qu’aux catholiques en état de grâce et sûrement pas à tout le monde).

C’est dans notre âme que Dieu habite, c’est notre âme que Dieu nourrit par ses sacrements, principalement l’Eucharistie, faisant de ses enfants des temples du Saint-Esprit selon l’expression de saint Paul.

Voilà pourquoi le Royaume de Dieu n’est pas de ce monde (matériel) mais d’ordre spirituel. C’est par l’âme que Dieu s’unit à l’homme.

Ainsi donc, modifier la messe n’a rien d’anodin. » (grandreveilwordpress.com)

Voilà pourquoi on s’attaque dans les derniers mois à ceux et celles qui pratique la Messe Tridentine.

Cet obstacle gênant doit être éliminer au plus vite, le temps presse.

Une autre victime?

« ( LifeSiteNews ) — La journaliste du Vatican Diane Montagna rapporte que l'archevêque émérite de Dublin d'Irlande, Diarmuid Martin, et l'archevêque émérite de Tours de France, Bernard-Nicolas Aubertin, ont été sollicités pour effectuer la visite apostolique récemment annoncée par le Vatican à la Fraternité sacerdotale de Saint-Pierre.
Fondée en 1988 pour les prêtres désireux d'offrir la messe latine avec l'accord du Vatican, la FSSP a annoncé cette visite fin septembre dans un communiqué. 

« Cette visite n'a pour origine aucun problème de la Fraternité, mais a pour but de permettre au dicastère de savoir qui nous sommes, comment nous allons et comment nous vivons, afin de nous apporter toute l'aide dont nous pourrions avoir besoin », a dit le groupe.
L'annonce a été considérée comme un signe inquiétant d'une possible répression de la FSSP par le pape François, alors que de précédentes visites apostoliques de communautés et de membres du clergé à l'esprit traditionnel , notamment Mgr Joseph Strickland, les frères franciscains de l'Immaculée et les Carmélites de Fairfield, l'ont fait …. »

La guerre mené par le faux prophète et ses maîtres judéo-maçonniques a pour but d’éliminer Dieu sur cette terre pour y faire régner Satan comme seul maître.

Louis D’Alencourt (lien ci-haut) :

« Cette guerre ayant démontré une fois de plus l’animosité entre les trois grandes religions monothéistes (chrétiens, juifs et musulmans), les promoteurs du nouvel ordre mondial proposeront la religion mondiale du noachisme via le faux prophète. La religion noachide sera présentée comme celle de la « nouvelle civilisation de l’amour », celle de l’Antéchrist et de son bras droit, le faux prophète. « Le Dieu unique est actuellement adoré sous des formes multiples, au sein de cultes bien différents, mais à l’époque messianique, le monde spirituel verra se réaliser l’unité d’adoration » explique un promoteur de la religion noachide. En somme, une religion universelle et cosmopolite, réunissant tous les hommes devenus enfin frères. Albert Pike est un peu plus clair : ce sera « la manifestation universelle de la pure doctrine de Lucifer, enfin révélée aux yeux de tous ». »

17 octobre

LA COMÈTE DE LA MORT?

En hommage aux écrits du regretté Louis D’Alencourt du Grand Réveil : son analyse des plus pertinentes à l’ouverture du synode en 2021.

Et, à dix jours de la conclusion le 27 octobre, il est temps d’ajouter à l’analyse de Louis, les quelques révélations qui ont transpiré des premières sessions, car il faut le mentionner, la loi du silence est imposée aux participants, et où, seuls quelques porte-paroles donnent des informations au compte goutte aseptisées par la bureau de presse du Vatican.

Le synode est même absent des principaux médias, comme s’il n’existait pas, ce qui est normal dans cette humanité apostasiée.

Ce qui est tout un contraste avec l’ouverture de Vatican II.

« LE SYNODE DE LA MORT » (grandreveilwordpress.com)

« Nous nous doutions que le synode sur la synodalité lancé par le « pape » François en octobre 2021 serait l’instrument pour achever l’Église et faire périr définitivement le peu de catholicisme authentique qui restait encore présent, nous en avons désormais la quasi certitude. »

 … Le 10 octobre 2021, lors de l’ouverture de ce synode, le Figaro titrait :

« François lance sa grande réforme de l’Église »

Donc personne ne se méprend sur le contenu réel et les objectifs de cette démarche, ni Rome qui ne se cache plus, ni les médias grand public.

C’est très simple : la méthode consiste à entreprendre des réformes de fond, décidées et prévues depuis longtemps, sous le couvert de la volonté populaire. On expliquera que les décisions prises ne proviendront pas de l’autorité ecclésiastique souveraine, mais des souhaits de la base, c’est à dire des croyants et des pratiquants du monde entier, après les avoir consultés.

(Note: Cela est confirmé aujourd’hui : Le synode deviendra LA manière de faire de l’église.

La base des chrétiens et ses prêtres « aux mœurs perverties » choisira la direction à prendre selon le calendrier humaniste :

« De toute évidence, le but de cette conférence était de renverser la classe hiérarchique de l’Église et de mettre en œuvre un système démocratique », a écrit le cardinal Joseph Zen à propos du Synode sur la synodalité…. Le cardinal Joseph Zen a lancé un avertissement sévère au sujet du Synode sur la synodalité et de la division persistante résultant des Fiducia Supplicans, affirmant que « l'avenir de l'Église » est « incertain » à moins que les problèmes ne soient résolus.

« Je suis très inquiet de la manière dont cette soi-disant « synodalité » du Synode des évêques pourra être conclue sans heurts », a commencé Zen , l'évêque émérite de Hong Kong.

Le dernier essai du cardinal, publié le 17 octobre, renouvelle ses préoccupations et ses critiques antérieures à l'égard du Synode sur la synodalité, mais fait également référence à la déclaration controversée Fiducia Supplicans de 2023 qui a approuvé les « bénédictions » homosexuelles.(lifesitenews.com)

«Il a averti que certains, « ne comprenant pas correctement la notion de synode, pourraient penser, par exemple, que l’Église catholique est désormais devenue une sorte d’organisme démocratique doté d’une sorte de nouvelle constitution ». (cardinal Tobin, analyse précédente))

Ceci est d’une totale hypocrisie, il s’agit en réalité d’un faux synode, d’une consultation pipée, dont les conclusions étaient déjà écrites avant même qu’il ne s’ouvre.

...

Petit aparté : il semblerait que les Églises locales n’aient pas toutes appliqué le principe aberrant d’étendre la consultation à tous, à commencer par ceux qui ne sont pas concernés par le catholicisme. Alors en janvier 2022, on a repoussé la première étape d’avril au 15 août 2022 pour forcer les diocèses catholiques à au moins y associer les protestants et les orthodoxes, sous prétexte de « dimension œcuménique » du processus synodal.

« Le Vatican a publié une lettre demandant aux évêques catholiques d’inviter les dirigeants orthodoxes et protestants locaux à participer à l’étape diocésaine du processus de deux ans menant au Synode de 2023 sur la synodalité. » ; lettre du 17 janvier cosignée par le cardinal Mario Grech, secrétaire général du Synode des évêques, et le cardinal Kurt Koch, président du Conseil pontifical pour la promotion de l’unité des chrétiens.

 « Le dialogue entre chrétiens de différentes confessions, unis par un seul baptême, occupe une place particulière dans le cheminement synodal », avancent-ils pour justifier cette démarche.

« En effet, la synodalité et l’œcuménisme sont des processus de « marcher ensemble ».

Là encore le ton est donné.

Mais si les catholiques demandent leur avis aux autres, en quoi resteront-ils catholiques ? Devons-nous nous fondre et nous confondre avec le monde ou bien au contraire défendre et renforcer ce qui fait notre spécificité et notre différence ? Ne sommes-nous pas capables par nous-mêmes d’analyser nos forces et nos faiblesses, et d’évaluer comment nous sommes perçus, et pourquoi ? »

(Note: Effectivement, le but ultime est la nouvelle religion humaniste « débarrassée » de ce gênant obstacle qu’est la présence réelle, le Christ. Nous savons tous maintenant que des groupes « wokes » ont leurs représentants au synode et font du lobbying ( François reçoit un groupe « trans » ), que les autres religions chrétiennes présentes (orthodoxes, mennonites, protestants, etc.) et Bergoglio savourent l’idée d’un œcuménisme avec comme célébration une forme commémorative à la sauce protestante sans le Christ.

« Synodalité et œcuménisme: un seul chemin

La conférence de presse de ce jeudi 10 octobre sur les travaux de l'assemblée sur la synodalité était centrée sur le thème de l'unité des chrétiens. Le cardinal Koch, le métropolite orthodoxe Job, l'évêque anglican Warner et la pasteure mennonite Graber étaient les invités de cette réunion. Demain, une veillée œcuménique avec la communauté de Taizé aura lieu au Vatican. » (vaticannews.va)

Ainsi, Bergoglio pourra se vanter d’avoir réussi l’impossible, le rêve de Paul VI, une religion qui se dit chrétienne, sans la Sainte Messe, humaniste.

Pour que son œuvre soit éternelle, Bergoglio, on l’a vu dernièrement, nommera encore plus de cardinaux le 8 décembre prochain, des cardinaux gagnés à la cause, et assez jeune pour pouvoir perpétuer l’église synodale.

Les cardinaux nommés par Bergoglio sont maintenant majoritaires, ET, SANS profondeur théologique.

« Il y a un manque de grandes figures, avec une lumière propre, des pasteurs, bien sûr, mais aussi des intellectuels puissants, avec un arrière-plan philosophique, théologique et canonique convaincant et reconnaissable.

À ce jour, la quasi-totalité des cardinaux créés par le pape François (163 au 8 décembre) sont des personnes qui se comportent comme des clones du pontife, ou plutôt, comme on l’a écrit ces derniers jours, « ce sont des cardinaux copié-collé ». (benoit-et-moi.fr)

Comment Bergoglio a-t-il réussi à faire avaler la pilule concernant l’œcuménisme humaniste?

Vous allez tous comprendre ici la manœuvre si importante de Bergoglio abandonnant le titre de pape pour n’être que le simple « évêque de Rome » il y a quelques années (confirmant la dernière citation de la prophétie des papes de Saint-Malachie : Pierre le Romain) :

« Qui dit œcuménisme dit primauté de l’évêque de Rome, une question latente depuis des siècles qui reste indirectement l'une des thématiques du synode en cours.

Une Église catholique plus synodale pourrait ouvrir la porte à une avancée significative en la matière. Depuis Ut Unum Sint de Jean Paul II en 1995, la primauté du Pape est ouvertement posée et des gestes concrets ont jalonné les dernières décennies: d’abord la demande de pardon de Paul VI et du Pape polonais, puis le 13 mars 2013, la manière dont François s’est présenté aux fidèles au soir de son élection: «la tâche du Conclave était de donner un Évêque à Rome. […] La communauté diocésaine de Rome a son Évêque». Jorge Mario Bergoglio ne s’est pas cité comme Pape.

Ce qui pourrait sembler un détail pour les uns, a été en réalité perçu comme le franchissement d’une nouvelle étape du dialogue œcuménique. Orthodoxes et protestants sont en effets ouverts à la question du rôle de l’évêque de Rome et l’exercice de la primauté. » (vaticannews.va) )

Continuons avec Louis D’Alencourt :

« Revenons à ce document de travail que doit préparer Rome pour la seconde phase du synode.

Sur quoi va-t-il se baser ? Sur une synthèse des consultations nationales.

Cette synthèse, nous pouvons la faire dès maintenant, car se dégagent des grandes lignes communes à presque tous les rapports, et qui sont sans surprise, comme si tout le monde suivait un mot d’ordre établi d’avance. Ce qui n’a rien d’étonnant, je le rappelle, les dés sont pipés. »

(Note: Le cardinal Tobin nous a confirmé dernièrement la « grande sagesse » de Bergoglio qui a déjà décidé du rapport final : ce sera un amalgame de ses propres encycliques et Exhortations Apostoliques humanistes.

D’ailleurs, un informateur a confirmé que tous les sujets qui avaient été écartés lors de la session de 2023 qui faisaient scandales, ont été ramenés sur le tapis en ce mois d’octobre 2024, parce qu’il est important que cela soit dans le rapport final.

« CITÉ DU VATICAN ( LifeSiteNews ) — À travers le processus et le style du Synode sur la synodalité, le pape François semble tenter subtilement mais fermement de mettre en œuvre de manière irréversible les points les plus controversés de son pontificat.

« Le synode sur l’Amazonie a ouvert la voie au synode sur la synodalité », a déclaré le cardinal Leonardo Steiner, archevêque de Manaus au Brésil, aux journalistes du Vatican le 15 octobre. C’est un « voyage construit jour après jour », a-t-il déclaré… « La synodalité », a-t-il soutenu, « nous explique que nous devons être de plus en plus ouverts à l’inculturalité et à l’interreligion. » Steiner a également salué le style synodal consistant à « être ouvert à l’écoute des religions et des cultures afin que l’Évangile soit de plus en plus inculturé. »)

...
 
(Louis D’Alencourt) Une religion peut-elle ou doit-elle se réformer ?

Il est essentiel de rappeler quelques données fondamentales avant d’entrer dans le détail de ces propositions : une religion n’est pas une institution comme les autres.

Une religion a pour but de relier l’homme à Dieu, et particulièrement la religion catholique, puisqu’elle revendique le privilège d’être la seule religion à relier l’homme au seul, vrai et unique Dieu : la Sainte Trinité : UN seul Dieu en trois Personnes (Père, Fils et Saint-Esprit).

D’autre part, le catholicisme fonde sa doctrine, ses dogmes et ses rites sur la Révélation, à savoir sur l’enseignement donné par Dieu en personne aux hommes, tout au long de l’Ancien Testament, et surtout par le Verbe, Jésus-Christ, Dieu fait homme, venu sur terre pour enseigner les hommes et créer son Église (celle qui est à Rome), qu’il a chargée de perpétuer son œuvre par l’enseignement de sa doctrine et l’administration des sacrements, afin de procurer aux hommes le salut de leurs âmes et la vie éternelle.

Par conséquent, il n’appartient pas à l’homme de modifier quoi que ce soit de cet enseignement, ou de le réinterpréter ou de l’adapter au gré de ses caprices et de ses envies.

...

Ainsi donc, il est totalement incongru, inadapté et même sacrilège de demander aux hommes leur avis sur une doctrine, des règles, des valeurs et un culte qui ont été définis par Dieu en personne et transmis, explicités et ordonnancés fidèlement par ceux qu’il en avait chargés : les apôtres et leurs successeurs (la fameuse succession apostolique que seule l’Église catholique peut revendiquer historiquement par ses papes).

Répétons-le, car c’est nécessaire, aucune autre religion, pourtant fausse, ne se permet de tels impairs, de telles violations de ses propres fondements.

Seuls quelques aspects concernant le rite et ses applications pratiques, ou la nécessité de préciser certains points de doctrine selon l’évolution des mœurs et l’apparition de nouvelles pratiques, ou idées, peuvent être envisagés dans la vie d’une religion. Mais c’est tout.

Il faut donc prendre conscience du niveau d’apostasie, de désorientation et d’ignorance abyssales des catholiques contemporains, à commencer par la haute hiérarchie, pour ne serait-ce qu’envisager de discuter ou de réformer des points de doctrine, de valeurs, ou d’application du culte (la liturgie) qui ne dépendent pas des hommes mais de Dieu.

Quel est l’enjeu à ce stade ?

Il faut déjà savoir que le concile Vatican II a radicalement modifié, déformé et perverti le visage de l’Église, ses bases, sa perception du monde, la définition de sa mission, sa place et son rôle dans la société, et surtout l’interprétation et l’enseignement de sa doctrine. Il a aussi dévoyé considérablement l’administration des sacrements, et par conséquent altéré la puissance et l’efficacité des grâces qui en découlent, par la désacralisation et la dénaturation de la liturgie.

C’était ses buts cachés, mais les élites qui ont convoqué ce concile savaient ce qu’ils faisaient, et ils sont parvenus à leur but.

Il en est résulté une apostasie générale, car :

– de l’Église du Christ, on est passé à l’Église de l’homme ;
– du christianisme, on a basculé dans l’humanisme ;
– de la recherche de la vie éternelle on est passé à la défense de la dignité de la personne humaine ;
– de la royauté sociale du Christ, on a opté pour la définition luciférienne et maçonnique des droits de l’homme ;
– du respect et de la défense de la loi naturelle, on a choisi la foi dans les progrès scientifiques, techniques et sociaux humains.

Apostasier c’est quoi ? C’est rejeter ou déformer la doctrine initiale pour lui substituer une autre foi, une autre doctrine au gré des circonstances. En ce qui nous concerne, la doctrine initiale étant issue de la Révélation, elle est d’essence divine et donc unique, seule vraie, inaltérable et immuable : l’apostasie dans ce cas n’est même pas envisageable et constitue alors une très grave violation de nos devoirs et de nos responsabilités.

Tandis que les valeurs morales, sociales, économiques et religieuses basculaient progressivement dans un satanisme au début équivoque et discret, aujourd’hui public et palpable, où le péché devient la norme par la valorisation et même l’institutionnalisation à grande échelle des 7 péchés capitaux et des trois concupiscences, l’Église catholique, au lieu d’allumer le contre-feu avec ses 7 vertus et ses 7 sacrements, a abandonné le combat, d’une part en accompagnant cette évolution plus qu’en s’y opposant, et d’autre part en cherchant à concilier la foi avec ce néo-paganisme issu du matérialisme. Autrement dit, l’Église s’est fourvoyée en faisant le choix de l’homme qui se fait dieu à la place du Dieu fait homme, qui évolue en faire-valoir de l’humanité déifiée.



Ainsi donc, vouloir concilier la foi en Dieu et la société matérialiste, c’est justement vouloir concilier Dieu et Mammon, la chair et l’Esprit ; et puisque, nous le savons, celui qui l’a emporté depuis 60 ans c’est Mammon, c’est la vie selon la chair, c’est l’humanisme, alors cela veut dire que l’Église catholique issue du concile mène les hommes, le plus souvent, à la damnation, c’est à dire exactement à l’inverse de son rôle et de sa mission.

...

La Sainte Écriture, et Jésus-Christ lui-même, appellent cela La loi et les prophètes : la Loi ce sont les règles données par Dieu, les prophètes ceux qui parlent au nom de Dieu. Par extension, les prophètes désignent ceux qui enseignent la Vérité Révélée et la doctrine qui en découle.
...
Mais cette fois-ci, on arrive à l’accomplissement final du concile et de ses objectifs occultes, après soixante ans de bons et loyaux services des papes conciliaires successifs (qui sont chaleureusement remerciés en étant tous canonisés), on arrive à ce qui n’avait encore jamais été fait : envisager de modifier la doctrine, c’est à dire les textes légaux, en matière de foi et de mœurs.
...

Voilà pourquoi je parle de mort de l’Église. Car si on modifie la doctrine elle-même en matière de foi et de mœurs, ainsi que les bases fondamentales de certains sacrements, au profit d’idéologies contraires au catholicisme initial, c’est à dire à la volonté et à l’enseignement de Dieu en personne, alors il s’agit d’un basculement inédit dans autre chose, une autre religion, mais ce ne sera plus la religion de Jésus-Christ ; enfin, du VRAI Jésus, pas du faux qu’on nous sert depuis cinquante ans, plus proche du prophète, aussi illustre soit-il, que du Dieu fait homme. »

( Note: Comme le confirmait Louis D’Alencourt, ce synode des synodes est la mort de l’Église annoncée.

Il n’y a que deux manières d’assassiner l’Église dans sa Passion, avant sa résurrection : éliminer la présence réelle par une nouvelle célébration commémorative ou changer les règles du sacerdoce afin d’enlever le pouvoir sacramentel du prêtre.

L’église conciliaire s’est protestantisée pour plaire à l’élite humaniste de ce monde, pour faire partie de ce monde, alors que le Christ a toujours avertit qu’on ne peut servir Dieu et Mammon à la fois. )

Louis D’Alencourt :

« Aujourd’hui, cette Passion est déjà très largement avancée, l’Église depuis le concile est devenue méconnaissable suite aux déformations liturgiques et doctrinales qui confirment et prouvent qu’elle a accomplit son apostasie et adopté des positions protestantisées, voire hérétiques.

Il ne reste plus qu’à donner le coup de lance final, celui qui assurera la mort certaine et définitive, c’est le synode sur la synodalité qui s’en chargera.

Mais alors, me dira-t-on, qu’en est-il de la promesse divine que les forces de l’enfer ne prévaudront pas contre son Église ? C’est oublier qu’il existe, au sein de celle-ci, une partie saine qui n’a pas déformé la doctrine ni dévoyé la liturgie : la Tradition, qui fait perdurer l’Église d’avant, celle sainte et sans tâche, une et apostolique, la véritable Église de Dieu, et dont les membres constituent les derniers Témoins de la foi.

L’épisode final de la mort de l’Église (conciliaire) aura pour conséquence, aussi, la probable mort, du moins en apparence, de la Tradition, événement que l’Apocalypse décrit dans l’épisode de la « mort des Témoins » … »

Ainsi en est-il.

Le synode de la mort mène à la mort de l'église et des deux témoins, deux éléments essentiels du calendrier de l'Apocalypse avant la chute de Babylone.

Les signes dans le ciel sont présents pour nous accompagner.

L’autre comète découverte juste avant le synode (voir analyse du 30 septembre; Lumière dans le Ciel) et se dirigeant vers le soleil pour la fin du synode, semble s’être fragmentée, ce qui réduira son intensité lumineuse, mais aucunement son importance.

Car, ce qui est plus intéressant, c’est le rôle qu’elle pourrait avoir en cette fin de synode si sa désintégration dans l’astre du jour provoque une tempête solaire vers la terre.

La comète du synode de la mort aurait alors une grande signification.

Pour suivre l’évolution de cette nouvelle comète en français ici.

Une tache solaire complexe fait face à la terre pour les dix prochains jours, et la NASA/NOAA confirme que le cycle solaire 25 a atteint son maximum, qui durera durant l'année 2025.

Pas de hasard.

Fin du synode de la mort, mort des deux témoins, tempête solaire?, chute de Babylone...

Tout a cela aurait un sens logique... juste avant les élections américaines et la fin de la neuvaine de Notre-Dame de Guadelupe du cardinal Burke le 12 décembre prochain.

14 octobre

LA COMÈTE DU SYNODE

Saint-Jean, dont l’évangile est spirituelle par rapport aux trois autres qui décrivent plus des faits historiques, est le seul qui décrit le transfert de la co-rédemption à la Sainte Vierge Marie au pied de la croix par : « Femme, voilà votre fils. Fils voilà votre mère. »

Car, c’est Marie qui conduit au Fils.

Saint-Jean représente toute l’humanité dont Marie est Mère.

Saint-Jean nous a donné l’Apocalypse, la Révélation, et l’image de la femme avec les deux pieds sur la lune, l’image révélée par Notre-Dame de Guadelupe, la Sainte Vierge Marie à la fin des temps.

En ce mois du Rosaire si crucial à cause du synode, une comète nous accompagne, comme signe de la fin des temps.

Hier, 13 octobre, il semble que nous n’ayons pas eu de signe majeur du côté géopolitique, mais la comète TSUCHINSHAN-ATLAS s’est révélée pour la première fois à l’œil nu à toute l’humanité.

(Images sur spaceweather.com)

Elle est facilement visible au sud-ouest, environ 40 minutes après le coucher du soleil.

Retournons au 13 octobre 2023 avant la première portion du synode des synodes : «  avant la congrégation générale, une messe a été célébrée par le cardinal Fridolin Ambongo, archevêque de Kinshasa en RD Congo et président du SCEAM, symposium des conférences des évêques d’Afrique et de Madagascar. Dans son homélie, il a considéré ce synode comme une nouvelle Pentecôte qui renouvellera certainement l'Église dans la communion de ses membres et dans la participation active de tous à la vie et à la mission de l'Église. » (vaticannews.va)

L’article publié par le Vatican est amputé intentionnellement pour démontrer que l’église synodale est la voie, voie dirigée par le Saint-Esprit, rien de moins qu’une « nouvelle Pentecôte » avec une petite mise en garde contre le malin à la toute fin, qui lutte pour empêcher la nouvelle église synodale.

Rien de moins.

Or, dans cet article du catholicworldreport.com nous découvrons qu’il a mentionné Satan à plusieurs reprises :

« Le diable lance des attaques pour diviser l'Église, et nous devons riposter avec l'arme du Saint-Esprit, a déclaré vendredi un cardinal de la République Démocratique du Congo lors de la Messe.
...

“Si nous avons le courage de regarder notre réalité actuelle en tant qu'Église, il ne sera pas difficile de voir comment le Malin est à l'œuvre, influençant notre façon d'être et d'agir. Le Malin veut nous voir divisés; il pourrait même utiliser certains d'entre nous pour sa cause,”, a déclaré l'archevêque de Kinshasa, encourageant les gens à se battre avec “les armes de la synodalité.”
...

La lecture “nous rappelle que le diable est toujours présent et actif dans notre monde,”, a déclaré le cardinal. “Sa force réside précisément dans la stratégie de se rendre invisible et d'apparaître sous les formes les plus séduisantes et les plus rassurantes. Connaissant bien sa proie, le diable lance ses attaques à partir des réalités les plus sensibles.

Il cite le pape Benoît XVI qui a dit“le Malin cherche toujours à gâcher le travail de Dieu, semant la division dans le cœur humain, entre le corps et l'âme, entre l'individu et Dieu, dans les relations interpersonnelles, sociales et internationales .. Le Malin sème la discorde.”

“C'est pourquoi nous devons combattre courageusement le Malin, en utilisant les armes de la synodalité,” a-t-il poursuivi, “qui exigent l'unité, la marche ensemble, le discernement priant, l'écoute mutuelle et ce que l'Esprit a à dire à l'Église.”

“Nous sommes appelés à combattre ce puissant adversaire avec une arme tout aussi puissante à notre disposition: l'Esprit Saint, protagoniste de cette nouvelle façon d'être Église — l'Église synodale.” »

Et dans ce monde aux valeurs inversées, le système antichristique, même au sommet du Vatican avec l’Antichrist personnifié sur le trône de Saint-Pierre, ils ne sont même pas capable de voir que cet esprit du synode des synodes, est le même Satan dont Paul VI en 1963 avait confirmé la présence au sein même du Vatican.

Satan est en train de convertir l’Église pour en faire sa propre église puisqu’il ne peut l’éliminer.

Et les aveugles n’y voient rien.

Un des « McCarrick boys » (voir article sur benoit-et-moi.fr sur ce sujet), le cardinal Tobin, affirme « que la synodalité met en œuvre le « programme » du pape François pour l'Église ».

Donc, la conclusion et le rapport final sont déjà décidés d’avance comme plusieurs le soupçonnent.

« Avec « Amoris Laetitia, Fratelli Tutti, Laudato Si », le pape François a « distillé la sagesse » des synodes précédents, a déclaré le cardinal Joseph Tobin lors d'un point de presse au Saint-Siège aujourd'hui. »

Ainsi, le rapport final sera un amalgame de toutes les encycliques de Bergoglio, soit une église transformée, uniquement basée sur l’humanisme, décentralisée du Christ.

« Selon Tobin aujourd'hui, les membres du concile ont fortement conseillé au pape que l'immigration ou la vie sacerdotale devraient être au centre des préoccupations, mais François a décidé de faire le synode sur la « synodalité », provoquant une forte confusion au sein du concile.

Tobin a salué la décision du pape François, tout en soulignant qu'il ne l'avait pas comprise à l'époque. « Mon péché a été de remettre en question la sagesse du Saint-Père », a-t-il déclaré. « Je l'ai absous en essayant de comprendre ce qu'il voulait dire et pourquoi il y accorde de la valeur. »

Le cardinal de 72 ans a suggéré que l'accent mis par François sur la synodalité reliait les thèmes et documents clés de son pontificat. »

Remettre en question la sagesse du Saint-Père?

On n’y voit vraiment plus clair chez les cardinaux.

On voit bien que Satan est à l’œuvre.

Ainsi, il confirme par ses paroles que ceux qui ne sont pas pour la synodalité (un concept qui n’existe pas), sont contre la sagesse de Bergoglio, et donc contre la nouvelle église.

Exactement ce qu’avait anticipé le regretté Serge Monast (voir analyse du 20 septembre dernier) où le chrétien vivant la Tradition est considéré comme une nuisance, un terroriste qui mérite l’exclusion ou le bâillon.

« En distillant la sagesse qui a été présentée lors des synodes suivants – Amoris Laetitia, Fratelli Tutti, Laudato Si' –, il m’est apparu clairement que le Saint-Père ne proposait pas simplement un programme, mais qu’il m’aidait, ainsi que d’autres, à comprendre que pour faire cela, pour répondre au Seigneur de cette manière, il faut penser différemment à la manière dont l’Église vit et agit. »

Maintenant, conclut Tobin, l’attention de François à la synodalité « est un grand moment de grâce pour l’Église et le monde ».

Le lien établi par Tobin entre trois documents clés écrits par François et le Synode est remarquable car il présente le Synode sur la synodalité comme un moyen de mettre pleinement en œuvre les propositions contenues dans les textes précédents…

Il a averti que certains, « ne comprenant pas correctement la notion de synode, pourraient penser, par exemple, que l’Église catholique est désormais devenue une sorte d’organisme démocratique doté d’une sorte de nouvelle constitution ». (lifesitenews.com)

Voilà.

La trahison suprême, le synode des synodes, le Judas des Judas qui fait passer l’église conciliaire dans la nouvelle ère en ce mois d’octobre 2024, en donnant le coup final pour faire mourir l’Église dans sa Passion à l’image du Christ, pour faire mourir les « deux témoins » de l’Apocalypse, comme prévu par Saint-Jean.

Et dans son orgueil, Bergoglio lègue ainsi son testament, sa manœuvre finale qu’il espère éternelle (voir analyse du 17 septembre, LE TESTAMENT DE BERGOGLIO), sans retour en arrière comme il l’a affirmé si souvent, la conclusion de Vatican II.

Nous vivons un temps critique, la fin des temps, et peu s’en aperçoivent.

Même le cardinal Burke y est allé du bout des lèvres en se demandant, devant les signes présents (voir 17 septembre), si nous n’étions pas à la fin des temps.

Pourtant le signe du figuier donné par le Christ en Matthieu 24 pour nous guider en cette occasion est bien facile à décrypter.

Et comme à la venue du Christ sur cette terre il y a plus de 2000 ans un signe dans le ciel annonçait sa venue, nous avons en ce mois d’octobre un signe dans le ciel annonçant sa seconde venue.

Même si les signes du zodiaque dans le ciel sont une œuvre païenne, il est quand même intriguant de constater que la comète  TSUCHINSHAN-ATLAS s’est révélée le 13 octobre aux pieds de la constellation de la Vierge, qui elle écrase la constellation du Serpent, comme en référence à la Genèse et à l’Apocalypse.

L’Alpha et l’Oméga, le début et la fin d’un cycle, la fin des temps.

12 octobre

La veillée de prière œcuménique célébrant l’entrée dans l’œcuménisme pour une seule religion humaniste, soit Vatican II, donne le ton à la conclusion du synode des synodes.

C’est le 11 octobre, date si chère au francs-maçons.

Et c’est le 11 octobre que nous avons eu cette tempête solaire avec aurores pour nous donner un signe.

«CITÉ DU VATICAN ( LifeSiteNews ) — Le pape François s'est joint aux délégués œcuméniques et aux participants du Synode sur la synodalité dans une veillée de prière œcuménique au Vatican ce soir, au cours de laquelle le lien entre œcuménisme et synodalité a été une fois de plus affirmé.

Pour clôturer la journée complète de réunions du Synode, vendredi 11 octobre, les participants ont pris part à une veillée de prière œcuménique très attendue sur la Place des Protomartyrs au Vatican, lieu traditionnel du martyre de saint Pierre.

Le pape et le synode étaient accompagnés d'un certain nombre de délégués œcuméniques, escortés du cardinal Kurt Koch, préfet du Dicastère pour la promotion de l'unité des chrétiens.

La date a été choisie délibérément, car elle marquait l'anniversaire de l'ouverture du Concile Vatican II, qui « a marqué l'entrée de l'Église catholique dans le mouvement œcuménique », a déclaré Koch aux journalistes jeudi.

Donnant un signe de fatigue, François n'a pas prononcé son homélie prévue lors de la veillée, bien que le bureau de presse du Saint-Siège l'ait ensuite publiée en ligne .

(note: voir ici pour le sermon)

(extrait : «En ce jour où nous nous souvenons de l’ouverture du Concile Vatican II, qui a marqué l’entrée officielle de l’Église catholique dans le mouvement œcuménique, nous sommes réunis avec les Délégués fraternels, nos frères et sœurs des autres Églises.

L’unité des chrétiens et la synodalité sont liées. En effet, si « le chemin de la synodalité est justement celui que Dieu attend de l’Eglise du troisième millénaire » (Discours 50e anniversaire de l’institution du Synodes des Évêques, 17 octobre 2015), il doit être parcouru par tous les chrétiens. « Le chemin de la synodalité […] est et doit être œcuménique, de même que le chemin œcuménique est synodal » (Discours à Sa Sainteté Mar Awa III, 19 novembre 2022). Dans les deux processus, il ne s’agit pas tant de construire quelque chose que d’accueillir et de faire fructifier le don que nous avons déjà reçu. Et comment se présente le don de l’unité ? L’expérience synodale nous aide à en découvrir certains aspects. )

Dans son texte préparé, François a réitéré ce qui a été un thème constant et important tout au long du synode de trois ans : « L’unité des chrétiens et la synodalité sont liées. »

« Le cheminement de la synodalité… est et doit être œcuménique, tout comme le cheminement œcuménique est synodal », a-t-il déclaré, poursuivant les points de discussion longuement exposés par le cardinal Koch lors d'un point de presse du 10 octobre .

Notant que le Saint-Esprit « nous guide vers une plus grande communion », François a fait valoir qu’il n’était pas clair à quoi ressemblerait une telle unité :

De même que nous ne savons pas à l’avance quel sera le résultat du Synode, nous ne savons pas non plus exactement à quoi ressemblera l’unité à laquelle nous sommes appelés… Comme le disait le Père Paul Couturier, l’unité des chrétiens doit être implorée « comme le Christ veut » et « par les moyens qu’il veut ».

François a également souligné l'aspect particulier du Synode en matière de relations œcuméniques, affirmant que l'événement « nous aide à redécouvrir la beauté de l'Église dans la variété de ses visages ».

Reprenant une phrase qu’il répétait souvent, François a déclaré que « l’unité n’est pas l’uniformité, ni le résultat d’un compromis ou d’un contrepoids ».

Il a plutôt déclaré que « l’unité des chrétiens est l’harmonie entre la diversité des charismes suscités par l’Esprit pour l’édification de tous les chrétiens ».

La date de la veillée était déterminante, tout comme le lieu. François et toute l’assemblée œcuménique étaient assis sur la place où la Tradition rapporte que saint Pierre fut martyrisé, crucifié la tête en bas. « En ce lieu, les protomartyrs romains nous rappellent qu’aujourd’hui encore, dans de nombreuses parties du monde, des chrétiens de différentes traditions donnent leur vie ensemble pour leur foi en Jésus-Christ, incarnant un œcuménisme de sang », a commenté François.

Il a également parlé de « honte » face au « scandale de la division parmi les chrétiens, le scandale de notre incapacité à porter un témoignage commun au Seigneur Jésus ».

François a présenté le synode comme une solution possible à ce problème, et comme « une opportunité de faire mieux, de surmonter les murs qui existent encore entre nous ».

Reprenant une fois de plus les thèmes du Synode, François a souligné « le terrain commun de notre baptême partagé, qui nous pousse à devenir des disciples missionnaires du Christ, avec une mission commune. Le monde a besoin de notre témoignage commun ; le monde a besoin que nous soyons fidèles à notre mission commune ».

Alors que le « terrain d’entente du baptême » a été évoqué ce soir dans le cadre d’un effort œcuménique, au sein du Synode, il est également utilisé pour appeler à un renforcement du ministère et de la gouvernance des laïcs dans l’Église catholique.

Œcuménisme catholique

Au cours des dernières années, depuis le Concile, l’engagement catholique dans l’œcuménisme a connu une croissance exponentielle, alors que, parallèlement, la promotion de la foi par l’Église a considérablement diminué.

Comme l’enseignent les catéchismes, l’œcuménisme catholique authentique implique la mise en pratique du commandement du Christ de prêcher l’Évangile et d’amener des âmes à l’Église. (Mt 28, 19)

Dans Libertas , le pape Léon XIII , se référant aux relations de l'Église avec les autres religions, écrit que l'Église catholique tolère « certaines libertés modernes, non parce qu'elle les préfère en elles-mêmes, mais parce qu'elle juge opportun de les permettre ; elle exercerait sa propre liberté dans des temps plus heureux ; et, par la persuasion, l'exhortation et la supplication, elle s'efforcerait, comme elle y est tenue, de remplir le devoir qui lui est assigné par Dieu de pourvoir au salut éternel de l'humanité. »

Le pape Pie XI, dans Mortalium Animos, a également mis en garde fermement contre « la fausse opinion qui considère toutes les religions comme plus ou moins bonnes et louables, car elles manifestent et signifient toutes de différentes manières ce sens qui est inné en nous tous et par lequel nous sommes conduits à Dieu et à la reconnaissance obéissante de sa règle. »

À la lumière du danger – déjà régulièrement évoqué – des conséquences d’un œcuménisme défaillant, un  décret  du Saint-Office du Vatican de 1949 demandait aux évêques chargés de promouvoir le véritable œcuménisme d’attirer les âmes vers l’Église et de toujours enseigner la plénitude de la priorité de l’Église. Le document disait :
Il n’est en aucun cas permis de passer sous silence ou de voiler sous des termes ambigus la vérité catholique sur la nature et la voie de la justification, la constitution de l’Église, la primauté de juridiction du Pontife romain et la seule véritable union par le retour des dissidents à la seule véritable Église du Christ.

La pratique actuelle du Vatican est beaucoup plus conciliante que celle des décennies précédentes, privilégiant l’unité œcuménique par rapport à la pratique antérieure de l’intégrité doctrinale. »

10 octobre

Sans surprise à l’approche du 13 octobre.

Une éjection de masse coronale se dirige vers la terre pour produire une tempête d’aurores aussi intense que le phénomène du 11-13 mai dernier.

Ici, la vidéo de l’éjection avec en bonus le passage de la comète du 13 octobre venant de la droite pour contourner le soleil.

Les taches solaires sont présentement très grosses, instables et dirigées face à la Terre.

Le 13 octobre, date du miracle du soleil en 1917, nous atteindrons 107 années révolues depuis l’apparition de Notre-Dame du Rosaire.

Le troisième secret de Fatima concerne la perte de la Foi au sommet de l’Église et la grande apostasie.

Regretté père Gabriel Amorth (était exorciste du Vatican) :

« « En effet, déclare Amorth, un jour Padre Pio m’a dit avec beaucoup de tristesse : « Tu sais, Gabriele ?  C’est Satan qui a été introduit dans le sein de l’Église et qui, dans très peu de temps, viendra diriger une fausse Église . »

« Oh mon Dieu ! Une sorte d’Antéchrist ! Quand vous a-t-il prophétisé cela ? » [demande Zavala].

« Cela devait être vers 1960, car j’étais déjà prêtre à cette époque. »

« Est-ce pour cela que Jean XXIII a eu une telle panique à l’idée de publier le Troisième Secret de Fatima, afin que les gens ne pensent pas qu’il était l’antipape ou quoi que ce soit d’autre… ? »

Un sourire léger mais entendu dessine sur les lèvres du père Amorth.

« Padre Pio vous a-t-il parlé d’autres catastrophes à venir : tremblements de terre, inondations, guerres, épidémies, famines… ?  A-t-il fait allusion aux mêmes fléaux prophétisés dans les Saintes Écritures ? » [demande M. Zavala]

« Rien de tout cela ne lui importait, si terrifiants qu’ils fussent, sauf la grande apostasie au sein de l’Église. C’était le problème qui le tourmentait vraiment et pour lequel il priait et offrait une grande partie de sa souffrance, crucifié par amour » [dit le père Amorth].

« Le troisième secret de Fatima ? »

" Exactement. " (lifesitenews.com)

Ce qui confirme que l’important, c’est la perte des âmes.

Le Ciel ne parle que des choses du Ciel.

Notre-Dame avait averti que si la Russie ne se convertissait pas que les erreurs du communisme se répandraient sur le monde.

N’est-ce pas ce que nous avons à la tête de l’église? Un pape adepte de la théologie de la libération et sa clique socialo-marxiste ne prônant que des messages humanistes et non du Christ?

Quant au temporel, c’est nous qui faisons l’histoire, et Dieu dirige la nature humaine et terrestre pour nous retourner sur le bon chemin, si nous en avons la volonté.

Ce 13 octobre prochain pourrait être la journée (un an après l’intervention d’Israël à Gaza) pour frapper l’Iran.

L’Iran menace les autres pays arabes si ils permettent l’utilisation de l’espace aérien pour une attaque israélienne :

« Téhéran a fait savoir aux États du Golfe qu’il serait « inacceptable » qu’ils permettent l’utilisation de leur espace aérien contre l’Iran et que toute action de ce type entraînerait une riposte, a déclaré mardi un haut responsable iranien, alors que le pays se prépare à une éventuelle riposte israélienne à l’attaque de missiles iraniens de la semaine dernière. » (timesisrael.com)

Le chef du parti conservateur canadien s’ajoute à la liste de ceux qui veulent une frappe contre les installations nucléaires iraniennes :

« Canada : Le chef de l’opposition soutient une frappe israélienne contre le programme nucléaire iranien... ce qui serait un cadeau juif pour l'humanité » (timesisreal.com)

Il est temps de ramener la prophétie de Bernadette Soubirou (on ne sait pas par contre si elle est véridique) :

«  "Bernadette a écrit en 1879 au Pape Léon XIII afin de lui soumettre des messages pour notre siècle. De ces cinq prophéties, quatre se sont déjà réalisées. Cette lettre, considérée comme perdue pendant 120 ans, aurait été retrouvée par le Père français Antoine Lagrande au Vatican alors qu'il cherchait des documents sur des miracles à Lourdes. Cette lettre au Pape, écrite juste avant sa mort par Bemadette, comprend cinq messages de la Sainte Vierge concernant les événements de notre siècle et l'avenir après l'an 2000. Le contenu de la lettre n'a jamais été publié et les personnes au Vatican avouent qu'elle avait été égarée. Le Père Lagrande a découvert cet écrit en décembre dernier [décembre 1997] dans une armoire métallique, dans la cave de la bibliothèque vaticane. Il s'agit de cinq pages séparées et sur chaque page se trouve une révélation.

...Au début du XXIe siècle, on assistera au choc des adeptes de Mahomet et des nations chrétiennes. Une terrible bataille aura lieu dans laquelle 5 650 451 soldats perdront la vie et une bombe très destructrice sera lancée sur une ville de la Perse. Mais à la fin c'est le signe de la croix qui vaincra et tous les musulmans se convertiront au christianisme. Suivra un siècle de paix et de bonheur car toutes les nations déposeront les armes. Une grande richesse s'ensuivra car le Seigneur va répandre sa bénédiction sur les croyants. Sur toute la terre, il ne restera pas une seule famille vivant dans la pauvreté et souffrant de la faim. A un homme sur dix Dieu donnera le pouvoir de guérir les maladies de ceux qui appellent à l'aide. Suite à ces miracles, on entendra les cris d'allégresse d'un grand nombre. Le 21e siècle sera nommé: «Deuxième Age d'Or de l'humanité». »

Revoici la LA PROPHÉTIE DE DON BOSCO concernant le venue de l’Iris de paix avant le mois de mai des deux lunes :

La copie de cette prophétie a été envoyée à Rome le 12 février 1870, comme en témoigne la Civiltá Cattolica , Vol. VI, Série 8, 1872, pp. 299 et 303, par le Père Joachim Berto (secrétaire particulier de Don Bosco).

Il a copié cette prophétie à la demande de Don Bosco quelques semaines après l'Épiphanie.

« … Il y aura toujours un violent ouragan. L'iniquité est consommée; le péché prendra fin et avant que deux pleines lunes du mois des fleurs ne passent, l'iris de la paix apparaîtra sur la terre.

Le Grand Ministre verra l'épouse de son roi habillée pour la fête.

Sur le monde entier, un soleil apparaîtra si brillant qu'il ne l'a jamais été depuis les flammes du Cénacle jusqu'à aujourd'hui, et il ne sera pas revu jusqu'au dernier jour. »

L’iris de paix est la fleur de lys, figure du Christ Roi, que nous retrouvons évidement dans les prophéties de l’Église de Jean XXIII.

« Ouvrez votre cœur au lis. La voix sera puissante, annoncée par les trompettes. (Retour du Christ, l’ultime soleil, le premier Soleil.)

Lumière de l'Occident, dernière lumière avant l'éternelle, inconnue. La vérité sera plus simple que tous l'ont dit, que tous l'ont écrit. »

(Prophétie de l’Église #12  « L’arrivée de la Lumière »)

La voix est annoncée par les 7 trompettes de l’Apocalypse.

Le P. Berto écrit dans son interprétation de la prophétie qu’en l’an 1874, le mois de mai a deux pleines lunes (Lune Bleue), l'une le 1er et l'autre le 31.

« Cependant, aucun événement extraordinaire profane ou surnaturel ne s'est produit ce mois-là. En effet suivant la séquence du texte, cet événement devrait suivre «l'ouragan» de «l'iniquité» et du «péché» qui suivrait lui-même le traité du Latran de 1929. En mars 1988 et 1999, il y a deux pleines lunes. Dans le premier, il n'y avait pas de cessation notable du péché dans le monde. Ce dernier n'est pas encore venu. » (franciscan-archive.org)

Observons le ciel et la guerre de la nature.

Ces signes sont des avertissements.

07 octobre

« Grand Éclair à l’Orient »?

Pas vraiment mais un séisme de 4.6 a été détecté en Iran et tout indique qu’il y a eu un essai nucléaire souterrain dans le désert iranien.

Alors qu’Israël prépare sa riposte à l’attaque de missiles de la semaine dernière, l'Iran tient à démontrer qu'elle possède la bombe atomique.

La comète du 13 octobre est sur le point de contourner le soleil et de devenir un objet céleste observable de soir autour du 9 octobre, et peut-être de jour.

Voici un photographie prise le matin avec la tour Eiffel (non visible à l’œil nu encore).

Retour sur l’importance du 7 octobre et du 13 octobre via le site du Grand Réveil du regretté Louis D’Alencourt.

« Les 7 octobre et 13 octobre

Le 7 octobre est la date d’une des plus grandes victoires militaires catholiques face aux musulmans : le 7 octobre 1571 la coalition formée par le pape bat la flotte ottomane lors de la bataille navale de Lépante. Cette victoire est due explicitement aux innombrables chapelets récités par toute la chrétienté dans ce but. C’est pourquoi, en action de grâce d’un succès qui protègera pour longtemps la chrétienté de la menace islamique, le pape instituera au 7 octobre la fête de Notre-Dame du Rosaire, afin de faire le lien avec la prière privilégiée qui nous a obtenu cette grâce du Ciel.

Le 13 octobre est la date du miracle du soleil à Fatima. Les célèbres apparitions de la Vierge Marie à Fatima au Portugal se sont déroulées du 13 mai au 13 octobre 1917, sur 6 apparitions, la dernière du 13 octobre constituant une preuve incontestable de leur origine divine puisque les 70 000 personnes présentes assistèrent en direct au « miracle du soleil ».

Le lien entre les deux dates a été effectué par la Vierge Marie en personne. En effet, au cours des apparitions de Fatima, la Vierge dit à plusieurs reprises aux voyants : « le dernier jour, je vous dirai qui je suis et ce que je veux. » Et le dernier jour, le 13 octobre, elle révèle effectivement son nom : « Je suis Notre-Dame du Rosaire ». Cette information de toute première importance, donnée par le Ciel faut-il le rappeler, relie le 7 octobre au 13 octobre, et Lépante à Fatima. Ca devra donc servir un jour. »

En résumé : La guerre est déclenchée par le Hamas le 7 octobre et l’ultimatum d’Israël le 13 octobre.

Rappelons l’analyse du 18 septembre sur ce sujet en relation avec le 24 mai :

« Auxilium Christianorum »  « Notre-Dame Auxiliatrice » est fêtée le 24 du mois de mai.

Ce titre fut donné à la Sainte Vierge Marie et officiellement introduit dans l’Église par Pie V, après la célèbre victoire de Lépante en 1571, lorsque qu'il ordonna d'inscrire dans la litanie Lorétienne l'invocation "Maria Auxilium Christianorum, ora pro nobis".

Saint Pie V ne cacha point qu'il attribuait à l'intercession  de la sainte Vierge le succès de Lépante. Il ajouta aux litanies de Lorette, c'est-à-dire de la sainte Vierge, l'invocation "Secours des chrétiens, priez pour nous", et fixa au 7 octobre une fête en l'honneur de Notre-Dame de la Victoire.

Il y a donc un lien direct entre les mois d’octobre et de mai.

Sachant que Don Bosco a prophétisé aussi la venue du Lys de Paix avant le mois des deux lunes, et que le seul possible maintenant est mai 2026, on ne peut qu’anticiper que le mois d’octobre 2024 est crucial.

L’Antichrist personnifié fera ses dernières nominations de cardinaux en décembre, et à la surprise de tous, Timothy Radcliffe (oui, oui, celui qui fait les méditations pré-synode et ses positions hétérodoxes, surtout pour son activisme en faveur de la reconnaissance de l’homosexualité dans l’Église, dont on a fait mention dernièrement), à 79 ans.

C’est une récompense pour son travail de sape de l’église puisqu’il ne sera pas éligible à voter à un conclave ( on ne peut voter à 80 ans et plus).

Les nominations selon la liste sont partisanes et surtout, des évêques très jeunes seront promus, afin de perpétuer la destruction de l’église pour encore de nombreux conclaves : le testament de Bergoglio (analyse du 17 septembre dernier).

Voir Effets collatéraux dans l’Église et autres articles sur benoit-et-moi.fr

Prions Notre-Dame du Rosaire en cette journée si cruciale.

Prière de Notre-Dame du Saint Rosaire :

« Ô Bienheureuse Vierge Marie, Reine des Cieux et Mère de la Miséricorde, nous nous tournons vers toi avec des cœurs humbles et reconnaissants en ce moment sacré où nous invoquons les mystères de ton Saint Rosaire. Toi qui es notre étoile du matin, guide-nous à travers les méandres de nos vies, éclairant notre chemin de la lumière de ton Fils bien-aimé, Jésus-Christ.

Au commencement de chaque Ave Maria, nous méditons sur l'Annonciation, ce moment divin où l'Archange Gabriel t'a saluée comme pleine de grâce, et où tu as, avec une humble soumission, accepté la volonté de Dieu en devenant la Mère du Sauveur. Que cette méditation nous enseigne l'obéissance confiante face aux desseins mystérieux de Dieu, et qu'elle fortifie notre foi en sa providence divine.

Pendant chaque dizaine, nous contemplons les mystères joyeux, lumineux, douloureux et glorieux de la vie de ton Fils, Jésus. Que ces moments de prière approfondissent notre compréhension de l'amour infini de Dieu manifesté en Jésus-Christ, et que nous soyons inspirés à suivre ses enseignements et à imiter son exemple.

Au cours des mystères joyeux, nous réfléchissons à la naissance du Christ, à son enfance à Nazareth et à la présentation au Temple. Sainte Marie, Mère de Dieu, intercède pour nous, afin que, comme toi, nous puissions accueillir Jésus dans nos vies avec une joie ineffable.

Dans les mystères lumineux, nous contemplons le baptême de Jésus, ses miracles et l'institution de l'Eucharistie. Sainte Marie, Reine des Apôtres, accorde-nous la grâce de vivre nos vies à la lumière de la vérité éternelle de ton Fils.

Les mystères douloureux nous conduisent au jardin de Gethsémani, au chemin de croix, à la crucifixion et à la mort de Jésus sur la croix.

Mère compatissante, sois notre réconfort dans les moments de souffrance, et guide-nous à travers les épreuves de la vie avec la foi inébranlable que tu as démontrée au pied de la croix.

Les mystères glorieux célèbrent la résurrection, l'Ascension, la Pentecôte et ton couronnement comme Reine du Ciel. Sainte Marie, notre Reine et notre Mère, aide-nous à aspirer à la gloire éternelle du Royaume de Dieu et à cheminer avec espérance vers notre patrie céleste.

Pendant chaque Ave Maria, nous te prions pour notre église, pour tous les fidèles, pour les âmes du purgatoire, et pour le monde entier. Ô Notre-Dame du Saint Rosaire, prie pour nous, maintenant et à l'heure de notre mort.

Amen. »

05 octobre

L'ancien Premier ministre Ehud Barak estime qu'Israël pourrait attaquer l'industrie pétrolière iranienne, tout comme le président Biden l’a confirmé cette semaine.

Plus nous approchons du 13 octobre plus la situation devient tendue.

Retour sur l’analyse du 153, le chiffre des rachetés :

1871 ajouté de 150 ans donne exactement le début du synode des synodes de Bergoglio en 2021.

Ajouté du chiffre de la Sainte Trinité, nous atteignons comme spécifié octobre 2024.

Signe des temps : Considérant que Bergoglio était supposé clore le synode en 2023, il n’y a pas de hasard quant au fait qu’il a du prolongé cette conclusion en 2024.

Dans l’analyse de la prophétie politique #32 « Le temps est proche » qui est liée au « Grand Éclair à l’Orient », nous avions potentiellement identifiée la fille de Caïn comme étant Greta Thunberg qui ouvrait ainsi la voie pour la nouvelle religion anxio-climatique, supporté par le Laudato Si de Bergoglio.

C’était en août 2018.

« La fille de Caïn est montée au Nord, pour prêcher. Luxure dans la nouvelle Babylone, pour sept ans.
La septième année tombe le septième voile de Salomé, mais il n'existe pas d'empereur, il n'existe pas qui saura lever l'épée et couper le cou de Jean.
Le temps est proche. »

La septième année est donc 2025, l’année du jubilé.

Le septième voile reliée à la danse de Salomé est donc le signe de l’ouverture du septième sceau, la prophétie de l’église #11 de Jean XXIII, et puisqu’il n’y a pas d’empereur, cela indique que le chaos mondial est à nos portes.

La prophétie concernant François spécifie bien que :

« Le grand frère d'Orient fera trembler le monde par la croix renversée sans les lis. »

C’est exactement ce que fait le chef chiite en Iran, à la botte de Satan, croyant faire venir son messie au dépend des juifs.

Sur une notre plus positive en ces temps si critiques, Camaron, sur le blog le Grand Réveil de Louis D’Alencourt avait l’habitude de rappeler l’importance de l’acte de réparation à la Vierge Immaculée demandée par cette dernière à  Fatima, à tous les premiers samedis du mois :

« Pour rappel important, comme tous les premiers samedi du mois, n’oublions pas de prier à l’attention de notre Mère du ciel ce magnifique acte de réparation à la Vierge Immaculée, pour tous les outrages dont elle fait l’objet en cette période des derniers temps.

Acte de réparation à la Vierge Immaculée

A réciter le premier samedi du mois…

Très Sainte et Immaculée Vierge Marie, Mère de Dieu, qui êtes aussi notre Mère : nous nous agenouillons respectueusement devant vous, afin de réparer par ce témoignage d’honneur et d’amour toute la souffrance que vous ont causée à vous et à votre Divin Fils, la négligence, l’ingratitude, le reniement et les blasphèmes.

Ô Marie, chef-d’œuvre incomparable de la Très Sainte Trinité, objet des complaisances éternelles de Dieu ! Le Fils Eternel de Dieu est votre Fils selon la nature humaine, le sang de votre sang. Votre dignité touche ainsi à l’infini ; vous êtes, ô Marie, l’Immaculée Conception, pleine de grâces et de mérites, la Vierge-Mère, la Reine du Ciel et de la Terre. Vous êtes notre Co-Rédemptrice, notre Médiatrice et notre réconciliatrice. Vous êtes la Mère de la Sainte Eglise et l’exterminatrice de toutes les hérésies, la Trésorière du Cœur de Jésus, la Dispensatrice de toutes les faveurs célestes, la Toute-Puissance suppliante, la Mère de miséricorde, notre Consolatrice et notre Refuge.
Votre bonté et votre miséricorde égalent votre force et votre dignité. Et cependant, il y a des malheureux qui, comme de vrais suppôts de l’enfer, vous dédaignent et vous insultent, vous et votre Divin Fils. Il en est qui méconnaissent votre dignité incomparable et vos bontés maternelles. D’autres qui sapent l’œuvre de la Rédemption dans les âmes rachetées par le sang de Jésus et qui cherchent à déchristianiser le monde.

Et combien, même parmi les chrétiens, qui aiment trop peu leur Mère et montrent par leur manière d’agir qu’ils n’ont pas assez de confiance en Vous, Mère de miséricorde, consolatrice des affligés, et refuge des pécheurs. Combien qui se flattent, ô Mère, de vous aimer de tout cœur et continuent étourdiment de renouveler par le péché les souffrances de Jésus et de transpercer votre Cœur maternel. Et moi-même que j’estime peu ce que vous êtes pour nous ! Que de fois je me suis joint aux bourreaux du Calvaire ! Et, au lieu d’être pour vous un fils aimant, j’ai trop souvent attristé votre tendre cœur de Mère par ma négligence et mon indifférence.
Ô Cœur maternel de Marie, ayez pitié de nous ! Miséricorde et conversion pour ceux qui cherchent à déraciner dans les âmes des pauvres et des enfants l’amour pour Jésus et pour vous. Miséricorde et conversion pour tous les pécheurs ! Miséricorde et pardon pour moi aussi, pour toutes mes fautes et mes négligences !

A titre de réparation, ô la meilleure des Mères, je vous offre la louange et tout l’honneur qui vous ont jamais été rendus par le ciel et la terre, en particulier par le Divin Cœur de Jésus. Je vous présente tout l’hommage qu’on vous rend aujourd’hui sur toute la terre, en public et au foyer. Je m’offre aussi moi-même avec mon amour d’enfant et ma piété, avec toutes les adversités et les bonnes actions de ce jour. Je vous promets d’être désormais tout vôtre, d’animer et de répandre votre culte, tant que je le pourrai.

Ô bonne Mère, répandez en nous et sur le monde entier, le surplus de votre miséricorde maternelle, en même temps qu’une vive piété pour Jésus et votre Saint Cœur ! Exterminez les hérésies, et écrasez pour toujours la tête du serpent infernal ! Obtenez la paix pour la terre, et la victoire pour notre Mère la Sainte Eglise ! Régnez sur nous et sur le monde entier, et que, par votre règne, nous arrive le règne du Divin Cœur de Jésus ! Ô bon Jésus, je vous en conjure par l’amour que vous portez à votre Mère : accordez-moi de l’aimer vraiment comme vous l’aimez et comme vous désirez qu’elle soit aimée. Ainsi-soit-il !
Indulgence plénière pour tous ceux qui, le premier samedi du mois vont à la communion et font acte de Réparation pour les blasphèmes contre la Vierge Immaculée.

04 octobre

Saint-Augustin, Léon XIII, Pie IX, et le 13

Nous ramenons sur la table l’analyse du 24 mars 2018 clarifiant les explications de Saint-Augustin sur la signification du chiffre 153, tout en liant ces dernières aux analyses récentes sur Léon XIII et le chiffre 13.

Pourquoi?

Parce que ce mardi 1er octobre, à l’occasion de la retraite du Synode, le père dominicain Timothy Radcliffe, ancien maître de l'Ordre des prêcheurs, a proposé dans sa troisième méditation une réflexion sur le thème de «La pêche miraculeuse», s’appuyant sur l’Évangile de saint Jean.

Il n’y a pas mais pas de hasard ici.

Pas du tout avec la signification hautement eschatologique de cette pêche miraculeuse en cette fin des temps.

Surtout dans le contexte actuel géopolitique et synodal.

On rappelle brièvement qui est Timothy Radcliffe, choisi en 2023 et 2024 pour guider les méditations à caractère humaniste du synode des synodes (via benoit-et-moi.fr).

« Le frère dominicain, qui fut supérieur de l’Ordre de 1992 à 2001, mais dont la réputation mondiale est surtout due à la quantité d’écrits, traduits dans de nombreuses langues, en claire opposition à la doctrine catholique (notamment sur le thème de l’homosexualité mais aussi sur d’autres sujets chauds, comme la communion aux divorcés remariés, le rôle des femmes, etc.), doit, à la demande du pape, diriger la retraite de prière en préparation à l’assemblée du Synode des évêques qui se tiendra au Vatican du 1er au 3 octobre 2023. »

Ce qu’il a dit :

« Nous voici arrivés à la grande énigme: 153 poissons gras. Je pourrais vous ennuyer pendant des heures avec toutes les explications merveilleuses et souvent absurdes de ce nombre.
Pourquoi 153? Certains disent qu’il devait y en avoir 153. Mais imaginez les compter en bondissant partout. D’autres font référence aux 153 églises qui existaient peut-être à l’époque. D’autres aux 153 nations qui étaient alors connues. Cela signifie clairement l’abondance. La providence abondante de Dieu est à l’œuvre. Saint John Henry Newman a décrit la providence comme «l’œuvre silencieuse de Dieu». L’Instrumentum Laboris s’ouvre par une citation d’Isaïe: «Sur cette montagne, le Seigneur de l’univers fera pour tous les peuples un festin de mets succulents, un festin de vins bien affinés, de mets succulents remplis de moelle, de vins bien affinés et filtrés» (25,6). » (vaticannews.va)

Cette intervention est à l’image de tout le pontificat de Bergoglio en quelques phrases : des paroles frivoles, aucune idée, aucune direction, de l’ambiguïté, aucune théologie.

C’est l’ignorance complète de la Tradition et des pères de l’Église, dont dans ce cas-ci, Saint-Augustin.

Pourtant, Saint-Augustin détient la clé de la signification du chiffre 153.

Pourquoi le 153?

Dans le Nouveau Testament, il y a deux pêches miraculeuses, une avant la résurrection du Christ, et la seconde, relatée par Saint-Jean, liée à une manifestation de Jésus ressuscité au même groupe de pêcheurs.

Retenez bien :

Jésus confirme alors aux apôtres l'aspect physique de sa résurrection ET le caractère universel de la mission qui leur est confiée (153 miraculeuse dans les filets).

Matthieu (13, 47-50) nous précise aussi que la pêche représente aussi le Jugement, le tri, la séparation du bon grain de l'ivraie.

«… le royaume des cieux est encore semblable à un filet qu'on a jeté dans la mer et qui ramasse des poissons de toutes sortes. Lorsqu'il est plein, les pêcheurs le retirent, et, s'asseyant sur le rivage, ils choisissent les bons pour les mettre dans des vases, et jettent les mauvais. Il en sera de même à la fin du monde : les anges viendront et sépareront les méchants d'avec les justes, et ils les jetteront dans la fournaise ardente : c'est là qu'il y aura des pleurs et des grincements de dents.»

Mais le sujet est complet avec le « Traité sur l'Évangile de Jean de Saint Augustin » sur les 153 poissons :

« Quant à la pêche qui suivit la résurrection, elle désigne l’Église du ciel; car les poissons viennent tous de la droite, comme les élus; comme les élus ils sont comptés, et s’ils sont au nombre précis de 153, c’est que ce nombre encore désigne les élus. »

« Ce nombre ne représente pas uniquement les élus qui ressusciteront pour la vie éternelle, et ne veut pas dire qu’ils seront seulement cent cinquante-trois : il représente aussi les milliers de saints qui vivent sous l’empire de la grâce de l’Esprit : cette grâce s’accorde avec la loi de Dieu comme avec un adversaire ; ainsi, l’Esprit vivifie et la lettre ne tue pas ; ce que la lettre commande s’accomplit avec le secours de l’Esprit, et si on ne l’observe point parfaitement, cette omission est pardonnée. Tous ceux qui se trouvent soumis à l’influence de cette grâce, ce nombre les figure donc, c’est-à-dire qu’il les représente figurativement il est composé de trois fois cinquante, plus trois, qui représentent le mystère de la Trinité : le nombre cinquante est formé par le résultat de sept multiplié par sept, auquel on ajoute un ; car sept fois sept font quarante-neuf. On y ajoute un, pour signifier que celui qui est symbolisé par sept à cause de ces sept opérations, est un : nous le savons, le Saint-Esprit a été envoyé le cinquantième jour après la résurrection du Sauveur, il avait été promis aux disciples, et ils avaient reçu l’ordre de l’attendre. » (fr.wikisource)

Un jubilé dans l’Ancien Testament est l’année suivant 7 cycles de 7 années où sont remis les dettes.

Pour être du nombre des élus, il faut avoir accompli la loi de Dieu, ou les 10 commandements, avec le secours des 7 dons de l’Esprit-Saint. Le nombre 17 est ainsi le chiffre des élus. Additionnez tous les nombres inférieurs jusqu’à celui-là, vous obtiendrez cent cinquante-trois.

« Jamais le Seigneur n’aurait donné cet ordre, s’il n’avait eu dessein de nous tracer un enseignement qui nous fût salutaire. Qu’importait à Jésus-Christ qu’on prît des poissons ou qu’on n’en prît pas ?

Rappelons-nous que les disciples firent deux pêches sur l’ordre de Notre-Seigneur Jésus-Christ, l’une avant sa passion, l’autre après sa résurrection.

Ces deux pêches figurent donc l’Église; l’Église telle qu’elle est aujourd’hui, et l’Église telle qu’elle sera à la résurrection des morts. Aujourd’hui, en effet, les bons et les méchants sont innombrables dans son sein, tandis qu’après la résurrection elle ne renfermera que les bons, dont le nombre sera fixé. »

« 153 représente Le nombre caractéristique de la mission du Christ dans le nouveau testament qui symbolise l’ensemble des rachetés. Les pères de l’Église s’accordent à voir dans le nombre 153 le symbole d’universalité de l’Église. Saint Augustin va dans le même sens en affirmant qu’il symbolise la totalité des élus.

Saint Augustin déclare : « Dans le nombre dix-sept comme dans ses multiples on trouve un sacrement admirable ».

Sont ainsi réunis dans le filet à la fois les Juifs (pour la loi) et les païens (pour l’Esprit Saint).

Saint Augustin explique encore que c’est 50, le nombre du Jubilé, doublement placé sous le nombre 3 le chiffre de la Divinité, il l’est par la multiplication (3 x 50 = 150) et par l’addition (150 + 3 = 153) ; ce Nombre 153 signifie en quelque sorte le Jubilé des jubilés ; il pourrait être le Nombre de l’Église de l’Agape, celle du grand Jubilé messianique...» (H. Kruse : vd 1960, p. 129-148, cité par : Bible chrétienne Évangiles, no 371.)

Du 13 mai 1917 au 13 octobre 1917, Marie est apparue aux 3 bergers sur une période de 153 jours.

153, c'est aussi le nombre du Rosaire, soit 3 chapelets d'Ave Maria.

L’apparition forcée du 19 août 1917 renvoie à Saint-Joseph dont on la fête est le 19 mars, date d’intronisation de Bergoglio.

Nombre de jours entre le 19 mars et le 19 août : 153.

Donc, 153 signifie le Jubilé des jubilés.

Le pape Léon XIII a eu sa vision du Christ et de Satan le 13 octobre 1884.

Nous avons analysé dernièrement que nous atteignons en 2024 les 100 ans de destruction de Satan ajoutés aux 40 ans d’attente dans le désert à l’image du Christ, notre carême, depuis la vision de Léon XIII du 13 octobre 1884.

Le 13 est le chiffre de la purification (facilement confirmé par la Vierge Marie à Fatima entres autres).

Le chiffre de Marie est le 13 : la lettre M demandée rue du Bac au dos de la médaille miraculeuse est la 13ème lettre de l’alphabet, et la série des apparitions tous les 13 du mois à Fatima vient confirmer ce choix (la Sainte Vierge étant aussi la 13ème après les 12 apôtres).

Alors, que nous indique cette méditation pré-synode du père Radcliffe avec sa pêche miraculeuse de 153 poissons?

Déduisons simplement 153 années de 2024 et nous avons 1871.

Or, 1871 est le début d’un cycle de destruction de l’Église, soit la perte des États pontificaux en 1870 qui fait surgir la « question romaine ».

La loi des Garanties, de son intitulé complet loi des Garanties sur les prérogatives du Souverain pontife et du Saint-Siège et sur les relations de l'État avec l'Église est une loi italienne promulguée le  cherchant à résoudre la « question romaine », née de la disparition des États pontificaux survenue un an auparavant..

Après la prise de Rome en 1870, pape Pie IX, dernier souverain des États pontificaux, se déclare alors « prisonnier du Vatican ».

La question romaine ne sera résolue qu’avec les accords du Latran en 1929.

Alors le Vatican devient royaume temporel où selon l’Apocalypse ne régneront que 8 rois avant la fin des temps (voir l’analyse du 13 septembre  2024 : « Le 8ème roi : l’oméga »), soit 8 papes depuis 1929.

C’est confirmé encore une fois dans l’ouvrage « Le diable au XIXè siècle » en 1894 : il s’agit d’une séance de questions à Lucifer lors d’une réunion privée de hauts responsables maçonniques.

À la question « combien de papes après Léon XIII » [le pape régnant de l’époque] le démon répond :

 « Neuf, et après eux je règnerai ». (grand reveil wordpress, Louis D’Alencourt)

Pie IX, est un grand pape qui a condamné toute forme de modernisme dans l’Église.

Il  proclama le dogme de l'Immaculée Conception.

Il convoqua le premier concile œcuménique du Vatican, qui définit notamment l'infaillibilité pontificale.

Le 8 décembre 1870, Pie IX déclare officiellement et « pour perpétuelle mémoire » saint Joseph « Patron de l’Église universelle ».

Le 7 juillet 1871, est reconnu à saint Joseph le droit à un culte supérieur à celui des autres saints; à saint Joseph furent accordées par Dieu des grâces spéciales.

Nous arrivons à la fin du cycle, la fin des temps, et Bergoglio commencera le jubilé de la victoire synodale (s’il se rend jusque là) le 8 décembre, jour évidemment important de l’Immaculée Conception.

Quatre jours plus tard, ce sera la fin de la neuvaine de Notre-Dame de Guadelupe, ou Notre-Dame de l’Apocalypse.

Tout est finalement relié.

Saint-Joseph, Marie, Fatima, le 13 et le 153.

1871 à 2024.

Le début de la destruction physique de l’Église, et son achèvement par le synode des synodes en 2024.

La résurrection suivra.

03 octobre

« La terre frisera le massacre. Un seul mourra pour tous et il était le meilleur.
Ce n'est pas le temps d'un roi, ce ne l'a jamais été. Depuis la mort de Frédéric, chaque roi est usurpateur. Que le roi s'en aille, reste le peuple. L'Europe a soif, elle aura du sang dans les rues.
Mais aussi de grandes processions et la Vierge Heureuse descendra sur terre. Vous ne la verrez pas dans la grotte, mais dans un cœur qui revivra. Depuis les ténèbres, elle apportera la parole que tous comprendront.
C'est le temps des lettres. »

Quelques pensées sur la fin de la prophétie « Grand Éclair à l’Orient » qui se dessine à l’horizon avec l’Iran et Israël.

La terre sera en péril: c'est bien ce qui se dessine.

Un seul mourra pour tous et il était le meilleur : On peut penser au successeur de Bergoglio (pas nécessairement pape, comme le cardinal secrétaire d’État Pietro Parolin par exemple; puisque on ne sait pas s’il y aura le temps d’un autre conclave) de la prophétie le concernant qui mourra assassiné.

Ce qui voudrait dire que le décès de Bergoglio est imminent.

C’est le temps des lettres : l’Alpha et l’Oméga, le début et la fin d’un cycle.

Le début du cycle : Vatican II.

La fin du cycle : le synode des synodes.

À l’image de Jean XXIII qui a ouvert Vatican II mais qui est décédé avant sa fin, en sera-t-il de même pour Bergoglio?

La Sainte Vierge descendra sur terre.

C’est l’image de la femme de l’Apocalypse, les deux pieds sur la lune et qui voile le soleil, l’image de Notre-Dame de la Guadelupe, où on voit les constellations sur sa tilma.

D’une manière ou d’une autre, on sait grâce à Fatima, que le soleil est concerné en cette fin des temps.

Et, Malachi Martin affirmait que le signe dans le ciel nous montrerait que Dieu existe.

Et, avec l’ajout d’une tache solaire gigantesque hier, on peut affirmer que la terre fait face à des possibilités de tempêtes solaires assez vigoureuses pour l’instant.

Tempête solaire de classe X9.1, la plus grosse du cycle 25 vient d'avoir lieu.

À suivre pour l'éjection de masse coronale s'il y a lieu.

Il y aura des aurores possibles à partir de cette nuit.

Revue des actualités d’hier :

- Ouverture du Synode: le Pape invite à prier et jeûner pour la paix le 7 octobre… (vaticannews.va)

Mais, ne fait aucune mention de la fête de Notre-Dame du Rosaire.

- Bennett : « Le moment est venu pour Israël de détruire le programme nucléaire iranien »
Selon l'ex-Premier ministre, "nous avons la justification. Nous avons les outils. Maintenant que le Hezbollah et le Hamas sont paralysés, l'Iran se tient à découvert" (timesofisrael)

- Israël, qui promet de répondre avec force à l’attaque de missiles lancée mardi contre son territoire par l’Iran, pourrait profiter de l’occasion pour viser les installations nucléaires du pays, préviennent des experts. (lapresse.ca)

« J’emprunte ce titre très réussi à Samuel Martin qui, sur Boulevard Voltaire a trempé sa plume dans le vitriol pour présenter la grotesque cérémonie pénitentielle qui a ouvert avant-hier la seconde partie du Synode.
(A propos, la parenthèse belge, qui a fait espérer, ou redouter à certains, que le pape soit devenu conservateur, s’est très vite refermée).
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Luisella Scrosati reprend une récente interview du cardinal Müller, qui passe au crible les nouveaux péchés sans oublier d’envoyer quelques piques bien senties à ses adversaires (« certains anti-intellectuels de l’épiscopat, qui aiment se référer à leurs talents pastoraux en raison de leur manque de formation théologique« ) , qui laissent mal augurer de l’ambiance dans la salle du Synode auquel lui-même participe.

Parfois, il nous vient, peu charitablement, le regret que le ridicule ne tue pas – disons plus sobrement: ne fasse pas disparaître sous terre. Si les noms des cardinaux qui se sont prêtés toute honte bue à cette mascarade sont souvent inconnus (celui de Tucho ne pouvait manquer, et il ne surprendra personne) comment un intellectuel présumé comme le cardinal Schönborn, qui ose par surcroît se présenter comme un disciple de Benoît XVI a-t-il pu proférer ces idioties sans être paralysé par le fou-rire… ou par la honte? » (benoit-et-moi.fr)

02 octobre

Comme prévu, tout va très vite en ce mois d’octobre.

Sans surprise, l’Iran a lancé des missiles sur Israël plongeant ce monde dans l’inquiétude quant à la riposte que cette dernière emploiera.

Les experts en politique pensent qu’une attaque contre les installations nucléaires iraniennes est en préparation.

« Netanyahu : « l’Iran a commis une grave erreur ce soir et en paiera le prix » (timesofisrael)

« Washington renforce sa présence au Moyen-Orient avec « quelques milliers » d’effectifs supplémentaires (timesofisrael)

Et, « Khamenei menace Israël d’une attaque « plus forte et plus douloureuse »

Après avoir tiré 180 missiles balistiques sur Israël, le guide suprême iranien Ali Khamenei publie sur Twitter une illustration d’une vaste cache d’armes souterraine, avertissant que la victoire de Téhéran est proche. » (timesofisrael)

Remarquez l’image dans ce lien qui reflète facilement les intentions du chef religieux.

Digne de l’enfer.

Les suppôts de Satan sont libérés.

Une éjection solaire de classe X7.1 a eu lieu durant ces événements. C’est la deuxième plus grande tempête du cycle solaire 25.

Rien de grave à l’horizon car l’éjection de masse coronale associée n’est pas énorme.

Mais les taches solaires augmentent rapidement en ce début de mois, élevant le risque de tempêtes plus intenses.

01 octobre

Voilà.

C’est commencé.

Le synode des synodes ouvre sur la retraite des participants et aujourd’hui c’est le moment de la confession universelle sur les péchés qui n’existent pas.

« CITÉ DU VATICAN ( LifeSiteNews ) — L'évêque Athanasius Schneider a accusé un événement du Synode du Vatican sur la synodalité d'être « un outil pour promouvoir un nouvel agenda au sein du synode pour établir de nouvelles doctrines qui sont contraires à la révélation divine, ou qui sapent la révélation divine ».

….

Mais Schneider a rejeté l’idée, affirmant qu’en ce qui concerne les « péchés contre la synodalité », il n’y a « pas de tels péchés dans la révélation divine ».

La liste des péchés proposés inclut le « péché d’utiliser la doctrine comme des pierres à lancer ». Schneider a cependant soutenu que « ces nouvelles doctrines inventées dans cette soi-disant synodalité, ce sont les vraies pierres qu’elles jettent aux fidèles, parce qu’elles sont des distorsions et qu’elles nuisent aux fidèles et mettent en danger leur salut éternel ».

Il a déclaré que la charité authentique comprend l’itération de la doctrine catholique :

Une vraie doctrine n’est pas contre la charité : transmettre la doctrine est une des plus hautes expressions de la charité envers le prochain, l’amener au droit de la vérité et à la lumière de la vérité ne nous donne que le vrai bonheur.

Ces nouvelles doctrines et méthodes synodales confuses nous apportent ambiguïté, incertitude, et personne ne donnera sa vie pour quelque chose d'ambigu. Nous donnerons seulement notre vie pour ce qui est vrai, pour ce qui est solide comme un roc, c'est-à-dire le Christ – Il est le roc, Il est la vérité et seulement pour Lui. Avec la grâce de Dieu, chaque chrétien doit être prêt à donner sa vie.

Pendant cet acte d’hypocrisie humaniste qui attire l’attention de tous au Vatican, Bergoglio agît en cachette, encore une fois contre un organisme relié à la Tradition, car c’est contraire au synode en cours :

« ( LifeSiteNews ) — La Fraternité Sacerdotale Saint-Pierre (FSSP) a été informée qu'elle recevra une visite apostolique du Vatican.
La FSSP est une communauté internationale de prêtres sous l'autorité du Saint-Siège qui célèbre la messe traditionnelle latine dans les églises du monde entier. »

« CITÉ DU VATICAN ( LifeSiteNews ) — L’évêque Athanasius Schneider a déclaré que le pape François a contredit « l’Évangile tout entier » en affirmant que toutes les religions sont un chemin vers Dieu. »…

Une telle affirmation du pape François est clairement contraire à la révélation divine, elle contredit directement le premier commandement de Dieu qui soit toujours valable – « Tu n’auras pas d’autres dieux que moi » – c’est tellement clair, et une telle déclaration contredit l’Évangile tout entier.

Schneider a ensuite rappelé aux téléspectateurs que « Jésus-Christ a dit : « Nul ne vient au Père que par moi. » »

Suite à la conclusion de l’enquête du Vatican sur les apparitions de la Vierge Marie à Medjugore publié la semaine passée, il semble que l’on visait également sinon ultimement les apparitions et les miracles à Fatima en 1917…

Ce qui est très révélateur à l’approche de ce 13 octobre 2024.

« En marge de la note récemment émanée, dont on a pu croire qu’elle concernait essentiellement sinon uniquement Medjugorje (cf. Merjugorge: ce n’était pas assez clair), une interview du père Stefano Cecchin, président de l’Académie pontificale mariale, franciscain.. et néo-franciscain. Il semblerait que Medjugorje était, au moins en partie, un prétexte, et que ce sont d’autres apparitions qui inquiètent le Vatican…

Par ailleurs, c’est le père Cecchin qui, reprenant la ligne officielle de Sainte Marthe, a déclaré « absolument faux » tous les messages qui parlent de « châtiments ». Or, c’est exactement ce que fait le message de Fatima, et pas seulement lui. »

À lire sur benoit-et-moi.fr

La guerre au Moyen-Orient s’intensifie.

Israël a fait son entrée dans le sud du Liban juste après le discours du premier ministre aux Nations-Unies, où il « exhorte le monde à préférer la « bénédiction » de la paix à la « malédiction » de l’Iran » (timesofisrael)

...

« « J’ai un message pour les tyrans de Téhéran : si vous nous frappez, nous vous frapperons. Il n’y a pas d’endroit en Iran que le bras long d’Israël ne puisse atteindre, et c’est vrai pour tout le Moyen-Orient », a poursuivi le chef du gouvernement israélien.
« Nous gagnons, nous gagnons, nous gagnons, nous gagnons, nous gagnons, nous gagnons, nous gagnons, nous sommes en train de gagner », s’est exclamé Netanyahu. »

On sait bien de quelle paix l’élite judéo-maçonnique veut nous imposer.

Néanmoins, cela confirme nos analyses depuis le début, c’est l’Iran qui est concerné par la prophétie politique « Grand Éclair à l’Orient », du moins, elle en est la cause.

Et la Chine qui donne son soutien à l’Iran (timesofisrael).

Liban : la Turquie presse Israël de retirer ses soldats « au plus vite »

Preuve que les événements sont bien enclenchés pour la bataille finale de la fin des temps.

Les deux Babylone ont amorcé leurs chutes.

Septembre 2024

30 septembre

LUMIERE DANS LE CIEL

Nous avons analysé l’importance du pape Léon XIII dans les dernières analyses.

« Lumière dans le ciel » est la devise attribuée à Léon XIII dans la prophétie des papes de Saint-Malachie.

Et la « lumière dans le ciel » est bien présente en cette fin de cycle, en ce mois de la conclusion de Vatican II par le synode des synodes.

C’est la comète de l’espoir pour les chrétiens catholiques.

Nous y sommes.

C’est le début du synode dans deux jours.

Et, la comète qui l’accompagne, et que nous verrons à l’œil nu autour du 12 octobre prochain, si tout continue ainsi, a triplé sa luminosité en une seule journée, signe qu’elle sera probablement visible en plein jour à cette date.

Il est estimé que cette comète a déjà visité la terre il y a plus de 80000 ans.

La comète n’est visible qu’au lever du soleil à l’est près de l’horizon en cette fin de mois. Mais elle deviendra de plus en plus visible entre le 12 et le 20 octobre lorsqu’elle prendre de l’altitude tout en se distançant du soleil.

Lien de spaceweathergallery pour les images de la comète.

Ci-joint l’image simulée donnée par Stellarium le 12 octobre prochain.

Voici la vue de la comète depuis la station spatiale.

Mais, aujourd’hui, juste avant le début du synode, la découverte d’une autre comète excite la communauté astronomique :

Une nouvelle comète rasante du soleil.

« Elle est déjà de magnitude 11 avec une chevelure verte de 2 degrés et une courte queue. »

L'orbite de la nouvelle comète rappelle à de nombreux experts celle de la grande comète Ikeya-Seki (C/1965 S1). En 1965, Ikeya-Seki est devenue si brillante lorsqu'elle est passée près du Soleil qu'elle était visible en plein jour à une magnitude de -10. Les observateurs japonais l'ont vue en plein midi.

« A11bP7I est au moins 4 à 5 magnitudes plus faible qu'Ikeya-Seki à la même distance », note Qicheng Zhang de l'observatoire Lowell. « Néanmoins, elle pourrait encore produire un spectacle visuel important début novembre si elle survit à sa rencontre rapprochée avec le Soleil. »

Comme Ikeya-Seki, la nouvelle comète rasante du Soleil de Kruetz. Les comètes Kreutz rasantes sont des fragments issus de la désintégration d'une comète géante il y a environ 2000 ans. Chaque jour, plusieurs fragments passent près du soleil et se désintègrent ; en effet, les coronographes SOHO en ont découvert des milliers. En règle générale, ils sont très petits, mais A11bP7I pourrait être une exception : un gros fragment qui survit à la chaleur et devient visible à l'œil nu.

Karl Battams, expert en comètes rasantes au Naval Research Lab, aimerait voir une belle démonstration, mais il est également plein de prudence : « Les comètes Kreutz présentent souvent des comportements « explosifs ». Ainsi, même si j'espère de tout mon cœur une Ikeya-Seki 2.0, il semble qu'il pourrait également s'agir d'un fragment Kreutz beaucoup plus petit qui aurait simplement éclaté un peu plus tôt que prévu [nous faisant penser qu'il est plus gros et plus brillant qu'il ne l'est en réalité] ». » (spaceweather.com)

Et voilà.

Quelle coïncidence.

Une comète visible dans le ciel du jour en plein synode et pour la date historique du 13 octobre, et une autre pour clore le synode à la fin du mois d’octobre.

Cette dernière est une fragment d’une comète plus grande éclatée il y a environ 2000 ans.

L’étoile du berger?

Et cette comète se dirige droit dans le soleil (elle ne fera pas le tour; c’est une rasante du soleil).

Quelle sera l'impact possible?

Ce genre de comètes peuvent provoquer des éjections de masses coronales (tempêtes solaires) et donc perturber la Terre, si dirigées vers cette dernière.

On la compare à la grande comète de 1965, la dernière de ce type vue en plein jour.

« Les comètes peuvent défier de telles prédictions, mais Ikeya-Seki a agi comme prévu. Alors qu'elle s'approchait du périhélie, les observateurs ont signalé qu'elle était clairement visible dans le ciel diurne à côté du Soleil. Au Japon, où elle a atteint le périhélie à midi heure locale, elle a été vue briller à une magnitude de -10. Elle s'est avérée être l'une des comètes les plus brillantes observées au cours du dernier millénaire, et est parfois appelée la Grande Comète de 1965. » (Wikipedia)

Une magnitude de -10, c’est énorme.

La comète du 13 octobre atteindra peut-être une magnitude de -4 (plus le chiffre est négatif plus la magnitude (brillance) est grande; la Lune a une magnitude de - 2.5 à - 12.75 lorsqu'elle est pleine).

Le synode des synodes, on le sait, conclura avec l’intention d’une messe œcuménique et un dialogue interreligieux pour que l’église catholique soit complètement adaptée à la nouvelle religion humaniste pour la venue du messie judéo-maçonnique.

Or, en 1965, lors de la grande comète, pratiquement à la même date où elle était visible par la majorité des humains, Paul VI publiait Nostra Aetate, la déclaration du concile Vatican II sur les relations de l'Église catholique avec les religions non chrétiennes (judaïsme, islam, bouddhisme, hindouisme et autres religions).

Nostra aetate est un des fondements du dialogue interreligieux catholique contemporain, renouvelant les relations que l'Église établit avec les autres religions non chrétiennes.

ET, le concile Vatican II s’est conclu le 8 décembre 1965.

Bergoglio début son jubilé 2025 le  8 décembre prochain.

La boucle est bouclée.

Nous avons bien là des signes que Dieu veille.

À nous de veiller aussi.

À suivre... surtout qu'Israël entreprend son attaque au sol au Liban présentement et que l'Iran se demande encore comment réagir à l'assassinat du chef du Hezbollah.

Un chef est donc mort en Orient.

Est-ce celui de la prophétie « Grand Éclair à l'Orient » ?

Si c'est le cas, surveillons l'autre chef qui sera assassiné au dans le sud ou au sud de Luther, les États-Unis, selon la prophétie.

27 septembre

LE MESSIE

Le fond de l’histoire est religieux.

Au travers les âges, le Père a choisi un peuple, les juifs, pour devenir le peuple élu afin d’éliminer le paganisme petit à petit et de créer une seule religion monothéiste.

Le peuple hébreu a été forcé d’abandonner ses cultes (on pense au veau d’or par exemple) et sacrifices sanglants pour préparer le sacrifice non sanglant, celui de l’Agneau de  Dieu, qui est perpétué éternellement via la Sainte Messe.

Afin de mener l’humain vers le Royaume des Cieux qui n’est pas de ce monde, et donc d’avoir intérieurement le mode de pensée nécessaire, Dieu a pris ce dernier par la main en établissant des lois (les dix commandements) pour ensuite compléter la Loi avec les enseignements du Christ.

Il n’y a qu’un seul Dieu a été remplacé par « aimer Dieu de toutes tes forces et ton esprit » et le système de valeurs des dix commandements a été remplacé par « tu aimeras ton prochain comme toi même ».

Ce monde fait face à deux visions distantes de la notion de Messie.

La première est spirituelle. C’est celle que nous connaissons via l’Évangile.

C’est le Christ.

Et, son retour à la fin des temps est strictement spirituel.

C’est la récolte du bon grain et de l’ivraie.

C’est le Royaume spirituel du Christ qui descend sur terre, la nouvelle Jérusalem : « que ton règne vienne,
que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel. »

C’est la purification par le feu.

La deuxième vision du Messie n'est que matérielle, temporelle.

C’est celle des talmudistes judéo-maçonniques.

Ce Messie est le peuple juif sans son entier (l’élite de la kabbale).

Hélas, elle a toujours ses relents du paganisme, des sacrifices sanglants, de l’holocauste nécessaire pour l’expiation des péchés.

Ces élites attendent la réalisation de la promesse faite au peuple juif par Dieu, celui de la terre promise.

Or, pour eux, la terre promise, c’est le monde entier.

Ils croient qu’ils sont destinés à le dominer financièrement, matériellement, afin d’être le seul peuple prêtre entre Dieu et les esclaves que nous sommes à leurs yeux.

Que ce soit la vision du clan des Loubavitch appuyant les russes, ou le clan des Rothschild avec la vision anglo-saxonne de la venue du Messie par la force (d’où les guerres expiatoires), la finale planifiée est un système supra-national à la sauce 1984, l’un étant multipolaire (voulu par les russes), l’autre étant unipolaire (les anglo-saxons).

Israël veut entraîner l'axe anglo-saxon dans cette guerre autour de Meddigo.

Elle provoque l'Iran pour la forcer à s'impliquer.

Mais en finale, le plan va échouer.

Les divisions entre les clans conduira à la chute de Babylone.

Le sacrifice sanglant mener par Israël ne réussira pas.

Car le Christ est venu compléter la Loi et a promis que c’est son Église qui triomphera à la fin.

Dernièrement, tout s’accélère et les indices augmentent à chaque jour qui passe pour confirmer cette chute éminente des deux Babylone.

Trump vient d'affirmer que l’Iran veut l’éliminer et que s’il était en poste et qu’un pays essaie de s’en prendre à un candidat à l’élection américaine, alors il n’hésiterait pas à bombarder les villes importantes du dit pays.

« « Si j’étais président, j’informerais le pays proférant des menaces, en l’occurrence l’Iran, que si vous faites quoi que ce soit pour nuire à cette personne, nous ferons détruire vos plus grandes villes et le pays lui-même », a déclaré le candidat républicain lors d’un meeting de campagne. » (lapresse.ca)

Cela va dans le sens de la prophétie politique #22 « Grand Éclair à l’Orient » que nous analysons depuis le tout début de l’ouverture du site, en ciblant l’Iran.

Du côté russe, Poutine affirme qu’il abaisse la ligne rouge concernant la politique nucléaire du pays :

« Le président russe Vladimir Poutine a prévenu mercredi que son pays pourrait utiliser l’arme nucléaire en cas de « lancement massif » d’attaques aériennes et que tout assaut mené par un pays non nucléaire, mais soutenu par une puissance disposant de l’arme atomique pourrait être considéré comme une agression « conjointe ». » (lapresse.ca)

Israël, dans sa guerre contre l’islam chiite, a frappé le port de Tartous en Syrie. (timesofisrael.com)

Pour ceux qui ne le savent pas, le port de Tartous est le port d’attache au Moyen-Orient pour la marine russe.

Bref, tous les indices pointent vers un conflit majeur autour de la plaine de Meddigo, comme c’est annoncé dans l’Apocalypse.

Le fond de l’histoire est religieux : dans ce monde laïcisé ou paganisé, les aveugles ne voient plus que tout est orienté en fonction du Messie temporel.

Bergoglio en est un participant très actif, quoiqu’il en pense.

Mais Dieu a d’autres plans...

26 Septembre

TIKOUN OLAM

La rédemption par le péché ou le sacrifice de masse pour obtenir quelque chose de supérieure.

Plus la rédemption par le péché est élevée plus la récompense est grandiose.

C’est la philosophie du sacrifice qui caractérise les esprits tordus judéo-maçonniques et qui est très bien expliquée dans les écrits de Pierre Hillard.

« Le basculement d’un monde dans une étape supérieure passe par un sacrifice expiatoire égal à l’obtention d’un « bien » défini selon les critères des thuriféraires du système pharisaïque. S’agissant de l’établissement d’une gouvernance mondiale, ce « bien » ne peut être adoubé que d’une manière holocaustique. » (Pierre Hillard, Des origines du mondialisme à la grande réinitialisation, p.251)

Nous y avons fait référence dans l’analyse du 29 juillet 2021.

« … En référence à Pierre Hillard (vidéo du 18 juillet avec Civitas), la kabbale juive tient ses principes de la gnose.

Pour eux, Dieu n’a pas créé un monde parfait pour laisser le soin à ses créatures de le rendre parfait.

C’est… et oui, la « grande réinitialisation ».

Serge Monast l’a toujours affirmé, le religieux est au-dessus du politique, il faut penser comme l’ennemi pour comprendre le plan, et le plan de l’ennemi n’est que strictement religieux.

La « réparation » de la société ou « grande réinitialisation », c’est « Tikoun Olam ».

Et c’est ce que vous avez sous les yeux en 2021, ce spectacle grandiose de l’ennemi à la 7ème période de l’Apocalypse.

« Tikoun Olam : Dans la tradition toranique, cela signifie toute action qui vise à améliorer le monde, en le rapprochant de l’état de complétude conformément au but pour lequel il a été créé. Tikoun olam engage lʼhumanité entière à penser « la réparation » de la société. Bien que la nature du monde soit intrinsèquement bonne, elle est soumise à des lacunes métaphysiques; son Créateur a délibérément laissé une place aux créatures afin de compléter son œuvre… »

Pourquoi Tikoun Olam maintenant, en 2021?

Parce que le temps est venu: « … tikkoun olam déclencherait ou accomplirait les prophéties concernant la venue du Messie ou celles du monde à venir… » (wikipedia.org)

N’oublions pas que Christine Lagarde avait déjà bien avertit en janvier 2014… + 7 ans, donc 2021.

L’engrenage est engagé et ils ne peuvent plus reculer. Il ne peut plus y avoir d’extension imprévue parce qu’un Trump émerge par exemple. Il faut un contrôle total de la population, politiciens inclus, soit les 10 rois de l’Apocalypse.

C’est ce qu’affirme Bergoglio: aucune marche arrière. Donc, lui aussi n’a plus le choix.

Il doit aller de l’avant et vite. Il doit procéder à l’élimination de la présence réelle, CAR le Verbe Incarné est l’obstacle qui doit sauter pour avoir « Tikoun Olam », soit la venue de leur Messie. »

On peut affirmer que la pression exercée par les dirigeants obscurs a bien augmentée depuis 2021.

Cette grande réinitialisation a son objectif final : l’Agenda 2030 où « vous ne posséderez rien mais vous serez heureux » affirment-ils.

Le sacrifice de masse en cours a pour but le nouvel ordre mondial avec des organismes supranationaux, dont les acteurs majeurs sont non élus, et qui décideront des lois sans que les dirigeants des pays n’aient leurs mots à dire.

C’est le rêve de Davos avec la clique judéo-maçonnique qui contrôle tout : finance, lois, biens matériels, etc. via les 18 objectifs énoncés dans l’Agenda 2030.

Les indices en 2024 de cette réalisation :

- endettement à l’extrême des pays pour mener à un krach afin de pousser la monnaie numérique qui permettra le contrôle total.
- immigration de masse dans tous les pays afin de détruire l’identité nationale.
- destruction de l’église catholique qui fait toujours obstacle à leurs plans.
- mise en place de dirigeants politiques à titre de marionnettes qui exécutent le plan, presque tous issus des écoles « young leaders » de Davos.
- la jeunesse est soumise à l’abrutissement mental par l’électronique afin d’en faire des citoyens esclaves de l’Agenda 2030.

Le but est de « désincarner » le peuple de sa nationalité et du reste de spiritualité et de valeurs morales qui lui restent, pour le rendre esclave d’une poignée d’élites au service de Satan, avec une nouvelle religion humaniste.

D’ailleurs, en voici un qui voit clair et qui sonne l’alarme :

« Le président argentin dénonce avec virulence « l’agenda idéologique » de l’ONU

L’ONU, a déclaré Javier Milei dans son premier discours à l’Assemblée générale depuis son élection fin 2023, est devenue « un modèle de gouvernement supranational de bureaucrates internationaux qui prétendent imposer aux citoyens du monde un mode de vie déterminé », d’où sa « perte de crédibilité ».


Une organisation « née pour défendre les droits de la personne a été l’un des principaux promoteurs de violations systématiques des libertés, comme les quarantaines mondiales de 2020, qui devraient être considérées un crime contre l’Humanité », a asséné M. Milei, en référence aux confinements imposés lors de la pandémie de la COVID-19.

« Quoique bien intentionné », l’Agenda 2030 de l’ONU « n’est rien d’autre qu’un programme gouvernemental socialiste supranational visant à résoudre les problèmes de la modernité avec des solutions qui menacent la souveraineté des États-nations », a martelé le dirigeant qui se décrit comme « anarcho-capitaliste ».

Pour Javier Milei, « l’Agenda 2030 a échoué » et adhérer au « Pacte pour l’Avenir » serait « persister dans l’erreur en redoublant d’efforts sur un programme qui a échoué ».

« Fin de cycle »

« Nous sommes dans une fin de cycle », a-t-il lancé. « Le collectivisme et la posture morale woke se sont heurtés à la réalité, et n’ont plus de solutions crédibles ».

… » (lapresse.ca)

Alors que Macron soutient la cause:

« Le président français Emmanuel Macron a appelé à une réforme de l’ordre mondial « injuste » actuel afin que les humains puissent coexister plus pacifiquement dans le « Nouvel Ordre Mondial ».

Ce que le dirigeant n'a pas dit, c'est que les esclaves seraient toujours des esclaves et que les gouvernements continueraient à les gouverner, c'est seulement cette illusion qui va disparaître.

S'exprimant devant la communauté catholique de Sant'Egidio, Macron a déclaré : « Nous devons avoir suffisamment d'imagination pour penser à la paix de demain, une paix en Europe sous une  forme nouvelle. »

Si le continent européen veut devenir plus stable, chacun devrait reconnaître qu’il n’est  « ni tout à fait l’Union européenne, ni résolument l’OTAN », a-t-il affirmé.

« Nous devrons réfléchir à une nouvelle forme d'organisation de l'Europe et repenser notre relation avec la Russie » une fois le conflit ukrainien terminé, a ajouté le président.

Macron a également affirmé que le système mondial créé au lendemain de la Seconde Guerre mondiale était « incomplet et injuste », car de nombreuses nations modernes n’existaient même pas à cette époque et n’avaient pas « leur place à la table des négociations ».

Il a déclaré que les organismes internationaux, tels que les Nations Unies, la Banque mondiale et le Fonds monétaire international, devraient être réformés en conséquence.

… » (zerohedge.com)

Voilà qui confirme le plan.

Les guerres actuelles sont des guerres pour créer un monde nouveau, soit dominé par l’axe anglo-saxon ou soit multipolaire comme le veut Poutine et ses alliés.

Que ce soit un ou l’autre, c’est une dominance judéo-maçonnique qui mène le bal.

C’est pourquoi nous assistons à cette boucherie au Moyen-Orient, car le sacrifice expiatoire est obligatoire pour avoir un « monde meilleur, réparé.

Et cela se nomme pour la fin des temps : Armegedon.

Il y a guerre aussi dans l’église également comme le confirme la prophétie de l’église #11 de Jean XXIII.

L’utilisation du sacrifice planétaire pour Tikoun Olam est une nécessité pour faire renaître le phœnix des ses cendres via le chaos provoqué.

C’est le même constat dans l’église.

C’est la finale d’un plan satanique qui a cours depuis longtemps.

Dans son court ouvrage de 1974 sur la crise de l'Église Saint Athanase et de l'Église de notre temps, Mgr Rudolf Graber a cité les paroles prophétiques du chanoine Roca (1830-1893), un prêtre qui, il y a plus de cent ans, parlait des secrets des conspirations corporatives contre la papauté :

« Il y a un sacrifice en vue qui représente un acte solennel d'expiation… La papauté tombera ; il mourra sous le couteau consacré que forgeront les pères du dernier concile. Le César papal est une hostie couronnée pour le sacrifice » (p. 35).

23 septembre

Une comète visible de jour est un événement très rare.

La dernière fut la  la comète McNaught (image ici) le 13 janvier 2007.

Elle fut six fois plus brillante que Hale-Bopp en 1997, et 100 fois plus brillante que la comète de Halley lorsqu'elle est apparue en 1986.

C’est donc dire que la comète du 13 octobre prochain pourrait être prophétique, comme analysée précédemment.

Le 13 octobre, jour du miracle du soleil à Fatima, est intimement relié à la date du 7 octobre car, comme nous le savons maintenant, c’est « la date d’une des plus grandes victoires militaires catholiques face aux musulmans : le 7 octobre 1571 la coalition formée par le pape bat la flotte ottomane lors de la bataille navale de Lépante.

Cette victoire est due explicitement aux innombrables chapelets récités par toute la chrétienté dans ce but. C’est pourquoi, en action de grâce d’un succès qui protégera pour longtemps la chrétienté de la menace islamique, le pape instituera au 7 octobre la fête de Notre-Dame du Rosaire, afin de faire le lien avec la prière privilégiée qui nous a obtenu cette grâce du Ciel.

Le 13 octobre est la date du miracle du soleil à Fatima. Les célèbres apparitions de la Vierge Marie à Fatima au Portugal se sont déroulées du 13 mai au 13 octobre 1917, sur 6 apparitions, la dernière du 13 octobre constituant une preuve incontestable de leur origine divine puisque les 70 000 personnes présentes assistèrent en direct au « miracle du soleil ».

Le lien entre les deux dates a été effectué par la Vierge Marie en personne. En effet, au cours des apparitions de Fatima, la Vierge dit à plusieurs reprises aux voyants : « le dernier jour, je vous dirai qui je suis et ce que je veux. » Et le dernier jour, le 13 octobre, elle révèle effectivement son nom : « Je suis Notre-Dame du Rosaire ». Cette information de toute première importance, donnée par le Ciel faut-il le rappeler, relie le 7 octobre au 13 octobre, et Lépante à Fatima. Çà devra donc servir un jour. » (Louis D’Alencourt, grandreveil.wordpress.com)

Rappelons qu’il y a eu trois phases dans le miracle du soleil du 13 octobre 1917 :

– Apparition des couleurs lors de la « danse du soleil »
– Une pause où « le soleil s’arrêta »
– Puis la chute du soleil à la toute fin.

On peut y associer facilement les phases suivantes en relation avec la ligne rouge du synode des synodes d’octobre 2024 :

– Avertissement ou action de grâces de la Sainte Vierge (les aurores du 13 mai dernier par exemple)
– Pause de réflexion, temps de conversion (la demi-heure où tout s’arrête dans l’Apocalypse?)
– Suivi de la purification par le feu.

Car, « le retour du Christ nécessite préalablement une purification totale de la terre et l’éradication du mal et de tous ceux qui font le mal, événement décrit dans l’Apocalypse comme la chute de Babylone et par nos contemporains par l’expression fin du monde, et qui est précédé, selon les Saintes Écritures, d’un signe dans le ciel.

Or ce signe dans le Ciel est double : l’Apocalypse nous parle de la Femme dans le ciel et l’évangile du signe du Fils de l’homme dans le ciel (donc la croix – Matthieu 24:30). » (Louis D’Alencourt, grandreveil.wordpress.com, lien ci-haut)

Le 7 octobre étant la date du Saint-Rosaire, quoique de plus normal pour le diable d’attaquer à cette date précise, afin de matérialiser la bataille d’Armagedon tel que prophétisé dans l’Apocalypse.

Car c’est bien le 7 octobre 2023 que les démons ont poussé le Hamas vers Israël, afin de déclencher cette guerre ultime.

En date d’aujour’hui, il est clair que cette escalade qui dure depuis maintenant presque un an, terrorise le monde, et que le Moyen-Orient est sur le point de s’enflammer.

L’ultimatum d’Israël fut donné le 13 octobre 2023.

« Qu’est-ce que cela veut dire du point de vue eschatologique, c’est-à-dire du point de vue du Ciel ?

a) Que le Hamas et par extension le monde musulman sont condamnés ; le 7 octobre est la date d’une victoire majeure de la chrétienté sur les musulmans, et il en sera de même aujourd’hui.

b) L’ultimatum du 13 octobre est l’ultime manifestation de la miséricorde de Dieu : l’unique chance de salut offerte aux musulmans pour les sauver de la damnation éternelle, et probablement la dernière, est de se tourner vers la Vierge Marie afin de se convertir au Christ, seul vrai et unique Dieu dans le mystère de la Sainte Trinité. Voilà pourquoi le Ciel a choisi un prénom musulman (Fatima) comme lieu de son ultime message. Il faut que les musulmans sachent qu’un miracle est possible -leur conversion en masse- comme le fut le miracle du soleil du 13 octobre. » (Louis D’Alencourt, grandreveil.wordpress.com)

Mais, c’est voulu.

La kabbale juive se réjouit d’avance de la venue de son messie et de l’élimination de l’obstacle majeur « Jésus Christ » et de sa présence réelle grâce à la magie de Bergoglio.

Car n’oublions pas, encore une fois, que "Netanyahou est sous l'influence de certains ministres messianiques et racistes qui le forcent à déclencher une escalade pour accélérer la venue du Messie et ce n'est pas une manière saine pour un État comme Israël dans un environnement hostile et complexe"  (Ehud Barak, ancien Premier ministre israélien) (voir analyses précédentes).

L’autre fait inquiétant :

Les faucons israéliens demande une attaque immédiate contre l’Iran.

Car, ils estiment qu’Israël n’a pas la puissance et le personnel militaire pour riposter à une attaque venant de 5 fronts différents.

Pour eux, la survie du pays en dépend étant donné l’avancement rapide vers l’arme nucléaire en Iran. Le temps est compté.

Voir ici un article (en anglais) sur le Jerusalem Post comme exemple.

Israël a plus que besoin de l’axe anglo-sioniste pour triompher.

D’ailleurs, l’attaque d’hier dans le sud du Liban suggère selon les témoins de l’utilisation de bombes de plus en plus puissantes de la part d’Israël (voir ici).

Nous assistons rapidement à la réalisation de la prophétie politique #22 de Jean XXIII « Grand éclair à l’Orient ».

Car, le seul moyen qu’a Israël pour survivre, est de lancer une attaque nucléaire sur les deux villes importantes d’Iran, avant qu’il ne soit trop tard.

Le 7 octobre 2024 est donc à surveiller.

Selon Jean XXIII, Dieu déclenchera la guerre de la nature pour empêcher la destruction de la planète.

Nous n’en sommes pas loin.

Le soleil est au maximum du cycle 25.

La probabilité des tempêtes solaires atteignant la Terre augmentent considérablement à cette époque de l'année.

Pourquoi ?

Parce que pendant les semaines autour des équinoxes, le champ magnétique de la Terre est exceptionnellement bien connecté à celui du Soleil. C'est ce qu'on appelle « l' effet Russell-McPherron ».

20 septembre

Retour sur la dernière tempête solaire de cette semaine.

Après les rares aurores jaunes et oranges (voir analyse du 26 août), voici donc que nous avons été témoins de très rares aurores « bleues », signe que le cycle solaire s’intensifie :

« Les aurores boréales sont généralement vertes et rouges. Le bleu est très inhabituel. Il faut une forte tempête géomagnétique pour les produire, plus un ingrédient supplémentaire.

« La lumière du soleil à haute altitude frappait les rayons bleus », …

Ce processus est appelé « diffusion résonnante ». Au sommet de la zone d’aurore, les molécules d'azote ionisées (N2+) produisent naturellement de la lumière bleue. La lueur bleue est généralement trop faible pour être visible. Cependant, lorsque ces ions sont frappés par la lumière du soleil du matin, ils capturent et réémettent des photons du soleil, amplifiant la couleur bleue. » Alan Dyer (photo ici)

La comète d’octobre prochain  vient d’émerger de derrière le soleil, et la première photographie (ici)
démontre que sa structure est toujours forte et qu’elle pourra être observée à l’œil nu très bientôt, peut-être même durant le jour.

Comme par hasard…

Cette comète est visible dans la constellation de la Vierge.

Voici le premier volet d’un article qui confirme nos analyses des dernières années :

« Père Heimerl : Le pape François célèbre l'accomplissement de la prophétie de la bienheureuse Anne Catherine Emmerich sur « l'Église obscure »
Selon la mystique allemande Anne Catherine Emmerich, l'« après-Église » ne sera pas une contre-Église ou une Église schismatique, mais l'Église catholique elle-même, car elle s'éloigne de plus en plus du Christ.

( LifeSiteNews ) — Il y a deux cents ans, la mystique allemande Anne Catherine Emmerich mourait à Dülmen, en Westphalie. La religieuse stigmatisée a vu dans ses visions non seulement la vie de Jésus, mais aussi l’avenir de l’Église. Peu avant sa mort, elle a déclaré : « Il y aura une église après l’Église. »

A l'époque d'Emmerich, une telle chose était difficilement imaginable, et que serait une « église après » ? Je l'avoue : je me suis moi-même posé cette question, du moins jusqu'à l'apparition de l'« église synodale » avec le pape François et, avec elle, son déclin rapide.

Mais une chose à la fois : qu’ont à voir François, « l’Église synodale » et la bienheureuse Anne-Catherine ?

La clé réside dans un amendement apporté par Emmerich, dans lequel elle parle d’une « église obscure ». Elle entend par là une église dans laquelle la lumière du Christ est éteinte. Par conséquent, l’« après-église » ne sera pas une contre-église ou une église schismatique, ni une « église » protestante comme l’« église » des anglicans ou des luthériens. Au contraire, l’Église catholique elle-même sera cette « post-église » parce qu’elle s’éloigne de plus en plus du Christ.

C'est ici qu'entre en jeu François, qui a ouvertement contredit ses prédécesseurs et – au moins en partie – le Christ lui-même. Le cardinal George Pell a donc à juste titre qualifié le pontificat de François de « désastre », on pourrait aussi dire : un pontificat qui ne correspond pas à la volonté du Christ.

Ou bien pourrait-on imaginer que le Christ aurait « béni » les adultères et les couples homosexuels ? Qu’il aurait toléré les rites païens dans son Église et restreint le mandat missionnaire confié à ses disciples ? Et encore moins qu’il aurait soumis ses enseignements divins à la volonté de l’homme et même les aurait relativisés par rapport aux autres religions ? Certainement pas !

Mais dans l’Église que François a déclarée « synodale », tout cela et, malheureusement, bien plus encore se produit. Il est évident que cette Église ne se préoccupe plus de la volonté du Christ, mais de la volonté des hommes, à laquelle François se conforme volontiers ; tout ce qu’il appelle « humain » ou « pastoral » n’est en réalité que ce qui obscurcit la lumière du Christ.

L’Église obscure de ce pape semble être faite uniquement d’hommes. C’est pourquoi elle n’est plus orientée vers Dieu mais seulement vers les hommes dans une coopération « synodale ».

Celui qui suit les discours du pape, par exemple récemment en Asie, ne peut que s'étonner de voir à quel point il a peu à dire sur Dieu et sur la foi ; en fin de compte, sa prédication est un mélange de politique, d'écologie et d'action sociale agrémenté d'ingrédients religieux ; parfois même, ceux-ci sont désormais totalement absents.

Si Emmerich était encore en vie aujourd’hui, elle ne parlerait pas d’une « après-église » mais de « l’église synodale » de notre pape. Ici, « tout le monde, tout le monde » est invité, comme le dit constamment François, mais chacun se demande : « Invité à quoi ? »

Nous ne savons pas pourquoi Dieu permet que cette situation désastreuse se produise, et Emmerich n'a pas non plus répondu à cette question. Cependant, elle a explicitement souligné que l'« église post-confessionnelle » serait « conçue par des voyous allemands », et elle avait raison sur ce point également.

Ce qu’elle avait prophétisé il y a 200 ans s’est réalisé avec la « Voie synodale » allemande, et François lui-même a adopté officieusement leur programme hérétique dans l’actuel « Synode mondial ».

Non, le « Synode mondial » n’a pas pour but de mettre un terme à l’hérésie allemande, mais de l’aider à triompher. François s’en est déjà occupé. Ou alors pourquoi pensez-vous qu’il a rempli tous les postes clés avec des sympathisants des « canailles » allemandes, sans parler de la prépondérance des participants ?

C'est tellement évident qu'on peut le sentir avec les mains : ce pape veut une nouvelle Église, et c'est à cette « Église franciscaine » que pensait la visionnaire de Dülmen lorsqu'elle parlait de la sombre « après-Église ».

Mais elle a aussi dit à propos de l’introduction de cette « Église » : « Seul le Seigneur a voulu qu’il en soit autrement. » En fin de compte, l’Église du Christ n’est pas entre les mains des hérétiques allemands, ni entre les mains de François. C’est peut-être un signe d’espoir ! »

Tout est fait pour convertir l’église conciliaire à la nouvelle religion humaniste mondiale.

Ce n’est pas une surprise pour personne.

Nos analyses confirment cette situation depuis longtemps.

Et on sait qu’à la fin il ne restaura que l’autel selon Anne Catherine Emmerich : la Sainte Messe traditionnelle.

C’est exactement tel que l’avait prédit le regretté Serge Monast qui était bien informé, c’est à dire qu’il y a un plan en cours sur le long terme, et dont Bergoglio mettra la touche finale:

« …L’Église, sous le pouvoir de l’Anti-Pape, sera absolument identique à l’Église de Jérusalem au temps de Jésus-Christ. Elle partagera l’idéologie des Nations-Unies de la même manière que les Prêtres du Temple partageaient l’Idéologie et le Pouvoir avec les Romains. Elle conservera les croyances en Jésus-Christ comme façade afin de dissimuler ses réels intérêts qui seront, en réalité, la richesse, le Pouvoir Politique et Religieux, et l’opportunisme sur tous les fronts tel que cela était le cas de l’Église de Jérusalem au temps de l’Empire Romain. Elle établira de nouveaux  »Concepts Religieux », tous basés sur la divinité de l’Homme où celui-ci sera considéré comme étant le  »Centre »… … En accord avec l’Agenda International à remplir, la première initiative de l’Anti-Pape en sera une de réconciliation truquée avec l’ensemble des Églises Chrétiennes du monde… L’élection d’un Anti-Pape aura eu pour effet de provoquer un  »Schisme » majeur, supposé être le dernier devant survenir dans le Monde Chrétien…

Voici donc le «Mensonge des Mensonges»! Voici «l’Abomination des Abominations»! Les faux chrétiens étant à la tête de la nouvelle église mondiale; et prétendant être les seuls et uniques représentants de Jésus-Christ d’un côté; de l’autre, les vrais et réels disciples de Jésus-Christ sur la route du Calvaire considérés comme étant les ennemies de l’État Mondial tel que cela était le cas, il y a deux milles ans, en face des prêtres de Jérusalem, et en face de l’empereur romain à Rome. »

Mais si c’est aussi évident, pourquoi n’y a-t-il pas plus de cardinaux et d’évêques qui s’élèvent contre cette nouvelle église?

Tout simplement parce qu’ils sont corrompus comme les Pharisiens et les Scribes au temps du Christ : ils ne veulent pas perdre leurs privilèges, leurs conforts, et leur sentiment de supériorité face au petit peuple.

Les aveugles qui conduisent les aveugles.

Pourquoi le Père laisse-t-il faire?

Parce que c’est le temps de la séparation du bon grain de l’ivraie.

Il faut bien qu’il y ait une épreuve afin de pouvoir choisir.

Mais le Christ interviendra avec sa Mère pour sauver le petit reste fidèle, celui qui s’éloignera de Babylone en pensée et en action.

18 septembre

À L'AUBE DU SALUT

Rien ne s’améliore du côté des guerres en Europe et au Moyen-Orient, et, additionnées à la crise au sein même de l’église catholique, nous avons en mains toutes les indications que le mois d’octobre 2024 risque d’être le mois pivot où tout bascule.

À la lumière des dernières analyses, nous rappelons le calendrier de la fin des temps donné par l’Apocalypse :

La mort de l’Antichrist débute la dernière et 7ème période, soudaine et très rapide, à l’image de Sodome et Gomorrhe, et du temps de Noé.

Selon l’ordre chronologique donné dans l’Apocalypse, nous avons :

1) Mort des témoins (3,5 jours)
2) Résurrection des témoins

Fin de la sixième période.

Entrée dans la 7ème période :

« Et quand l'Agneau eut ouvert le septième sceau, il se fit dans le ciel un silence d'environ une demi-heure. » (Apocalypse, 8-1)

3) Mort de l’Antéchrist
4) Chute de Babylone (3ème malheur, Ap. 11, 14)
5) Retour du Christ
6) Jugement dernier
7) Règne définitif et sans partage du Christ (Ap. 21-22)

Notez qu’avant l’ouverture du 7ème sceau dans les prophéties de l’Église de Jean XXIII (prophétie #11 juste avant celle de François), que la situation est critique au niveau de la guerre, surtout au Moyen-Orient, et de l’église, alors que le pape actuel « est décédé » ET qu’il y a guerre dans l’église.

Ce temps critique à la fin de la sixième période nous est indiqué par NSJC en Matthieu 23-24, puisque c’est vers l’Église qu’il faut jeter notre regard, car tout est en fonction de la Rédemption via l’Église en ce bas monde, quoiqu’en pense Bergoglio.

Les cardinaux et les évêques d’aujourd’hui sont bien les Scribes et les Pharisiens qui sont assis dans la chaire de Moïse du temps de Jésus.

« Faites donc et observez tout ce qu'ils vous disent ; mais n'imitez pas leurs œuvres, car ils disent et ne font pas. »

« Et, lorsque en présence de l'abomination de la désolation, annoncée par le prophète Daniel, établie en lieu saint, — que celui qui lit, entende ! — alors que ceux qui sont dans la Judée s'enfuient dans les montagnes. »

Heureusement, NSJC nous a promis que ces jours seraient abrégés, à cause des élus, car nul n’y échapperait.

C’est ce que mgr Strickland nous explique quant à la prière:

(À propos de Jésus)

« … Il s’éloigne souvent pour prier. Certes, le Christ avait besoin de communier avec son Père en esprit, dans le grand mystère de la Trinité. Mais il enseigne aussi toujours. Il nous donne un exemple de ce que nous devons faire : nous éloigner et prier ».

…  Strickland a également noté que notre Seigneur allait souvent prier avant de faire des déclarations importantes, et nous voyons dans ce passage de l’Évangile qu’il a nommé ses apôtres, un moment important de son ministère public.

L’évêque a ensuite souligné que ce passage parle ensuite d’une « grande foule de ses disciples » – une distinction est ainsi faite entre les 12 apôtres et les autres disciples.

« Je pense que nous devons être très clairs sur cette distinction dans l’Église d’aujourd’hui. Nous savons que les évêques sont les successeurs des apôtres, les successeurs de ces 12 que le Christ a choisis. Bien sûr, malheureusement, Judas Iscariote, l’un d’eux, est un traître, une note et un rappel qui donne à réfléchir que cet élément de trahison demeure dans l’Église, cet élément d’infidélité au Christ. Mais heureusement, 11 des 12 étaient profondément engagés – pas parfaits, et ils ont parfois trébuché en cours de route avec des reniements et de la confusion, tout comme nous, mais ces 12 ont été choisis pour être apôtres. »
...
« Je pense qu’il est vraiment important de se concentrer sur la réalité : l’humanité est la même [aujourd’hui] qu’elle l’était alors. Beaucoup résistent, mais beaucoup veulent toucher Jésus-Christ. Et je pense que nous, en particulier dans notre foi catholique, devons nous rappeler qu’il ne s’agit pas seulement d’un souhait ou d’un espoir, mais qu’il est possible pour nous de toucher Jésus-Christ, sa présence eucharistique, d’être réellement nourris par son Corps et son Sang, son Âme et sa Divinité », a-t-il déclaré.
...
Strickland a ajouté que si de nombreux fidèles ont besoin d'entendre la voix de leurs bergers, même Notre Seigneur s'est retiré pour prier à de nombreuses reprises, comme dans cet Évangile de Luc et pendant sa grande agonie dans le jardin... Strickland … a souligné que nous devons prier pour notre pays, et en particulier pour le Saint Rosaire.

Rappelant aux auditeurs que l'histoire a été changée par la prière du Rosaire à Lépante , « croyons que ce même pouvoir est à notre disposition si seulement nous l'acceptons », a déclaré Son Excellence. » (lifesitenews.com)

On peut facilement faire le lien entre Judas et Bergoglio dans ses propos, ainsi qu’à la situation décrite quand aux Pharisiens et aux Scribes au temps de Jésus.

Et, il est plus que temps de se retirer et prier.

Se retirer veut dire aussi de se couper mentalement de la corruption de l’esprit initiée par Babylone et ses valeurs morales de plus en plus dégradantes.

Être dans un état de prière, de grâce constante, connecté par le Saint-Esprit dans ses tâches quotidiennes est une séparation de Babylone.

Et, l’arme ultime dans ce moment critique nous le connaissons, c’est le Rosaire.

À l’aube du synode, et donc de notre Salut qui suivra, car la chute de Babylone représente l’Espérance du Salut pour les fidèles au Christ et à Marie, il est important de se retirer avec le Rosaire, si puissant, qu’il a fait tomber les ottomans à Lépante, pour contrer les forces maléfiques qui agiront pendant ce mois du Rosaire.

Car octobre, et spécialement le 7 octobre, est dédié au Rosaire.

Mgr Strickland sur le Rosaire :

« Soulignant que le Rosaire est un voyage à travers la vie du Christ, Son Excellence a réfléchi sur le premier mystère du Rosaire, l’Annonciation, qui montre le début de la vie de Notre Seigneur. «

Lorsque l’ange Gabriel vient annoncer à la Sainte Vierge Marie qu’elle a été choisie par Dieu pour porter Jésus, le Fils de Dieu dans son sein, Marie dit « oui ». Et les Écritures nous disent, et nous chantons à Noël « Joie au monde », que le chant de Dieu est conçu dans le sein de Marie. » Mgr Strickland a ensuite noté que c’est ici que commence l’histoire de Jésus et que c’est également là que commence notre cheminement en priant le Rosaire.

L'évêque a ensuite souligné que les piliers de la foi catholique sont l'Eucharistie et le rosaire, faisant référence à une vision de saint Jean Bosco dans laquelle l'Église est un navire dans une terrible tempête, ancrée au pilier de Marie et de Notre Seigneur eucharistique. « Nous avons besoin de ces piliers en cette période de défi et de folie où trop de gens disent : "Nous n'avons pas besoin de Dieu ; nous pouvons réparer ce monde nous-mêmes". Nous faisons un excellent travail dans ce domaine, n'est-ce pas ? » (lifesitenews.com)

Les piliers de la fin des temps sont le Rosaire et l’Eucharistie.

C’est la raison des attaques contre l’Eucharistie depuis Vatican II, et cette attaque finale du synode 2024.

Les pharisiens modernes en profiterons en plus pour célébrer  Vatican II le 11 octobre prochain.

C’est pourquoi Anne Catherine Emmerich a vu qu’il ne resterait que l’autel à la fin des temps.

La vision de Saint Jean Bosco énoncé par mgr Strickland est bien connue, et présente dans plusieurs de nos analyses (voir 20 avril 2020).

Car, les deux colonnes, dont l’une supporte l’Hostie « Salus credentium » (« Salut des croyants ») et l’autre  surmontée de la statue de la Vierge Immaculée, aux pieds de laquelle on peut lire : « Auxilium Christianorum » (« Secours des chrétiens »), sont un signe de la fin des temps.

« Auxilium Christianorum »  « Notre-Dame Auxiliatrice » est fêtée le 24 du mois de mai.

Ce titre fut donné à la Sainte Vierge Marie et officiellement introduit dans l’Église par Pie V, après la célèbre victoire de Lépante en 1571, lorsque qu'il ordonna d'inscrire dans la litanie Lorétienne l'invocation "Maria Auxilium Christianorum, ora pro nobis".

Saint Pie V ne cacha point qu'il attribuait à l'intercession  de la sainte Vierge le succès de Lépante. Il ajouta aux litanies de Lorette, c'est-à-dire de la sainte Vierge, l'invocation "Secours des chrétiens, priez pour nous", et fixa au 7 octobre une fête en l'honneur de Notre-Dame de la Victoire.

Il y a donc un lien direct entre les mois d’octobre et de mai.

Sachant que Don Bosco a prophétisé aussi la venue du Lys de Paix avant le mois des deux lunes, et que le seul possible maintenant est mai 2026, on ne peut qu’anticiper que le mois d’octobre 2024 est crucial.

Spécialement parce qu’aussi le 13 octobre est lié à 1884 et la libération des démons pour détruire l’Église, ainsi qu’au miracle du soleil en 1917.

Cette date ne nous a pas été présentée par la Sainte-Vierge sans raison.

Nul ne connaît le jour ni l’heure sauf le Père mais les signes du figuier sont là afin de nous dire :

« Soyez prêt et retirez vous de Babylone. »

17 septembre

LE TESTAMENT DE BERGOGLIO

Alors que le cardinal Burke se demande si on est à la fin des temps, ceux qui observent attentivement et comprennent, savent que la fin du calendrier initié en 1962 par Jean XXIII arrive, et en conséquence, prouve que nous sommes bel et bien à la fin des temps depuis plusieurs décennies.

On n’attend pas l’Antichrist.

Nous sommes en présence de l’Antichrist système depuis très longtemps, et de l'Antéchrist personnifiée depuis le 13 mars 2013.

C’est ce que nous avons essayé de démontrer à l’aide des prophéties de Jean XXIII, surtout consacrées à l’Église puisque énumérées dans l’ordre des papes successifs, ainsi que les actualités, et ce depuis 2011.

C’est ce que nous avons identifié dans les dernières analyses de septembre.

Vatican II a été le dernier coup de canon de Satan pour saper l’Église, et les papes qui se sont succédés n’ont fait pencher l’Église qu’un peu plus vers l’œcuménisme, la fraternité, le dialogue interreligieux, ainsi que le démantèlement de la Sainte Messe en une parodie qui atteint son paroxysme avec les célébrations amazoniennes en cours d’essais.

La conclusion du synode des synodes d’octobre 2024 est le dernier acte de Bergoglio.

Son testament.

Pour les chrétiens  allumés, ce fut 3 années de ténèbres.

Comme le signe de Jonas.

Lorsque Jonas sort finalement du ventre du poisson, il part à Ninive délivrer son message : « Encore 40 jours et Ninive sera détruite ».

Nous avons analysé dernièrement que nous atteignons les 100 ans de destruction de Satan ajoutés aux 40 ans d’attente dans le désert à l’image du Christ, notre carême, depuis la vision de Léon XIII du 13 octobre 1884.

C’est la même date que le miracle du soleil de 1917.

C’est en plein au milieu du synode d’octobre 2024.

Bergoglio et ses sbires ont publié hier, lendemain de la fête de Notre-Dame des Douleurs, les dernières modalités sur le déroulement de ce dernier.

Voici l’essentiel du résumé publié par LifesiteNews.com, ajoutés de nos commentaires entre parenthèses :

« Voici ce qui se passera au Synode sur la synodalité en octobre

CITÉ DU VATICAN ( LifeSiteNews ) — Le bureau de presse du Vatican a publié les détails du prochain Synode sur la synodalité qui débutera plus tard ce mois-ci...

Cet événement marque le point culminant d’un processus pluriannuel entamé en 2021. Les rencontres devraient aboutir à un document final émanant du pape François ou approuvé par lui.
...

La retraite, qui se déroulera principalement en privé (seules certaines sections seront diffusées en direct par les portails d'information du Vatican), sera à nouveau principalement dirigée par le père Timothy Radcliffe, OP, un dominicain anglais de 79 ans, connu pour sa promotion de l'idéologie LGBT et sa contradiction avec l'enseignement de l'Église sur le sujet.

Comme l’année dernière, Radcliffe sera rejoint par l’abbesse bénédictine italienne Mère Maria Ignazia Angelini, et les deux continueront d’agir pendant tout le mois comme « assistantes spirituelles » du Synode.

Une nouveauté cette année est la veillée pénitentielle qui se tiendra le soir du 1er octobre dans la basilique Saint-Pierre. Sous la conduite du pape François, trois personnes « qui ont souffert du péché : le péché d’abus ; le péché de guerre ; le péché d’indifférence face au drame présent dans le phénomène croissant des migrations dans le monde entier » seront entendues.

Après cela, « aura lieu la confession d’un certain nombre de péchés », a annoncé le Vatican, sans donner de détails précis sur le déroulement de l’événement : pourrait-il donc s’agir d’une forme de confession générale ?

« Le but n’est pas de dénoncer le péché des autres, mais de se reconnaître comme l’un de ceux qui, par omission ou par action, deviennent cause de souffrance et responsables du mal infligé aux innocents et aux sans défense », écrit le Vatican.

« Celui qui exprime la demande de pardon le fera au nom de tous les baptisés. »

(Cela ressemble drôlement à une confession humaniste à la mode woke pour remettre les pendules à zéro. Du moins on ne spécifie pas ici si la demande de pardon sera faite au Père, ou à l’humanité entière; pour preuve la liste qui suit.)

Les péchés particulièrement « confessés » incluent :

    • Péché contre la paix
    • Péché contre la création, contre les populations autochtones, contre les migrants
    • Péché d'abus
    • Péché contre les femmes, la famille, la jeunesse
    • Le péché d'utiliser la doctrine comme des pierres à lancer
    • Péché contre la pauvreté
    • Péché contre la synodalité/manque d’écoute, de communion et de participation de tous

(Péché contre la création, contre les migrants : Bergoglio manipule comme les politiciens. Cela nous en avons la preuve depuis 2013. Voyez ici la contradiction : les pays qui ont reçus le tsunami en immigration se retrouvent avec une pénurie de logements, dont les prix augmentent à vue d’œil, et se trouvent dans l’obligation d’augmenter le rythme de création de nouveaux logements, détruisant ainsi la terre et la nature si chère à Bergoglio, tout en augmentant conséquemment les émissions polluantes.

Péché d’utiliser la doctrine : on veut éliminer la doctrine et empêcher les faiseurs de troubles tels que les cardinaux Burke, Sarah, et autres, ainsi que les évêques qui défendent la vraie Foi.

Bref, c’est le SIGNE DE LA MORT DES DEUX TÉMOINS à venir. Sur le court terme.

Péché contre la synodalité : Voilà. La ligne rouge est tracée. Pour ou contre la synodalité. Mêmes valeurs que le système woke. Ceux contre le principe de la synodalité seront ostracisés.

Rappelons ceci (voir 9 juillet) : « Le terme même de « synodalité » a été vivement critiqué par d’éminents prélats, tels que le cardinal Raymond Burke et le cardinal Joseph Zen, comme étant imprécis et sans fondement historique. Mais l'IL précise que depuis le début du synode en 2021, « les termes synodalité et synodal , dérivent de l'ancienne et constante pratique ecclésiale de rassemblement au synode ces dernières années ».

La mission synodale est effectivement un concept moderne inventé par Bergoglio et ses fidèles collaborateurs.

« Ce document sera différent de celui utilisé pour la première session. «Si, lors de la première session, il était important de mettre en évidence les thèmes à aborder de manière ample, le document de travail de la session d'octobre entend plutôt souligner certains nœuds à défaire pour répondre à la question Comment être une Église synodale en mission, en tenant compte du chemin parcouru jusqu'à présent et en proposant des arguments théologiquement fondés ainsi que des propositions concrètes pour aider au discernement confié aux membres de l'assemblée», a déclaré Mgr Riccardo Battocchio, secrétaire spécial de la XVIe Assemblée.  » (vaticannews.va))

Après la « confession », le pape François adressera une demande de pardon à « Dieu et aux sœurs et frères de toute l’humanité … au nom de tous les fidèles ».

(Voilà qui confirme le volet humaniste, puisque selon Bergoglio, tous les chemins mènent à Dieu.)
… )

Donc, Bergoglio veut léguer une église synodale en mission.

Mais, puisque tous les chemins mènent à Dieu selon lui, alors, comment peut-on parler de mission de l’Église?

La notion tombe d’elle même puisque l'église concilaire catholique n'a alors plus de mission.

C’est un paravent pour une « fraternité universelle », une église convertie à l’humanisme, la conclusion de Vatican II.

La preuve :

« Pape François: la synodalité crée la fraternité en dehors de l’Église » (vaticannews.va) (analyse du 27 juin dernier)

« ... Le «profond renouvellement» que le Pape appelle de ses vœux trouve sa source dans le Concile Vatican II.

Le Pape qui l’a initié, ... Jean XXIII parlait d’un «aggiornamento» («une mise à jour») quand celui qui l’a clos, ... Paul VI, évoquait un «renouveau florissant de l’Église». Toujours sur la nécessité de réforme, François a cité son prédécesseur, le Pape Benoit XVI, qui souhaitait une réforme afin de parvenir à une communauté dans laquelle le Divin peut opérer, «une communauté dans laquelle un 'je' n'est plus contre un autre 'je'»... »

Donc, Bergoglio indique bien qui va clore l'« aggiormamento » initié par Jean XXIII avec la fin du synode en octobre prochain.

Élimination de la messe traditionnelle suivi de la conversion TOTALE de l'église conciliaire à l'humanisme.

Les valeurs sont finalement inversées (on ne parle plus au futur): C'est l'église qui s'est convertie et non le monde qui s'est converti au Christ, comme le voulait NSJC en créant son épouse, l'Église, établie sur le roc qu'est Saint-Pierre.

Rappelons les 5 perspectives tirés de synod.va (le lien ne fonctionne plus, évidemment) dans l’analyse du 27 juin dernier :

«La perspective #4 doit retenir l’attention sur « La méthode synodale » pour 2024:

« Enfin, la liturgie étant à la fois miroir et nourriture de la vie de l’Église, le travail portera également sur la dimension liturgique : « Si l’Eucharistie façonne la synodalité, le premier pas est d’honorer sa grâce avec un style de célébration qui soit à la hauteur de ce don et avec une fraternité authentique » (RdS3k).

Le groupe de travail, qui assumera la perspective transversale de la méthode synodale, explorera
des points tels que :

a) la relation féconde entre l’enracinement liturgique et sacramentel de la vie synodale de
l’Église (écoute de la Parole et célébration de l’Eucharistie) et la pratique du discernement
ecclésial ;

b) une meilleure clarification de la configuration de la « conversation dans l’Esprit », en tenant
compte de la pluralité des déclinaisons qu’elle connaît grâce à l’expérience de multiples
spiritualités ecclésiales et de différents contextes culturels (cf. RdS 2i-j) ;



f) la promotion d’un style de célébration adapté à une Église synodale, qui permette de vivre et
de témoigner de la participation commune de tous, tout en respectant et en promouvant la
spécificité des rôles, des charismes et des ministères de chacun…. »

Et plus loin:

« Il faut privilégier ce qui est le plus efficace pour l’annonce de l’Évangile, en ayant le courage
d’abandonner ce qui s’avère moins utile ou même un obstacle. C’est cet élan vers la mission qui fait
que le processus synodal n’est pas un exercice où l’Église se regarde dans le miroir et se préoccupe de
ses propres équilibres, mais qu’elle est projetée vers le monde et l’humanité tout entière, en demandant
à chaque membre du Peuple de Dieu d’offrir sa contribution irremplaçable.

L’œcuménisme du sang (cf.RdS 7d) nous rappelle avec force que le témoignage de l’Évangile jusqu’au don de la vie concerne tous les baptisés, sans distinction d’appartenance confessionnelle : c’est donc la mission commune qui constitue le vecteur du chemin vers l’unité des chrétiens, à partir de formes concrètes de collaboration, qu’il faut continuer à promouvoir et à expérimenter. »

Bref, tout cela confirme que le processus synodale n'est qu'une illusion: seul la volonté de Bergoglio compte, et les décisions donneront l'apparence d'être prises par des comités.

Quant aux 5 perspectives: c'est exactement le synode amazonien qui revient sur la table.

La « célébration liturgique » (on ne dit pas la MESSE dans ce document) sera laissé à la discrétion des « locaux ».

C'est un démantèlement de la messe pour en effacer l'essentiel: la présence réelle du Christ. » écrivions nous.

Voilà.

Tout est dit.

Ou presque…

Veillée de prière œcuménique (tiré du lien LifesiteNews ci-haut, inclu dans le processus du synode) :

« Alors que le Synode de 2023 a commencé par un événement de prière œcuménique, cette année verra un rassemblement similaire le 11 octobre. La date est délibérée, étant le 62e anniversaire de l'ouverture du Concile Vatican II et près de 60 ans depuis la publication du Décret sur l'œcuménisme Unitatis Redintegratio .

La cérémonie se déroulera sur la Place des Protomartyrs, où, comme le précise le communiqué de presse du Vatican, saint Pierre a été martyrisé selon le témoignage de la tradition. »

(Rappelons que l'église est veuve après 60 ans.)

VOILÀ.

LE TESTAMENT DE BERGOGLIO.

On connaît tous la signification du 11 pour la kabbale (voir analyses précédentes), et en ce jour d’octobre, Bergoglio confirme qu’il sera celui qui CONCLUERA Vatican II.

Fusion totale dans un œcuménisme humaniste et fraternel prêt pour l’Agenda 2030.

Il veut être reconnu comme l’illustre pape qui a sauvé l’église alors qu’il sera vomit de la bouche de Dieu (Apocalypse 3, 16).

Le temps est proche.

16 septembre

Sans surprise, l’État profond fera tout pour que les démocrates remportent la présidence américaine.

Ils ne peuvent se permettre de perdre encore quatre années.

Une deuxième tentative d’attentat contre l’ex-président n’est pas anodin.

Leurs plans sont trop avancés, et surtout, la dette des États ne peut croître indéfiniment. Une crise est à l’horizon.

Comme les analyses le confirment depuis longtemps, la prophétie « Grand Éclair à l’Orient » est encore plus proche de semaines en semaines.

« et en Occident, sera tué un chef. Au sud de Luther »

Notez pour ceux que ne le savent pas que « Luther » dans les prophéties est le nom prophétique pour la terre des protestants, les États-Unis.

Cela confirme aussi en quelque sorte les écrits de Louis D’Alencourt (le projet 47; sont dernier article avant de nous quitter).

Commentaire de mgr Vigano sur les dernières paroles de Bergoglio avant son retour à Rome :

« Je suis le chemin, la vérité et la vie. Nul ne vient au Père que par moi. » (Jean 14:6)

Bergoglio, avec ses déclarations impies adressées aux jeunes de Singapour selon lesquelles « toutes les religions sont un chemin vers Dieu », offense la Majesté de Dieu, trahit la Révélation divine, piétine les principaux Mystères de notre Foi et annule le Sacrifice rédempteur du Fils de Dieu, Notre Seigneur Jésus-Christ.

Ses paroles mensongères sont particulièrement insidieuses parce qu’elles s’adressent aux nouvelles générations, que Bergoglio trompe en leur faisant croire qu’il est possible d’être sauvé sans reconnaître que Jésus-Christ est le Fils de Dieu, l’unique Sauveur, et que son Église est l’unique arche du salut. Je suis la porte (Jn 10, 9) a dit Notre Seigneur de lui-même.

Nier cette vérité, c’est apostasier la foi et fouler aux pieds la Croix.

Le faire du plus haut des Seuils est un scandale d’une gravité sans précédent, surpassé seulement par le silence craintif ou complice de la majorité de l’épiscopat.

La « passio Ecclesiæ » s’accomplit dans la trahison d’une autorité usurpée, d’un nouveau Sanhédrin également apostat. »

Finalement un cardinal, non le moindre, le cardinal Burke affirme que nous somme probablement à la fin des temps :

« ( LifeSiteNews ) — Le cardinal Raymond Burke estime que nous vivons peut-être les « derniers temps ».

« Est-ce que ce sont les derniers temps ? Je ne sais pas. Notre Seigneur lui-même a dit que c'est au Père de prendre ces décisions. Mais il semble bien que ce soit le cas, et nous avons donc besoin d'une intervention forte de Notre Seigneur », a écrit Burke dans un post publié sur X jeudi, alors qu'il appelait les gens à se joindre à sa neuvaine de Notre-Dame de Guadelupe.
Dans un autre article publié lundi sur X, Burke a appelé son auditoire à invoquer l’intercession de la Vierge Marie pour obtenir la grâce d’être « des compagnons de travail fidèles et courageux dans la vérité » avec le Christ. Il a raconté comment Notre Seigneur avait envoyé la Sainte Mère par des apparitions pour nous ramener à Dieu au cours des siècles, comme en 1531, lorsque le « sacrifice humain » ravageait le Mexique et que la révolte protestante attaquait l’Église catholique en Europe. Puis, Dieu a envoyé Notre-Dame de Guadalupe pour « amener d’innombrables cœurs à son Cœur Immaculé afin qu’ils puissent se reposer dans son Cœur glorieux et transpercé, y trouvant le bon ordre de la Loi et de l’Amour divins. »

...

Le 13 juillet, Burke a reconsacré l'Amérique au Cœur Immaculé de Marie lors d'un événement mensuel commémorant les anniversaires des apparitions de Fatima, rejoint par environ 3 000 fidèles catholiques.
Lors de son homélie, Burke a appelé les catholiques à se préparer à la possibilité du martyre pour être restés fidèles au Christ. 

« Nous devons nous tourner quotidiennement vers le Christ et embrasser le martyre blanc de l’indifférence, du ridicule et de la persécution », a-t-il déclaré, avertissant que « certains d’entre nous pourraient même être appelés à donner le témoignage ultime du martyre rouge, de la mort en restant fidèles au Christ et à son plan pour notre salut et le salut du monde. »

« Chacun de nous est appelé, avec Marie Immaculée, à faire sa part dans l'œuvre salvifique du Christ, selon sa vocation de vie et ses dons distincts », a-t-il expliqué.   

« Chacun de nous est appelé à prier et à faire pénitence pour la conversion de la Russie, à célébrer les premiers samedis de réparation et à prier le Rosaire, en gardant dans notre cœur, un avec le Cœur Immaculé de Marie, tout ce que Notre Seigneur a dit et fait pour notre salut éternel. »

« Puissions-nous, unis de cœur avec le Cœur Immaculé de Marie, garder toujours dans nos cœurs le Mystère de la Foi, afin qu'avec Marie, nous puissions apporter au monde le Christ et son œuvre salvifique », a prié le prélat.

15 septembre

En route vers le synode

La Sainte Vierge Marie est apparue aux enfants le 13 octobre 1917 en Notre-Dame du Rosaire, le rosaire, seule arme pour la fin des temps, en Notre-Dame des Douleurs, et en Notre-Dame du Carmel.

Nous fêtons aujourd’hui Notre-Dame des Douleurs.

Et des douleurs, nous lui en donnons par tous nos péchés.

Bergoglio en tête avec ce synode à l’odeur putride dont, nous nous en doutions depuis le début, est arrangé à la sauce Bergoglio comme tous ses autres synodes auparavant.

LifeSiteNews )Mar 20 août 2024  — L'évêque suisse Marian Eleganti a déclaré que le Synode du Vatican sur la synodalité était déterminé par des « agendas tout faits » et a critiqué le pape François pour son hypocrisie.

Dans une interview accordée au média suisse kath.ch, il a affirmé que « les agendas tout faits détermineront le processus synodal et le contrôleront dès le début ».

Il a déclaré que le processus synodal du pape François n'est pas réellement un processus « d'écoute » déterminé par les opinions des laïcs, comme le prétendent souvent les partisans de la « synodalité ».

« Je crois que dans de tels processus, les éditeurs qui formulent les documents finaux sont le facteur décisif – pas nécessairement le Saint-Esprit », a déclaré Eleganti. « On ne peut pas impliquer 1,2 milliard de catholiques dans un tel processus. »

« Cela est aussi immédiatement instrumentalisé pour la politique de l’Église », a-t-il ajouté.

«Aujourd'hui, la soi-disant 'réalité vécue' est utilisée comme une autre 'source de révélation'», a déclaré l'évêque suisse à propos des perspectives du synode.

Citant le philosophe colombien Nicolás Gómez Dávila, Eleganti a déclaré : « N’ayant pas réussi à amener les gens à mettre en pratique ce qu’elle enseigne, l’Église contemporaine a décidé d’enseigner ce qu’elle pratique. »

Le prélat a averti que le synode pourrait conduire au schisme « si la frustration d'avoir encore une fois échoué dans son propre programme devient suffisamment grande ».

Il a ensuite critiqué l'hypocrisie de François qui promeut la « synodalité » tout en agissant lui-même de manière autoritaire.

« Bien que le pape François ait écrit Synodalité sur sa bannière, il a un style de leadership très autoritaire », a déclaré Eleganti. "Il intervient dans le processus synodal et le dirige, par exemple en retirant les questions importantes de l'assemblée plénière et en les déléguant à des commissions qui travaillent de manière autonome."

«Il a également remis à l'ordre du jour du deuxième synode sur la famille un vote rejeté par la majorité de l'assemblée plénière. Le document final du Synode amazonien a déçu Mgr Kräutler pour des raisons similaires.»

"Je ne refuse pas au pape François l'autorité et l'autorisation de le faire", a précisé Eleganti. "Il est le Pape et doit agir selon sa conscience devant Dieu."

Cependant, « certains se demanderont ce que signifie exactement pour lui la synodalité ».

« Apparemment, la synodalité a des limites. Beaucoup voient une contradiction dans les actions du pape », a-t-il conclu.

« … L'autorité du Pontife romain est le dérivé de l'autorité du Christ et tire sa légitimité de sa conformité à cette réalité ontologique. En revanche, l'autorité de Bergoglio est ouvertement proclamée indépendante et autoréférentielle : il pense qu'il peut utiliser et abuser de son propre pouvoir et de l'autorité (et de la direction) de l'Église catholique simplement parce qu'il sait que le clergé et le peuple chrétiens ont habitué, dans le soixante dernières années, à accepter tout changement que l'Autorité leur imposait. Au nom d'une "démocratisation" de l'Église conciliaire - aujourd'hui rebaptisée "synodalité" - le lien entre l'autorité du Christ et celle de son vicaire sur terre a été rompu, créant ainsi les prémisses d'un exercice tyrannique du pouvoir. Bergoglio veut être reconnu comme pape légitime car ce n’est qu’à partir de cette position qu’il pourra exiger l’obéissance des catholiques et achever la transformation du catholicisme romain en religion maçonnique de l’humanité…

Cette servilité de l'Église envers le monde est souhaitée et préméditée : elle inclut le soutien à la fraude climatique et au culte idolâtre de la Terre Mère, après avoir été explicitée par la fraude criminelle psycho-pandémique et la « vaccination » massive avec des produits prouvés nocifs, voire mortels. , sérums et presque toujours stérilisants, produits avec des fœtus avortés avec le placet du Vatican . Il est donc évident que le rôle de Bergoglio dans la mise en œuvre de l'enfer mondialiste a été décisif et nous montre comment le jésuite argentin - comme les dirigeants des principaux pays occidentaux tels que Biden, Macron, Trudeau, Starmer et d'autres - a été placé sur le trône. de Pierre en tant qu'émissaire du Forum économique mondial.

Une telle trahison dans le gouvernement de l’Église catholique confirme un vice d’intention dans la prise en charge de la Papauté, tel qu’elle invalide la légitimité même de celui qui a usurpé le pouvoir et en abuse pour détruire l’institution qu’il préside. C’est là le nœud de la question : un Pape peut-il contredire la doctrine que Notre Seigneur lui a ordonné de défendre, de garder et de transmettre, allant jusqu’à prêcher l’hérésie ?

Un pape peut-il se considérer à ce point déconnecté du Christ Roi et Pontife, au point d’utiliser la papauté contre la volonté du Christ, transformant son Église en une organisation antichrétienne, au service de l’élite mondialiste ? De quelle « Église » Bergoglio est-il le « Pape » ? » (mgr vigano- 10 sept - aldomariavalli)

Et Bergoglio de conclure son voyage en Asie :

« Toutes les religions sont un chemin vers Dieu. Elles sont – je fais une comparaison – comme des langues différentes, des idiomes différents, pour y parvenir. Mais Dieu est Dieu pour tous. Et parce que Dieu est Dieu pour tous, nous sommes tous ses enfants.

« Mais mon Dieu est plus important que le tien ! Est-ce vrai ? »

Il n’y a qu’un seul Dieu et nous, nos religions sont des langues, des chemins vers Dieu. Certains sont sikhs, d’autres musulmans, d’autres hindous, d’autres chrétiens, mais ce sont des chemins différents. Compris? » (benoit-et-moi.fr)

Cette affirmation a causé un tollé général dans la communauté catholique.

Évidemment.

« Des mots qui sonneraient comme une platitude désarmante sur les lèvres de n’importe qui, mais qui laissent perplexe lorsqu’ils sont prononcés par le successeur de l’apôtre Pierre, dont le ministère consiste à confirmer ses frères dans la foi, et non à les désorienter.

François, en revanche, le réinterprète à sa manière, comme si saint Pierre avait entamé un dialogue avec les juifs et les païens, leur disant que la mort et la résurrection du Christ n’ont rien apporté de substantiellement décisif à l’histoire de l’humanité, si ce n’est une nouvelle voie alternative vers Dieu, mais toujours facultative et sans la prétention d’être la seule vraie. Comme la variante d’une autoroute.

Peut-être le Pape croit-il que l’affirmation qui est sortie de la bouche même de Jésus-Christ – « Je suis le chemin, la vérité et la vie » (Jn 14,6) – était une coquille de quelque copiste, ou une réinterprétation des disciples du Seigneur, qui n’avaient encore rien compris au dialogue interreligieux, ou même un délire de toute-puissance d’un certain Jésus-Christ, qui s’était monté la tête en se prenant pour Dieu.

« Personne ne vient au Père si ce n’est par moi. Si vous me connaissez, vous connaîtrez aussi le Père » (Jn 14,6-7) : une “perspective” résolument opposée à celle du Pape. » (lien benoit-et-moi.fr ci-haut)

« … La doctrine catholique sur le Christ unique sauveur est, comme on le voit, liquidée. Et de la manière la plus claire possible. Quel sens l’évangélisation a-t-elle à ce stade ? Et l'esprit missionnaire ? Pourquoi des légions de catholiques ont-elles tout sacrifié, même la vie elle-même, pour prêcher l’Évangile si chaque foi est la même que les autres et qu’elles mènent toutes également à Dieu ?

Bien sûr, ce n’est pas la première fois que Bergoglio s’exprime en ces termes, mais il ne l’a jamais fait avec autant de brutalité.

À ce stade, on se demande : qu’en est-il de la papauté elle-même ? À quoi ça sert ?.. » (aldomariavalli)

« Le seul chemin vers Dieu le Père est par son Fils Jésus-Christ. Le nier, c'est nier la foi catholique, c'est une hérésie », a écrit l'évêque Strickland en réponse au pape François. » (lifesitenews.com)

Voilà.

Cela nous donne une idée claire et finale du personnage actuellement sur le trône de Saint-Pierre.

Il n'y a plus aucun doute.

Si les tièdes n'ouvrent pas les yeux avec ses dernières paroles, alors ils ne les ouvriront jamais.

Bergoglio a renié la fonction du pape dès le premier jour en se déguisant en agneau, prêchant la pauvreté avec ses vieux souliers, refusant les appartements normalement occupés par le pape pour aller habiter à Sainte-Marthe, et continue depuis de s’affirmer comme le destructeur, comme simple évêque de Rome, et qui affirme maintenant que tous les chemins mènent au Père.

Il ne pouvait pas agir ainsi tant et aussi longtemps que le katéchon était vivant, car Benoît XVI était un expert en théologie.

Mais maintenant, il peut tout faire.

Mise à jour concernant les signes du Ciel :

La comète d’octobre continue sa progression. Elle n’est pas visible pour l’instant car elle est trop près du soleil.

Soleil, qui comme prévu, continue d'élever son activité et ses taches en plein maximum solaire, avec une éruption de classe X4.5 hier suivi d’une éjection de masse coronale qui est en partie dirigée vers la terre.

Conséquemment, il y aura des aurores assez spectaculaires dans la nuit du 16 au 17 septembre, car la force est de trois sur une échelle de cinq (la force de la tempête du 13 mai dernier était de cinq).

Les signes sont de plus en plus nombreux.

En route vers le synode.

13 septembre

Le 8ème roi : l’oméga


« Et la bête qui était et qui n'est plus, en est elle-même un huitième et elle est des sept, et elle s'en va à la perdition. » (Apocalypse 17, 9-11)

Évidemment, il s’agît de Bergoglio (voir analyses précédentes).

La damnation l’attend fort probablement, sa perdition, mais le physique est le reflet de l’âme, et il est en train d’accélérer sa mort terrestre par ses agissements tout en entraînant plusieurs âmes avec lui.

« Au cours de ces 11 années de « pontificat », les attaques contre la doctrine, la liturgie et la morale ont été systématiques et ont conduit à une perte généralisée de la foi que nous pouvons maintenant constater dans tous les domaines du tissu ecclésial : dans les diocèses, les paroisses et les communautés religieuses. » (benoit-et-moi.fr)

Le 13, rappelons le, est le chiffre symbolique qui indique un passage à venir, le début et la fin d’un cycle, l’alpha et l’oméga.

« Je suis venue vous demander de venir ici pendant six mois de suite, le 13, à cette même heure. Ensuite je vous dirai qui je suis et ce que je veux. Après, je reviendrai encore ici une septième fois. » déclare la Sainte Vierge lors de sa première apparition à Fatima.

Fatima et Bergoglio sont liés, car le troisième secret concerne l’apostasie générale, même au sommet de l’église, confirmant La Salette avec l’antichrist sur le trône.

Lors des apparitions à Fatima, le petit  François voit la Sainte Vierge mais ne l’entend pas, comparativement à sa sœur et sa cousine.

Nous pointant Bergoglio de la fin des temps.

L’actuel occupant du siège de Pierre est le premier pape à porter le nom de François.

La contre-église de Bergoglio est tellement éloignée de celle qui a grandi et perduré durant presque deux mille ans qu’on peut considérer qu’elle n’entend pas les messages de la Très Sainte Vierge.

Remarquez aussi la dernière phrase de Marie ci-haut: Elle confirme qu’elle reviendra une septième fois.

Pour la fin des temps.

Du 13 mai au 13 octobre il y a pile 5 mois, soit 153 jours. Cinq mois ce n’est pas six mois. Cependant la Sainte Vierge dit bien qu’elle viendra six mois de suite et que cela correspondra à six apparitions puisqu’elle en prévoit d’ores et déjà une septième.

Cela veut dire qu’elle compte le mois de mai, c’est à dire le mois en cours ainsi que la première apparition. De mai à octobre il y a 5 mois qui s’étalent sur 6 mois. Pour décompter, le Ciel dit : 6 mois, ce qui correspond au mode de calcul biblique qui raisonne en mois ou en années commencés.

Ainsi, selon le mode de calcul biblique, Bergoglio atteindra 13 ans de pontificat le 13 mars 2025.

Sa limite?

L’apparition d’août à Fatima en 1917 a été reportée du 13 au 19 car les autorités avaient empêché les enfants de se rendre au lieu des apparitions.

Le 19 renvoie à Saint-Joseph dont on la fête est le 19 mars, date d’intronisation de Bergoglio.

Nombre de jours entre le 19 mars et le 19 août : 153.

Le 153 est le chiffre relié au Christ, le chiffre de la pêche miraculeuse dans le Nouveau Testament qui symbolise l’ensemble des rachetés : la deuxième Pâques dans la Bible, la mort et la résurrection du Christ (voir analyses précédentes).

Lors du miracle du soleil le 13 octobre 1917, la Sainte Famille est apparue aux enfants, nous montrant l’importance de ce qui est Vérité, et ce qui est à venir, à la fin des temps.

Car les trois membres de la Sainte Famille sont liés à l’Église dans sa Passion.

Le 13 octobre 1917, pendant que les voyants voyaient la Sainte Famille, les autres qui s’étaient déplacés apercevaient le soleil dansant.

La première Pâques a d’ailleurs eu lieu suivant un 13 : dans la nuit du 14 au 15 Nisan nous indique la Bible.

Nous nous apprêtons donc à vivre la troisième Pâque et la seconde rédemption de l’humanité, la dernière, avant le Jugement dernier.

Or cette fois, ce sera vraiment la fin du grand cycle, la fin des temps, le Jugement suivi de la nouvelle Jérusalem.

Et Bergoglio en est le signe visible : l’antichrist personnifié qui s’en va à sa perte, et qui est lié comme nous l’avons vu dans les dernières analyses, au chiffre 13.

La vie temporelle et la vie spirituelle sont liés.

Le physique ne peut se passer du spirituel, et vice-versa.

Nous sommes corps et âme.

Quand l’Église va, le monde terrestre va, les structures et les institutions tiennent la route et recherchent le bien commun, à savoir le salut des âmes en Jésus-Christ, malgré les innombrables difficultés.

Quand l’Église flanche, la société civile se dégrade moralement, mais aussi culturellement et socialement, et s’enfonce dans la débauche, la cupidité, l’envie, la bêtise et la méchanceté.

C’est le cas depuis le concile Vatican II (1965) et Mai 68, dont les fruits pourris se sont étendus au monde entier.

D’ailleurs, le point Alpha ou point zéro de Léon XIII avec sa vision du diable, a son pendant « monde civil » car c’est le 13 octobre 1884 qu’était défini le méridien de Greenwich comme point zéro pour le monde entier.

Le départ d’un nouveau cycle.

Les comètes sont des signes particuliers du Ciel.

Pour nous avertir.

Comme le 13 octobre prochain.

Tout comme les aurores boréales.

Comme cette tempête céleste du 13 mai dernier.

Or, le synode des synodes est l’apothéose de la grande apostasie.

Le testament de Bergoglio.

La conclusion du synode est inévitable dans le calendrier eschatologique pour confirmer la mort des deux témoins de l’Apocalypse.

Suivi très très rapidement par la chute de Babylone liée à la chute du Vatican.

Dieu a un plan.

La 7è église de l’Apocalypse a commencé avec l’avènement de Bergoglio, l’Antéchrist-personne, le 13 mars 2013.

Vont s’enclencher à partir du 13 octobre prochain, ou pas très longtemps après, les trois autres 7 (d’où le 777), à savoir 7è sceau, 7è trompette et 7è coupe.

« Fidèle à cette tâche, Bergoglio s’apprête maintenant à porter un coup décisif qui dévastera profondément la nature même de l’Église catholique.

Il s’agit d’une opération d’une gravité sans précédent puisqu’il prétend précisément changer définitivement les connotations de l’Église, connotations voulues et établies par son divin Fondateur lui-même.

Quel est le projet de Bergoglio ? Et quelle nouvelle physionomie entend-il donner à la structure ecclésiale ?

Ceux qui connaissent l’histoire et la théologie de l’Église n’auront certainement pas besoin de faire de grands efforts spéculatifs : il s’agit simplement d’imposer à l’Église une version actualisée de la Réforme protestante.

Il est évident que la nouvelle approche sert le système car moins la structure ecclésiale est compacte, plus elle sera malléable aux influences du grand projet mondialiste (cf. Agenda 2030 – Forum économique mondial…)…

Aurait-il été excessif de rappeler à l’Argentin que la Cène protestante n’est pas le Sacrifice eucharistique et qu’il n’y a pas en elle de présence réelle capable de transformer la substance du pain et du vin en la réalité du Corps et du Sang du Christ ? La Cène ne peut être comprise que comme une présence de Grâce qui peut être reçue par ceux qui s’en approchent avec les dispositions appropriées…

Tiré du portail canadien francophone Radio-Canada.ca, l’évêque de Rouyn-Noranda « rapporte en ces termes la réponse que lui a faite le pape François à une préoccupation qu’il avait concernant le manque de prêtres dans les petites communautés :

“Écoutez, vous oubliez deux choses : l’avenir de l’Église se joue davantage autour de la parole de Dieu qu’autour de l’eucharistie” » (benoit-et-moi.fr)

Vous l’aurez compris depuis nombres d’analyses ici: Bergoglio, le 8ème roi de l’Apocalypse éliminera la présence réelle en protestantisant l’église.

Plus besoin d’Eucharistie.

L’Oméga, le point de non retour (c’est ce qu’affirme continuellement Bergoglio d’ailleurs : il n’y aura pas de retour en arrière), va être atteint à la fin octobre.

À partir de là, c’est l’inconnu.

C’est entre les mains du Père.

On peut fort parier que le Jubilé 2025 ne sera pas celui prévu dans les plans au Vatican, l’élite mondiale et Bergoglio.


« La souffrance de l’Église précède la parousie [Second avènement du Christ, ndt]

Cela semble en effet inéluctable. Si l’Église est le Corps mystique du Christ, et qu’elle ne peut avoir d’autre existence que la vie de son Époux mystique : de même que le Christ a été livré aux mains de ses ennemis, de même l’Église subira nécessairement le même sort.
Cependant, si nous partageons aujourd’hui les souffrances du Corps mystique, nous partagerons bientôt aussi le mystère de sa résurrection et de son exaltation.

La lutte a atteint son point culminant et, dans le champ de l’Église, le bon grain est sur le point d’être séparé de l’ivraie.
À l’horizon se profile déjà l’effondrement des potentats de ce monde qui se sont enrichis en spéculant sur la peau des peuples et qui ont profané les institutions du Siège apostolique.

Le Seigneur, juste juge, rendra bientôt à chacun ce qui lui appartient.

Mais qu’adviendra-t-il de celui pour qui le martyre de l’Épouse du Christ se consomme aujourd’hui ? Ne pourrions-nous pas partager les dures paroles de l’Évangile : « Il vaudrait mieux pour cet homme qu’il ne soit jamais né » (Mt 26, 24) ? » (benoit-et-moi.fr)

On confirme.

Même le pape Pie XII qui a suivi de près la question des apparitions de Fatima a affirmé avoir été le témoin, à trois reprises, à Rome, les 30 et 31 octobre et le 1er novembre 1950, jour de la proclamation du dogme de l'Assomption de la Vierge Marie, du même phénomène solaire qu'à Fatima.

On a vu dans une analyse précédente qu’entre le 13 octobre 1884 et le 13 octobre 1917, il y a exactement 33 ans, l’âge du Christ à sa mort.

Entre le 13 octobre 1917 et le 1 novembre 1950 : 33 ans et quelques jours.

La Sainte Vierge nous reviendra à la fin des temps, à l’Apocalypse, la Révélation, une 7ème fois comme affirmé en 1917, sous la forme d’une femme voilant le soleil.

Par trois fois Pie XII a vu le miracle du soleil à la fin octobre 1950.

Est-ce que cela annonce les trois jours de ténèbres de la fin des temps prophétisés par plusieurs?

Le signe de Jonas (voir analyses de juillet 2024)?

Le synode des synodes se termine le 29 octobre.

Pourrait-il y avoir un lien?

Car le soleil est bien entré dans le maximum solaire qui s’intensifie.

Ainsi que le risque de guerre Russie-OTAN aujourd'hui après l'approbation du Canada et de la Grande-Bretagne pour l'emploi de missiles longues portées par l'Ukraine.

12 septembre

Quand on affirme que le Vatican avec en tête Bergoglio entraînent la jeunesse vers l'Agenda 2030.

La « grande réinitialisation » religieuse est en court depuis longtemps.

La preuve.

Remarquez que Bergoglio est actif avec les jésuites depuis qu'il est évêque pour former les esprits à la nouvelle religion humaniste!

Remarquez aussi qu'à chaque voyage de Bergoglio, que plusieurs rencontres avec les satellites jésuites des pays concernés sont prévues à l'horaire, empiétant même sur le but dudit voyage.

« Ce fut le cas, en Indonésie, de la rencontre avec le mouvement « Scholas occurrentes », dans son nouveau siège au centre de Jakarta, le premier en Asie du Sud-Est.

Ce mouvement, fondé par Bergoglio en Argentine lorsqu’il était archevêque de Buenos Aires, est aujourd’hui un réseau d’un demi-million d’écoles sur les cinq continents, élevé en 2015 au rang de Fondation pieuse de droit pontifical ayant son siège dans la Cité du Vatican.

Toutefois, on n’y trouve pas grand-chose de « pieux », voire rien du tout.

Dans les nombreux discours de François aux « Scholas », le silence sur le Dieu chrétien, Jésus et l’Évangile est presque total.

La formule dominante est celle du « nouvel humanisme », avec son cortège de « maison commune », de « solidarité universelle », de « fraternité », de « convergence », d’« accueil ».

Les religions sont également mises dans le même sac et neutralisées dans un dialogue indistinct.

Les invités à ces événements sont des stars du show-business et du sport, de George Clooney à Lionel Messi.

Le nom donné par François à une nouvelle université qu’il a créée en 2023 et confiée à des « Scholas occurrentes » l’illustre bien : « Universidad del sentido », l’université du sens, où « ce qui est enseigné n’est pas une chose mais la vie elle-même ».

À Jakarta, pour symboliser ce sentiment de fraternité, les étudiants avaient mis en place un « polyèdre du cœur », avec l’assemblage de centaines d’objets personnels apportés par chacun, auxquels le pape lui aussi a ajouté le sien : une reproduction de l’héroïne de la bande dessinée argentine Mafalda.

Bien sûr, il n’est pas surprenant qu’un pape comme Jorge Mario Bergoglio se préoccupe autant des écoles et de la formation des nouvelles générations, lui qui fait partie de la Compagnie de Jésus, qui a été pendant des siècles le grand éducateur des classes dirigeantes.

Mais ce qui frappe, c’est l’absence de toute spécificité chrétienne dans son ambitieux projet éducatif. » (benoit-et-moi.fr)

L'escalade entre la Russie et l'OTAN se poursuit: possibilité par les britanniques et les américains d'autoriser les missiles à longue portée pour l'Ukraine si l'Iran fournit des missiles du même type à la Russie.

Poutine confirme que si c'est le cas, alors l'OTAN sera considéré en guerre contre la Russie.

« La terre frisera le massacre. Un seul mourra pour tous et il était le meilleur. » se rapproche. (prophétie « Grand Éclair à l'Orient »)

08 septembre

LA SEMAINE DE DANIEL

À la lumière de la dernière analyse sur l’importance du 13 et du 84, et sur la signification du chiffre 40 comme temps d’attente, de carême, avant la Pâques et la résurrection :

Jésus nous indique que le prophète Daniel a son importance à la fin des temps, en Matthieu 24, confirmé en décembre 2023 par mgr Vigano :

(LifeSiteNews) — L'archevêque Carlo Maria Viganò a répondu à la question « Le pape est-il catholique ? à la conférence du week-end dernier affirmant avec force que Jorge Maria Bergoglio est un « faux prophète » qui correspond à la description de celui dont parle le prophète Daniel au moment de la « persécution finale » de l'Église, à qui aucun catholique ne doit en « rien » obéissance ou collaboration mais plutôt résistance inébranlable.

« Nous sommes… bien au-delà de l'hérésie », a déclaré Son Excellence. "[St. Robert] Bellarmin n'aurait jamais pu imaginer qu'un émissaire de la franc-maçonnerie puisse aller jusqu'à être élu pape dans le but de démolir l'Église de l'intérieur, en usurpant et en abusant du pouvoir même de la papauté contre la papauté elle-même. Il n’aurait pas non plus pu imaginer qu’un hypothétique pape dépasserait la simple hérésie et embrasserait l’apostasie totale. »

Viganò a réitéré une fois de plus que "nous n'avons pas affaire à une situation dans laquelle un pape adhère à une hérésie spécifique (ce que Bergoglio a d'ailleurs fait à plusieurs reprises)". Au contraire, « aucun Docteur de l’Église n’a jamais envisagé la possibilité d’un pape apostat ou d’une élection falsifiée et manipulée par des puissances ouvertement hostiles au Christ, car une telle énormité ne pouvait se produire que dans un contexte unique et extraordinaire comme celui de la persécution finale annoncée par le prophète Daniel et décrite par saint Paul. L'avertissement de Notre Seigneur videritis abominationem desolationis – lorsque vous verrez l'abomination de la désolation (Mt 24, 15) – doit être compris comme tel précisément en raison de son un caractère unique absolu. »

Dernières preuves confirmant ces affirmations:

- Le voyage en Indonésie de Bergoglio :

« JAKARTA, Indonésie ( LifeSiteNews ) — En conclusion d'une rencontre avec des jeunes de différentes confessions à Jakarta, le pape François a donné une bénédiction sans invoquer la Trinité, ce qui, selon lui, est « valable pour toutes les religions ».

...

Après avoir échangé avec certains des jeunes concernés, le pape a annoncé qu'il donnerait une bénédiction finale. Le groupe étant composé de membres de différentes religions (Scholas n'est pas une organisation catholique), la bénédiction de François revêtait un caractère multiconfessionnel.

« Je voudrais donner une bénédiction. Une bénédiction signifie dire du bien, souhaiter du bien à quelque chose », a-t-il commencé. Poursuivant sa prière de bénédiction à la foule rassemblée, qui comprenait des catholiques et des musulmans, François a ajouté :

Ici, vous êtes de religions diverses, mais nous n'avons qu'un seul Dieu, il est unique.

Et en union, en silence, nous prierons le Seigneur et je donnerai une bénédiction pour tous, une bénédiction valable pour toutes les religions.

Que Dieu bénisse chacun d’entre vous.

Qu'il bénisse tous vos désirs.

Qu'il bénisse vos familles.

Qu'il vous bénisse présent (ici).

Qu'il bénisse votre avenir. Amen.

En conclusion, François n'a pas fait le signe de croix comme le fait habituellement un clerc catholique lorsqu'il donne une bénédiction, et n'a pas invoqué le nom de la Sainte Trinité. »

« Cette bénédiction sans la croix est une absurdité, mais c’est surtout une trahison et une apostasie. On pourrait déjà se demander si Bergoglio n'était que M. Bergoglio, mais comme il se présente et va visiter les pays comme Pape de l'Église catholique, et que la bénédiction catholique a lieu en invoquant le nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit et traçant un signe de croix, Bergoglio s'est comporté en infidèle et trompeur. Et dans ces quelques mots prononcés pour expliquer sa décision, il a parlé de véritables hérésies, car il n'est pas vrai que « nous n'avons qu'un seul Dieu », et le Vicaire du Christ, dont la tâche première est de confirmer ses frères dans la foi, ne peut pas le faire « une bénédiction valable pour toutes les religions »…

Maintenant la question se pose : pourquoi Bergoglio est-il allé là-bas, en Indonésie ? Ces voyages sont appelés voyages apostoliques, mais qu’y a-t-il d’apostolique dans une bénédiction absurde qui n’est pas une bénédiction ? Bergoglio le dit clairement, s'il en a le courage : le but de ces visites est toujours et uniquement le dialogue, véritable dogme de l'Église néo-moderniste. En effet, non seulement le dialogue, mais le syncrétisme, le mélange arbitraire d'éléments religieux incompatibles entre eux. Afin de proclamer une religion universelle unique… » (aldomariavalli.com).

Le but est toujours le même : la nouvelle religion humaniste œcuménique de l’Agenda 2030, qui n’en est pas une (puisque aucun objectif spirituel n’est mentionné dans l’Agenda 2030), mais un culte rendu à Satan.

- Sur la miséricorde universelle, thème cher à Bergoglio, qui élimine ainsi la notion de péché:

« Le salut universel ? En tant que professeur de mathématiques, je vous le dis : faites le calcul, ça ne peut pas être comme ça !
...

nous vivons à une époque où, même dans l'Église, la question de la destinée éternelle de l'âme semble totalement hors de propos, et le message est souvent transmis qu'après la mort, nous irons tous au ciel. Ces derniers jours, un prêtre qui prêche sur YouTube (j'évite de citer son nom) a répondu mot pour mot à une de mes questions que "les péchés vont en enfer parce que Dieu sauve les pécheurs". Ainsi, tout le monde est en sécurité. Mais cette idée d’un salut automatique, pour tous, est fausse et même hérétique car elle contredit l’enseignement de l’Église et les paroles mêmes de Jésus.

Affirmer que le paradis est réservé à tous les hommes après la mort équivaut à dire qu'aucune âme créée ne court le risque d'être damnée et donc que personne n'est jamais allé en enfer jusqu'à présent et que personne n'y ira dans le futur. Il n'y aurait que Satan avec les anges rebelles (à moins qu'il ne soit dit qu'à la fin il y aura aussi une amnistie pour eux : après tout, Dieu est miséricordieux, n'est-ce pas ?).

Or, Dieu est certes miséricordieux, mais il est aussi juste, et pour être acceptée, la miséricorde doit trouver une âme qui reconnaît qu'elle a péché et qui a besoin de pardon. La miséricorde de Dieu est reçue, par le sacrement de la confession, avec une repentance et une supplication sincères.

...

Partons donc des points fixes, certains et établis : l'Évangile, le catéchisme et la tradition.

Le Catéchisme de l'Église catholique (n. 1033) explique :

Mourir dans un péché mortel sans se repentir et sans accueillir l'amour miséricordieux de Dieu signifie rester séparé de Lui pour toujours par notre libre choix.

Sauf le cas de Judas Iscariote, car Jésus le dit très clairement, nous ne pourrons jamais savoir avec certitude si une âme est damnée ou non. En fait, nous ne savons pas si cette âme a fait, peut-être un instant avant sa mort, un acte de contrition sincère et a demandé pardon à Dieu comme le bon larron sur la croix. Cependant, il semble clair que cette terrible issue est possible pour tout être humain. Dieu nous laisse libre de l’accueillir comme Seigneur et Sauveur ou de le rejeter.

Dans l'Évangile, nous lisons :

Un homme lui demanda : « Seigneur, ceux qui sont sauvés sont-ils peu nombreux ? Il répondit : « Efforcez-vous d'entrer par la porte étroite, car beaucoup, je vous le dis, tenteront d'entrer et n'y parviendront pas » (Luc 13,23-24).

« Beaucoup » dit Jésus. Eh bien, à propos de ce passage, j'ai toujours entendu des commentaires dans lesquels il est dit que Jésus ne répond pas à la question, mais ce n'est pas vrai !

Examinons la réponse et connectons-la à d'autres passages qui parlent de la même question.

Nous voyons le passage similaire dans Matthieu 7 : 13-14.

Entrez par la porte étroite, car la porte est large et le chemin est large qui mène à la perdition, et nombreux sont ceux qui entrent par là ; combien étroite est au contraire la porte et le chemin qui mène à la vie, et combien rares sont ceux qui les trouvent ! (Matthieu 7;13-14).

Nous constatons que le pronom « beaucoup » contraste plus clairement avec « quelques-uns » qui sont sauvés.

Et encore :

Parce que beaucoup sont appelés mais peu sont élus (Matthieu 22,14).

Les paroles de Jésus semblent dramatiques lorsqu'il précise que même parmi ceux qui avaient une relation de prédilection avec le Seigneur, il y en aura qui iront dans le feu éternel :

Beaucoup me diront en ce jour-là : Seigneur, Seigneur, n'avons-nous pas prophétisé en ton nom, chassé les démons en ton nom et accompli de nombreux miracles en ton nom ? Mais je leur dirai : je ne vous ai jamais connu ; éloignez-vous de moi, ouvriers d'iniquité » (Matthieu 7, 22-23).

Encore ce pronom : « beaucoup ».

Mais dans les paroles de Notre Seigneur (jamais dites au hasard, car la plénitude de la lumière et de la vérité habite dans le Fils de Dieu) il y a aussi des valeurs numériques.

Dans la parabole des dix vierges, nous avons cinq folles et cinq sages. Jésus aurait pu dire, par exemple, que huit étaient sages et deux étaient insensés ou utiliser d'autres paires de nombres dont la somme fait dix, mais il dit que la moitié d'entre eux sont damnés.

Dans la parabole des serviteurs et des talents, cela se passe un peu mieux : une personne sur trois va en enfer, mais si telle était l'estimation des âmes perdues, ce serait encore un nombre élevé.

Nous ne pouvons rapporter ici tous les apports des mystiques, saints et bienheureux qui ont eu des visions d'un enfer décrit comme plein de damnés. Souvenons-nous seulement des apparitions de Fatima (reconnue par l'Église) et de ce que la Sainte Vierge disait sur la nécessité de prier pour les pauvres pécheurs puisque déjà à cette époque (année 1917, une époque où le sens religieux, la foi et les coutumes étaient certainement meilleurs que nos temps malheureux) tant d'âmes ont été perdues.

D’un autre côté, s’il n’y avait aucune possibilité de damnation, comme cela est souvent prêché ou sous-entendu aujourd’hui, pourquoi la Mère de Dieu aurait-elle enseigné la prière qui est encore récitée aujourd’hui dans le chapelet :

Mon Jésus, pardonne nos péchés, préserve-nous des feux de l'enfer et amène toutes les âmes au ciel, en particulier celles qui ont le plus besoin de ta miséricorde ?

Nous ne pouvons certainement pas établir avec une certitude mathématique le pourcentage d'âmes damnées par rapport à la totalité des âmes créées, ni dire combien ont été damnés en moyenne au cours des différents siècles de l'histoire chrétienne. Cependant, nous ne pouvons pas non plus falsifier l'Évangile et le clair paroles de Notre Seigneur Jésus-Christ qui a versé son sang précieux pour nous offrir le salut et détruire nos péchés.

Nous restons ancrés dans le magistère authentique de l’Église, certains que quiconque meurt dans la grâce de Dieu, en se repentant de ses péchés et en invoquant de tout cœur la miséricorde du Seigneur Jésus, ne sera pas damné.

Souvenons-nous de la grande et merveilleuse promesse faite par Jésus à l'humanité à travers sainte Marguerite-Marie Alacoque :

Je vous promets, dans l'excès de miséricorde de mon cœur, que mon amour tout-puissant accordera la grâce de la pénitence finale à tous ceux qui communieront le premier vendredi du mois, pendant neuf mois consécutifs. Ils ne mourront pas dans ma disgrâce, ni sans avoir reçu les saints sacrements, et dans ces derniers instants mon cœur leur donnera un asile sûr.

Fais, Seigneur, par l'intercession de la Vierge Marie et de Saint Michel, qu'en vainquant l'ennemi de notre salut, chacun de nous puisse accepter cette invitation du Cœur de Jésus et décider de vivre, au moins une fois dans sa vie, cette belle pratiquer avec amour, avec foi et profonde humilité, protégeant ainsi le salut de son âme.

Sacré-Cœur de Jésus, j'ai confiance et j'espère en Toi. » (aldomariavalli.com)

- Sur le prochain synode :

Comme nous l’affirmons depuis le longtemps, le synode des synodes est la dernière chance pour faire passer l’impensable, pour une conversion de l’église conciliaire à l’église universelle humaniste de l’Agenda 2030.

« Le cardinal Müller suggère que des « forces anti-catholiques » promeuvent l'Agenda 2030 en faveur de l'avortement au sein du Synode

CITÉ DU VATICAN ( LifeSitenews ) — Le cardinal Gerhard Müller a averti que le synode actuel sur la synodalité pourrait être utilisé par les « progressistes » et les « forces anticatholiques » pour mettre en œuvre l’Agenda 2030 dans l’Église.

« Il existe toujours le danger que des progressistes autoproclamés, en collusion avec les forces anticatholiques de la politique et des médias, introduisent dans l’Église un Agenda 2030 dont le cœur est une vision wokiste de l’humanité diamétralement opposée à la dignité divine de chaque personne humaine », a déclaré le cardinal allemand dans une interview à InfoVaticana.


Le cardinal a critiqué ouvertement le Synode, et son inclusion aux réunions du Vatican a été contestée par les progressistes : « Des groupes hérétiques déguisés en progressistes ont, pour leur part, critiqué cette décision [son inclusion] comme une simple manœuvre tactique du pape, qui voulait envoyer un signal aux catholiques orthodoxes, décriés comme conservateurs ou même traditionalistes, que les participants étaient équilibrés. »… »

« CITÉ DU VATICAN ( LifeSiteNews ) — Le rite de la messe amazonienne, très attendu et controversé, entrera dans une « phase expérimentale » de trois ans plus tard cette année, a attesté un théologien clé.
Dans un nouveau rapport numérique de Vida Nueva, des détails révolutionnaires ont été révélés sur le rite de messe proposé en Amazonie – fruit du synode amazonien de 2019 qui s'est tenu au Vatican.
Sans citer mot pour mot les propos de Vida Nueva, elle a déclaré que « le rite amazonien entrera dans la phase expérimentale – qui durera trois ans jusqu’en 2028 – à la fin de 2024. » »


« Le préfet de la CDF a té reçu deux fois dans un bref laps de temps par « El Papa », et ces audiences ont été (inhabituellement) rapportées par le bureau de presse, leur conférant un caractère officiel qui laisse présager qu’un document non négligeable (je n’ose dire « important ») est en cours d’élaboration. Occasion de se rappeler d’une curieuse note du même Tucho dans un « rescriptum ex audentia » du 23 octobre dernier. » (benoit-et-moi.fr)

Le prophète Daniel par l’indication de la « semaine » de la fin des temps, en un temps, deux temps et la moitié d’un temps, que plusieurs interprètent par une semaine de 3.5 années, ou remis au double, 7 années, est difficile à cerner dans la réalité, mais c’est un fait que nous devons considérer à titre d’analyses.

Mais Saint-Jean dans l’Apocalypse nous indique que la bête et les deux témoins ont la même durée de vie.

Normal, puisque les témoins font front contre la bête.

La durée de vie de la bête étant de 1260 jours ou 42 mois, plusieurs eschatologues en concluent qu’une division par 3.5 est de mise pour leurs recherches sur la chute de Babylone.

Nous venons de voir dans l’analyse précédente que les démons sont relâchés en 1884 et que la période accordée au démon pour la destruction de l’église est de 100 années, et nous avons suggéré un temps d’attente additionné de 40 années nous amenant en 2024.

Plus précisément le 13 octobre 2024.

En plein synode.

En pleine relation avec Fatima en 1917.

Avec comme signe une comète au plus près de la terre pour cette date exacte.

Le 13 octobre 2024 et le 13 octobre 1884 sont séparés de 140 années.

140 est divisible par 3.5 et nous donne 40.

Exactement le temps d’attente.

Et, le soleil est de la partie.

Voici ce que nous révèle spaceweather.com sur l’activité solaire du mois d’août dernier, et du progrès dans le cycle solaire 25, qui nous plonge peut-être dans une période mouvementée pour octobre 2024 si on suit la logique des dernières analyses (déjà, le début septembre a été très actif mais les trois éjections de masse coronales des derniers jour ont eu lieu sur la face cachée du soleil et donc dirigées hors de la trajectoire de la terre.) :

« L'activité solaire continue de s'intensifier. En août 2024, le nombre mensuel moyen de taches solaires a dépassé 200 pour la première fois en 23 ans, doublant presque les prévisions officielles :

On ne s'attendait pas à ce que le cycle solaire actuel (cycle solaire 25) soit aussi fort. Lorsqu'il a commencé en décembre 2019, les experts ont prédit qu'il serait faible comme son prédécesseur immédiat, le cycle solaire 24. Au lieu de cela, le cycle solaire 25 peut être sur le point de rivaliser avec certains des cycles les plus forts du 20ème siècle. Déjà en mai 2024, nous avons connu une tempête géomagnétique de classe centenaire avec des aurores boréales observées dans le Pacifique Sud, en Amérique centrale et en Afrique du Sud.

La dernière fois que le nombre de taches solaires était aussi élevé, c’était en septembre-décembre 2001. Le soleil se préparait à lancer les grandes tempêtes d'Halloween de 2003, qui comprenaient la plus forte éruption solaire de classe X jamais enregistrée (X45) et une CME si puissante qu'elle a été ressenti par la sonde Voyager qui quittait alors notre système solaire. Une répétition n'est pas garantie, mais le nombre actuel de taches solaires nous dit que c'est possible.

Dans quelques années, nous pourrions regarder en arrière et réaliser que 2024 était le maximum du cycle solaire 25. Ou pas ; les « prévisions officielles » initiales prévoyaient que le maximum solaire se produirait en juillet 2025. Quoi qu'il en soit, nous avons probablement au moins 2 ans de plus d'activité solaire élevée à venir. Demeurez à l'écoute. »

Voilà.

Le 13 octobre 2024 pourrait être très significatif.

04 septembre

LÉON XIII

Le 13.

Ce chiffre qui semble avoir toute son importance et qui nous a été pointé par Notre-Dame de Fatima en 1917 de mai à octobre avec le miracle du soleil.

Le chiffre 13, c’est le chiffre du passage, de la Pâques, qui est la porte de l’instabilité, vers le renouveau, la résurrection.

Léon treizième du nom, « (1878-1903) est le premier pape du XXe siècle. Passionné par son époque, il s'efforça de la comprendre et d'ouvrir l'Église à ses débats. Il avait à cœur la misère des nouvelles classes ouvrières et s'engagea sur les grandes questions sociales de son temps » (la-croix.com)

C’est donc lui qui condamne en premier les erreurs du modernisme commencé en 1858 : par Les origines des espèces de Darwin, La liberté de Mill, et Une contribution à La critique de l’économie politique de Karl Marx.

Dans ces trois ouvrages sont résumés les erreurs de l’âge moderne.

L’homme annonçait son INDÉPENDANCE vis-à-vis de Dieu.

C’était le début de la déification de l’homme aboutissant à cette fin des temps.

Léon XIII annonçait la période d’instabilité dominé par le diable vers le renouveau, la fin des temps.

C’est en effet le 20 avril 1884 que Léon XIII publie Humanum genus condamnant la franc-maçonnerie (quatre encycliques de ses 86 publiés condamnent la franc-maçonnerie).

Onze encycliques sur les 86 promeuvent le Rosaire.

Il identifie ainsi le racine du problème de ce monde et son remède.

Le 13 octobre suivant, même date que le miracle du soleil de 1917, mais en 1884, Léon XIII a sa vision de Satan qui demande 100 ans pour détruire l’Église à NSJC :

« Après la Messe, j’entendis deux voix, une douce et bonne, l’autre gutturale et dure ; il semblait qu’elles venaient d’à côté du tabernacle. Il s’agissait du démon qui s’adressait au Seigneur, comme dans un dialogue.

Voici ce que j’ai entendu :

– La voix gutturale, la voix de Satan dans son orgueil, criant au Seigneur : “Je peux détruire ton Église.”

– La voix douce du Seigneur : “Tu peux ? Alors, fais le donc.”

– Satan : “Pour cela, j’ai besoin de plus de temps et de pouvoir.”

– Notre Seigneur : “Combien de temps ? Combien de pouvoir ?”

– Satan : “75 à 100 ans et un plus grand pouvoir sur ceux qui se mettent à mon service.”

– Notre Seigneur : “Tu as le temps, tu auras le pouvoir. Fais avec cela ce que tu veux.”

Puis, j’ai eu une terrible vision de l’enfer : j’ai vu la terre comme enveloppée de ténèbres et, d’un abîme, j’ai vu sortir une légion de démons qui se répandaient sur le monde pour détruire les œuvres de l’Église et s’attaquer à l’Église elle-même que je vis réduite à l’extrémité. Alors, Saint Michel apparut et refoula les mauvais esprits dans l’abîme. Puis, j’ai vu Saint Michel Archange intervenir non à ce moment, mais bien plus tard, quand les personnes multiplieraient leurs prières ferventes envers l’Archange. »

Les démons sont donc relâchés en 1884, pour la naissance du système antichristique de la fin des temps :

« Comme nous l’avons écrit, même si le programme est largement décrit dans Utopia de Thomas More, il fut réadapté fin XIXe siècle dans le cadre du monde anglo-saxon par la Société fabienne (Fabian Society) en 1884. L’objectif déclaré de cet institut à l’origine de la création du parti travailliste anglais (le labour) et de la London School of Economics (LSE) est de favoriser une gouvernance mondiale reposant sur la fusion du capitalisme et du socialisme afin d’aboutir à un « socialisme de marché » dont le modèle rêvé est la Chine. Il est vrai que de nombreux agents anglo-saxons acquis à cette Société fabienne ont coopéré avec d’autres instituts mondialistes comme le Canadian International Council ou CIC (Walter Lockart Gordon, James Endicott, …), petit frère de la Chatham House (Royaume-Uni) et du Council on Foreign Relations (CFR, États-Unis). C’est ce fameux CIC qui a joué un rôle certain en favorisant la création d’un frère jumeau chinois en 1949, le Chinese People’s Institute of Foreign Affairs (CPIFA). » (Pierre Hillard, Mondialisme : "La Bête de l’événement est là et elle arrive")

Deux chiffres importants donc : le 13 et le 84.

Entre le 13 octobre 1884 et le 13 octobre 1917, il y a exactement 33 ans, l’âge du Christ à sa mort.

Ce n’est pas un hasard puisque la franc-maçonnerie est intensément active au Vatican avec le cardinal Rampolla en tête, élu pape en 1903 suite au décès de Léon XIII, mais qui grâce à l’intervention de l’empereur François-Joseph qui usa de son droit de veto, fut évincé.

1884 additionné de cent années nous donne 1984, la fameuse année identifiée par George Orwell dans son roman.

1984, l’année de la consécration de la Russie par Jean-Paul II qui fut non valable.

(Or, après la consécration du monde accomplie par le pape Jean-Paul II le 25 mars 1984, sœur Lucie (de Fatima) déclara nettement aux carmélites de Coïmbre, à ses parents et familiers, à des religieux, évêques et cardinaux : « Non, la consécration n’a pas été faite comme le veut Notre-Dame. »)

1984 additionné des 40 années du Christ dans le désert, et en ce qui nous concerne, la Passion de l’Église de la fin des temps, notre carême, nous donne 2024, année de séparation du bon grain de l’ivraie.

40 est le nombre de l'attente:

- Jésus a vécu 40 jours au désert après son baptême;

- le peuple juif a erré 40 ans dans le désert avant d'entrer en Terre sainte ;

- Moïse a jeûné 40 jours avant de recevoir les tables de la Loi;

- le Déluge a duré 40 jours, avant que Noé n'ouvre la fenêtre de l'Arche.

Après le carême, nous savons tous que c’est la Pâques, ou mort et résurrection du Christ, donc la mort de l’Église et sa résurrection pour la fin des temps, avec comme signe visible la mort et la résurrection des deux témoins de l’Apocalypse avant la chute de Babylone.

Pour 2024 fort probablement puisque le retour du Lys de paix, le Christ, selon la prophétie de Don Bosco est avant le mois des deux lunes, soit mai 2026.

Et puisque la durée de vie de la bête dans l’apocalypse est de 42 mois, 1984 additionné de 42 ans donne 2026.

1984 suivi du « 27 octobre 1986 : Jean-Paul II invite personnellement les représentants de toutes les religions les plus répandues du monde à une  réunion de prière œcuménique  à Assise, la ville de Saint François...

Arrêtons-nous un instant et réfléchissons : Notre Seigneur Jésus-Christ a placé son Vicaire et l'Église sur cette terre pour annoncer la vérité et dispenser la grâce et le salut à tous les hommes, quelle que soit leur religion, les appelant à la conversion, au prix du martyre : et ainsi ce que firent les apôtres, ainsi que tous les saints et martyrs pendant deux mille ans. Mais voici maintenant un Pape qui convoque les non-catholiques non pas pour les exhorter à la conversion ou même pour une simple discussion, mais plutôt pour les pousser à prier selon leurs fausses et vaines  croyances humaines  (quand pas  diaboliques ) afin d'obtenir une quelconque  monde de paix  . Quelle  paix ? Ce ne sera certainement pas la paix du Christ que l’on obtiendra en désobéissant à celui qui a ordonné à ses apôtres : « Allez dans le monde entier et prêchez l’Évangile à toute la création. Celui qui croira et sera baptisé sera sauvé, mais celui qui ne croira pas sera condamné » (Mc 16, 15)… » (aldomariavalli.com)

Bergoglio est en train d’achever le plan œcuménique.

Les chiffres 13 et 84 identifiés par Léon XIII nous donnent des références.

Le 84 dans la bible, c’est l’âge de la prophétesse Anne le jour de la purification de la Vierge Marie.

« Anne, elle aussi, est «prophète», porte-parole de Dieu. Elle est âgée de 84 ans, c'est dire qu'elle a 7 fois 12 ans. Dans la symbolique biblique des nombres, le chiffre 7 suggère la perfection et le 12 l'universalité. Le lecteur devine ainsi qu'Anne représente parfaitement les croyants de son peuple qui attendent «la délivrance de Jérusalem».» (croire.la-croix.com)

Or, 84 c’est aussi 2×42 : « il faudra rendre à Babylone au double de ses œuvres » (Apoc. 18, 6)

Le 11 février, date anniversaire de Notre-Dame de Lourdes, est aussi la date anniversaire des accords de Latran de 1929, où le « royaume Vatican » fut officialisé.

Ces accords furent la première étape d’une longue route du déclin de l’Église et de son basculement vers l’Antéchrist système et maintenant l’Antéchrist personnifié.

Entre 1929 et 2013, année de démission de Benoît XVI, il y a 84 ans.

Benoît XVI a démissionné exactement le 11 février, date anniversaire des apparitions de Notre-Dame de Lourdes en 1858, à l’âge de 84 ans.

Depuis, il n’y a plus de pape valide.

Le 11 février 2013 était donc le signal de la purification de ce monde (voir l’analyse de la prophétie concernant Benoît XVI).

Suivi par l’élection de Bergoglio le 13 mars 2013, l’abomination de la désolation sur le trône de Saint-Pierre.

Le plan maçonnique peut alors aller de l’avant et achever l’église.

Puisque, comme nous l’indiquions au début, le 13 est symbole de mort et de résurrection, 13 ans de règne de Bergoglio nous mènent en 2026, année du mois de mai des deux lunes prophétisée par Don Bosco pour le retour du Lys de paix.

Ainsi, la fin de 2024, avec surtout cette fin de synode d’octobre, s’annonce pleines de surprises, pour le bien des chrétiens, pour le malheur de ceux qui font partie de la synagogue de Satan.

Car, Bergoglio peut-il aller plus loin passé le synode et son année jubilaire de 2025?

Non.

Bergoglio est Pierre II le romain de la prophétie de Saint-Malachie.

Il a choisi le nom de François, non suivi d’un chiffre comme les autres papes, indiquant qu’il n’y aurait pas de suite.

Il a même abandonné le titre de pape pour être le simple évêque de Rome, dans la synodalité totale.

Son dernier acte, le synode des synodes se terminant en octobre 2024, sera suivi du jubilé 2025 pour célébrer le développement humain intégral, l’homme déifié dans toute sa splendeur :

« Dans la perspective du Jubilé 2025, nous nous dirigeons vers « une vie qui devient chant d'amour pour Dieu, pour l'humanité, avec et pour la création, et qui trouve sa plénitude dans la sainteté » (dicastère pour le service du développement humain intégral, Jubilé 2025) (vaticannews.va).

Chaque mot ici est choisi en fonction de la célébration de la nouvelle religion humaniste qui englobera l'église conciliaire suite à la conclusion du synode 2024.

Ce sont des mots génériques: qui est le Dieu de la déclaration? Que représente cette « sainteté »?

Alors que nous devrions y lire pour ce Jubilé 2025: « qui trouve sa plénitude dans le Christ ».

Notez bien que les principes de cette rencontre seront partis prenants du Jubilé 2025, célébrant à la fois la « fraternité maçonnique » et la victoire de la voie synodale sur toute l'église.

Le logo de ce jubilé est pro LGBT (vaticannews.va) pour inclure tout le monde dans ce jubilé, pour le cri de victoire de l’œcuménisme, pour la conclusion de Vatican II. On nous l’a annoncé avec l’année 2023 consacrée aux 60 ans de Vatican II.

Et à partir de 60 ans, l’Église est veuve.

Pour ceux qui n'ont pas encore vu le logo du jubilé 2025 , curieusement révélé plus de 2 ans à l'avance.
 
Il a été dévoilé en juin, mois de la fierté gay en opposition au Sacré-Coeur.

Sur la mer agitée en termes de corruption morale, d’un monde où l’identification au Christ est relégué au second plan au Vatican pour l’inclusion LGBT, suivez la tendance horizontale avec les couleurs des voiles LGBT, et là, vous avez un choix à faire, « Pèlerins de l’Espérance », vers le haut avec le Christ, ou vers les abîmes avec l’ancre.

2025 est l’année du choix.

Effectivement, on le répète, tout doit être conclu avant mai 2026 selon la prophétie de Don Bosco, c’est à dire le retour du Lys de paix avant mai 2026.

Or, pour le jubilé 2025, Bergoglio a créé une Commission pour les témoins de la foi qui fait référence au grand jubilé de Jean-Paul II de l’an 2000, où il a voulu mettre en lumière ces hommes et ces femmes qui, bien que non canonisés, ont manifesté avec force leur foi.

« Qui sont les témoins de la foi?

Permettez-moi de donner un exemple: celui qui me vient immédiatement à l’esprit est Dietrich Bonhoeffer (1906-1945), un théologien et pasteur d’église luthérien qui a été tué parce qu’il s’opposait au nazisme. L’Église ne le proclame pas martyr parce qu’il n’était pas catholique. »

«Dans un monde où il semble parfois que le mal l'emporte - conclut François - je suis certain que l'élaboration de ce catalogue, également dans le contexte du Jubilé imminent, aidera les croyants à lire notre époque à la lumière de Pâques, en puisant les raisons de vivre et de faire du bien dans le trésor de la fidélité généreuse au Christ». (vaticannews.va)

« À la lumière de Pâques ».

Effectivement, comme analysé ci-haut, après les 40 années de carême menant à 2024, suit la Pâques, la mort et la résurrection des deux témoins de l’Apocalypse, comme le laisse entendre Bergoglio avec son Jubilé 2025.

Or, curieusement, la 103ème devise des prophéties des papes de Saint-Malachie est « Ignis Ardens », ou Feu Ardent, est celle du pape Saint Pie X, gardien de la tradition, symbole des deux témoins que sont la loi et les prophètes des derniers temps.

Elle est précédée de la 102ème devise « Lumen in Caelo » (Lumière dans le Ciel) attribuée à…. Léon XIII qui nous a laissé la prière de Saint-Michel Archange pour cette occasion spécifique.

« La fête de Notre-Dame du Rosaire, célébrée le 7 octobre, a été instituée par le Pie V en 1573, pour remercier Marie de cette victoire. En 1883, le pape Léon XIII décrétait solennellement que le mois d'octobre de cette année-là serait entièrement consacré à «la Saint Reine du Rosaire». Depuis, le mois d'octobre, durant lequel comme au mois de mai, on prie particulièrement la Vierge, est appelé le mois du Rosaire. »

Et ce mois du Rosaire est bafoué depuis nombres d’années post-Vatican II avec des rencontres et synodes douteux pour détruire l’Église, spécialement ce dernier, le synode des synodes d’octobre 2024.

Léon XIII, « Lumière dans le Ciel » ne pouvait pas faire mieux que d’avertir l’Église avec « Humanum genus », publié le 13 octobre 1884.

Car, pour la fin du synode de cette année, il semble qu'il y aura une comète dans le ciel qui sera au plus près de la Terre le 12 octobre 2024.

Un signe pour le 13 octobre?

La prière de Léon XIII à Saint-Michel Archange, instaurée après sa vision de l'enfer, lorsque les démons ont été relâchés en 1884.

Elle faisait partie de la Sainte Messe de 1886 jusqu'à Vatican II.

C'est Paul VI, et oui, qui la retira avant le dernier droit contre l'Église (voir analyse Paul VI dans les prophéties de l'Église)

Saint Michel Archange,
défendez-nous dans le combat
et soyez notre protecteur contre la méchanceté et les embûches du démon.
Que Dieu lui commande, nous vous en supplions;
et vous, Prince de la Milice Céleste,
par le pouvoir divin qui vous a été confié,
précipitez au fond des enfers Satan
et les autres esprits mauvais qui
parcourent le monde pour la perte des âmes.
AMEN.

Août 2024

26 août

Le rouge et le vert habituels des aurores se sont mélangés le 11 août dernier, signe du Ciel à la clôture des JO de Paris et de sa prestation diabolique.

En conséquence, des aurores avec du jaune et du orange, comme pour signifier le Feu purificateur à venir, un événement rare, très rare.

Ici, un exemple spectaculaire du phénomène au-dessus des plaines canadiennes.

Les experts confirment que nous ne sommes que dans le début de la phase maximum solaire du cycle 25.

Le nombre de taches avec un potentiel de tempêtes dépassent le maximum atteint en 2001.

De plus, puisque la purification en sera une par le feu, il ne faut pas négliger l'activité volcanique.

La moyenne des volcans en activité mineure et plus, se situait autour de 45 depuis plusieurs années.

Or, le nombre de volcans en activité a augmenté considérablement avec l'approche du maximum solaire: il y en a 67 en activité ce matin dans le monde.

Déjà 2 de plus que vendredi dernier.

En ces temps si critiques, Mgr Strickland lance un cri de ralliement:

« ( LifeSiteNews ) — Ce qui suit est le texte intégral d'une nouvelle lettre de Mgr Joseph Strickland, évêque émérite de Tyler, Texas, mettant en garde les fidèles contre le « mal qui s'empare de notre monde et de l'Église » et les exhortant à « se préparer spirituellement ». quoi qu’il arrive », notamment par une fervente dévotion à Notre-Dame et à l’Eucharistie.

Mes chers frères et sœurs en Christ,

Je me sens une fois de plus obligé de vous écrire et de vous encourager à rechercher une vie plus profondément enracinée dans le Sacré-Cœur de Jésus-Christ.

Au moment où ceci sera publié, cela fera un an depuis que ma première lettre a été écrite, publiée le 22 août 2023, Reine de Marie. Je crois sincèrement que cette lettre a été guidée par la Providence divine, et le point central de cette lettre, un an plus tard, est d'exhorter, voire de supplier, que nous commencions tous à voir la main de Dieu dans tout ce qui se déroule dans l'Église et dans le monde.

La lettre d'il y a un an concernait le Synode sur la synodalité en cours, qui approchait en octobre 2023. Elle a été suivie de sept lettres amplifiant les préoccupations que j'avais soulevées dans cette lettre originale. Comme beaucoup d’entre vous le savent, j’ai continué à écrire ces lettres sous l’impulsion du Saint-Esprit. Laissez-moi être clair : je ne prétends pas avoir reçu une révélation particulière. J’ai simplement été poussé par une foi profonde et mon amour pour Jésus-Christ à ouvrir les yeux sur ce qui se passe autour de nous.

Cet appel à « ouvrir les yeux » est au cœur de la lettre que vous êtes en train de lire. J'ai fait de mon mieux pour exhorter tous ceux qui ont lu ces lettres à prendre conscience de la corruption et des puissantes forces du mal qui nous poussent lentement mais sûrement vers une calamité dévastatrice. Je n’ai aucun désir d’être un « prophète de malheur », mais je crois que je dois m’exprimer et pointer du doigt le mal qui s’empare de notre monde et de l’Église. À ce stade, je dois dire : nous DEVONS ouvrir les yeux avant qu’il ne soit trop tard !

Notre système politique national, le Vatican et de trop nombreuses organisations influentes à travers le monde sont engagés dans un programme qui n’est rien de moins qu’une trahison de Jésus-Christ et de son Église au XXIe siècle. Tout comme la trahison de Judas Iscariote il y a près de deux mille ans, cette trahison actuelle émane même de ceux qui se trouvent au cœur même de l’Église et de l’État. Nous devons ouvrir les yeux sur ces attaques contre le corps mystique du Christ afin de demeurer dans le Christ qui est la Vérité incarnée et d’embrasser le salut qu’il nous a gagné sur la croix. Nous devons également nous efforcer de conduire autant d’autres âmes que possible à la plénitude de la vérité trouvée uniquement en Notre Seigneur Jésus-Christ et sauvegardée par Son Épouse, l’Église catholique. Les tentatives visant à expliquer cette trahison moderne du Christ ont perdu tout semblant de crédibilité. Nous devons reconnaître qu’une seule main maléfique est à l’origine de toutes ces forces disparates – et qu’elle n’est rien de moins que la main de Satan, le prince des ténèbres.

Au moment où j'écris ces lignes, peu après le 15 août, solennité de l'Assomption de la Bienheureuse Vierge Marie, nous lisons des rapports faisant état du décès de sœur Agnès Sasagawa, la visionnaire des messages approuvés par l'Église de la Bienheureuse Vierge Marie à Akita, au Japon en 1973. J'insiste sur le fait que je ne revendique aucune connaissance particulière de ses messages, mais je ne crois pas qu'une révélation particulière soit nécessaire pour comprendre le contenu de ces messages. Si nous regardons simplement les messages d’Akita avec les yeux de la foi, nous devons conclure que ce que nous voyons dans le monde aujourd’hui correspond à ce qui a été prédit dans ces messages.

Les messages d’Akita nous donnent un terrible avertissement sur ce que nous voyons se dérouler sous nos yeux. Non seulement nous voyons cardinal contre cardinal et évêque contre évêque, mais nous voyons évêques contre prêtres et pape contre cardinaux. Nous voyons des blasphèmes contre Notre Seigneur et Notre Sainte Mère et des attaques contre la doctrine émanant des bureaux du Vatican, le pape François restant silencieux ou, par inaction, donnant une approbation tacite.

Les messages d'Akita nous rappellent également les messages de Notre-Dame à Fatima en 1917. Dans ces messages, Notre-Dame avertissait que les erreurs de la Russie, qui incluaient la franc-maçonnerie à partir de laquelle le communisme est né, se répandraient dans le monde entier à moins et jusqu'à ce que la Russie soit consacrée de la manière qu'elle a décrite – lors d'une cérémonie publique du Pape, en union avec tous les évêques du monde, à Son Cœur Immaculé. Cela n'a jamais été fait en totale conformité avec les instructions de Notre-Dame. De plus, Notre-Dame a spécifiquement demandé que le Troisième Secret de Fatima soit révélé en 1960, mais il a été supprimé, et il y a de nombreuses raisons de douter que l'intégralité du Troisième Secret ait jamais été révélée.

Le futur pape Pie XII, 31 ans avant le début du Concile Vatican II, prononçait ces paroles : « Je suis inquiet des messages de la Sainte Vierge à la petite Lucie de Fatima. Cette insistance de Marie sur les dangers qui menacent l'Église est un avertissement divin contre le suicide d'altérer la foi, dans sa liturgie, sa théologie et son âme… J'entends tout autour de moi des innovateurs qui souhaitent démanteler la Sainte Chapelle, détruire l'universel. flamme de l’Église, rejeter ses ornements et lui faire éprouver des remords pour son passé historique… Un jour viendra où le monde civilisé reniera son Dieu, où l’Église doutera comme Pierre a douté. Elle sera tentée de croire que l’homme est devenu Dieu. Dans nos églises, les chrétiens chercheront en vain la lampe rouge où Dieu les attend. Comme Marie-Madeleine, pleurant devant le tombeau vide, ils demanderont : « Où l'ont-ils emmené ? »

En effet, il s’agissait de paroles prophétiques puisque, depuis Vatican II, nous assistons à une tentative de « mettre à jour la foi » en éloignant l’Église du dépôt de la foi, qui ne peut être ni changé ni amendé. Il est facile de comprendre pourquoi la révélation du Troisième Secret de Fatima devait avoir lieu en 1960, et pourquoi elle a été supprimée par ceux qui avaient l’intention de changer ce qui ne pouvait l’être. Le cardinal Ratzinger, avant de devenir pape Benoît XVI, a déclaré que le Troisième Secret faisait référence aux « dangers qui menacent la foi », et il a fait un parallèle entre le message de Fatima et celui d'Akita. Le cardinal Mario Luigi Ciappi, qui avait lu le Troisième Secret, a déclaré que la Vierge avait dit que l'apostasie commencerait par le haut. Padre Pio a parlé d'une « fausse église » et d'une « grande apostasie » survenue après 1960 en ce qui concerne le Troisième Secret. Cependant, lorsque le prétendu Troisième Secret a été publié en 2000, il ne disait rien de ces choses.

En 2019, le pape François, lorsqu’on lui a demandé pourquoi Dieu « permet » tant de religions dans le monde, a répondu : « … il existe de nombreuses religions. Certains sont nés de la culture, mais ils regardent toujours vers le ciel ; ils se tournent vers Dieu. Il a dit que « ce que Dieu veut, c'est la fraternité entre nous », et il a ajouté que « nous ne devons pas avoir peur de la différence. Dieu a permis cela. Cependant, s’il n’y avait vraiment aucune différence entre les religions du monde, et si ce que Dieu voulait était simplement « la fraternité entre nous », alors on pourrait conclure que l’Église catholique n’est plus la seule vraie religion, et qu’elle n’est en effet pas la seule véritable religion. l'arche de notre salut. Cependant, nous savons que ce n’est pas la vérité. Il faut donc s'inquiéter des paroles rapportées de la Vierge concernant une apostasie qui commencerait par le haut.

En conclusion, je dois crier qu'ignorer les demandes et les remontrances de Notre Sainte Mère à Fatima et Akita a mis l'Église et le monde dans une condition extrêmement périlleuse. Je n'écris pas ces mots forts sur Fatima et Akita pour ébranler votre foi, mais plutôt avec le fervent espoir que vous prendrez conscience de la nécessité pour nous de nous repentir, de confesser nos péchés et de nous accrocher farouchement aux deux piliers de la foi que saint Paul a fondés. Jean Bosco a vu de manière si claire et prophétique dans un rêve en 1862 – les piliers de notre Seigneur eucharistique et de sa Mère – la Bienheureuse Vierge Marie. Je prie pour que notre réponse à toutes les perturbations et au mal d’aujourd’hui soit de trouver une foi et une espérance plus profondes en Notre Seigneur. Nous ne devons jamais quitter l'Épouse du Christ, mais nous ne pouvons pas non plus rester silencieux tandis que d'autres tentent de la changer ou d'en faire une caricature du vase de salut qu'elle est censée être.

Aucun d’entre nous n’a le pouvoir d’éviter une catastrophe, mais nous pouvons et devons être spirituellement préparés à toute éventualité. Il est impératif que nous veillions à rester toujours en état de grâce et que nous acceptions tous les actes de réparation possibles avant qu’il ne soit trop tard.

Inspirons-nous de Josué 24 :15 : « Quant à moi et à ma maison, nous servirons l’Éternel. »

Que Dieu Tout-Puissant vous bénisse et que notre Reine et Mère la Bienheureuse Vierge Marie intercède pour vous et vous conduise toujours vers son Fils.

Mgr Joseph E. Strickland

Évêque émérite, diocèse de Tyler »

14 août

LIBERTÉ, FRATERNITÉ, ÉGALITÉ : LA PSEUDO VICTOIRE DE L’HUMANISME

La boucle est bouclée.

12 ans après la cérémonie de clôture maçonnique des JO de Londres (voir analyses précédentes : symbolique du phœnix et du virus du Covid : Pierre Hillard), cette ouverture symbolique de la « grande réinitialisation » dont nous entendons parlé depuis plusieurs années, devrait atteindre son apogée tel qu’annoncé par la cérémonie de clôture des JO de Paris.

Le 12, chiffre significatif de la bible, est singé par la franc-maçonnerie, encore une fois.

Rappelons-nous le film catastrophique 2012 suite à la supposée fin du monde du 21 décembre 2012 reliée au calendrier maya.

« 21 décembre : fin du monde

QUI a eu les moyens, la constance et le culot de donner un écho mondial à ce qui fut considéré comme un des plus gros canulars du siècle ? Je veux parler de la fin du monde au 21 décembre 2012.

A partir d’un calendrier maya reconstitué pour l’occasion et complètement bidon -de toute façon invérifiable-, pendant plus de dix ans (!) l’information a tourné en boucle dans le monde entier, suscitant articles de presse, ouvrages en tous genres, émissions de télévision, mouvements survivalistes, et même un film à gros budget.
Franchement, seule cette oligarchie mondiale a les moyens et la possibilité de donner une telle publicité à ce qui apparaîtra comme un non-événement. Vraiment ? Quand on sait qu’un jeune obscur banquier, issu de chez Rothschild (tiens tiens) est bombardé la même année secrétaire général adjoint de l’Elysée et qu’il propulsé comme par miracle à la Présidence du pays cinq ans plus tard, et qu’il est né un 21 décembre, n’importe quel observateur avisé fera le lien entre d’une part cette ascension surprise et la date du 21/12, et d’autre part avec la fameuse oligarchie capable de financer autant le personnage que le joli mythe de la fin du monde. Mais on ne fait pas quelque chose pour rien : les investissements colossaux autour du 21 décembre (le concept comme le personnage) et les risques pris interdisent toute improvisation ni hasard.

C’est très curieux, tout le monde s’en fiche, mais pas les initiés, car ils savent eux, que tout ceci est volontaire.
Après avoir beaucoup travaillé sur le sujet, ce n’est qu’en 2015 que j’ai fini par comprendre le sens réel lié au 21 décembre : cela voulait dire « fin du monde chrétien » ; et donc le rôle joué par Macron, et l’ère inaugurée par le 21 déc 2012, avaient pour but de concrétiser cet objectif, d’où la nomination trois mois après au Vatican de l’homme chargé de réaliser cette destruction ultime de l’Eglise.

J’en ai eu la confirmation en 2023 dans le livre de mémoires de Mgr Georg Gänswein, le secrétaire particulier de Benoît XVI. Rien que le titre du livre annonce la couleur : « Rien d’autre que la vérité« , ce qui veut dire qu’en réalité il va passer son temps à cacher ou déguiser cette vérité. Et ça ne loupe pas, à aucun moment il n’explique ou n’insinue que la démission de Benoît XVI lui aurait été arrachée. Par contre, il nous livre une information incroyable en faisant semblant de la considérer presque comme banale. Voilà ce qu’il écrit page 208 de son livre : « L’idée originale de Benoît XVI était d’annoncer sa démission à la fin de l’audience à la Curie romaine à l’occasion des vœux de Noël, fixée cette année-là au 21 décembre, et de déclarer que le 25 janvier 2013 se conclurait son pontificat. »

Il explique ensuite que ses collaborateurs l’ont dissuadé de ce projet à cause de la proximité de Noël. Mais évidemment !! Ce 21 décembre, présenté comme un jour banal par Gänswein, c’était le fameux 21 décembre 2012 !! Vous imaginez ce qui se serait passé si le pape avait annoncé sa démission ce jour-là ? Tout le monde aurait compris le message subliminal qui se cachait derrière cette fameuse fin du monde : la fin de l’Eglise ! Ce qui prouve que Benoît XVI avait bien compris les projets de nos ennemis, et en choisissant le 21 décembre, il leur coupait l’herbe sous le pied, il révélait le complot, Bergoglio aurait été démasqué avant même d’être nommé.

Notons également que le démon, qui pilote tous ces hommes et ces événements, sait que ces mots cachent une terrible réalité : s’il y a fin de l’Eglise, et surtout fin de son pouvoir spirituel, alors c’est aussi la fin du monde car le règne du Christ ne peut avoir de fin. Oui c’est vrai : détruire l’Eglise c’est provoquer la fin du monde. Voilà pourquoi, je l’ai déjà expliqué, les derniers souverains personnifient les deux Bêtes de l’Apocalypse (qui sont aussi des systèmes) : Emmanuel Macron personnifie la Bête de la terre, le pouvoir politique et médiatique, et Bergoglio personnifie la Bête de la mer, le pouvoir spirituel, l’ensemble formant l’Antéchrist (système), la personnification de l’Antéchrist-personne revenant à la Bête de la mer, donc Bergoglio.

Ceci je l’explique depuis dix ans, mais je commence enfin à voir des auteurs traitant sérieusement Macron ou Bergoglio, ou les deux, d’Antéchrist. Ils auront mis le temps ! » (Louis D'Alencourt, grandreveil.wordpress.com)

Ces jeux olympiques donc, ont été marqués par de multiples références à la révolution française de 1789 qui a contribué à la naissance du monde actuel, apostasié, humaniste, où tous sont égaux dans la miséricorde infinie chère à Bergoglio, et à la gloire du monarque en vue, Macron.

Comme exemple, le parcours du marathon était exactement le chemin choisi par les femmes et hommes marchant vers Versailles en 1789.

L’homme masqué de la cérémonie d'ouverture, donc sans visage, égalitaire, avait fait place au cheval pâle mécanique de l’Apocalypse et à la tragédie de la dernière Cène.

Les nouvelles générations gavées aux jeux vidéos et les « wokes » n’y ont vu que du feu.

Tout comme à la cérémonie de clôture dont le symbole le plus éloquent fut le « golden voyager» ou le voyageur doré en français.

(voir aussi: « Clôture des JO: ce que les journalistes n'ont pas vu » (benoit-et-moi.fr)

Les faits marquants de cette cérémonie :

Alors que les continents stylisés sur le parterre du stade sont parcourus d’éclairs et de fumée symbolisant la terre en convulsion, prête à renaître, (quoique pour nous on y voit l’enfer), surgit du ciel le voyageur doré au travers de jets lumineux qui forment en partant un pentagramme de Baphomet.

Une fois au sol, il commence une danse macabre, rencontrant Nike, la déesse de la victoire, avant d’être rejoint par d’innombrables démons ou formes humaines boueuses, qui vont excaver l’anneau olympique manquant (il n’y a que quatre anneaux au toit du stade à ce moment là; il manque une pièce du casse-tête; les anneaux représentant le nouveau monde issue de la grande réinitialisation, le monde de « paix » humaniste) pour ensuite le hisser au toit du stade.

Alors le voyageur doré monte au sommet d’une pyramide constituée des démons et célèbre son triomphe au son d’une musique rock.

Cela rappelle drôlement la pyramide avec l'oeil qui voit tout à son sommet, la 33ème marche de l'initiation maçonnique.

Le voyageur doré « atterrit dans un monde désert et mystérieux, prêt à être exploré » confirme le Comité International Olympique (CIO).

Selon certaines sources, le personnage est un hommage à de nombreuses références du patrimoine historique français, dont l'Esprit de la Bastille, faisant encore une fois référence à la révolution de 1789.

Supposément, l'idée derrière la pièce dystopique est que les Jeux disparaissent avant de renaître.

Selon le concepteur artistique, le voyageur doré atterri sur une terre post-apocalyptique et cherche à reconstituer les vestiges de ce monde qui n'existe plus afin de comprendre qui habitait ce monde.

Quel est le nom du groupe rock français qui a performé à la cérémonie suite à l'élévation finale du voyageur doré?

Phoenix.

Voilà.

Le lien est clairement établi pour l'initié.

Dans un monde inondé de symboles maçonniques, le voyageur doré est inévitablement une référence au phœnix (voir les multiples références dans les analyses précédentes), renaissant des cendres des continents en convulsions.

Un nouveau monde à l’image des élites mondiales, de Satan.

Outre le lien de Pierre Hillard ci-dessus, rappelons le phœnix du Fonds Monétaire International pour refaire le monde post-covid :

Doré, comme le voyageur doré.

Puisque Satan singe et que nous savons que l’Antichrist est d’abord et avant tout le système mondial actuel sans Dieu, ce dernier indique la résurrection d’un nouveau système des cendres de l’ancien (le monde christocentrique européen).

Devant des milliards de téléspectateurs.

Voilà.

Mais Dieu a un tout autre plan.

Nous avons eu des aurores encore un fois en ces 11 et 12 août.

Nous avons eu les signes depuis la démission de Benoît XVI (dont la a basilique du Sacré-Cœur de Paris, qui est restée visible comme une cathédrale faite de lumière alors que tout la ville était noyé dans l’obscurité après la cérémonie d’ouverture de JO), comme l’éclair sur le dôme de la basilique Saint-Pierre.

Le dôme qui soudainement dernièrement, est devenu noir.

« Aucun d’entre nous n’oubliera jamais la photographie qui, le 12 février 2013, immédiatement après l’annonce de la démission du pape Benoît XVI, a capturé le moment où la foudre a frappé le sommet de la coupole de Saint-Pierre.

Cette image, devenue un symbole iconique de l’un des événements les plus dramatiques de l’histoire bimillénaire de l’Église, a fait et fait encore l’objet, de la part de nombreux croyants, de commentaires, de réflexions, de craintes et de considérations sur la signification réelle ou présumée de cet événement.
En revanche, du côté des athées-agnostiques, la question a alimenté les sarcasmes de ceux qui y voient le caractère superstitieux, rétrograde et fanatique de nombreux aspects de la foi et de la religion.

Il n’y a pas et il n’y aura jamais de moyen de réconcilier ces positions ; en fait, je dirais que ce serait un exercice stupide et futile que d’essayer de le faire.

Chacun peut voir dans ce tableau ce que son cœur (entendu comme un ensemble plus ou moins cohérent de foi, de scepticisme, de conscience et de convictions) lui suggère. Je pars de là pour donner un sens à ma contribution, pour proposer mon point de vue personnel sur la façon dont parfois des événements et des faits – qu’ils soient apparemment naturels et explicables ou le résultat d’actions humaines conscientes – peuvent représenter ensemble une image qu’un croyant devrait néanmoins ressentir le besoin d’analyser et sur laquelle il devrait réfléchir en profondeur.

Dans ce contexte, c’est précisément la coupole de Michel-Ange, avec la façade de Maderno [Carlo Maderno, 1556-1629, architecte italien; il a réalisé la façade de la Basilique] qui en dissimule partiellement la vue, qui représente une sorte de « théâtre » métaphysique. Un proscenium d’où, ces dernières années, ont pris forme, aux yeux des croyants qui veulent voir au-delà du simple sens concret, des messages inquiétants qui ne sont que trop cohérents avec les phénomènes climatiques que l’Église catholique temporelle est en train de traverser.

J’ai déjà parlé de l’éclair qui a suivi l’annonce de Ratzinger, et qui a précédé d’un mois l’élection de Jorge Mario Bergoglio au trône pontifical. Je voudrais maintenant m’arrêter sur deux autres événements qui, d’une manière différente, semblent confirmer à quel point cette basilique, la plus grande et la plus importante du monde catholique, est devenue une sorte de « centre de communication » dont la governance – et c’est un autre aspect inquiétant de la question – ne peut pas, à mon avis, être clairement identifiée. Mais procédons dans l’ordre.

L’événement dont je vais parler maintenant n’a rien de surnaturel ; il a malheureusement été accouché par un esprit humain, un pontife qui, deux ans et demi plus tôt, avait ravi le monde en se présentant avec ce « bonsoir frères et sœurs » digne du meilleur Mike Bongiorno [sobriquet d’un célèbre présentateur de télévision]. C’était le 8 décembre 2015, fête de l’Immaculée Conception. Je me trouvais ce soir-là sur la place Saint-Pierre. Je ne pouvais pas encore savoir qu’à partir de ce jour, je ne mettrais plus jamais les pieds sous la colonnade du Bernin.

Le Saint-Siège avait organisé une sorte de spectacle tout en lumières [cf. benoit-et-moi.fr/2015-II/actualite/fiat-lux], en couleurs et en images gigantesques et fantasmagoriques projetées sur la façade de la basilique. On aurait pu s’attendre à une sorte d’allégorie en l’honneur de Marie Immaculée, sur fond des plus importantes musiques composées en son honneur au cours des siècles.

A la place, il s’est passé quelque chose de monstrueux : des images de forêts, d’animaux (certains vraiment horribles), de paysages plus ou moins sauvages. Un sabbat entièrement dédié à la nature et à la faune de notre planète. C’était le nouveau fétiche écologiste auquel le néo-paganisme bergoglien avait consacré sa dernière œuvre littéraire, ce Laudato sì’ anticipant toutes les obscénités catholico-climatiques qu’il allait nous déverser dans les années à venir. Marie, Mère de l’Eglise et notre Avocate, s’est transformée en Mère Terre !

Cette kermesse, qui coïncidait sans vergogne avec la fête de l’Immaculée Conception, était aussi le salut de l’Église catholique à la Conférence mondiale sur le climat qui se tenait ces jours-là dans le « Parigi o cara » de mémoire de Verdi.

Il n’est pas inutile de rappeler qui étaient les concepteurs et les exécutants matériels de ce spectacle indigne (je ne sais pas s’ils ont été payés par le Saint-Siège et combien) : un partenariat entre Vulcan Inc., la LiKa Shing Foundation et Okeanos, en collaboration avec la Ocean Preservation Society et Obscura Digital. . Pour ceux qui ont le temps, il sera très instructif d’en savoir plus sur ces entreprises, organisations et personnalités dont les noms sonnent déjà comme un programme [un début de réponse ici, peut-être: benoit-et-moi.fr/2015-II/actualite/son-et-lumiere-sur-la-façade-de-saint-pierre].

Quelque trois ans après le message subliminal de l’éclair frappant le crucifix de la coupole, revoici la basilique, cette fois par la main de l’homme (mais guidé par qui ?), protagoniste d’un sombre spectacle de mort.

De nombreux croyants de l’époque ont exprimé bruyamment leur étonnement et leur protestation face à cette incroyable imposture. Aucun d’entre eux ne pouvait cependant se douter que ce qui était proposé n’était qu’une petite mise en bouche de ce qui allait arriver quelques années plus tard. En effet, en octobre 2019, le funeste synode d’Amazonie a officialisé l’entrée du paganisme dans l’Église catholique. L’image de la pachamama en procession d’adoration dans l’église Traspontina à Rome a été le symbole iconique de ces jours terribles [dossier ici: www.benoit-et-moi.fr/2020/tag/pachamama].

Et voici le troisième événement, celui qui depuis quelque temps suscite la curiosité (pour certains, l’angoisse) de nombreux Romains et de la multitude de touristes qui affluent chaque jour à Saint-Pierre. Cet événement est à nouveau attribuable, comme la foudre, à un phénomène physico-chimique pour lequel, cependant, personne n’a jusqu’à présent réussi à donner une explication plausible, semble-t-il : la coupole de Saint-Pierre est devenue noire !

Voici comment le corrierediroma.org décrit la situation :

À la fin des travaux [de restauration, Ndlr], le Dôme est apparu nettoyé, blanc (même si certaines parties avaient déjà noirci à cause de la pollution), mais il y a un phénomène qui a frappé (et qui frappe) les yeux des Romains et des autres : les dalles de plomb. La structure a pris une couleur tout à fait inhabituelle dans sa partie courbe. Les dalles sont devenues sombres, comme si elles s’étaient soudainement oxydées. Cette couleur gris clair, typique des coupoles de la Renaissance et du Baroque, qui accompagne le panorama de Rome depuis des siècles, a soudainement disparu de LA coupole par excellence, prenant une couleur, pour l’œil humain, presque noire. Que s’est-il passé ? Il serait intéressant de connaître, par le biais d’un communiqué des services techniques du Vatican, la raison d’un tel « phénomène » qui a radicalement changé la vision traditionnelle de « der Cuppolone« .

Un signe des temps qui changent ? Qui sait si quelqu’un peut répondre à cette question. Il semble que ce soit un processus d’oxydation qui ait affecté la structure, bien que personne, à l’heure actuelle, n’ait été en mesure d’expliquer la cause d’un tel phénomène et la raison pour laquelle il s’est manifesté de la manière et au moment que nous observons.

La dernière question posée par le journaliste est toutefois intéressante. On pourrait en ajouter d’autres : quels sont les temps qui changent ? Dans quelle direction ? Et pourquoi maintenant ? Une chose est sûre : aucun bureau technique, aucun ingénieur expert en structures anciennes ne pourra jamais répondre à ces questions. Pour moi, c’est un message supplémentaire (et inquiétant) que la grande scène
Michelangelesco-Bernin nous offre depuis une douzaine d’années.

Suis-je, moi aussi, un membre de cette armée dispersée, superstitieuse, fanatique et rétrograde qui se plaint de présences maléfiques et de messages lugubres venant de la Jérusalem souterraine à la Via della Conciliazione ?

Qui sait ?

Peut-être, face à tout cela, le Poète n’hésiterait-il pas à proclamer : Papa Satàn, Papa Satàn aleppe ! [Premier vers du Chant VII de l’Enfer de Dante]. (benoit-et-moi.fr)

Il ne restera que l'autel prophétisait Anne Catherine Emmerich.

Voilà le message du dôme noir qui confirme le tout.

Il ne restera que la présence réelle malgré la volonté de Bergoglio et son synode.

Cela, nul ne peut y toucher.

Demain, c'est la fête de l'Assomption de Marie.

Un signe puissant en cette fin des temps.

Une tache solaire gigantesque sur le soleil... Une éjection de masse coronale ce matin qui pourrait donner du fil à retordre.

À suivre...

10 août

Cérémonie de clôture en vue demain 11 août, une tache solaire gigantesque en position parfaite pour une éjection solaire majeure (le mois d'août est déjà le mois avec le plus de taches solaires du cycle 25, et il ne fait que commencer), et le silence du 8ème roi de l'Apocalypse toujours de mise.

Quelles abominations nous réservent-ils à Paris?

Quelles seraient les conséquences d'une tempête solaire majeure à ce stade-ci?

Une seule réponse aux multiples conséquences: la perte électrique et électronique.

Aucun véhicule ne fontionnant, aucune lumière possible, aucune nourriture distribuée, en fait tous les biens matériels nécessaires.

Noirceur donc et retour à l'âge de pierre, pour un certains temps, peut-être des mois.

Avec des satellites déviés de leurs trajectoires pour aller fondre dans l'atmosphère terrestre.

La guerre de la nature prophétisée par Jean XXIII, qui arrête ainsi la guerre en Ukraine et au Moyen-Orient.

Voilà pourquoi nous surveillons le soleil.

Ce qui correspond aussi à l'ouverture du septième sceau, la chute de Babylone, et la fin de la papauté telle qu'on la connaît.

Ce système antichristique achève car son coeur est pourri.

« C'est ici qu'il faut un esprit doué de sagesse. — Les sept têtes sont sept montagnes, sur lesquelles la femme est assise. Ce sont aussi sept rois :

Les cinq premiers sont tombés, l'un subsiste, l'autre n'est pas encore venu, et quand il sera venu, il doit demeurer peu de temps.

Et la bête qui était et qui n'est plus, en est elle-même un huitième et elle est des sept, et elle s'en va à la perdition. » (Apocalypse 17, 9-11) »

La clé pour démarrer le compte (guidé par « l’esprit de sagesse » et du fait qu’on ne peut reconnaître les faits qu’en y étant présent) est celui qui « subsiste », c’est à dire Benoît XVI. Cinq papes avant lui donc.

Et la bête qui était et qui n'est plus, en est elle-même un huitième et elle est des sept, et elle s'en va à la perdition.

Et Bergoglio, qui représente la bête marxiste socialiste judéo-maçonnique, est le septième pape, mais il a décidé d’abandonner son titre de vicaire du Christ, ET, d’abandonner son titre de pape en décidant qu’il n’était, dans son idée de collégialité, que l’évêque de Rome (en référence aux sept collines).

Il est devenu le huitième, la bête cachée derrière le titre de pape, et qui s’en va à la perdition.

Il est donc roi du Vatican, vassal de Satan, qui domine le Saint-Siège.

Il résume à lui seul tout Vatican II en ayant pour mission d'achever l'Église.

« En d’autres termes, on assiste à une symbiose quasi parfaite entre l’Antéchrist-personne et l’Antéchrist-système. Nous avons vu tout à l’heure que l’âme et le principal moteur de l’Antéchrist (système) c’était la judéo-maçonnerie. Si Bergoglio est l’Antéchrist-personne, nécessairement on doit trouver de fortes convergences. Eh bien ils ne s’en cachent même pas :

– Bergoglio reprend à son compte le même discours sur le grand remplacement effectué par la judéo-maçonnerie dans les pays chrétiens, par la promotion d’une immigration massive en provenance de pays tiers bien évidemment non-chrétiens. Rappelons que le Vatican fut signataire du pacte de Marrakech.

– Son encyclique sur le climat reprend elle aussi l’ensemble des thèses maçonniques, à savoir une dégradation des ressources naturelles et une évolution du climat du fait de l’activité humaine, et surtout le dogme maçonnique qui consiste à croire que l’homme peut, par sa propre action, modifier cette évolution du climat. Nous avons encore là toujours cette même déification de l’homme, censé aujourd’hui influer sur le climat comme s’il était Dieu. Pour un catholique défenseur de la Création de l’univers par Dieu, adopter cette position est une double preuve de son apostasie d’une part, et du partage sans réserve de la vision maçonnique d’autre part.

– Même chose avec son encyclique sur la Fraternité humaine ; là Bergoglio n’a pas cherché à se cacher puisqu’il a repris des thèmes chers à la franc-maçonnerie, jusqu’au titre même de l’encyclique, ainsi que la même idéologie. On ne pouvait pas être plus aligné. Ce qui compte c’est la dignité humaine et non la royauté sociale du Christ ; Bergoglio réussit l’incroyable prodige d’écrire la théologie de la religion maçonnique, et personne ne s’en aperçoit.

– Même alignement sur la maçonnerie dans la promotion de la religion universelle dont tout le monde parle au futur sans se rendre compte qu’elle existe déjà : la religion universelle c’est celle des droit de l’homme, et celle-ci est reconnue quand toutes les religions lui font allégeance. Or c’est bien le cas, tous les papes du concile se sont déplacés à l’ONU pour y déclarer leur soumission.

– Autre signe visible de l’apostasie enclenchée à Vatican II : ses rapprochements, bien plus précis que ceux de ses prédécesseurs, avec les protestants (luthériens notamment), les musulmans et les juifs, qui sont une négation de la doctrine catholique vis à vis des hérétiques, et, encore plus grave, une négation de la divinité du Christ, non plus implicite mais explicite. Manifestement Bergoglio ne sait pas qu’il n’y a qu’un seul Dieu, un seul baptême, une seule foi (Ephésiens 4:5), et un seul Sauveur, le Christ, en dehors duquel personne ne peut être sauvé.

– Durant la crise du Covid, Bergoglio s’est parfaitement aligné avec les recommandations des organisation internationales maçonniques, oubliant là encore la position traditionnelle de l’Eglise selon laquelle les épidémies sont des punitions de nos péchés, pour emboiter le pas au discours sanitaire manipulateur et mensonger des pouvoirs publics actuels. Là encore il a parfaitement montré dans quel camp il se trouvait et qui étaient ses amis et inspirateurs.

– Etc, etc… jusqu’à l’Ukraine où il s’aligne lui aussi sur la version occidento-américaine des faits...

Alors quel est le rôle de l’Antéchrist-personne, le 8è roi, de Bergoglio-François ?

De mettre à mort la prostituée, comme c’est écrit, c’est à dire de détruire ce qui reste de l’Église, celle qu’ils ont déformée et qui a apostasié, parce que l’autre, la vraie qui perdure dans la Tradition, est intouchable.

Parallèlement, ses amis maçons détruisent de leur côté tout ce qui reste de valable dans la société civile, parce que la destination de tous doit être la perdition, l’enfer pour tous. Le pire c’est que l’Eglise elle aussi nous y entraîne.

Et puis il reste à Bergoglio une dernière action capitale à faire : quand on constate le niveau réel et effrayant de l’apostasie dans l’Eglise conciliaire, on se rend compte qu’il n’y a plus qu’un seul endroit où elle considère encore le Christ comme Dieu, c’est la messe, y compris celle de Paul VI. Inacceptable pour ces gens-là.

On sait ce qu’il leur reste à faire. » (Louis D'Alencourt, legrandreveil.wordpress.com)

04 août

Le Saint Siège a finalement émis un communiqué à propos de la cérémonie d'ouverture des JO de Paris.

« Le Saint-Siège a été attristé par certaines scènes de la cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques de Paris et ne peut que se joindre aux voix qui se sont élevées ces derniers jours pour déplorer l’offense faite à de nombreux chrétiens et croyants d’autres religions.

Dans un événement prestigieux où le monde entier se réunit autour de valeurs communes ne devraient pas se trouver des allusions ridiculisant les convictions religieuses de nombreuses personnes.

La liberté d’expression, qui, évidemment, n’est pas remise en cause, trouve sa limite dans le respect des autres. » (vatican.va)

Trop peu trop tard.

C'est un communiqué générique prouvant la mollesse du Vatican contrairement aux cardinaux qui ont condamné fortement le spectacle satanique par les mots appropriés dans une telle circonstance.

Concernant la situation au Moyen-Orient, les États-Unis ont envoyé un escadron d'avions de chasse supplémentaire en Israël, tout en augmentant le nombre de navires présents dans le Golf Persique et en Méditérannée à douze, dont un porte avions.

Les israéliens et les américains s'attendent à une attaque de l'Iran aussi tôt que lundi le 5 août.

Mais qu'est-ce que l'Iran a à gagner en supportant les groupes terroristes du Hamas et du Hezbollah?

La réponse se trouve dans la religion chiite: leur messie se révélerait lors d'une guerre mondiale les impliquant avec Israël. Ils ont donc intérêt à provoquer la guerre. Au dépend de leur population.

« nous sommes à la charnière entre la 6è et la 7è et dernière période de l’Apocalypse. Allons à l’essentiel :
La 6è période c’est celle de l’Antéchrist, qui règne déjà depuis bien longtemps (plusieurs décennies en tant que système, onze ans en tant que personne).

La 7è période c’est la chute de l’Antéchrist et de son monde (chute de Babylone, c’est-à-dire du monde moderne), le nettoyage de la planète de tous ses éléments hostiles à Dieu (ce que les profanes appellent la fin du monde, en la confondant avec la fin de la planète terre, ce qui n’est pas le cas), la victoire du Christ et son retour (Parousie) et son règne sans fin.

La 7ème période est morcelée en 4 sous-ensembles : 7è église, 7è sceau, 7è trompette, 7è coupe, mais il y a une subtilité : les 7 dernières coupes ont lieu une fois la 7è période enclenchée.

Les derniers événements de la 6è période se chevauchent avec les premiers de la 7è (les 6 premières coupes).

Et enfin il est vraisemblable de penser que l’ensemble de ces événements (les derniers de la 6è trompette et les 6 coupes) constituent une préparation de la grande confrontation finale de la 7è période.

Donc, enclencher une guerre de grande envergure en Palestine revient à nous confirmer que se mettent en place les derniers éléments de la 6è période, et que la grande bataille finale de la 7è est pour bientôt. »
(Louis d'Alencourt, legrandreveil.wordpress.com)

« ... ce sont des esprits de démons qui font des prodiges, et ils vont vers les rois de toute la terre, afin de les rassembler pour le combat du grand jour du Dieu tout-puissant. » (Apocalypse, 16-14)

C'est exactement ce qui est en train de se produire.

03 août

C’est quand même stupéfiant que tous les médias font écho à propos des attaques à la frontière d’Israël, une poudrière pouvant mener à une guerre mondiale, sans faire référence ou même penser que cet endroit est exactement en lien avec : «  Et ils les rassemblèrent dans le lieu appelé en hébreu Armaguédon.

Puis le septième répandit sa coupe dans l'air ; et il sortit du sanctuaire une grande voix venant du trône, qui disait : " C'en est fait ! " » (Apocalypse, 16-17)

Armaguédon ou Meddigo.

Remarquez selon l'Apocalypse que c'est à ce moment que ce situe la fin de la sixième période et le début du septième sceau avec sa coupe.

L’Iran jure de venger la mort du chef du Hamas sur son territoire, et selon les sources d’intelligence, ce serait le 12 août, journée de fête nationale en Israël, Tisha B’Av, qui commémore la perte du premier et du deuxième temples.

C’est très symbolique.

Rappelons nous la destruction du temple en 70, destruction annoncée par le Christ.

Destruction reliée à la future chute de Babylone?

Ou du « Grand Éclair à l’Orient » de la prophétie politique de Jean XXIII?

Car, un chef est mort en Orient. Il ne reste qu’un chef à tomber au sud des États-Unis.

La guerre contre l’Église et la célébration de cette victoire du 26 juillet, aura-t-elle ses échos à la cérémonie de clôture du 11 août, juste avant Tisha B’Av?

« Le show de Paris : un acte de guerre contre la civilisation chrétienne

« Quelle qu’en soit l’inspiration, l’initiative ne remonte pas à un directeur artistique déjanté, mais exprime un message commandé par les plus hautes autorités françaises, à commencer par le chef de l’État. »



« Macron lui-même, dont la récente débâcle électorale n’a pas égratigné l’arrogance, a voulu proposer au monde un nouveau message d’ « inclusivité » antichrétienne. »

Dionysos est le dieu « hybride » des orgies païennes, de la sensualité débridée et de l’aveuglement de la raison, et l’intention déclarée des organisateurs était de remplacer le mystère sublime du christianisme par la bacchanale dionysiaque.



La haine du christianisme a toujours eu besoin de représentations symboliques et la Révolution française s’est nourrie de mythologies païennes dès ses débuts. Il y a une continuité évidente entre la parodie blasphématoire de la Cène du 26 juillet et l’intronisation de la déesse Raison le 10 août 1793 à Paris sous les traits de la déesse égyptienne Isis.


« Macron et ses collaborateurs ont voulu donner raison à la Révolution française dans ce qu’elle a de plus abject : la mise à mort de la reine de France, victime innocente, comme le roi Louis XVI, de la haine révolutionnaire qui, dans les souverains français, voulait frapper le principe de la Royauté sociale du Christ. »

Cependant, ceux qui identifieraient la France au spectacle blasphématoire qui a ouvert les Jeux olympiques auraient tort. La France n’est pas la place de la Guillotine, mais Notre Dame et la Sainte Chapelle ; la France n’est pas Robespierre ou Macron, mais Saint Louis et Sainte Jeanne d’Arc. Il serait donc erroné d’identifier le spectacle de dégénérescence qu’offre Paris ces mois-ci avec la civilisation occidentale à laquelle la France a tant donné. L’Occident, c’est l’histoire d’une foi religieuse, d’un mode de vie, d’un art, d’une littérature, d’une musique, mais aussi de grandes batailles pour la défense de la civilisation ;

Les ennemis de l’Occident cherchent à se venger. Pour cela, pour gagner la guerre, ils savent que l’Occident doit cesser d’être chrétien, revenir aux idées et aux coutumes du paganisme, tomber comme une pomme mûre, comme ce fut le cas pour l’Empire romain. (benoit-et-moi.fr)

Tout cela arrive comme nous l’écrivions dans les analyses précédentes, au début du maximum solaire du cycle 25.

« On ne s'attendait pas à ce que le cycle solaire 25 soit aussi fort. Lorsqu'il a commencé en décembre 2019, les experts ont prédit qu'il s'agirait d'un cycle faible comme son prédécesseur immédiat, le cycle solaire 24. Si cette prévision s'était fiée, le cycle solaire 25 serait l'un des cycles solaires les plus faibles depuis un siècle.

Au lieu de cela, le cycle solaire 25 a dépassé le cycle solaire 24 et pourrait être sur le point de rivaliser avec certains des cycles les plus forts du 20ème siècle.

Déjà en mai 2024, nous avons connu une tempête géomagnétique de classe centenaire avec des aurores boréales observées dans le Pacifique Sud, en Amérique centrale et en Afrique du Sud.

La dernière fois que le nombre de taches solaires était aussi élevé, le soleil était sur le point de lancer les grandes tempêtes d'Halloween de 2003, qui comprenaient la plus forte éruption solaire à rayons X jamais enregistrée (X45) et un CME si puissant qu'il a finalement été détecté par le vaisseau spatial Voyager au bord du système solaire.

Sommes-nous au maximum solaire? Le consensus n'est pas encore là. Le nombre de taches solaires pourrait continuer à augmenter dans les mois à venir et, sur la base du comportement des cycles précédents, nous pouvons nous attendre en toute confiance à une activité solaire élevée pendant au moins 2 à 3 ans de plus. »
(spaceweather.com)

Deux taches solaires assez importantes font faces à la terre pour les 10 prochains jours, donc incluant le 11 août pour la fin des JO de Paris.

Une de ces deux taches a provoqué une éjection de classe X14 la semaine passée lorsqu’elle était située sur la face cachée du soleil.

Elle a ce potentiel d’en produire d’autres et de plus fortes intensités.

Tout s’accélère.

Mais, la masse humaine est ignorante de ce qui s’en vient.

Ce sera tout un choc.

01 août

Nous entrons dans la période du maximum solaire du cycle 25 (voir analyses précédentes sur les conséquences possibles).

Le soleil a augmenté considérablement ses taches solaires, et conséquemment ses éruptions solaires, spécialement depuis hier.

C'est à surveiller pour les prochaines semaines, sinon les prochains jours.

Surtout avec les derniers événements.

NSJC ne peut laisser faire.

L'élite maçonnique adore passer ses symboles durant les cérémonies de fermeture des jeux olympiques. Spécialement lorsque ces derniers ont lieu dans une ville conquise à la maçonnerie.

Nous avions été témoins à Londres en 2012 du stade avec ses arches en forme d'équerre et de compas, de l'apparition d'un virus géant (éventuellement le Covid) durant la cérémonie, et de la renaissance du phoenix (éventuellement « grande réinitialisation »).

La cérémonie de clôture à Paris aura lieu le 11 août.

Le 11 est le chiffre préféré de la franc maçonnerie, singeant le Dieu trinitaire pour donner le sommet de la pyramide maçonnique, le 33.

Pour le chrétien, c'est le 15 qui compte en août car c'est la fête de l'Assomption de Marie, symbolisée dans l'art avec les deux pieds sur la lune lors de son élévation, comme la femme dans l'Apocalypse.

Les deux prochaines semaines peuvent réserver des surprises pour le système antichrist.

« La décadence développe des goûts dépravés. Comment peut-on être surpris par un blasphème ?

par Cristina Vai

« Les idéologies du XXe siècle sont l'Antéchrist » (Carl Gustav Jung). Alors, pourquoi ne sommes-nous pas surpris si la société libérale-marxiste née de la franc-maçonnerie tolère tout sauf le christianisme ?

« Tout est toléré sauf les intolérants » disait Karl Popper. Une société fondée sur le marché, sans valeurs spirituelles, sans principes, ne peut que considérer comme intolérants ceux qui fondent leur vie sur le Christ, sur la Vérité. La foi est amour et l'amour est total ou il ne l'est pas. Celui qui aime un peu n'aime pas.

« La liberté mène au totalitarisme » (Del Noce). Aujourd’hui, la responsabilité personnelle n’existe plus. Ce n’est pas l’individu qui agit mal, c’est la société qui le pousse à le faire. Le criminel, la brute, le dépravé, le déviant est une victime. Au contraire, le Christ nous a enseigné que le mal n’est pas dans les choses, mais vient du cœur de l’homme. « L'impureté, le vol, le meurtre, l'avidité, la méchanceté, la tromperie, la débauche, l'envie, la calomnie, l'orgueil, la folie : toutes ces mauvaises choses viennent du dedans » (Matthieu 7 : 19).

Au centre de tout, pour le Christ, se trouve le cœur de l’homme. Quel dialogue, quel respect pourrait-il y avoir entre nous qui aimons le Christ par-dessus tout et ceux qui le haïssent et l'insultent ?

« La faute la plus grave de l'Église est d'accepter passivement sa propre liquidation par un pouvoir qui se moque de l'Évangile » (Pier Paolo Pasolini, athée et communiste). Pourquoi devrions-nous nous étonner de l'horreur, des blasphèmes, de la laideur, de l'obscénité, du conformisme de cet Occident moderne où triomphent les Rothschild, les Soros, les Schwab, les Bill Gates, la chose la plus dégoûtante de l'histoire du monde ? ? La Sainte Vierge de La Salette ne nous avait-elle pas prévenu ? "La France a corrompu l'Univers, un jour elle sera punie."

« La décadence développe des goûts dépravés, pousse les hommes à rechercher des jouissances nouvelles et étranges. On ressent un désir aigu de s’avilir, de se dégrader, de se moquer de tout ce qu’on croyait auparavant grand et beau » (Vilfredo Pareto). La haine des révolutionnaires pour la noblesse, pour la beauté est telle que personne, à l'époque, ne fut plus humiliée d'un sadisme infernal que Marie-Antoinette. Son fils est mort à l'âge de dix ans, dément, de faim et de misère. Prisonnière à la Conciergerie, Marie-Antoinette n'avait aucune intimité et devait subir la dérision et l'humiliation continuelles de ses geôliers. Elle avait développé des maladies de peau dues au manque d’hygiène, ses cheveux devenaient blancs du jour au lendemain. On ne lui avait laissé qu'un petit crucifix pour prier et elle se rendit seule à la potence parce qu'elle refusait d'être accompagnée par un prêtre qui avait juré par la constitution. Aujourd'hui encore, après deux siècles, on se souvient d'elle pour une phrase sur les brioches qu'elle n'a jamais prononcée et aux Jeux olympiques du Diable, le monde entier se moque de sa douleur. » (aldomariavalli-it)

Juillet 2024

13 juillet

La suite du signe de Jonas.


Le Catéchisme de l’Église catholique nous enseigne qu’«avant l’avènement du Christ, l’Église doit passer par une épreuve finale qui ébranlera la foi de nombreux croyants. La persécution qui accompagne son pèlerinage sur la terre dévoilera le “mystère d’iniquité” sous la forme d’une imposture religieuse apportant aux hommes une solution apparente à leurs problèmes au prix de l’apostasie de la vérité. L’imposture religieuse suprême est celle de l’Anti-Christ, c’est-à-dire celle d’un pseudo-messianisme où l’homme se glorifie lui-même à la place de Dieu et de son Messie venu dans la chair. […] L’Église n’entrera dans la gloire du Royaume qu’à travers cette ultime Pâque où elle suivra son Seigneur dans sa mort et sa Résurrection» (§675).

L'Église n'entrera dans la gloire du Royaume qu'à travers cette ultime Pâque où elle suivra son Seigneur dans sa mort et sa Résurrection (cf. Ap 19, 1-9). Le Royaume ne s'accomplira donc pas par un triomphe historique de l'Église (cf. Ap 13, 8) selon un progrès ascendant mais par une victoire de Dieu sur le déchaînement ultime du mal (cf. Ap 20, 7-10) qui fera descendre du Ciel son Épouse (cf. Ap 21, 2-4). Le triomphe de Dieu sur la révolte du mal prendra la forme du Jugement dernier (cf. Ap 20, 12) après l'ultime ébranlement cosmique de ce monde qui passe (cf. 2 P 3, 12-13) (§677).

La vie est SPIRITUELLE.

La guerre actuelle est une guerre de l’esprit.

Le corps non baptisé sans l’Esprit-Saint actif est voué à la mort éternelle.

C’est ce qui est en jeu.

L’Épouse du Christ descendra du Ciel pour la victoire finale.

C’est ce qui est confirmé dans les prophéties de l’Église de Jean XXIII également.

Et cette image de la fin des temps de la Vierge Marie triomphante est celle de la femme voilant le soleil avec les deux pieds sur la lune dans l’Apocalypse.

C’est le SIGNE de la Vierge.

C’est ce qu’elle a démontré par la figure de Notre-dame de Guadelupe.

Et elle est enceinte : de la nouvelle Église appelée à renaître.

C’est peint dans plusieurs tableaux également relatant L'Assomption de la Vierge Marie, solennité liturgique fêté le 15 août.

Que pouvons nous espérer suite à l’avertissement du signe de Jonas du 11 mai dernier?

Ce seul signe que le Christ nous accorde en cette fin des temps.

Est-il complet?

Nous nous devons de nous poser la question avec la suite des événements des dernier mois.

Rappelons que l’aurore de janvier 1938 a été suivie d’une autre série d’aurores en août 1939.

Nous pourrions avoir droit au même schéma après la tempête solaire du 11 au 13 mai dernier.

Car...

Le signe de Jonas est beaucoup plus intense selon les prophéties.

C’est physiquement une période de trois jours de noirceur.

Et nous verrions cet événement prochainement, dans un laps de temps plus court que les 20 mois entre 1938 et 1939, car eschatologiquement, nous sommes sur le temps court.

Le nombre 24 est associé à un sentiment de complétude. On pense qu'il représente l'ordre parfait de Dieu et l'achèvement des cycles.

2024 est donc l’annonce de la chute de Babylone, de la fin du cycle de cette génération pécheresse identifiée par le Christ.

24, c’est aussi la fête de Jean le Baptiste, le précurseur avant le 25, qui appartient au Christ, associé à Marie, via l’Annonciation du 25 mars.

2024 est donc le précurseur de 2025.

C’est en Matthieu 24 que NSJC décrit la fin des temps.

Le soleil s’obscurcira, la lune ne donnera plus sa lumière, et les étoiles tomberont du ciel (satellites? Un retour de la technologie, fruit de l’orgueil humaine?)

Ensuite, Jésus indique qu’ « apparaîtra dans le ciel le signe du Fils de l'homme ».

« Car, comme l'éclair part de l'orient et brille jusqu'à l'occident, ainsi en sera-t-il de l'avènement du Fils de l'homme. »

Qu’est-ce que le signe du Fils de l’homme?

Une croix dans le ciel?

Malachi Martin de son côté, qui avait lu le troisième secret de Fatima, nous désigne plutôt le signe de la Vierge.

Il déclara en 1997 que « le grand facteur déclenchant aura lieu dans le ciel. Observez toujours le ciel. Le signe de la Vierge apparaîtra dans le ciel, et c’est pour bientôt. D’ici les 10 ou 20 prochaines années. Ce sera un choc pour tout le monde. Cela montrera que Dieu existe. Lorsqu’un jour de printemps, vous verrez dans le ciel un signe, comme une aurore boréale, tout commencera… »

Tout commencera : donc l’annonce de trois jours de noirceur à venir.

La tempête du 13 mai a-t-elle été un choc pour l’humanité?

Non.

Est-elle précurseur étant donné la relation avec Fatima et la Vierge Marie quant aux dates?

Oui.

Le processus est donc commencé, mais pas terminer.

Alors, qu’est que le signe de la Vierge?

Le signe de la Vierge de l’Apocalypse, revêtue du soleil, la lune sous ses pieds, et une couronne de douze étoiles sur sa tête?

Ou, le miracle du Soleil à Fatima?

Les deux semblent désignés la même chose : un soleil voilé par la Vierge Marie.

« Ce fut alors que l'on put regarder parfaitement le soleil, rapporte le père de Jacinthe et de François, sans en être incommodé. On aurait dit qu'il s'éteignait et se rallumait, tantôt d'une manière, tantôt d'une autre. Il lançait des faisceaux de lumière, de-ci, de-là, et peignait tout de différentes couleurs : les arbres, les gens, le sol, l'air. Mais la grande preuve du miracle était que le soleil ne faisait pas mal aux yeux. »

Réitérons que pendant que tous voyaient le miracle du soleil, sœur Lucie voyait la Sainte Famille et les trois figures de Marie : Notre-Dame du Rosaire qui s’éleva au firmament à côté du soleil, joints par Saint-Joseph et l’Enfant Jésus qui bénissaient le monde, puis Marie devint Notre-dame des Douleurs, joint par Jésus qui bénissait à son tour le monde, puis Marie devient Notre-Dame du Carmel.

Trois dates à retenir donc: 16 juillet, 15 septembre, 7 octobre.

Le Carmel, c’est aussi les deux apparitions de la Sainte Vierge en Notre Dame du Carmel, soient le 13 octobre 1917 à Fatima, et le 16 juillet 1878 pour la 18ème et dernière apparition à Lourdes.

Et comme à Fatima, les choisis de Dieu pourrait avoir l’apparition de la Vierge, alors que les autres pourraient ne voir qu’un soleil voilé ou dansant.

Même le pape Pie XII qui a suivi de près la question des apparitions de Fatima a affirmé avoir été le témoin, à trois reprises, à Rome, les 30 et 31 octobre et le 1er novembre 1950, jour de la proclamation du dogme de l'Assomption de la Vierge Marie, du même phénomène solaire qu'à Fatima.

«C'était le 30 octobre 1950, écrit Pie XII au crayon de papier, parfois raturé mais de façon très lisible, sans aucun doute sur l'authenticité du document, l'avant-veille du jour de la définition solennelle de l'Assomption, je faisais ma promenade habituelle dans les jardins du Vatican en lisant et en étudiant (…) j'ai regardé le ciel et j'ai été touché par un phénomène que je n'avais jamais vu. Le soleil qui était encore assez haut, apparu comme un globe opaque jaunâtre, entouré par un cercle lumineux». Le pape dit alors qu'il pouvait le regarder «sans se faire aucunement mal aux yeux, un très léger nuage s'était formé devant». Puis il décrit: «le globe opaque a légèrement bougé vers l'extérieur, soit en tournant, soit en déplaçant de gauche à droite et vice et versa. Mais à l'intérieur du globe, on voyait avec une grande clarté et sans interruption de très forts mouvements» (Pie XII).

Et cela montrera que Dieu existe selon Malachi Martin.

Les chrétiens reconnaîtront le signe parce que cela sera probablement en forme de Croix, le Signe du Fils de l’homme, ou vraiment comme un miracle, le signe de la Vierge Marie comme à l’Assomption, voilant le soleil, qui ne fait pas mal aux yeux.

Les tièdes hésiteront. Les athées et les apostats idolâtreront la science par ses explications, car comme à Fatima, ils ne verront qu’un phénomène astronomique (rappelons que les voyants voyaient la Sainte Famille en octobre 1917).

Quiconque connaît l’Apocalypse et la femme avec les deux pieds sur la lune entourée d’une couronne de 12 étoiles, sait bien que ce signe serait un avertissement sérieux!

Une autre piste de réflexion vient de l’apparition aux 3 Fontaines.

Un phénomène dans le ciel, miraculeux, du même genre que celui de Fatima s’est reproduit localement, reliant les deux apparitions.

Ce fut le 12 avril 1980 en commémoration du 33ème anniversaire de l’apparition (le 12 avril 1947) aux 3 Fontaine, 33 étant le nombre du Christ.

Plusieurs milliers de personnes réunies aux Trois Fontaines assistèrent à un « miracle du soleil ». L’astre se serait mis en mouvement et le ciel serait devenu bleu, violet puis rose.

La Vierge de la Révélation, comme on l’appelle aux Trois Fontaines, apparut couronnée d’étoiles, comme au chapitre 12 de l’Apocalypse.

Comme Notre-Dame de Guadelupe dont nous pratiquons la neuvaine du cardinal Burke jusqu’au 12 décembre 2024.

Donc, ce soleil voilé ou miracle du soleil est accompagné de couleurs comme les aurores, comme spécifié par Malachi Martin.

Et, le 13 octobre 1917, le soleil s'obscurcissant 3 fois de suite à intervalles réguliers à Fatima désignant les 3 jours de ténèbres.

Le père Malachi Martin dans un interview en 1997 confirmait aussi que ce signe viendrait quand « le dernier pape sera sous le contrôle de Satan »

Citons aussi le secret de La Salette.

« Voici le roi des rois des ténèbres. Voici la bête avec ses sujets, se disant le sauveur du monde. Il s’élèvera avec orgueil dans les airs pour aller jusqu’au Ciel ; il sera étouffé par le souffle de Saint Michel Archange. Il tombera, et la terre qui, depuis trois jours, sera en de continuelles évolutions, ouvrira son sein plein de feu ; il sera plongé pour jamais avec tous les siens dans les gouffres éternels de l’enfer. »

Lorsque Satan se déclarera roi et sauveur du monde, ce qui est confirmé par l’époque actuelle, Saint-Michel Archange frappera, et ces tribulations dureront trois jours.

Le père Malachi Martin encore une fois : Il y aura bien trois jours de ténèbres au-dessus de notre terre, trois jours pendant lesquels il sera très dangereux de se trouver dehors. Même chez soi cela pourrait être dangereux.

« A.B. : Trois jours sans soleil ???

M.M.: Oui, sans la lumière à laquelle nous sommes habitués. Mais quand cela se passera, comme d’habitude, les scientifiques donneront des explications géophysiques et astronomiques pour rassurer. (...) Cela n’arrivera pas dans 200 ans... Ni dans 50 ans... Ni dans 30 ans. (...) Toute la terre sera concernée, sans exception, toutes les religions, toutes les races, toutes les régions. Ce sera terrifiant. »

Donc, cela concerne toute l'humanité, mais le point de référence est la religion catholique.

Les phénomènes seront géophysiques et astronomiques.

Le chiffre 13 appartient à Marie comme le prouve les apparitions du 13 du mois en 1917.

C’est le 13 juillet 1917 qu'elle demande la consécration de la Russie.

Le 14 est le chiffre de la prise de la Bastille, symbole de la franc-maçonnerie.

Le 14 juillet 2000, il y a donc 24 ans, une énorme tempête solaire eu lieu.

Mais, les effets (aurores boréales, et problèmes électroniques) se sont fait sentir le 16 juillet suivant, fête de Notre-Dame du Carmel, une des trois figures de l’apparition du 13 octobre 1917 à Fatima.

Remarquez dans la prophétie politique de Jean XXIII « Grand Éclair à l’Orient » que l’humanité n’a aucun préavis sur le phénomène à venir:

« Grand éclair à l'Orient. Vous n'entendrez pas le tonnerre, lui aussi sera imprévu.»

Pas de tonnerre avertissant du cataclysme cosmique.

Cette prophétie est, soit le signe de la Vierge, ou simplement une explosion atomique ou du genre, probablemetn en Iran.

Mais nous savons nous situer dans la fin des temps grâce à cette prophétie, parce:

- Qu’un roi tentera de prendre le contrôle de l’Europe; ce que nous avons expliqué dans une des dernières analyses.

- Que l’esprit trouble, fille de fugitifs de Nuremberg, est l’Ukraine (expliqué dans la section « analyse », « prophéties politiques »).

- Que c’est la guerre et que la terre frisera le massacre, ce qui est le cas avec l’Ukraine, Taïwan et Israël contre Hamas-Liban-Iran-Yémen.

- Que cela arrivera quand deux chefs importants mourront; nous sommes en attente sur ce sujet.

- Et que conséquemment, il y aura retour vers Marie dans les cœurs.

- Et que c’est le temps des lettres, l’alpha et l’oméga, le début et la FIN d’un cycle.

Comme nous l’expliquons depuis maintes analyses, une tempête solaire dans le maximum solaire de ce cycle 25 pourrait être la cause de la chute de Babylone car notre humanité dépend entièrement de la technologie et de l’électricité.

Mais, elle ne causerait probablement pas une noirceur durant trois jours.

Alors, une possibilité pour une tel événement serait une superéruption solaire.

On en entend rarement sur le sujet car cela ne se produit pas très souvent.

Les étoiles jeunes en produisent beaucoup, mais une étoile d’âge moyen comme notre soleil en produise très rarement.

C’est un événement solaire de 10 fois à 100 supérieur à l’événement de Carrington de 1859.

Des scientifiques ont prouvé en 2012 que c’est arrivé la dernière fois en 775 de notre ère (isotopes retrouvés dans les carottes de glace et dans les lignes de croissance des arbres).

« Les premiers signes d’une ampleur encore plus grande des tempêtes solaires sont apparus en 2012, avec la découverte d’une méga-tempête 10 à 100 fois plus puissante que l’événement de Carrington, survenu vers 775 après J.-C. « C’était vraiment stupéfiant », déclare Nicolas Brehm de l’ETH Zurich. « Nous ne pensions pas qu’une chose d’une telle ampleur pouvait se produire. » (scientificamerican.com)

Une telle tempête ferait inévitablement gonfler l’atmosphère terrestre sur son passage, amenant par le fait même les satellites dans l’atmosphère causant « une pluie d’étoiles », tout en produisant des aurores que nous ne pouvons imaginer (une tempête solaire fait gonfler l’atmosphère terrestre à la manière d’une guimauve sur le feu).

Voici une vidéo
de la NASA imaginant le phénomène (à 1m 35s) avec à gauche la terre et son éjection de classe X45 et ce qui a été enregistré sur une plus petite étoile par les scientifiques comme méga tempête solaire (nasa.gov).

Cela ressemble drôlement aux descriptions des différentes prophéties ou signes visibles discutés en début d’article.

Semblable à l’événement de Betelgeuse visible de la terre en 2019, où l’étoile a éjecté sa matière en direction de notre vue, bloquant son intensité lumineuse.

Lors des éjections solaires du 10 mai 2024, environ 5000 engins spatiaux ont dû manœuvrer pour maintenir leur altitude, résistant au gonflement de l’atmosphère terrestre qui les freinait et les attirait vers la terre.

L'atmosphère terrestre a déjà été chauffée à ce point, plus récemment lors des tempêtes d'Halloween de 2003.
À cette époque, cependant, le nombre de satellites était relativement faible (moins de 1000) et la technologie de migration satellitaire en plus haute altitude n’existait pratiquement pas.

Mais grâce principalement à l'avènement de Starlink en 2019, la terre compte désormais plus de 10 000 satellites actifs, soit dix fois plus qu'en 2003!

Depuis le début de l’année 2024, plus de 130 fusées ont été lancées vers l’espace!

Une superéruption solaire auraient des conséquences géophysiques et astronomiques pour un vrai signe de Jonas tel que décrit par Malachi Martin et la prophétie de La Salette.


09 juillet

Le document de travail pour le synode 2024 a été publié cette semaine.

« Publié le 9 juillet, le long Instrumentum laboris (IL) déclare qu'au centre du processus synodal pluriannuel « se trouve un appel à la joie et au renouveau du peuple de Dieu dans la suite du Seigneur et dans son engagement à servir sa mission. », ajoutant que les catholiques « renouvellent aujourd'hui notre engagement dans cette mission en pratiquant la synodalité, qui est une expression de la nature de l'Église » (lifesitenews.com)

« Une expression de la nature de l’Église »

La nature de l’Église n’a jamais été synodale puisque les bases de la doctrine ont été mises par le Christ lui-même, et par les apôtres et les pères de l’Église : c’est la Tradition.

Tradition contre qui l’église conciliaire s’acharne puisque c’est la Vérité.

Et Satan n’aime pas la Vérité.

« Le terme même de « synodalité » a été vivement critiqué par d’éminents prélats, tels que le cardinal Raymond Burke et le cardinal Joseph Zen, comme étant imprécis et sans fondement historique. Mais l'IL précise que depuis le début du synode en 2021, « les termes synodalité et synodal , dérivent de l'ancienne et constante pratique ecclésiale de rassemblement au synode ces dernières années ».

La mission synodale est effectivement un concept moderne inventé par Bergoglio et ses fidèles collaborateurs.

« Ce document sera différent de celui utilisé pour la première session. «Si, lors de la première session, il était important de mettre en évidence les thèmes à aborder de manière ample, le document de travail de la session d'octobre entend plutôt souligner certains nœuds à défaire pour répondre à la question Comment être une Église synodale en mission, en tenant compte du chemin parcouru jusqu'à présent et en proposant des arguments théologiquement fondés ainsi que des propositions concrètes pour aider au discernement confié aux membres de l'assemblée», a déclaré Mgr Riccardo Battocchio, secrétaire spécial de la XVIe Assemblée.  » (vaticannews.va)

« une Église synodale en mission ».

Ils en reviennent toujours à cette « mission », qu’ils essaient toujours de redéfinir hors de la Tradition, dans le seul but d’arriver à l’œcuménisme et ainsi mettre sur la table une messe sans présence réelle qui conviendrait à tous.

L’église conciliaire deviendrait alors totalement… protestante puisque les protestants considèrent la messe comme étant un rassemblement commémoratif.

N’oublions surtout pas que Bergoglio a toujours affirmé à maintes reprises qu’il n’y aura « jamais de retour en arrière ».

Donc pour eux, la Tradition est du passé, et le triomphe à venir de Vatican II est la voie, la « mission ».

Alors que le Christ a fondé l’Église pour être éternelle.

Examinons les trois éléments essentiels du document de travail pour octobre 2024 :

« Selon l'IL, le synode a mis en évidence la conscience de « la variété des charismes et des vocations que l'Esprit Saint éveille constamment dans le Peuple de Dieu ». Il existe ainsi, parmi les instances participantes au synode, une triple volonté « d'élargir les possibilités de participation et d'exercice de la coresponsabilité de tous les baptisés, hommes et femmes, dans la variété de leurs charismes, vocations et ministères ». .»

Les trois « directions » sont les suivantes :

    • Un « besoin de renouveler la proclamation et la transmission de la foi par des voies et moyens adaptés au contexte actuel ».

    • Le « renouveau de la vie liturgique et sacramentelle, à commencer par des célébrations liturgiques belles, dignes, accessibles, pleinement participatives, inculturées et capables de nourrir l’élan vers la mission ».

    • « Reconnaître et transformer la douleur suscitée par la non-participation de tant de membres du Peuple de Dieu à ce chemin de renouveau ecclésial et à la lutte de l'Église pour bien vivre les relations entre hommes et femmes, entre générations et entre personnes et groupes d’identités culturelles et de conditions sociales différentes, en particulier ceux qui sont pauvres et exclus. »

- Triple volonté : singerie copiée sur la Trinité pour faire aboutir la « mission ».

- Renouveler la foi par des voies et moyens adaptés au « contexte actuel ».

Comme nous l’affirmons depuis des années, c’est l’église catholique qui s’est adaptée au mondialisme et à l’humanisme, et on veut pousser le concept plus loin pour en faire la religion de Satan, dans l’esprit « woke » de la miséricorde universelle où tous et chacun ont leur place.

Tous.

Plus de péché, plus de jugement, plus de Tradition.

Et quel contexte actuel avons-nous sur cette planète?

Que des troubles et des problèmes, que du chaos. Belle perspective pour l’église.

C'est l'inversion des valeurs prophétisée pour la fin des temps.

L'église n'y échappe pas.

- « renouveau de la vie liturgique et sacramentelle »

C’est clair. Le rapport final fera en sorte de laisser libre cours à l’imagination quant à la célébration eucharistique : des cultes païens à la sauce Pachamama célébrés à maintes reprises par Bergoglio, alors qu’il n’a pas célébré la Sainte Messe depuis 2022.

- « Reconnaître et transformer la douleur suscitée par la non-participation de tant de membres du Peuple de Dieu à ce chemin de renouveau ecclésial »

Inclure tout le monde. S’adapter aux nouvelles tendances pour attirer les tièdes et les athées dans un monde qui favorisera la culture du péché, ces idées qui germent dans la tête des tarés pour entraîner la jeunesse catholique dans la voie de l’enfer.

Et quand cette jeunesse, lorsqu'elle trouve son salut dans la Tradition, tels les pèlerinages à Chartres, et à Oviedo en Espagne comme exemples, et bien on leur interdit de suivre la voie de la Tradition :

« OVIEDO, Espagne ( LifeSiteNews ) — Un pèlerinage traditionnel florissant en Espagne s'est vu interdire de célébrer sa messe traditionnelle de fin de pèlerinage dans le sanctuaire marial de Covadonga.

Dans une publication du 6 juillet sur les réseaux sociaux, les organisateurs ont annoncé que le Vatican était intervenu pour restreindre le pèlerinage à pied traditionnel de Notre-Dame de la Chrétienté, qui attire de nombreuses jeunes familles bien qu'il n'en soit qu'à sa quatrième année en Espagne.

Une lettre des organisateurs du pèlerinage indiquait que « l'archevêché d'Oviedo nous a informés qu'il avait reçu des instructions du Dicastère pour le culte divin indiquant que la messe traditionnelle latine ne doit pas être célébrée à Covadonga ». »

La table est mise.

Tout est clair: pour le Christ et la Tradition, ou pour l'église conciliaire qui s'excommunie elle-même en jugeant injustement ses propres prêtres droits: mgr Strickland, mgr Vigano, le cardinal Burke, etc...

Les prêtres qui prônent la Vérité sont excluent alors que ceux qui pratiquent le péché (tous les scandales que nous avons vu au Vatican ces dernières années) demeurent dans l'église, on les cache, et même ceux qui élèvent le péché pour justifier que tous doivent être « inclus » recoivent une tribune pour proclamer la parole « woke » tels que le père James Martin qui a pour mission de promouvoir l'homosexualité, et Tucho, écrivain érotique du Vatican, élevé au titre de cardinal et responsable du dicastère de la foi pour faire appliquer les désirs de Bergoglio, ou l'élévation des peintures érotiques du jésuite Rupnik (l'agresseur sexuel présumé sur plusieurs soeurs) un peu partout dans des lieux religieux dont une mosaïque à la basilique Notre-Dame du Rosaire à Lourdes, en France.

Les valeurs sont inversées. C'est un fait.

Il y a un schisme dans l'Église. C'est un fait.

Les chrétiens sont devant LE choix, le Christ ou mammon. C'est un fait.

Bref, les prophéties sont pratiquement accomplies.

On ne connaît ni le jour ni l'heure mais nous savons pertinemment que nous sommes dans ce temps si important où tout peut basculer en un instant, et qu'à l'exemple de la parabole des vierges folles, il est fortement conseillé d'avoir de l'huile en sa possession pour assister aux noces.

06 juillet

La nouvelle est finalement tombée: mgr Vigano a été officiellement excommunié par le Vatican:

« Un communiqué du Dicastère pour la doctrine de la foi a annoncé le vendredi 5 juillet 2024 l’excommunication latae sententiae de Mgr Carlo Maria Viganò, dans un procès extra-judiciaire auquel l’ancien nonce aux Etats-Unis ne s’était pas présenté. Il a donc été condamné par contumace.

Le site Vatican News expose que Mgr Viganò a été excommunié « pour avoir voulu rompre la communion avec l’évêque de Rome et l’Eglise catholique ».

C’est ce que détaille le communiqué : « Ses déclarations publiques manifestant son refus de reconnaître et de se soumettre au Souverain pontife, son rejet de la communion avec les membres de l’Eglise qui lui sont soumis ainsi que son rejet de la légitimité et de l’autorité magistérielle du concile Vatican II, sont bien connus. »

Le décret conclut : « Au terme de la procédure pénale, le très révérend Carlo Maria Viganò a été reconnu coupable du délit réservé de schisme. »

Le 24 juin 2024, sur le site de Religion News Service, l’évêque auxiliaire d’Astana au Kazakhstan, a conseillé la prudence. Tout en critiquant les positions sédévacantistes de Mgr Viganò, Mgr Athanasius Schneider considère que François « augmenterait les divisions » dans l’Eglise s’il excommuniait l’ancien nonce apostolique.

« Je pense que le Pape serait sage et prudent s’il n’excommuniait pas l’archevêque Viganò », avait-il déclaré. Et il précisait : « je pense qu’aujourd’hui l’Eglise a tellement de divisions internes qu’il serait imprudent, même s’il y a un motif canonique, de juger l’archevêque Viganò ». Car « même un aveugle perçoit que nous vivons une époque de grande confusion en ce qui concerne la clarté de la doctrine et de la morale ». (FSSPX news)

Voilà.

L'Église inversée à son meilleur qui accuse de schisme alors que c'est cette église concilaire qui se sépare de la Tradition.

La ligne est tracée et en tant que chrétiens c'est bien l'Heure du choix.

Juin 2024

28 Juin

LA FOLIE

La folie s’est emparée des hautes instances au Vatican, la clique bergoglienne ne pouvant plus supporté le fait que le mouvement traditionaliste en cours généré par leurs actions contraires à la Loi et aux Prophètes, au lieu de décapiter la Tradition, a au contraire, fait renaître l’Église pré-Vatican II.

Ainsi Satan, dans sa rage de voir qu’il n’aura pas la victoire, veut emporter avec lui le plus d’âmes possible dans sa grande finale, finale de la fin des temps, dont le calendrier est accéléré comme jamais auparavant.

Fille Aînée de l’Église, Rome, guerre en Ukraine, guerre par Israël qui croît faire venir son messie… bref rien n’est et ne sera épargné.

Satan va essayer de bloquer la transsubstantiation et Bergoglio est son atout, atout chancelant, ce qui nous faire dire de nouveau : nous sommes sur du temps eschatologique court.

Ici un extrait d’une réflexion sur la fin de la folie sur le blog aldomariavalli.it:

« Nous voilà donc au cœur du sujet.

Benoît XVI a fait grand bruit en 2007 ! Au lieu de faciliter la disparition du saint sacrifice de la messe, de l’Eucharistie, à des fins œcuménistes et aujourd’hui aussi mondialistes, elle a provoqué, consciemment ou non, l’effet inverse. Et cela explique aussi la haine dont il fut de plus en plus entouré, jusqu'à l'acte du Renoncement.

À ce stade, deux besoins deviennent nécessaires aux destructeurs – internes et externes – de la Foi et de l’Église catholique :

l'abolition, le plus rapidement possible, de la messe habituelle à messe du rite apostolique romain antique (RRaa), qui, en raison de sa fidélité absolue à la Vérité, en raison de son immuabilité substantielle objective, doit nécessairement être le premier pas vers l'élimination définitive de l'Eucharistie du monde ;

cela fait, changer définitivement le canon de la messe montinienne (toujours mutable en raison de son relativisme anthropocentrique intrinsèque), de manière, précisément, à éliminer la Transsubstantiation dans ce rite également.

Ayant atteint ces deux objectifs dans les plus brefs délais, le « christianisme » sera prêt à être prêt et adaptable aux deux grands objectifs de la Révolution :

l'union de toutes les confessions chrétiennes dans un « super-christianisme » avec une idée abstraite et gnostique de Dieu, sans sacrements et donc sans Eucharistie : l'Être suprême de la mémoire maçonnique et des Lumières, qui en soi nécessite aussi la disparition de la Trinité entité, tandis que la Mère de Dieu se transformera en déesse Gaia, comme Bergoglio nous l'a déjà fait comprendre avec le culte idolâtre de la pachamama ;

la « dissolution » (si l'on peut dire) ou la « conversion » de ce « super-christianisme » en la future religion mondiale mondialiste. Une religion païenne, anti-humaine, car trans-écologique, post- et trans-humaine, préparant à son tour l'avènement de l'Antéchrist dans le monde.

Et ici s'explique, pour ceux qui veulent comprendre avec honnêteté mentale et morale, la haine, autrement inexplicable, envers le RRaa et la guerre qui en découle, menée non pas par Néron, Elizabeth I d'Angleterre ou par Robespierre ou Staline, ni même par les mahométans, mais des hiérarchies de l’Église actuelle Vatican II, une Église qui, pour la plupart, n’est plus catholique, mais qui est certainement encline au mondialisme dominant de la Nouvelle Révolution Mondiale en cours. »

L’erreur fondamentale de plusieurs vaticanistes est de penser que la venue l’Antichrist est à mettre au futur, alors que nous l’avons maintes fois démontré:

C’est un système.

Le système dans lequel nous vivons présentement et qui a des visages personnifiés pour le faire vivre, tel que Bergoglio.

Le calendrier de la fin des temps (voir analyses précédentes) est clair :

La mort des deux témoins est un événement clé qui fait basculer le monde pour l’ouverture du 7ème sceau, donc la fin de Babylone avant le Jugement dernier.

Et nous vivons présentement cette mort des deux témoins, car nous sommes passés au crible par Dieu dans cette Passion de l'Église.

C’est la séparation du bon grain et de l’ivraie.

Le Jugement dernier n’est pas le châtiment des chrétiens, car ces derniers vivent présentement leur calvaire!

C'est celui des méchants!

Et si NSJC n’intervenait pas, le petit reste que nous sommes serait condamné à être séduit et damné par ce système Antichrist.

Ainsi notre Foi et notre Espérance nourris par la prière, nous permet de vaincre.

Les chrétiens reconnaîtront le signe de la résurrection des deux témoins et se réjouiront, car pour eux ce sera le moment de la récolte, alors que le monde impie sera consterné de voir le monde qu’il chérie retourner à la poussière…

Car la vie est spirituelle, de l’Esprit, et ceux qui décident de nier ce Royaume de Dieu qui n’est pas de ce monde, perdront le privilège d’y accéder

À jamais.

La fin de la folie est à nos portes.

Mgr Vigano passe à l’attaque contre le tribunal du Vatican et accuse (extrait d'un long texte):

Fait grave, à la veille des fêtes Saint-Pierre et Saint-Paul.

Le politique et le religieux sont sur le point de basculer dans le chaos.

« Mes accusations contre Jorge Mario Bergoglio (aldomariavalli.it)

Devant mes frères dans l'épiscopat et devant tout le corps ecclésial, j'accuse Jorge Mario Bergoglio d'hérésie et de schisme, et comme hérétique et schismatique, je demande qu'il soit jugé et démis du trône qu'il a indignement occupé pendant plus de onze ans. Cela ne contredit en rien l'adage Prima Sedes a nemine judicatur , car il est évident qu'un hérétique, parce qu'il est incapable d'assumer la papauté, n'est pas au-dessus des prélats qui le jugent.

J'accuse également Jorge Mario Bergoglio d'avoir provoqué - en raison du prestige et de l'autorité du Siège Apostolique qu'il usurpe - de graves effets indésirables, la stérilité et la mort chez les millions de fidèles qui ont suivi son appel insistant à se soumettre à l'inoculation d'un sérum génétique expérimental. produit auprès de fœtus avortés, conduisant à la publication d'une note indiquant son utilisation comme moralement admissible ( ici et ici ). Il devra répondre devant le Tribunal de Dieu de ce crime contre l'humanité.

Enfin, je dénonce l'accord secret entre le Saint-Siège et la dictature communiste chinoise, par lequel l'Église est humiliée et contrainte d'accepter la nomination gouvernementale des évêques, le contrôle des célébrations et les limitations de sa liberté de prédication, tandis que les fidèles catholiques le Siège Apostolique sont persécutés en toute impunité par le gouvernement de Pékin dans le silence complice du Sanhédrin romain.
Le rejet des erreurs de Vatican II

Je considère comme une question d'honneur d'être "accusé" de rejeter les erreurs et les déviations impliquées par le soi-disant Concile œcuménique Vatican II, que je considère comme totalement dépourvu d'autorité magistrale en raison de son hétérogénéité par rapport à tous les véritables Conciles. de l'Église, que je reconnais pleinement et que je salue, comme le font tous les actes magistraux des Pontifes romains.

Je rejette de manière convaincante les doctrines hétérodoxes contenues dans les documents de Vatican II et qui ont été condamnées par les Papes jusqu'à Pie XII, ou qui contredisent de quelque manière que ce soit le Magistère catholique (voir Annexe I). Je trouve pour le moins déconcertant que ceux qui me jugent pour schisme soient ceux qui adhèrent à la doctrine hétérodoxe selon laquelle il existe un lien d'union « avec ceux qui, étant baptisés, reçoivent le nom de chrétien, mais ne l'obtiennent pas pleinement ». professent la foi ou ne maintiennent pas « l'unité de communion sous le successeur de Pierre » (LG, 15). Je me demande avec quelle facilité on peut reprocher à un évêque le manque de communion qui existerait également avec les hérétiques et les schismatiques.

Je condamne, rejette et rejette également les doctrines hétérodoxes exprimées dans le soi-disant « magistère post-conciliaire » issu de Vatican II, ainsi que les récentes hérésies relatives à « l'Église synodale », la reformulation de la Papauté dans une clé œcuménique. , l'admission des concubinaires aux sacrements et la promotion de la sodomie et de l'idéologie du « genre ». Je condamne également l'adhésion de Bergoglio à la fraude climatique, une folle superstition néo-malthusienne née de ceux qui, haïssant le Créateur, ne peuvent s'empêcher de détester aussi la Création, et l'homme avec elle, créé à l'image et à la ressemblance de Dieu…

Donné à Viterbe, le 28 juin, année du Seigneur 2024, veille des saints Apôtres Pierre et Paul.

+ Carlo Maria Viganò, archevêque »

27 juin

Que dire de plus?

Tout confirme que la Fille Aînée de l'Église a été plongée dans le chaos intentionnellement par la franc-maçonnerie dans ce plan à long terme pour éliminer le centre de la chrétienté européenne en même temps que Rome.

Le président français, fils spirituel des Rothschild, attise le feu et affirme sans gêne que la « guerre civile » est aux portes de la France, et que même, dans le contexte actuel de la fin des temps, que ce sera une « guerre de religion » au même titre que la guerre entre les protestants et les catholiques du temps.

« Laïcité, guerres de Religion, islam : ce qu’Emmanuel Macron en dit dans un podcast » (la-croix.com)

Comme le spécifie Charles Sannat (insolentiae.com): « Quand le président parle de guerre civile, même si c’était évidemment un scénario étudié dans mon dossier, ne soyons pas naïfs, avant même que le président ne l’évoque, lui, en en parlant de la manière la plus officielle qui soit, il matérialise ce risque.

Il fait prendre corps à ce risque. Quand je l’évoque, on peut toujours dire que c’est une élucubration d’économiste de grenier normand pessimiste… pas quand c’est le président qui l’évoque.

En l’évoquant, il prend le risque d’auto-réaliser le risque.

Plus grave.

Il précise ce que serait cette guerre civile. Une guerre de religion.

Nous l’avons tous compris.

Macron est un pyromane, pyromane comme le dit Bauer... »

La bête de la terre marche réellement main dans la main avec la bête de la mer (d'ailleurs, les deux, Macron et Bergoglio, étaient assis côte à côte au sommet du G7 en Italier dernièrement).

« Dans la perspective du Jubilé 2025, nous nous dirigeons vers « une vie qui devient chant d'amour pour Dieu, pour l'humanité, avec et pour la création, et qui trouve sa plénitude dans la sainteté » (dicastère pour le service du développement humain intégral, Jubilé 2025) (vaticannews.va).

Chaque mot ici est choisi en fonction de la célébration de la nouvelle religion humaniste qui englobera l'église conciliaire suite à la conclusion du synode 2024.

Ce sont des mots génériques: qui est le Dieu de la déclaration? Que représente cette « sainteté »?

Nous devrions y lire pour ce Jubilé 2025: « qui trouve sa plénitude dans le Christ ».

Depuis 2013, la chrétienté est confronté à ce maître de l'ambiguïté qui fait tout pour plaire à tous, et, REJETER  tout ce qui est conforme à la Doctrine et à la Tradition.

« Pape François: la synodalité crée la fraternité en dehors de l’Église » (vaticannews.va)

« ... Le «profond renouvellement» que le Pape appelle de ses vœux trouve sa source dans le Concile Vatican II.

Le Pape qui l’a initié, ... Jean XXIII parlait d’un «aggiornamento» («une mise à jour») quand celui qui l’a clos, ... Paul VI, évoquait un «renouveau florissant de l’Église». Toujours sur la nécessité de réforme, François a cité son prédécesseur, le Pape Benoit XVI, qui souhaitait une réforme afin de parvenir à une communauté dans laquelle le Divin peut opérer, «une communauté dans laquelle un 'je' n'est plus contre un autre 'je'»... »

Donc, Bergoglio indique bien qui va clore l'« aggiormamento » initié par Jean XXIII avec la fin du synode en octobre prochain.

Élimination de la messe traditionnelle suivi de la conversion TOTALE de l'église conciliaire à l'hunanisme.

Les valeurs sont finalement inversées (on ne parle plus au futur à partir de 2024): C'est l'église qui s'est convertie et non le monde qui s'est converti au Christ, comme le voulait NSJC en créant son épouse, l'Église, établie sur le roc qu'est Saint-Pierre.

Justement, c'est sur un roc solide qu'elle est établie, et tout renaîtrà à partir de la Tradition, grâce au zèle de Mgr Lefebvre qui a conservé la petite flamme.

Le blog Caminante Wanderer argentin, qui n'est pas du tout pour Bergoglio, ne mâche pas ses mots, et énonce un fait établi: « Le schisme se situe entre catholiques et non-catholiques. »

Il y a schisme et le choix doit être fait: pour ou contre le Christ.

Il n'y a plus d'entres les deux. Les tièdes seront vômis confirme l'Apocalypse.

« Un long article de Diane Montagne paru mardi dernier laisse entendre que la rumeur lancée par Rorate Coeli sur l'apparition d'un nouveau document restreignant encore davantage la célébration de la messe traditionnelle est fondée. Montagne est une journaliste sérieux avec de très bonnes sources au Vatican.

Le document aurait été personnellement commandé par le pape François à Mgr Viola, du Dicastère du Culte, et aurait le soutien des cardinaux Parolin et Gurgerotti, et de Mgr Migliore, nonce à Paris. En substance, cela consisterait à restreindre la célébration de la messe traditionnelle exclusivement aux prêtres appartenant aux ex-instituts Ecclesia Dei , qui sont principalement au nombre de trois : Fraternidad San Pedro, Instituto Cristo Rey et Instituto del Buen Pastor. Aucun prêtre diocésain, aucun prêtre religieux et aucun évêque ne pouvait célébrer la Sainte Messe ou le reste des sacrements selon le rite traditionnel. L'article peut être lu en anglais et en italien .

Faisons quelques observations :

1. Un tel document laisserait l'Église dans une situation bien pire que celle qu'elle avait après Summorum pontificum , mais bien meilleure que celle qu'elle avait avec Jean-Paul II, même après Ecclesia Dei . En ces temps terribles, célébrer la messe traditionnelle était quelque chose de plus sérieux que d'assister à un rite satanique ou de participer aux orgies du cardinal Coccopalmiero. Et il était préférable de devenir mormon plutôt que de devenir « lefebvriste ».

2. Mais depuis lors, la situation a changé, et elle a beaucoup changé. Peut-être qu’en Amérique Latine nous ne réalisons pas pleinement le changement, car dans nos pays, malheureusement, le document ne changerait pratiquement rien. Mais en Europe ou aux États-Unis, c’est différent. Prêtres et fidèles se sont vite « habitués » à la messe traditionnelle, ce qui est logique, et il ne me semble pas qu'ils se résigneront facilement à monter dans les trains qui les mèneront au nouvel Auschwitz ou à Birkenau où les vieux progressistes du Vatican veulent leur appliquer la solution finale.

3. Dans le post précédent, un lecteur, pour une raison que je ne connais pas, m'a demandé avec colère pourquoi j'avais utilisé l'expression « solution finale ». Et j'ai répondu parce que c'était celui que Rorate Coeli avait utilisé, et pas seulement eux, pour faire référence à la situation. Si le nouveau document était finalement signé par le Pape, il s'agirait effectivement d'une « solution finale », cette fois préparée non pas par Reinhard Heydrich mais par Vittorio Viola. Et cela pour plusieurs raisons.

4. Les traditionalistes ne pourront plus circuler librement dans une réserve délimitée par les hauts grillages érigés par Traditiones custodes, non pas tant pour qu'ils ne puissent pas s'échapper mais pour que d'autres ne puissent pas entrer dans cet espace. Les progressistes constatent qu'il y a de plus en plus de monde à l'intérieur : 18 000 jeunes cette année au pèlerinage de Chartres, c'est un nombre non négligeable et très significatif pour ce qui se passe. Ils ont alors choisi d'enfermer les tradis infectés dans des cages : celles des anciens instituts Eclessia Dei et de la FSSPX qui, n'en déplaise aux intéressés, est, du point de vue pratique francisciste, l'égale des autres.

5. La « solution finale » de Viola consisterait donc à n'accorder la célébration de la messe traditionnelle qu'aux fidèles qui veulent ou peuvent se mettre en cage. Les autres sont soit aryens, soit se douchent dans les chambres à gaz. La solution est bien pensée – on dit que le chef du jésuite Ghirlanda est derrière elle – mais elle me semble être une solution de bureau. Malheureusement pour le pape François, il n’a ni les SS ni la Gestapo. Une bonne partie de l'Église s'est déjà rebellée contre lui avec les absurdités de Fiducia et, dans ce cas aussi, il pourrait y avoir une rébellion peut-être moins massive mais avec des effets beaucoup plus graves.

6. Fiducia supplicans était une fantaisie de Tucho Fernández qui a peu d'effet pratique, concret et immédiat pour les fervents fidèles catholiques. En revanche, une restriction de la liturgie traditionnelle comme celle qu’ils envisagent affectera de près la vie de dizaines de milliers d’entre eux. Il ne me semble pas que les 18 000 pèlerins acceptent tranquillement la nouvelle que la messe traditionnelle en la cathédrale de Chartres est définitivement terminée. Et il ne me semble pas non plus que les Américains, les Français ou les Allemands le fassent. Et encore moins les prêtres, surtout les plus jeunes, qui ont connu et apprécié la messe traditionnelle. Et encore moins me semble-t-il que tous les évêques sont aussi lâches que l'ont été les évêques argentins d'accepter passivement un ordre aussi pervers que celui qu'ils veulent leur imposer : que même eux, successeurs des apôtres, ne peuvent pas célébrer la messe traditionnelle. Où est donc l’autorité de l’évêque ? Bergoglio et Ghirlanda revendiqueront-ils l’obédience jésuite ? Par ailleurs, je crois que la situation risque de provoquer la colère de plusieurs d'entre eux. Je ne peux pas imaginer le cardinal Müller accepter humblement les ordres du Vatican.

7. Comme l'a récemment déclaré Aldo Maria Valli et comme beaucoup d'entre nous le constatent depuis des années, nous sommes confrontés à un schisme de fait qui, jusqu'à présent, ne s'est pas manifesté ouvertement. Et le schisme ne se situe pas entre traditionalistes et « catholiques obéissants ». Le schisme se situe entre catholiques et non-catholiques. Les auteurs du document doivent veiller à ce qu'il ne se transforme pas en un meurtre de l'archiduc François Ferdinand et ne génère pas une situation impossible à arrêter. Ils jouent avec le feu. Les catholiques de tous bords – ils portent des cravates, des mantilles, des soutanes noires, violettes ou rouges – en ont assez du pontificat de François, qui a laissé l'Église en ruines...

Conclusion : Les nouvelles concernant le document restrictif sont crédibles. Il faudra voir ce que François décidera finalement, qui peut tout décider comme nous l'avons vu tout au long de ces années. La vérité est que les hiérarques de l’Église, malgré les preuves ou à cause de celles-ci, sont déterminés à exterminer la liturgie traditionnelle, même si cela implique des dommages énormes et irréparables pour l’Église. Ils nous détestent ; nous sommes pourris. »


26 juin

EN ROUTE VERS LE 16 JUILLET

Il semble bien que le temps s'accélère, ce qui confirme nous sommes sur un temps eschatologiquement court.

Si l'abolissement de la messe traditionnelle est décrété par le Vatican le 16 juillet prochain comme la rumeur le veut, si cet événement représente bel et bien la mort des deux témoins annoncés dans l'Apocalypse, alors ce monde babylonien aura toute une surprise.

Car c'est de sa chute finale qu'il s'agît.

La fin de la 6ème période.

Et vous savez tous ce qui arrive à l'ouverture du 7ème sceau.

Notez que le cardinal Parolin soutient entièrement la position de Bergoglio contre la messe traditionnelle.

Nous proclamons qu'il pourrait être Pierre II le romain de la prophétie de Saint-Malachi, et que l'Église sous sa tutelle vivra ses dernières tribulations sur du court terme.

Car Bergoglio sait qu'il ne lui reste plus beaucoup de temps.

Et il a une mission à accomplir.

« CITÉ DU VATICAN, 25 juin 2024 — Après avoir effectué plusieurs recherches sur des rapports récents , j'ai été informé par des sources fiables qu'un nouveau document du Vatican plus restrictif que Traditionis Custodes existe bel et bien, qu'il est soutenu par le cardinal secrétaire d'État du Vatican, le cardinal Pietro Parolin, et qu'il a été présenté au pape François.

Des sources bien informées ont confirmé que le nouveau document, s'il était publié, interdirait à tous les prêtres autres que ceux appartenant à des instituts ex- Ecclesia Dei approuvés d'offrir le Saint Sacrifice de la Messe dans le Vetus Ordo, ou ancien rite comme on l'appelle communément.

Elle interdirait également aux évêques de célébrer eux-mêmes ou d'autoriser la célébration du Vetus Ordo dans leurs diocèses, et suspendrait les autorisations existantes accordées par le Dicastère pour le culte divin et la discipline des sacrements après Traditionis Custodes.

Des sources indiquent que les paroisses personnelles gérées par d'anciens instituts Ecclesia Dei (par exemple, la Fraternité sacerdotale Saint-Pierre ou l'Institut du Christ Roi Souverain Prêtre) seraient autorisées à continuer. Cependant, on ne sait pas si et dans quelle mesure les prêtres de ces instituts seraient autorisés à administrer des sacrements tels que le baptême, la confirmation et le mariage aux fidèles sous la forme traditionnelle.

Bien que cela semble « sauver et protéger » les anciens instituts d’Ecclesia Dei, il n’est pas clair non plus si les ordinations diaconales et sacerdotales dans le Vetus Ordo continueraient à être autorisées. 

Genèse du nouveau document

En février 2023, quelques semaines seulement après la mort de Benoît XVI, on a appris qu'un projet de document était en cours d'examen par le pape François, qui élargirait et renforcerait son motu proprio  Traditionis Custodes de 2021. Il affirmerait également que la seule liturgie officielle du rite latin est le Novus Ordo, et réglementerait strictement les anciennes communautés d'Ecclesia Dei.

Des sources vaticanes avaient alors indiqué que le document, une constitution apostolique, avait déjà été présenté au pape François fin janvier 2023 par les supérieurs du Dicastère pour le culte divin et la discipline des sacrements, dirigé par le cardinal Arthur Roche.

Le document aurait été rédigé principalement par le secrétaire du dicastère, l'archevêque Vittorio Francesco Viola, OFM.

Cependant, selon ce rapport, le cardinal italien Gianfranco Ghirlanda, SJ, largement considéré à Rome comme le canoniste préféré du pape, cherchait à persuader François de promulguer une constitution apostolique alternative qui, à première vue, pouvait sembler plus douce mais qui s'est finalement avérée pire en cherchant une fois pour toutes à enterrer la liturgie latine traditionnelle.

Roche et Ghirlanda se disputant l'imprimatur du pape, le document a été bloqué et, un an plus tard, il se trouvait toujours dans une impasse. Le pape François a donc confié cette année à l'archevêque Viola la supervision du document.

Si le document décrit ci-dessus devait être publié, il serait toujours conforme aux assurances données par le pape François aux anciens instituts d'Ecclesia Dei approuvés. Et même si l'on nous dit qu'aucune date de publication n'a été fixée, le risque d'un nouveau document, selon nos sources, est sérieux, réel et potentiellement imminent.

Soutien du cardinal Pietro Parolin

Selon certaines sources, l'archevêque Viola s'est mis à travailler discrètement sur un nouveau document, en consultant, entre autres, le cardinal Victor Fernández, préfet du Dicastère pour la doctrine de la foi.

Lors de la rédaction du document, l'archevêque Viola aurait également bénéficié du soutien et de l'approbation de trois personnalités clés de l'Église : le secrétaire d'État du Vatican et architecte de l'accord secret Vatican-Chine, le cardinal Pietro Parolin; le préfet du Dicastère pour les Églises orientales, le cardinal Claudio Gugerotti; et le nonce apostolique du pape à Paris, l'archevêque italien Celestino Migliore.

Les lecteurs se souviendront peut-être que le cardinal Parolin, consulteur du Dicastère pour le culte divin et du Dicastère pour la doctrine de la foi, aurait soutenu Traditionis Custodes. En fait, lors d’une réunion en janvier 2020 à l’époque de la Congrégation pour la doctrine de la foi, le cardinal Parolin a affirmé que les instituts sacerdotaux traditionnels refusent d’accepter le changement et ne sont pas disposés à concélébrer. Parolin a également déclaré qu’il partageait l’inquiétude des autres prélats réunis quant au fait que ces groupes soient populaires auprès des jeunes. (Plus tôt au cours de la réunion, le préfet de la Congrégation pour l’éducation catholique de l’époque, le cardinal Giuseppe Versaldi, avait insisté sur le fait qu’il fallait comprendre pourquoi la messe traditionnelle en latin attirait les jeunes, et avait affirmé que beaucoup des jeunes participant au pèlerinage Paris-Chartres souffraient de « toutes sortes de problèmes psychologiques et sociologiques ».) Le cardinal Parolin a donc recommandé à la CDF d’exiger des groupes sacerdotaux traditionnels qu’ils fournissent un signe concret de communion qui reconnaîtrait la validité du Novus Ordo et démontrerait clairement qu’ils sont « dans l’Église ».

Le cardinal Parolin, tout comme le cardinal Gugerotti, est également un protégé du défunt diplomate du Vatican, le cardinal Achille Silvestrini (1923-2019), membre éminent du groupe de Saint-Gall qui a fait campagne pour empêcher l'élection de Benoît XVI en 2005.

Les liens étroits entre Parolin et Silvestrini remontent à 1986, lorsqu'il a rejoint le corps diplomatique du Vatican à l'âge de 31 ans et que Silvestrini était secrétaire aux relations avec les États. De plus, un an seulement après la mort de Silvestrini, le cardinal Parolin a été nommé président de la Villa Nazareth, un centre éducatif qui, grâce aux efforts de Silvestrini , est devenu un centre du pouvoir ecclésiastique progressiste à Rome. La Villa Nazareth a également été considérée comme le siège italien du groupe de Saint-Gall et comme ayant des liens douteux avec la Chine .

Le cardinal Gugerotti, pour sa part, a été pendant cinq ans (1997-2001) sous-secrétaire de la Congrégation pour les Églises orientales pendant le mandat de neuf ans de Silvestrini comme préfet.

Mais malgré leur lien, les deux cardinaux seraient concurrents sur un autre point important : ils ont tous deux en vue la papauté.

Mgr Migliore, 71 ans, allié du cardinal Parolin et diplomate chevronné, a occupé plusieurs postes importants, notamment celui d'observateur permanent du Saint-Siège auprès des Nations unies et du Conseil de l'Europe, de sous-secrétaire aux relations avec les États et de nonce apostolique en Russie. Le pape François l'a nommé nonce apostolique à Paris en janvier 2020.

Plus tôt ce mois-ci, le site français Pax Liturgique rapportait que Mgr Migliore « fait tout son possible pour que  Traditionis custodes  soit pleinement appliqué » et « attise les flammes de la liturgie anti-traditionnelle des évêques français, insistant notamment sur le fait que la messe traditionnelle doit être tolérée le moins possible et que les autres sacrements, notamment les baptêmes, les mariages et les confirmations, ne doivent jamais être donnés sous la forme traditionnelle ».

Si le document décrit ci-dessus devait être publié, il serait toujours conforme aux assurances données par le pape François aux anciens instituts d'Ecclesia Dei approuvés . Et même si l'on nous dit qu'aucune date de publication n'a été fixée, le risque d'un nouveau document, selon nos sources, est sérieux, réel et potentiellement imminent. » (The Remnant)

« beaucoup des jeunes participant au pèlerinage Paris-Chartres souffraient de « toutes sortes de problèmes psychologiques et sociologiques ». »

C'est bien l'église inversée.

Les deux témoins, laïcs et le clergé fidèles à la Loi et aux Prophètes, à la Tradition, sont ceux qui ont des problèmes entre les deux oreilles.

C'est bien ce qu'affirmait le regretté Serge Monast dans ses écrits (voir analyses précédentes) où les chrétiens de la Tratidion deviennent les terroristes, les menaces au nouveau système humaniste.

Et maintenant préparons-nous pour la finale tant annoncé par les eschatologues qui suivent l'actualité vaticane : l’abolition de la transsubstantiation.

Ce sera introduit dans la nécessaire mise à jour de la liturgie du novus ordo, lorsque débarrassée du vetus ordo, la messe traditionnelle.

C'est l'acte le plus important depuis la venue du Christ.

Et NSJC ne laissera pas une telle manoeuvre sans conséquence, car il est avec nous jusqu'à la fin des temps, via la transsubstantiation.

Notez que Benoît XVI avait rétabli la légitimité de la messe tridentine, par une tour de passe passe, la qualifiant de « rite extraordinaire » via le motu proprio Summorum Pontificum de 2007. Il avait écrit que la messe tridentine n'avait jamais été abolie et que des fidèles, assemblés en groupe stable, pouvaient légitimement demander qu'elle soit dite dans leur diocèse.

Traditionis Custodes du 16 juillet 2021 a aboli ce motu proprio.

22 juin

LE POINT DE NON RETOUR

Le tremblement de terre causé par la convocation de Mgr Viganò au Vatican, démontre à la face du monde, ce qui était caché pour certains, qu’il y a guerre au sein de l’église.

Ce qui est conforme avec la prophétie de l’église #11 de Jean XXIII « le 7ème sceau », point important s’il n’en faut dans le calendrier de la fin des temps.

« Il y aura la guerre dans la Mère, et les troupeaux se disperseront. »

C’est l’aboutissement d’un projet de longue haleine comme on a pu le constater dans les multiples analyses des dernières années.

Une guerre accentuée par les faux prophètes du Vatican suite à Vatican II contre la Tradition, l'Écriture, le Magistère et maintenant plus ouvertement, contre la Doctrine.

Tenter de museler Mgr Viganò, est le signal envoyé par les apostats qui confirme la mort des deux témoins à venir, une dernière attaque  définitive systématique et généralisée contre l’Église, la vraie, celle qui ne s’est pas prostituée pour emprunter les termes apocalyptiques, l’Église traditionnelle catholique.

Il est donc vraiment raisonnable de croire que la date du 16 juillet pourrait être celle de l'annonce de la suppression définitive et sans exception du vetus ordo de la liturgie tridentine suite à l’accusation de Mgr Viganò.

C’est un point de non-retour pour ce monde, cette génération condamnée par le Christ dans l’Évangile.

Mgr  Viganò ne s’est par présenté pour son procès, considérant la malhonnêteté de la procédure tout en confirmant que l’acte d’accusation est déjà déclaré, amenant même la preuve que la clique bergoglienne avait laissé filtrer les accusations à la revue américaine jésuite « America », puisqu’un article sur le sujet semble avoir été écrit avant même que qu’il ne rende public le document du Vatican.
(sa réponse sur aldomaria valli.it, en italien)

Les jésuites d'Amérique ont déjà confirmé les conclusions sur le sort de son procès, l’excommunication, sort qui attend tous les chrétiens se considérant de la tradition, les deux témoins, les laïcs et le clergé fidèles à la Loi et aux prophètes.

L’église conciliaire en est finalement arrivé à la conclusion, confirmant bientôt la fin de la sixième période de l’Apocalypse.

L’Église est inversée, sa partie conciliaire accusant de schisme sa partie traditionnelle, alors que c’est cette partie conciliaire qui s’est séparée de l’Église.

Voilà.

Le mystère d’iniquité est de plus en plus clair et confirmé.

Le point de non-retour est atteint.

Le choc, le silence d’une demi-heure suite à la mort des deux témoins probablement décrété le 16 juillet prochain en la fête de Notre-Dame du Carmel, confirmera la fin de la 6ème période et l’ouverture par le fait même du 7ème sceau :

« Et quand l'Agneau eut ouvert le septième sceau, il se fit dans le ciel un silence d'environ une demi-heure. » (Apocalypse, 8-1)

21 juin

Nous nous en allons tranquillement vers la mort des deux témoins, comme prévu.

« Le Dicastère pour la Doctrine de la Foi m’a informé, par un simple mail, de l’ouverture d’un processus pénal extrajudiciaire à mon encontre, m’accusant d’avoir commis le crime de schisme et m’accusant d’avoir nié la légitimité du « Pape François », d’avoir rompu la communion « avec Lui » et d’avoir rejeté le Concile Vatican II. Je suis convoqué au Palais du Saint-Office le 20 juin, en personne ou représenté par un avocat. Je suppose que la condamnation est également prête, compte tenu de la procédure extrajudiciaire.

Je considère les accusations portées contre moi comme un honneur. Je pense que le libellé même des accusations confirme les thèses que j’ai défendues à maintes reprises dans mes discours. Ce n’est pas un hasard si l’accusation portée contre moi concerne la remise en cause de la légitimité de Jorge Mario Bergoglio et le rejet de Vatican II : le Concile représente le cancer idéologique, théologique, moral et liturgique dont l' »Église synodale » bergoglienne est une métastase nécessaire.

L’épiscopat, le clergé et le peuple de Dieu doivent sérieusement se demander s’il est conforme à la profession de foi catholique d’assister passivement à la destruction systématique de l’Église par ses dirigeants, tout comme d’autres dirigeants détruisent la société civile.

> Le mondialisme appelle au remplacement ethnique : Bergoglio encourage l’immigration incontrôlée et appelle à l’intégration des cultures et des religions.

> Le mondialisme soutient l’idéologie LGBTQ+ : Bergoglio autorise la bénédiction des couples de même sexe et impose l’acceptation de l’homosexualité aux fidèles, tout en couvrant les scandales de ses protégés et en les promouvant aux plus hauts postes de responsabilité.

> Le mondialisme impose l’agenda vert : Bergoglio vénère l’idole Pachamama, écrit des encycliques délirantes sur l’environnement, soutient l’Agenda 2030 et attaque ceux qui remettent en cause la théorie du réchauffement climatique anthropique.

Il sort de son rôle en matière strictement scientifique, mais toujours dans une seule direction, diamétralement opposée à ce que l’Église a toujours enseigné.

> Il a imposé l’utilisation de sérums géniques expérimentaux, qui ont causé de très graves dommages, la mort et la stérilité, en les qualifiant d’ « acte d’amour », en échange de financements des industries pharmaceutiques et des fondations philanthropiques.

Ce consensus total avec la religion de Davos est scandaleux.

> Partout où les gouvernements au service du Word Economic Forum ont introduit ou étendu l’avortement, promu le vice, légitimé les unions homosexuelles ou la transition de genre, encouragé l’euthanasie et toléré la persécution des catholiques, pas un mot n’a été consacré à la défense de la Foi ou de la Morale menacée, au soutien des batailles civiles de nombreux catholiques abandonnés par le Vatican et les évêques.

> Pas un mot pour les catholiques persécutés en Chine, avec la complicité du Saint-Siège qui considère les milliards de Pékin plus importants que la vie et la liberté de milliers de Chinois fidèles à l’Église romaine.

> Pas de schisme, dans l’ « Église synodale » présidée par Bergoglio, ni de la part de l’épiscopat allemand, ni de la part des évêques nommés par le gouvernement et consacrés en Chine sans mandat de Rome. Parce que leur action va dans le sens de la destruction de l’Église, elle doit être cachée, minimisée, tolérée et enfin encouragée.

Au cours de ces onze années de « pontificat », l’Église catholique a été humiliée et discréditée principalement à cause des scandales et de la corruption des échelons supérieurs de la hiérarchie, totalement ignorés alors que l’autoritarisme le plus impitoyable du Vatican faisait rage contre les prêtres et les religieux fidèles, les petites communautés de religieuses traditionnelles, les communautés liées à la messe en latin.

Ce zèle unilatéral rappelle le fanatisme de Cromwell, typique de ceux qui défient la Providence dans la présomption de se savoir enfin au sommet de la pyramide hiérarchique, libres de faire et défaire à leur guise sans que personne ne s’y oppose.

Et cette œuvre de destruction, cette volonté de renoncer au salut des âmes au nom d’une paix humaine qui nie Dieu, n’est pas une invention de Bergoglio, mais le but principal (et inavouable) de ceux qui ont utilisé un Concile pour contredire le Magistère catholique et commencer à démolir l’Église de l’intérieur, à petits pas, mais toujours dans une seule direction, toujours avec la tolérance indulgente ou l’inaction coupable, sinon l’approbation explicite des Autorités romaines. L’Église catholique a été occupée lentement mais sûrement, et Bergoglio a été chargé de la transformer en une agence philanthropique, l’ « Église de l’humanité, de l’inclusion, de l’environnement » au service du Nouvel Ordre Mondial. Mais ce n’est pas l’Église catholique, c’est sa contrefaçon.

La renonciation de Benoît XVI et la désignation par la mafia de Saint-Gall d’un successeur conforme aux diktats de l’Agenda 2030 devaient permettre – et ont permis – que le coup d’État mondial soit géré avec la complicité et l’autorité de l’Église de Rome.

Bergoglio est à l’Église ce que les autres dirigeants mondiaux sont à leurs nations : des traîtres, des destructeurs, des liquidateurs définitifs de la société traditionnelle avec une certitude d’impunité. Le vice de consentement (vitium consensus) de la part de Bergoglio, en acceptant l’élection, se fonde précisément sur l’éloignement évident de ses actions de gouvernement et de magistère par rapport à ce que tout catholique de tout temps attend du Vicaire du Christ et du Successeur du Prince des Apôtres. Tout ce que fait Bergoglio constitue une offense et une provocation à l’Église catholique tout entière, à ses saints de tous les temps, aux martyrs qui ont été tués dans l’odium Fidei, aux papes de tous les temps jusqu’au Concile Vatican II.

Il s’agit aussi et surtout d’une offense au divin Chef de l’Église, Notre Seigneur Jésus-Christ, dont Bergoglio exerce l’autorité sacrée au détriment du Corps mystique, avec une action trop systématique et cohérente pour apparaître comme le résultat d’une simple incompétence. Dans l’action de Bergoglio et de son entourage, se réalise l’avertissement du Seigneur : Méfiez-vous des faux prophètes, qui viennent à vous sous l’apparence d’agneaux, mais qui, au fond, sont des loups ravisseurs (Mt 7,15). Avec eux, je m’honore de n’avoir ni ne vouloir aucune communion ecclésiale : leur lobby est un lobby qui déguise sa complicité avec les maîtres du monde pour tromper tant d’âmes et empêcher toute résistance à l’établissement du Royaume de l’Antéchrist.

Face aux accusations du Dicastère, j’affirme, en tant que Successeur des Apôtres, être en pleine communion avec l’Église catholique apostolique romaine, avec le Magistère des Pontifes romains et avec la Tradition doctrinale, morale et liturgique ininterrompue qu’ils ont fidèlement conservée.

Je répudie les erreurs néo-modernistes inhérentes au Concile Vatican II et au soi-disant « Magistère post-conciliaire », en particulier en matière de collégialité, d’œcuménisme, de liberté religieuse, de laïcité de l’État et de liturgie.

Je répudie, rejette et condamne les scandales, les erreurs et les hérésies de Jorge Mario Bergoglio, qui manifeste une gestion absolument tyrannique du pouvoir, exercé à l’encontre de la finalité qui légitime l’Autorité dans l’Église : une autorité vicaire de celle du Christ et qui, en tant que telle, ne doit obéir qu’à Lui. Cette séparation de la papauté de son principe légitimant qu’est le Christ pontife transforme le ministerium en une tyrannie autoréférentielle.

Aucun catholique digne de ce nom ne peut être en communion avec cette « Église bergoglienne », car elle agit en discontinuité et en rupture flagrantes avec tous les papes de l’histoire et avec l’Église du Christ.

Il y a cinquante ans, dans ce même palais du Saint-Office, l’archevêque Marcel Lefebvre a été convoqué et accusé de schisme pour avoir rejeté Vatican II. Sa défense est la mienne, ses paroles sont les miennes, ses arguments sont les miens, avant lesquels les autorités romaines ne pouvaient pas le condamner pour hérésie, devant attendre qu’il consacre des évêques pour avoir le prétexte de le déclarer schismatique et de révoquer son excommunication alors qu’il était déjà mort. Le schéma se répète même après que dix lustres ont prouvé le choix prophétique de Mgr Lefebvre.

En ces temps d’apostasie, les catholiques trouveront dans les pasteurs fidèles au mandat reçu de Notre Seigneur un exemple et un encouragement à demeurer dans la vérité du Christ.

Depositum custodi, selon l’exhortation de l’Apôtre : à l’approche du moment où je devrai rendre compte au Fils de Dieu de toutes mes actions, j’entends persévérer dans le bonum certamen et ne pas manquer au témoignage de foi qui est exigé de celui qui, en tant qu’évêque, est doté de la plénitude du sacerdoce et a été constitué successeur des Apôtres.

J’invite tous les catholiques à prier pour que le Seigneur vienne au secours de son Église et donne du courage à ceux qui sont persécutés à cause de la foi.

+ Carlo Maria Viganò, archevêque

20 juin 2024 »

20 juin

On a vu dans les dernières analyses que le temporel rejoint le spirituel aux niveaux des bêtes de la terre et de la mer de l'Apocalypse, que la Fille Aînée de l'Église rejoint Rome à la fin des temps, donc que le chao part des deux entités.

Comme preuve supplémentaire, voici ce qui se passe en France conjointement avec le Vatican concernant la messe tridentine et Traditionis Custodes.

De plus, ceux qui lisent ces analyses depuis quelques années savent qu'il y a un flou à propos de la succession des papes selon le prophétie de St-Malachie, et que selon les prophéties concernant l'Église de Jean XXIII, il y a la possibilité d'un remplaçant du pape élevé par les circonstances extrêmes de la situation, c'est à dire du Secrétaire d'État Pietro Parolin en position sur le siège de Saint Pierre sans conclave (voir analyses précédentes sur le cardinal Pietro Parolin comme étant probablement Pierre II le romain de la prophétie de Saint-Malachie, celui qui serait assassiné selon la prophétie de Jean XXIII).

« ... Du point de vue français, nous pouvons confirmer qu'un haut fonctionnaire aussi représentatif que le Nonce Apostolique en France fait tout pour obtenir une application maximale de la Traditionis Custodes . Mgr Celestino Migliore attise toujours l'ardeur liturgique anti-traditionnelle des évêques de France, insistant pour que la messe traditionnelle soit tolérée le moins possible et que les autres sacrements, notamment les baptêmes, les mariages et les confirmations, ne soient jamais administrés de manière traditionnelle. .

Un nonce apostolique est par mission un organe de la Secrétairerie d'État. Cela confirmerait que le cardinal Pietro Parolin, fils spirituel du cardinal Silvestrini, leader de la Rome libérale pendant des décennies, est un pur « progressiste », admirateur de l'Ostpolitik du cardinal Casaroli, qu'il a imité et même dépassé dans ses accords avec la Chine, qui se cache sous la surface d'un homme sensé (il ne se souciait qu'à moitié d'approuver que Fiducia Supplicans permettait la bénédiction des couples homosexuels. Son nom apparaît constamment aujourd'hui parmi les papabilis, celui d'un homme de la lignée de Bergoglio, mais sérieux, réfléchi trempant dans les dossiers).

Sans avoir de cabinet fantôme, ce Secrétaire d'État/candidat au titre de Pape a des hommes sur lesquels il peut compter le moment venu... si le moment vient... Et l'un d'eux est le Nonce Migliore, de l'écurie du Cardinal Becciu et une des personnalités les plus importantes du corps diplomatique du Saint-Siège. Il a été envoyé en France en 2020 pour « bergogiser » l'épiscopat français. En ce sens, l'abandon de Michel Aupetit de l'archevêché de Paris, suivi de la nomination de Laurent Ulrich à ce siège, est l'une de ses plus brillantes réussites.

On raconte qu'une promesse tacite aurait été faite à l'efficace Celestino Migliore : il serait le secrétaire d'État du pape Parolin, mais à condition qu'il parvienne à éradiquer le traditionalisme en France. D'où ses efforts disproportionnés auprès de la Conférence épiscopale française et des évêques, qui éviteraient à un Parolin devenu pape d'avoir à gérer cet épineux dossier.

C'est ce zèle tout à fait carriériste qui suscite une grande consternation parmi les évêques de France, même parmi ceux convaincus du bien-fondé de la Traditionis Custodes mais qui se rendent compte qu'une telle entreprise est impossible en France à moins de se lancer dans une croisade bien étrangère à l'époque où nous vivons, et dont le succès serait très incertain en ces temps de dialogue et d'Église synodale.

Mais entre-temps, le nonce Migliore continue d'insister, même à huis clos, en affirmant qu'il ne faut pas prendre au sérieux les fidèles traditionnels. » (caminante-wanderer.blogspot.com)

Nous approchons du 40 jours après la date du signe de Jonas du 13 mai dernier.

Et la tache solaire qui a causé cette tempête est toujours active après un passage face à la terre en début juin, et qui est maintenant sur le point de réapparaître face à la terre autour de la Saint-Jean Baptiste.

Il est rare qu'une tache solaire conserve son énergie pour durer aussi longtemps.

Pour l'instant, c'est toujours le cas.

19 juin

Voilà que cela se confirme exactement comme prévu selon les dernières analyses:

« Des sources ont déclaré à Rorate Caeli que les responsables du Vatican souhaitent interdire la messe latine de la manière « aussi large, définitive et irréversible que possible », et une source a informé LifeSiteNews que cette interdiction sera probablement émise à l’occasion du troisième anniversaire de Traditionis Custodes.

( LifeSiteNews ) — Plusieurs sources « crédibles » ont informé un média catholique traditionnel que le Vatican prévoyait de publier un document « interdisant » la messe traditionnelle latine, et une source a informé LifeSiteNews que cela se produirait probablement le 16 juillet.

« On tente de mettre en œuvre, le plus vite possible, un document du Vatican contenant une solution stricte, radicale et définitive interdisant la messe traditionnelle en latin », a rapporté lundi Rorate Caeli , qui attribue la nouvelle aux « sources les plus crédibles, dans différents continents », y compris aux « cercles proches » du cardinal Arthur Roche, préfet du Dicastère pour le culte divin.

Ces sources seraient « les mêmes… qui ont été les premiers à révéler qu’un document comme Traditionis Custodes viendrait » et qui ont également « révélé à Rorate que le Vatican avait envoyé une enquête aux évêques » sur leur mise en œuvre du TLM à la suite du motu de 2007 du pape Benoît XVI. proprio Summorum Pontificum , qui a permis une large utilisation de la messe latine.

Selon Rorate , ceux qui planifient cette suppression « définitive » du TLM sont « frustrés » par les « résultats apparemment lents » du document du pape François restreignant la messe en latin, Traditionis Custodes , en particulier aux États-Unis et en France, et « veulent l’interdire et le fermer partout et immédiatement »… »

15 juin

LE QUATRIÈME COUP DE CANON

« … Les assassins sont en Europe. Ils veulent la Méditerranée…

Ce n'est pas le temps d'un roi, ce ne l'a jamais été. Depuis la mort de Frédéric, chaque roi est usurpateur. Que le roi s'en aille, reste le peuple. L'Europe a soif, elle aura du sang dans les rues. » (prophétie politique « Grand Éclair à l’Orient » de Jean XXIII)

Nous assistons au dernier acte avant la chute définitive de Babylone la grande : la guerre sur le territoire israélien pour l’embrasement autour de la Méditerranée.

La synagogue de Satan établie en Europe mène le bal.

Elle a sa marionnette, fils spirituel des Rothschild, Emmanuel Macron.

Suite à l’article du signe de Jonas, on se doutait que le chaos guettait la fille aînée de l’Église pour juillet 2024.

Force est de constater que tout semble se mettre en place avec les élections législatives du 30 juin : le lendemain de la fête des saints Pierre et Paul.

Le spirituel rejoint le temporel.

La bête de la mer rejoint la bête de la terre pour une grande finale.

Pour l’importance du Vatican et de la France en ce moment critique, voici un résumé du regretté Louis D’Alencourt du Grand Réveil: « 1958, le tournant : l’Église est veuve »

« Rome détient le pouvoir spirituel ; c'est la nouvelle Jérusalem et le Vatican le nouveau temple de Dieu.
L’Église est fondée à Rome, et c'est là qu'y meurent ses deux fondateurs : saints Pierre et Paul. Cette fondation sera prolongée jusqu'à aujourd'hui par la continuité apostolique des souverains pontifes.

La France détient le pouvoir temporel ; le peuple de Dieu est désigné dans l'Ancien Testament par un mot qui désigne à la fois une entité collective (le peuple) son fondateur (Jacob) et même son territoire. Ce mot c'est Israël.

Le Nouveau Testament a changé la donne : le peuple de Dieu n'est plus le peuple hébreu, il est constitué désormais de tous les hommes qui croient en la divinité de Jésus-Christ et qui affirment publiquement cette foi par le baptême, condition obligatoire pour devenir officiellement enfant de Dieu.

Le royaume de Dieu créé par Jésus lors du triduum pascal est donc constitué d'un nouveau peuple, rassemblé dans un nouveau temple (l’Église) et disposant d'un nouveau territoire : le monde entier.

Mais de même qu'il faut un siège pour la nouvelle église (ce sera Rome) il faut un pays et un peuple pour continuer à symboliser à la fois la terre promise et le peuple de Dieu…

C’est la France, terre choisie de toute éternité par la Sainte Vierge...

À la fin des temps, les deux endroits sur lesquels le monde aura les yeux fixés sont Rome et la France.

Emmanuel Macron est né un 21 décembre. A ce niveau-là, le hasard n'existe pas. Surtout quand on sait que le prénom Emmanuel veut dire "Dieu avec nous" en hébreu. On comprend mieux pourquoi la presse aux ordres le compare à Jupiter.

Personnellement, je pense que dans leur esprit Emmanuel Macron est une sorte de nouveau roi David ; il n'est pas le Messie, car le Messie est Dieu (les juifs sont les premiers à le savoir) mais il leur faut un grand roi (le plus grand puisque le Messie est appelé fils de David) qui saura épauler le Messie le moment venu… »

Nous ne sommes plus eschatologiquement sur du temps long, mais court.

Car Satan est sur le point de proclamer sa victoire.

L’Antichrist est présent.

C’est un système.

Le système politique et spirituel dans lequel nous vivons et qui est sur le point d’atteindre son apogée.

La prophétie de Jean XXIII au début de cet article est très claire.

Emmanuel Macron veut s’imposer comme roi.

Emmanuel Jean-Michel Frédéric Macron, de son nom complet, a mis la France dans le trouble financièrement, et provoque sans équivoque  la Russie en envoyant des troupes au sol en Ukraine, de même que des armes plus sophistiquées.

Du chaos à venir l’ordre doit surgir.

La bête de la mer (Vatican) rejoint la bête de la terre (politique, Macron en tête) en ce mois de juin.

Comme preuve ultime, nous avons Bergoglio qui participe à la réunion du G7 cette semaine, confirmant ainsi la fusion de l’église conciliaire à la religion humaniste franc-maçonnique.

« Ce sera pendant ce temps que naîtra l’antéchrist, d’une religieuse hébraïque, d’une fausse vierge qui aura communication avec le vieux serpent, le maître de l’impureté ; son père sera évêque » (La Salette)

La religion catholique conciliaire (fausse vierge) et son père évêque (c’est bien ce qu’affirme être Bergoglio) couche avec la synagogue de Satan (religieuse hébraïque).

Alors que le mois de juin est le mois consacré au Sacré-Cœur dans l’Église catholique, il est devenu le mois de la fierté gay, même pour Bergoglio.

Satan ayant donc transmuté tout ce qui était sacré dans la société chrétienne pour des considérations humanistes, s’apprête à donner le quatrième coup de canon.

Cette stratégie de Satan, expliquée dans l’article de Louis D’Alencourt dans la référence ci-dessus, est le long cheminement pris par les franc-maçons pour éliminer la présence du Christ sur cette terre.

Albert Pike, chef luciférien bien connu a en résumé le plan.

Les trois premiers ont été donné (extraits de l’article du Grand Réveil):

« 1) Premier coup de canon : l’œuvre et l’action de Luther
Date retenue par Pike :  10 décembre 1520 (Luther brûle la bulle papale et le droit canonique)

2) Deuxième coup de canon : destruction de la monarchie catholique par la décapitation d’un roi chrétien.
Date : 21 janvier 1793 (mort de Louis XVI)

3) Troisième coup de canon : abolition du pouvoir temporel des papes.
Date : 20 septembre 1870 (chute des États Pontificaux)

4) Quatrième coup de canon : abolition définitive de la papauté ; plus exactement « abolition du pouvoir spirituel de la papauté chrétienne, après l’abolition du pouvoir temporel.
Date : à déterminer ; fait ou à venir ?

Puisque le quatrième coup de canon semble similaire au troisième (la papauté est concernée dans les deux cas) et que les enjeux se suivent (perte du pouvoir temporel d’abord, du pouvoir spirituel ensuite), on peut tenter d’établir un parallèle entre les deux périodes historiques afin d’essayer de savoir quand réellement le quatrième coup de canon a été tiré.

C’est là que la France intervient, et effectivement les faits sont suffisamment troublants pour être signalés : à chaque fois, les événements de Rome sont précédés d’un changement majeur de régime en France. Comme s’il fallait d’abord neutraliser la France, protectrice de l’Église catholique, avant de pouvoir s’attaquer à la papauté... »

À CHAQUE FOIS, LES ÉVÉNEMENTS DE ROME SONT PRÉCÉDÉS D’UN CHANGEMENT MAJEUR DE RÉGIME EN FRANCE.

Et, en ce mois de juin, nous avons bien les signes de la parabole du figuier, autant politique que spirituel.

Surtout suite au possible signe de Jonas du 11 au 13 mai dernier.

Quels sont les signes de « feuilles tendres du figuier » auxquels nous avons droit?

Le premier, évidement, est la guerre qui s’intensifie, et la France qui en est le moteur principal de montée en tension.

De même, l’OTAN pousse la provocation encore plus loin en permettant que les armes américaines puissent être utilisées en territoire russe, tout en confirmant que les chasseurs F16s danois et hollandais sont sur le point d’être livrés à l’Ukraine.

La Russie répond que chaque pays accueillant les armes utilisées contre son territoire sera susceptible d’être une cible, tout en envoyant une flotte navale pour un «exercice» dans les eaux des caraïbes, accostant même à Cuba avec 4 navires et un sous-marin.

Çà commence drôlement à ressembler à la crise d’octobre 1962… et à la prophétie de Jean XXIII « Grand Éclair à l’Orient » où la terre frisera le massacre.

Jean XXIII avait cru bon justement de publier « Pacem in Terris » le 11 avril 1963 pour calmer le jeu.

Au niveau spirituel, Bergoglio est sur le point de fusionner l’église conciliaire définitivement avec la pensée maçonnique par son humanisme débridé, en interdisant simplement la tradition.

Nous savons de toute façon ce qui arrivera puisque l’Apocalypse nous avertit : il y aura mort des deux témoins.

Mais le signe le plus évident de la fin des temps est le décès éventuel de Bergoglio.

Car c’est Dieu et la chrétienté qui importent, et c’est là qu’il faut regarder.

Bergoglio vieillit. Il a de la difficulté à respirer, à marcher,… Bref sa santé décline à vue d’œil.

LE TEMPS PRESSE.

La fin de la papauté est l’objet de plusieurs prophéties qui concordent toutes sur ce point.

Toutes.

- Jean XXIII avec la prophétie de l’Église #11 « Le Septième Sceau ».

- La prophétie de Saint-Malachie sur les 111 papes successifs.

- La prédiction de Satan cité dans le « Diable au XIXème siècle », publié en (1893, le docteur Bataille explique comment des questions sont posées à Lucifer via Sophia Walder lors de séances occultes bien particulières :
« A la dernière de ces séances, du moins à la dernière à laquelle j’assistai en cette année-ci, la question posée à la pythonisse luciférienne fut :

– Combien de papes succéderont à Léon XIII ?
Et la réponse, en lettres rouges, qui parut sur la chair blanche, fut :

– Neuf, et après je règnerai. »

Il y a bien eu 9 papes après Léon XIII avant de voir le destructeur Bergoglio monter sur le trône de Saint-Pierre.

C’est avec lui qu’il règne.

Effectivement.

- La suite de Garabandal cité dans l’analyse générale : trois papes après Jean XXIII, dont un ne compte pas (Jean-Paul I), avant le destructeur.

- Diana Vaughan était une grande prêtresse luciférienne de la fin du XIXème siècle, miraculeusement convertie, et qui eut le temps de faire quelques révélations avant d’être enlevée par les francs-maçons. Dans un de ses livres, elle explique certains versets du livre Apadno (prophéties sataniques dictées par Lucifer à Albert Pike), et notamment les versets 18 et 19 :

« Le verset 18 explique que le dernier pape des catholiques sera un juif converti à la religion du Christ ; pendant son pontificat, il n’y aura plus un seul juif qui ne soit luciférien. Lui-même, lorsque l’Antichrist se sera révélé au monde, il abandonnera son catholicisme romain, non pas pour retourner au mosaïsme, mais pour adopter le culte de Lucifer ; il déposera la tiare et son zèle sera grand pour l’œuvre du palladisme triomphant. Dans l’Apadno, ce franc-maçon qui occupera le souverain pontificat luciférien, au temps de la mission publique de l’Antichrist, est aussi appelé le Rempart de Dieu.

- Dans l’Apocalypse :

« C'est ici qu'il faut un esprit doué de sagesse. — Les sept têtes sont sept montagnes, sur lesquelles la femme est assise. Ce sont aussi sept rois :

Les cinq premiers sont tombés, l'un subsiste, l'autre n'est pas encore venu, et quand il sera venu, il doit demeurer peu de temps.

Et la bête qui était et qui n'est plus, en est elle-même un huitième et elle est des sept, et elle s'en va à la perdition. » (Apocalypse 17, 9-11) »

La clé pour démarrer le compte (guidé par « l’esprit de sagesse » et du fait qu’on ne peut reconnaître les faits qu’en y étant présent) est celui qui « subsiste », c’est à dire Benoît XVI. Cinq papes avant lui donc.

Et la bête qui était et qui n'est plus, en est elle-même un huitième et elle est des sept, et elle s'en va à la perdition.

Et Bergoglio, qui représente la bête marxiste socialiste judéo-maçonnique, est le septième pape, mais il a décidé d’abandonner son titre de vicaire du Christ, ET, d’abandonner son titre de pape en décidant qu’il n’était, dans son idée de collégialité, que l’évêque de Rome (en référence aux sept collines).

Il est devenu le huitième, la bête cachée derrière le titre de pape, et qui s’en va à la perdition.

Il est donc roi du Vatican, vassal de Satan, qui domine le Saint-Siège.

C’est pourquoi il faut avoir à l’œil la date du 29 juin prochain quant aux intentions de Bergoglio concernant la messe traditionnelle.

Car Rome a perdu la foi et est devenu le siège de l’Antichrist conformément à l’annonce à la Salette.

Et, comme la Chrétienté a pris ses ailes à Rome, les persécutions partent aussi de Rome parce qu'aux derniers Temps, l'Église est inversée par rapport à elle-même.

Il en est de même pour le politique.

Les persécutions partiront du chaos dans la fille aînée de l’Église.

Conformément aux prédictions de la Salette, l’Église a été éclipsée, le Monde catholique est dans la consternation.

Les deux témoins, les fidèles à la Loi et aux prophètes du clergé et les laïcs, avec comme tête la tradition, prêchent avec la force de Dieu et condamnent les erreurs diaboliques de l’Antéchrist.

Le calendrier de l’Apocalypse s’accélère, car nous sommes maintenant sur du temps court.

Le temporel rejoint le spirituel.

Et juste quand nous écrivions cette analyse clé...

BERGOGLIO LANCE LE QUATRIÈME COUP DE CANON!

Le 13 juin dernier, un mois jour pour jour après le signe de Jonas.

107 années après l'apparition du 13 juin 1917 à Fatima où la Sainte Vierge demande la dévotion à son COEUR IMMACULÉ, qui est le refuge, NOTRE refuge pour la fin des temps.

ET, c'est le 13 juillet 1917 qu'elle demande la CONSÉCRATION DE LA RUSSIE.

Les 100 ans accordés à Satan pour détruire l'Église sont terminés (vision de  Léon XIII).

Nous avons eu 7 ans de grâce supplémentaire.

Bergoglio a publié le document qui fera basculé la papauté! (voir ici en français)

ET LA MESSE.

L’œcuménisme dans toute sa gloire.

Et signé (remarquez la page couverture) par…

L’évêque de Rome.

Évidement.

Ce qu’en dit Mgr Vigano :

« Le document d'étude du Dicastère pour la promotion de l'unité des chrétiens « L'évêque de Rome. Primauté et synodalité dans les dialogues œcuméniques et dans les réponses à l'encyclique Ut unum sint" est l'application cohérente des prémisses subversives posées par Vatican II et les "papes conciliaires" :

– La messe a été frelatée sur le modèle de la Cène protestante ;

– le prêtre est devenu le « président » d'une assemblée ;

– l'autorité a été retirée aux évêques par les conférences épiscopales et le synode, qui se l'ont appropriée au nom de la collégialité ;

– maintenant le Pape doit devenir le « primus inter pares » des sectes chrétiennes, il doit trahir le mandat confié par le Christ à Pierre et à ses successeurs et abdiquer le rôle de Vicaire du Christ.

La secte bergoglienne s'apprête à rejoindre les autres communautés schismatiques et hérétiques, après avoir embrassé leurs erreurs. Bref, le futur chef de la nouvelle Religion de l’Humanité souhaité par l’élite maçonnique du Nouvel Ordre Mondial se dessine déjà.

Ce plan a nécessité des décennies de préparation et a utilisé la démission de Benoît XVI comme un élément supplémentaire pour détruire la papauté, compte tenu de l'action destructrice du jésuite argentin.

La trahison commence au sommet de l'institution, et elle n'a pas commencé avec Bergoglio : ce document d'étude n'est rien d'autre que la reproposition de ce que Jean-Paul II espérait dans l'encyclique Ut unum sint, qui à son tour fait référence au Vatican. Concile II.

La trahison était déjà inhérente à l’œcuménisme, proposée à nouveau dans la période post-conciliaire dans les mêmes termes avec lesquels elle avait été condamnée auparavant.

L'usurpateur Bergoglio utilise le pouvoir de la Papauté pour la discréditer, l'humilier et déformer définitivement son essence immuable voulue par le Christ lui-même. Et sans changer officiellement (doctrinalement) l'institution monarchique de l'Église, en fait (pastoralement) Bergoglio la renverse, en faisant une institution synodale seulement apparemment démocratique dans laquelle l'Église profonde est une alliée de l'État profond dans l'établissement de l'anti- Dictature du Christ du Nouvel Ordre Mondial.

Bergoglio a usurpé la papauté avec l’intention perverse de détruire ce qui restait de l’Église catholique : muter génétiquement la papauté afin de la soumettre totalement à l’idéologie mondialiste.

Bergoglio abuse du pouvoir suprême dans l’Église pour démolir l’Église, exactement comme dans la sphère civile d’autres subversifs abusent de leur autorité pour effacer la souveraineté et l’identité même des peuples.

La révolution conciliaire suit le même schéma subversif que l’on a vu appliqué dans la sphère civile depuis la

Révolution française et qui nous est à nouveau proposé aujourd’hui avec le coup d’État de l’Agenda 2030.

Bergoglio est le syndic de faillite d'un plan diabolique planifié il y a plus de soixante ans. »

On l'avait annoncé et analysé abondamment.

Et toujours affirmé qu'il ne s'agissait que de l'annoncer car nous savons en tant que chrétiens éveillés que la présence réelle ne sera jamais écarter.

C'est la promesse de NSJC: « Je serai avec vous jusquà la fin du monde »

Cette génération est condamnée.

La messe oecuménique abolissant la présence réelle est à nos portes!

C'est confirmé par le Vatican.

La suite appartient au Christ.

Dieu vous bénisse.

01 juin

En hommage au regretté Louis D’Alencourt (grandreveil.wordpress.org), qui a inspiré en partie cette analyse.

La disparition de Louis pour ses lecteurs a été un choc monumental, puisque rien le laissait présager un tel dénouement.

Paix à son âme.

Sa mission est donc terminée dans ce monde temporel.

Il méritait grandement de partir sans être témoin du courroux qui s’en vient.

Le Père, en venant le chercher si tôt nous donnerait-il un signe?

Cela signifierait-il qu’il ne reste que peu de temps pour se convertir?

Car, à partir de la fin de la 6ème période de l'Apocalypse (c'est à dire maintenant), lorsque la chute de Babylone est enclenchée, il sera trop tard, car le 7ème sceau ouvre la porte du Jugement.

La parabole du figuier (Matthieu 24, 32-35) est très appropriée.

Maintenant!

« Écoutez une comparaison prise du figuier. Dès que ses rameaux deviennent tendres, et qu'il pousse ses feuilles, vous savez que l'été est proche. Ainsi, lorsque vous verrez toutes ces choses, sachez que le Fils de l'homme est proche, qu'il est à la porte. Je vous le dis en vérité, cette génération ne passera point que toutes ces choses n'arrivent.Le ciel et la terre passeront, mais mes paroles ne passeront point. »

LE SIGNE DE JONAS? (partie II)

Avez-vous remarqué que Bergoglio n’a pas été le célébrant principal de la messe depuis le milieu de l’année 2022?

La messe tridentine est au cœur du sujet car elle fait obstacle à la futur cérémonie œcuménique poussée par Bergoglio dans les derniers mois.

D’où ses attaques :

- « CITÉ DU VATICAN, 30 juin 2021 ( LifeSiteNews ) — Le Vatican a décidé d’interdire le latin, la langue traditionnelle de l’Église catholique, de la célébration de la plupart des messes dans la basilique Saint-Pierre.

- Traditionis Custodes du 16 juillet 2021 interdisant la messe tridentine.

- Bergoglio renforce son Motu Proprio Traditionis Custodes lors de la fête des Saints Pierre et Paul en juin 2022, pour le dernier droit vers la messe œcuménique. (vaticannews.va)

- « C’est pourquoi j’ai écrit Traditionis custodes , afin que l’Église élève, dans la variété de tant de langues, une seule et même prière capable d’exprimer son unité.

« Comme je l’ai déjà écrit, j’entends que cette unité soit rétablie dans toute l’Église de rite romain », a déclaré François…

« Bergoglio a l’intention de mettre fin à la messe traditionnelle en latin en imposant le Novus Ordo à tout le rite romain sous prétexte d’unité », a averti le clerc, affirmant plus tard que l’exhortation du pape à « abandonner nos polémiques pour écouter ensemble ce que l’Esprit dit à l’Église » est une manière voilée de dire « nous devons abandonner la Tradition et nous soumettre à sa volonté [de François] ».

La journaliste vaticane Bree Dail a écrit que, « selon plusieurs sources, le pape François » ne croit plus au débat en cours « sur » l’herméneutique de la continuité « , mais « a clairement exprimé sa position personnelle, en rupture avec son prédécesseur, Benoît XVI »… » (lifesitenews.com)

- Dans son homélie pour la fête des saints Pierre et Paul, le pape a semblé comparer les catholiques « rigides » à la persécution de l’Église par saint Paul.

… Le pape François s’est alors lancé dans ce qui est devenu une attaque régulière contre les catholiques « rigides », semblant suggérer que les catholiques « rigides » sont comme saint Paul dans son zèle anti-catholique.

« Le pape appelle à la fin de la « défense intransigeante de la tradition »

Comme on le voit, les attaques ont lieu à la fête de Saint-Pierre et Saint-Paul, le 29 juin.

On se rappelle que c’est en cette journée aussi que…

« devant la situation de l’Église d’aujourd’hui, nous avons le sentiment que par quelque fissure la fumée de Satan est entrée dans le peuple de Dieu… » Paul VI, 29 juin 1972.

C’est le contexte actuel.

Le synode des synodes est supposé achever le plan dont la victoire sera ensuite célébrée par un temps de fraternité universelle, le Jubilé 2025.

Le temps presse.

Voyons nous un mouvement de masse de conversion à la vraie Foi?

La réponse est évidente.

Le signe de Jonas est proche…

Ou, a eu lieu!

En quoi consiste le signe de Jonas?

Rappelons en quelques mots l’histoire de Jonas : celui-ci est chargé par Dieu d’aller porter un message à la ville de Ninive, en Assyrie.

Jonas refuse sa mission et s’embarque sur un bateau vers une destination opposée. Dieu provoque une tempête qui aboutit à la conclusion que la présence de Jonas est la cause de cette tempête, et celui-ci est jeté à l’eau.

Il est avalé alors par un grand poisson dans le ventre duquel il reste 3 jours et 3 nuits.

Le poisson le rejette sur le bon rivage et Jonas part à Ninive délivrer son message : « Encore 40 jours et Ninive sera détruite ».

Les gens de Ninive crurent en Dieu, décrétèrent un jeûne et se couvrirent de sacs, du roi jusqu’aux bêtes, et se repentirent de leurs mauvaises actions.

Finalement, devant l’attitude de pénitence des ninivites, Dieu épargnera la ville.

Le signe de Jonas que Jésus indique, ce sont les 3 jours que passe ce dernier dans l’obscurité dans le ventre du poisson.

Ce signe est indissociable de la mission de Jonas qui consiste à annoncer que dans 40 jours Ninive sera détruite.

Alors, quelle est la nature de ces 3 jours?

Le livre de Jonas parle d’une grande tempête.

Après ses 3 jours et 3 nuits, Jonas prend immédiatement le chemin de Ninive car cette dernière n’a que 40 jours pour se convertir avant d’être détruite.

Le même sort nous attend.

Mais contrairement à Ninive, l’Apocalypse nous indique qu’il n’y aura pas de conversion en cette fin des temps :

Il est expliqué que malgré les signes,  « les autres hommes, ne se repentirent ni de leurs meurtres, ni de leurs enchantements, ni de leur impudicité, ni de leurs vols.» (Apoc. 9, 21).

Une attitude confirmée dans le livre de Daniel : « il y en aura beaucoup qui seront purifiés, blanchis et éprouvés ; et les méchants feront le mal, et aucun méchant ne comprendra ; mais les intelligents comprendront. » (Daniel 12, 10)

Le Christ nous l’a indiqué.

Le seul signe qui sera donné avant son retour sera celui de Jonas.

Et, Babylone n’aura que 40 jours avant le début des châtiments et des deux derniers grands malheurs (6è et 7è trompettes) de l’Apocalypse.

Que représente le chiffre 40?

« La durée de quarante jours, ... recouvre une valeur symbolique. Est-ce à dire qu’historiquement, quarante jours, soit quarante journées et quarante nuits, ont séparé la Résurrection du Christ de son Ascension ?

Pas nécessairement.

Ces quarante jours désignent en fait un temps d’attente et rappellent à la fois les quarante jours du Déluge qui s’abat sur la Terre, les quarante ans du peuple hébreu dans le désert, les quarante jours du jeûne de Moïse au Mont Sinaï avant de recevoir la loi, les quarante jours d’errance du prophète Élie et les quarante jours que le Christ passe au désert.

Tous traduisent une durée, une durée longue et mystérieuse.

Quarante, dans la tradition de l’Église, c’est aussi le nombre de jours du Carême : c’est le temps de l’attente, le temps du silence et de la prière, un temps nécessaire d’épreuve, de cheminement et de maturation pour se préparer à retrouver Dieu. Une période nécessaire, aussi, pour que les disciples s’approprient la vérité ahurissante de la résurrection, pour ensuite en témoigner à leur tour. Quarante jours pour se rappeler que la foi est un chemin, toujours un chemin, et que l’épreuve, l’ajustement et le doute précèdent l’heureuse union avec Celui qui nous aime tant.(fr.aleteia.org)

Notons également, que le nom de Jésus (Ieshoua) a pour valeur numérique 47 en hébreu.

Le nombre du Christ en gloire est donc le 47.

Le mois de mai est le mois de Marie ; rien ne nous interdit de penser qu’en l’honneur de la Vierge Marie, les armées célestes ont commencé la grande épuration.

Puisque les apparitions de Fatima ont commencé le 13 mai 1917.